Sous la forme d'un rp, d'un journal, d'anecdote d'une liste de course si cela peu vous faire plaisir  racontez nous de manière rédigée l'histoire de votre personnage ! (800 mots minimum)

Fils aîné des Towsen, je suis née à la Londres. Je descends bien évidemment de deux familles de sang pur, Australienne du côté de mon père et britannique pour ma mère. J’ai grandi dans un joli manoir dans l’ouest de Londres. J’ai passé mes six premières années en tant qu’enfant unique et étant le seul espoir de perpétuer l’héritage pour mes parents. Sachez que quand t’on grandit dans une vielle famille de sang pur avec un penchant pour la magie noire, votre enfance n’est jamais des plus joyeuses. Pas que je me plaine de quoique se soit, j’étais et je reste le petit fils choyée des Towsen. Mais dans ce genre de famille vous n’avez pas le droit à l’erreur, ni à 5 ans, ni à 10 ni à 20 non jamais. J’ai toujours dû être ce que l’on attendait que je sois discipliné, mais pas avec ma propre personnalité, sociale mais pas extravertie. Ma vie n’était donc pas des plus amusantes, pourtant, j’étais plutôt heureux, mais lors de ma sixième année quelque chose arriva, ma petite sœur. Oui, c’est lors de ma sixième année qu'Amber naquit. J’avoue qu'au début se fut un coup dur pour moi, le petit homme que j’étais ne comprenais point pourquoi mes parents avaient eu besoin d’un autre enfant alors que moi, j’étais là (Très classique, je sais, mais comme j’aime dire : pas besoin d’avoir eu une grande vie pour devenir une grande personne). Pour la suite, je ne peux pas vous dire que ma relation avec ma sœur, c’est grandement améliorer. Bien que je compris très vite que je restais le petit préféré de la famille, j’ai toujours eu du mal à me montrer affectueux avec ma petite sœur. Pourtant plus on grandissaient plus je m’attachais à elle, certes elle était agaçante et un peu flemmarde à mon goût, mais c’était ma petite sœur et aussi loin que je me souvienne, je me suis toujours sentis responsable d’elle. Jusqu’à mes onze ans, il ne se passa rien de très exceptionnelle dans ma vie, me sentant toujours plus ou moins en compétition avec Amber, je repoussais sans cesse mes limites, jusqu’à ce que je me rende compte que c’était vain, j’étais le seul à jouer.

Comme tout jeune sorcier britannique, à mes onze ans, je reçus ma lettre d’admission à Poudlard se fut une libération pour moi. N’ayant jamais connu réellement d'enfant de mon âge et n’étant pas extrêmement proche de ma sœur, je grandis en solitaire, mais c’est une fois à Poudlard que je me découvris vraiment. Envoyé à Serpentard, je me fis très vite des amis, m’entourant d’une bande  dont j’avais déjà tendance à prendre la tête. En plus, je me découvris un véritable don pour la magie, frôlant l’excellence avec mes résultats, je fus la fierté de mes parents. Même si je fus très bien entouré se fut lors de ma troisième année que je me fis mon premier véritable ami. C’est cette année-là que je fis la connaissance de Darius, qui aujourd’hui reste mon meilleur ami. Darius faisait sa première année à Serpentard et sans être un garçon timide et frêle, ce n’était pas personne la plus sûr de lui que je connaissais. Pour je ne sais quelle raison, peut-être simplement, car j’étais d’humeur charitable, je me suis approché de mon camarade solitaire, et en apprenant à le connaître je fus tout d’abord surpris par sa maturité. Pour la première fois de ma vie, je trouvais quelqu’un à l'auteur de mes capacités, quelqu’un avec qui je pouvais discuter de chose complexe et être compris. Il fallu peu de temps pour que notre petite discussion se transformât en une grande amitié. Très vite je le pris sous mon aile l’intégrant au petit groupe d’amis que je m’étais créés. L’année qui suivit fut assez classique pour moi, jonglant entre jouer au Quiditch et passer du temps avec mes amis, ma vie aller pour le mieux. Mais c’est à mes quatorze ans que je sentis pour la première fois le poids de mon héritage. Au vu de mes résultats et de mes compétences, mes parents décidèrent qu’il était temps de m’initier à d’autres formes de magie, une magie plus sombre. Sans pour autant m’obliger à l’utiliser, chaque vacance, je me retrouvais plonger dans différent livre, suivant différent cours particulier apprenant les bases pour pouvoir un jour pouvoir défendre la Cause. Bien sûr, je ne mis  opposai pas, voulant à tout prix plaire aux parents, cette option n’était pour moi inenvisageable. Mais plus les années passèrent, plus les exigences de mes parents devenaient élevé et plus je commençais à remettre en question tout ça. J’apprenais à me forger ma propre opinion, ne vous imaginez pas que je m'étais transformé en un rebelle de premier non loin de là. J’ai simplement appris, à déterminer ce qui est à mon goût était juste et ce qu’il ne l’était pas, sans pour autant aller forcément à contre sens de tous ce que j’ai appris, par exemple j’ai conservé cette haine des moldus qui ma était inculqué, mais pas forcément celle des sorciers impurs ( n’allez surtout pas répéter cela, je risquerais d’avoir des ennuis ). Bien que mes idées puissent diverger avec celle de mes parents et des mangmorts il ne met jamais passé à l’esprit de l’avouer à qui que ce soit. Après tout, je n’en voyais pas l’intérêt ça n’aurait fait que m’attirer des ennuis et anéantir toutes les chances de devenir le grand sorcier que je rêvais d’être. C’est pour cette raison que je m’instruis à la pratique de l’Occlumencie par l’intermédiaire de mes parents, sans avoir encore des plans d’avenir bien définis, j’étais persuadé que  ça me serait utile. Je passais les années qui suivirent à travailler les cours supplémentaires de mes parents et l’Occlumencie tout en conservant un très bon niveau scolaire. Tout ce travaille m’obligea donc à arrêter le Quidditch, au grand regret de Darius qui se retrouva seul dans l’équipe. Plus le temps passait, plus je me passionné pour la magie noire et les portes qu’elle pouvait m’ouvrir laissant petit à petit mes autres activités de côtées. Je me voyais déjà puissant et invincible en sauveur des sorciers. À l’époque, je n’étais encore qu’un enfant rêvant de puissance.


Ce n’est qu’à la fin de mes études, que la chute commença vraiment, mes parents jugèrent qu’il serait temps que je reçoive une vraie formation en magie noire par un professionnel et par ce biais faire de moi un mangmort. C’est de cette façon que je fus confié à William Ombrage, mon mentor. William est la personne qui a fait de moi ce que je suis aujourd'hui, il m’apprit non pas simplement à faire des choses atroces, mais à les faire avec intelligence. Il m’apprit le plaisir que l’on approuve quand on exécute sa victime. Pendant de longues années, je ne penser que par lui, aveuglé par mon admiration, je le voyais comme la solution à tous mes problèmes. Mais plus le temps passé, plus j’étais en désaccord avec lui et plus je mis de la distance avec lui et ces idées de la même façon que je l’avais fait avec mes parents. Sans que j'eusse à éprouver aucun sentiment négatif à son égard, j’ai simplement grandi apprenant à être indépendant dans mes idées et dans les actes sans pour autant contredire les ordres, j’étais devenue une personne à part entière. Pour ce qui est de mes relations familiales lors de cette période, elle n’avait fait qu'empirer. Ma sœur, qui faisait son entrée à Poudlard, fut répartie, à Serdaigle . Ce fut vu par mes parents comme un véritable déshonneur, moi je n’en fut pas si surpris que ça, j’avais toujours vu ma sœur comme une petite fille gâtée qui en faisait qu'à ça tête alors le faite qu’elle ne suive pas les traces de notre famille n’avait rien de surprenant à mes yeux. Plus Amber grandissait, plus les critique envers elle affluaient, mes parents ne cessaient de lui rappeler qu’elle n’était pas moi. Mais moi ça m’allait comme ça, je ne voulais qu’elle devienne comme moi, elle était pure et innocente et bien que je ne lui ai jamais montré, je l’aimais de tout mon cœur. Pour rien au monde, elle devait subir ce que moi, j’ai subi, devenir ce que moi, ce que je suis devenu.
Petit à petit, je me créai mon monde, la famille d’un côté les mangmorts de l’autre. J’appris à me faire une place parmi eux, en réussissant certaines missions créant des lien avec les bonnes personnes, et bien sûr mon poste en tant qu'agent de liaison international ma donnée une place de choix parmi les serviteurs de la Cause. j’étais heureux quoique déchiré par mes idéaux, plus le temps passé et plus certaine action des mangmorts me déplaisait, mais je gardais cela pour moi bien décidé à régler ça à ma façon. Surtout que je fus très vite distré par l’arrivée de Darius chez les mangmorts. Oui, il y a quelques années de cela mon ami d’enfance rejoignit notre camp. J’avoue que cela nous fit beaucoup bien, à lui comme moi. Le fait de partager notre expérience, nos idées et nos combats nous rapprochâmes plus que jamais.
J’aimerais conclure en vous disant que j’ai trouvé ma voie, qu'aujourd’hui tout va pour le mieux, mais ce n’est pas le cas. Je suis déchiré entre mon devoir et mes valeurs. Je doute de plus en plus des mangmorts, pour autant, il reste à mes yeux le seul moyen de prendre le contrôle sur les moldus. Mais par-dessus tout je craint plus que tout que ma sœur soit contraint de rejoindre les mangmorts. Je sacrifie mon âme pour les sorciers, pour l’honneur de ma famille, pour préserver ma sœur de la noirceur du monde.