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Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes,
alors pensez à les privilégier pour vos personnages

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Si on devait tuer demain ☺ Carl Mackenson ☻ :: Three Broomsticks :: Pensine :: Les RPs
Garnet Davis
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Dim 14 Fév - 16:54
Si on devait tuer demain
«Début Juillet 2020»


Apprendre que l’Institut gardait des enfants prisonniers avait sérieusement ébranlé la Foi et la Confiance que j’avais en le Blood Circle. Est-ce que j’étais influencée par les échanges que j’avais eu avec Bouclette quelques semaines avant ? Probablement. Qui étaient mes amis ? Qui étaient mes ennemis ? Nathan ne m’avait fait aucun tort, nos deux camps étaient opposés, mais est-ce que ça faisait de lui mon ennemi ? Lui et moi avions des ennemis en commun. Si les Mangemorts le détestaient pour la pureté de son sang, n’étais-je pas censée être de son côté en tant qu’exterminatrice autoproclamée de sangs-purs ? Mais Frisette restait un sorcier… Et à cause de mon appartenance au Blood Circle, ça faisait de lui mon ennemi. Jusqu’où allait ma dévotion au Blood Circle ? J’aimais être ma propre maîtresse. Tuer n’était pas un problème. Tant que ça restait dans mes principes. Mais ce sorcier n’était pas un enfant… Tout comme Ludivine. L’un comme l’autre avaient juste eu la malchance de naître avec des pouvoirs. Alors qu’ils étaient issus d’une famille moldue et qu’ils ont reçu une éducation moldue. L’exact opposé de moi en fait…

Monsieur Terry avait réussi à me convaincre de ne pas couper les ponts avec le Blood Circle. Il ignorait tout des expériences sur ces enfants, et que lui aussi était profondément déçu d’apprendre que de telles choses se faisaient à son insu dans l'Institut. J’avais énormément de respect pour cet homme, et il n’avait donc eu aucun mal à me convaincre. Je savais que Robert était un homme bon et qu’il faisait de son mieux pour aider son prochain. Il avait été là pour moi quand j’étais dans le besoin. Quand cette enflure d’Alexander était partie je ne savais où… Besoin de prendre l’air j’imagine. Dans tous les cas, Robert avait été là quand lui m’avait abandonnée. Il avait été de bon conseils, il m’avait donné un boulot stable, et, surtout, il devait me proposer de temps à autres des contrats de “nettoyage”.

«Et euh… Carl ? C’est ça ? On fait souvent appel à toi pour ce genre de missions ?»

Robert m’avait envoyée en mission avec l’un des fils Mackenson, la troisième famille de la "Grande Triade” fondatrice du Cercle. La plupart des Mackenson étaient militaires de carrière ( C’est marrant quand même, c’est l’un des seuls corps de métier où on rajoute “carrière” à la fin. On parle pas de “boulanger de carrière” ou de “ouvrier de carrière”, pour ces derniers, même ceux qui travaillent dans des carrières, on appelle ça des “carrier” ) Et Carl ne devait probablement pas faire exception à la règle. Dans tous les cas, les membres de cette famille étaient réputés pour être très entraîné afin d'aller sur le terrain et j’étais ravie de ne pas avoir à me retrouver de nouveau avec un poltron comme Robin en mission. Bébé Kane était sympa. Même si des fois il me prenait un peu pour une conne, mais il n’était pas méchant. Sans compter qu’il m’avait tirée d'affaires plus d’une fois grâce à son boulot d'avocat et ses relations. Peut-être qu’à la base il espérait tirer autre chose, mais je pense que depuis le temps il avait compris que ça n’arriverait jamais et il a dû lâcher cette idée. Kane était entraîné au combat, mais il n’avait pas l’air d’être fait pour le combat réel. C’était un politicard, un beau parleur. Pas un guerrier. Il avait le corps et les techniques pour se battre, mais pas le mental et l’esprit.

On arriva à destination. Carl gara la voiture dans la rue, pas trop proche de la maison qu’on devait investir, afin de ne pas avoir l'air trop suspects. Le couple qui vivait ici avait été identifié comme sorcier. Des mouvements de hiboux ont été repérés et il semblerait qu’un nombre anormal de hiboux différents venaient et partaient de cette maison. Du moins, d’après les équipes d’ornithologues du Cercle, pour ce que j'en savais moi... D’après Robert, la maison avait été surveillée pendant plusieurs semaines et le couple vivait seul. Il n’y avait donc pas d’enfants.

«T’as du matos ?»

Vu que c’était sa caisse, j'espérais qu’il avait au moins prévu des gilets anti-magie. Les bracelets et le sérum n’étaient pas vraiment indispensables, étant donné qu’on était chargés de “nettoyer” la maison. Je commençai à me déshabiller pour pouvoir enfiler mon gilet par dessous mes vêtements, tout en continuant la discussion.

«On a un plan précis ? On fait pas dans la dentelle, on entre, on les bute, on se casse. Ou alors on vérifie d’abord ? On se fait passer pour je sais pas quoi, on entre, on papote, on boit le thé, puis après on les zigouille ?»

Je regardai l’heure sur mon téléphone récemment acheté.

«Tant que je suis rentrée avant 7h du soir, on fait comme tu veux.»

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Mar 23 Fév - 16:07
si demain on devait tuer

Mais dans quelle emmerde il se retrouvait là. French_Bahamut n’aurait pas pu le contacter plus tôt ? Maintenant il se retrouvait à faire une mission sans savoir quoi faire. La dernière il avait réussi à la saboter mine de rien, mais ça risquait de se voir au bout d’un moment, surtout s’il se retrouvait seul avec son coéquipier. Carl avait angoissé toute la nuit. Quand la veille on lui avait annoncé qu’il partait à la chasse aux sorciers, il avait eu comme une envie d’étrangler ce French_Bahamut. Mais bon, au fond il comprenait que ce que lui demandait Carl prenait un certain temps. Lui-même avait dut réfléchir un peu avant d’accepter. Mais le truc c’est que maintenant c’était Carl qui se retrouvait dans la merde sans soutien de personne ! Après avoir passé la nuit à essayer de trouver un échappatoire Carl conclut qu’il n’y en avait pas. Il devrait improviser sur le terrain.

C’était encore une idée du pieux Terry. Comment avait-il réussi à convaincre son père que l’envoyer dans une mission disons plus cool, que la dernière fois, plutôt que de le mettre constamment à la tête d’une section, le soldat n’en savait rien, mais à vrai dire ce n’était pas plus mal. Une seule co-équipière signifiait qu’une seule personne à convaincre de son allégeance et de sa haine des sorciers. Déjà avec sa tête de rigolo ce n’était pas simple d’être pris au sérieux. Mais il se devait de tenir le rôle, pas pour plaire à son père non, mais pour ne pas être soupçonné. Alors les questions, les sous-entendus douteux c’était finis ! Carl avait pris sa voiture, c’est lui qui les emmènerait jusqu’à leur prochaine victime. Le soldat fut étonné de voir une jeune femme de son âge. Il pensait être l’un des plus jeune du Blood Circle, il était d’ailleurs assez rare de se lancer si tôt dans l’aventure.

« Carl c’est ça ! Et toi c’est Garnet ? Je t’avoue que non… En vérité je débute et sinon mon père préfère me mettre à la tête d’attaque de groupe plutôt que dans des duos. Mais t’inquiète pas je n’en suis pas moins compétant ! Et toi tu débutes aussi ? » Il ne pouvait pas croire qu’il avait à faire à une vétéran du crime. Sa coéquipière n’avait vraiment pas l’air bien effrayante de vue comme ça, malgré son air renfermé. Non elle avait l’air saine d’esprit. A leur âge on ne pouvait pas avoir une soif du meurtre aussi fort que celle du reste du Blood Circle ce n’était pas possible. Les deux coéquipiers arrivèrent enfin à destination. Carl sentit son cœur se serrer, bon dieu comment allez-t-il se sortir de cette situation. Il ne se voyait pas tuer deux personnes comme ça de sang froid sans aucun raison apparente. Pourtant c’était un soldat il était près à tuer. Mais ses ennemis pas des civils, des gens qui faisait leur vie tranquille dans leur petite maison. Peut-être même qu’ils étaient comme Nathan, des gens normaux qui faisait leur vie comme il pouvait. Rien ne justifiait leurs morts. Carl devait trouver un moyen de les sauver mais il ne savait pas encore comment il allait si prendre, surtout avec cette Garnet sur le dos.  

« Bien sûr que j’ai le matos ! » Ce n’est pas comme-ci il avait fait demi-tour parce qu’il l’avait oublié non plus. Vous n’imaginez pas à quel point c’était dur pour Carl de ne pas faire de blague douteuse dans ce genre de situation tendu. Tout de sorte de connerie à faire et à dire lui passait par l’esprit mais non il devait rester sérieux, sinon pour le coup son père le tuerait. Bon Garnet ne passait par quatre chemins, peut-être qu’elle était aussi tarée que les autres enfaite.

« Oui… » Réponse totalement stupide quand on vous laisse le choix. Mais vu son état de stress, c’était normale. « Je veux dire on entre et on repère les lieux. On ne sait pas de quoi ils sont capables et le problème des sorciers c’est qu’ils sont toujours armés, mieux vaut préparer notre attaque proprement et ne pas se faire avoir bêtement. » Gagner du temps ou moins il trouvait un moyen de gagner du temps. Plus il créait de situation et plus il avait l’opportunité de trouver une solution. « 7h ? » C’était étrange d’à son âge d’avoir un couvre-feu, tempi Carl ne lui proposera pas d’aller boire un verre après leur mission. « On aura fini d’ici là alors ! »

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Garnet Davis
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Jeu 4 Mar - 0:28
Si on devait tuer demain
«Qu'est ce qu'on ferait de plus, qu'est ce qu'on ferait de moins ?»


Il me confirmait bien s’appeler Carl.
Et apparemment c’était un débutant sur le terrain. Enfin c’était ce que je pensais, quand il m’avait répondu qu’il n’était pas souvent appelé pour ce genre de mission. Mais il développa très rapidement, en expliquant que d'habitude, son père le mettait à la tête d’attaque de groupes plutôt que dans des petites missions comme ça. Encore un fils à papa pistonné. Il est beau l’avenir du Blood Circle. Il me demanda si j’étais une débutante également. Je me mis à rire.

«Pas vraiment non. Me faire tatouer derrière l’oreille, c’est pas un droit que j’ai acquis de naissance comme toi. Fallait que je fasse mes preuves parce que j’ai du sang sorcier même si je n’ai aucun pouvoir. Le Cercle avait réussi à trouver l’adresse de ma Tante qui m’a hébergée quand je suis arrivée en Angleterre. Ma mission était de la buter et de ramener sa baguette en guise de preuve. J’ai jugé plus prudent de ramener carrément sa tête. » (Elle n’est pas aussi tarée que les autres, elle est bien plus tarée que les autres.)

À y bien réfléchir, c’était l’une des plus belles choses que le Blood Circle avait faites pour moi. Me permettre de buter ma connasse de tante.

«Normalement je préfère être seule, mais le plus souvent je suis sous la direction d’un boulet. Le prends pas pour toi, c’est pas encore ton cas.» Pas encore. Le message était plutôt clair : Ne sois pas un boulet, le fils à papa.

Une fois arrivés à destination, j’interrogeai Carl pour savoir s’il avait le matos nécessaire pour la mission. Il me répondit comme si c’était une évidence. J’haussai simplement les épaules.

«Ok. Cool.»

Il marquait des points, c’était bien ça. Au moins, lui, il voyait l’utilité d’avoir un Gilet anti-magie pour appréhender des sorciers ; pas comme d’autres… J’enlevai mon haut sans pudeur, laissant apparaître à qui voulait bien regarder les vieilles cicatrices que les mangemorts avaient infligées à mon corps. Il ne restait que celles qu’ils n’avaient pas, ou mal, refermées magiquement. Je vérifiai que le fourreau de Sheila était toujours bien sanglé à mon bras avant d’enfiler mes vêtements par-dessus la protection. Tout en me changeant, je lui demandais des précisions sur la marche à suivre. On entre en cassant tout, on les bute et on se casse, ou alors on fait ça en finesse, on infiltre on examine les lieux et puis seulement après on agit ? Il me répondit simplement “Oui”. Je le dévisageai.

«Oui quoi ?»

S’il me répondait oui madame, je lui en collais une, tout Mackenson qu’il était. Il se reprit en expliquant qu’il valait mieux repérer les lieux, qu’on ne savait pas de quoi étaient capables nos ennemis. Je n’avais pas de problème avec ça. Tant que la mission était menée à bien, et que j’étais rentrée à l’heure, ça m’allait. Mon collègue sembla surpris de mon impératif horaire.

«Ouais, je fais office d'auxiliaire de vie pour la mère d’Hélène Terry. Enfin pas tout à fait. Mais je dois passer du temps avec elle tous les deux jours. Ça paie pas de mine comme ça, de s’occuper d’une vieille, mais elle est plutôt gentille et elle a des tas de choses à raconter ; quand elle ne radote pas. » je redirigeai la discussion sur notre mission «Peu importe. Du coup infiltration ? On se fait passer pour des voisins qui viennent d’arriver, ils nous laissent entrer et… Le loup est dans la bergerie ?»

Préparés, avec un plan d’action en tête. On frappa donc à la porte du couple de sorciers. Après de longues secondes, un femme nous ouvrit. Elle nous regarda avec un air suspicieux.

«Euh… Bonjour. On vient d’emménager dans la rue. On a pas mal de ménage à faire, mais bon abruti de mari… » Je donnai un coup de coude à Carl «a mal fermé le bidon de javel et il s’est renversé. Est-ce que vous auriez de la javel, ou n’importe quel produit pour laver le sol à nous prêter ? »

La femme nous dévisagea  un peu plus pendant un instant avant de nous répondre.

«Euh… Bonjour. Et… Bienvenue.»

On entendit quelques bruits de pas dans la maison, et le mari rejoignit sa femme, visiblement curieux de voir ce qu’il se passait. Est-ce qu’on avait vraiment besoin de cette mascarade ? Je pourrais plaquer cette femme contre le mur avant mon avant-bras gauche, dégainer ma dague et la lui planter dans le cœur. Pendant ce temps Carl s'occuperait du mari, ils n’auraient pas le temps de réagir. Mission accomplie. Mais je ne pouvais pas avoir confiance dans les aptitudes de Carl. Le mari risquerait d’avoir le temps de réagir, et ces gilets anti-magie ont une efficacité relativement limitée.

«Je crains de ne pouvoir vous aider, je fabrique moi même mes produits ménagers. Je les prépare la veille pour le lendemain. Ça va être un peu court pour demain, mais si vous pouvez attendre après-demain, je peux vous en préparer. Mais je crains que d’ici là vous n’ayez eu le temps d’en acheter vous-même. Passez une bonne journée.»

Je jetai un œil à Carl. C’était pas exactement ce qu’on avait prévu. Est-ce qu’il était prêt à agir ? Je ne savais pas trop. D’autant plus que le couple avait l’air méfiant. Cette proposition était bien trop bizarre, même pour des sorciers. Ils devaient se douter de quelque chose, ou peut-être simplement vouloir la paix.

«Attendez une seconde. » Je rabattis mon oreille qui portait la marque du Cercle. «Nous sommes membres du Blood Circle. Et d’après le Décret je ne sais plus combien voté par le Gouvernement Kane en Février, nous sommes en droit d’exiger d’entrer et de procéder à une enquête de routine.»

Je sentis que la femme se crispa à la mention du Blood Circle. Ah c’était si bon d’imaginer la peur, la crainte que ce simple nom pouvait lui inspirer. C’était un plaisir rare. Un sentiment de puissance unique que seule mon appartenance au Cercle pouvait m’apporter en présence de sorciers. Il y avait quand même quelques avantages à bosser pour eux, même si je ne cautionnais toujours pas les méthodes que j’ai découvertes à l’Institut.

«Bien entendu, cela ne veut pas dire que nous vous soupçonnons de quoi que ce soit. Nous avons simplement été chargés de vérifier quelques maisons au hasard afin de vérifier que tout est en ordre. »

La femme regarda son mari, et après un silence silencieux entre les deux, elle s’écarta pour nous laisser passer.

«Faites donc. Mais ne vous attendez pas à trouver quoi que ce soit de magique chez nous. »

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Lancer de dé

Citation :
0 - 1 : La famille se montre méfiants vis-à-vis du binôme et Carl et Garnet sont obligés de se présenter en tant que membres du Blood Circle venu enquêter.
2 - 3 : La famille semble sceptique par les explications de Garnet, mais Carl ajoute des précisions et le couple leur propose finalement de les laisser entrer.
4 - 5 : La famille est bien naïve et ne se pose aucune question. Ils proposent directement à Carl et Garnet de boire avec eux.
Edit : J'sais pas pourquoi je me dis toujours que lancer des dés, ça pourrait être cool....


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L'Augurey
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Lun 15 Mar - 20:56
si demain on devait tuer

Carl n’avait aucune idée de à qui il avait à faire. La rousse n’avait pas l’air aimable, mais ayant le même âge que lui et un visage pas des plus agressifs. Quelle grossière erreur ! Elle était complétement folle. Elle avait tué sa tante. Carl ne pouvait pas s’imaginer faire du mal à sa famille. Même s’ils avaient des différends, même si père voudrait sûrement sa mort quand il apprendra sa trahison, il n’arrivait pas à imaginer qu’il puisse faire du mal à sa famille. Mais apparemment ça semblait totalement naturel pour certain. « Tu as du sang sorcier ? » Carl préféra partir sur ce sujet que sur celui du meurtre de sa tante et de sa tête qu’elle a ramené. Mais après coup il se rendit compte que ce n’était pas forcément le sujet favori de sa compagne. « Enfin tant que tu n’es pas une sorcière, c’est cool pour moi t’inquiète. » Bon en vérité même si elle avait été une sorcière ça ne l’aurait pas plus gêné que ça. Mais il ne pouvait pas vraiment lui dire, de peur qu’elle ramène sa tête à son père. « Et puis c’est cool tant que tu es au Blood Circle ça veut dire que tu gères. » ça se voyait qu’il était un peu mal à l’aise ? Peut-être oui, parce que bon c’était super surprenant comme confession, mais au moins ça mettait dans l’ambiance.

Bon cependant il ce n’était pas trompé sur un point : Garnet n’était aimable. « T’inquiète-je ne suis pas un boulet. Je suis un soldat j’ai l’habitude de gérer ce genre de chose. » Bon il ne l’était pas depuis bien longtemps mais ça il ne fallait pas le dire. Donner l’impression d’en envoyer aller l’aider à se faire respecter, c’est ce que lui avait dit sa cousine. Tout de même il n’arriva pas à se venter de son grade, c’était un peu trop pour lui, chaque chose en son temps.
Le problème c’est que Carl c’était laissé un peu déstabilisé par les réponses précédentes de la jeune femme passa pour un idiot dès le début. Bon il allait rattraper ça pendant la mission. « Au c’est cool comme métier ça et puis Mme. Terry est vraiment gentil je te l’accorde ! Et bah tu seras à l’heure ne t’inquiète pas. » Il avait déjà vu la mère de Robert. Terry de part des repas entre famille du Blood Circle et d’autre cérémonie un peu bizarre du Blood Circle.

Carl avait beau retarder l’échéance le moment de la mission devait arriver à un moment ou à un autre. Jusqu’alors il avait réussi à éviter de se mouiller, éviter de tuer ou torturer qui que ce soit. Mais aujourd’hui il n’était pas sûr d’y arriver. Bien sûr il ferait tout pour trouver une échappatoire. Mais pour l’instant il se devait de conserver sa couverture, s’il voulait pouvoir aider French Bahamut d’une quelconque façon plus tard. « Oui infiltration, comme ça on ne prend aucun risque. »
Alors que Garnet ouvra la porte et une femme leur ouvrit. Une femme qui n’avait pas l’air très en confiance malgré la voix assurée de Garnet. Si la sorcière réagissait il serait obligé de la tuer, il n’y aurait plus d’option, même pour Carl il serait obligé de se défendre. Le soldat entra donc dans le jeu attrapant sa soi-disant femme par le bras. « Oui, je suis vraiment mal à droit parfois. » Carl leur offrait un sourire un peu niait. L’excuse de Garnet était un peu tordue il fallait l’avouer, mais maintenant il était trop tard, il se devait de continuer à jouer le jeu. « Merci M’dame ! On vient de se marier et c’est vrai que c’est un joli patelin ici, pas vraie chérie ? »

Leur petite mise en scène était peut-être bien faite mais les sorciers n’avaient pas l’air de prendre. Surtout la femme enfaite. Alors qu’elle les renvoyait clairement chez eux, Carl essaya de trouver une solution. « Mais heuuu… » Garnet pris finalement les choses en moins en révélant leur vraie identité. C’était osé mais comme on disait les meilleurs mensonges ont toujours une once de vérité ». Bien sûr omettre qu’il venait pour les tuer n’était pas un détail, mais il fallait les voir les choses du bon côté : Carl gagnait du temps. Le jeune soldat se tourna vers le couple. « N’ayez crainte alors, si vous n’avez rien à vous reprocher tout ira bien. » C’était faux, il n’avait rien à se reprocher et pourtant ils allaient mourir. Carl voyait de moins en moins comment sortir de cette affaire. SA gorge était serré et même s’il voulait semblait aimable et detendu il n’y arrivait pas. Aujourd’hui il allait tuer. C’était impossible de les épargner sans faire sauter sa couverture. Il n’avait pas pu prévenir French_Bahamut et maintenant il était obligé de franchir ce cap qu’il n’avait encore jamais franchit.

Carl faisait semblant d’inspecter la maison. Il voulait chercher une solution, mais son esprit était comme bloqué par la peur. C’est à ce moment là qu’il les vit. Deux petites chaussures. Et qui plus ai des chaussures qui ne pouvait ni appartenir) la mère ni appartenir au père au vus de la forme et du style. Ce qui signifiait que… non. Un enfant. Il y avait un enfant dans cette maison. Carl allait devoir s’en prendre à un gosse. Sans plus attendre il se dirigea vers Garnet. Avant de s’adresser à elle il pris le temps de prendre un air le plus détendu et sérieux possible. Elle ne devait pas pouvoir capter sa panique. « Et Garnet. » chuchota le jeune homme à l’oreille de sa coéquipière. « Je pense que l’on s’est trompé de maison. Regarde, ils sont trois pas deux. » C’était un pari risqué qu’il faisait là. Essayer de convaincre Garnet que cette famille n’était pas des sorciers et qu’il c’était trompé. Ainsi il pourrait expliquer avoir été mal informé et rentrer chez eux sans problème. Mais si Garnet restait persuadé d’elle, alors Carl venait de vendre le gamin à une folle furieuse arracheuse de tête.

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OUI : Carl voit les chaussures moldus
NON : il ne voit rien et continue de faire semblant d'inspecter
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Lun 15 Mar - 20:56
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Sam 20 Mar - 2:45
Si on devait, tuer demain
«On avait bien dit qu'on faisait des RP "type mission". Réponse pas trop longues, avec lancer de dés ? Je crois que j'ai merdé... »


Je pensais que ce n’était un secret pour personne que j’étais une Cracmol. Je me trompais. Vraisemblablement, Carl l’ignorait. Du moment que j’étais pas une sorcière, ça ne lui posait pas de soucis.

«Je suis ce qu’ils appellent une Cracmol. Une Cracmouille comme disait mon père. J’appartiens à une grande lignée de sorciers mais j’ai pas hérité de leurs pouvoirs. Dans ce genre de famille, la pureté du sang, c’est important. Ils se marient qu’entre sorciers purs, non souillés par des individus non magiques. Bref, je faisais tâche et ils m’ont évincée.» Plutôt édulcorée comme explication.

Faire partie du Blood Circle prouvait que je gérais ? Il était déficient ou… ? Parce que clairement, j’en ai vu des incapables au Blood Circle, et c’était pas du tout rassurant. Entre l’abruti qui demande les mensurations pour vous filer un gilet anti-magie à votre taille, celui qui panique et tire sur ses collègues parce que sa carte magnétique ne fonctionne pas, le fils du premier ministre qui tremble au moment d’appuyer sur la gâchette et la traîtresse qui libère les sang-de-bourbe… Non… Clairement appartenir au Cercle n’était pas du tout un gage de qualité. Aux yeux du Cercle, je ne devais pas gérer des masses depuis quelques mois. Entre le gamin qui “m’avait échappé” quand on avait appréhendé les Crooks. L’Offensive que les sorciers avaient sur nous peu de temps après durant laquelle j’ai été sévèrement blessée. Mais ce n’était pas ça le pire. Le pire c’était mes coups de gueule, surtout auprès de Robert, après la découverte d’enfants au sein de l’Institut. Ma loyauté devait probablement être mise en péril, et j’avais besoin de victimes expiatoires pour la regagner.

«Gérer… On va dire que je suis capable du pire, comme du meilleur. Et c’est dans les pires situations que je suis la meilleure.»

En temps normal, je préférais être seule, mais on m’assignait toujours à des boulets. Est-ce que c’était encore le cas ? Le Mackenson me répondit qu’il était un soldat et qu’il avait l’habitude de gérer ce genre de situation. J’haussai simplement les épaules.
«J’imagine que je serai vite fixée… »

En tout cas, il ne partait pas gagnant en répondant de travers à une question bien précise. Peut-être qu’il avait été déstabilisé que je me change à côté de lui sans pudeur ? Mais si c’était le cas, il aurait voulu que j’aille chercher des vestiaires publics ? Il s’étonna de mon impératif horaire et je dus lui expliquer que je devais m’occuper de la belle-mère de Robert. Il trouvait que c’était cool comme métier. Si pour lui passer du temps avec une vieille à s’assurer qu’elle ne se fasse pas sauter accidentellement au gaz c’était cool, je ne comprenais même pas pourquoi il était militaire. Cela dit…

«Y’a plus palpitant comme boulot, mais ça me permet de vivre. Et puis, les vieux ont des choses intéressantes à raconter, quand ils ne radotent pas.» Quand on était plus vieux que la moyenne, on avait forcément du vécu. Des épisodes de souffrance, des douleurs. C’était intéressant à écouter, je me sentais moins… seule. « Clairement, je suis pas à plaindre. Ça me convient, pour le moment.» En supplément de petits boulots par-ci par-là et des missions de “nettoyage”.

On arriva finalement à leur porte. On avait opté pour une approche discrète, pour s’assurer que c’était sans danger. On avait pas prévu de couverture, alors je dus improviser, parce que je ne sentais pas mon compagnon très… Disons que plus il parlait, et plus il me semblait déficient. Il avait le parfait rôle du mari qui avait fait une boulette. Clairement, je trouvais mon histoire crédible, mais pour une raison que j’ignorais, la sorcière semblait suspicieuse. La seule explication plausible, c’était que Carl en faisait trop. “M’dame” ? “Patelin” ? “Chérie” ? Je m’étais retenue de le dévisager et encore plus de le cogner. Mais qui parlait comme ça ? Il s’était pris pour un pignouf de la cambrousse ? La femme commençait à vouloir nous fermer la porte au nez et Carl semblait être en panique mentale à chercher une solution.

«Te fatigue pas.»

Il ne fallait pas qu’il court-circuite les derniers neurones qu’il avait. “Je ne suis pas un boulet” qu’il disait. J'espérai que si on devait à en venir aux mains, il saurait mieux se débrouiller, parce que ça risquait d’arriver assez rapidement. Tentant le tout pour le tout, je révélais nos véritables intentions au couple. Enfin, non… Je leur avait seulement révélé que nous étions du Blood Circle et que nous étions chargés d’enquêter. Ils ne devaient pas vraiment se douter qu’en réalité nous étions chargés de les tuer. De toute façon, ils n’avaient pas le choix, s’ils s’opposaient à nous c’était avouer qu’ils étaient des sorciers et ça les condamnerait forcément. Leur seule chance était de coopérer et d’espérer qu’on ne trouve rien. Alors que Carl rassurait le couple, j’ajoutai à son attention.

«Par contre toi, si tu me retouches le bras comme tu l’as fait tout à l’heure, tu risques gros. Très gros. Ne va pas te faire des idées. Chéri

Après réflexion, je me dis que c’était peut-être les hommes qui étaient déficients. Il faudrait que je fasse équipe avec une femme un jour pour ce genre de mission, pour voir si ça venait de ça. Je faisais mine de poser des questions à la famille pendant que l’autre fouillait. On était pas trop trop organisé ; pas du tout même. Je ne savais pas comment on allait déterminer le moment où on allait les attaquer.

«Ça fait longtemps que vous êtes installés dans le quartier ? Vous avez déjà été témoin de phénomènes surnaturels dans le voisinage ? Avez-vous des soupçons sur l’un de vos voisins ? »

Je faisais semblant d’écouter leur réponse. Qu'est ce que j’avais à faire des inepties que pouvaient me raconter ces sorciers ? Tout ceci n’était qu’une mascarade pour attendre le meilleur moment pour frapper. Le déficient m'interpella.

«Un instant, ne bougez pas.»

Il m’affirma que ce n’était pas la bonne maison. Seigneur Dieu, donne moi la Patience. Sinon je risque de le massacrer.

«Quoi ?»

Ils étaient trois, pas deux. Je ne comprenais pas. La surveillance était formelle, il n’y avait qu’un couple et personne d’autre. Cependant… Je devais admettre qu’il avait raison. Les chaussures étaient trop petites, sans compter le design, pour appartenir à l’un ou l’autre du couple. C’était clairement des chaussures d’ado. Comprenant ce qui se passait, mon sang ne fit qu’un tour. Je serrai les poings. Robert m’avait assuré qu’il n’y avait pas d’enfant mêlé à cette opération. Il m’avait assuré que les rapports de surveillance des dernières semaines étaient formels, seul le couple vivait ici. Je traînai mon binôme davantage à l’écart, pour pas que le couple ne nous entende, avant de l’empoigner fermement.

«Ne sois pas ridicule. Tu sais très bien que c’est cette adresse et cette maison.»

À quel jeu jouait-il ? C’était un piège pour prouver ma loyauté ? C’était un complot pour me forcer à tuer un enfant au nom du Cercle ? Il ne fallait pas compter sur moi.

«On s’en tient à ce qu’on est censé faire. On est là pour buter ces sorciers. Cet enfant n’existe pas. On n’y touche pas, il n’a pas à être mêlé à ça. Il est hors de question que je bute le moindre enfant, et encore moins que je te laisse faire.»
J’espérai que le message était bien clair. S’il cherchait à me piéger pour quoi que ce soit, ma loyauté envers le Cercle et envers mes Convictions étaient clairement énoncées. Carl me répondit à voix basse et juste après la mère de famille nous rejoint et nous surprit.

«Tout va bien ?»

Je lâchai Carl. Il fallait que je trouve rapidement une excuse pour pas qu’elle ne comprenne trop rapidement que notre différend était causé par la présence de son enfant dans la maison.

«Oui oui, tout va bien. Enfin non, mais c’est quelque chose que je règlerai plus tard avec mon collègue. Ne vous inquiétez pas, continuons. »

Je rejoignis la sorcière en réfléchissant à ce que Carl venait de me dire.

«Je vois… »

Elle gardait une main dans sa poche, probablement prête à se défendre avec sa baguette en cas de nécessité. La théorie du Mackenson était plausible, on pourrait dire qu’ils s’étaient trompés de maison. Qu’il y avait trois personnes, et non deux comme annoncé. On ne tuait personne, et l’enfant serait épargné. Le problème, c’était que ça ne faisait que reporter le problème. De nouvelles enquêtes auront lieu, et la famille allait être éliminée tôt au tard. Et à ce moment-là, je ne pourrais peut-être pas interférer…

Il fallait une meilleure solution…

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Citation :
0 - 1 : La famille entend l'échange entre Garnet et Carl et cherchent à se défendre.
2 - 3 : La famille comprend qu'il y a quelque chose de suspect dans le comportement de Garnet et Carl, ils restent sur leur garde prêt à se défendre.
4 - 5 : La famille n'entend pas l'échange et ne font pas attention à eux.

Désolé d'avance si ça tombe sur 0/1 Si on devait tuer demain ☺ Carl Mackenson ☻ 233741475

petit résumé:

Si on devait tuer demain ☺ Carl Mackenson ☻ 1884792099 Et bon Samedi à toi petit Eirian qui passe par là Si on devait tuer demain ☺ Carl Mackenson ☻ 8298856 Si on devait tuer demain ☺ Carl Mackenson ☻ 1884792099


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Mar 13 Avr - 23:00
si demain on devait tuer

Carl croyait être tombé sur une jeune fille saine d’esprit. Il c’était trompé. Garnet était le genre de personne à couper la tête de sa tante sans que on ne lui demande rien. Enfin, elle avait peut-être sa raison mais quand même c’était extrême. Bien sûr Carl n’en dit rien. C’est drôle ses parents lui rappelaient un peu les siens. Bon bien sûr les Mackenson n’avait jamais évincé qui que ce soit. Mais Carl se doutait bien que s’il était né sorcière comme Nathan il aurait eu le droit à ce genre de traitement. Nathan lui-même avait beaucoup subit à cause d’un truc qu’il n’avait pas choisi, c’était injuste. C’était d’autant plus triste pour Carl de voir que d’un côté comme de l’autre c’était la même chose. Une haine de l’autre si fort que l’on en vient à renier sa propre progéniture. C’était une folie malsaine qu’avait l’humanité à chercher la haine dès qu’elle en avait la possibilité. « C’est dégueu, je suis désolée pour toi. » On pourrait croire ainsi que Carl haïssait les sorciers. Mais ce jour-là sa colère n’était pas dirigé contre les sorciers en particulier. Il était énervé autant par ce groupe de sorcier que par le Blood Circle. Pourquoi les gens ne pouvaient pas apprendre à se supporter ? Ou au moins à ne pas se haïr, ne pas s’entre tuer. Était-ce surhumain de ne pas vouloir la mort d’un autre dès que celui-ci était différent de toi. Carl espérait qu’un jour tout le monde pourrait vivre ensemble sans se vouloir le moindre mal, ou en tout cas rien de très conséquent (comme l’extermination d’une partie de la population par exemple). Pourtant il était là, à se rendre chez une famille lambda pour les tuer. Carl voulait y échapper trouver une façon d’éviter un massacre. Mais il ne pouvait pas non plus griller sa couverture c’était trop risqué pour lui. Carl était peut-être égoïste mais il n’avait pas envie de mourir. Il se répéter sans cesse qu’il était plus utile vivant que mort pour se donner bonne conscience mais la vérité c’est qu’il avait peur. Peur de perdre sa famille, peur de mourir, peur de souffrir. Il avait dû prendre sur lui pour faire le choix de contacter French_Bahamut. Carl pouvait être courageux pour faire ce qu’il lui semblait juste, mais il n’était pas fou au point de se sacrifier. « Bah espérons que ce serait la merde alors ! » Carl devait vraiment arrêter l’humour avec les psychopathes un jour il allait finir égorger comme un veau. Mais il ne pouvait pas s’en empêcher, blaguer dans des situations où il était un peu mal à l’aise c’était plus fort que lui.

La suite se passa plutôt difficilement Garnet essaya de jouer la comédie. Et c’était une très mauvaise actrice. Carl se promis de ne plus la laisser parler quand il fallait faire semblant car il n’était absolument pas crédible. Bon au moins elle passa à une presque vérité qui parut un peu plus logique. Même si bon ce n’était toujours pas la vérité. Alors que Carl s’apprêtait à inspecter la maison, il ne s’attendait pas, mais alors pas du tout à se faire menacer par sa coéquipière. « Je… C’était pour essayer de rendre les choses crédibles… rien de plus » Sous entendant je ne te draguer pas. Carl lui avait juste touchait le bras pour essayer d’être le plus crédible possible et surtout de rattraper le coup. Enfin ça n’avait pas suffi mais ça ne méritait pas les menaces de morts.

Carl fut surpris de voir des chaussures d’enfants. Il fut à la fois effrayé et soulagé. Il y voyait une porte de sortie un espoir de sauver ses gens. Pourtant ça ne suffisait pas. Garnet avait l’air persuadé que c’était bien ici que vivait leur victime. Elle avait raison. Carl aurait beau insister cette folle ne ferait pas demi-tour. « Et tu crois que de massacrer les parents de cet enfant en le laissant en vie ne va pas le détruire. » On pourrait croire comme ça que Carl avait l’air de demander à Garnet de tuer l’enfant. Il ne voulait pas qu’elle voit son stratagème. Dans sa voix, le jeune homme avait compris qu’elle ne toucherait jamais à un gosse, il pouvait donc s’appuyer dessus sans problème. « Si le gosse grandit après ça, il haïra les non-sorcier et il tuera les notre. »

Carl ne savait s’il réussirait à convaincre sa camarade. Mais il ferait tout pour. Le but était qu’elle abandonne l’idée de tuer cette famille, sinon Carl serait obligé de la neutraliser. Mais pour l’instant le jeune homme laissa le temps à Garnet de réfléchir. Pour une raison qu’il ignorait la jeune femme avait l’air très fermer à l’idée de s’attaquer à un enfant. Carl devait jouer là-dessus, c’était son point d’appui. Quand la jeune femme lui avait parlé de sa petite initiative avec sa tante, le soldat n’aurait jamais imaginé qu’il puisse réussir à la raisonner. Mais là il y croyait. Il croyait pouvoir convaincre la jeune femme d’épargner cette famille.
La mère de famille donne l’impression de reconnaître que quelque chose n’allait pas. Carl inquiet se prépare à neutraliser la famille. Il ne veut pas leur faire de mal mais il est hors de question que Garnet se fasse blesser à cause de lui. Heureusement il ne se passa rien.

« Vous voyez bien qu’il n’y a aucune trace de magie ici. » s’impatienta la mère de famille.

« Oui, oui nous avons presque fini un dernier petit truc et on ne s’en va ni vu ni connu ! » Carl offrit au couple un sourire encourageant. Il espérait les détendre un peu car s’il ouvrait le combat il serait difficile pour le jeune homme de contenir sa coéquipière.  Bien heureusement le couple resta calme, Carl espéra que son air sympathique avait fini par les calmer. Maintenant il n’avait plus qu’attendre que Garnet se décide. Ou enfin qu’elle fasse le bon choix. Car Carl avait fait son choix : il ne la laissera pas s’en prendre à cette famille, pas avec un enfant sur le dos.

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lancé de dès :


0-1 : la famille sors leur baguette et essais de devancer garnet et carl en les attaquant.

2-3 : la famille reste sur leur garde et se prépare à fuir

4-5 : la famille reste calme et ne fais rien
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Sam 17 Avr - 16:09
SI ON DEVAIT TUER DEMAIN
«Bastoooon»


Carl trouvait que ce qu’il était arrivé à Amber… Ce qu’il m’était… Ce qui nous était… arrivé était dégueu. Il se disait désolé pour moi ? La bonne affaire. Qu’est ce que j’en avais à foutre que ce petit fils à papa soit compatissant ? Il n’allait pas changer mon passé, et ça n’allait certainement pas influencer mon avenir.

«Okay, cool.»

On débriefa ensuite sur comment on allait procéder pour notre mission. Pas question de rentrer dans le tas, on devait tenter une approche subtile. On servit au couple une petite comédie en leur faisant croire qu’on était des voisins qui avaient besoin d’aide. Ça aurait pu bien se passer mais Carl en faisait clairement trop, et ça avait rendu la sorcière méfiante. Je fis donc appel à nos privilèges en tant que membres du Blood Circle qui nous autorisait à faire des arrestations arbitraires. J’avais peut-être arrangé le décret à ma sauce, mais nous étions en droit de fouiller cette maison au nom du Blood Circle. Une fois entrés, je pris Carl à part pour lui faire comprendre que sa manière de trop en faire pour jouer la comédie ne m’avait pas plu. Il se confondit en excuses, à me dire qu’il voulait juste rendre les choses plus crédibles.

«Fais gaffe à ce que je ne veuille pas rendre mes menaces plus crédible.»

La suite annonçait le début de la compromission de notre mission. Carl avait découvert des chaussures d’enfants en disant qu’on s’était peut-être trompé de maison. Je le pris une fois de plus à l’écart pour débattre du sujet. Il fallait s’en tenir au plan. L’homme et la femme mourraient, l’enfant n’existait pas. Notre mission allait être menée à bien et il resterait sauf. Carl souligna cependant un point non négligeable : qu’allait devenir l’enfant une fois orphelin ? Le laisser en vie, ça n’allait que laisser une personne avec une enfance détruire.

«Je suis pas sûre de comprendre. Tu sous-entends qu’il serait charitable de le tuer ? »

Il avait intérêt à s’expliquer, et vite, même si je ne savais pas encore comment réagir. Carl ajouta que si l’enfant grandit après ça, il haïra les non-sorciers.

«Il n’est pas envisageable qu’on touche à un seul de ses putains de cheveux. C'est pas négociable.»

La mère de famille mit fin à notre dispute et je rejoignis le couple. J’avais noté que la sorcière avait sa main dans sa poche, probablement sur sa baguette. Elle était méfiante, sur ses gardes, impossible de reparler à Carl. Si on partait en les laissant sauf, ça ne ferait que retarder le problème, car le Cercle avait la famille dans le collimateur. Enfant ou pas enfant, d’autres auront moins de scrupule que nous. Putain... À quel jeu jouait Carl ? On savait que c’était la bonne maison, on avait suffisamment de preuves contre le couple. La présence de l’enfant ne devrait rien changer. Pourquoi m’avoir dit que ce n’était pas la bonne maison alors qu’il savait, au moins aussi bien que moi, que c’était forcément la bonne ?

La femme s’impatienta en nous affirmant qu’il n’y avait aucune trace de magie chez eux. Que faire ? Que répondre ? On savait très bien à qui on avait affaire, mais la présence de l’enfant compromettait toute la mission. Le Mackenson rassura la femme en disant que nous allions bientôt partir, que nous avions juste un dernier petit truc à faire avant d’y aller comme si rien ne s’était passé.

«Juste une pièce ou deux à vérifier. »

Ma voix était moins rassurante que ce que je voulais. Le couple nous suivit jusque dans un bureau. Il y avait du matériel tout ce qu’il y avait de plus moldu. Des bibliothèques, un miroir sur le côté de la pièce, un bureau avec ordinateur et d'autres bricoles de bureau. Aucune raison d’intervenir. J’étais à cran. Je gardais un œil sur Carl tout en faisant mine de regarder les différents livres des étagères. À tout moment, je me préparais à devoir le combattre s’il voulait s’en prendre à l'enfant, tout comme je me préparais à neutraliser le couple de sorciers s'ils passaient à l'offensive. Ces derniers restaient à une courte distance de nous, nous empêchant de communiquer à voix basse. J’ignorais comment nous allions faire. Est-ce qu’on abandonnait la mission ? Est-ce qu’on épargnait seulement l’enfant ? Finalement, ce fut le couple qui dénoua la situation.

«Chéri, la glace !»

La glace ? Je me retournai vers le couple pour essayer de comprendre de quoi ils parlaient. Ils regardaient tous les deux le miroir qui était sur le côté de la pièce et le miroir… ne montrait que mon reflet.

«CARL ! Attention !»

La sorcière sortit sa baguette et commença à prononcer un sort. Elle me rata de justesse, ou j'esquivit, ou les deux, puis j’effectuai une prise pour la désarmer.

«Expelliarmus !»

Ma technique de torsion de poignet pour lui faire lâcher sa baguette fonctionna. On lutta ensuite au corps à corps. La femme se débattait comme une forcenée et je n’avais pas le temps de sortir Sheila sans qu’elle ne puisse profiter de ce mouvement pour me frapper. Finalement, je parvins à lui faire perdre l’équilibre et j’en profitai pour sortir ma dague que je collai sous sa gorge.

«C’était pas censé se passer comme ça.» Je m’adressai ensuite à Carl. «Du coup on fait quoi ?»

Pendant mon affrontement avec la femme, je n’avais pas du tout prêté attention au combat entre Carl et l’homme. Est-ce qu’il allait avoir le dessus ou est-ce que j’allais devoir intervenir pour mettre fin à cet affrontement ? Je pourrais planter Sheila dans le cœur de cette infâme truie, mais les paroles de Carl restèrent dans ma tête. Qu’allait-il advenir de cet enfant ? Qu’est ce qu’on devait faire ?

«Ne les tue pas, faut qu'on discute de leur sort.»

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Le couple repère le danger en voyant Garnet dans la glace à l'ennemi dans le bureau et passent à l'action. (J'ai pas mis Carl dans la glace, parce que ses intentions ne sont pas mauvaises. Garnet elle était partante pour les tuer mais elle ne le fait pas pour l'enfant, donc elle reste leur ennemis, elle fait juste un compromis à contrecoeur)

0 - 1 : La sorcière lance un sort à Garnet qu'elle prend de plein fouet. Le gilet anti-magie permet d'amortir le choc et Garnet finit par avoir le dessus, de justesse.
2 - 3 :  La sorcière lance un sortilège mais Garnet parvient à l'éviter de justesse. Après un corps à corps un peu tendu, elle arrive à neutraliser la sorcière.
4 - 5 : Garnet réagit avant que la sorcière ne lance le moindre sort et la maîtrise aussitôt.


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Ven 18 Juin - 22:51
si demain on devait tuer

Cette mission s’annonçait mal. Déjà le principe même était difficile pour Carl. Il n’était même pas envisageable. Allez tuer des civils sans d’autre raison qu’ils étaient sorciers. Carl avait eu de la chance au fond, de ne pas être comme son frère. Plein de haine des sorciers. Carl lui avait été protéger par sa mère qui voulait sûrement garder au chaud son petit dernier. De part là Carl n’avait pas appris à haïr les sorciers comme Toni avait put le faire. D’autant plus qu’il avait très vite voulut faire le contraire de son père par pure esprit de contradiction. Mais s’il en était là aujourd’hui, ça n’avait put de rapport avec son père non. C’était sa discussion avec Nathan, son témoignage qui avait rendu Carl si catégorique sur les sorciers, qui l’avait poussé à trahir de façon plus prononcer le Blood Circle en contactant French_Bahamut. Ce jour-là, Carl était en attente d’aide, de consigne, venant de son interlocuteur. Il avait besoin de soutien et même si celui-ci avait besoin de temps, Carl lui avait besoin de réponse. Car aujourd’hui il avait cette mission qui allait le mettre dans une sacrée mauvaise posture. Et si Carl ne voulait pas passer le capte de tuer un civil il n’avait pas encore de plan pour l’en empêcher. D’autant plus que sa collègue avait l’air un peu taré. Aimable comme personne qui plus ai.

Après leur entré en jeu désastreux Carl se rendit compte à quelle point sa camarade était mauvaise actrice, cela pouvait expliquer son côté franc au naturel, la comédie ce n’était pas son truc. Carl ne lui en aurait pas voulu mais il fallait en plus qu’elle vienne lui faire des reproches à prêt. Le menaçant clairement s’il recommençait. Carl n’osa pas lui faire remarquer que si elle aurait mieux fait son travail il n’aurait pas dû intervenir. Il sentait qu’il fallait un rien à cette fille pour vriller et péter un câble. « Tes menaces sont très crédible je t’assure. » si la situation n’avait pas été aussi grave Carl aurait peut-être pris le temps de taquiner un peu la jeune femme qui en faisait clairement trop. Mais là ce n’était pas le moment. Carl venait en plus de se rendre compte de la présence d’un enfant, ce qui rendait cette mission encore plus horrible que ce qu’elle ne l’était déjà. Le jeune homme essaya de convaincre sa coéquipière de laisser tomber et de faire demi-tour mais elle ne prenait. Elle était persuadée que c’était la bonne maison, à juste titre.

Garnet avait le don de déformer tout ce que disait Carl. Lui qui essayer de faire gentiment passer son plan de faire machine arrière. La jeune femme comprenait tout de travers. « Charitable tu es folle. » Elle était complétement frappée comment avait-elle put comprendre que tuer des enfants c’était charitable. « On est d’accord. » Carl aurait put jouer les gros durs, lui faire croire qu’il voulait tuer le gamin pour ne pas faire sauter sa couverture mais c’était une sacré prise de risque (d’autant qu’il n’était pas sûr que Garnet ne soit pas capable de le tuer pour ça. ) Et en plus il fallait avouer que ça le rassurer un peu sur la santé mentale de sa coéquipière, ils avaient enfin quelque chose sur lequel ils étaient d’accord. C’est la mère de famille qui stoppa leur dispute. Heureusement d’ailleurs Garnet se faisait de plus en plus menaçante et ce n’était pas une bonne chose pour Carl. Le jeune homme remarqua l’attitude très prudente de la mère de famille : elle se doutait de quelque chose. Mais Carl n’avait toujours pas de plan. Il ne savait toujours pas comment épargner la vie de ce couple. Alors il continuait à gagner du temps.

C’est quand il se dirigea vers le bureau que les choses se gâta. Au début, bien que ce soit tendu Carl pensait pouvoir encore gagner du temps. Et puis les choses allèrent très vite la mère de famille prononça quelques choses que Carl ne compris pas puis Garnet lui cria de faire attention. C’est à ce moment là qu’il vit le père sortir sa baguette mais avant même qu’il puisse prononcer un seul mot Carl le chargea comme au rugby. Il allait même jusqu’à le faire tomber. Sous la force du coup, le père de famille lâcha sa baguette et la fit tomber par terre. Carl le pris de vitesse et la ramassa. C’est à ce moment là qu’il se retourna vers Garnet. Il était soulagé de voir qu’elle n’avait tuer personne. Car d’après ses paroles c’était quelque chose qui devait être assez fréquent avec elle. Pour temps elle n’en fit rien.

« Je suis d’accord il faut que l’on parle. » Carl n’osa pas trop aborder le sujet de lui-même. Il craignait fortement de passer pour un traitre. Même si Garnet avait l’air d’être d’accord avec lui sur plusieurs aspects de la situation. Comme le fait de ne pas tuer d’enfant par exemple, Carl était craintif à l’idée qu’elle veuille finalement tuer le couple. Mais Carl se devait d’être un minimum courageux, il devait faire son devoir et empêcher ce pauvre couple de se faire assassiner. « On ne peut pas les assassiner. » Voilà, c’était clair, Carl espérait que ce coup là elle ne comprendrait aucun truc chelou, rien qui puisse mener à une menace de mort ou quoique ce soit. Le jeune homme n’allait pas s’étaler sur ses idées et ses raisons. Officiellement c’était le bien être de l’enfant. Mais au fond cela faisait bien longtemps qu’il essayer de trouver une solution pour éviter ce double meurtre. A vrai dire il était finalement plutôt content qu’il y ait un enfant sur place. Car sa coéquipière avait l’air d’être une protectrice des avortons et ne leur voulais apparemment aucun mal, ce qui honnêtement n’était pas gagné d’avance. Heureusement pour lui, Garnet était près à faire ce qu’il faut pour sauver l’enfant et avec un peu de chance les paroles de Carl sur l’avenir du gamin auront porté ses fruits et Garnet sera partante pour laisser ces personnes en vie.


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0-1 : le père met une raclé à Carl et le jeune homme a besoin de Garnet pour s'en sortir

2-3 : le père sort sa baguette et lance des sortilège à Carl, mais le jeune homme finit par s'en sortir

4-5 : Carl arrive à maitriser le père sans trop de difficulté
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Dim 11 Juil - 0:01
SI ON DEVAIT TUER DEMAIN
«La maison était vide quand on est arrivé, n’est-ce pas ? »


Je tenais fermement la femme. Sheila était collée à sa gorge, au moindre geste brusque de sa part et je l’égorgeais comme un porc à l'abattoir. Un simple mouvement de poignet, et le sol serait recouvert de son sang. Un simple mouvement de poignet, et cette chienne cesserait de japper pour l’éternité. Mais il y avait un mais. Carl avait raison. L’enfant serait orphelin. Seul. Livré à lui-même. Le priver de ses parents, ça revenait à le tuer lui-aussi. J’exhortai au Mackenson de ne pas les tuer. Il fallait qu’on décide ensemble de leur sort. Il était d’accord. Il ajouta même qu’on ne pouvait pas les assassiner comme cela. Le choix de ces mots m’intrigua sur le coup, mais je me refocalisai rapidement sur la situation.

«Tiens toi tranquille, sale bâtarde de sorcière.»

Je finis de maitriser la femme en lui mettant des menottes anti-magie. Nous n’allions ni les tuer, ni les embarquer, mais il ne fallait pas non plus qu’ils puissent profiter de notre moment de clémence pour nous éliminer. Une fois la femme définitivement hors d’état de nuire, j’aidai Carl à finir de neutraliser le mari.

«On va rien vous faire, on va juste discuter avant de vous relâcher. On prend juste des précautions, parce qu’on sait ce que vous êtes.»

Ils étaient tous les deux hors d’état de nuire. Le plus dur était censé être derrière nous désormais. Maintenant que nous étions clairement en position de force, ils allaient être en mesure de nous écouter. Mais, est-ce que mon binôme, lui, allait m’écouter ? Ça c'était une autre histoire. Au final, nous étions d’accord pour ne pas les tuer, mais il n’avait jamais dit qu’il ne comptait pas les embarquer, eux et leur enfant, pour faire des expériences, comme à l’Institut. Je me relevai, dague en main, en toisant mon camarade du Blood Circle.

«On est bien d’accord ? Il est hors de question de les embarquer, n’est-ce pas ?»

Carl ne s’offusqua pas de ma prise de décision. Il se contenta d’aller dans mon sens en approuvant ce que je venais de dire. Je n’arrivais pas à cerner ses véritables intentions. Est-ce qu’il me suivait par crainte ou est-ce qu’il était réellement d’accord avec moi ? Je ne me posais pas plus de questions. Tant qu’il continuait à aller dans mon sens, ça me convenait. Je m’adressai à nouveau vers le couple.

«Comme je vous l’ai déjà dit, nous sommes du Blood Circle et le Cercle sait qui vous êtes. Nous avions pour mission de vous éliminer. De vous tuer. Mais ça va se passer autrement.»

«Le Blood Circle… Nous tuer… »

Le femme semblait en état de choc, et elle n’avait pas l’air de comprendre pourquoi on la laissait vivre. À vrai dire… Je n’étais pas certaine de comprendre non plus ce que je faisais. Je jetai un œil à Carl, il approuva d’un signe de tête. C’était à moi de parler donc…

«Comprenez bien que même si on part aujourd’hui, d’autres que nous reviendrons. Vous et votre enfant devez partir. Le plus vite et le plus loin possible.»

«Partir… Vite… Loin… »

Je m’adressai ensuite à Carl.

«La maison était vide quand on est arrivé, n’est-ce pas ? On a fouillé de fond en comble, mais aucune trace des gens qui vivaient là. C’est con, parce qu’on avait prévu de quoi les neutraliser pour qu’on puisse les capturer et se servir d’eux comme cobaye pour expérimenter de nouveaux sérums.»

«Vide… Capturer… Sébum… »

Sébum ? Je dévisageai la femme qui semblait atteinte de psittacisme aiguë. Elle comprenait ce que je disais ou pas ? Elle réalisait la gravité de la situation ou pas ? Je la giflai brutalement.

«Oh pouffiasse ! Tu comprends ce qu’on te raconte ou pas ? On est censé vous tuer, mais on va pas le faire. Vous devez dégager sinon d’autres vont revenir et eux auront moins de scrupules. Si vous quittez pas la ville, vous vous ferez buter, et nous on aura des ennuis pour vous avoir couvert.»

J’allais lui redonner une autre grosse torgnole pour que le message entre plus facilement, mais Carl me retint. Il leur expliqua ensuite très calmement la situation tandis que je restais en retrait. Les deux sorciers acquiescèrent lorsqu’il leur demanda s’ils avaient bien compris et le Mackenson finit même par s’excuser auprès d’eux des circonstances. Le moment était donc venu pour nous de les libérer de leurs entraves anti-magie. C’était la partie délicate…

«N’oubliez pas que vous étiez à notre merci, mais qu’on vous laisse la vie sauve. Si vous tentez quoi que ce soit contre nous, on saura se défendre.»

Ils ne tentèrent rien. Ils nous laissèrent quitter la maison, na sachant pas trop s'ils devaient nous remercier ou nous insulter, et, une fois dans la voiture, je finis par adresser la parole à Carl.

«T’es chelou comme mec. Mais tout Mackenson que tu es, oublie pas qu’on est tous les deux dans le même bateau. Si l’un de nous tombe, l’autre aussi. » Je souris tout de même en coin. «Je dis ça mais… C’était pas notre faute si les sorciers n’étaient plus dans cette maison… »

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