Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes, alors pensez à les privilégier pour vos personnages
Blood Circle, sans hésitation aucune. Un Cracmol tel que moi, rejeté par sa propre famille pour quelques années plus tard se faire séquestrer par ces foutus Mangemorts ... Vous vous attendiez sérieusement à une autre réponse ?! Si c'est le cas, vous êtes bien naïfs. Ou stupides, allez savoir. Toujours est-il que ma Dévotion envers le Blood Circle n'a d'égale que ma Haine envers les Sorciers. Je saisirais chaque occasion qui se présentera à moi pour les éliminer de la surface de la Terre, même si pour ça je dois faire rendre leur dernier souffle à chacun d'entre eux de mes propres mains.
« L'Enfer, c'est la Haine qui luit dans mon œil »
Derrière l'écran Pseudo ϟ Patate Age ϟ 28 ans Scénario ou inventé ϟ Poste Vacant Comment as-tu connu le forum ? ϟ Top-Site Dernier mot ϟ Faire remplir une fiche Sorcier à un des Cracmol Circle, vraiment ? Je vais avoir droit à la couleur aussi ? Blague mise à part, le forum est magnifique !
« crédit Ilyria »
Dossier ministériel n° 3927
Le nom de ma famille est Wilson et mes parents ont décidé de me nommer Alexander. Je suis né le 24 mars 1991 dans cette belle ville qu'est New York, ce qui fait que je suis aujourd'hui âgé de 28 ans. Je suis né sans magie mais malgré tout, le sang qui coule dans mes veines fait de moi un sang pur. Lorsque j'étais enfant, je suis allé à l'école publique, car je me suis rapidement retrouvé en foyer dès que mes géniteurs ont découvert que j'étais un Cracmol, ce qui m'a permis de devenir aujourd'hui sans emploi. Cette situation me permet également de gagner ma vie de manière démunie et de vivre à Londres. Je suis Célibataire et d'ailleurs, j'ai une préférence pour les Hommes. Je ne me suis jamais procuré de baguette magique car je sui né non Sorcier. Je ne peux donc pas faire apparaître de Patronus et puisque je n'en ai jamais croisé, je ne connais pas la forme que prendrait un Epouvantard. Je n'ai jamais non plus eu l'occasion de sentir de l'Amortentia ou encore pu me retrouver face au Miroir du Rised. Et pour finir je prête mon Allégeance au Blood Circle et plutôt deux fois qu'une.
Caractère
Alexander a toujours été quelqu'un de souriant, jovial, insouciant. Bref, le genre de personne bourrée de joie de vivre et déterminée à croquer la vie à pleine dents. Attachant , aimable et affectueux, un ami toujours présent pour prêter une oreille attentive ou même une épaule réconfortante. D'un naturel très sociable et bien trop bavard, il a toujours su s'entourer avec facilité. Certes, il en a bavé. Mais plutôt que de se pousser dans ses retranchements, il a tout fait pour s'épanouir et aller de l'avant. Son imprudence et sa désinvolture lui ont parfois causé quelques soucis mais rien qui n'aurait pu freiner son enthousiasme quasi maladif. Enfin, tout ça c'était avant. Bien que pendant certains moments de perdition, il lui arrive encore de laisser ressortir certaines facettes de cette personnalité.
Depuis, il s'est fortement assombri. Les tortures qu'il a subi l'ont rendu à la fois haineux, bouffé par la rancœur ainsi que la soif de vengeance. D'une certaine façon, ce traumatisme l'a rendu plus fort puisqu'il en est ressorti bien plus combatif et agressif. D'un autre côté, ça l'a complètement desservi puisqu'il est devenu quelqu'un de très renfermé, instable et mal dans sa peau. Pour tenter de camoufler ses faiblesses, il a tendance à se montrer froid, coléreux et provocateur. Une carapace qui ne lui permet pourtant pas de masquer ses angoisses puisque si on y prête suffisamment attention, il devient difficile pour lui de ne pas montrer à quel point ces épreuves l'ont rendu aussi perturbé que parano. Autant dire que ses déboires avec les drogues et l'alcool n'arrangent rien à ce cocktail plutôt explosif.
Malgré tout, certaines choses ne changent jamais complètement. Téméraire, borné, impatient, il n'en a toujours fait qu'à sa tête. Son côté immature, maladroit et casse cou est à l'image du grand gamin qu'il est resté. Son manque de confiance en lui, sa sensibilité et sa naïveté lui ont néanmoins valu plus d'une déception. Ce qui ne l'a pas empêché de savoir rester honnête, empathique et loyal auprès des personnes qui à ses yeux, ont pu le mériter.
Pensine
Si vous tendez la perche aussi ... :
Cette fois-ci, puisqu'on parle de souvenir marquant ...
Ça y est, le moment tant attendu est enfin arrivé. Une nuit somme toute banale et bien ordinaire pour le commun des mortels. Ce n'est pourtant pas mon cas, puisque c'est dans ces ténèbres que je vais enfin embrasser la Cause. J'attends patiemment, le cœur martelant ma poitrine, le corps parcouru de frissons et les mains rendues moites par l'excitation. Lorsque vient finalement mon tour, c'est plus fort que moi et je ne peux m’empêcher d'accrocher du regard le cercle de fer chauffé à blanc, qui ne tardera pas à me marquer de façon claire et définitive. Rien ne saurait me faire changer d'avis mais je dois bien admettre que ça a quelque chose d'intimidant. Aussi angoissant que grisant. L'instant d'après, je clos mes paupières, j'inspire un grand coup et je serre les dents, plus déterminé que jamais. Je devine la chaleur de la brûlure avant même qu'elle ne vienne mordre ma chair. Quand le métal rougeoyant vient ronger ma peau, je sens des larmes naître au coin de mes yeux pour venir perler à mes cils. La douleur est saisissante, violente, presque insoutenable. Pourtant, je ne bouge pas. C'est une souffrance nécessaire, vivifiante, totalement libératrice. Elle est là parce que c'est ce que je veux, parce que je l'ai choisi. Là est la nuance et c'est ce qui fait toute la différence. Les relents de chair brûlée envahissent peu à peu mes narines. Je retiens aussitôt ma respiration pour m'extraire à cette odeur. Il est hors de question que je laisse le moindre de mes souvenirs venir gâcher ce précieux moment. Après un temps qui me semble à la fois excessivement long et infiniment court, je sens le fer quitter mon épiderme. Par réflexe, mes doigts glissent immédiatement derrière mon oreille, pour rentrer en contact avec la peau lissée, boursoufflée et encore tiède. Je caresse distraitement ma marque, un sourire béat se fiche alors sur mon visage, trahissant mes émotions. C'est une sorte de renaissance. Car en cette nuit commence le premier jour du reste de ma vie.
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Invité
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Lun 6 Jan - 0:29
Votre histoire
« Appartenir à l'Histoire, c'est appartenir à la Haine »
Un petit mot:
Il paraît qu'on a le droit de rédiger notre histoire sous la forme d'une liste de courses, alors ...
L'esprit passablement embrumé par les quelques bières que je me suis enfilé un peu plus tôt dans la matinée, j'ai finalement pris la décision d'aller faire quelques courses. Prendre un peu l'air me fait un bien fou mais je dois admettre que j'aurai trop de mal à affronter la fourmilière Londonienne sans un certain taux d'alcool dans le sang. C'est donc avec un caddie en mains que je passe les portes coulissantes du magasin. Le trop plein de monde présent sur les lieux me donnerait presque envie de faire aussitôt demi tour. Pas que je sois particulièrement agoraphobe mais après l'Enfer que j'ai vécu, mon niveau de sociabilité a fortement chuté. Hors de question de me défiler pour autant et après avoir pris une grande inspiration, mon chemin se poursuit. Le brouhaha environnant me martèle déjà le crâne alors que je m'engouffre à peine dans les premiers rayons. J'ai l'impression que chacune des personnes que je croise me regarde de travers et je ne saurais dire si c'est vraiment le cas ou simplement dû à la parano. Peut-être un peu des deux. Au pire je les emmerde, c'est pas comme si j'avais pas pris l'habitude depuis que je passe le plus clair de mon temps dans un état second. Bref, ma liste. Je sais même plus ce que j'en ai fait. Mes mains partent en quête du bout de papier, d'abord dans les poches de ma veste puis finalement dans celles de mon jean. Quand je parviens enfin à mettre la main dessus, il me faut encore me battre avec un petit moment avant de réussir à la déplier correctement. Mes yeux accrochent tout de suite le premier mot de l'index. Jus d'orange. Ça tombe bien, les boissons sont juste à côté. Je fais rouler le chariot jusqu'au rayon souhaité et m'empare de l'une des bouteilles, d'un geste plus approximatif que je ne l'aurais souhaité. Le verre me glisse aussitôt des doigts pour s'écraser au sol dans un bruit sourd.
« Le gobelet de Maman lui échappe des mains pour faire naître sur le carrelage une flaque d'un orange vif, tandis que mon frère jumeau déplie sa lettre avec fébrilité. Le cachet de cire qui fermait l'enveloppe encore quelques instants plus tôt ne laisse aucun doute sur l'origine de l'expéditeur. Sebastian est pour l'instant bien trop absorbé par la lecture de son admission à Poudlard, pour s'apercevoir du petit manège qui se passe pourtant juste sous son nez. Papa me scrute des pieds à la tête comme s'il me voyait pour la première fois, tandis que Maman semble tout simplement figée par l'horreur. Les signes étaient pourtant annonciateurs. En onze ans, pas la moindre trace de magie, ne serait-ce qu'un soupçon. Mais les parents ont souvent cette fâcheuse tendance à jouer la politique de l'autruche lorsqu'il s'agit de leur progéniture. On a beau avoir fraîchement débarqué d'Amérique, certaines coutumes sont capables de traverser même un continent. D'autant plus pour une famille de Sang-Pur telle que la nôtre, fièrement ancrée à ses traditions et bien incapable de concevoir qu'un membre de la lignée ne puisse être un Sorcier. Pourtant, l'évidence est là. L'estomac noué et la gorge serrée, je prend peu à peu conscience que je n'étudierai jamais dans cette école de Magie. Ce que je ne sais pas encore cependant, c'est que d'ici quelques jours, je n'appartiendrais tout simplement plus à ce monde ni même à cette famille. »
Dire que pendant près de seize ans, j'ai eu la naïveté de croire que toute cette histoire était loin derrière moi. Un triste souvenir certes, mais que je refusais de voir me freiner de quelque façon que ce soit. Dans un sens, leur abandon m'a même poussé à vouloir prouver au monde entier que personne et surtout pas eux ne m'empêcheraient d'avoir une vie épanouie, pleine des joies et des tracas du quotidien. Enfin ça, c'était avant. - Monsieur ?! Je me retourne subitement pour faire face à l'inconnue qui vient de me ramener si brutalement les pieds sur terre. Une femme à la peau laiteuse et aux traits alourdis, le visage entouré d'une masse de cheveux noirs de jais. Je l'observe d'un œil un peu vitreux, l'air incrédule. Serpillère en mains, elle tente de faire disparaître les preuves du carnage que je viens de causer. Elle ponctue sa tâche à grands renforts de soupirs indignés et d’œillades à la limite de la pitié, coupant net toute envie que j'aurai pu ressentir de vouloir m'excuser ou même de l'aider à réparer ma bêtise. - Oui bah ça va, j'ai pas fais exprès ! Voilà que cette conne prend désormais un air outré. Elle croit peut être que je l'ai pas vu venir, à me juger comme si j'étais rien de plus qu'un vulgaire pochtron ?! De quoi elle se mêle et de quoi elle se plaint surtout ? Il est presque midi et je suis encore capable de marcher droit, franchement ça aurait pu être pire. Non mais les préjugés, je vous jure. J'attrape deux bouteilles de jus que je pose négligemment dans le chariot avant de continuer ma route, sans même un dernier regard pour l'autre emmerdeuse. Mon mémo m'indique la prochaine étape : les fruits. L'étal est plein de tout un tas de couleurs et saveurs, aussi diverses que variées. C'est à cœur joie que je commence à me servir un peu partout, jusqu'à tomber sur une promotion pour les cerises. J'en pioche une que je me fourre aussitôt dans le gosier.
« La bouche pleine à craquer, les dents heurtant les noyaux et le menton dégoulinant d'un jus violacé, mes papilles se délectent du dessert du jour. Je crois que je serais capable de me nourrir presque exclusivement de fruits, si j'en avais la possibilité. Assis face à moi, Keith se paye tranquillement ma tête tout en déposant sa part sur mon plateau. Mes yeux se mettent aussitôt à luire d'une reconnaissance infinie. Âgé de deux ans de plus que moi, ça ne l'a pas empêché de me prendre sous son aile dès mon arrivée au foyer. L'un délaissé par un père devenu alcoolique qui s'est retrouvé bien incapable de s'occuper correctement de son rejeton après que sa femme ait été emportée par un cancer, l'autre laissé pour compte par des parents tout à fait aptes à l'élever. L'abandon, c'est sans doute ce qui nous a rapproché dans un premier temps. Ces quatre années passées à ses côtés m'ont permis d'apprendre une chose essentielle. La famille n'est pas toujours celle qui nous a vu naître, on peut parfois la choisir et c'est exactement ce qu'on a fait, lui et moi. Par les liens du cœur, nous avons outrepassé ceux du sang. Il est mon frère et je sais que ça ne changera pas, même une fois qu'on aura atteint la majorité et quitté ce trou à rats. »
Quelle putain d'ironie. J'étais encore trop jeune à l'époque et trop naïf aussi sans doute, pour me rendre compte que certaines cicatrices sont capables de changer un homme. Radicalement. Keith a bien essayé de me sortir la tête de l'eau durant ces presque deux dernières années. C'était pourtant déjà trop tard. Je me suis peu à peu noyé dans les abysses de la haine et de la soif de vengeance. Il est impossible d'aider quelqu'un qui refuse de s'en sortir. Et comme pour me rappeler à cette réalité, l'une de mes mains se faufile à l'intérieur de ma veste, dans laquelle se trouve une poche rembourrée. Mes doigts glissent un instant le long du Beretta qui y est rangé. Ce flingue ne me quitte jamais. Certains pourraient assimiler ça à de la parano, il est pourtant impensable que je prenne à nouveau le risque de me faire prendre par surprise par ces malades et leurs baguettes magiques. Savoir que j'ai constamment sur moi un moyen de riposter est tout ce que j'ai trouvé pour me sentir un temps soit peu en sécurité. Un instant plus tard, ma main se referme finalement sur l'objet de ma convoitise. J'en sors une flasque que je secoue légèrement, pour constater qu'elle est déjà bien entamée. Il faudra que je pense à la remplir. Je dévisse le bouchon pour en boire aussitôt quelques gorgées. Le goût du Whisky envahit instantanément ma bouche et me brûle la trachée. Le flacon retrouve sa place initiale après quelques lampées supplémentaires. Bon, j'en étais où ? Ah oui, les légumes. Parfait, c'est dans la même zone que les fruits et ça m'évitera donc les allers retours inutiles. Je prends le temps de réfléchir à ce que je pourrais essayer de cuisiner dans les jours à venir, avant de jeter mon dévolu sur quelques ingrédients. Une envie de fishcake me prend au moment où je m'empare d'un filet de patates.
« Mes dents arrachent un morceau de la galette de pommes de terre accrochée à ma fourchette. A la tête que tire Keith qui lui a déjà goûté, je me doute que ce premier essai n'est pas fameux. Tandis que je mâche, j'ai tout le loisir de constater que la croûte est trop cuite et le saumon à l'intérieur également. Ça manque cruellement de sel aussi. Je repose le tout dans mon assiette, passablement déçu. Ce n'est certes pas bien grave mais ça a tout de même le mérite d'accroître mon sentiment d'inutilité. Depuis que j'ai quitté le foyer à ma majorité et arrêté mes études par la même occasion, j'enchaîne les petits boulots merdiques et mal payés. Autant dire qu'avec un simple certificat d'études secondaires, je risque d'avoir bien du mal à trouver un travail digne de ce nom. Mais je ne désespère pas pour autant. Et en attendant qu'une éventuelle occasion se présente, Keith m'a gentiment proposé de venir habiter avec lui dans son appartement, en plein cœur de Londres. Alors si au moins j'étais fichu de nous préparer quelque chose de mangeable, ça m'arrangerait. Néanmoins, je me sais suffisamment borné pour savoir qu'avec un peu de persévérance, ça finira par venir. »
Et en effet, ce fut le cas. Sans avoir la prétention d'être devenu un vrai petit cordon bleu, j'ai appris à cuisiner suffisamment correctement pour qu'on puisse enfin cesser de se nourrir de malbouffe et de plats préparés à outrance. Une période financièrement instable mais qui nous aura laissé tout un tas de joyeux souvenirs. Entre les débuts de l'autonomie et les prémices d'une colocation faite pour durer, on entrait tranquillement dans la vie active. Les sorties et les rencontres allaient bon train, les galères aussi. Nos existences respectives prenaient un nouveau tournant et pourtant, nous étions encore inconscients que les années à venir allaient s'annoncer encore meilleures. Quand j'y repense aujourd'hui, je regrette de ne pas avoir chéri plus encore chacun de ces précieux moments. A vrai dire, tout ça est tellement loin désormais que j'ai presque l'impression que c'est arrivé dans une vie antérieure, voir à quelqu'un d'autre. Si je pouvais perdre cette mauvaise habitude à toujours ressasser le passé d'ailleurs, je me rendrai sûrement un fier service. A cette dernière pensée, je prends l'initiative de replonger le nez dans mon listing. C'est parti pour les bonbons, cette fois ci. Voilà au moins quelque chose qui n'a pas changé. Aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours prêté une attention toute particulière aux friandises en tous genres. C'est donc avec un certain intérêt que je parcours les rayonnages, en quête de ces petits plaisirs sucrés. Après avoir trouvé mon bonheur, je pose le caddie dans un coin. Mes yeux s'affolent un instant face au trop plein de sachets aux couleurs vives. A partir de là, le plus difficile va être de choisir. J'hésite un moment et je reviens même plusieurs fois sur mes pas. J'opte finalement pour quelques barres chocolatées, un paquet de réglisses et un assortiments de bonbons. Au moment où je m'apprête à rapatrier mes trouvailles avec le reste de mes courses, mon regard accroche un groupe de petits sachets rayés blancs et verts à l'écriture rouge, assemblés les uns aux autres.
« Je suçote tranquillement une pastille à la menthe au goût particulièrement prononcé, tout en lavant quelques verres. Je passe tellement de temps à mâchouiller ces petites merveilles que même certains clients ont pris l'habitude de m'en ramener lorsqu'ils viennent ici. Un rapide coup d’œil à la salle me permet de constater qu'elle est déjà plutôt bondée malgré l'heure encore pas trop avancée. Les affaires marchent bien et c'est tant mieux. Rien n'était pourtant gagné lorsque un matin, Keith a prit la décision de racheter le bar qui venait d'être mis en vente, situé juste sous notre appartement. Un sacré coup de poker qui, à force d'un travail acharné et de notre volonté sans faille, a fini par porter ses fruits. Sans compter que pour deux fêtards tels que nous, parvenir à mêler l'utile à l'agréable s'est avéré quelque chose de particulièrement réjouissant. Là où Keith semble avoir trouvé sa place dans la direction d'une équipe et la gestion de son entreprise, pour ma part je me sens particulièrement à l'aise au service et au contact de la clientèle. En somme, une équipe soudée et une routine qui commence à être bien huilée. Les années de galère passées ont désormais laissé place à un train de vie au rythme des plus endiablés. Le boulot nous bouffe le plus clair de notre temps mais nous a aussi soudé plus que jamais. Tout va pour le mieux. »
Un sourire désabusé prend forme aux coins de mes lèvres. Ces moments font indéniablement partie des plus beaux que j'ai vécu. Quand je prends parfois le temps d'y réfléchir, je me dis que les instants que je passe à planer complètement ne sont qu'un moyen d'essayer de retrouver cette insouciance perdue. Néanmoins, les méandres de la toxicomanie ont un peu l'effet d'une grande loterie bien hasardeuse. Ça peut tout aussi bien marcher qu'avoir l'effet inverse, au petit bonheur la chance. Et la vie m'a déjà tristement prouvé que je ne suis pas du genre gagnant à ce petit jeu là. Et comme si le destin souhaitait me rappeler cet état de fait même dans le plus insignifiant détail, je m'aperçois soudain que j'ai paumé ma liste. A peine ai-je le temps de fouiller chacune de mes poches que je sens quelqu'un tirer sur ma veste. Je me fige un instant en maudissant l'abruti qui se permet d'avoir l'audace d'empiéter ainsi sur mon espace vital. Quand je me retourne cependant, je ne vois personne. - Tiens Monsieur ! Un gamin d'une dizaine d'années à la bouche entachée de chocolat me tend la main. Au creux de sa paume se trouve un bout de papier tout chiffonné. Je me saisis de ce que je devine être ma liste de courses récemment égarée, lorsqu'une femme fait irruption à nos côtés. Ses traits sont suffisamment similaires à ceux de l'enfant pour que je comprenne qu'il s'agisse certainement de sa mère. - William, je t'ai déjà dis d'arrêter de parler à n'importe qui ! Elle me toise d'un œil noir avant d’attraper son môme et de faire demi tour. Je m'apprête à laisser fuser tout un tas d'insultes à son égard mais je me retiens finalement. Si moi même j'avais des gosses, je n'apprécierai sans doute pas non plus de les voir tourner autour de parfaits inconnus. Tout particulièrement lorsqu'ils empestent l'alcool dans un rayon de presque un mètre. C'est donc sans tenir davantage rigueur à cette mère protectrice que je continue mon chemin en direction des gels douche. Lorsque j'arrive dans le bon rayon, un type visiblement l'esprit ailleurs, me bouscule par inadvertance. Notre proximité soudaine laisse tout le loisir à mes narines d'inhaler les fragrances de sa transpiration.
« Les effluves de ma propre sueur me prennent au nez, rendant plus difficiles encore mes misérables tentatives à reprendre mon souffle. Le corps et l'esprit ravagés par la souffrance, je tente malgré tout de me redresser. Grossière erreur. Un énième sortilège de douleur me frappe de plein fouet, ma voix rendue rêche et rauque par tous mes hurlements retentit contre les murs. Mes doigts ensanglantés griffent contre le sol de pierre, dans une vaine tentative de se raccrocher à quelque chose, n'importe quoi qui pourrait me permettre de tenir bon. Rien ne serait pourtant capable d'apaiser cette torture. Je ne saurais plus énumérer le nombre de fois où je leur ai crié, pleuré, supplié de m'achever. Mais il faut croire que la mort est pour ces fanatiques une fin bien trop douce et rapide, à laquelle ils semblent préférer une lente et sinueuse agonie. Les yeux révulsés et les membres parcourus de soubresauts incontrôlables, je prie le Ciel et aussi l'Enfer d'avoir la Grâce de mettre un terme à cette misérable existence. Lorsque mes tortionnaires paraissent finalement se lasser de leur jeu malsain, je comprend qu'aujourd'hui encore, mon souhait ne sera pas exaucé. On me traîne dans une pièce voisine, en compagnie d'un tas d'autres malchanceux. Certains sont là depuis plus longtemps que moi, d'autres viennent à peine d'arriver. A vrai dire, je ne sais ni comment j'ai atterri ici, ni depuis quand j'y suis. Ça pourrait faire quelques jours, comme des semaines ou bien des mois. Un frisson de dégoût me parcours l'échine, un hoquet entrave ma gorge et je me penche en avant pour laisser la bile s'échapper de mes lèvres en flots discontinus. Les émanations humaines sont encore plus présentes ici. Écœurantes, nauséabondes, ignobles. Ces malades nous traitent pire encore que des moins que rien. »
Je me jette sur les produits proposés, comme s'il s'agissait d'une sorte de besoin compulsif. Et c'est exactement ça. Savons, shampoings, déodorants, crèmes pour la peau ... tout y passe. Il paraît qu'un simple détail à la capacité de faire ressurgir le pire des traumatismes. En ce qui me concerne, ce sont les odeurs. Lorsque Ange, Amber et moi avons réussi à nous échapper et à fuir ce cauchemar, j'ai passé des heures entières pendant des jours, sous la douche à me frotter au point de m'en écorcher la peau. Sans doute dans le fol espoir au fond, de faire disparaître ces souvenirs insoutenables au même rythme que la crasse. Mais on ne guérit pas un esprit malade avec la même facilité qu'on désinfecte une plaie. Plus d'un an après pourtant, cette obsession ne m'a toujours pas quitté. Dire que si j'en suis là aujourd'hui, c'est à cause de mes foutues origines et de cette putain de famille. J'ai pourtant vécu parmi les Moldus presque toute ma vie et par mon absence totale de magie, c'est un peu comme si j'en étais un moi même, dans un sens. Quelle cruelle amertume de me rendre compte que mon passé a finalement décidé de me rappeler à lui de la plus sordide des façons. Il semblerait d'ailleurs que mon esprit tourmenté ai besoin de se changer les idées. D'un geste un peu bourru, je me saisis de ma flasque une nouvelle fois et vide d'une traite ce qu'il reste de son contenu. Une grimace me tord le visage au moment où je me fais la réflexion que ce ne sera clairement pas suffisant. Pas de panique cependant, après tout je suis dans un des meilleurs endroits possibles pour me ravitailler. Je commence alors à zigzaguer avec mon chariot dans la direction souhaitée, lorsque le stand pharmaceutique me coupe dans mon élan. Avec tout ce bordel, j'en aurais presque oublié la pommade que j'avais pourtant bien noté sur mon mémo. Je jette un rapide coup d’œil aux différentes marques avant de m'emparer du tube que je cherche.
« Les membres endoloris par l'effort, je tâche d'appliquer scrupuleusement la pâte à l'odeur médicamenteuse sur mes muscles courbaturés. En venant gonfler les rangs du Blood Circle, j'étais loin de m'imaginer qu'on aurait le droit à un entraînement aussi intense. A l'époque, j'étais trop aveuglé par mon envie d'exterminer chaque Sorcier que j'aurais l'occasion de croiser pour voir plus loin que le bout de mon nez. Depuis, j'ai bien eu le temps de comprendre que de se débarrasser de ces salopards armés de leurs bâtons destructeurs ne se ferait certainement pas en claquant des doigts et demanderait même beaucoup de préparation. Mes vices se sont d'ailleurs avérés être de sacrées lacunes et m'obligent à travailler deux fois plus. Je manque tellement de souffle que je peine à courir plus de quelques mètres sans commencer à cracher mes poumons. Mon endurance quand à elle, laisse tellement à désirer que je peine à tenir un combat au corps à corps plus de quelques instants. L'avantage au moins, c'est que je suis souvent bien trop imbibé d'alcool pour songer à contrôler ma force et ça m'aide aussi à encaisser les coups. Pour les même raisons, il se trouve que je manque cruellement d'équilibre et de précision. Fort heureusement pour moi, je m'en sors plutôt bien avec les armes à feu. Quand je n'ai pas trop les mains qui tremblent, en tous cas. Plus qu'une réelle maîtrise, il semblerait que ce soit quelque chose de plutôt inné. Assez ironique de constater que j'ai tout l'air d'avoir ça dans le sang. Pas de quoi se réjouir pour autant puisqu'à côté de ça, il reste encore du travail. »
Et même beaucoup de travail. Les attaques survenues quelques mois plus tôt à Poudlard par notre groupe ont prouvé à tous que nous ne reculerons devant rien. Ce n'est clairement pas le moment de se relâcher, bien au contraire. Cette lutte n'aura de cesse que le jour où le dernier Sorcier à peupler cette planète rendra son ultime soupir. J'ai peut être l'air d'un malade complètement extrémiste mais mon petit séjour en Enfer m'aura au moins appris une chose : la magie c'est la puissance et le pouvoir, rien n'est plus dangereux. Par conséquent, chaque possesseur d'une baguette magique est un potentiel Mangemort en devenir. Le but est donc de tous les éradiquer. Tandis que je me laisse aller à mes idées noires, je m'arrête ce coup là face aux différents alcools. Ce dernier mot n'est certes pas noté sur ma liste puisque dans tous les cas, il me paraît évident de m'y rendre. Et puis comme je l'ai déjà souligné, j'ai besoin d'un remontant. Sans la moindre hésitation, j’attrape une bouteille du même Whisky que contenait ma flasque, je l'ouvre et j'en bois une bonne rasade, pour étancher ma peine autant que ma soif. Un type s'approche alors de moi, à sa tenue je me doute que c'est un vigile. Je soupire bruyamment, conscient qu'il n'est pas arrivé là juste par hasard et qu'il me suit même sans doute depuis un moment. - Je suis désolé Monsieur mais vous ne pouvez pas boire ici. Surtout, ne pas faire de vagues. Ce serait franchement dommage de me faire jeter hors du magasin alors que je suis sur le point de passer en caisse. D'un geste aussi mesuré que le permet mon taux d'alcoolémie, je visse le bouchon et dépose le Whisky au milieu de tout mon bordel. Sans quitter le gardien des yeux, comme pour lui prouver que j'ai pris en considération ce qu'il vient de me dire et peut être un peu par provocation aussi. Je m'éloigne un peu pour récupérer un pack de bières qui s'en va ensuite rejoindre le reste de mes courses. Je prends un moment pour détailler le rayon avant de finir par jeter mon dévolu sur une bouteille de Rhum.
« Je me déverse un peu de Rhum dans le gosier avant de trouver le courage de frapper à la porte. Pas de réponse. Je cogne un peu plus fort. Toujours rien. Je tambourine comme un forcené. Visiblement, il n y a personne. Je grogne de dépit et me laisse tomber par terre. D'habitude, Ange est toujours là quand j'ai besoin de lui. Et aujourd'hui c'est le cas, sans doute plus encore que d'habitude. Je fouille un peu partout de façon hasardeuse, à la recherche de mon portable. Quand finalement je le trouve, je m'aperçois que ce crétin de Keith a essayé de m'appeler au moins dix fois. Keith, le seul à qui j'ai eu le courage à l'époque, de tout raconter dans les moindres détails. Et cet enfoiré se permet quand même de me virer, sous prétexte qu'il m'a surprit en train de snifer de la coke pour la énième fois dans un coin de la réserve. Le pire c'est que quand j'ai été récupérer mes affaires, il a eu le culot d'essayer de me retenir. Cet imbécile est inapte à se rendre compte que ce n'est pas d'un bon samaritain dont j'ai besoin mais tout simplement de quelqu'un capable de me comprendre. Et les seuls à en avoir la capacité sont Ange et Amber, parce qu'ils ont vécu la même chose. Résultat, me voilà désormais sans travail et sans domicile en plus de ça. Putain, je me sens tellement une merde. C'est alors que des bruits de pas attirent mon attention. Je me précipite dans les escaliers, je me vautre et j'atterris lourdement en bas des marches, aux pieds de Ange. Qu'est-ce que je disais ?! Tellement pathétique. Je lève vers lui des yeux rongés par la détresse. Il m'aide à me relever et me traîne à l'intérieur, sans un mot. »
Cette nuit là, il s'est débarrassé de ma bouteille, m'a fait couler un bain et m'a même servit un chocolat chaud. Méthode implicite pour me suggérer de calmer le jeu pour ce soir ? Incontestablement. Certes inutile mais je n'ai pourtant pas bronché. Je le connais suffisamment depuis le temps pour savoir que sa prochaine somation se serait passée bien moins en douceur. Le jeu de mot va paraître un peu facile mais ce type est clairement mon Ange gardien. Sans lui, je serais à la rue à l'heure qu'il est. Notre cohabitation n'est pas simple mais je ne lui en suis pas moins reconnaissant. Il serait temps que je rentre d'ailleurs. Après avoir jeté un dernier coup d’œil à ma liste pour m'assurer que je n'ai rien oublié, je passe en caisse. Le vigile me suit de loin et je doute qu'il me lâche avant que je sois sorti de la boutique. Je me pose dans l'une des files et attend patiemment mon tour. Quand finalement c'est le cas, je marmonne un vague « Bonjour » à la caissière, je paie mes articles puis je me tire de là sans me faire prier. Après avoir rangé mes courses dans le coffre et mon caddie à l'endroit prévu pour, je monte dans la voiture. Sans avoir oublié de prendre avec moi la bouteille de Whisky déjà entamée, dans laquelle je puise à nouveau quelques gorgées, avant de la poser sur le siège passager. J'ai besoin de quelque chose d'un peu plus efficace pour aider à faire passer le début de cette journée déjà bien foireuse. Je tâtonne dans la boîte à gants à la recherche d'un peu de MDMA. Cette merde a tendance à me rendre un peu trop tactile mais a au moins le mérite de me pousser à l'euphorie. Néanmoins, je ne trouve rien d'autre qu'un peu de beuh. Tant pis, va pour un pétard alors. Je me roule un joint que j'allume aussitôt derrière. J’attrape ensuite mes lunettes de soleil que je me fourre sur le nez pour tenter de camoufler un peu ma sale tronche. Puis je démarre tout en priant pour ne pas croiser les flics.
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Invité
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Lun 6 Jan - 6:15
Bienvenue parmi nous ^^ Bon courage pour ta fichette
William déteste déjà ton perso mais j’imagine que la réciprocité sera de mise ^^
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Lun 6 Jan - 7:19
Bienvenue par ici ! J'ai hâte de voir ce que tu vas nous pondre Ne t'en fais pas, Amber est plus sympathique que William... quoique...
Adèle de Lestang
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Métier : Etudiante en médicomagie
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Lumos Je rp en : #666699 Mon allégeance : Neutre
Lun 6 Jan - 9:49
Bienvenue parmi nous!
Oui bon la fiche c'est parce qu'on est sadique, on aime bien enfoncer le clou! La couleur euuuuuh Bon courage pour ta fichette en tout cas!
There's been trials and tribulations You know I've had my share I know exactly where I'm going Getting closer and closer every day ♛ by wiise
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Lun 6 Jan - 10:06
Copain de haine des sorciers
BC tous les deux et l’envie d’éradiquer tous les sorciers de notre belle planète... il nous faudra un lien
Bienvenue aussi, sinon
Invité
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Lun 6 Jan - 10:14
Un cracmol Ahah contrairement à Willou, mon perso est déjà fan du tiens (fan des cracmols au rapport)
Bienvenu
Raphaël Millet
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Métier : Livreur dans un fast food
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Lumos Je rp en : 0066ff / Anglais - #00ffff / Français Mon allégeance : La paix
Lun 6 Jan - 14:37
Coucou ! Un membre du Carcmol Circle, j'ai hâte de voir ce que ça va donner Bienvenue à toi
Spoiler:
Sélénya Macmillan
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Métier : Zoomage, employée de Ludivine
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Lumos Je rp en : #ff9900 Mon allégeance : L'ordre du phénix
Lun 6 Jan - 16:56
Il y à des questions comme "sang-pur/sang-mêlé/né-moldu" qu'il n'y à pas dans la fiche moldue, du coup c'est pour ça que ça nous semble plus logique qu'un cracmol prenne une fiche sorcier ^^
Bienvenue officiellement parmi nous (ici Dimka que tu as eu par mp )
Je te souhaite encore courage pour ta fiche, hâte d'en découvrir plus
☽☽ Aujourd'hui mon coeur est un phare qui éclaire l'obscurité et je l'allumerai pour toi je ne l'éteindrai jamais ☾☾
(c) champi
♥:
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Lun 6 Jan - 20:58
Bienvenue ici Tu ferais presque l'unanimité pour un cr... Un cracm... J'espère que tu t'amuseras bien parmi nous Tu vas avoir beaucoup de boulots pour tous nous dégommer
Bon courage pour ta fiche, hâte d'en lire plus
Soledad Velasquez
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Métier : Co-gérante du Witches Bazaar et diseuse de bonne aventure au cirque Neverland sous le pseudonyme de "La Catrina". Intervenante occasionnelle aux cours de divination à Poudlard. Sorcière accréditée auprès du Ministère de la magie.
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Lumos Je rp en : #9999FF Mon allégeance : L'Ordre du Phénix, ma famille & Doryan
Lun 6 Jan - 22:58
Bienvenuuuue
Un cracmol du BC ! Alors ça c'est intéressant et ça promet de mettre nos persos dans la merde
Bon courage pour ta fiche, j'ai hâte de voir ce que tu nous réserves
— And all the pieces fall right into place
So it goes I'm yours to keep and I'm yours to lose
Invité
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Jeu 9 Jan - 23:40
Bienvenue par ici ! J'ai bien hâte de lire le reste de ta fiche
Invité
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Jeu 9 Jan - 23:43
Bienvenue
Robin D. Kane
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Lumos Je rp en : crimson Mon allégeance : Blood Circle
Ven 10 Jan - 13:58
J'ai oublié de passer ici. Ça doit être la fatigue de me remettre dans la routine post-fêtes.
Bienvenue !!!!!
Le BC t'accueil avec joie et respect. héhé J'aime déjà ta fiche et j'ai hâte d'en savoir plus. Déjà, il nous faudra un lien. Robin est le fils du PM.
EDIT : J'ai aussi peut-être du louper un truc par rapport à la couleur comme Alex en parle dans sa fiche, mais pourquoi Eury est mauve ? Namého.
we all need heroes
Être un héros est une tâche difficile et trop souvent décriée dans l'arrogance. Pourtant, oh combien on a besoin de héros de nos jours. J'aimerais être un héros pour les citoyens britanniques. Je veux me faire le protecteur des gens.
anaphore
Invité
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Sam 11 Jan - 10:13
J'espère pouvoir bientôt te voir à l'oeuvre, Alexander ^^
@Robin D. Kane C'est parce qu'Eury est une sorcière qui a prêté allégeance au BC, simplement... j'imagine que le jour où le BC se rendra compte qu'elle est une sorcière, elle va bien douiller (c'est ça, le masochisme).
Invité
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Sam 11 Jan - 13:53
Bienvenue !
Invité
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Mar 14 Jan - 1:51
@William Ombrage : Merci à toi ! Effectivement, je pense qu'on risque d'être sur la même longueur d'onde ...
@Amber Towsen : Merci bien Je tâcherai de m'en souvenir
@Adèle de Lestang : Merci beaucoup Enfoncer le clou, tu dis ? Mais c'est pourtant moi qui ai l'intention de vous crucifier sur la place publique Pour la couleur je peux vous payer si vous voulez faites comme vous le sentez !
@Eurydice McAvoy : Keupine de la soif de vengeance Avec plaisir pour le lien Et merci pour l'accueil
@Robin D. Kane : Je te pardonne Certains mettent plus de temps que d'autres à s'en remettre ! Merci merci Quel accueil ! Pour le lien ce sera avec plaisir, Mr le fils du Premier Ministre
Me payer? Han la la tentative de corruption! Mais genre je pouvais avoir des macarons? Sinon j'ai beaucoup aimé ta fiche! Franchement la liste de courses chapeau! C'était super cool à lire! Bon euh ben du coup la couleur, je te mets quand même chez les sorciers
Bienvenue chez les ...
Sorciers
Félicitation à toi te voilà fraîchement validé !!!
Tu vas pouvoir parcourir le forum de fond en comble et pouvoir rp à gogo ! Nous te conseillons tout de même de passer ouvrir ta fiche de lien et aussi ton hiboux afin de recevoir ton courrier. N'oublie pas de remplir ton profil, si un lieu te manque où si tu souhaites obtenir ton logement, c'est par ici que ça se passe. Tu peux dès à présent remplir ce formulaire après d'ajouter ton personnage dans l'annuaire des personnages du forum, et comptabiliser tes points de combat. Afin de t'intégrer au mieux sur le forum, tu peux participer à ces petits défis exclusivement réservés aux nouveaux. Tu peux également demander d'être parrainer sur le forum, pour obtenir un parrain ou une marraine, rendez-vous sur ce sujet N'hésite pas aussi à te détendre dans la partie flood et même à venir nous faire un petit coucou sur la chat box Si tu as une question ou même une suggestion tu peux venir dans ce sujet et n'oublie pas que nos boîtes à mp sont toujours ouvertes
Amuse-toi sur GoB !!!
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Mer 15 Jan - 23:31
Han bah zut alors ! Pas de marron pas de macarons !!
Merci du compliment c'est super gentil Et merci à vous de m'avoir innocemment soufflé l'idée
Pas de soucis pour la couleur, je me vengerais en RP ! Et merci pour la validation !
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