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Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes,
alors pensez à les privilégier pour vos personnages


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Mathilde Dumont Ϟ La fleur en bouquet fane et jamais ne renait :: Three Broomsticks :: Pensine :: Fiches anciens membres
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Dim 13 Jan - 19:51
Mathilde Dumont
« Ft. Lucy Hale Ϟ Crédit gif »
Quelle est votre allégeance ?
Développer quel camp votre personnage a choisi de rejoindre : Que pense-t-il de cette bataille en sous-main ? A-t-il un avis sur les moldus, les sorciers ? Que pensez-vous de la pureté du sang ? Etes-vous investi, impliqué ?
Je n'ai strictement rien contre les Moldus. Ma grand mère paternelle était une Moldue, cea ne l'a pas empêché d'avoir un fils merveilleux ! Oui, mon père est quelqu'un de merveilleux et puis c'est tout. Je n'ai pas pu m'impliquer dans les conflits jusque là et actuellement, je tente de m'en tenir à l'écart autant que faire se peut. Cela ne m'empêche pas de soutenir l'ordre du Phénix.
Je n'aime pas particulièrement tous ces conflits. Sans doute parce que les mangemorts prônent la pureté du sang et que c'est justement à cause de cette manière de penser que la famille de ma mère nous a rejeté.
« Petite citation »


Derrière l'écran
Pseudo ϟ Nekojune
Age ϟ 24 ans
Scénario ou inventé ϟ Ancien scénario, remanié pour convenir au contexte
Comment as-tu connu le forum ? ϟ La prof anciennement danseuse anciennement Auror et... Le roi des connards  Mathilde Dumont Ϟ La fleur en bouquet fane et jamais ne renait 3591612274
Dernier mot ϟ Pistache

« crédit Nekojune »
Carte d'édudiant n° xxxx
Le nom de ma famille est Dumont et mes parents ont décidés de me nommer Mathilde enfin juste ma mère puisque mon père n'a pas su mon existence avant un moment. Je suis née le 9 juillet 2000 dans cette belle ville qu'est Paris en France, ce qui fait que je suis aujourd'hui âgée de 18 ans. Je suis une sorcière et de ce fait le sang qui coule dans mes veines fait de moi une sang mêlé. Ma famille est plutôt dans la moyenne sans être de la petite bourgeoisie et nous vivons à Londres. Je suis dans une situation compliquée qui me porte à croire que je suis célibataire aux dernières nouvelles et d'ailleurs, j'ai une préférence pour les garçons Je suis une élève de Poudlard et je suis en 1ere année de Magizoologie et Botanique. Lors de ma répartition le choixpeau à décidé de m'envoyer chez Poufsouffle ou Serdaigle. Je suis un élève plutôt bonne même si j'ai des difficultés dans certaines matières et mes matières préférées sont Les soins aux créatures magique et la botanique. Lorsque j'ai eu onze ans j'ai eu ma baguette magique et celle-ci est faite en bois de frêne avec un cœur de plume de phénix et elle mesure 27,3 centimètres. Elle me permet de faire apparaître un ocelot, une sorte de gros chat sauvage comme patronus. C'est elle aussi qui m'aide à combattre mon épouvantard qui prend la forme du professeur Carrow avec un riddikulus qui le transforme en danseuse étoile portant un sublime tutu rose. Lors du cours de sixième année sur la potion d'Amortentia, elle avait la douce odeur de vieux livres, de chevaux et de rose. Je n'oublie évidemment pas mes rêves et lorsque je me place devant le miroir du rised, je vois un immense dragon qui devient docile à mon contact. Ah j'ai failli oublier, l'être qui m'accompagne aujourd'hui est un chat Munchkin de tout juste six mois, au pelage blanc et crème et il se nomme Bastet. Et pour finir je prête mon allégeance à personne. Je soutiens l'ordre mais ne m'implique pas : je suis neutre
  • Caractère

    Décrivez ici le caractère de votre personnage sous la forme de votre choix ~ (250 mots minimum)

    Ϟ 01. Ϟ Mathilde, c'est la jeune femme douce et gentille, toujours prête à aider. Même quand elle a des soucis, elle les met de côté pour aider les autres.
    Ϟ 02. ϞRéservée, elle ne parle que très rarement de ce qui la touche. Elle choisie soigneusement ses amis et ne se confie qu'à ceux qui lui sont très proches.
    Ϟ 03. Ϟ Elle a très souvent le nez dans un bouquin. Dévoreuse de livre, elle ne rechigne jamais à étudier bien que ses ouvrages préférés soient ceux sur les créatures magique, et plus particulièrement les Dragons. Elle est par ailleurs une bonne élève et a une certaine prédisposition à la Métamorphose
    Ϟ 04. ϞLoyale, elle n'abandonne jamais personne. Elle n'ira pas non plus jusqu'à se mettre tout le monde à dos mais la loyauté et l'honnêteté sont des valeurs qui lui sont chères.
    Ϟ 05. Ϟ Soignée et perfectionniste, Mathilde est quelqu'un de très ordonnée. Elle ne laisse pas traîner les choses pendant des jours et peut recommencer plusieurs fois de suite la même chose, jusqu'à ce qu'elle en soit satisfaite
    Ϟ 06. ϞTêtue et rancunière, elle ne lâche jamais rien. Quand elle estime avoir raison, elle n'en démord pas. Et de la même manière, si elle vous en veut, il faudra de la patience et de la persévérance pour regagner ne serait-ce qu'un semblant de sa confiance.
    Ϟ 07. Ϟ Mathilde a grandi sans son père et sa mère n'était pas très présente avec son travail. Elle a donc grandi d'abord avec Manon puis, à partir de ses neuf ans, entourée de la famille Prewett
    Ϟ 08. ϞLa jalousie est un de ses plus gros défauts. Elle ne l'avait pas forcément dévoilé mais ce trait de sa personnalité ressort de plus en plus depuis qu'elle connait une certaine personne qui a prit une place très importante dans son coeur
    Ϟ 09. Ϟ La jeune femme n'a aucune confiance en elle. Elle doute énormément, de tout et n'importe quoi. Elle en vient même à douter de l'amour de ses propres parents, les derniers événements n'ayant pas vraiment aidé
    Ϟ 10. ϞElle découvre tout juste l'autonomie, loin de ses parents. C'est un moyen pour elle de s'émanciper mais également de s'éloigner des mensonges et des cachotteries qui ont pu exister dans sa famille.
  • Pensine

    Sous la forme d'un rp, veuillez nous raconter un souvenir marquant de votre personnage, quelque chose qui à changer/marqué sa vie à jamais. (350 mots miniumum)

    La rentrée en sixième année approchait à grands pas. J’avais hâte de retrouver tous mes amis et surtout, de pouvoir retrouver toutes les créatures magiques de l’école. Je rêvais de pouvoir travailler par la suite au contact de certaines créatures. Sans doute les Dragons ! Il me faudrait alors partir loin et ce serait sans doute un peu compliqué au départ. J’étais tellement fusionnelle avec ma mère que je ne me voyais pas la laisser comme cela. Certes, elle travaille énormément et j’en ferai sans doute de même en partant. Mais même lorsqu’elle travaille, je la vois tous les jours. Mais les choses allaient pourtant changer bien plus tôt que prévu… Alors que j’étais chez les Prewett, comme chaque fois que ma mère était au Ministère, j’eus droit à une annonce fort sympathique : ma mère venait d’être emmenée à Ste Mangouste et se retrouvait en quarantaine. Il n’en fallut pas plus pour que je m’y rende et que j’annonce que je venais voir Elinor Dumont. J’angoissais, on ne m’avait pas dis pourquoi elle se retrouvait ici. Je savais bien que je n’étais pas abandonnée mais il était inquiétant de se dire que ce soir, elle ne rentrerait pas à la maison… On m’indiqua alors, avant de me mener à elle, qu’elle avait attrapé une éclabouille cérébrume et qu’il fallait surtout que je reste bien derrière la vitre qui nous séparait. Je ne pus m’empêcher de faire une légère grimace. Sans pour autant me renseigner sur les maladies magiques, j’en connais tout de même un minimum. Et sans vouloir la vexer, je ne voulais pas attraper cela.

    Alors que je me retrouvais face à Maman, je lui adressais un léger sourire, qui fut récompensé d’un petit signe de la main. Ce n’était pas forcément plaisant de la voir dans cet état. Mais je savais qu’elle allait vite se rétablir. Seulement, elle avait visiblement quelque chose à me dire. « Mathilde ma chérie, je ne vais pas pouvoir rentrer ce soir à la maison. Et j’ai aussi quelque chose à t’annoncer. » Je l’observais, attendant qu’elle se décide à dire ce qu’elle avait sur le coeur. Mais je ne m’attendais pas à ce qu’elle me parle de mon père. Elle m’annonça alors qu’il était toujours en vie, qu’elle lui avait parlé de moi et même pire, qu’elle lui avait demandé de veiller sur moi. Je ne savais pas comment le prendre. Est-ce que je devais être heureuse d’avoir un père ? Déçue qu’elle elle m’ait menti pendant tout ce temps ? Choquée qu’elle me confie à un inconnu ? Je passais alors les mains dans les cheveux. « Non mais c’est une blague c’est ça ? J’ai un père que je ne connais pas et tu me confies à lui comme ça !? Et si moi je ne veux pas ! » Pourtant, l’année scolaire allait bientôt débuter et ma mère serait largement remise d’ici Noël, période où je pourrais rentrer à la maison. Au lieu de cela, j’avais l’impression qu’elle m’abandonnait et qu’elle voulait tout simplement se débarrasser de moi.

    J’eus alors droit à tout un laïus. Ce n’était pas un abandon mais elle estimait que j’avais le droit de connaître mon père. Elle ne savait pas si elle serait là pour les fêtes de fin d’année, elle risquait de devoir bouger pour les fêtes de fin d’année. Elle me trouva bon nombre d’excuse pour expliquer son geste. Je lâchais alors un léger soupir avant de plonger mon regard dans le sien. « Tu sais quoi maman ? Je vais te faciliter la tâche. Je resterais avec lui, ce James Martell. Comme ça tu seras tranquille, tu n’auras plus à te prendre la tête pour moi. » Et c’est ainsi que je suis partie. Moi qui était habituellement si fusionnelle avec ma mère, une rupture venait de se produire. Je ne voulais pas revenir chez elle avant un bon bout de temps...



Poufsouffle Poufsouffle c'est chez elle ! La patience, le côté travailleur... Aider les autres et être loyale n'est pas juste une devise, c'est une véritable ligne de conduite, un rythme de vie qui est habituel. Les Blaireaux sont sa famille, ceux avec qui elle passe le plus clair de son temps à part une certaine famille.
Serdaigle Les érudits sont là bas. Elle a beau avoir parfois tendance à choisir ses matières (mais qui ne le fait pas après tout ?) elle maîtrise son sujet quand elle parle de quelque chose.
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Dim 13 Jan - 19:52
Chapter I
« J’ai lu dans ton coeur et ton coeur est mien »
Pour comprendre mon histoire, il faut commencer par parler un peu de mes parents.
Elinor Dumont et James Martell étaient tout jeunes quand ils se sont connus. Dans la petite vingtaine, fous amoureux. A cette époque, ma mère était déjà un peu aventurière mais était la douceur incarnée. Certes passionnée de Dragons mais toujours très calme. C’est peut-être ça qui a plu à mon père : sa douceur apparente qui cachait son coeur d’aventurière. Toujours est-il que la famille Dumont ne l’a pas entendu de cette oreilles. Ils ont forcé les jeunes amoureux à se séparer. Seulement voilà, leur amour n’était pas platonique. Preuve en est que je suis là ! Ma mère a refusé de m’abandonner. Ses parents n’ont pas cherché à comprendre et l’ont mise à la porte. Enceinte, avec juste un petit emploi de secrétaire au Ministère. En somme, pas de quoi partir s’installer seule en élevant un enfant. C’est à ce moment que Elinor a changé. Elle est devenue ambitieuse et très protectrice de ses propres intérêts. La chose qui comptait le plus à ses yeux ? Sa situation financière car c’est de cela que dépendait mon bien-être selon elle.

Une chaude journée de juillet, elle est donc partie pour l’hôpital magique. Seule, sans aucun homme pour la soutenir. Elle était forte, elle allait me mettre au monde. Un accouchement long et douloureux. Ma mère hésita à me laisser là et à repartir sans le moindre mot. Pour revenir dans les bonnes grâces de ses parents. Mais ce ne fut qu’une seconde d’hésitation. Il a suffit qu’on me pose tout contre elle. Elle n’a pas pu se résoudre à me laisser là. Peut-être que ma vie aurait été différente. Peut-être que ce sont mes yeux, similaires à ceux de mon père, qui l’ont convaincu de ne pas me laisser dans une autre famille qui ne saurait pas m’élever de la même manière qu’elle…

Chapter II
« La peur d’un nom ne fait qu’accroître la peur de la chose elle-même »
« Du haut de mes cinq ans, je cours dans le jardin comme une petite folle. J’alterne entre la course folle, mon livre d’image et les peintures à l’eau qu’on a bien voulu me laisser. Je sais qu’aujourd’hui, c’est mon anniversaire. Et je sais que maman va rentrer plus tôt et qu’elle fera un gros gâteau au chocolat rien que pour moi. Son amie Manon est là pour me garder, comme toujours. Elle a du mal à me faire tenir en place alors que je sautille partout. Maman refuse de me laisser seule avec une inconnue, elle préfère toujours demander à Manon qu’elle connaît depuis l’école. Elle me l’a dit, Manon et elle était comme des sœurs à l’école ! Moi je n’ai pas de sœur. Mais j’ai Maman qui s’occupe toujours de moi ! »

Avec le recul, en n’ayant plus mes yeux d’enfant innocente, je me dis que ma mère avait juste peur que mon père revienne et m’enlève à elle. Je ne savais pas non plus ce que c’était que d’avoir un père. Je ne connaissais que la maison avec notre jardin et nos rosiers. Mais ce soir là, ma mère était rentrée plus tôt. Elle avait, blottit contre elle, un tout petit chaton aussi noir que le charbon. Je poussais alors un petit cri de ravissement, faisant sursauter la petite boule de poils. Une petite mou se peignit sur mon visage, triste d’avoir effrayé le jeune animal. Il ne fallut pas bien longtemps avant qu’on ne le pose sur le sol. Je m’étais alors installée en tailleur en l’observant. Jusqu’à ce moment où il se décida finalement à venir vers moi, se blottissant contre ma jambe en ronronnant. Avec mon esprit d’enfant, le chaton écopa du nom de Noiraud. A partir de ce jour, il commença à me suivre partout, me réveillant à grand renfort de miaulement et ronronnement au creux de l’oreille et s’installant sur moi dès que je décidais de me lover avec un livre.

Le jour de mes cinq ans fut pourtant un peu plus mouvementé que cela. Nous finissions le repas, Manon était restée avec nous pour l’occasion Maman posa le fameux gâteau devant moi. Elle me demanda alors de faire un vœu. Je fermais fort les yeux et priais le plus fort possible pour que Papa passer la porte et me souhaite un joyeux anniversaire. Mais rien n’arrivant. Avec une petite moi, je tournais alors mon visage de poupon vers ma mère. « Maman… Il est où papa ? Pourquoi il est jamais là pour mon anniversaire ? » Elle fit mine de ne pas entendre mais se rembrunit. On ne parlait jamais de mon père. Je ne savais pas s’il était vivant ou mort, s’il nous avait juste abandonné peut-être. Elle ne décocha alors pas un mot. Je baissais la tête et cherchais alors comment la faire sourire. Rapidement, je courus dans le jardin, trouver une rose qui avait fané depuis peu. Je la vis alors hausser un sourcil mais son visage retrouva tout son éclat, en même temps que la fleur retrouvait ses couleurs. Ma première trace de magie.

Chapter III
« Les conséquences de nos actions sont toujours si complexes, si diverses, que prévoir l'avenir est une entreprise bien difficile... »
« Aujourd’hui, maman m’a annoncé qu’on déménage. Je n’en ai pas forcément envie, j’aime notre jardin avec les rosiers que je dessine de plus en plus souvent. Elle tente de me convaincre que c’est la bonne solution, que je pourrais me faire plein de nouveaux amis. Mais moi je ne veux pas forcément plein d’amis, je veux pouvoir continuer de dessiner et de lire comme je le fais ici. Mais évidemment, tout est toujours question de travail… Maman tente alors de me convaincre qu’en allant là-bas, j’ai une chance d’étudier dans la même école que mon père. C’est la première fois qu’elle semble oser me parler de lui. Si je vais dans cette école, je pourrais sans doute en apprendre plus sur lui ! »

Jamais ma mère n’avait parlé de mon père. Et encore cette fois, elle n’a pas prononcé son nom, elle a juste dit « ton père ». Elle évite toujours de parler de lui. Mais en tout cas, alors que je n’avais que neuf ans, nous avons quitté la France pour le Royaume-Uni. Maman a opté pour la ville la plus proche de son nouvel emploi, Londres. Nous avions de nouveau un jardin quand même, je recommençais à pouvoir dessiner. J’avais tendance à toujours me balader avec un petit carnet et une trousse pleines de crayons. Bon, ce n’est pas pour autant que je pouvais sortir comme je voulais. Maman rentrait toujours plus tôt que quand nous étions en France, comme si elle avait peur de quelque chose. Mais elle a visiblement fait une rencontre sympathique à son nouveau travail. Peu de temps après notre arrivée à Londres, nous sommes allées chez les Prewett. C’est là que j’ai fais la connaissance d’Ethan et de Dawn. Nous nous sommes assez rapidement entendus tous les trois. C’est ainsi qu’il a été décidé que je passerais la majeure partie de mon temps chez eux. Jusqu’à ce que j’entre à Poudlard et même encore un moment ensuite, pendant les vacances, ce fut donc Shelby Prewett qui joua les nounous.

Evidemment, à cette époque je me moquais bien d’où je me trouvais. Maman semblait rassurée et moi je n’étais jamais seule. Ethan a le même âge que moi, Dawn avait deux ans de moins que nous. Un lien presque fraternel s’est créé entre nous trois. Il arrivait même que je me ligue avec Dawn contre Ethan parfois. Un trio inséparable au final. Ethan était devenu mon confident, je considérais Dawn comme ma propre petite sœur. Tout était si naturel ! Nous n’étions que des enfants. Et nous nous amusions follement. C’est lorsque j’étais chez les Prewett que j’ai aussi commencé à peindre et faire de l’aquarelle. Il arrivait même qu’on organise des journées tous ensemble, Prewett et Dumont réunis. J’avais enfin des amis de mon âge.

Arriva finalement l’époque de la rentrée à Poudlard. Maman s’était évidemment arrangée pour ne pas travailler ce jour là. Hors de question de travailler alors que sa petite princesse faisait sa rentrée à Poudlard n’est ce pas ? Sur le quai, j’avais pu retrouver Ethan et évidemment Dawn. Nous avions tous hâte qu’elle puisse nous rejoindre et je lui promis de lui raconter notre année dès que je la retrouverai. Et les années sont passé comme cela. J’ai réussi à m’y faire quelques amis. Un petit groupe inséparable, sans accorder d’importance à la maison à laquelle nous appartenions. Notre temps libre, nous le passions tous ensemble. Mais évidemment, les choses finissent toujours pas changer.

Chapter IV
« On pardonne plus facilement aux autres d'avoir eu tort que d'avoir eu raison »
Peu de temps avant ma rentrée en sixième année, Maman attrapa une Eclabouille Cérébrume. Elle m’a alors prévenu et m’envoya chez les Prewett dans un premier temps. Elle ne voulait pas que j’attrape la même chose puisque c’est quelque chose de contagieux. Je n’ai évidemment pas pu m’empêcher de lui rendre visite à Ste Mangouste. Et dans un éclair de lucidité, ma mère m’a raconté une partie de l’histoire de ma naissance. Elle commença alors à me parler de mon père, un certain James Martell qu’elle avait connu en France. J’avais bien compris qu’elle avait coupé les ponts avec ses parents mais je n’avais jamais su pourquoi. Au départ, je ne comprenais pas pourquoi Maman me parlait de lui. Surtout après tout ce temps. Cela n’avait aucun intérêt puisque je ne le rencontrerai sans doute jamais. Mais je me trompais.

Ce qui asséna le coup fatal ? Que ma mère me dise qu’à la rentrée, il allait s’occuper de moi. Le temps qu’elle se rétablisse. Visiblement elle avait des remords et voulait que je le connaisse, elle m’indiqua lui avoir envoyé une lettre à mon sujet. Je suis alors repartie sans un mot, rentrant chez les Prewett. Le soir même, je ne pu m’empêcher de tout raconter à Ethan. J’avais eu un énorme besoin de me confier. Je ne me voyais pas raconter tout cela à Dawn en revanche, du moins pas tout de suite. Je la considérais comme ma petite sœur et je voulais donc la préserver de cette histoire de famille. Je savais donc qu’à la rentrée j’allais rencontrer mon géniteur…

Grosse surprise, il était enseignant à Poudlard. La première rencontre ne fut pas des plus évidente. Je ne connaissais rien de lui, je ne voyais pas pourquoi je devrais l’approcher. Pourtant, je remarquais des similitudes entre sa physionomie et la mienne. Je ne savais pas trop ce qui avait pu plaire à Maman. Peut-être ses yeux ? En tout cas, ce n’était certainement pas au banquet de rentrée que j’allais l’approche en mode « Hey salut, je suis votre fille ! » Non, je comptais attendre et voir un peu qui il était vraiment. Mais les choses se sont passées un peu différemment. J’étais encore en train de potasser à la bibliothèque. Toujours le nez dans un bouquin concernant les créatures Magiques, de préférence un sur les Dragons. C’est à ce moment qu’il m’a abordé. J’ai donc enfin pu rencontrer mon père. Après quelques mois, j’ai finalement décidé de demander à mon père si je pouvais rester avec lui. Après toutes ces années de cachotteries, je ne voulais pas retourner avec ma mère.

Chapter V
« After all this time ? Always... »
Il est des rencontres qu’on peut faire lors de nos études et qui nous marquent à tout jamais. Niall fait parti de ces rencontres. Certes, nous avions un an d’écart. Enfin quand je dis un an d’écart… C’est plutôt qu’il est arrivé à Poudlard un an après moi alors que nous n’avons en fait que quelques mois de différence. Au début, je n’avais pas forcément fait attention à lui. Mais les choses ont un peu changé lorsque Dawn nous a rejoint également. Nous formions alors un petit groupe soudé. Quatre élèves toujours fourrés ensemble. Mais les relations peuvent évoluer de manière un peu inattendue parfois.

A la Saint Valentin alors que j’étais en sixième année, lassée de voir tous les couples se bécoter dans tous les coins, j’avais décidé de sortir dans le parc du château, pour prendre l’air. C’est là que j’ai pu le croiser, dans un endroit quelque peu reculé où personne d’autre ne venait. C’est à partir de là que les choses ont commencé à changer. J’ai arrêté de regarder l’heure au bout d’un moment, profitant de cet instant et de la magie qu’il avait pu me montrer, créant une magnifique rose alors que je n’aurai pu que raviver l’éclat de la fleur si elle s’était flétrie. Un petit jeu s’est alors installé entre le semi-Vélane et moi. Et c’est de là que nous avons finalement passé la soirée ensemble. Et pendant quelques semaines, plus rien. Comme si aucun de nous n’osait approcher l’autre. J’en ai vaguement parlé à Dawn. Et puis finalement, de nouveaux rebondissements se sont produits. Une petite escapade nocturne a finalement scellé ce début de relation. Pourtant, j’aurai pu ne pas le suivre. Mais j’aimais l’idée de fuir, le temps de quelques heures. Evidemment, les choses ne se sont pas passé à merveille. J’avais miraculeusement retrouvé des écharpes dans mon sac, nous permettant de passer inaperçu au village de Pré-au-Lard. Après quelques péripéties, le début de relation fut initié par le semi-Vélane lui même.

Tout ne fonctionne pourtant jamais comme on le souhaite. Il a fallu dans un premier temps que mon père apprenne cette relation. Ce qui ne s’est pas forcément bien passé. Je vous laisse imaginer, vous avez une fille et vous la trouvez dans les bras d’un garçon. Non, il ne s’est rien passé. Mais la manière dont nous étions installé ne laissait pas de doute quand à la nature de notre relation. Mais si seulement les choses en étaient restées là… Un soir, une violente dispute a éclaté. Je ne sais tout simplement pas d’où tout cela est parti. Je sais juste que Niall a risqué le renvoi. Je sais aussi que ma main en gardera une trace à tout jamais. Au départ, je ne voulais tout simplement plus l’approcher. J’avais peur. Puis je me suis rendue compte qu’il avait disparu. Je suis partie à sa recherche mais j’ai été retenu par deux amies alors que je voulais le chercher dans la forêt interdite. Je me suis alors sentie vide, assez pour demander à Ethan de m’oublietter. Heureusement pour moi, il n’en a rien fait. Mais j’allais devoir apprendre à vivre avec ce vide…

Chapter VI
« Il faut beaucoup de bravoure pour faire face à ses ennemis mais il n'en faut pas moins pour affronter ses amis. »
Après les derniers évènements, je me suis jetée à corps perdu dans les études. J’ai évidemment eu mes examens. Mais je ne m’attendais pas à la suite des évènements. Le professeur James Martell retournait courir le monde. Et je me retrouvais alors seule. Je ne pouvais pas rester éternellement chez les Prewett. Alors après ma septième année, je n’ai pas eu d’autre choix que de retourner vivre avec ma mère. Evidemment, j’en ai un peu voulu à mon père au départ. Mais je ne pouvais pas lui en vouloir de retourner découvrir de nouvelles créatures. J’avais bien compris de qui je tenais ma passion ! Le retour à la maison ne fut pourtant pas des plus tendres. Maman tenta évidemment d’agir comme si rien de tout cela ne s’était produit, comme si je n’avais pas passé deux ans loin d’elle. En rentrant à Londres, je me sentais totalement vide. J’hésitais chaque jour à envoyer un hibou à Niall. Plus le temps passait et plus je me sentais vide, plus son absence se faisait sentir. Je ne l’avais pas revenu depuis le moment où une brûlure c’était incrusté sur le dos de ma main. Ma mère l’a remarqué, je n’en ai rien dis. Petit à petit, je me rendais compte à quel point il me manquait. Je me sentais vide. Et à la fois tellement monstrueuse de l’avoir repoussé comme je l’avais fais...

Pourtant, cette année je n'ai pas d'autre choix que d'avancer. J'ai donc entamé un cursus universitaire, allant contre l'avis de ma mère. Pour le reste... Il n'y a rien de bien différent d'avant. Je suis mes cours, je rentre pour les vacances. Juste que le plus clair du temps, je suis chez les Prewett ou chez les O'Malley, préférant me changer les idées plutôt que de me morfondre dans un coin. Et Niall ? Je n'ai pas repris contact avec lui, tentant de l'oublier. Dans ce genre de cas, il faut bien reconnaitre que la distance entre Poudlard et la partie universitaire est plutôt profitable. Et puis il faut bien faire bonne figure... Alors, j'agis comme si de rien n'était face à la majorité des gens. Mais certains savent. Parce qu'on ne peut pas garder tout cela pour soit.
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Dim 13 Jan - 20:00
La belle Lucy !! Elle est magnifique Mathilde Dumont Ϟ La fleur en bouquet fane et jamais ne renait 1298355429 Mathilde Dumont Ϟ La fleur en bouquet fane et jamais ne renait 3533268422

Mathilde Dumont Ϟ La fleur en bouquet fane et jamais ne renait 3533268422 Mathilde Dumont Ϟ La fleur en bouquet fane et jamais ne renait 470091841
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Dim 13 Jan - 21:50
Oui elle est toute jolie Mathilde Dumont Ϟ La fleur en bouquet fane et jamais ne renait 3533268422
Puis du coup j'ai mis un des derniers vavas que j'ai fais et qui a été aimé en masse Mathilde Dumont Ϟ La fleur en bouquet fane et jamais ne renait 1460222910
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Dim 13 Jan - 22:09


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