Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes, alors pensez à les privilégier pour vos personnages
Quelle est votre allégeance ? Le blood circle est ma nouvelle famille et, dans la théorie, je ferais tout pour eux. Ou plutôt, je ferais tout pour sauver ma peau, et pour le moment, le meilleur moyen d’y arriver, c’est de servir leurs intérêts. Je déteste suffisamment les sorciers et leur arrogance sans comparaison pour me mêler au BC et partager leurs idéaux. Je comprends leur haine, leurs envies de destructions, je les porte en moi également. Je m'y suis fait des amis, plus ou moins, des gens avec qui j'ai envie d'avancer. Mais le moment venu, entre le groupe ou moi, ce sera moi. Entre le groupe et Marius, ce sera Marius. Et entre Marius et moi.... Prions pour qu'on n’ait jamais à choisir.
« Conventionality belongs to yesterday »
Derrière l'écran Pseudo ϟ Jaw Age ϟ Toujours vieille Scénario ou inventé ϟ Inventé Comment as-tu connu le forum ? ϟ J'y joue un astiqueur de balais Dernier mot ϟ J'ai hâte de venir vous pourrir la vie avec Eury la psycho
« avat by Jaw »
Dossier ministériel n°6658
Le nom de ma famille était NKOMO et mes parents ont décidé de me nommer Léandra. Mais comme Léandra est morte, maintenant, le nom de famille est Mc Avoy et le prénom que j'ai moi-même choisi est Eurydice, « la justice sans limite » en grec. Je suis né(e) le 11/04/1988 dans cette belle ville qu'est Pretoria, ce qui fait que je suis aujourd'hui âgé(e) de 31 ans. Je suis une sorcière et de ce fait le sang qui coule dans mes veines fait de moi une sang pur. Lorsque j'étais enfant, je suis allée à l'école de sorcellerie de Uagadou, et j'étais dans la fratrieAlpha Tau Omega, ce qui m'a permis de devenir aujourd'hui propriétaire d’une agence matrimoniale dans laquelle je suis également hôtesse arnaqueuse, même si ça n'a rien à voir avec le schmilblik. Cette situation me permet également de gagner ma vie de manière assez aisée, l'arnaque ça paye vachement bien et de vivre à Londres. Je suis spirituellement engagée, sexuellement célibataire, et je partage plus ou moins ma vie avec Marius, c’est le seul qui est capable de me supporter et d'ailleurs, j'ai une préférence pour tout c'qui bouge et qui est humanoïde, pas de discrimination. Je me suis procurée il y a de ça quelques années, sur le cadavre d’un autre sorcier, une baguette magique de substitution, et elle est faite en bois de néré avec un cœur d'écaille d'okami et elle mesure 32 cm. Elle me permet de faire apparaître un carcajou comme patronus. C'est elle aussi qui m'aide à combattre mon épouvantard qui prend la forme d'un cercueil vivant qui essaye de m'engloutir avec un riddikulus où le cercueil explose dans un feu d'artifice, créant un immense feu de joie. La dernière fois que j'ai pu sentir une potion d'amortentia, elle avait la douce odeur du crâmé ou du feu, ça dépend de mon humeur, de l'acier, et des bonbons harlequins. Je n'oublie évidemment pas mes rêves et lorsque je me place devant le miroir du rised, je vois la race sorcière exterminée pour de bon. Il se trouve que j'ai également une particularité magique, je suis métamorphomage. Ah j'ai failli oublier, l'être qui m'accompagne aujourd'hui est un sorcier du nom de Marius... Non j'déconne c'est un gecko par contre il s'appelle bien Marius. Et pour finir je prête mon allégeance au Blood Circle pour le moment, en tout cas en façade. En vrai, à moi-même, et un peu à Marius, un tout petit petit petit peu.
Caractère
Décrivez ici le caractère de votre personnage sous la forme de votre choix ~ (250 mots minimum)
Manipulatrice ? Je n'aime pas ce mot. Déterminée me convient tellement mieux. Il est vrai que quand j’ai une idée en tête, il est difficile de me faire renoncer, et oui, on peut dire que je suis prête à presque tout pour y arriver. Individualiste, j’admets l’être un peu, mais le monde ne m’a pas tellement laissé le choix. Nul ne survit sans se battre, alors une battante, c'est ce que je suis devenue, un peu par la force des choses, et si cela signifie piétiner quelques personnes au passage, ça ne me refroidit pas.
Idem, je ne suis pas quelqu'un d'extrême, je suis quelqu'un d'entier, et je ne suis pas excessive, je vais juste au bout des choses. Je n'aime pas faire les choses à moitié, encore moins laisser quelque chose d'inachevé. Je commence, je termine. En fait, je termine surtout. On dit de moi que je suis expéditive et... ma foi je ne peux le nier. Je n'aime pas les problèmes, et tout problème qui n'est pas soldé est un problème latent. Alors oui, je préfère achever ceux qui pourraient m'attirer des ennuis. Vous connaissez l'adage non ? Mieux vaut prévenir que guérir.
Farouche, parfois mauvaise diraient certains, je ferai ce qu’il faut pour me protéger et obtenir ce que je désire. Je ne vous conseille d’ailleurs pas de traîner sur mon chemin à ce moment là. J’ai un instinct de survie très développé, écrasant parfois chez moi le bon sens, la compassion ou la pitié. Je suis également LEGEREMENT possessive... Ok, démesurément est généralement l’adverbe employé par mon entourage. Pas de juste milieu avec moi, je dois bien l’avouer : soit je n'en ai strictement rien à carrer de vous et vous regarderai crever à mes pieds sans un regard, soit vous êtes trop important pour moi, suffisamment pour que je n’ai pas envie d'avoir à partager -façon de parler, je ne vais pas décimer tout votre entourage pour autant… mais j’essaierai peut être.
Je ne prétends pas être une personne facile à vivre ou à comprendre, ce serait se mentir à soi-même. Les gens qui essayent de me donner des leçons de morale ou des analyses psychologiques se verront brutalement rabrouées : je déteste qu'on se mêle de ma vie privée. Indépendante à l'extrême, je perçois l'aide des autres comme un signe de faiblesse de ma part, et ma fierté, déplacée selon quelques mauvaises langues, me somme de refuser les coups de main de mon entourage.
Cependant, sous un masque de fer, je suis à mon plus grand regret bien plus sentimentale que je ne veux l'avouer. Je suis même contre toute attente une vraie guimauve, je chouine d'un rien. Même quand je bute des gens, je verse une larmichette, ça me fend l'coeur. La vérité, c'est que je m'attache aux gens, bien malgré moi. Ne comptez pas sur moi pour le montrer ou le dire. Mais au fond de moi, je le sens bien : que ce soit parmi les gens que je manipule, ceux que je menace, ceux que j’utilise... certains d'entre eux percent la carapace. Il me reste à espérer qu'ils ne s'en rendront jamais compte. Du moins pas avant que je ne leur fasse la peau.
Pour le commun des mortels et ceux qui n’iront jamais ou peu au delà de la surface, je suis normalement quelqu’un qui attire la sympathie : débordante d’énergie et de créativité, bout en train, toujours pleine d’idées et de bonne humeur à partager, on dit souvent de moi que j’ai un petit grain de folie. Ceux qui creusent découvrent, souvent à leurs dépends d’ailleurs, que ce n’est pas qu’un grain, plutôt une plage entière…
Par ailleurs, je suis une grande joueuse, et je m’intéresse à tout type de jeux, y compris ceux qui incluent les relations humaines : mentir, séduire, manipuler, que ce soit pour arriver à mes fins ou juste par amusement, je prends mon pied à le faire. J’adore jouer avec les limites, parfois les dépasser, parier, prendre des risques, sentir l’adrénaline monter lorsque ces risques frôlent la réalité...
Qu’est-ce que je peux vous dire d’autre d’intéressant ? Ah, oui, je suis du genre plutôt débrouillarde, et assez bricoleuse. Quand j’étais gamine, j’étais scotchée aux basques de mon grand frère, et il m’a tout appris, ça m’est resté, et ça m’est bien utile au quotidien.
Dernier point, qui peut avoir son importance : depuis l’explosion, j’ai gardé quelques petites séquelles… Disons que je supporte mal les bruits d’explosion et le feu… S’il n’est pas de ma création. Car comme je suis plutôt adepte du concept de “combattre le feu par le feu”, littéralement en l’occurence, j’ai une certaine tendance à foutre le feu un peu partout, en me disant qu’à force d’insister, cette saleté de phobie finira bien par disparaître.
Pensine
Sous la forme d'un rp, veuillez nous raconter un souvenir marquant de votre personnage, quelque chose qui a changé/marqué sa vie à jamais. (350 mots miniumum)
L’explosion m’avait littéralement soufflée, et je m’étais retrouvée projetée contre ce qui était encore un mur il y a quelques instants. La poussière me permettait à peine de respirer, et chaque inspiration me faisait un mal de chien, j’avais dû me fêler une côte dans la bataille, c’était bien ma veine. Ma cheville gauche me faisait elle aussi souffrir, je le sentis en essayant de me redresser, et ça, c’était nettement plus embêtant en pleine fuite. Mais il fallait que je bouge. L’agitation avait retardé les forces de l’ordre, mais ils n’allaient pas tarder à rappliquer.
Je commençai alors à me déplacer à quatre pattes, soulageant ainsi ma cheville tout en me dissimulant au milieu des débris. J’étais encore trop sonnée par le choc pour véritablement réaliser l’horreur qui m’encerclait. Tant mieux, sinon je Je tombai nez à nez consécutivement sur plusieurs cadavres qui me tirèrent tous des grimaces : ce n’était pas joli à voir, mais ce n’était pas le moment de jouer les âmes sensibles. C’était ma peau qu’il fallait sauver, et vite. M’écrochant les genoux sur les décombres je continuai de déambuler un peu à l’aveugle, fouillant au passage les dépouilles dans l’espoir de récupérer une baguette. Je n’avais clairement pas le temps de récupérer la mienne, qui devait être mise sous scellée dans une salle probablement effondrée. Comme tous les étudiants de Uagadou, j’avais appris à faire de la magie sans baguette, mais pour certains sorts plus compliqués, j’en aurais tout de même besoin. J’espérais pouvoir mettre la main sur une baguette pas trop fidèle à son premier propriétaire et qui se laisserait manipuler sans trop d’effort. Le quatrième corps fut le bon, et je repris mon chemin, baguette à la main, toussant lorsque les particules de pierre et de plâtres mêlées à la fumée du feu qui avait pris un peu plus loin, venaient obstruer ma gorge, m’immobilisant de temps à autre alors qu’un pan de mur ou de plafond pas encore totalement effondré ne se mettait à s’effriter, engendrant de nouvelles chutes.
Enfin, je parvins à m’extraire de ce décor cauchemardesque. Je pris une grande inspiration d’air frais tout en rampant vers des fourrés, me laissant tomber sur le dos dans une respiration bruyante, presque agonisante. Mes genoux étaient en sang, ma peau sombre recouverte un peu partout de poussières, de coupures, mes cheveux noirs devenus presque gris. Mais j’étais vivante...VIVANTE !
J’aurais pu rester des heures ici, dans la verdure, à reprendre mes esprits et mon énergie, mais mon instinct de survie me dicta de me mettre en mouvement maintenant si je ne voulais pas qu’on me tombe dessus. C’était ma chance de m’échapper, de tout laisser derrière moi, de leur faire un pied de nez monumental, à ces abrutis qui avaient préféré condamner une jeune femme et ses idées mais qui avaient suivi et adulé aveuglément un fou extrêmiste.
Rassemblant toutes mes forces, je me hissai sur mes pieds, chancelante. J’étais épuisée, endolorie, mais la force du désespoir me portait et me faisait tenir debout. Je fis quelques pas à peine dans la direction opposée du centre pénitencier maintenant en ruine, et je le vis. Il était planté là, l’air nonchalant, flegmatique, appuyé contre un arbre comme s’il admirait le paysage. Ses lèvres étaient tordues dans un sourire obscène, carnassier, ses yeux étaient écarquillés, et brillaient d’une fascination pernicieuse. Il empestait le danger. Son regard tomba sur moi, luisant d’un éclat malsain, comme un chat qui verrait une souris essayer q de s’échapper de son piège pour mieux se jeter dans la gueule du loup -ou du félin. Je ne réfléchis pas plus d’une seconde avant de tendre ma nouvelle baguette vers lui, articulant avec plus de sérieux que je n’en avais jamais eu : “Impero !”
Je priai Merlin dans mon fort intérieur pour que la baguette m’obéisse, pour que l’Imperium prenne. Si on m’avait dit un jour que je jetterais un sort impardonnable sans même ciller, je ne vous aurais pas cru. Mais les faits étaient là, et je faisais littéralement marcher cet illustre inconnu à la baguette.
“Amène moi à l’abris par le chemin le plus court et le plus discret. On n’doit rencontrer personne. Ensuite tu me soigneras. Si on croise quelqu’un, je suis ta copine, et on se rend à une soirée déguisée.”
Il fallait bien justifier mon état lamentable. Je le dévisageai longuement, vérifiant qu’il semblait bien sous le charme. Pas de signe de rébellion, ou de résistance, mais je gardai ma baguette pointée sur lui.
“Je te suis, avance.”
Ordonnai-je. Après quelques mètres, je dus lui demander de ralentir, mes côtes, mes genoux et ma cheville me faisaient un mal de chien. A mi-chemin, je lui commandai de m’aider à marcher, je nous ralentissais trop. Ce type devait sacrément bien connaître les environs, car il nous fit passer par des chemins où on ne croisa pas âme qui vive, et ce jusqu’à ce qu’on rejoigne la ville pour s’installer dans un motel un peu reculé où personne ne nous embêterait. Je l’envoyai, toujours sous impero, récupérer la clef de la chambre seul, si on venait chercher après moi plus tard, autant que personne ne me voit.
Une fois dans la chambre d’hôtel, il me soigna. Il était nettement plus doué que moi en médicomagie, ce qui n’était guère étonnant : je n’avais jamais su me débrouiller dans ce domaine là. Moi, mon truc, c’était la métamorphose. Je n’avais pas encore récupéré assez d’énergie pour utiliser mon don de métamorphomage, mais dès que je serai en état, je n’hésiterais pas à m’en servir pour me carapater d’ici. Je ne savais pas encore exactement où aller, ni comment, mais je savais que je ne pouvais pas rester ici.
Les jours passèrent, et j’utilisai clairement Marius, car c’était son petit nom, pour préparer mon grand départ sans avoir à trop me montrer. Je passai l’essentiel de mon temps cloîtrée dans la chambre. Lorsque j’eus regagné suffisamment de forces pour user de mon don, je m’autorisai moi aussi quelques sorties, toujours sous une autre apparence. Les propriétaires du motel durent se dire que Marius avait un succès fou avec les femmes vu ce qui défilait dans sa chambre…
Le jour même du grand départ, direction l’Europe, et plus précisément le Royaume-Uni, pour une nouvelle vie, j’utilisai une fois de plus mon don pour devenir méconnaissable. Quant à Marius, je préférais qu’il fasse profil bas également, si nous venions à croiser des connaissances à lui, cela risquerait d’attirer inutilement de l’attention sur nous, et donc sur moi. Je lui avais donc fait acheter une perruque blonde du plus bel effet.
“Mets ta perruque, Marius”
Ordonnai-je, comme j’avais pris l’habitude de lui parler avec les effets de l’Imperium. Je n’avais pas besoin de formuler mes demandes à voix haute pour que le sortilège fonctionne, mais je trouvai ça nettement moins sinistre de converser un minimum avec ma marionnette, je me sentais un peu moins...seule comme ça. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je me retournai, après avoir finalisé mon nouveau look, pour le voir planté devant la porte, fin prêt, mais sans perruque.
“Et la perruque ?”
Demandai-je. Il m’offrit un sourire d’enfant insolent de la largeur de son visage.
“Mm… nan. Ca ne me met pas en valeur, je ferai sans.”
Mes yeux s’écarquillèrent lentement alors que la compréhension s’insinuait en moi. Le temps que je lève ma baguette dans sa direction, il s’était glissé contre moi, pointe de sa baguette contre ma gorge, et ce même sourire carnassier que je lui avais vu lors de notre rencontre sur les lèvres.
“Du caaaalme ma jolie fugitive. Si j’avais voulu te faire la peau, ou te livrer à la justice magique, ce serait déjà fait depuis longtemps.”
Je plissai les yeux, furieuse de m’être laissée embobinée de la sorte. J’aurais du me douter qu’avec une baguette à peine récupérée et qui n’était, de base, pas la mienne, l’Imperium était quasi impossible.
“Depuis quand ?”
Maugréai-je, faisant bien sûr allusion au fait qu’il avait réussi à se libérer du sortilège. Venait-il tout juste d’y arriver ? Ou bien jouait-il la comédie depuis plusieurs jours déjà ? J’étais loin de me douter de la réponse qui allait m’être donnée.
“L’Imperium ? Ah non mais il n’a jamais marché celui-là… L’idée était bonne pourtant !”
Me félicita-t-il presque, le ton guilleret. Mon regard totalement ahuri ne sembla lui faire que peu d’effet.
“Et juste… pourquoi ? ”
Fut tout ce que je trouvais à dire. Les mots me manquaient un peu pour formuler l’étendue de ma surprise. Ca n’avait juste aucun sens. Pourquoi avoir obéi à tous mes ordres s’il n’était pas sous Imperium ? Sur le coup, il avait sans doute voulu sauver sa peau, je pouvais le comprendre. Mais les deux semaines qui suivirent, je ne me les expliquais pas. Je lui avais laissé tellement de libertés, le croyant sous ma tutelle magique, qu’il aurait pu se faire la malle à tout moment.
Il haussa les épaules, comme si je lui avais demandé s’il préférait pizza ou burgers pour ce soir.
“Pourquoi pas ?”
Et quelque chose me souffla à l’oreille que je n’obtiendrais rien de mieux de la part de Marius. Son sourire presque malfaisant s’adoucit jusqu’à devenir presque enfantin alors qu’il reprit la parole.
“Allez, j’te jette pas de sort si tu m’en jettes pas. Deal ?”
Je restai un instant silencieuse, à l’observer avec une incompréhension telle que je n’arrivais même plus à la mettre en mots. Ce type était cinglé, en fait. Complètement cinglé. Et pour une raison qui m’échappait totalement, je crevais d’envie de me laisser engloutir par cette folie douce qui semblait l’englober tout entier.
“S’associer avec plus fou que soi… je ne sais pas exactement ce que ça fait de moi, mais ça me plaît. Alors, deal !"
Marius baissa sa baguette, et me tendit sa main. Je la serrai avec une certaine solennité, ne pouvant retenir le sourire qui commençait à s’étirer au coin de mes lèvres. Je n’aurais pas parié sur une association sur le très long terme, et je ne m’attendais certainement pas à ce que l’avenir avait en stock pour nous deux… Mais quoiqu’il en soit, ce fut le début de mon binôme avec Marius.
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Invité
INRP
IRL
Mar 10 Déc - 19:03
Dead to the world
« Comment te dire ce que je ressens Si ce n’est que le goût du sang A traversé mon esprit Plus d’une demie fois dans ma vie »
Le premier ministre Jacobus Nkomo : trahi par sa propre famille
Voilà ce que titrèrent les journaux sorciers sud-africains le lendemain du meurtre du premier ministre de la magie. Meurtre pour lequel sa fille, agée de 19 ans, Léandra, fut inculpée. L'indignation et l'incompréhension s'insinuèrent parmi tous les sorciers d'Afrique alors que tous cherchaient à comprendre comment une famille pouvait en arriver à un tel drâme.
Some bad memories can erase the good ones
Des souvenirs de mon enfance, j'en avais très peu, comme si l’acte de mon père et ce qui s’en suivit avait totalement annihilé les bons moments du passé. Pourtant, et ce fut ce que je racontai à psychomédicomage qu’on m'attribua lors de mon jugement, il me semblait que l’entente entre mon père, mon frère, ma sœur et moi, était plutôt bonne. Au début du moins. Je me souvenais bien de quelques disputes, essentiellement entre mon frère, Lawrence, une forte tête, et mon père, mais rien qui n’aurait pu laisser présager la suite des évènements. Unie, notre famille l'était, particulièrement depuis la disparition de notre mère, qui quitta notre vie, emportée par la maladie, lorsque nous étions encore bien jeunes, Maya n'avait d'ailleurs que 8 mois. Mon frère, ma soeur et moi, nous nous raccrochâmes à notre père tel à une bouée de sauvetage, et ce dernier savait être un père aimant malgré ses obligations au ministère de la magie africain.
Du moins, ce fut ainsi que les premières années se passèrent. La politique prenant de plus en plus de place dans sa vie -il avait coutume de dire qu'il n'était plus le père de 3 enfants, mais de tout un peuple- les tensions commencèrent à naître entre notre père et Lawrence. Ce dernier entrait dans l'âge délicat de l'adolescence et les absences de notre père n'aidaient pas franchement à améliorer le climat familial. De là à présager le pire, ce qui suivit, j'en étais très loin.
Notre scolarité à Uagadou se passa plutôt bien : Lawrence, mon ainé de 2 ans était le plus turbulent d'entre nous, mais il était également diablement doué pour les duels. Moi, la cadette, j'étais celle douée pour la métamorphose. Etait-ce lié à mon don de métamorphomagie ? Impossible à dire, mais c'était définitivement mon domaine de prédilection. Et la petite dernière, Maya, de 7 ans ma cadette, était un génie des potions. Pour sûr, le talent coulait dans nos veines comme le sang pur dont mon père était tellement fier.
Cela aurait dû nous mettre la puce à l'oreille, par ailleurs, mais nous ne vîmes d’abord rien. Lawrence était d'un naturel curieux. Il s'intéressa à la politique très jeune, fourrant son nez dans les affaires de notre père plus que de raison. Ce fut d'ailleurs ainsi qu'il découvrit des années plus tard, le pot aux roses, à savoir l’appartenance de notre père à un groupuscule extrémiste, branche locale des fameux mangemorts de Voldemort qui n’avait jamais réellement cessé d’exister même après sa défaite, continuant de comploter dans l’ombre. Des échanges écrits attestaient de son idéologie, de ses opinions, et, plus sinistre, de certains de ses plans. Nous étions alors en 2005, et le contexte économique et politique mondial se prêtait peu à ses idéaux, mais ça ne les empêchait pas, lui et ses semblables, de prévoir le pire.
En découvrant cela, Lawrence vit rouge. Esprit libre emprunt de justice, il ne supporta pas d’affronter cette vérité qui faisait de son père un extrémiste symbole d’intolérance. Alors lorsque quelques semaines plus tard il mit la main sur une missive détaillant une stratégie anti-moldue assez terrifiante, il débarqua le soir-même dans le bureau de notre père, dans notre maison familiale, moi sur ses talons. Je ne savais pas bien pourquoi je choisis de le suivre ce soir là : était-ce pour le soutenir ou pour essayer de réfreiner sa colère ?
Lawrence passa d'entrée de jeu sur l'offensive, insultant et reprochant mille et une chose à notre père, allant jusqu'à le renier en tant que ministre mais surtout en tant que père. C'est impuissante que j’assistai au choc des colères, des frustrations, et des déceptions. La violence verbale céda sa place à la violence physique alors que notre père tentait de plaquer son fils, mon frère, au sol et de l'assommer, le tout devant mes yeux tétanisés. Mais le pauvre bougre avait mésestimé la force de Lawrence, grand gaillard de 19 ans, qui inversa l'ascendant avec facilité, et envoya valser notre père contre le bureau. Lorsque cet homme, qu'il s'était petit à petit mis à mépriser et même détester, cessa de bouger, cela ne l'empêcha pas de le ruer de coups, étouffé par une rage aussi soudaine qu'impossible à maîtriser, et mes cris de désespoir ne l'arrêtèrent pas. En revanche, ils alertèrent la garde rapprochée -pas si rapprochée- de notre père.
Dans la panique, je suppliai Lawrence de me laisser m'accuser. Il avait 19 ans, soit la majorité civile, et sa relation tendue avec notre père commencait à s’ébruiter, il n'avait aucune chance de se sortir d'une telle situation. Moi, au contraire, mineure du haut de mes 17 ans, ils ne pourraient pas retenir grand chose contre moi, n'est-ce pas ? Je pourrais plaider le coup de colère, peut être la légitime défense ? Mon frère n'était pas enchanté par l'idée, mais il était dans un état de choc suffisant pour ne pas trouver la force d'objecter, et nous n’avions que peu de temps pour nous aligner avant l’intervention des aurors. Lorsque ils arrivèrent dans le bureau, ils trouvèrent mon père figé, blanc comme un linge et moi en pleurs sur son cadavre, confessant tout sur le champ alors que mes cheveux passaient par toutes les couleurs de l’arc-en-ciel sous l’émotion.
Bien que mineure et plaidant la légitime défense, la justice magique ne pouvait pas ignorer un tel acte sur le premier ministre sud-africain, et les hématomes trouvés sur le corps du défunt n'étayait pas ma version de l'histoire. Tout d'abord, ils interdirent à mon frère de me rendre visite. Lorsqu'il y fut finalement autorisé, ce fut rongé par la culpabilité qu'il vint me voir. Il voulait se dénoncer, tout avouer, il ne supportait pas de me voir payer pour lui. Je le suppliai de se taire, invoquant le fait que cela ne ferait qu'empirer la situation : il serait condamné pour meurtre, et moi pour complicité, et qui s'occuperait de Maya ? L'argument de la petite sœur acheva de le convaincre et de sceller son silence.
Cinq mois, ce fut le temps que je servis dans un établissement pénitencier temporaire local en attendant mon jugement officiel, qui me mènerait probablement à la célèbre prison Africaine pour sorciers située en plein Sahara, dissimulée au beau milieu des mirages, connue pour égaler Azkaban dans son dispositif de sécurité. Et ce, pour un crime jamais commis. Ces cinq mois suffirent à faire naître et nourrir ma haine de la justice magique et des sorciers en général. Ma peine fut cependant bien vite écourtée, mais pas tellement selon mon gré.
Un attentat, voila ce qui me tira d’affaire, même si je faillis surtout y laisser ma peau. Je ne découvris que plus tard que la cible de l’explosion étaient mes voisins de cellule, un gang de loup-garous qui sévissaient depuis quelques mois dans la région et qui venaient d’être mis sous les verrous par des chasseurs de loups. Comment ce groupuscule terroriste anti-loups découvrit leur présence ici ? Je n’appris que plus tard que c’était en fait Marius qui avait vendu la mèche. Vous vous demandez sans doute qui est Marius… et bien vous n’allez pas tarder à le savoir.
Profitant des dégâts faits à la cellule dans l’explosion et de l’agitation générale, je me fis la malle. J’avais eu la chance d’avoir la cellule la plus à l’extrémité du bâtiment, et je m’en étais sortie miraculeusement avec seulement quelques blessures. J’abandonnai derrière moi quelques accessoires qui me restaient et qui pourraient laisser croire à ma mort, je piquais une baguette à un cadavre qui n’en aurait plus la moindre utilité en priant pour qu’elle ne soit pas trop fidèle à son propriétaire, et je pris mes jambes à mon cou.
Ce fut dans ces circonstances que je tombai sur Marius : chasseur de loup britannique, il était planté là, devant le chaos le plus total, son sourire de petit con collé aux lèvres et son regard de voyeur indiquant qu’il appréciait clairement le spectacle. Le voyant, je ne réfléchis pas deux secondes avant de dégainer ma baguette et de lui lancer un Imperium, je ne voulais rien laisser au hasard. La survie avant tout. Avec du recul, j’aurais du voir qu’un truc clochait : réussir un Imperium du premier coup avec une baguette qui n’était même pas la mienne et que je venais de récupérer ? Peu probable.
Deux semaines, ce fut le temps qu’il me fallut pour réaliser que Marius n’était pas vraiment sous mon emprise. Pourquoi, dans ce cas, m’avait-il obéie, suivie, soignée, protégée, aidée à obtenir de faux papiers, et même ramenée chez lui, en Angleterre, en me servant d’alibi pour passer les contrôles auxquels nous fûmes soumis ? Je ne suis pas sûre qu’il sache y répondre lui-même. Par jeu, par besoin de tuer l’ennui sans doute. Marius était et est toujours un esprit tourmenté, tordu, malade. Malgré ce là, je sus dès ce moment qu’on ne se séparerait sans doute jamais.
Une fois installée à Londres, sur un autre continent, sous une autre identité, celle d’Eurydice McAvoy, loin de mon ancienne vie, loin des sorciers, j’ignorais tout de ce qui se passait à Pretoria. Me croyait-on morte ? Me recherchait-on ? Et si oui, auraient-ils le bon sens d’étendre ces recherches au monde entier ? Je n’en savais trop rien et, peu désireuse d’attirer l’attention de la justice magique, je décidai de ne pas écouter ma curiosité et de faire profil bas, évitant de fourrer mon nez là où on risquait de me le saisir.
Refaisant ma vie beau milieu des moldus, j’entrepris d’étudier ces derniers. J’avais pour professeur un expert du domaine qui s’était passionné pour le sujet des années durant, Marius en personne. Il m’apprit, me coacha, m’encadra, me corrigea, inlassablement, jusqu’à ce que je devienne la parfaite petite moldu. Je ne voulais certainement plus rien avoir à faire avec les sorciers, ce peuple de déments qui préférait condamner une gamine de 17 ans pour le meurtre d’un hypocrite politique extrémiste. Le monde sorcier allait mal, perdait ses valeurs, je ne voulais en aucun cas lui être associée. S’il fallait renier ma magie pour me couper d’eux et changer pour de bon d’univers, je le ferai. Et je réserverai ma magie pour porter le coup final à ce peuple désuet, ivre de son arrogance et de son complexe de supériorité.
Ne pas contacter Lawrence et Maya pour leur signifier que j’étais toujours envie me déchirait les entrailles, mais j’avais mon garde fou pour cela : Marius n’hésitait jamais à me ramener à la raison, me rappelant que si je voulais devenir Eurydice pour de bon, je devais me débarrasser pour de bon des valises de Leandra. Il ne manquait jamais d’ajouter sur le ton de la plaisanterie que s’il n’y avait que ça pour m’aider à tourner la page, il n’avait aucun problème à exterminer le peu de famille qui me restait. Et à mon humble avis, il ne plaisantait qu’à moitié. Je vous avais prévenus qu’il était tourmenté comme garçon…
Cela ne m’empêcha pas de monter mon business avec lui, et quel business : une agence de rencontre… qui vous prend UN PEU pour des pigeons. Le principe était simple : d’abord, attirer les gens avec une offre alléchante. L’organisation des deux premiers rendez vous était gratuite, le client ne payait qu’au 3eme. Au 3eme, la demoiselle ou le jeune homme, miraculeusement toujours au goût du client, lui annonçait qu’elle ou il n’était plus intéressé(e). Comment le saurais-je ? Parce que la femme ou l’homme, c’est moi, sous un de mes nombreux visages de métamorphomage… Le client paie malgré tout, et espère que nous lui trouverons un autre rendez vous rapidement. Rendez-vous qui n’arrive jamais sans un nouveau trio de rendez-vous soldé par un joli chèque, et cela à l’infini. Que d’amusement, cette activité.
Lorsque j’eus trouvé un équilibre dans ma nouvelle vie de moldue, n’hésitant pas à user de mon don de métamorphomagie pour couvrir mes arrières et me protéger d’éventuels sorciers qui auraient pu me reconnaître de ma vie d’avant, il me fallut trouver un nouveau « hobby », si je puis dire, et j’en avais justement un parfait en tête : autant allier l’utile à l’agréable en me rapprochant d’un groupuscule avec lequel je partageais quelques intérêts communs : le blood circle.
Les intégrer ne fut pas chose facile, ils faisaient pour sûr profil bas lorsqu’ils ne faisaient pas des coups d’éclat en public. Mais à force de semer des graines d’informations et des indices sur mes opinions politiques deci dela, je finis tout de même par attirer l’attention de l’un d’eux. Lui faire croire qu’il m’avait embobinée et endoctrinée dans le blood circle, moi la grande naïve et influençable, ne fut pas bien difficile… Il vaut mieux toujours laisser croire aux gens qu’ils tirent les ficelles : me faire sous-estimer m’avait toujours plutôt bien réussi, tôt ou tard, je pourrais le tourner à mon avantage. Au sein du BC, je suis celle qui ramène des artefacts et potions magiques pour que les scientifiques dans l'âme puissent les étudier. A leurs yeux, je suis une voleuse diablement efficace, naturellement, ils ne peuvent pas deviner que me procurer ce genre d'objets m'est d'une simplicité enfantine...
Les pièces étant en place sur l’échiquier, je peux maintenant déployer ma stratégie visant, tout bonnement, à faire regretter au monde magique, autant que faire se peut, le jour de ma naissance… Et lorsque je les aurai massacrés jusqu’au dernier, ils auront une bonne raison de me condamner. Dommage, ils ne seront plus là pour le faire.
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Invité
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Mar 10 Déc - 19:10
Re bienvenue
J'ai kiffé l'allégeance à Marius mais vraiment un chouya XD ça m'a fait rire j'avoue :D
Bon courage (même si tu m'as pas du tout l'air d'en avoir besoin ) et cela même si tu es chez les vilains pas beaux du bc (qui sont tous canons en vrai... c'est un critère de recrutement ? XD)
Invité
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Mar 10 Déc - 19:15
EURYYYYYYYYYYYYYYYYY
J'ai trop hâte de voir ce perso à l'oeuvre
Elise, elle fait genre qu'elle n'a d'allégeance que pour elle même mais elle a intérê à obéir à Mariust n'est rien sans Marius
Invité
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IRL
Mar 10 Déc - 19:19
Ah la voilà !
J’ai hâte de découvrir l’histoire de ton nouveau personnage... de ce que j’ai pu entrevoir, ça promet ! ^^
En tout cas, très sexy Eury !
Invité
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Mar 10 Déc - 19:30
T'inquiètes Didi, j'avais compris qu'elle faisait genre mais que Marius c'était son dieu vivant sur terre! (si je flood ? Mais paaaas du tout je vérifie que le codage est pas cassé )
Invité
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Mar 10 Déc - 22:08
Merci les chatons, votre enthousiasme et votre raccueil (si si, c'est un mot ) me va droit au coeur
Et oui c'est pas bien de flooder Elisette (et je ne dis pas du tout ça parce que tu prends le parti du vilain Ririus )
Invité
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IRL
Mar 10 Déc - 22:26
Rebienvenue parmi nous avec ce second perso
Heureuse de voir que tu te sens bien parmi nous au point de te multiplier
Courage pour ce qu'il reste de ta fiche et j'espère qu'on se trouvera des petits liens
Hestia Carrow
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Mar 10 Déc - 23:08
Re-bienvenuuuue
J'aime beaucoup ton choix de prénom ! Et puis je sens que ce personnage promet, j'ai hâte d'en apprendre plus !
Bon courage pour cette fichette !
'Cause there were pages turned with the bridges burned
Robin D. Kane
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Lumos Je rp en : crimson Mon allégeance : Blood Circle
Mar 10 Déc - 23:29
Elise de Lestang a écrit:
Re bienvenue
J'ai kiffé l'allégeance à Marius mais vraiment un chouya XD ça m'a fait rire j'avoue :D
Bon courage (même si tu m'as pas du tout l'air d'en avoir besoin ) et cela même si tu es chez les vilains pas beaux du bc (qui sont tous canons en vrai... c'est un critère de recrutement ? XD)
Ouais. C'est plus facile comme ça pour avoir plus de monde et faire tomber en pamoison les ennemis à ses pieds.
Re-bienvenue !!!!!
En tout cas, déjà j'adore. Il nous faudra un lien évidemment. Je te réserve ma première mission. (Celle que je veux faire en utilisant mes supers points de combat là ).
Vive le BC !!!
we all need heroes
Être un héros est une tâche difficile et trop souvent décriée dans l'arrogance. Pourtant, oh combien on a besoin de héros de nos jours. J'aimerais être un héros pour les citoyens britanniques. Je veux me faire le protecteur des gens.
anaphore
Raphaël Millet
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IRL
Lumos Je rp en : 0066ff / Anglais - #00ffff / Français Mon allégeance : La paix
Mer 11 Déc - 0:08
Re bienvenue ! Bon courage pour cette fiche !
Oh mon dieuuuuuu la citation que t'as mise pour ton histoire Si je m'attendais à ce que quelqu'un d'autre que moi cite du Debout sur le Zinc
Spoiler:
Invité
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Mer 11 Déc - 9:03
Bienvenue Je suis vraiment contente de voir enfin Kat sur un forum. Je l'adore En tout cas,j'ai hâte de voir la suite de cette fichette !
Invité
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Mer 11 Déc - 10:22
Vous êtes chous, merci à tous
@Jaeden Evans Vouiiii je suis sûre qu'on va se trouver à nouveau pleins de liens rigolos
@Hestia Carrow Ce prénom était fait pour elle, contente qu'il te plaise
@Robin D. Kane Ouiiiiiii poteau de BC, un peu qu'il nous faut un lien du feu de dieu On va dégommer tous ces sorciers, trop hâte de faire une mission en duo
@Raphaël Millet Aaaaah mais DSLZ c'est l'amour de ma vie (après Deirdre évidemment hein ) Et puis cette citation était juste faite pour Eury, j'avais pas le choix ! Mais je propose qu'on milite ensemble pour que DSLZ envahisse le monde du rp
@Amber Towsen Ouiiiii Kat est sous-utilisée, pourtant elle a des ressources magnifiques
Nymphéa E. Chang
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Lumos Je rp en : goldenrod Mon allégeance : Ordre du Phénix
Mer 11 Déc - 23:51
Sûuurrr. et je vais aller lire. Les plus beaux vaincront.
Je viens flooder en me demandant si tu n'avais pas zyeuter un certain rp Raphaël/Nymphéa pour avoir pris Eurydice comme prénom. Ce sera 5$ pour chaque fois que tu vas écrire le nom en rp.
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We’re a phoenix rising from the ashes fighting. Our courage climbing. We’ll never, never surrender. This is our battle. Won’t stay in the shadows now. Living for tomorrow. We’ll never, never surrender - Liv Ash, Never Surrender
(c) 0tsana
Spoiler:
Raphaël Millet
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IRL
Lumos Je rp en : 0066ff / Anglais - #00ffff / Français Mon allégeance : La paix
Jeu 12 Déc - 0:06
Euh, pourquoi tu aurais TOI seule les royalties sur le prénom ? D'autant plus que c'est le projet de Raphaël et que c'est lui qui a proposé Eurydice ! Si ça ne tenait qu'à Nymphéa ça aurait été Artémis !
Non, moi je vois que je suis d'autant plus une source d'inspiration car elle cite DBLZ comme je l'ai fait pour mon RP avec Amber !
Si quelqu'un doit avoir £5 pour chaque mentions ! C'est plutôt moi
Spoiler:
Invité
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IRL
Jeu 12 Déc - 7:11
Eh ben même pas pour le nom, mais vous m’intriguez maintenant
Et je sens que je vais sûrement souvent l’appeler Euryry dans les rps du coup
Invité
INRP
IRL
Sam 14 Déc - 21:28
Coucou par là Sauf oubli de ma part (et ce n'est pas impossible ) la fiche d'Eury est terminée, mais je voulais juste prévenir que pour la demande de don, c'est initié (J'ai envoyé le mp à l'Augurey mais je n'ai pas reçu de validation/invalidation, donc je ne sais pas si c'est acté ou en cours ^^)
Invité
INRP
IRL
Mar 17 Déc - 13:19
Re-bienvenue, en léger retard !
EDIT à Elise : Oups !
Invité
INRP
IRL
Mar 17 Déc - 13:38
Honte sur moi l'épouvantard, au lieu de lire cercueil, j'ai lu écureuil, je me disais ah c'est flippant un écureuil XD. Oh cette agence de filou XD bon sang, mais quelle escroc cette fille bon sang de bois, jusqu'au bout elle la fait à l'envers à tout le monde ^^. Mais bon j'avoue j'ai adoré lire, ton perso est tout simplement génial :D. Je dirais bien que je valide pas parce que tu veux du mal aux sorciers quoi c'est comme quand je favorise Serdaigle, là ne voulant pas mourir... mais ton combat me semble légitime extrémiste mais légitime, je te souhaite donc BONNE CHANCE pour ta quête, je pense que tous mes persos, sans exception te mettront des bâtons dans les roues, mais bon ;) tu es validée et au passage je réponds ici, mais c'est bien entendu oui pour ton don... sinon je serais bête de valider ;)
Bienvenue chez les ...
Sorciers
Félicitation à toi te voilà fraîchement validé !!!
Tu vas pouvoir parcourir le forum de fond en comble et pouvoir rp à gogo ! Nous te conseillons tout de même de passer ouvrir ta fiche de lien et aussi ton hiboux afin de recevoir ton courrier. N'oublie pas de remplir ton profil, si un lieu te manque où si tu souhaites obtenir ton logement, c'est par ici que ça se passe. Tu peux dès à présent remplir ce formulaire après d'ajouter ton personnage dans l'annuaire des personnages du forum, et comptabiliser tes points de combat. Afin de t'intégrer au mieux sur le forum, tu peux participer à ces petits défis exclusivement réservés aux nouveaux. Tu peux également demander d'être parrainer sur le forum, pour obtenir un parrain ou une marraine, rendez-vous sur ce sujet N'hésite pas aussi à te détendre dans la partie flood et même à venir nous faire un petit coucou sur la chat box Si tu as une question ou même une suggestion tu peux venir dans ce sujet et n'oublie pas que nos boîtes à mp sont toujours ouvertes
Amuse-toi sur GoB !!!
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Owen, tu m'as fait flipper XD je me suis dit maaaaiiis j'ai fait quoi comme boulette ENCORE, mais non tu as juste posté toi ^^
Invité
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IRL
Mar 17 Déc - 13:52
Aaaaah trop bien merci petit chat Contente que la fiche t'ait plu en tout cas *x* Et j'ai hâte de mettre le feu à tous les bâtons que tes persos mettront dans mes roues
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Eurydice McAvoy ♠ The disapproval of cowards is praise to the braves
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