Si un jour vous vous arrêtez devant la demeure des Dimitrov, vous aurez sûrement le souffle coupé, c’est le genre de demeure, grande, imposante, qui en met plein la vue mais, qui est tout à fait austère… Elle vous glace le sang si elle vous surprend à la regarder trop longtemps… En réalité elle est tout à fait à l’image des maîtres des lieux, Sergueï Dimitrov et sa femme Ekaterina! Des êtres froids, calculateurs, égoïstes, adeptes de la magie noire, grands admirateurs du mage noir et de puissants sorciers. Leur demeure est loin de respirer la joie de vivre, lorsqu’on la regarde on est loin d’imaginer qu’une famille entière vie à l’intérieur, que des enfants ont pu naître, grandir et vivre entre ses murs… D’ailleurs si par malchance vous avez pu y rentrer, où se trouvent les jouets ? Pourquoi ce silence règne-t-il en maitre ? Ne devrait-on pas attendre le bruit de leur pas courir dans tous les sens ? Peut-être sont-ils ailleurs me direz-vous ? Peut-être devrions-nous regarder par la fenêtre pour découvrir la petite fratrie d’enfant en train de s’amuser à l’extérieur ? Verrions-nous cette innocence sur leur visage ? Pourtant non, il n’y a rien dehors… Ils sont tous dans cette maison, où ils ont appris à vivre, à se faire petits pour éviter les punitions… Mais le silence n’est peut-être pas aussi absolu que vous le pensiez… Ecoutez, cela vient de l’étage, un petit bruit, une mélodie… Peu à peu alors que vous montez les marches qui se trouvent dans le vestibule, vous discernez alors au fur et à mesure, le son si caractéristique d’un violon… La mélodie vous semble belle, elle vous transporte, les émotions vous touchent, vous transperces, qu’a pu bien vivre cette personne pour avoir tant à raconter…?

« Non ! Non, non et non ! » Hurlait alors la matriarche Dimitrov à son propre fils alors qu’une gifle venait s’abattre sur la joue de ce dernier, stoppant d’un coup net la mélodie qui avait enveloppé la pièce. La joue du petit Dimka qui n’avait alors que trois ans se retrouvait rapidement rouge et cela le chauffait de plus en plus. Pourtant il ne montrait rien, ravalant ses larmes qui auraient eu envie de couler. Ici il n’y avait pas de place pour les sentiments, pas de place pour une quelconque marque d’affection… Qui avait dit que l’instinct maternel était obligatoire ? « Ce ne sont toujours pas les bonnes notes ! Même un moldu ferait sans doute mieux que toi ! » Et dans la bouche de sa mère, ce n’était vraiment pas peu dire, les modus venaient pour elle derrière les animaux et même les serviteurs… Pourtant l’enfant faisait de son mieux pour plaire à cette mère si difficile à satisfaire… Ses parents étaient encore plus durs avec lui qu’avec ses autres frères car, par chance ou malchance, cela dépend du point de vue, il était considéré comme le favori de la famille… Ils attendaient encore et toujours plus de résultats et que ces derniers soient meilleur que ceux des autres… Ils n’avaient aucun espoir pour son frère ainé, qui était pour eux leur plus grande déception ! Ne partageant pas leurs idéaux, il avait une empathie étrange pour les êtres sans pouvoir magique, pour cette sous race que leurs parents exécraient… Quant à son petit frère qui était né à peine neuf mois après lui, un retour de couche non voulu, non désiré… Il avait beau faire de son mieux, il ne cessait de vivre dans l’ombre de Dimka… Quoiqu’il fasse ce n’était jamais aussi bien que Dimka… Quant au dernier enfant… Il n’était pas encore né ! Leur mère était de nouveau enceinte, l’accouchement serait pour bientôt ce qui agaçait fortement leur père qui ne désirait plus avoir d’enfant, il avait son héritier, le reste ne lui importait plus ! Ekaterina l’avait d’ailleurs fortement payé… Les enfants avaient pu entendre ses cris depuis leur chambre respective… Lorsque Dimka avait voulu se lever pour aller voir, son frère ainé l’avait empêché, sachant très bien ce qu’il découvrirait… Est-ce pour ça qu’elle se montrait si dure avec sa propre progéniture ? « Recommence ! » Ordonnait-elle, le petit garçon obéissait alors essayant de jouer de la meilleure façon possible…

Dès leur plus jeune âge, ils avaient tous le droit à une éducation des plus strictes ! Ils avaient des cours particuliers. Ils devaient connaître leur histoire, savoir extrêmement bien parler et savoir se tenir en société. Leur enfance était bafouée et ils leurs fallait apprendre à grandir très vite. La dernière lubie de sa mère ? Dimka devait apprendre le violon ! Parce qu’elle adorait cela et qu’elle était certaine qu’il ferait un grand musicien et qu’il ravirait ses oreilles chaque fois qu’elle le désirait. Elle ne se préoccupait pas des réelles envies de ses enfants, ils devaient faire ce qui leur était demandé, point ! Est-ce que Dimka aimait jouer du violon ? Peut-être qu’il aurait aimé cela dans une autre vie, si cela ne lui avait pas été imposé et s’il n’était pas aussi difficile de satisfaire les oreilles d’Ekaterina…

Finalement, sa petite sœur, la toute dernière de la famille venait au monde quatre petits mois plus tard, c’était une fille pour le plus grand désespoir de son père ! Et à peine avait-elle posé ses yeux sur le monde que Dimka avait déjà beaucoup de peine pour elle… Ses frères et lui avaient été taillés pour pouvoir survivre dans le milieu qu’était la demeure des Dimitrov mais, lorsque son regard attrapait celui du petit être qui venait alors tout juste de découvrir ce qu’était la vie… Il sut qu’il devrait alors la protéger… Le problème était qu’il était encore bien trop jeune pour pouvoir s’imposer face à ses parents… Trop petit pour oser désobéir… Trop… Vif d’esprit pour se jeter entre sa petite sœur et son géniteur sans réfléchir… Et il se sentait impuissant lorsqu’il entendait les pleures de cette dernière à travers les murs lorsque le père Dimitrov en avait enfin fini avec elle… C’était elle qui payait le fruit de sa colère… Tout simplement parce qu’elle avait eu le malheur d’être une fille…


La manifestation des pouvoirs de Dimka se passa quelques mois après qu’il est fêté ses huit ans de vie. Cette année était différente, son frère ainé qui l’avait toujours plus ou moins protégé avait quitté la maison pour entrer dans l’école de Durmstrang. Ils n’étaient donc plus que trois et c’était Dimka à présent qui était le plus vieux… C’était à lui de prendre soin des deux autres, même si son petit frère, c’était mis en tête de toujours être meilleur que lui, ne se gênant pas pour dénoncer son aîné de neuf mois quand il le pouvait. Tout était bon pour ce faire voir et mettre Dimka plus bas que terre ce qui malheureusement ne fonctionnait pas beaucoup. Ce dernier était doté d’une intelligence rare, il apprenait tout ce qu’on lui demandait très vite à présent, il émerveillait d’ailleurs les oreilles du tout le monde lorsqu’il jouait, du moins tout le monde sauf sa mère qui n’était jamais, non jamais pleinement satisfaite, il n’était pas sûr qu’un jour elle le soit vraiment. Alors, quand vint le jour où les pouvoir de Dimka se sont montrés bien évidemment son petit frère comme toujours fut relayé au second plan… Cela était arrivé une fois ou son cousin était là, c’était d’ailleurs les seules fois où les enfants qu’ils étaient à l’époque avait vraiment la paix, les grandes personnes restaient entre eux tandis que les gamins avaient quartier libre tant qu’ils ne traînaient pas dans leur patte… Dimka et Andreï s’entendaient bien, très bien même, toujours prêt à aller faire les quatre cents coups ensemble depuis leur plus tendre enfance, il s’entendait peut-être même mieux avec lui qu’avec ses propres frères. La famille au complet était réunie ce jour-là, un énième bal mondain où les enfants s’ennuyaient à mourir… Dimka tentait d’éviter sa mère, qui lui demanderait forcément de jouer pour eux à un moment où à un autre de la soirée… En vain évidemment puisqu’elle finit par lui mettre le grappin dessus juste après le diner auquel il avait été bien sûr obliger de participer, il fallait bien qu’il mange… Un long soupire, une démarche lente, le petit garçon qu’il était s’en allait prendre le violon que sa mère avait entreprit de mettre à côté d’une table bien avant le repas, ayant préparé son coup bien à l’avance… Ce qu’il n’avait pas vu, c’était son petit frère de l’autre côté de la table qui mine de rien venait bouger cette dernière afin de faire tomber le pichet d’eau en plein sur Dimka et le violon, ne supportant pas que l’attention soit portée sur son grand frère… Cependant, l’eau n’a jamais atteint le garçon, Dimka qui avait pourtant essayé de se protéger avec ses mains, comme si elles auraient pu arrêter l’eau toutes seules, n’avait pas reçu une seule goutte d’eau… Cette dernière était totalement déviée, comme s’il y avait un bouclier qui empêchait Dimka d’être touché. Alors, il se passa ce que son frère avait voulu éviter, tout le monde se tournait vers l’ainé des deux, le second n’existait plus et par chance, l’histoire du violon fût totalement oubliée et Dimka n’eut pas besoin de jouer. Ils ne parlaient plus que du fait que ses pouvoirs s’étaient enfin manifestés, une nouvelle qu’il fallait vite fêter…

Au fil du temps, Dimka se découvrit une véritable passion pour le dessin, il ne pouvait pas s’empêcher de griffonner sur des feuilles dans sa propre chambre, c’était quelque chose qu’il gardait pour lui, son petit jardin secret que personne ne connaissait en dehors de sa petite sœur. En réalité, c’était une chose qu’il avait commencée pour cette dernière essayant de lui égayer sa vie comme il le pouvait malgré ce qu’elle subissait tous les jours… Les femmes étaient mal vues dans la famille, elle devait être belle et se taire un point c’est tout, sa mère était sans doute une exception ou alors parce qu’elle était aussi froide, ou totalement dénuée d’émotions comme leur père… Sa sœur alors en payait souvent les frais et il ne fallait pas compter sur Ekaterina pour prendre la défense de sa fille… Pourtant, il y avait ce lien entre Dimka et sa petite sœur, sans doute la seule fille à qui il portait une réelle attention, la seule dont il s’inquiétait vraiment… Le plus dur d’ailleurs fût lorsque c’était son tour de partir pour Durmstrang. Le petit garçon était heureux d’y aller, de retrouver son grand frère, d’aller étudier la magie, on lui parlait de cette école depuis qu’il était tout petit, le seul problème était que sa sœur n’aurait alors plus personne pour veiller sur elle…


Son arrivée à Durmstrang lui changea la vie, une réelle bouffée d’air frais, le fait d’enfin sortir de cette maison, de ne plus se retrouver oppressé… Dans cette école, il pouvait enfin se construire, découvrir sa réelle personnalité, faire des choses qu’il aime et pas ce qu’on lui demande de faire… En dehors de ses devoirs bien entendu, mais cela était un faible prix à payer à côté du reste… De plus, cela lui permettait de passer plus de temps avec son cousin ! Sa répartition ? Il s’en souviendra longtemps il le sait, il avait attendu avec hâte que ce soit son tour, impatient il avait même du mal à tenir sur ses pieds. Quelle fratrie allait-il rejoindre ? Le clan orage était sans doute l’un des plus prestigieux à ses yeux mais, peut-être pas celui où il serait le plus à l’aise. Quand ce fût alors son tour, il fût finalement envoyé au clan tempête, dans lequel finalement il se senti bien très rapidement. L’école, les cours tout était plutôt très strict, mais l’éducation du jeune homme avait sans doute été pire, à croire que finalement ses parents avaient passés leur vie à les préparer à ce qui les attendait une fois dans cette école… Bien sûr pour que cela soit vrai, il faudrait qu’ils aiment leurs enfants… Ce dont doutait Dimka fortement… Ils étaient importants oui, ils étaient leurs héritiers, ils continueraient de transmettre leur nom, leur sang pendant encore des générations. Ils ne reniaient pas leurs enfants, ils en étaient fiers, un peu plus de certains que d’autres bien sûr, mais de là à parler d’amour… Non cela n’en était pas même si Dimka ne savait pas vraiment ce que c’était, il savait que cela n’en était pas.

Sa seconde année fût différente puisque son petit frère fit également son entrée à Durmstrang. Heureusement pour Dimka ils n’étaient pas de la même année, ni même de la même fratrie. Ils s’évitaient totalement, tandis que l’un faisait tout pour plaire à leur parent, l’autre lui n’en avait que faire et faisait les choses pour lui-même. Cela n’empêchait pas son cadet d’essayer de lui pourrir la vie dès qu’il le pouvait. Ici ils étaient égaux, il n’y en avait pas un pour briller plus que l’autre, cependant l’animosité entre eux régnait depuis trop longtemps pour que cela cesse un jour et puis dès qu’ils rentraient chez eux, son petit frère redevenait la petite chose insignifiante aux yeux de leurs parents… La fin de l’année suivante fût un coup dur pour Dimka qui perdait alors l’un de ses seuls repèrent dans la famille Dimitrov, son frère ainé… Etant à l’opposer des idéaux de Sergueï et Ekaterina, il décida de quitter la demeure familiale tandis qu’ils décidèrent alors de renier leur fils, le considérant comme la honte de la famille… Son prénom n’était alors plus prononcer dans leur maison, plus personne n’avait de nouvelle et Dimka vivait cela comme un abandon… Il était sans doute le frère dont il était le plus proche, celui qui prenait soin de lui, il ne partageait peut-être pas toutes ses idées, mais il ne partageait pas non plus totalement celles de ses parents.

Le départ de son frère fut l’élément déclencheur… Finit l’enfance, il lui fallait grandir, entrer dans ce monde d’adulte alors qu’il n’y était pas tout à fait préparé. Il ne touchait plus un seul violon ce qui avait le don de mettre sa mère en colère et en réalité cela lui plaisait de la provoquer ainsi, il avait grandi, pris du volume, pris un peu muscle, même s’il n’était pas une armoire à glace loin de là, rentrant en plein dans l’adolescence. Il n’était plus le petit garçon frêle qu’il était autrefois, même si parfois son visage pouvait encore le laisser croire, mais sa mère ne levait plus la main contre lui. Ce fût cette même année que Dimka trouvait le courage de se dresser entre son père et sa petite sœur. Il était rentré pour les grandes vacances, sa troisième année était fini et il avait trouvé une nouvelle fois son père en train de battre sa cadette à coup de ceinture dans son bureau… « Combien de fois faudra-t-il te répéter qu… » Dimka était entré dans une telle rage qu’il n’entendait pas la fin de sa phrase, il ne réfléchit même pas à ce qu’il était en train de faire alors que sa propre main attrapait sa baguette qui était dans sa poche. « Expelliarmus » le sortilège avait été prononcé d’une voix forte et sans aucune hésitation, la ceinture fut expulsée des mains du patriarche tandis que ce dernier se retrouva lui-même propulsé tant le sortilège avait été puissant. Le petit Dimka ne se trouvait pas dans le clan tempête pour rien et il avait appris à améliorer sa technique depuis sa première année. Son père trop sonné pour riposté dû prendre quelques secondes supplémentaires pour comprendre ce qui se passait, tandis que son fils, baguette à la main se plaçait devant la fillette afin de la protéger. « Il n’est plus question que tu la touche. » Menaçait-il son propre père plongeant son regard rempli de détermination dans celui de l’homme en face de lui…

Dimka avait dû s’attendre à tout comme réactions de la part de Sergueï Dimitrov, tout sauf celle qu’il a réellement eu. Après avoir repris ses esprits, il s’était relevé et le fils ne vit aucune colère dans le regard de son père, non rien sinon une immense fierté. Dimka restait tout de même méfiant et ne baissait pas sa baguette, pourtant l’homme n’avait plus aucune intention de toucher la jeune fille, il s’approchait de Dimka et posait une main sur son épaule. « Il était temps ! Tu es enfin près. » Lâchait-il avant de se diriger vers la sortie du bureau, lançant un regard noir à la petite fille derrière son fils. « Près à quoi ? »Demanda ce dernier « Prêt à me succéder un jour ! » Il lâchait la bombe et s’en allait du bureau… Dimka en prenant la défense de sa sœur, en osant se dresser contre son propre père avait prouvé sa valeur, il avait pris encore plus d’importance pour sa famille alors qu’il n’en voulait pas ! Il avait gagné une chose tout de même, la liberté de sa sœur… Car son père ne l’avait plus touchée une seule fois depuis. Elle était sous sa responsabilité à lui, il était son protecteur elle était intouchable tant qu’il déciderait que c’était ainsi. Le lien qui était déjà fort entre Dimka et sa petite sœur c’était alors forgé davantage, tandis que celui avec son frère ne faisait que se détériorer encore plus…  Plus le temps passait et plus il entrait dans l’adolescence, découvrant les plaisirs de la chair, s’il avait un respect sans faille pour la seule fille de sa famille en dehors de sa mère, on ne pouvait pas en dire autant pour les autres. Dimka restait tout de même un Dimitrov et il ne connaissait pas ce qu’était l’amour, les filles il les utilisait, il les jetait par la suite, cela ne le dérangeait pas de partager d’ailleurs, en particulier avec son propre cousin, sans que bien sûr il ne se passe quoique ce soit entre eux. Il aimait s’amuser voilà tout ! Il avait beau ressembler à un petit rebelle dans son genre, ayant d’ailleurs le sang chaud il n’était pas rare de le trouver mêlé à une bagarre, pourtant il était aussi un très, très bon élève, il apprenait vite comme il l’avait toujours fait depuis qu’il était petit et mettait un petit point d’honneur à étudier… Il évoluait rapidement, gagnant toujours en puissance dans ses sorts, il était un redoutable adversaire en duel ! Il était toujours passionné par le dessin améliorant toujours sans cesse son art, il aimait rendre ses dessins animés c’était sa façon de pouvoir s’évader, de lui changer les idées, de ne pas penser à la vie que sa famille avait déjà toute tracée pour lui…



Lorsque l'Augurey commença sont rassemblement en 2015, leurs parents se sont rangés immédiatement de son côté bien évidemment, puisqu'à l'époque ils étaient déjà de fidèles serviteurs de Voldemort. Et en attendait qu'ils grandissent il en était de même pour leurs enfants... Son frère, toujours en recherche de connaissance se faisait une joie de rejoindre les rangs des mages noirs, tandis que Dimka et sa sœur, ne faisait que suivre le mouvement surtout par défaut, il y avait déjà un enfant renié dans la famille il était bien sûr hors de question qu'il y en est un deuxième surtout pas leur petit enfant prodige ! En vérité, Dimka refusait de choisir un camp ou l'autre, pour lui chacun avait leur tort, chacun de valait pas mieux que l'autre… C'était ironique n'est-ce pas ? Que ce soit Dimka qui n'avait jamais rien voulu de tout cela qui recevait toute l'attention de sa famille, alors que son frère qui se donnait autant de mal pour être à la hauteur pour leur ressembler était comme invisible, quoiqu'il fasse ce n'était jamais aussi bien que son grand frère…Ce fût lors d'une mission pour l'Augurey que tout dérapait du jour au lendemain. Dimka, son frère et sa sœur ne savaient pas vraiment de quoi il en retournait, mais une chose était certaine, leurs parents s'étaient fait prendre. Avaient-ils été dénoncés ? La seule chose qui était certaine c'est que jamais ils ne remettraient les pieds en Russie ! Sergueï et Ekaterina et d'autres ont été emmenés tout droit à Azkaban. Les enfants ont alors été confié au frère de Sergueï, le père d'Andreï leur cousin. Ils furent alors tous envoyés à Poudlard, où Dimka choisi alors de poursuivre l'une des nouvelles filières après les sept premières années, en droit magique ! Une nouvelle vie sans savoir si celle-ci serait meilleure, il pensait que les choses seraient plus tranquilles à Poudlard… Pourtant, ils étaient loin de se douter que la vérité éclaterait du côté des moldus… Les murmures se propagent dans les couloirs, des élèves prennent peur et personne ne semble réellement comprendre ce qui se passe… Et si finalement il n'y avait plus aucune certitude ?