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Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes,
alors pensez à les privilégier pour vos personnages

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Phobos, το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα :: Three Broomsticks :: Pensine :: Fiches anciens membres
Anonymous
Invité
INRP
IRL
Mer 19 Juin - 11:09
Phobos Asclépiades
« Ft. George Clooney Ϟ tumblr »
Quelle est votre allégeance ?
Développer quel camp votre personnage a choisi de rejoindre : Que pense-t-il de cette bataille en sous-main ? A-t-il un avis sur les moldus, les sorciers ? Que pensez-vous de la pureté du sang ? Etes-vous investi, impliqué ?

Pourquoi choisir un camp lorsque les deux ont des avantages ? Je ne prête allégeance qu’à moi-même, je ne vois pas pourquoi il faudrait changer cela, alors que ça a toujours été ainsi.
Dès le moment où on choisit, il nous faut renoncer, et je pense avoir fait suffisamment de sacrifices au cours de ma vie pour ne plus avoir à renoncer : à présent, je veux aller là où le vent me mène. Ou plutôt, là où se trouve ma famille.
Qu’y a-t-il de plus important que la famille, après tout ? La véritable famille, je veux dire, celle qui reste pure, qui ne se souille pas de sang moldu ou de sang-mêlé. Je n’ai jamais soutenu ce bâtard impur qu’est Voldemort. Et je me fous pas mal de prononcer son nom : cette petite raclure et ses sbires m’ont pris mon fils, alors, j’aurais franchement plutôt tendance à vouloir en défoncer quelques-uns. Quant à sa bâtarde (quelle lignée digne de figurer dans le top des bouses de dragon !), n’en parlons même pas. Je ne vais pas avoir honte de cette branche de la famille, car, tout simplement, nous ne les considérons plus comme de la famille.
Cela ne veut pas dire pour autant que je soutiens l’ordre du Phénix : n’exagérons pas. Ces molduphiles sont bien trop éloignés de mes préoccupations. Mon allégeance va à ma famille et à nos traditions, à nos valeurs. Je prends ce qu’il y a à prendre là où je trouve mon intérêt.
Si cela vous pose un problème quelconque, n’hésitez pas à passer à la maison, on partagera un repas, vous et moi, et je vous expliquerai tout cela.
« Ο περιστρεφόμενος τροχός δεν σκουριάζει. »


Derrière l'écran
Pseudo ϟ Kathou
Age ϟ 33 ans
Scénario ou inventé ϟ inventé, sur la base d’informations établies avec Erebos Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 798258651
Comment as-tu connu le forum ? ϟ je pense que c’était sur le topsite de Bazzart… je m’y suis installée avec Willou et puis voilà Bobos ^^
Dernier mot ϟ j’vous aime Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 3358874030

« LipsLikeAMorphine »
Dossier ministériel n° 3001
Le nom de ma famille est Asclépiades et mes parents ont décidé de me nommer Phobos Antiphatès. Je suis né(e) le 10 juin 1968 dans cette belle ville qu'est Athènes, ce qui fait que je suis aujourd'hui âgé(e) de 51 ans. Je suis un sorcier et de ce fait le sang qui coule dans mes veines fait de moi un(e) sang pur , d’ailleurs, ma lignée est pure depuis des siècles. Lorsque j'étais enfant, je suis allé à l'école de sorcellerie de Poudlard, et j'étais dans la maison des Serpentard, ce qui m'a permis de devenir aujourd'hui médicomage spécialisé en pathologies des sortilèges. Depuis quelque temps, je donne cours à l’université, aux aspirants médicomages. Cette situation me permet également de gagner ma vie de manière plus qu’aisée et de vivre à Glasgow. Je suis veuf et d'ailleurs, j'ai une préférence pour les jeunes femmes. Je me suis procuré il y a de ça quelques années une baguette magique et la mienne est faite en bois d’ olivier avec un cœur de plume de phénix et elle mesure 33 cm. Elle me permet de faire apparaître une vipère ottomane comme patronus. C'est elle aussi qui m'aide à combattre mon épouvantard qui prend la forme de la tête de mon fils Agrios, coupée et présentée sur un plat, sous cloche avec un riddikulus qui transforme ma vision d’horreur en un immense gâteau dont jaillit une demoiselle aux hanches pleines et à la poitrine généreuse. La dernière fois que j'ai pu sentir une potion d'amortentia, elle avait la douce odeur de miel, de citron et de grillade, avec des odeurs d’herbes méditerranéennes et de mer. Je n'oublie évidemment pas mes rêves et lorsque je me place devant le miroir du rised, je vois ma famille, réunie et heureuse… ma femme et moi, avec nos trois enfants : Charon, Déimos et Agrios.. Il se trouve que j'ai également une particularité magique, je suis occlumens. Ah j'ai failli oublier, l'être qui m'accompagne aujourd'hui est une chatte, une maine coon plus précisément et elle se nomme Aphrodite. J’ai également une vipère de Milos mâle et elle se nomme Nemesis . Et pour finir je suis neutre.
  • Caractère

    1 m 86, costaud et relativement élégant ; quinquagénaire, mais loin d'être impotent, Phobos est un homme qui tient à son image. Il est doté de cheveux poivre et sel et d'une paire d'yeux couleur havane, des yeux profonds capables de vous vriller comme pour vous disséquer.
    Asclépiades se déplace avec grâce, presque avec légèreté, et se tient toujours bien droit. Son sourire est composé de dents parfaitement blanches et égales, qui lui confèrent un air à la fois charmeur ou froid et carnassier. Il porte une cicatrice à la main gauche, ainsi qu'au poignet de la même main, séquelles de quelques affaires dont vous préférez très certainement ne pas entendre parler.
    On pourrait croire que ce médicomage n’est que haine et cruauté, mais il n’en est rien. C’est un homme courtois et bien élevé, possédant une intelligence que l’on pourrait qualifier de géniale et ingénieuse sans paraître excessif. Poli et raffiné, Phobos est également très doué pour la cuisine et possède un talent gastronomique qui fait de lui un artiste. Son sens de l’humour n’a d’égal que son sens logique et esthétique. Son sens moral, s’il lui est tout personnel, n’en est pas moins très présent.
    Outre ses qualités, il est bien évidemment essentiel d’énumérer quelques défauts qui, pourtant, ne sont que des traits de caractère parmi d’autres. Asclépiades est un homme cruel et sans pitié. Il n’a jamais de remords et n’éprouve que rarement des sentiments de tendresse ou d’amitié. Insondable et paradoxal, cet anthropophage est une véritable énigme pour l’humanité : comment un homme aussi fin, aussi raffiné peut-il faire preuve de tant d’inhumanité ? Les rares spécialistes qui ont eu l’occasion de l’approcher et de l’analyser n’ont jamais pu déterminer, d’ailleurs, si Phobos Asclépiades était un psychopathe ou un sociopathe, puisqu’il possède des symptômes des deux diagnostics, mais pas suffisamment pour que ce soit déterminant aux yeux de la science exacte. Suite à ces analyses, de bons gueuletons ont eu lieu dans la famille Asclépiades et personne n’entendit plus jamais parler des spécialistes.
    On peut considérer Phobos comme un véritable homme de goût.
    D’ailleurs, le goût est l’un des sens les plus importants pour quiconque veut pleinement profiter de la vie. Phobos aime la fine cuisine, la gastronomie française (il possède le Larousse gastronomique en édition collector) et grecque, et se passionne pour l’art. Il aime les grands auteurs et y fait référence allègrement.



    Il y a des gens qui ont tendance à voir le mal partout… j’en fais partie, généralement. Le geste désintéressé, je ne connais pas : pour moi, l’être humain est foncièrement et fondamentalement un être désireux d’obtenir quelque chose. Moi-même, je ne me prive pas de mensonges et d’omissions pour parvenir à mes fins, quelles qu’elles soient. Certes, je peux avoir l’air de quelqu’un de prétentieux et d’arrogant – et, au fond, ce n’est pas tout à fait inexact – mais je suis surtout un homme calculateur. Mon attitude dépend très souvent de la petite idée que j’ai derrière la tête… Amical ou distant, sympathique ou froid… Ce n’est qu’une question de méthode.
    Avec les femmes, il ne faut pas se leurrer. Quitte à promettre monts et merveilles pour une conquête de plus, je n’en suis pas à une manipulation près. Les femmes me plaisent. Enormément. Ce serait tellement dommage de se contenter d’une seule alors qu’il y a tant de jolies dames et demoiselles qui pourraient m’attendre quelque part…
    Evidemment, comme tout le monde, j’ai aussi quelques qualités. Je suis un homme de bon sens et un homme de goût. Cultivé, je vois des références culturelles et artistiques là où personne ne voit rien. Mais j’exagère peut-être un peu… Soit. D’une nature calme et posée, je suis un type plutôt réfléchi. L’impulsivité, dans mon boulot, je ne connais pas. Avant l’action doit venir la réflexion. Cela explique, bien sûr, mon côté calme et observateur. Bien que je ne sois pas le meilleur dans le domaine, j’aime penser qu’il n’est pas mauvais non plus.
    Je suis un homme sérieux, qui cherche à faire son job le mieux possible… mais je peux me montrer particulièrement cabotin quand il s’agit de parler de moi ou de sujets un peu sensibles. En effet, j’aime cultiver un certain mystère autour de moi, quitte à passer pour un grand coincé ou un type taciturne. A part cela, il faut savoir que je n’ai jamais été capable de rester fidèle à une seule femme… Grand dragueur devant l’Eternel, depuis mon veuvage, j’entretiens toujours deux ou trois relations simultanées et ne refuse jamais une occasion de passer du bon temps en charmante compagnie.

    L’actualité, je m’en fiche un peu. J’admire parfois certaines choses. Par exemple, le crime me semble être une forme d’art comme une autre. Je respecte les gens du milieu, il y a comme un lien qui existe entre nous tous. La plupart des criminels cherchent la célébrité, le pouvoir ou l’argent… personnellement, j’ai déjà de tout cela en suffisance.
    Il est plus intéressant de voir quelles réactions peuvent avoir des personnes quand on les pousse jusqu’aux confins de leur résistance. J’aime entendre leurs cris, j’aime voir couler le sang, j’aime les nuances colorées que prend la peau humaine lorsqu’on la tanne à coups de batte ou de barre de fer. Il y a quelque chose de poétique dans tout cela.
    J’ai des talents culinaires et j’adore en profiter. Certaines de mes victimes finissent dans mon assiette et je m’en satisfais très bien. La chair d’un ennemi est source de force, c’est une croyance que les Amérindiens cultivaient depuis des siècles… Je me suis laissé prendre au jeu. Et l’être humain remplace très bien le porc dans certaines préparations !
  • Pensine

    2 MAI 1998. J’ai senti, en me réveillant ce matin, comme un appel intérieur. Une sorte de prémonition que n’importe quel sorcier intéressé par la divination se serait empressé d’interpréter. Mais je ne m’intéressais pas à ces disciplines incertaines. Ce malaise qui me tiraillait ne devait pas me quitter de la journée.
    J’avais lu, ces derniers temps, bon nombre d’articles faisant état de la situation plutôt secouée dans le monde magique anglais. Sur ma belle île de Crête, cela me semblait lointain, bien que mon fils et mon petit frère se trouvaient dans cet endroit.
    Il est de coutume, dans le Nid de Vipères, d’envoyer nos enfants étudier à Poudlard, puisque notre ancêtre Salazar fait partie des fondateurs de cette prestigieuse école. Je pose un regard sur une photo de ma femme, ma photo préférée, en réalité, puisqu’elle rayonne de bonheur, avec son ventre rebondi… Cette photo a été prise avant la naissance des jumeaux et la regarder me fait toujours le même effet. J’aurais aimé pouvoir arrêter le temps.

    Agrios, du haut de ses six ans, se réveille un peu après moi. Il déborde toujours d’énergie et je ne peux pas concevoir de lui montrer la moindre faille de ma part. Je dois être un père fort, sûr de lui, puissant et protecteur. Je me dois de lui enseigner les rudiments des règles familiales, pour que la lignée puisse continuer à s’épanouir dans la pureté et dans l’opulence. Et Agrios est bien mon digne fils.
    Il me saute dans les bras, comme si on ne s’était pas vus depuis une éternité alors qu’il ne s’est écoulé qu’une seule et unique nuit depuis la veille au soir. Mais c’est un enfant brillant et bruyant, comme tous les gosses que j’ai eus, en somme.

    Je confie Agrios à sa Yaya, qui vit près de chez nous, à Delphes, où nous vivons depuis peu. J’ai perdu ma femme, elle a été présente, ayant, elle aussi perdu quelqu’un. Nous sommes tous deux plongés dans cette douleur que crée le manque, comme une spirale qui vous ensevelit, sans que vous ne puissiez rien y faire…
    Avec Agrios, je vois cette femme sourire. On dirait qu’il est le seul à pouvoir encore lui faire étirer les lèvres de cette manière. C’est une grand-mère qui souffre, comme je suis un père qui souffre.

    Le hibou m’apporte la Gazette du Sorcier une fois que je suis à l’hôpital. Je suis censé opérer un jeune sorcier aujourd’hui, rien de bien compliqué, mais je ne sais pas pourquoi, pour une fois, je ressens le besoin de lire les nouvelles d’outre-Manche avant de me mettre à bosser pour de bon.
    Je déballe le journal et là, directement, mon sang ne fait qu’un tour. Les conflits se sont envenimés et Poudlard est une cible des mangemorts. Ça ne m’étonne qu’à moitié, puisque mon cousin impur n’a pas supporté d’être vaincu par un petit sang-mêlé binoclard et balafré. Mais ce qui m’inquiète, c’est que Charon est là-bas, avec Érebos. Mon fils et mon frère… eux qui ont grandi comme des jumeaux, vu le minuscule écart d’âge qu’ils ont… tous deux élèves à Serpentard, comme je l’ai été moi aussi…
    Ma mauvaise impression se précise. Je suis inquiet.
    Si ces foutus mangemorts envahissent Poudlard, je suppose que personne ne pourra rien faire pour protéger les deux adolescents. Ils n’ont même pas encore 14 ans et je me sens inutile, à rester loin d’eux en cette période critique.

    En dernière minute, j’enjoins ma secrétaire de tout annuler.


    « On reporte au moins d’une semaine, Leanor.» Aucune explication supplémentaire, je transplane pour prévenir Yaya que je vais m’absenter, puis, sans réfléchir, j’emprunte le réseau de cheminette pour rejoindre la Tête de Sanglier. Je me fiche du décalage horaire, deux heures, ce n’est rien du tout. Je ne fais que passer, mais il est évident, à entendre les cris, que Poudlard est en proie à un véritable carnage.

    Je pense que c’est mon instinct qui me guide, moi, l’homme posé et réfléchi, je panique intérieurement. Pour la troisième fois de ma vie, je me sens terriblement impuissant et la rage m’envahit. Je ne sais pas pourquoi, mais mon mauvais pressentiment se précise. Je fais aussi vite que je peux, je me laisse mener par le sang, comme s’il ouvrait la voie à mon passage…
    Et puis, tout devient flou. J’ai traversé l’école en lançant des sorts à l’aveugle, en marchant sur des gens, en cognant dans d’autres, sans distinguer s’il s’agissait de mangemorts ou non. Et je finis par arriver là où mon cœur m’appelait.

    Érebos est avec Charon. Il le serre contre lui, en sanglotant. Je fronce les sourcils, tandis qu’Érebos froisse les vêtements de mon fils. Mon fils qui est immobile, mon fils qui est silencieux… mon fils qui est… mort.
    Je serre les dents et les poings simultanément. Mes sourcils sont crispés et je sens le sang battre au niveau de mes tempes. Mon fils… Mon Charon…
    Je ne dis pas un mot, je ne verse pas une larme. Je reste de marbre, comme j’y ai été habitué toute ma vie. Je sens que mes yeux sont aussi noirs que possible. Je sens la colère sourdre en moi. Je sens la rage naître de cette énième injustice envers ma famille. J’en veux à Poudlard. J’en veux aux mangemorts. J’en veux à tout le monde… mais j’en veux encore plus à Érebos. Ce frère que j’ai pratiquement élevé… a-t-il seulement essayé de sauver mon fils ? Je n’ai aucune certitude à ce sujet et, dans le doute, je penche plutôt pour l’idée que mon frère n’a pas été à la hauteur.
    Je pose la main sur son bras, sans rien dire, et transplane, emmenant mon frère et mon fils à Chania, le berceau familial, là où je pourrais laisser libre cours à ma soif de justice.



Game of Blood Ϟ Tous droits réservés

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Anonymous
Invité
INRP
IRL
Mer 19 Juin - 11:09
Votre histoire
« Η ζωή θα έχει περάσει σαν ένα μεγάλο θλιβερό κάστρο που όλοι οι άνεμοι διασχίζουν.
»
Sous la forme d'un rp, d'un journal, d'anecdote d'une liste de course si cela peut vous faire plaisir racontez nous de manière rédigée l'histoire de votre personnage ! (800 mots minimum)

Athènes.
Je suis né dans la ville grecque la plus laide qui puisse exister. En réalité, à l’époque, la capitale était tout ce qu’il y a de plus beau, mais les choses ont beaucoup changé avec le temps. Heureusement, ma famille et moi ne sommes pas restés bien longtemps dans cet environnement citadin un peu trop peuplé à mon goût.
Nous partagions notre vie en deux temps et en deux lieux : la Crête pour les meilleurs moments de ma vie, le continent pour les pires.

Naître dans une famille de sang pur, ce n’est pas une sinécure. Être l’aîné de la fratrie l’est encore moins, car cela vous confère des responsabilités que vous n’avez ni demandées ni méritées.
Mon plus jeune frère a dix-sept ans de moins que moi. Cela vous donne une idée : ce garçon, je l’ai pratiquement éduqué, comme si j’étais son père. Alors que père et mère se réjouissaient de sa naissance, un peu tardive, je commençais à assumer mes responsabilités en accueillant mes enfants en ce monde, Charon et Déimos.
Mais soit, reprenons depuis le début.

Mes parents, Aric Asclépiades et Elisabeth Yaxley, tous deux sorciers de sang pur, se sont mariés quand ils étaient encore tout jeunes. Un mariage d’amour et de sang : le rêve de tout sang pur promis dès sa plus tendre enfance à une sorcière de sang pur qu’il ne connaît pas encore.
Dans nos traditions, beaucoup de mariages sont arrangés, longtemps à l’avance, sans que personne ne prenne en compte l’importance des sentiments. Mes parents ont été chanceux, puisqu’ils sont tombés amoureux après s’être mariés.
Ils étaient jeunes, ils étaient beaux… et je les ai rejoints environ un an après leur mariage. Je suis bien incapable de vous raconter ma naissance de mon propre point de vue, évidemment, mais je peux vous expliquer ce que mes parents m’ont raconté.
Je suis né au beau milieu de la nuit. Ma mère avait déjà ressenti les contractions les plus violentes dès seize heures, et elle a souffert le martyre jusque trois heures du matin. J’étais son premier enfant et ce jour-là, ma mère songea fortement que je serais sans doute aussi son dernier. Il faut croire que le temps efface les souvenirs des souffrances puisque, finalement, nous avons été six enfants, si je compte Helena.
Je vous passe les détails de l’accouchement, mais toujours est-il que je suis sorti tout bleu, le cordon ombilical enroulé autour de mon cou, comme une écharpe, ce qui a causé une belle frayeur à mes parents : ils venaient de passer onze heures à m’attendre, et je risquais de mourir étouffé avant même d’avoir pu respirer.
Le médicomage obstétricien qui s’occupait de ma mère a fait ce qu’il fallait, et je ne suis pas resté bleu bien longtemps, prenant bientôt une teinte beaucoup plus rose, comme tout nourrisson, couleur que j’arborais déjà, en journée, lorsque la tante Agrippine est passée nous voir.
Comme le veut la tradition familiale, elle est venue observer l’enfant que j’étais pour vérifier les dires de l’oracle de Delphes. Je reçus à l’occasion de cette visite le surnom, en fourchelang, de « Magnifique ». Il parait que la Pythie a vu en moi un garçon sur le passage duquel bien des femmes se retourneraient.
L’avenir confirmera cet oracle et, aujourd’hui, je ne compte plus les femmes qui sont passées dans mes bras et dans mes draps.

Chania.
J’ai passé mon enfance en Crète, plus précisément en Canée, dans la magnifique région de la ville de Chania. La région m’a toujours paru la plus belle du monde. Le paysage est varié, avec les montagnes blanches, la baie de Chania, la mer à portée de regard… Et pour qui s’intéresse un peu à l’Histoire, la Canée est riche en événements, de l’Antiquité à nos jours, et en occupations : minoenne, vénitienne, turque… Ce métissage historique a enrichi la ville à plusieurs niveaux. Encore aujourd’hui, j’aime marcher dans la ville et passer par les différents quartiers qui recèlent de toutes ces influences.
J’ai grandi dans la propriété familiale, une belle villa de style vénitien, agrémentée d’un jardin où poussent des oliviers et des herbes médicinales, ce qui n’étonnera personne, étant donné le lien de notre famille avec la médecine. J’ai toujours été attiré par les différentes méthodes de guérison, sans doute à cause de cet environnement propice.
A deux ans, je deviens grand frère pour la première fois. Ma petite sœur, Helena, était vive et pétillante, nous avons passé des heures à jouer ensemble. J’avais six ans lorsqu’un type complètement dingue l’a kidnappée, en 1974. Je me souviens très bien de l’angoisse de mes parents, des heures d’attente, sans la moindre nouvelle, et je me souviens encore mieux du moment où on nous a annoncé que son cadavre avait été retrouvé. Helena avait été souillée et mise à mort de façon très violente, puisque le rapport, que j’ai lu bien plus tard, faisait état de multiples fractures et de pertes de sang abondantes.
Je pense que cet événement m’a profondément marqué. Bien plus, peut-être que la normale, car j’ai commencé à ressentir des choses qu’un enfant de six ans n’est pas en âge de comprendre. Le désir de vengeance n’est pas un élément qu’on peut facilement expliquer, surtout à un môme. Je ressentais de la colère, presque de la rage et une furieuse envie de faire mal à quelqu’un. Ne voulant pas blesser ma famille, j’ai préféré me contenter d’animaux. D’abord des tout petits, puis des plus gros. De la souris à la chèvre, je n’ai jamais eu de souci et je pris l’habitude, chaque fois, de manger un morceau de l’animal que je torturais et tuais. Mais Père s’est rendu compte de quelque chose, puisqu’il a commencé à m’emmener avec lui plus régulièrement, comme pour m’empêcher de continuer sur cette voie, ou bien pour me distraire ou que sais-je… Quand on a six ou sept ans, les adultes sont juste des grandes personnes qui disent et font des choses qui ne sont pas toujours très logiques ni claires. J’aimais bien le goût du sang, ça me donnait comme une impression de métal sur la bouche, je trouvais ça intéressant. Et le fait de goûter à toutes sortes d’animaux, cela me faisait penser que j’étais capable de survivre dans n’importe quelles conditions. J’aurais pu être aventurier, je crois.
Mais je voulais mener ma propre enquête pour retrouver le salaud qui avait kidnappé ma petite soeur, bien que Père soit déjà sur la piste du coupable grâce à des contacts qu’il avait dans plusieurs domaines. Il m’a expliqué, avec d’autres adultes, pourquoi il fallait laisser faire la police, que cet homme était un moldu et que c’était à la justice moldue de se charger de lui… mais il n’y a rien de plus injuste que la justice, n’est-ce pas ? Avec quelques drachmes bien placées, le vieil homme s’en est sorti avec une peine de prison qui me semble bien courte et une amende, comme si du temps et de l’argent allaient vraiment réparer les dégâts !
Découvrant l’injustice de ce monde, j’ai juré de venger ma sœur, quitte à devoir attendre des années pour cela. Et je dus attendre bien longtemps, en réalité.
Pour mes 8 ans, je reçus une splendide dague en argent ciselé qui aurait, à la base, dû servir à ouvrir le courrier, il me semble. C'est pourtant avec cela que j’allais commettre mon premier meurtre, après avoir appris le maniement des armes à l’aide de livres et d’entrainement sur des animaux. C’était facile, les animaux ne donnaient l’alerte que s’ils n’étaient pas en confiance, il me suffisait de m’approcher doucement, de les tromper sur mes intentions et puis de faire ce que je voulais. Je finissais toujours par prendre un morceau de chair, que je faisais cuire et que j’ingérais. Certes, les enfants de mon âge n’avaient ni les mêmes centres d’intérêts, ni les mêmes rêves, ni les mêmes jeux, mais j’avais, ancré en moi, ce profond désir de faire justice et de venger Helena.

Je retrouverai, quelques années après la tragédie, la trace de l’assassin de ma sœur, et «goûterai» ma vengeance. J’ai pénétré chez lui, la nuit, à pas de loup. Le vieux avait quitté la prison une ou deux semaines auparavant, j’avais eu l’occasion de l’observer et j’avais pu glisser suffisamment de valériane dans sa réserve de vin pour l’endormir profondément.
J’avais longuement pensé à cet instant, à la manière dont j’allais procéder, à ce que je dirai à ce salaud avant de lui porter un coup fatal. C'est cette dague qui me permettra de tuer sans aucune gêne le vieillard qui avait violé ma petite sœur avant de la tuer de façon honteuse. J’ai pris un réel plaisir à l’émasculer, tandis qu’il vivait encore, puis à l’égorger et le laisser se noyer dans son propre sang. Je n’ai pas résisté à l’envie de lui briser quelques os et de découper la peau et le muscle, un peu comme le font le guérisseurs moldus, à ceci près que j’ai cuit des morceaux de sa chair sur un barbecue improvisé. J’avais quinze ans, presque seize et c’était la première fois que je mangeais de l’être humain. Je ne comprenais pas pourquoi on ne tuait pas les salauds pour les manger. Ça me semblait à la fois une belle punition pour eux et une belle satisfaction pour les autres. Dans bien des cultures, manger son ennemi est vu comme une manière de s’approprier sa force et sa puissance… De fait, je me sentais bien mieux après cet événement et j’avais l’impression très nette que j’avais bien agi.
Père avait tout deviné, bien sûr, et tout vu, également, puisque ce jour-là, il avait tout observé en étant caché un peu à l’écart. Je ne savais pas trop s’il avait eu l’intention ou non d’intervenir à un moment ou un autre. Peut-être même que Père a agi en même temps que moi et que ce n’est pas ma valériane et ma dague coupe-papier qui sont à l’origine de la mort du vieux, mais je n’eus jamais l’explication à tout cela. Père posa une main sur mon épaule et il transplana jusque chez nous, m’emmenant avec lui. Jamais nous n’avons parlé ouvertement de ce qui s’était passé, mais il est évident que Père serait toujours là pour me protéger.

A partir de ce jour, j’ai décidé que mes frères et sœurs étaient sacrés et que je ferais toujours tout pour les défendre, corps et âme.
Une enfance et une adolescence presque heureuses, en somme, à ceci près que je ne me remettrai jamais tout à fait de la perte de ma sœur, même après la naissance du reste de la fratrie.

Poudlard.
En 1979, j’entre à Poudlard, là où ma mère a fait ses études. Le choixpeau m’a envoyé très vite à Serpentard, comme une évidence. Je fis la connaissance, à l’époque, de quelques sorciers relativement connus aujourd’hui, comme les Lestrange, Malfoy, Ombrage.
Adolescent taciturne et réservé, je n’ai pas fait de grands éclats durant ma scolarité à Poudlard. Je ne voulais pas être remarqué, tout simplement parce que cela ne m’intéressait pas. Père avait entrepris de m’enseigner l’occlumancie, il était persuadé que c’est quelque chose d’important en ces temps troublés. J’aime apprendre, alors je n’allais pas refuser. Et puis, je me dis que ce sera peut-être utile en temps voulu.


C’est par un courrier de ma mère que j’ai appris, alors que j’étais en troisième année, que j’étais fiancé à Belisama, une jeune sorcière grecque de sang pur, originaire des Cyclades, petite-cousine de ma mère. Cette lettre ne me fit rien ressentir de spécial. Je savais que c’était là ma destinée et qu’il me fallait accepter les choses, pour ne décevoir personne.
Comme ma promise n’était pas à Poudlard, nous avons entretenu, pour commencer, une relation purement épistolaire, par échanges de hiboux. Au fur et à mesure, je découvrais une fille intéressante : elle était intelligente, avait bon goût en littérature, semblait intéressée par beaucoup de choses qui me plaisaient aussi. Bref, nous faisions connaissance par écrit et nous apprenions à nous apprivoiser, petit à petit. Cela ne m’a jamais empêché d’avoir des copines, de toutes sortes, mais je n’ai jamais parlé ouvertement de mes fiançailles lors de mes études à Poudlard. Pourquoi aurais-je dû le faire ? la jeunesse n’est-elle pas la période de la vie où l’on est censé profiter et s’amuser le plus ?

Je ne sais pas trop à quel moment je suis tombé amoureux, mais je ne pouvais pas rêver mieux que Belisama. Nous partagions beaucoup de points communs, tant au niveau des idées, que des habitudes… pour les goûts, je n’ai pas avoué tout de suite à ma promise que j’aimais la chair humaine, mais je savais qu’elle serait ouverte à cela, elle qui était si compréhensive et si tolérante.
Je n’avais aucun doute, mon chemin était tout tracé et pas une seule fois je ne me suis posé la question de savoir si je voulais vraiment de cette vie-là. J’imagine que je n’ai jamais rien voulu d’autre.
Mes études à Poudlard ne furent pas vraiment brillantes, mais pas nulles non plus. Je ne travaillais que pour les cours qui me plaisaient, en réalité : les potions, les sortilèges, la défense contre les forces du mal. C’est à peu près tout. De fait, je n’attendais qu’une chose : rentrer en Crète pour de bon et y apprendre l’art de la médicomagie.
Je rentrais pour les vacances, évidemment, et je rencontrais régulièrement Belisama dans ces périodes. Nous devions nous marier dès la fin de ma scolarité. Je ne fus jamais déçu par cette jeune fille. Que ce soit son sourire, sa grâce ou son humour… je pense avoir été séduit tout de suite. Nous avons fait l’amour ensemble pour la première fois lorsque j’avais quatorze ans. Et nous remettions cela chaque fois que c’était possible. Quand j’étais en sixième année, nous l’avons fait durant les vacances de Noël… et Belisama se retrouva enceinte des jumeaux. Nous avons dû précipiter les choses pour respecter la tradition, notre mariage eut donc lieu alors que j’allais entrer en dernière année à Poudlard.
Je devins père le 21 juin 1984 de deux magnifiques enfants, minuscules car prématurés : Charon et Déimos.
Cette double naissance a été un véritable déclic pour moi. Je ne pensais pas qu’il était possible de ressentir aussi intensément les événements. Et puis, deux jours plus tard, mère mit au monde mon plus jeune frère, Erebos. L’oncle de mes enfants était plus jeune qu’eux de quarante-huit heures. J’étais heureux.
Mais le lendemain, le 24 juin, Déimos est mort. Bien sûr, il était plus faible, à cause de cette naissance anticipée, bien sûr il y avait des risques… mais je ne m’attendais pas à cela.
Mon monde s’écroula une première fois.

Chania.
Après ma dernière année à Poudlard, je revins au pays pour de bon, avec la très ferme intention de ne plus partir vivre dans des contrées tristes et nuageuses comme l’Angleterre ou l’Écosse. J’avais appris la magie, je parlais dorénavant un anglais parfait et j’avais des relations avec les familles de sang pur anglophones.
Le reste de la fratrie allait suivre le même chemin.
Le jour me semblait moins clair, la lumière moins vive, le ciel et la mer moins bleus… Toutes celles et tous ceux qui sont passés par là vous le diront, on ne peut pas se remettre de la perte d’un enfant. Je ne fais pas exception. Je prenais régulièrement Erebos à la maison, pour que Charon puisse jouer avec lui, parce que, psychologiquement, mon fils avait besoin d’une moitié pour son développement, un enfant comme lui était fait pour grandir en binôme, cela se voyait tout de suite dans ses attitudes.

A côté de cela, je travaillais comme un fou pour obtenir le poste de mes rêves. J’étudiais la médicomagie traditionnelle, puis, plus tard, la chirurgie, chez les moldus, à Paris, dans l’université très réputée de la Sorbonne. Outre la médecine, j’en profitais pour apprendre la langue de Voltaire et pour découvrir les hauts-lieux de la capitale française.
Après la médecine générale, je choisis de me spécialiser dans la chirurgie, un domaine très peu représenté en médicomagie, évidemment, puisque nous n’ouvrons pas les gens et nous ne les recousons pas… alors, cette fois encore, j’allais apprendre par les moldus.
J’avais la chance d’avoir un nom à la réputation de guérisseur, cela me fut bien utile pour me former facilement dans des hôpitaux renommés.
Je ne fis qu’un an d’études en chirurgie. Ce qui m’intéressait, c’était de découper les personnes, mais je savais bien que cela ne m’ouvrirait aucun avenir dans notre monde et je ne voulais pas travailler chez les moldus.
Belisama me fit le bonheur de me donner un autre fils, Agrios, qui me sembla aussi têtu et ambitieux que moi, avant même qu’il sache parler ou marcher. Charon était fier d’avoir un petit frère, Erebos aussi. Nous étions heureux.
A 25 ans, diplôme de médecin en poche, je pus gagner ma vie comme je le voulais. C’était en 1993 et je ne voulais pas penser à l’actualité du monde magique – l’actualité est toujours pourrie – alors que nous étions bien, en famille.
Je pense que si Déimos avait pu vivre, nous aurions été encore plus heureux.

Je pratiquais la médecine en horaire réduit, afin de pouvoir continuer à me former. Les pathologies des sortilèges, cela s’étudiait en 2 années de spécialisation. Il me fallait de la patience pour atteindre mon rêve. Et j’eus cette patience.

Les années passèrent et je regardais toujours avec bienveillance les membres de ma famille. Erebos grandissait pratiquement avec Charon, puisqu’ils étaient du même âge, cela me semblait logique que mon frère puisse avoir mon fils comme meilleur ami, si l’on peut dire.
Nous avons toujours vécu comme une famille soudée, avec des traditions respectables et respectées, et je suis persuadé que cela fait notre force.

Londres.
Quand Charon et Erebos ont eu onze ans, en 1995, ils furent inscrits à Poudlard, comme le veut la tradition. Pour leur première rentrée, je me suis chargé d’emmener ma femme et ma mère pour accompagner les deux garçons à Londres, d’abord sur le Chemin de Traverse, pour y acheter de quoi compléter leur matériel, puis à King’s Cross, pour leur expliquer comment se passera leur scolarité à Poudlard et leur donner mes derniers conseils.

Le temps passe, les actualités ne peuvent pas être plus secouées. Je sais bien que mon fils et mon frère sont en sécurité à Poudlard, mais tout le monde sait que notre cousin impur a recommencé ses frasques et qu’il a, à nouveau, constitué une armée de mangemorts. Avec tout cela, le travail ne manque pas. Il faut soigner, traiter, calmer… quand c’est faisable, je sauve des vies. Mais je ne sais pas si tout cela s’arrêtera un jour… Quand je peux, je m’octroie un morceau de choix, souvent près des côtes, là où ça ne se voit pas trop, et je me cuisine des mets délicats en rentrant. Belisama n’a jamais voulu goûter à cela, mais mes enfants ont eu l’occasion plus d’une fois et Agrios est celui qui semble le plus apprécier ces mets raffinés.
Je fais des allers et retours entre Chania et Londres régulièrement. Ma femme aussi.
Ces conflits autour de deux sorciers impurs ne nous concernent pas, mais nous en payons, nous aussi, les pots cassés.

Belisama Yaxley-Asclépiades a été tuée lors qu’une opération menée par des aurors. Elle se trouvait au mauvais endroit au mauvais moment, pour ainsi dire… mais la violence de l’affrontement auquel elle n’avait pourtant pas pris part, la heurta de plein fouet.
D’aucuns appelleraient cela un accident, mais je n’ai rien pu faire, moi qui ai sauvé tant de personnes, je n’ai pas été foutu de sauver ma propre femme !

Ce que personne n’avait prévu, c’était que Belisama ne resterait pas de ce monde. Agrios avait à peine deux ans lorsque mon épouse perdit la vie dans un accident. J’ai bien essayé de l’opérer, de réparer les dégâts, mais… je n’ai pas été à la hauteur, ou bien il était trop tard… j’ai fait tout ce que j’ai pu, mais ce n’était pas assez… Je devins veuf en 1997.
Je n’ai jamais voulu me remarier. Je n’avais aimé qu’une seule femme dans ma vie et, encore aujourd’hui, j’ai le sentiment que passer la bague au doigt d’une autre serait une véritable trahison envers Belisama.

Delphes.
La mort de Belisama a été une épreuve terrible. Pour la deuxième fois, mon monde s’effondrait. Je n’avais jamais imaginé que cela puisse arriver, que des aurors puissent commettre une erreur comme celle-là… Aucun discours ne refermera jamais cette blessure, j’en suis parfaitement conscient. J’ai eu envie de leur faire la peau, littéralement. Mais un auror qui disparaît, cela signifie dix à quinze aurors à vos trousses. J’attendrais le temps qu’il faudra, mais j’aurai un jour ma vengeance.

Partir vivre quelque temps à Delphes a été nécessaire pour moi. Non pour voir la Pythie – je redoutais ce que l’oracle pouvait m’annoncer comme nouvelle catastrophe – mais pour changer d’air, pour me ressourcer. Charon était à Poudlard, toujours avec Erebos, alors j’ai déménagé avec mon fils Agrios. J’ai entrepris de lui apprendre tout ce que je pouvais. J’avais l’impression d’avoir un peu trop délaissé mes enfants, avec tout ce qui s’était passé récemment, et je ne voulais pas que mon plus jeune se renferme sur lui-même, alors qu’il avait une personnalité tellement solaire…

Nous avons fait beaucoup de marche en montagne. Cela soulage l’esprit tout en offrant les plus beaux paysages. J’ai emmené mon fils faire le tour du pays, visiter les Météores, faire un tour au Pirée, voir le canal de Corinthe et le théâtre d’Épidaure… Et durant tous ces moments, je lui enseignais la magie et les choses de la vie.
A Delphes, nous avons créé des liens solides avec un couples de bijoutiers, Dina et Vasili. Comme nous étions loin de tout, Agrios considérait Dina comme une grand-mère de cœur, sa « yaya » comme il l’appelait. Elle était suffisamment présente pour me permettre de souffler et de me retrouver un peu seul quand j’en avais besoin.

Ce 2 mais 1998, quand un hibou est arrivé à Delphes, j’ai su que ça n’allait pas. J’avais un mauvais pressentiment et, moi qui ne suis guère très porté sur les prédictions, je n’ai pas longtemps tergiversé, j’ai suivi mon instinct.
Les aurors m’avaient volé ma femme, les mangemorts m’avaient volé mon fils.
Je sentis que tout se déchirait en moi. La vie s’acharnait comme s’il n’y avait personne d’autre à harceler, comme si j’étais le seul homme sur Terre à devoir cumuler les mauvaises nouvelles et les pertes d’êtres chers… Je ne pus prononcer aucun mot. Je ne pus pas verser la moindre larme. Mon effondrement intérieur, qui survenait pour la troisième fois, était tel que je devins comme une enveloppe vide.
Comme maigre consolation, je ne peux que me dire que Charon n’était pas seul, qu’il est mort en compagnie de son « frère », Erebos… mais ce dernier n’a pas joué son rôle d’oncle correctement, il aurait dû défendre Charon bien plus et bien mieux que cela.
En réalité, ça n’aurait jamais dû arriver.
Je ressens beaucoup de rancœur vis-à-vis de mon plus jeune frère. Si au moins, il avait pu me donner l’identité du mangemort qui a fait ça, j’aurais pu venger mon fils. Mais ces imbéciles de mangemorts se cachent le visage, tant ils ont honte d’obéir à un impur…
Sans connaître le coupable, je ne vois pas d’autre solution que de tuer les mangemorts que je croise. Je sais très bien que les aurors me verront comme un allié, mais eux aussi ne perdent rien pour attendre. Cette guerre n’est pas la mienne ; ma guerre à moi, c’est la vengeance.

Glasgow.
J’ai quitté la Grèce pour un moment. J’ai beaucoup trop de mal à rester dans un environnement où j’ai été heureux, avec ma famille réunie autour de moi.
Je sens bien que je suis prêt à exploser, je bouillonne de l’intérieur, comme une potion qui serait restée trop longtemps sur un feu trop fort. Au fil du temps, ma haine et ma rage ne font que grandir. Je les cache la plupart du temps, grâce à l’occlumancie. Cela me permet de ne rien révéler autour de moi.

Glasgow est une ville grise. Y vivre me fait l’effet d’une punition, surtout y vivre seul, car maintenant qu’Agrios a 11 ans, il est parti à Poudlard, comme son frère avant lui. J’ai hésité à le laisser aller dans cette école qui n’a pas pu protéger Charon. C’est Erebos qui m’a en partie convaincu. La guerre est finie, il ne se passera plus de catastrophe comme celle qui a coûté la vie à mon fils. En attendant, je ne suis pas plus rassuré que cela. Agrios est le dernier enfant qu’il me reste, celui que j’ai le plus envie de protéger, forcément…
Je me retrouve seul, sans avoir la moindre raison de me lever le matin. J’ai le sentiment que tout est foutu, que je dois assouvir ma vengeance pour pouvoir me retrouver un peu. Mais je ne suis pas sûr de moi. De qui dois-je me venger exactement ? De tous les mangemorts ? De Poudlard ? D’Erebos ? Qui est responsable de la mise à mort de Charon ?

Je me rends bien compte que je me morfonds, à tourner en rond dans cette ville grise et triste. Je me sens animé par un désir de vengeance et une soif de sang qu’il m’est parfois difficile de maîtriser.
J’ai donc finalement décidé de me recentrer sur le boulot. L’art de la guérison demande de la concentration et me force à penser à autre chose qu’à mes proches décédés. Ruminer, oui, mais pas ne faire que ça.
Mon boulot est de réparer les gens, remettre leurs organes en place ou en forme, vérifier que tout va plus ou moins bien et puis passer au suivant. Depuis que j’ai repris ce boulot, après une interruption nécessaire pour mon moral, je me permets régulièrement d’emporter l’un ou l’autre morceau que je prépare chez moi, pour le déguster le soir.
Je ne vais pas dire que cette petite manie me semble tout à fait normale, mais disons juste que manger de la chair humaine me donne un sentiment de puissance qui me fait du bien.

Université Poudlard.
En 2009, lors de la création de l’Université Poudlard, j’ai été engagé pour enseigner la médecine magique dans la filière de médicomagie. J’aurais volontiers signé des deux mains, mais je préférais garder un poste de médicomage à côté, pour rester au courant des procédés en application dans la pratique et ne pas raconter trop de conneries à mes étudiants.
Être enseignant n’était clairement pas un premier choix pour moi, et je sais qu’il m’arrive parfois de manquer de psychologie pour comprendre mes étudiants. J’essaie d’être à l’écoute, mais quand une étudiante vient me voir pour discuter, je ne peux m’empêcher d’imaginer des choses bien différentes d’une simple conversation. Que voulez-vous, je suis humain… et si j’ai décidé de ne pas me remarier, je n’ai jamais rien dit concernant les aventures et les maîtresses. Alors, si une étudiante pense qu’en couchant avec moi, elle aura plus de chances de réussir, je ne la contredis pas, car j’aime le sexe, mais je dois reconnaître que cela n’altère pas mon jugement pour autant. Disons juste que j’en tire le bénéfice que je peux y trouver, comme je l’ai toujours fait.

Aujourd’hui, cela fait dix ans que je vis comme cela. Je bosse encore à l’hôpital régulièrement, mais je suis plus souvent à l’université. Mon fils a 27 ans et il ne vit plus chez moi. Alors je peux facilement amener qui je veux à la maison et faire ce que je veux, qu’il s’agisse d’une partie de jambes en l’air ou d’un repas carnassier, je prends la vie du bon côté. Et je me fous de ce qu'on dit de moi.

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Mer 19 Juin - 12:46
YOUUUUUPIIII UN PROF A TORTURER <3<3<3<3


Rebienvenue parmi nous mister :D bon courage pour ta fiche
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Mer 19 Juin - 13:12
Charmant monsieur que voilà Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 1848932734 Toute ironie à part, Noctis veut bien apprendre à fureter dans les organes et le sang avec lui  Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 3591612274

Rebienvenue parmi nous Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 2357130225 Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 8298856
Le résumé présenté pour la demande de DC avait l'air très cool, j'ai hâte d'en savoir plus Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 3570364663

Elise de Lestang a écrit:
YOUUUUUPIIII UN PROF A TORTURER <3<3<3<3

OUI Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 794825412 Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 794825412 La team medicomagie va pouvoir faire des siennes Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 1848932734
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Adèle de Lestang
Adèle de Lestang
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Lumos
Je rp en : #666699
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Mer 19 Juin - 13:22
Ha ça je ne ferais que confirmer les dires de mes collègues en médicomagie xD La classe de première année, c'est la torture Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 1848932734

Rebienvenue avec ce nouveau perso Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 1616589981



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Mer 19 Juin - 17:12
Aaaaaah déjà des étudiants... Vous allez voir à qui vous avez affaire, chers petits Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 1386311327

@Elise de Lestang Es-tu sûre que c'est le prof qui sera torturé ? Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 1460222910

@Noctis Lestrange Ah ah, évidemment ^^ je ne joue que des personnages hyper classe et géniaux Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 798258651 mais si tu veux apprendre, je te montrerai les meilleurs morceaux et comment les prendre sans éveiller les soupçons.

@Adèle de Lestang Si tu le dis... qui vivra verra Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 3591612274

En fait, vous n'avez encore rien vu, c'est surtout ça ^^
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Soledad Velasquez
Soledad Velasquez
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Métier : Co-gérante du Witches Bazaar et diseuse de bonne aventure au cirque Neverland sous le pseudonyme de "La Catrina". Intervenante occasionnelle aux cours de divination à Poudlard. Sorcière accréditée auprès du Ministère de la magie.
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Lumos
Je rp en : #9999FF
Mon allégeance : L'Ordre du Phénix, ma famille & Doryan
Mer 19 Juin - 23:20
Re-bienvenuuuuue Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 836441773

Je vois qu'on a un personnage très spécial intéressant par ici Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 1848932734
Bon courage pour cette nouvelle fiche j'ai hâte de voir ce que tu nous réserves ! Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 8298856



— And all the pieces fall right into place
So it goes
I'm yours to keep and I'm yours to lose

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Jeu 20 Juin - 9:49
@Soledad Velasquez Merci, gente demoiselle :) ce sera un plaisir de ta faire partager un moment de lecture Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 798258651
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Ven 21 Juin - 10:53
Mon grand frère adoré Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 3038106599
enfin, adoré... Ouais non phobos il fait peur même s'il est beau gosse Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 1676306253 tandis qu'érebos, il fait peur physiquement mais c'est une guimauve Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 855979679
BREF, je t'aime, tu sais où me trouver si tu as une question et tu me réserves un RP au chaud Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 794825412
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Invité
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Ven 21 Juin - 12:30
Cher petit frère... je n’hésiterais pas, tu me connais, mmh?
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Sam 22 Juin - 14:40
Re bienvenue avec ce nouveau compte **
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Anonymous
Invité
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Sam 22 Juin - 17:16
@Caitlynn Yaxley Merci à toi ^^ justement, je me demandais si nos personnages n'allaient pas avoir un lien de parenté, vu que la mère de Phobos est Elisabeth Yaxley...
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Invité
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Ven 28 Juin - 22:42
Je pense finir ma fiche dans les prochains jours.
En ce moment, la fatigue accumulée a un peu raison de mon inspiration et de moi...
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Invité
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Jeu 4 Juil - 17:26
Rebienvenue avec ce perso qui fait pas du tout peur Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 1386311327
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Sélénya Macmillan
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Lumos
Je rp en : #ff9900
Mon allégeance : L'ordre du phénix
Jeu 4 Juil - 18:07
Rebienvenue par ici Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 1616589981 Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 3038106599 Je suis bien contente de ne pas être en médecine Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 1386311327






☽☽ Aujourd'hui mon coeur est un phare qui éclaire l'obscurité et je l'allumerai pour toi je ne l'éteindrai jamais ☾☾

(c) champi




♥:
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Invité
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Jeu 4 Juil - 19:32
@Jimmy O'Malley Je vous remercie pour votre sincérité, jeune homme ^^

@Sélénya Macmillan Si vous changez d’avis, je suis ouvert pour donner des cours particuliers quand vous le voudrez Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 798258651
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Adèle de Lestang
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Lumos
Je rp en : #666699
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Ven 5 Juil - 23:38
J’aime bien ton style d’écriture. C’est vrai que je n’ai pas encore eu l’occasion de RP avec Will, mais du coup j’ai apprécié lire ta fiche, enfin si on écarte certains passages à ne pas lire avant de manger Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 1848932734

J’ai cependant quelques remarques à te faire :

Citation :
Pour mes 8 ans, je reçus une splendide dague en argent ciselé. C'est avec cela que j’allais commettre mon premier meurtre, après avoir appris le maniement des armes à l’aide de livres et d’entrainement sur des animaux. Je retrouverai, quelques années après la tragédie, la trace des assassins de ma sœur, et « goûterai » ma vengeance. C'est cette dague qui me permettra de tuer sans aucune gêne le vieillard qui avait violé ma petite sœur avant de la tuer de façon honteuse. J’ai pris un réel plaisir à l’émasculer, tandis qu’il vivait encore, puis à l’égorger et le laisser se noyer dans son propre sang. Je n’ai pas résisté à l’envie de le démembrer et j’ai cuit des morceaux de sa chair sur un barbecue improvisé. J’avais dix ans.

C’est quand même un peu jeune pour un acte aussi violent et calculé, enfin surtout que c’est la première fois qu’il tue. Et pour le côté démembrement et cannibale c’est rapide aussi. C’est son premier meurtre et il décide comme ça de le manger ? Une progression serait quand même plus logique, là il n’y a pas de signes avant-coureurs, il ne commence pas petit à petit. Bref c’est jeune et soudain, il faudrait que tu apportes quelques modifications pour que ça reste crédible. Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 836441773

L’autre chose qui m’embête c’est la spécialisation « chirurgie magique » qui pour moi ne peut pas exister. Les sorciers à priori n’ouvrent pas et ne recousent pas les patients. Ils considèrent les méthodes moldues comme barbares. Je te cite mes sources, dans le cinquième livre lorsque Harry va pour la première fois à Sainte-Mangouste, il demande si ce sont des médecins. Ron répond « Des médecins ? Tu veux dire ces moldus cinglés qui coupent les gens en morceaux ? Non eux ce sont des guérisseurs. ». Un peu plus loin dans le livre, Arthur se fait disputer par Molly parce qu’il a expérimenté avec un stagiaire en médicomagie la technique moldue des points de suture. Et Hermione parle des points de suture dans le 6ème livre et on la regarde bizarre quand elle explique ce que c’est. Bref du coup, ton histoire de chirurgie me chiffonne et ce serait mieux de partir sur une autre spécialisation plus raccord avec le monde magique.

Dernière chose, je crois qu’il y a une incohérence entre la pensine et l’histoire. Dans l’un, Phobos est à Delphes le 2 mai avec son fils où il prend l’air et dans l’autre il est à Chania, et même à l’hôpital. Je suis perdue du coup, quelle est la bonne version ?

Ha et je suppose que tu as vu avec Erebos pour ta fiche, tout est ok pour lui au niveau histoire?

Voilou voilou Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 1616589981



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Sam 6 Juil - 8:40
@Adèle de Lestang J'ai modifié :) Sorry pour les incohérences qui sont apparues, j'ai écrit la fiche en plusieurs fois et je n'avais plus forcément le fil conducteur à l'esprit Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 855979679

@Érebos Asclépiades Frérot, tu peux passer faire un petit coucou pour donner ton aval ? Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 1460222910
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Adèle de Lestang
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Lumos
Je rp en : #666699
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Dim 7 Juil - 20:55
Bon en attendant que @Érebos Asclépiades @Hyacinthe C. Chang @Thaddeus Deadman @Swanhild Yaxley (ouais je tague tout, comme ça on est sûrs^^) ramène ses fesses pour donner son aval ou te faire part de ses remarques si besoin, je te communique mes nouvelles impressions.

Donc oui tu as mis la progression et c'est très chouette (même si vraiment quel gosse lol Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 1848932734), mais je bloque toujours sur l'âge de 10 ans :/ ça reste jeune pour cet acte et pour le cannibalisme. J'ai demandé leurs avis aux filles et on se demande pourquoi ne pas faire réaliser cet acte vengeur et cannibale plus tard ? Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 239894567 Si on reprend des histoires de cannibales, très souvent ça vient vraiment plus tard.

Pour la spé c'est ok, et la justification chirurgie auprès des moldus me va aussi, par contre tu as laissé traîner quelques histoires ou ton perso ouvre et recouds dans le cadre de son job. Je te laisse y regarder Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 1616589981



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Lun 8 Juil - 13:42
coucou, désolée pour le petit délai !

pour moi c'est ok bien entendu Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 3038106599 je vous laisse voir dans le staff pour vos petits points à revoir, mais de mon côté c'est bon !
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Invité
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Lun 8 Juil - 19:43
@Adèle de Lestang Voilà, j'ai changé l'âge pour mettre 15-16 ans. J'ai également retiré ce qui concernait la couture XD

Sorry pour le temps que je te prends, du coup... Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 855979679
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Lumos
Je rp en : #666699
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Lun 8 Juil - 21:52
Et du coup c'est bon pour moi  Phobos,  το χειρότερο δεν έχει έρθει ακόμα 1616589981



Bienvenue chez les ...



Sorciers

Félicitation à toi te voilà fraîchement validé !!!

Tu vas pouvoir parcourir le forum de fond en comble et pouvoir rp à gogo ! Nous te conseillons tout de même de passer ouvrir ta fiche de lien et aussi ton hiboux afin de recevoir ton courrier. N'oublie pas de remplir ton profil, si un lieu te manque où si tu souhaites obtenir ton logement, c'est par ici que ça se passe.N'hésite pas aussi à te détendre dans la partie flood et même à venir nous faire un petit coucou sur la chat box  Si tu as une question ou même une suggestion tu peux venir dans ce sujet et n'oublie pas que nos boîtes à mp sont toujours ouvertes

Amuse-toi sur GoB !!!



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