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Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes,
alors pensez à les privilégier pour vos personnages

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chasing the dragon (thaddeus) :: Three Broomsticks :: Pensine :: Les RPs
Anonymous
Invité
INRP
IRL
Jeu 30 Mai - 1:37
thaddeus & noctis


Une sensation bizarre te remonte le long des tripes, excite ton myocarde de façon malsaine et t'serre la gorge avec violence. Pas d'envie de vomir en perspective, pas d'gueule de bois qui se profile à l'horizon, rien que la fin de tes études qui t'fous le cafard, qui t'mets la cervelle à l'envers. Mains dans les poches, regard rivé vers le lac noir et les montagnes qui se dessinent dans son horizon, clope coincée entre les lèvres, tu pensais pas qu'ce serait aussi casse-couille de partir d'ici. C'était donc cela, la soudure dont t'avais entendu parler lors de ta première année, l'fait que Poudlard serait une maison bien au delà de la répartition ? Il t'avait fallu sept putain d'années pour t'en rendre compte, t'avais eu besoin d'avoir les pieds au bord du précipice pour te rendre compte que tu faisais face au vide depuis bien longtemps. L'année n'avait pas été pénible, pourtant, il n'y avait que les deux dernières semaines depuis que les épreuves des aspics étaient terminées qui te paraissent pénibles et interminables – tu n'souhaites pas redoubler pourtant, t'as envie de commencer tes études supérieures à l'université, mais tu n'sais pas trop, t'es nostalgique, encore une preuve de ta connerie ou d'ta faiblesse sûrement. Tu chopes ta clope entre les doigts, souffle une fumée violette dans les airs – t'aimes bien les cigarettes ensorcelées qu'on peut s'procurer dans l'allée des embrumes. Celle des moldus sont pas trop mal non plus mais la teinte blanche et opaque qui s'élève d'entre leurs lèvres t'paraît trop fade, trop répétitive et manquant d'saveur. Leurs clopes n'font pas non plus d'effets visuels, comme l'orchidée qui vient de prendre forme pendant quelques secondes devant ton regard avant de s'évaporer au gré du vent, comme les têtes de morts de celles que tu fumes parfois avec ton père lorsque tu le vois en coup d'vent. Cela existe pourtant, t'as déjà vu des moldus faire des ronds de fumées, mais cela reste des cercles basiques, d'une simplicité enfantine, même s'il se raconte au creux des ruelles de Camden Town qu'il faut d'l'entraînement pour arriver à un tel résultat. C'est c'que t'as entendu dire en tout cas, tu n'vois pas pourquoi tu n'y accorderais pas un certain crédit – après tout, tu ne connais pas des masses le monde moldu et t'es obligé de faire confiance aux confidences qui te parviennent dans les tympans pour t'y adapter. Tu jettes un bref regard sur ton bras droit – t'as eu la politesse de mettre un tee-shirt pour l'un des derniers jours qu'tu passes dans le coin, histoire qu'ils ne gardent pas l'image d'un nudiste en c'qui te concerne – pour observer la fine cicatrice, le petit trou percé dans tes veines à force de t'piquer à longueur de temps.

Y a peut-être de cela dans ta nostalgie aussi, l'angoisse de partir tout l'été dans un pays qu'tu ne connais pas, mais tu peux plus vraiment faire marche arrière. Déjà parce que t'inscrire en centre de désintox t'as coûté une blinde et qu't'as sorti l'argent de ton boulot d'escort – mais même si tu l'avais tiré d'un des coffres forts familiaux à Gringotts, cela t'aurais fait chier d'le foutre en l'air pour rien. Ensuite parce que t'as déjà prévu d'confier A-J à ton père, en prétextant que tu dois faire un stage aux états-unis dans un hôpital histoire de couvrir tes arrières en filière de médicomagie si tu as réussis tes ASPICS et qu'annuler au dernier moment cela ferait con, sinon suspect. Puis pour finir, t'as envie d'ralentir sur la came, parce que tu peux être un déchet pour tout le monde, pour toi même en premier, tu veux pas l'être aux yeux d'ton gosse et si tu continue à glisser sur cette pente, tu le deviendras forcément un jour. T'as pas envie de voir dans ses yeux l'même mépris, l'même dégoût que celui qui règne dans les tiens quand tu t'regardes dans un miroir. De toute façon, c'est que deux mois, cela peut pas être la mort, tu vas pas en clamser – t'espères, tu sais pas trop. T'as pas voulu lire ou entendre de témoignages sur la désintox parce que tu flippais de t'en dégoûter et de renoncer à cause de la douleur, du manque, de devenir un gros porc addict à la bouffe à cause des munchies ou tu n'sais pas quelles conneries. Paraît que le plus douloureux c'est pas d'arrêter la came pourtant, paraît que c'est l'alcool avec le syndrome du delirium tremens. Tu verras. Tu veux pas y penser à l'avance, c'est la raison pour laquelle ce soir tu t'mets une dernière fois la tête à l'envers avant de partir en désintox. Les vacances commencent dans deux putain d'jours, ton entrée au centre est dans une semaine à peine, c'est le meilleur moment pour en profiter parce que c'est le dernier avant deux mois et qu'tu seras avec un pote pour cela. T'as pas organisé de fête depuis cinq jours malgré la fin de l'année scolaire, tu t'réservais pour Thadd, finir en apothéose avec un pote pour terminer tes études dans le coin en beauté – en dépit d'la douleur qui t'agresse le bide, le cœur et l'crâne, de l'angoisse de partir ailleurs et de n'pas y être aussi bien. Mais tu t'en balances, tu vas décompresser, l'cerveau anesthésié entre deux rails de coke et quelques champignons – quelques, c't'un putain d'euphémisme parce que t'as déjà eu l'occasion d'voir quelquefois la salle sur demande transformée en zone de shoot et c'est épique à regarder, à utiliser encore plus. Au fil des pensées qui t'envahissent le crâne, la nuit commence à tomber, l'solstice d'été s'achève et avec lui un truc qu'on appelle la fête de la musique dans le monde moldu, qu't'a retenu parce que les gens boivent et sortent dans les rues ce jour-là et qu'ta la mémoire qui fonctionne bien quand on parle de picole. Y a des reflets incandescent qui s'couchent sur le lac noir, de l'orange, du violet, du jaune, du rose qui s'alignent et se dispersent sur l'étendue aquatique et comme t'es pas sûr de retrouver cela ailleurs, comme t'es pas sentimental et qu'tu laisses cela aux gonzesses, tu jettes ta clope presque entièrement consommée au vent et tu remonte l'une des allées du parc en direction du château, mains de nouveau enfoncées dans les poches et sourire aux lèvres. Tu n'tiens pas à donner l'illusion que t'es triste de partir d'ici. Tu parcours une partie du retour vers le château puis tu bifurques brusquement vers la droite, en direction du saule cogneur, parce que t'as des trucs à récupérer à Londres avant de rejoindre Thadd' et qu'tu ne peux transplaner que dans la cabane hurlante, vu qu'elle n'appartient plus à Poudlard mais à Pré-au-Lard.

Tu r'viens au château une heure plus tard. T'as fait le tour des coins les plus connus, l'allée des embrumes évidemment, mais Brixton également au passage, pour récupérer auprès d'un contact des champis et des joints moldus, histoire de comparer avec les magiques que t'as pu choper juste avant, au milieu de cames plus fortes dans le quartier le plus malsain du Londres sorciers. Tu profites de ton passage en zone moldu pour choper de la coke, histoire d'voir ce qu'ils trouvent si sympa dans les rails qu'ils s'foutent dans le nez – t'es plus seringue et substances magiques d'habitude, mais tu n'veux pas mourir trop con. Après, tu reprends le chemin de Poudlard, après t'être foutu à l'écart pour transplaner et t'assurer de n'pas être observé. Ta marge d'avance assurée, parce que la salle sur demande est capricieuse et que tu n'sais jamais si elle répondra ou non à ton appel, tu regagnes pour de bon le château en prenant l'apparence d'un prof pour être sûr de ne pas avoir de soucis avec l'heure tardive. Ce serait un peu con de s'faire renvoyer à deux jours de la fin de tes études collégiennes, en admettant que t'es pas foiré tes ASPICS – à bien y réfléchir, c'plus pour les profs que t'espère avoir réussi parce que les pauvres, au bout de sept ans à te supporter en retenue et dans les couloirs, ils doivent être au bout du rouleau ou pas loin.
S'ils doivent te supporter une année supplémentaire, c'est peut-être à eux que tu devras proposer la came que tu revends sous le manteau depuis des années dans le coin.

Tu grimpes les étages plutôt rapidement, serrant ta sacoche dans laquelle les substance douce que t'as pris pour Thadd se mélangent aux plus dures que t'as payées pour ta conso personnelle. Sept étages, à gravir au fil des caprices de cent-quarante-deux escaliers bougeant à leur guise. T'as de la chance, ils cassent moins les couilles qu'en journée et l'autre avantage sur la période diurne, c'est qu'les portraits sont en train de pioncer dans leurs cadres – tu t'fais jamais trop repérer durant tes sorties nocturnes grâce à cet atout mais tu préfères assurer ta sécurité en gardant le physique d'un prof jusqu'à l'arrivée. Le retour au cachot plus tard, dans la nuit ou la matinée selon l'temps que tu passes à t'shooter pourrait te dégoûter d'avance, mais tu t'en fous – la redescente jusqu'à ta salle commune ne sera pas la plus dure que t'auras à supporter dans les heures à v'nir. Arrivé dans la zone souhaité, tu fais le détour par deux trois couloirs avant de te retrouver devant la zone prévu. Tu passes trois fois devant l'emplacement de la salle en demandant le lieu de tes désirs, un peu stressé qu'elle n'apparaisse pas cette fois-ci. Tu te plantes devant ensuite, attendant un temps et elle se dessine au moment ou ta déception commence à se pointer, au bout d'une petite minute d'attente.

❝ Tss, connasse va, t'aimes te faire désirer ? ❞

T'hésites un moment, les doigts d'la main gauche déjà glissés sur la poignée, que t'entrouvres légèrement pour jeter un rapide coup d'œil à l'intérieur. C'est ce que tu cherchais, une salle de shoot qui t'amuse, parce que c'est marrant de voir qu'elle peut créer de la drogue et pas de la bouffe par exemple – t'as bien fait de prendre des champignons magiques comme moldus pour Thadd. Satisfait, tu refermes la porte et tu te recules de quelques pas, en te préparant à te planquer en cas de mouvement suspect. Techniquement, personne d'autre que le poufsouffle ne devrait venir te déranger à l'heure qu'il est, mais tu restes près d'une colonne avec la gueule d'un enseignant le temps qu'il arrive malgré tout.

❝ Enfin connasse, façon de parler hein, l'prends pas mal et restes là. J'attends un pote et on arrive. ❞

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Anonymous
Invité
INRP
IRL
Ven 31 Mai - 22:13
chasing the dragon
ft. Heimir & Thaddeus
21.06.18 ▬ Salle sur demande Poudlard est notre maison. Beaucoup d'élèves clament ce dicton, qu'ils soient actuellement à l'école ou qu'ils y soient passé autrefois, il y a quelques années, il y a plus ou moins longtemps. Et ce dicton a tout à fait lieu d'être. Je suppose que d'une manière ou d'une autre tout le monde est attaché à Poudlard après y être passé. Sept ans, c'est relativement long. Je viens de terminer ma septième année de scolarité, pourtant ce n'est que la sixième d'un point de vue éducatif. Je fais partie des très rares élèves à avoir redoublé, avec une bonne raison c'est certain. Un cinquième année manquée, totalement foiré à cause de la Narcolepsie dont je suis atteint. Une copie blanche aux BUSE en botanique qui pourtant est  la matière en la quelle je suis le plus doué. Alors, il a été décidé qu'avec des circonstances pareilles il serait plus sage de redoubler pour assurer mon avenir, pour choisir mes cours en sixième année. Appuyé par mon directeur de maison et mon professeur de Botanique principalement, mais pas tous les autres également. Je ne suis pas ce qu'on pourrais appeler un mauvais garçon. Ni même un fainéant. Un Poufsouffle travailleur faisant honneur aux valeurs de sa maison, un élève qui a toujours fait de son mieux malgré quelques difficultés. Alors me voilà, sept année à Poudlard, sixième année validée je l'espère. Les résultats arriveront d'ici quelques temps par hibou, mais je suis assez confiant. J'ai fourni des efforts, eu de l'aide de certains amis et surtout volé les notes de cours d'élèves en septième année avec qui je suis amis. Des gens avec qui je suis arrivé à Poudlard, des gens qui eux n'ont pas redoublé. Des gens qui l'an prochain, vont partir vers de nouveaux horizons.

Tapis dans le terrier des blaireaux, je profite encore un peu de ce canapé si confortable qui donne tout droit sur un soupirail. Au niveau du sol, le parc offre aux Poufsouffles un angle de vue différent et tout à fait unique. J'aime cet endroit, même si je peste parfois moi aussi avec un brin de mauvaise foi que je préférerai être ailleurs qu'enfermé à l'école. Comme être dehors, dans la nature perdu au milieu de nulle part, loin des hommes. En pleine Jungle Amazonienne, ou dans les hauteurs d'une montagne pourquoi pas les Pyrénées Franco-espagnols. Je suis pourtant sociable, mais j'aime parfois être seul au monde, n'être entouré que de la nature et de son calme apaisant. A une échelle moindre, la salle commune des jaunes et noir me donne cette même impression d'humilité. Nous pauvres humains, que nous soyons homme ou femme, sorcier ou moldu ne sommes rien comparé à la magnificence et à la force de la nature. Il suffit de voir quand elle reprend ses droits sur des structures humaines abandonnées. Ou quand elle décide de se révolter, pour nous rappelle que nous ne sommes rien face à une avalanche ou une coulée de lave d'un volcan en éruption, voire un tsunami ou un ouragan. Si je préfère nettement les plantes, je sais pertinemment qu'elles ne sont pas totalement inoffensives. Pas toutes, certaines sont très bien capables de se défendre et de nous tuer, là où d'autres nous soignent et nous aident. L'existence humaine est futile, il faut s'y faire. Des organismes simples comme les végétaux ont plus de chance de survie que notre espèce. Et parfois, j'aimerai avoir une machine à remonter dans le temps. Remonter plus loin qu'un retourneur de temps ne me le permettrais j'imagine, loin loin loin il y a des milliers d'années en arrière. Pour voir la terre plus verte que jamais, plus belle qu'elle ne l'est désormais, mais également létale. Les forêts primaires sont des vestige de ce temps glorieux. J'ai donc noté : aller en Amazonie sur la liste de choses à faire avant que la mort ne vienne me faucher pour rétablir cet ordre cosmique des choses, qui dit que tout à un commencement et une fin et que tout n'est que cyclique à commencer par l'existence elle-même.

Soupirant longuement je regarde le soleil décliner par la fenêtre longuement, et lève ensuite les yeux vers la petite pendule accrochée au dessus d'un ficus magique qui a l'étrange particularité d'avoir des feuilles bleues sentant la vanille. Il est bientôt temps de dire au revoir. A qui ? A Noctis. Qui fait partie de ceux qui après les vacances d'été, ne seront plus là le premier septembre. Je me souviendrai toujours de la tête qu'à faite ma mère, quand en revenant pour les vacances de Noël elle m'a tout naturellement demandé si je m'étais fait des amis à l'école. Quand le nom de Noctis Lestrange est venu sur le tapis, elle a bien failli s'étouffer avec son huitre pendant le repas de Noël ! Notre famille est tout sauf pure. Mon sang est mêlé et les Deadman ne semblent jamais avoir fait attention à ce genre de choses. Ma mère est une cracmole, mon père un inconnu au bataillon. Ma grand mère est de sang mêlé et son père était né moldu. Alors clairement le mot pureté ne viendrais à l'esprit de personne pour décrire la famille des Deadman. Macabres et excentriques sans doute, suivit de compatissants et bons. Nous sommes après tout les croque mort sorciers les plus recommandés de toute la grande bretagne magique. Si bien que même si notre maison de l'allée des embrumes est censée être une maison funéraire, elle est toujours pleine de vie. C'est triste en fait maintenant que j'y pense, puisque les vivants qui viennent nous rendre visite sont ceux qui viennent enterrer un proche. Mais ce n'est pas vraiment le moment de me déprimer. Passant par le dortoir des garçons pour récupérer mon sac à dos bien rempli, je sors ensuite discrètement du terrier des blaireaux pour me faufiler jusqu'à la salle sur demande, où Noctis et moi avons rendez vous. Ce soir, ce n'est que nous deux. Et personne d'autre. Juste lui et moi.

Rampant à moitié dans l'antre étroite d'un passage secret pour couper les étages du rez de chaussée jusqu'au cinquième, une fois sorti de derrière la tapisserie j’époussette mes vêtements et contemple les deux étages qu'il me faut encore monter. Je soupire longuement et emprunte donc les escaliers, restant attentif au cas où un professeur n'arrive subitement. Il ne vaut mieux pas que je me fasses prendre. Surtout avec ce que j'ai dans mon sac à dos. Je me doute que Noctis aura pris ce qu'il faut, mais je tenais aussi à ramener de nouvelles choses. Surtout ma première récolte fructueuse de mon plan de cannabis, nommé Céleste, que je compte goûter en sa compagnie ce soir. Mais également ce que j'ai trouvé dans la forêt interdite, dans mon coin à champignons comme j'aime l’appeler. Ceux-là sont mangeables, mais ce n'est pas le genre avec lequel on fait des omelettes pour autant.

En dehors de ces choses relativement illicites bien qu'elles ne soient pas spécialement dangereuses ni mortelles, j'ai aussi expressément demandé à Nikolai de m'envoyer un peu d'encre à ensorceler, en provenance de l'allée des embrumes. Il faudra se démerder avec des aiguilles et ne pas rater le sortilège, mais je suis certain que cette idée plaira au Lestrange. A l'idée d'être de nouveau piquée et imbibée d'encre, je sens ma peau frémir et quelques uns de mes tatouages magiques réagir. Les lettrages s’agitent de même que le serpent sur mon cou qui commence à sortir la langue sous la curiosité. Arrvant finalement au septième étage, je me stop en voyant le professeur d'étude des runes. Avant de constater qu'il ne porterais sans doute jamais ce genre de vêtements, même en dehors des cours. D'un pas assuré, comprenant qu'il s'agit d'un petit stratagème du Lestrange, je m'avance donc et remonte mon sac à dos sur mes épaules : « Bonsoir Professeur. J'allais rentrer consommer de la marijuana dans la salle sur demande justement, vous venez avec moi ? » échangeant un sourire complice avec le Serpentard reprenant son apparence normale, nous nous engouffrons dans la salle sur demande. « J'ai prévu le coup, j'ai demandé aux elfes de maison des cuisines de nous faire un gâteau, on va avoir faim comme d'habitude. » C'est tout de même étrange que cette salle ne puisses pas nous faire apparaître de la nourriture tout de même. Et sacrément contraignant, quand on sait que le cannabis a tendance à donner faim et soif. Je suppose qu'en plus de mille ans d'existence, le Lestrange et moi-même ne sommes pas les premiers à y venir pour fumer un joint.
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