Sous la forme d'un rp, d'un journal, d'anecdote d'une liste de course si cela peu vous faire plaisir  racontez nous de manière rédigée l'histoire de votre personnage ! (800 mots minimum/5000 mots maximum)

Il était une fois l’histoire de mes parents, la rencontre entre l’amour et la passion, une rencontre qui a donné naissance à un être magique. Je suis née au Japon, mais avant de vous raconter mon histoire, je dois vous raconter l’histoire de mes parents. Car sans leurs rencontres, je ne serais pas là aujourd'hui.

Mon père s'est rendu au Japon après ses études à l’école de sorcellerie présente en Angleterre, plus connue sous le nom de Poudlard. École que j’ai connue à travers les livres et grimoires relatant certains faits et les dires de mon père et mes cousins Abigaïl, Kyle et Moira. Mais nous nous éloignons du sujet, revenons en au fait !

Mon père a quitté l'île South Uist,, son île natale où se trouve la résidence de mes grands-parents, c'est une petite île qui se situe dans les îles Hébrides en Écosse, pour rejoindre les doux paysages du Japon, plus exactement la belle ville d’Osaka. Il s’y est rendu pour en découvrir un peu plus sur les dragons et leurs légendes qui vont avec, il ne s’attendait très certainement pas à rencontrer l’amour de sa vie. Ma mère a grandi au Japon, mes grands-parents maternels ont déménagé d’Angleterre quelques années après leur mariage, pour s'installer à Osaka, une ville que ma grand-mère affectionnait, puis les années ont passé et ils n’ont pas bougé, appréciant leurs petites vies là-bas. Cela explique le fait que je n’ai pas de traits japonais.

Mais ce n’est que quelques années plus tard, au détour d’une ruelle, qu’il va la voir pour la première fois. À la recherche d’un célèbre grimoire sur la Dragonologie, il décide d'entrer dans la boutique et quand son regard croise celui de la jeune femme, c’est le coup de foudre. Vous savez, ce sentiment intense que l'on a trouvé sa moitié, la personne avec qui nous avons envie de finir nos jours. Un rendez-vous, puis un second, un emménagement ensemble et deux ans après cela et suite à une demande en mariage des plus simple, ils s'unissent lors d’un mariage simple, comme leurs amours, en présence des gens qu’ils aiment tous deux.

Ma naissance a lieu environ dix mois après cette date, en mai mille-neuf cent quatre-vingt-huit. Je suis du signe du zodiaque du dragon (Tatsu) c’est plutôt ironique quand on connaît la passion qu’ont les Macfusty pour les Dragons.

Me voilà donc dans l’histoire, j’ai toujours connu mes parents heureux et empli d’amour. Durant mes sept premières années de vie, j’ai vécu avec tout l’amour et la bienveillance que je puisse avoir. J’ai grandi dans les rayons de la boutique de ma mère et les récits et recherches en dragonologie de mon père. J’ai découvert le monde ainsi que les espèces protégées de l’île des Hébrides à travers cela, mais ma passion pour les livres a rapidement pris le dessus sur tout le reste, mon destin était scellé, je savais que je voulais devenir libraire comme ma mère et de venir en aide au clan à ma façon. En effet, les Macfusty depuis des générations sont chargés de veiller sur les dragons natifs de l’archipel, les îles sont simplement comme une grande réserve naturelle, elle nous permet de les étudier à bonne distance, tous les membres ont leurs rôles à jouer de par leurs spécialités quel qu'elle soit.

Contrairement à Poudlard, l'âge de l'apprentissage est à sept ans. J’ai donc fait mon entrée à l'école de sorcellerie de Mahoutokoro, même école que celle où ma mère a fait sa scolarité quelques années auparavant. Nous sommes répartis dans des équipes, la mienne fût celle des batteurs. S'ensuivit une scolarité sans embûche, en effet, étant une élève attentive et dans la moyenne, je suis restée sur le droit chemin tout au long de ma scolarité.

Entre temps, mes parents, des membres de l’ordre sont rappelaient par le clan pour affronter le mage noir du nom de Voldemort. Ils me confient aux soins de mes grands-parents du côté de ma mère. J’aurais apprécié les suivre, mais ils me jugeaient trop jeune pour combattre à leurs côtés. Ils avaient probablement peur des séquelles que j’aurais pu avoir. Car la guerre ne fut pas sans conséquence, des blessures, des cauchemars et des cicatrices avaient marqué les corps et les esprits de mes parents.

S'ensuit le choix pour les études supérieures, je fais le choix de ne pas poursuivre et je décide dans un premier temps de devenir la seconde de ma mère dans la boutique familiale japonaise. Puis vers l’âge de vingt-cinq ans, nous décidons de déménager pour revenir à la source, j'emménage à Londres au-dessus d’un local en vente, tandis que mes parents retournent sur l’île de mon père auprès de mes grands-parents paternels. Je connais Londres, même si je continue à le découvrir, nous avons fait plusieurs aller-retour durant ma jeunesse entre les îles et le continent.

Le local étant vide, je ne tarde pas à faire part de mon idée à mes parents. Ils m’aident pour investir dans le local qui se trouve à la fois du côté sorcier et moldu (Oui, la magie fait plutôt bien les choses.) c’est alors que le Part Chemin voit le jour, nous sommes en deux mille douze, le calme est encore présent. Quelques années plus tard, en deux-mille dix-sept, je prends la décision de rejoindre l’ordre du Phénix comme la plupart des membres de notre clan.

Mais avec le temps, je tâche de ne pas trop me faire remarquer, tentant de ressembler le plus possible à une moldue normale afin de ne pas attirer l'œil, j’use de la magie du côté moldu que quand il y a une vraie nécessité.

Je suis souvent présente derrière mon comptoir, un sourire au bord des lèvres, les cheveux souvent attachés en chignon au sommet de ma tête, parfois avec un crayon à papier, parfois avec des baguettes faites pour les coiffures et chignon japonais. Celui-ci abrite quelques livres et grimoires en attente d’être rangés sur leurs étagères. Vous verrez aussi une tasse contenant du thé ou un autre breuvage y a aussi sa place. C’est ranger sans l’être, une sorte de bordel organisé, ce qui fait le charme de l’endroit.

Vous verrez souvent les membres du clan dans la boutique, ma mère qui range les ouvrages, mon père sur l’une des tables du fond de la boutique écrivant ou étudiant des grimoires sur les dragons. Mes cousines, se chamaillant ou recherchant de nouveaux ouvrages à lire. La boutique est bien vivante et il fait bon vivre, un petit bout de paradis dans l’enfer de la réalité.

L’histoire reste encore à écrire,  mais nous allons nous mettre un peu a jour !

Bien des choses se sont passé sur la dernière année, j’ai quitté Londres précipitamment après avoir annoncée a ma cousine et sa femme que j’attendais un enfant, je n’étais alors qu’à neuf semaines de grossesse, nous étions en mai deux mille vingt-et-un. Je suis parti sans rien dire à personne ne laissant qu'un mot, que ce soit mon entourage ou les quelques amis que j’avais.

Vous vous doutez bien qu’Aby “aka : la meilleure cuisine du monde” n’a pas dû comprendre le mot que j’avais laissé sur ma porte “ Je pars, ne me cherchez pas. ” Évidemment, les hiboux m'arrivaient toujours, mais je ne donnais aucune réponse !

Un an, c’est donc écouler, j’ai pris soin de moi et de mon corps meurtrie, en effet, j’ai mené ma grossesse jusqu’au huitième mois, j’étais bien, mais il y a eu de nombreuses complications, j’ai dû me reconstruire et je le fais encore. Mais je me dois de reprendre ma vie, je ne peux pas continuer de vivre ainsi, rien ne fera revenir mon enfant, rien ne changera ce qu’il s'est passé.

Cette année m’aura marqué physiquement, laissant des traces, des cicatrices.

L’éloignement de la famille n’aura pas aidé, c’est pour cela que je suis de retour, j’ai aujourd’hui plus que jamais besoin d’eux.