Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes, alors pensez à les privilégier pour vos personnages
Quelle est votre allégeance ? Développer quel camp votre personnage a choisi de rejoindre : Que pense-t-il de cette bataille en sous-main ? A-t-il un avis sur les moldus, les sorciers ? Que pensez-vous de la pureté du sang ? Etes-vous investi, impliqué ? Jusqu’à présent, Jordan avait beaucoup trop de soucis personnels à gérer pour se préoccuper de l’état du monde… Enfin ça ne l’a pas empêché d’installer l’application permettant de traquer les sorciers - sans mettre les notifications par contre - et, ça ne l’empêche pas, non plus, de se demander à chaque nouveau client si ce n’est pas un de ces satanés trucs qui grouillent dans les rues complètement anonymes. Peut être qu’il est allé à un meeting du Blood Circle une fois… Peut être qu’il y retournera à l’occasion.
« Vanité des vanités, tout est vanité »
Derrière l'écran Pseudo ϟ Mely Age ϟ 34 ans Scénario ou inventé ϟ Scenario de Jonas Tallec Comment as-tu connu le forum ? ϟ via un annuaire RPG Dernier mot ϟ C’est très chouette par chez vous m’sieurs dames.
« by visenya-den »
Carte d'identité n° xxxx
Le nom de ma famille est Millers -mais en vrai, faut pas prononcer le “s” - et mes parents ont décidé de me nommer Jordan. Je suis né le 24/02/1993 dans cette belle ville qu'est Londres ce qui fait que je suis aujourd'hui âgé de 29 ans. Je travaille comme libraire dans ma propre boutique et cette situation me permet également de gagner ma vie de manière plutôt correcte et de vivre à Londres depuis toujours. Je suis célibataire -incapable de s’attacher, toujours partant pour batifoler- et d'ailleurs j'ai une préférence pour, officiellement, les femmes. Et puis, maintenant qu'on en est aux petites confidences, il se trouve que mon signe astrologique est scorpion enfin non poisson, c'est que ce genre d'âneries ça me.... Mes hobbies sont la littérature et l’alcool. Mais la vie n'est pas toute rose et j'ai peur de de l’engagement et des sentiments, oh, et des poules aussi. Et pour finir je prête mon allégeance à personne.
Caractère
Dans la vie, tout est une question de point de vue.
Si vous croisez Jordan Millers dans un bar ou pendant une soirée - chose qui est plutôt commune, vraiment, on en n’est pas à chasser le dodo dans les fourrées - cet être vous apparaîtra comme drôle, plein d’esprit, provocateur parfois. Jordan est à la fois au milieu de la fête à discuter avec des gens, qu’il les connaisse ou non, il rit, fort, s’entoure, séduit. Et, à la marge, à faire des trucs stupides, des trucs interdits, à distribuer des patates pour un mauvais regard comme il a appris jadis en foyer, ou encore, à parier sa chemise dans des défis absurdes. D’ailleurs, vous pourrez vous dire que Jordan n’a pas beaucoup de pudeur, vu qu’il termine souvent assez dévêtu. Mais que voulez-vous, c’est plus fort que lui et puis, comme il a souvent plus d’alcool dans le sang, que de sang lui-même…
Si en revanche, vous croisez Jordan Millers dans sa charmante librairie, il sera calme, posé, attentif à votre demande, ou au livre qu’il doit être en train de lire. Dans sa fonction de libraire, le "presque" trentenaire est avenant, précis dans ses conseils, passionné. Il n'y a que dans cet environnement qu'il est un peu "maniaque" chaque livre est à sa place, il y veille particulièrement. Oh et ne lui parlez pas, par contre, de polar, ça a tendance à lui faire monter la moutarde au nez.
Là où vous ne le croiserez pas, en revanche, - et c'est bien dommage tant le Jordan présent ici est encore différent...- c’est dans sa caboche, une caboche qui pense, beaucoup, trop. Un esprit qui analyse, décortique, interprète… - Quoi ? Les 4 accords toltèques ? C’est du bullshit tout ça… - Fondamentalement, le petit Jordan est fier, très fier de celui qu’il est devenu, un peu revanchard sur la vie, un abruti fini en termes de rancœur. Il avance dans l'existence en se disant que ça pourrait être pire, que tant que personne n'est mort, globalement, ça va. Ca lui permet de prendre de la hauteur, c'est ce qu'il conseille souvent à son entourage, même s'il ferait mieux de se les appliquer plus souvent à lui même. En effet, Jordan Millers a souffert dans la vie, c’est certain, et ce n'est pas vraiment une excuse -si carrément…- mais pour lui ça justifie qu’il fasse n’importe quoi dans ses relations, qu'il papillonne, qu'il s'amourache pour quelques jours ou quelques nuits, mais surtout qu’il ne s’attache pas. La seule fois où il a donné sa confiance, remarquez, c’est à un certain Tallec et voyez où tout ça l'a mené… Le fils Millers a la trouille et quand il flippe, il a tendance à fuir, puis à le regretter… Il déteste ne pas avoir la maitrise des choses, mais il déteste encore plus se rendre compte que son coeur est vide, comme paralysé. Il devient alors le roi de la mauvaise foi.
Pensine
Tw : deuil, insulte, alcool
Parfois, l’esprit plongé dans un brouillard de spiritueux, Jordan Millers parvenait à se souvenir du jour où il avait été un sombre connard. Enfin, pour être plus précis, il parvenait à se souvenir de la première fois où il en avait été un… Parce que bien sûr, depuis, il avait eu l’occasion de répéter son exploit.
Corps endolori, esprit embrumé, odeur de lilas dans l’oreiller sur lequel repose sa joue, Jordan vient de se réveiller. Il a la bouche pâteuse, des relents d’alcool fort qui lui brûlent encore l'œsophage et l'estomac - alcool du genre de ceux que vous utilisez pour nettoyer votre maison ou allumer un feu… Oui c’est ça… Allumer un feu. Une petite lueur de satisfaction pétille à cette idée dans son regard embrumé. En buvant comme un trou, il ne fait pas qu’oublier sa condition de sombre connard, il fait également en sorte d’entretenir le feu qui lui cramait les entrailles. Le fils Millers réalise péniblement qu’il est dans un lit, un lit qui n’est pas le sien. Pas de panique, c’est un fait plutôt habituel, et Jordan connaît parfaitement la procédure d’extraction dans ces cas là. Alors dans une pénombre relative, il se tire du plumard accueillant et cherche sans un bruit, un par un, l’ensemble de ses vêtements parsemés ci et là, en veillant à ne pas sortir de son sommeil la sublime créature qu’il a dû, cette fois encore, faire sombrer avec lui. A aucun moment il ne se retourne vers elle, à aucun moment il ne prend le temps de l’observer dans son sommeil. Il s’en fiche, elle et lui ont eu leur moment d’extase, c’était bref et intense. Jordan ne s’attarde pas. Jamais… Ou presque. D’ailleurs, il ne lui viendrait jamais à l’idée de rester pour le petit déjeuner… Ahah… Quelle drôle d’idée… Une barre ignoble lui fend le crâne, tambourine à ses tempes, tandis qu’il enfile son tee-shirt blanc de la veille. Il a mal partout, surtout au coeur... Toujours sans un mot, sans un bruit, il se glisse dans la salle de bain, allume la lumière. Grimace déformant ses traits, rétines agressées. Il avise son reflet dans le miroir au-dessus de l’évier, fait couler un filet d’eau froide sur sa bouille chiffonnée et prend une seconde pour se regarder dans les yeux. Juste une seconde, parce qu'au-delà c’est déjà trop. Oui, il n’y avait que dans le brouillard des spiritueux que Jordan Millers parvenait à se souvenir du jour où il était devenu un sombre connard et où ça lui faisait presque quelque chose.
Il avait 15 ans, 15 ans et trois jours pour être précis, parce que c’était son truc à Jordan d’être précis. Le premier week-end après son anniversaire, il était plongé dans un roman d’Oscar Wilde qu’il devait lire pour le lycée… “Le portrait de Dorian Gray.”. Le fils Millers était un amateur de littérature, depuis tout petit, c’était sa fierté, son identité, et le “portrait de Dorian Gray” était / est toujours son ouvrage préféré. Cet après midi là, il faisait beau ou peut être qu’il pleuvait, difficile à dire, sa mémoire lui jouait des tours… Il se souvient juste qu’il a été infecte toute la journée, lui, il voulait lire son livre, pas sortir se balader, pas aller faire les boutiques avec sa mère comme un foutu gamin, pas être trainé entre les rayons d’une vieille boutique, Jordan n’en avait rien à faire de ses fringues, il voulait juste lire. Et ça, ses parents avaient un peu de mal à le comprendre. Comprendre un ado n’était déjà pas chose aisée, mais pire pour eux, ils ne parvenaient pas à comprendre l’attrait de leur môme pour la lecture, encore moins, pour la littérature. Franck et Clara Millers étaient des gens simples, des gens qui avaient trimé toute leur chienne de vie pour parvenir à s’offrir l’objet de leur rêve, un bar, rien qu’à eux.
“Bien !! Dans ce cas là… Tu es puni Jordan Millers !” S’emporte son père en pointant du doigt le haut de l’escalier vers lequel se trouve alors sa chambre. Jordan se souvient de la gifle qui siffle jusqu’à sa joue, de la douleur qui palpite dans sa caboche. Il se souvient de sa mère en pleure, du paternel qui la prend dans ses bras. Toute cette agitation causée par un vilain mot qu’il a prononcé à son encontre… Un truc humiliant, un truc qui vient rappeler à sa génitrice le mépris qu’il a pour elle parce qu’elle n’entend rien à la beauté des mots déclamés par Othello. Effort de mémoire vain quant au vocable exact. Il ne se rappelle que des sanglots misérablement étouffés et la profonde satisfaction d’avoir obtenu exactement ce qu’il voulait… Rester à la maison et lire.
La nuit était tombée à présent et ce qui l’avait sorti des images, nées de mots enchevêtrés sur une simple page, avait été justement que la lumière ambiante ne lui permettait plus de lire… Ou peut-être les coups insistants sur la porte d’entrée au rez-de-chaussée. Il sait juste qu’il a la flemme, oui, la flemme. Ce n’était pas la première fois que ses parents se trouvaient bloqués à la porte parce que leurs clefs étaient restées au bar, ou parce qu’ils avaient trop picolé pour trouver la serrure. Donc oui… Juste la flemme. Il finit les quelques lignes qui clôturent son chapitre. Se traîne jusqu’en bas. Réalise qu’il n’a pas mangé et qu’il a un peu la dalle, qu’un gyrophare bleu éclaire l’entrée par la fenêtre située au-dessus de la porte. Encore les voisins ça….
“C’est bon ! C’est bon papa, j'arrive, tu vas pas défoncer la po…”
Sauf que la porte s’ouvre brusquement. Sauf que derrière, ce n’est pas son père... Ca ne sera plus jamais son père, ni sa mère d’ailleurs. Ils sont morts tous les deux dans un foutu accident de voiture. Dorian Gray chute sur la moquette tachée. Le choc lui coupe le souffle, fait bourdonner ses oreilles, lui file un vertige. Il a compris, intellectuellement ce qu’il se passait, chaque mot prononcé par le policier qui se tient devant lui à un sens, terrible même. Mais c’est tout, ça ne provoque rien, rien à part un froncement de sourcils. La seule chose qui lui vient à l’esprit, c’est qu’il est en vie parce qu’il a insulté sa mère… Qu’être un sombre connard lui a sans doute sauvé la vie.
“Jordan ?”
La porte d’entrée vient de claquer légèrement derrière lui, de l’autre côté, il sait que Charlène ou Marlène ou peut-être Lise… Aucune idée… Vient de se réveiller. Il l’a entendu l’appeler de sa voix encore toute ensommeillée. Il sent son téléphone vibrer au fond de sa poche. Quel crétin de lui avoir filé son numéro. Mais il ne prend pas la peine de s’arrêter, il ne prend pas la peine de lui répondre. Aujourd’hui, on est le 3ème jour après son anniversaire, aujourd’hui, cela fait 14 ans que Jordan Millers est un sombre connard, que ça lui a sauvé la vie et qu’il se déteste pour ça.
Naissance:Franck et Clara Millers ont le plaisir de vous annoncer la naissance de leur fils, Jordan Millers ce 24/02/1993 à 04h30. Le faire-part est sobre, factuel, un peu kitsch avec son bébé livré par une cigogne. Il a été distribué à quelques amis, quelques clients, affiché sur la devanture du bar aussi, parce que les Millers n'ont pas vraiment de famille à Londres, ni ailleurs d'ailleurs. Les parents sont heureux d'avoir un enfant, c'est dans l'ordre des choses après tout ; le mariage, la maison, l'enfant, ne manque plus que le chien et le compte y est... Sauf que Clara est allergique aux chiens et que s'ils aiment leur enfant, ils sont un peu démunis face aux cris, aux pleures de ce petit être fragile. Ce qui est certain, "c'est que des petits Millers, il n'y en aura qu'un, c'est amplement suffisamment" annonce sa mère à qui veut l'entendre au bar.
5 ans :C'est la nuit du Nouvel An, la nuit du bug de l'An 2000. Tout le monde au bar est fébrile, l'ambiance est à la fête, l'alcool permet de faire retomber la tension que les médias n'ont pas cessé de faire monter. "A minuit, tout va sauter tu verras Jojo", lui souffle une habituée, l'haleine chargée de volutes de rhum. Elle est gentille Diana, elle veille toujours à ce qu'il ait des crayons et du papier pour dessiner pendant ses longues journées où il traîne près des tables. Elle vient lui lire des histoires quand il est couché dans son petit lit de camp et que papa et maman font la fermeture. Tout le monde à l'air très préoccupé par ce qu'il va se produire. Jordan, lui, assis sur un tabouret de grand, feuillète un livre pour enfant, il commence à lire tout seul de vrais livres et c'est un nouveau monde qui s'ouvre à lui.
13 ans:Hein ? Grandir dans un bar c’est pas ça la normalité ? Vous voulez dire que les enfants dans les familles normales vont se coucher à 21h grand max et pas à 3h du matin ? Que leurs parents prennent le temps de faire leur devoir avec eux sur la table du salon au calme et qu’ils ne se contentent pas de balancer un “mais réfléchis Jordan”, qui sonne mi reproche, mi supplique parce qu’en vrai le programme de 4ième c’est déjà un peu trop pour eux et que Jordan le sent bien qu’il doit se débrouiller tout seul ? Humm étrange… Etrange parce que sa famille n’est pas parfaite, son cadre de vie n’est pas tiré à quatre épingles, ses parents sont ce qu’ils sont et dans le fond, ça lui convient très bien comme ça. En plus, il y a pleins de gens sympas toujours au bar, de l’animation, des bons conseils sur la vie, des âmes charitables qui parfois en douce lui permettent de tremper les lèvres dans un fond de pastis ou de vodka. Son préféré, après Diana, c’est sans doute le vieux Murray qui tient une librairie.
15 ans: Sac sur l'épaule, le petit Jordan Millers vient d'intégrer un foyer pour orphelin. Il se souvient de ce moment un peu surréaliste où la directrice de l'établissement lui dit que "Bon, vu ton âge, ce n'est pas la peine de fonder trop d'espoir dans le fait d'être adopté... Et puis, on manque de famille d'accueil de toute façon, alors pour un ado de 15 ans...". Il lui fait face, elle, à son bureau, lui, debout, planté comme un couillon n’osant pas s’assoir, n’en ayant pas reçu la directive, ne comprenant pas vraiment ce qu’il fout là, enfin si, mais, bref… Elle tourne les pages de son dossier, lui lance quelques regards qui se veulent compatissant, rajuste ses grosses lunettes en écaille sur son nez... Jordan ne dit rien, les choses se font sans lui, les choses le dépassent. Il n'a pas encore pleuré, il n'a pas encore compris. Si elle prend soin des gamins comme de ses plantes toutes crevées, je suis pas dans la mouise.... Lui qui était déjà d'une âme solitaire, ce changement d'environnement et d'établissement n'améliore pas les choses. Pourtant, dans un sens, il se dit que ce n’est pas plus mal. Il ne pouvait plus supporter les regards pleins de pitié des autres élèves, ni de ses professeurs. Haussement d'épaules... Il sort son exemplaire du "portrait de Dorian Gray", lisant en boucle le dernier chapitre; celui qu'il lisait avant que tout bascule. Peut être que ça finira par faire changer les choses...
17 ans: Le foyer est devenu son royaume, pas son "chez lui" quand même pas... Mais en tout cas, il s'y sent presque en paix - quand ce n'est pas le cas, il joue un peu des poings, avec son mètre quatre-vingt presque atteint, il n'a pas peur de grand monde-. Dans sa chambre, étroite et peu éclairée, des livres, partout... Jordan a le chic pour attirer la sympathie, l'un des éducateurs notamment alimente sans cesse sa bibliothèque qui commence à déborder. Les livres, c'est vraiment sa bouée de sauvetage. Prit dans ses histoires, emporté par les mots, il se crée une autre vie, une vie loin du foyer et loin du deuil. Il est d'ailleurs en train de lire "Songe d'une nuit d'été" quand la porte de sa chambre s'ouvre. Son éduc', Ben, lui avait dit qu'il allait avoir de la visite, un petit nouveau un peu paumé. Un de plus, qui ne fera que passer lui aussi. C'est ce qu'il se dit, un peu amer... Mais bon que voulez-vous c'est son destin de rester quand tous les autres finissent par partir. Alors voilà le "Jonas". Affalé sur son lit - celui du haut, parce que droit d'ainesse clairement - Jordan glisse un regard dans sa direction... C'est vrai que ça n'a pas l'air d'aller fort, c'est vrai qu'il a l'air paumé... On dirait moi.En plus petit, et peut-être aussi avec plus de larmes.... Les présentations sont brèves, " je suis là si tu as besoin..." lui déclare t'il, et même si t'as pas besoin pense t'il, surtout, si tu crois ne pas en avoir besoin... Tu verras, les choses iront mieux et puis... Ca pourrait être pire, je pourrais ne pas être là pour toi, moi.
18 ans: C'est le grand jour. Jordan a 18 ans, il quitte le foyer... En partant, il a frotté un morceau de vieux fromage dans l'aération du bureau de l'exécrable directrice. Cette vieille harpie va s'en souvenir longtemps croyez moi.... Ses résultats au lycée sont satisfaisants, mais les grandes études ce n'est pas pour lui... Jordan ne vit que pour les livres, il se dégote un poste dans une librairie. Le gérant, c’est l’ancien habitué du bar de ses parents, Murray, un vieux papy ronchon qui n'y voit plus très clair et qui ne peut plus trop porter les cartons de bouquins. Derrière le comptoir, face à l'horloge comtoise qui bat la mesure, Jordan repense à Jonas. Son éduc' lui a dit, avant de partir, qu'il allait être pris chez une famille d'accueil... C'est une super nouvelle, il avait un peu peur de le laisser derrière lui. Mais d'un autre côté, quelque part, ça lui arrache un tout petit peu le cœur. Jusque là, c'était Jonas et Jordan contre le monde. Maintenant, il doit composer avec sa nouvelle famille. Haussement d'épaules, Jonas restera pour toujours son jeune padawan, quelle que soit la situation, il y aura toujours une place pour lui dans son petit appart de jeune actif, toujours une oreille compatissante, toujours un coup de main dans les sales histoires. Son téléphone vibre "Nouveau message de Jonas", le sourire sur ses lèvres s'élargit.
25 ans : Jonas a 21 ans, la soirée est dingue. Ensemble, complètement ivres, les deux compères se font tatouer, J+J. C'est un peu culcul, Jordan l'avoue bien volontiers, mais bon, c'est ça aussi de se faire tatouer sous alcool, une douce erreur, une folie à la cicatrisation aussi. Jordan est fier du jeune homme que devient son acolyte... Il est heureux aussi de pouvoir partager sa vie d'adulte avec lui, le gouffre dans lequel il plonge sans trop réfléchir paraît moins terrible avec Jonas à ses côtés. A la librairie, les choses s'accélèrent, la santé de son patron décline, il a de plus en plus de responsabilités... Sur un post-it, le vieux (son surnom affectueux) lui a indiqué qu'il veut lui parler de l'avenir de la boutique. Ca le stress un peu, Jordan, alors du coup, il lève le coude pour s'enfoncer un peu plus dans l'oubli, se rappelle que la vie pourrait être pire, se dit qu'il va se trouver une jolie demoiselle pour apaiser son coeur et enflammer ses sens. C'est un peu bizarre, parce qu'il a beau faire, il a l'impression que ça ne fonctionne jamais; lui et elles. Haussement d'épaules, il verra avec le temps.
26 ans : Jonas a dégoupillé... Oui, voilà ça doit être ça... Un moment d'égarement, une dinguerie astronomique... La sensation du baiser de la veille, plus que l'image qu'il en a, tourne dans sa tête en boucle depuis plusieurs heures. Ca lui tord les tripes, ça lui fait monter la rage... Jordan a beau se dire que c'était peut être juste un malentendu, rien à faire. Il revoit juste l'air hagard de son acolyte, l'incompréhension qui lui déforme le visage. Lui, il ressent juste de la rage... Qui est ce couillon qui l'a... quoi..."Embrassé" ? le mot lui fout des frissons. Impossible que ce soit Jonas. C'est mort. Il le connait Jonas... Et Jonas, ne ferait jamais ça. JA-MAIS. Ça se chamboule dans sa caboche, Jordan aime bien les étiquettes; que ce soit ordonné dans sa tête, classé, comme une bonne bibliothèque. Et ce geste, lui, ne rentre dans aucune des étiquettes qui balisent sa relation. C'est pas l'acte qui le chamboule, c'est les circonstances, c'est le silence, c'est l'imprévu, c’est qu’il croyait TOUT connaître de SON Jonas et qu’en fait non. Ce baiser sort de nul part. Ce baiser n'a aucun sens. Jordan rajuste sa chemise, passe sa main dans ses cheveux. Il doit aller faire passer un entretien d'embauche pour la boutique ce matin, le premier et il est à la bourre, génial... Bordel Jonas ! comme si j'avais que ça a gérer... Enfermé dans sa librairie, tard le soir, Jordan écoute d'une oreille la radio, tandis que penché sur son téléphone, il est obnubilé par le dernier message de Jonas qu'il a laissé en "vu" depuis plusieurs semaines. Les chaînes d'infos tournent en boucle sur l'existence d'un “monde magique”. Il relève la tête, écoute avec un peu plus d'attention. Ça lui provoque un sourire un peu amusé, curieux. Puis la voix de l'animatrice enchaîne "Pensez vous qu'il existe un lien entre criminalité et "sorcellerie" ? Pensez vous qu'ils représentent un risque pour nos concitoyens ?" Jordan n'a pas écouté la réponse, mais pour la première fois, il se met à penser en termes de "nous, le bon peuple d'Angleterre et de l'Humanité", contre "eux", la menace extérieure, insidieuse, anonyme. Ça lui fout un frisson, ça le met mal à l'aise. Il éteint la radio... Honteux. Sa dernière cliente s'est présentée au comptoir. "Le voisin de mon beau père a été attaqué par l'un des leurs" souffle t'elle sur le ton du secret. Jordan l'encaisse sans commenter, mais ça cogite dans sa caboche. Il se rappelle un vieux truc sur le bug de l'An 2000, l'odeur de rhum, l'angoisse générale. Le bug c'était bien de la connerie, la psychose ambiante un peu moins.
27 ans: "Je suis là parce que..." Installé inconfortablement dans le, pourtant confortable, fauteuil en cuir bon marché, lumière tamisée, l’ongle du pouce qui frotte nerveusement sa lèvre inférieure, Jordan se dit qu'il sait ménager ses silences, même si ce n'est pas toujours fait exprès. Petit éclat de rire ironique étouffé dans un souffle. Il lève les yeux vers son interlocuteur, son psy - ce mot lui file des frissons-, qu'il consulte pour la première fois. L'homme a la cinquantaine, il est l'élu parmi tous les thérapeutes du coin parce que c'était le premier disponible, parce que Jordan s'était dit que s'il réfléchissait trop, il n'irait jamais... A peine a t'il osé regarder les avis du gars sur internet. Le silence s'allonge mais l'autre ne brusque rien, une agitation latente est en train de monter, Jordan ne le sent pas encore, mais sa jambe, elle, commence à trembler. "Parce que ?" tente tout en douceur le psy, jambes croisées, carnet à la main, petit sourire encourageant. Mais son nouveau patient ne coopère pas facilement. A la place, il zieute chaque élément du cabinet, un cabinet impersonnel ou presque; le docteur affiche ses diplômes - c'est d'un cliché -, un unique cadre photo est posé sur son bureau, là derrière mais il ne voit pas qui, ni quoi... Peut être d'ailleurs que c'est un cadre avec la photo random d'une famille heureuse qui est vendue à l'origine avec le cadre. Petit pincement au coeur. "Monsieur Millers ? Vous êtes avec moi ?" , tente t'il à nouveau. "On ne prononce pas le "s"” ... Marmonne entre ses dents Jordan qui, à présent, tente de deviner les titres des ouvrages alignés parfaitement - eux, contrairement au bloc note posé sur le bureau du type - en fond de pièce. "Pardon ?" . "Non rien..." Il soupire, son regard accroche celui de son interlocuteur, ses mains se joignent devant lui, maintenant ses deux jambes s'agitent. "Je suis là parce que j'ai vu Jonas dans le métro." Respire Jordan, respire.... Une bulle d'angoisse et de colère est en train de coloniser sa cage thoracique... Mais bordel, qu'est ce qu'il foutait assis là, dans ce fauteuil bien trop confortable, ce cabinet bien trop impersonnel ?! Qu'elle idée d'aller remuer la merde ?!. Il est incapable de continuer son explication, son esprit tourne en boucle sur la tronche du Tallec trois mois plus tôt, sur les mots qu'ils ont échangés, sur la colère qui lui bouffe les tripes et sur l'ineptie de sa présence ici. Entre temps, il avait croisé Leah, elle devait savoir pour l'altercation du métro, parce qu'au terme de leur entrevue, elle avait fini par lui balancer un "va peut être falloir consulter Jordan.", ou un truc du genre, il ne savait plus trop, tout était un peu flou. Et voilà qu'il était là, assit face à ce type, qu'il ne connaissait pas et qu'il ne voulait pas connaître, voilà qu'il s'était écoulé 10 minutes et qu'il avait juste été capable de prononcer une foutue phrase - et encore, en s'étouffant à moitié...-. "Vous savez, Monsieur Millers..." commence l'autre. Bordel que sa voix est agaçante, que sa manière de prendre des notes alors qu'il n'a rien dit ou presque est horripilante, qu'il le déteste, l'exècre de tout son être. Ça le fait se lever, le fils Millers, l'autre n'a même pas l'air surpris. "Monsieur Millers, vous pouvez partir si vous le souhaitez mais sachez que la consultation est déjà réglée." Foutue appli' médicale. Il se rassoit, n'ose plus regarder son pompeux interlocuteur. "Est ce qu'au moins vous pouvez me dire qui est ce Jonas ?", regard mauvais, plein de colère pour seule réponse, sa main, elle, triture nerveusement son avant bras, pile sur le double J tatoué caché là sous son pull, inconsciemment bien sûr. "Je présume que cela veut dire "non"... Très bien...", nouvelle prise de note. Puis, le silence régna les 40 minutes suivantes, jusqu'à ce que le petit timer se mette à carillonner. Jordan se leva alors, pris sa veste, marmonna un "bonne journée" . "A dans 2 semaines, Monsieur Millers." annonça son psy alors qu'il passait la porte. "On ne prononce pas ce satané "s"." , ultime parole balancée dans un claquement de porte. Deux semaines après, il était à nouveau face à lui.
28 ans: “Ca alors… Monsieur Conley…” le ton est faussement suspicieux, le grand sourire qui éclaire son visage, lui, non feint. “Vous venez espionner la concurrence à ce que je vois…”. Genou au sol, occupé à ajouter quelques exemplaires du dernier livre à la mode dans les rayons les plus bas, Jordan, se redresse et vient saluer d’une poignée de main secrète son ancien vendeur, devenu nouveau concurrent sur le marché du livre. Ok,ok, j'avoue qu'on peut considérer tes “comics” comme des livres…avait-il rapidement admis avant de finalement ouvrir tout un rayon de ces “comics” dans sa librairie. C’est d’ailleurs grâce à la présence d’esprit d’Hunt qui était un vieux de la vieille chez les libraires - même si, libraire de comics aux USA c’était un peu discutable… que personne ne lance le débat…- que Jordan avait admis qu’il ne pouvait plus se contenter de vendre de la littérature classique. Littérature de gare, roman à la mode, science fiction, un peu d’historique et de fantasy… Il n’y avait que les polars qui ne figuraient pas sur les étagères bien agencées. Les deux gérants ont prévu de se filer un coup de main respectif avec l’inventaire du stock qui arrive, et puis c’est l’occasion de partager une petite bière. Au fond de sa poche, son téléphone se met à vibrer, quand il s’en saisit, Jordan remarque que c’est la nouvelle appli TRACE qui fait des siennes. Il l’a installée parce que le gouvernement l’a dit, parce que vu les derniers évènements, on ne sait jamais… Mais il n’en parle pas trop autour de lui. “Désolé, encore du démarchage téléphonique… Tu disais ?”, faudra vraiment que je pense à désactiver les notifications….
29 ans: Jordan sort de la dernière journée de formation organisée par le Blood Circle… Il s’est porté volontaire pour participer rapidement, incité par le comité des commerçants du quartier, après le saccage de la boutique d'Hunt quelques mois plutôt -horrible histoire qui le foutait encore en rogne-, et peut être aussi par la trouille qui le surprend à chaque fois que quelqu’un passe sa porte, pour un commerce, ça fait mauvais effet. Est ce qu’il est capable maintenant de reconnaître un sorcier s’il en voit un ? Techniquement oui… Mais en vrai… Il se gratte l’arrière de la tête, un peu mal à l’aise sur le quai du métro. Il doit rejoindre Olivia ce soir, ça devrait l’aider à se détendre un peu et refermer la porte de la paranoïa… Dans le fond de son sac, il a la fameuse balise machin truc, mais il la garde éteinte, ça le rassure de savoir qu’elle est là, pas loin, mais elle restera sans doute désactivée au fond d’un tiroir… Pour l’instant.“Nouveau message de “Mon tatoueur de talent””, “ton rendez vous pour demain est confirmé, trop hâte de te tatouer ce flash” en pièce jointe, le projet qui ornera bientôt sa peau : un shooter de rhum à moitié vide… ou à moitié plein.
Game of Blood Ϟ Tous droits réservés
Jonas Tallec
INRP
Métier : Ingénieur, spécialité High Tech, travaille dans une start-up
Messages : 2177
Gallions : 1938
Date d'inscription : 22/07/2020
IRL
Lumos Je rp en : Chocolate Mon allégeance : Ordre du phénix, côté Moldu
Jeu 23 Mai - 20:18
Salut toi
Encore bienvenue, hâte de voir ce que tu vas nous concocter ! Tu sais où me trouver si tu as des questions !
Le regard plein d’étoiles, quand la lune se voile, restons fidèles à nous-mêmes ; Quand la neige de l’hiver s’évanouit, les fleurs à leur tour s’éveillent et les larmes d’espoir de la pluie annoncent de nouvelles merveilles...
Métier : Diplômée de l'université Poudlard et assistante d'un journaliste au journal Le Chicaneur (pas de quoi remplir le porte-monnaie rapidement quoi)
Messages : 2345
Gallions : 1913
Date d'inscription : 03/05/2019
IRL
Lumos Je rp en : goldenrod Mon allégeance : Ordre du Phénix
Jeu 23 Mai - 21:02
Bienvenue à toi Jordan !!!
Ouip, mon perso Robin a le même âge et est dans le Blood Circle. Même si je doute qu'il soit bien à même d'inviter Jordan à y être aussi vu qu'il doute lui-même
Courage pour ta fiche et amuses-toi bien avec nous !!!
Never Surrender
We’re a phoenix rising from the ashes fighting. Our courage climbing. We’ll never, never surrender. This is our battle. Won’t stay in the shadows now. Living for tomorrow. We’ll never, never surrender - Liv Ash, Never Surrender
(c) 0tsana
Spoiler:
Eirian Howl
INRP
Métier : 3e année de Protection magique (spé Auror)
Messages : 5416
Gallions : 8743
Date d'inscription : 30/07/2020
IRL
Lumos Je rp en : #00ccff Mon allégeance : Ordre du Phénix
Jeu 23 Mai - 21:55
Bienvenue par ici !
Nooon, ne t'approche pas du BC, ils sont vilains !
Bon courage pour ta fiche !
Spoiler:
On the run, falling to the depths
Do you know what it's like when You wish you were someone else Who didn't need your help to get by ? Do you know what it's like To wanna surrender ?
Jordan Millers
INRP
Métier : Libraire
Messages : 275
Gallions : 1435
Date d'inscription : 23/05/2024
IRL
Lumos Je rp en : [color=#3399cc] Mon allégeance :
Ven 24 Mai - 1:00
Merci
@Jonas Tallec : Ouiiii merci !! enfin je sais où te trouver... Si c'est pour que Tallec nous refasse des dingueries j'y vais de ce pas
@Nymphéa E. Chang : Ca peut être l'occasion de douter ensemble tu sais
@Eirian Howl : on est tous le vilain de quelqu'un j'imagine
Euron O. Carrow
INRP
Métier : Directeur de Ste Mangouste, membre du Conseil
Messages : 1124
Gallions : 3445
Date d'inscription : 17/08/2022
IRL
Lumos Je rp en : 17657D Mon allégeance : Mangemort
Ven 24 Mai - 8:12
Bienvenue et bon courage pour la fin de ta fiche
EURON O. CARROW
Underneath it all we're just savages | Hidden behind shirts, ties and marriages | How could we expect anything at all? | We're just animals still learning how to crawl | ️ FRIMELDA
Spoiler:
Raphaël Millet
INRP
Métier : Livreur dans un fast food
Messages : 9706
Gallions : 951
Date d'inscription : 26/07/2019
IRL
Lumos Je rp en : 0066ff / Anglais - #00ffff / Français Mon allégeance : La paix
Ven 24 Mai - 10:30
Bienvenue à toi J'espère que tu te plairas ici J'espère que tu vas être très gentil avec Jonas
Spoiler:
Jonas Tallec
INRP
Métier : Ingénieur, spécialité High Tech, travaille dans une start-up
Messages : 2177
Gallions : 1938
Date d'inscription : 22/07/2020
IRL
Lumos Je rp en : Chocolate Mon allégeance : Ordre du phénix, côté Moldu
Ven 24 Mai - 22:11
Recoucou Je repasse par ici pour dire que j'adore cette fiche, je suis super contente de ce que tu as fait avec le personnage de Jordan, ça correspond parfaitement avec l'image que j'ai de lui Tout ça va envoyer du pâté ! Hâte de jouer avec toi
Le regard plein d’étoiles, quand la lune se voile, restons fidèles à nous-mêmes ; Quand la neige de l’hiver s’évanouit, les fleurs à leur tour s’éveillent et les larmes d’espoir de la pluie annoncent de nouvelles merveilles...
Métier : Professeur de Soins aux Créatures Magiques & directrice de la maison Poufsouffle
Messages : 5883
Gallions : 4741
Date d'inscription : 27/11/2020
IRL
Lumos Je rp en : #cc3333 & lightgrey Mon allégeance : Ordre du Phénix
Sam 25 Mai - 7:02
Hey, bienvenue chez toi !
Au plaisir de te voir RP !
Never Ending Circles
ANAPHORE
Revelio:
Jordan Millers
INRP
Métier : Libraire
Messages : 275
Gallions : 1435
Date d'inscription : 23/05/2024
IRL
Lumos Je rp en : [color=#3399cc] Mon allégeance :
Sam 25 Mai - 9:07
Merci vous êtes des petits coeurs en sucre avec votre accueil tout doux sauf peut être vous Monsieur Carrow , enfin, je veux dire... si, vous êtes tout doux, mais peut être que je le dirais pas comme ça... pas de vive voix en tout cas écrasé par le charisme du mangemort préfère se sortir de ça par une disparition soudaine
@Raphaël Millet : Qui ? Moi ? Je suis la gentillesse incarnée...
@Jonas Tallec : je suis joie !! Vraiment Hâte aussi de faire vivre tout ce drama et tous ces feels à ces deux cornichons des sentiments...
Doryan Rosebury
INRP
Métier : Pompier
Messages : 680
Gallions : 2466
Date d'inscription : 05/12/2020
IRL
Lumos Je rp en : 800080 Mon allégeance : les Rosebury, Belle et Soledad
Sam 25 Mai - 13:28
Bienvenue parmi nous
Alors déjà aimer l'alcool ça je ne peux que valider :D l'alcool c'est la vie et les fêtes aussi ! et la peur de l'engagement, je valide totalement, c'est hyper flippant, faut pas s'engager parce qu'après on s'attache non on s'empoisonne pas on tombe A M O U R E U X c'est terrible ! Bref moi je te conseille de rester aux plans culs :D. Par contre la peur des poules, là j'ai rien à dire, achète toi un chien qui bouffe les poules, je vois que ça.
Sinon bah c'est pas l'histoire la plus joyeuse du monde, en même temps pour finir à l'orphelinat c'est rarement que tout va bien je te l'accorde, mais grâce à ça (ouai je suis pas sûr de cette phrase) tu as rencontré Jojo l'asticot et ça c'est pas mal :D Ah et si un dernier détail après je te laisse tranquille je suis SCANDALISE (non j'en fais pas trop) par le fait que tu aies réussi à te faire Olivia, non mais cette injustice, ohlala quand je pense que moi elle dit toujours non cette teigne est ce que tu peux me donner l'astuce utilisée pour la faire craquer
et je crois que j'ai tout dit excepté que je viendrais te faire suer avec un lien héhé :D
Bon l'image est peut être un peu cassé mais c'est pas grave
Bienvenue chez les...
Moldus
Félicitation à toi te voilà fraîchement validé !!!
Tu vas pouvoir parcourir le forum de fond en comble et pouvoir rp à gogo Nous te conseillons tout de même de passer ouvrir ta fiche de lien et aussi ton hiboux afin de recevoir ton courrier. N'oublie pas de remplir ton profil, si un lieu te manque où si tu souhaites obtenir ton logement, c'est par ici que ça se passe. Afin de t'intégrer au mieux sur le forum, tu peux participer à ces petits défis exclusivement réservés aux nouveaux. Tu peux aller t'inscrire dans une faction pour ensuite recenser tes points dans la coupe des quatre factions. Tu peux également demander d'être parrainé sur le forum, pour obtenir un parrain ou une marraine, rendez-vous sur ce sujet N'hésite pas aussi à te détendre dans la partie flood et même à venir nous faire un petit coucou sur la chat box Si tu as une question ou même une suggestion tu peux venir dans ce sujet et n'oublie pas que nos boîtes à mp sont toujours ouvertes
Amuse-toi sur GoB !!!
Game of Blood Ϟ Tous droits réservés
Jordan Millers
INRP
Métier : Libraire
Messages : 275
Gallions : 1435
Date d'inscription : 23/05/2024
IRL
Lumos Je rp en : [color=#3399cc] Mon allégeance :
Sam 25 Mai - 15:18
Merci beaucoup, beaucoup ! je suis joie et impatience J'ai très très hâte de Rp avec vous
Je prends note de tous ces précieux conseils hihi mais pour Olivia, déso, pas déso, et je veux pas parler pour elle hein, mais je pense qu'il va falloir t'y faire sorry bro' mais comme on dit y a plein de poisson dans l'océ... pas sûr sûr non plus de cette métaphore Concernant l'alcool...... ça tombe bien c'est le sujet de l'intro de mon premier poste en projet... Enfin, si je puis dire... Et en parlant de ça, je me suis peut être un peu emballée sur la taille du poste mais promis je suis très sympa (la joueuse parce que Jordan... enfin bon... ) n'ayez pas peur
On parle lien quand tu veux, ou tu veux
Leah O'Malley
INRP
Métier : Serveuse à mi temps et musicienne dans un bar moldu de Londres
Messages : 1839
Gallions : 1345
Date d'inscription : 12/01/2019
IRL
Lumos Je rp en : #DE948C Mon allégeance : L'ordre du phénix côté moldu
Sam 25 Mai - 18:39
Jsuis en retard (ou peut-être que c'est toi qui à été vachement vite pour faire ta fiche ) Mais je tenais quand même à passer par ici pour te souhaiter officiellement la bienvenue sur GOB
Contente que tu ai choisi ce scénario, hâte de voir votre évolution à toi et à Jojo
Amuse toi bien parmi nous
Récompenses:
Soledad Velasquez
INRP
Métier : Co-gérante du Witches Bazaar et diseuse de bonne aventure au cirque Neverland sous le pseudonyme de "La Catrina". Intervenante occasionnelle aux cours de divination à Poudlard. Sorcière accréditée auprès du Ministère de la magie.
Messages : 3808
Gallions : 11465
Date d'inscription : 03/03/2019
IRL
Lumos Je rp en : #9999FF Mon allégeance : L'Ordre du Phénix, ma famille & Doryan
Mar 28 Mai - 15:25
Bienvenue
Attention, on brise pas trop le coeur de Jojo, hein, sinon y'en a plein qui vont pas être contents
— And all the pieces fall right into place
So it goes I'm yours to keep and I'm yours to lose
Jordan Millers
INRP
Métier : Libraire
Messages : 275
Gallions : 1435
Date d'inscription : 23/05/2024
IRL
Lumos Je rp en : [color=#3399cc] Mon allégeance :
Mar 28 Mai - 22:33
Merci
@Soledad Velasquez je veux bien une définition du "pas trop" du coup.... nooon mais ça va bien se passer vous en faites pas (trop)
Alcyone Greengrass
INRP
Métier : Créatice de bijoux et possède sa boutique sur le chemin de Traverse
Messages : 687
Gallions : 2116
Date d'inscription : 04/05/2019
IRL
Lumos Je rp en : rosybrown Mon allégeance : est neutre
Dim 2 Juin - 16:58
Avec du retard, je viens te souhaiter la bienvenue Quel choix de scénario Abime pas trop notre Jojo quand même Et si tu as besoin d'un psy, j'ai Calli qui est formation, vu ta fichette, ça lui ferait pas de mal
Twinkle twinkle little star
Mes petits awards:
Contenu sponsorisé
INRP
IRL
Jordan Millers - "Enfin on prononce pas vraiment le "s"..."
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum