Bridgetown, Caraïbe, 1733, XVIIIe siécle

Le ciel étoilé éclairait le port de milliers de lumière, à cette heure-là, les lieux n’étaient pas si animés qu’il n’y paraissait, si ce n’est les quelques docker qui s’affairait à charger un schooner du vaste empire britannique. La pièce est obscure, peu de lumière si ce n’est dans le coin une sorte de complice qui éclairait la zone d’un Lumos Maxima parfaitement exécuté.

L’homme attaché à la chaise, aux poignets douloureusement ciselés se tenait là. Les traits tirés dus aux récents échanges houleux avec son ravisseur. Il prit la parole.

- C’es toi qui fais fausse route Mattheiw !!! Depuis le début, tu ne sais pas dans quoi tu t’engages.

L’homme sortait de l’ombre, un ciré gris, un tricorne taché, sa baguette entre les doigts. Du bout de cette dernière, il releva la tête de celui qui autrefois partagait mon nom.

- Dis-moi ou il est Henry où je te jure que …. Non, tu sais quoi, ne dis rien, cela en sera bien plus divertissant !

Dit il en quittant un instant, la pièce, le complice garda un œil sur l’Homme attaché, ce dernier, répondant au nom d’Henry Avery n’était autre qu'un de mes ancetres, Les Avery , une illsutre famille. Un certain temps venait de s’écouler, seul dans la pièce tandis que lui-même tentait desepérément de se libérer.  Sa baguette était posée là, sur une table à l’autre bout de la pièce. Un bois de cerisier au cœur de cheveux de Velanne, une chose rare qui avait fait sensation lors de son entrée à la prestigieuse école de magie. Une baguette devenue à présent, relique familiale.

Matthiew réapparu, une femme dont il tenait fermement les poignets suivait de force . D’un geste, il la jeta au pied d’Avery. La complicité se lisait dans le regard de la femme à la chevelure châtaine, aux yeux d’un brun magnifique avec celui d'Avery. Les deux époux étaient là. La femme tenta de se relever, mais ce n’était sans compter pas Matthiew.

- Impero !

Il la maintenait à genoux, usant de ce sort si puissant qu’il en est devenu dés ce siecle impardonnable. Elizabeth Avery ne pouvait rien faire si ce n’était garder sa position, de son index libre, Matthew jouait avec une mèche de la sorcière qu’il tenait sous son emprise.

- Je vais la mettre en pièces Henry… Tu peux aisément éviter cela… Pour cela, tu sais ce qu’il te reste à faire…Ou est Il !?



Le regard des deux époux se croisa à nouveau, Elizabeth serrait les dents, tentant de lutter contre le contrôle qu’on lui imposait. Henry refusait catégoriquement de céder, une chose que sa femme comprenait. Elle avait accepté les risques lorsque, cette journée du 17 juin 1728 elle l’avait accepté pour époux.


- Non !? Très bien…Endoloris !

Les hurlements d’Elizabeth s’ensuivirent. Sous le yeux d’un Avery ébahie par la violence dont son adversaire était capable, sa femme se tortillait, ses mains grattaient les bottes de son propre époux, en quête d'une aide qu'il en pouvait lui apporter. Henry ne devait pas céder il le savait , elel en avait conscience et ne lui en tiendrait point rigeur.

- Elle n’a rien à voir là dedans !

Le Mage noir s’en moquait maintenant ainsi son sort.  Une chose était sûre , il avait la rélle détmeination pour obtenir ce qu'il voulait. La séance de torture avait duré longuement, Avery ne devait pas céder. La menace des Avery n’était rien d’autre que la famille de Bulstrode , convoitant une chose dont les Avery avait pour tache de garder depuis des années déjà.

- Dis-moi tout Henry ! Elle n’a pas à subir cela.

Il restait muet, le visage non moins  attristé voir même déformé par les tourment que subissait sa femme.

Se pourrait il que cela ai durer des longues minutes, des heures ? Difficile de garder sa notion du temps dans des moments pareils. Cette nuit de 1733 allait marquer un réel tournant dans l’Histoire des Avery.

Lorsque la lourde porte s’enfonça vers l’intérieur, fauchant un des complices de Matthew sur le coup. Le  mage noir rompit son charme, suprit par cette attaque. Theophils Elius , un ami des Avery venait d’intervenir. Elizabeth, Henry et Theophilius avaient fait le déplacement pour traquer Matthew, ils furent séparés quelques jours plus tôt

- Repulso !!!

Les mages noirs restant furent projeter l’autre bout  traversant ainsi  l’entrepôt dans lequel ils se trouvaient , sonnés  par leur réception sur le sol de pierre. Theophilius s’empressa de libérer les Avery et récupéra leurs deux baguettes sur la table.

- Il ne faut pas rester là ! Rentrons, il faut le mettre en sécurité !

Lança Theopilius en mentionnant le coffret  

Elizabeth, titubante venait de saisir sa baguette en bois de cèdre. Ses pas se faisaient boiteux, Avery se tenait là pour la soutenir, l’aidant ainsi à marcher.

-  Tu peux nous faire transplaner sur le Glengow ?

Il s'agissiat  du n avire sur lequel les Avery et Theophilius avaient rallié Bridgetown pour traquer leur cible, Il s'agissiat  une goélette rapide, basée à Portsmouth en temps normal, le batiment était la propriété des Avery.

À l’autre bout du hangar, sous une étagère pulvérisé par la chute du Bulstrode, les débris semblaient bouger. Mathew était toujours là pour en découdre. Rapidement, sans son tricorne pour le coup, la baguette pointée dans la direction des Avery et de leur ami il hurla à leur intention. Elizabeth avança d’un pas, fit un  léger moulinet de sa baguette.

- Stupé…

- Avada kedavra !

Elizabeth, alias Elsie Avery frappé par un sort de mort s’affala dans les bras d’Henry. Le mage noir profita de la stupeur que cet acte suscita pour prendre la tangente. Le visage, autrefois plein de vie d’Elsie, se figea totalement.
La posant à terre, Henry tenta désespérément de mettre fin au charme par le bais d’une incantation , en vain.

Front contre front, ses lèvres écrasèrent celle de feu sa femme. Son regard se porta vers la direction ou Matthew venait de partir, ce n’était bien plus qu’une quête à présent, un besoin de vengeance. Sa main resserra la baguette d’Elsie , bien plus puissante que la sienne et il se lança à al poursuite de Mattew.

- Henry ! c’et ca qu’il veut !!!!

Theophilius ne cautionnait guère, mais Avery en avait cure . A grandes foulées, il se mit sur les talons du mage noir. Les deux hommes se livrent à un échange de sortilège sur les quais déserts par cette heure tardive.
Le duel avait duré quelques minutes pour se finir sur un le pont d’un navire, les eux adversaires, l’un blessé, l’autre aveuglé de rage et de colère se livrèrent à l’ultime affrontement. Les deux hommes lessivés crièrent leur sortilège au même ne tire que leur determination.

Désarmant Matthew, Avery s’avança et s’assura à l’aide d’un descendo parfaitement exécuté que sa cible resta à terre. Deux choix s’offraient à lui. En tant qu’auror il pouvait mettre le mage noir aux arrêts, mais il n’aurait guère sa vengeance. Bien sûr, le voir croupir à Azkaban le remplirait de joie, mais cet homme avait retiré la vie de sa femme, la mère de son propre fils âgé d’à peine deux ans maintenant.
La baguette de cèdre n’était pointée qu’a quelques mètres du Bulstrode. Frappé par un sort de mort , le même qui avait tué Elsie , le monde magique venait d’être débarrassé d’un mage noir de plus.  


Bristol, Somerset, Head Croft, Flax Bourton, 1985

Une petite respiration et des gazouillis qui remplissaient ma mère de joie tandis que de sa baguette, elle fasait volait un papillon au-dessus de mon landau. C’était ce qu’elle aimait faire. Mon père jouait de son index sur mon visage. Alycia venait de naître depuis peu. Fille d’Howard Avery et Catherine Nott une irlandaise, le sang des Avery est pur il n’y a pas de doute là-dessus. Très vite, j’allais développer certaines affinités extraordinaires au même titre que les jeunes partageant ma nature. S’il était commun que les enfants découvrent leur don que l’on pourrait qualifier de particulier vers dix onze ans.  Les miens se sont manifesté de manière plus précoces si bien qu’a l’âge de huit ans mon père sut ce qu’il fallait faire. Il m’enseigna dés neuf ans quelques rudiments afin de préparer ma rentrée prochaine à la prestigieuse école de Poudlard dans les prochaines années.
 
Le 4 juillet 1997, une sorte de volatile était rentrée par l’âtre de notre splendide cheminée de brique. Ce fut ma mère qui s’empara du cachet que l’oiseau avait laissé tomber. Son regard passa des quelques lignes de ce mot , à mon visage, le regard emplit de fierté.


- Les choses sérieuses pourront enfin commencer Howard…

Avait-elle dit, tout sourire à l’attention de mon père. Ma lettre d’admission à Poudlard les rendait fier. Début des cours, le premier septembre, ce fut ma mère qui m’aida à choisir mes fournitures.
Pas moins de deux semaines après la réception du hibou, nous avions quitté notre maison à Bristol pour rallier ce qui s’avérait être le réel refuge pour tout sorcier. La mythique rue commerçante du chemin de traverse n’était plus ce qu’elle était les dés 1996. Ravagée par le seigneur des ténèbres ainsi que ses disciples, il devenait ardu de trouver du matériel pour jeune sorcier làsbas .
Mon père avait fait le déplacent jusqu’à Prés-au-Lard dans une librairie pour me fournir tout ce dont j’avais besoin en ouvrages et manuel. Quant à ma baguette, ma propre mère me donna sa baguette avec laquelle elle avait fait toute sa scolarité. Pour le coup, je n’avais aucun souci , la baguette et moi étions en harmonie.

Château de Poudlard, 1er septembre 1996,
L’exclusion d’Ombrage avait permis un retour à une certaine stabilité. C’était le mieux. Mon père avait suivi les actualités de l’École depuis que la Grand Inquisitrice s’était arrogée le pouvoir. Le bannissement de cette dernière fit que les nouveaux élevés , tout comme mois,  devions  rentrer à ce moment-là allait pouvoir trouver une certaine sérénité.

La rentrée pouvait se passer sans encombre, comme il était coutume à Poudlard, tout commença par un immense banquet. Le nombre d’élève m’impressionnait. Je ne connais personne si ce n’est que deux ou trois autres enfants qui habitaient eux aussi vers Bristol et ses alentours dont mes parents entraînaient une camaraderie avec les leurs.
La cérémonie du Choixpeaux avait pris une bonne partie de la soirée. Comme je pus m’y attendre, je fus repartie à Serdaigle, ce n’était pas comme si la lignée des Avery comportait presque exclusivement des Serdaigle.

Ma première année se déroula sans encombre, les plus grands nous tenaient au courant de l’avancée des forces du mal contre la volonté de nos professeurs. Peut-être que cers debreir   voulaient que nous n’en sachions rien pour nous en protéger. Les sortilèges de première année semblaient assez basiques, ce qui était tout bonnement normal. Mon père m’en avait déjà montré quelques-uns.

Si certains jeunes sorciers et sorcières ne s’adaptèrent pas bien vite à leur nouvel élément, ceux en fut pas le cas pour moi. L’année était vite passée, peut être bien trop vite à mon goût. Les cours que j’appréciais le plus, l’astronomie et le cours de défense contre les forces du mal. Indirectement, je savais, au plus profond de moi-même qu’une chose bien plus grave se tramait. La fin de l’année 1996 et le début de l’année 1997 confirma mes propos.




L’année 1997 sonna un glas pour la communauté magique. Je n’étais pas rentré à Poudlard l’année suivante, un comble lorsque l’on sait que l’année précédente s’était admirablement bien passé. Chez moi à Hed Croft, mes parents, semblent se perdre régulièrement dans des discussions animée. Frappé par la conversation, j’avais déserté mon lit, je voulais écouter ce qui se tramait, quittant ma chambre, ma baguette entre els dois j’entamais un sortilège de désillusion que mon père m’avait enseigné, en vain, la maîtrise n’y était pas encore. Pestant, je tentais de me cacher dans un encadrement de porte, la conversation entre mes parents devenait alors plus audible.

- ….Albus est mort Howard !

Le directeur ? Mort ? C’était impossible. Il allait bien quand j’avais finit les cours de ma première année.

- Il connaissait les risques Catherine !

Ma mère avança d’un pas , se rapprochant de son époux et hésita un temps avant d’affirmer ses positions

- Je refuse que notre fille y retourne ! Pas après cela ! Tu ne vois donc pas ce qu’il se passe, ils veulent exercer un contrôle.


- Cherie , Amycia doit voir ce dont ces gens sont capable !

- ELLE A DOUZE ANS !!! Et tu veux l’exposer à cela !?


Mère avait raison, Poudlard veinait de  de perdre une étoile et ne sera certainement plus la même. Mais de ce que disais père, il voulait me préparer au pire.

- Je ne laisserais pas notre fille avec une absence de pratique magique… Je trouverais une solution !

Mère acquiesça. La solution, il avait fini par la trouver. La lignée Avery était mufti centenaires, nous disposions d’un manoir dont la famille ne se servait plus depuis cette tragique nuit de 1905. Les ennemis héréditaires des Avery, les Bulstrode avaient frappé fort à ce moment-là. Sur le Dix Avery présent cette nuit-là , trois furent tué , une autre mise à mal et un autre enlevé pour être interrogé. À ce moment-là, je en comprenais toujours pas pourquoi cette famille en voulant autant à mon sang

Le domaine Avery était situé loin de toutes grandes agglomérations, à l’extrême nord de l’Ecosse, situé sur le bras de terre entre Thurno et Duncansby head , était une bâtisse de l’ère Stuart. La lignée Avery avait plus de quatre siècle. Le manoir non habité par les Avery depuis le début du XIXe avait été gardé par Ilfus et Snorid , deux personne de confiance. Deux vieux sorciers que ej considérait comme mes propres grand parents.

Devant mon impossibilité d’aller à Poudlard, père et moi faisions allez retour aux domaines de façon à ce que je puisse m’entraîner .

Le monde magique sombrait dans un totalitarisme dont Voldemort était à la tête. Le libre-arbitre pour les sorciers ainsi que la survie pour né Moldu  étaient menacé . Si nous pensions que notre lignée témoignait d’elle-même une certaine pureté, ce n’étaient sans compter pas les enquêtes du ministère à présent corrompu par les forces du mal. Alors que nous venions de rentrer de deux semaines d’entraînement intensif, un hibou, nous déposâmes un message. Le ministère de la Magie nous invitait avec pour ordre de fournir une preuve de notre lignée.

La séance fut particulièrement éprouvante pour ma mère qui exposait aux enquêteurs tout un codex témoignant de notre arbre généalogique. En outre, même si la pureté de sang se lisait au travers cet arbre, il fallait se plier à un réel test. Une chaise, une table avec un plateau et diverses aiguilles… Génial. Le premier à avoir passé l’épreuve fut mon père, vint le tour de ma mère qui clamait la ridiculité de la chose, mais qui s’y plia néanmoins aux exigences. Puis ce fut mon tour, phobique des aiguilles, je fus néanmoins assise de force par le personnel du ministère.

- Mais vous voyez bien que c’est dur pour elle non !?



Il n’en avaient cure, angoissée, apeurée je n’osais rester tranquille. Maintenue de force contre le siège par un membre du personnel, une dame tentait d’approcher l’aiguille.

- Allez du calme…

Ma mère s’était mise dans tous ses états à tel point qu’on la raccompagna hors de la pièce. L’Homme, m’appuyait avec force sur le front pour maintenir ma tête en arriéré afind e m'eviter tout mouvement . Je crus voir un instant les doigts de mon père effleurer le manche de sa propre  baguette.

- Je vous le déconseille Monsieur…

Il fut rappelé à l’ordre. La séance de « torture » dura près de sept minutes pour ensuite analyser là encore la réelle pureté de mon propre sang. Mon père me pris dans ses bras et s’empressa de quitter cette maudite pièce. Une vue rendue floue par des larmes, un rythme cardiaque bien plu élevé que la normale, c’était comme cela que je me trouvais à ce moment précis. Lorsque mon père franchissait le seuil, l’homme présent dans al pie qui me maintenait l’interpella.

- Encore une chose… Avery ? Vous avez un quelconque lien avec Avery…un des lieutenants de Lord Voldemort ?

La question semblait quelque peu courroucer mon père, un Avery avait suivi le mauvais sentier, cela avait suscité un tollé dans la famille. Il hésita un temps avant de répondre.

- Un lointain parent oui…

Pére le considérait comme mort pour s’être allié aux ténèbres, une chose était sure , un jour j’allais croiser sa route.  







La défaite de Voldemort durant le réel siège de Poudlard  en mai  1998 fit planer un nouveau vent de sérénité sur le monde magique. La réouverture de l’école s’annonçait de très bonne augure. Ma mére recontacta la nouvelle directrice de l’Ecole Minerva Mcdonagal pour ma réinscription , en effet , avec tout les soucis que Poudlard ai pu avoir en 1997 je du me déscolariser. J’entrais donc alors pour ma seconde année. J’avais hâte de retrouver les gens que j’avais commencé à côtoyer durant la première année, mais aussi tout les cours qui me plaisaient.

Les duels d’entraînements sont toujours aussi divertissants, les exercices  de mon père durant l’année 1997 m’avait instauré une réelle rigueur , certes si cela fut assez dur au début , je pris conscience au cours de mon retour à Poudlard des bienfaits des actions de mon père.
Je suivais à présent ma scolarité de manière normale, c’est au milleiu de la quatrième années que l’envie de de devenir aurore se manifesta. Mon grand-père avait effectué la même profession, mon père pareillement. Je n’étais pas fille unique, mon frère quant à lui, plus jeune de quelques années avait du temps devant lui pour voir ce à quoi il se destinait, la botanique durant sa première année lui plaisait beaucoup, peut être tenait il là la une future idée de profession.

Mi mai 2006, Mère, quant à elle, croulait vous le travail, chez nous, de ce qu’elle me disais , se couchait très tard le soir, voulant finir au plus vite. Elle faisait partie, avec quelques sorciers et sorcière d l’équipe sensé élaborer un réel programme pour la nouvelle université dont la construction devrait se lancer très vite. Chargée des cas pratique elle était là pour élaborer des études de cas et exercices d’application pour les étudiants.

Soirée de mai 2006, salle commune de Serdaigle. La préfète en chef Marilpa Jess de la Maison Sardaigne vint me voir et me dit que j’étais convoqué au bureau de la directrice. Alors que j’entamais la sixième année, cela m’avait l’air très étrange, tandis que j’évoluais dans le dédale de couloirs.

La directrice m’attendait dans son bureau, trois flacons sur une table. Son regard était empathique, sa voix douce et toujours accueillante.

- Votre père m’a dit que l’heure était venue… Il m’avait fait parvenir cela dés votre entrée en seconde année.

Elle montre alors les trois flacons, j’en vais sais un, ce qui me frappa, c’était la présence d’un filament blanc dedans.

- Vous êtes en sixième année et fin prête à comprendre l’Héritage des Avery …Et vos tensions séculières avec les Bulstrode par la même occasion…

Elle me fit signe d’approcher jusqu’à un petit bassin sur pied , je l’avais déjà vu en cours , il s’agissait d’une sorte de pensine. Ce pouvait-il que ce que mon père voulait me montrer   soit important au point de passer par un tel moyen ?
La premier souvenir m’apprit qu’un homme, a en juger par les vêtements et les décors de son foyer ,dans les années 1660 avait forgé une sorte d’artefact magique. Au nombre de trois, l’un pouvant fonctionner indépendamment des autres, mais une fois réunis, ils décupleraient la puissance de chacun. Cet ensemble de bijoux devaient densifier la puissance magique de son porteur. Composé d’un collier et de deux bagues, ces joailleries densifirait  l’union , la symbiose entre un sorcier et sa baguette , il devenait ainsi plus puissant. L’homme qui en est à l’origine Thomas Swysfton était un sorcier de renom. Considéré comme l’un des sorciers les plus brillants de son temps, cet artefact n’a été conçu que dans un but de dissuasion afin de mater les mages noirs les plus retords, bien évident , entre de mauvaises mains…le coffret aurait une tout autre utilité.

Le second souvenir montre un affrontement sanglant sur le domaine de Thomas Swyfton prés de 60 ans après la création des objets. Swyfton et ses comparses affrontaient un groupe de mage noir. L’escarmouche avait pris place sur la colline Snowdon un des points culminants du Pays de Galles. Les mages noirs présents voulaient s’emparer du coffret, Thomas et ses partenaires semblaient déterminé à les en empêcher. L’affrontement semblait virulent.

Le troisième souvenir pris place en ce mois de juin 1728, les Avery avaient été mandé par le ministère pour un entretien. La lignée ancienne que composaient les Avery, mais aussi le fait qu’elle n’ai jamais glissé sur le sentier plus ténébreux nous donnaient une réelle réputation à l’époque. La longue lignée d’Auror dont nous faisions partie a poussé le ministère à nous confier à la protection mais surtout à la garde des joallerie de Thomas Swyston. Ainsi, les Avery seraient lié, par cet entretien du 11 juin 1728, à l’Histoire de ces bijoux.
Il s’agissait là de la quête de notre quête , depuis ce temps , nous veillions à ce que les travaux de ce talentueux sorcier ne tombe pas être de mauvaise main. Mes propres parents avaient attendu que je sois prêt pour m’apprendre cela, ou du moins que la formation soit bien avancée. L’héritage de toute une famille, il me fallut un temps pour reprendre mes esprits.

Chapitre 4 :  Et l’heure ou le glas sonna


La fin de la scolarité dans cette merveilleuse école fut, émouvante, j’allais quitter ce que je considérais comme une partie de moi depuis des années. Lorsque l’on quitte Poudlard , l’émotion est toujours forte. Quatriéme  meilleur résultat de toute la promotion pour ma BUSE et prés de six ASPICS, une carrière en temps qu’aurore m’était donc possible. Rien de plus logique, tout ceci était dans le sang de ma famille, nombre d’Avery ont fini Auror. Les difficultés que j’ai pu ressentir durant la scolarité dans le cours de métamorphose me faisaient craindre le pire. Il s’agissait d’une des matières obligatoires pour la sélection d’Aurore. Ma mère, lors des vacances et lorsque je n’étais pas à la fac me faisait bien évident travailler de façon à combler mes lacunes. Ayant obtenu le niveau optimal en sortilège et défense contre les forces du mal et effort exceptionnel en potion et métamorphose, ma sélection pu se faire sans encombre. Les autres disciplines ne m’intéressaient pas réellement, même si je m’efforçais d'avoir des résultats convenables tout ce que je voulais c’étai marché dans les pas des grands Avery.
La formation d'auror, longue et exigente eu raison de la motivation de certains de mes anciens camarades , motivé par mon propre père et par la fierté que je suscitais pour ma mère. Je pus , dés 2010 prendre mes fonctions, si les premières missions s’avéraient des plus simples, protection de personnalités importantes du ministère ou investigation sur des artefacts corrompus par la magie noire , ma carrière fut projeté lorsque l’on m’affecta à la traque d’un des anciens lieutenants de Lord Voldemort. Cet homme partageait mon sang, il s’agissait de Niel Avery, un oncle éloigné.
Missionné par moment par le ministère pour effectuer quelques interventions auprès de l’université Poudlard, j’aimais voir chez le jeune , le goût de l’apprentissage. Il fallait bien leur donner envie de poursuivre leur rêves, exactement comme mes professeurs et parents l’ont fait.
2015, les dernières informations que l’on a eues du ministère n’augurait rien de bon. Si nous pensions être tranquilles un long moment avec la mort du seigneur des Ténèbres, il y a plus de dix ans de cela. Ce ne fut pas le cas. S’ensuivit une escalade, l’ordre du Phénix se mettait sur le pied de guerre, le bureau des aurors redoublait d’efforts pour capturer le plus de contrevenant possible.
L’an 2018 sonna le glas pour notre famille, alors que ma mère était venue me chercher au travail afin de rentrer tous les deux chez nous à Bristol. La découverte du corps de mon propre frère suivi de celui de mon père dans le jardin nous heurta. Était-ce une attaque ciblée de Mangemort. Ma mère pensait que tout ceci était lié avec ces joailleries , quelqu’un voulait les récupérer. Si je voulais prendre mon temps pour mener une réelle enquête, je ne pus guère . Une énième menace planait sur le monde magique. Le voile avait été percé, le secret de notre propre univers n’existait  plus. Ma mère prenait cela très au sérieux, moi de même.

L’an 2019, la guerre entre sorciers et moldus semblait inévitable. L’attaque lors de ce rassemblement était bien plus qu’une attaque sur notre propre sol, c’était une atteinte à notre avenir. Prés de trois morts, quelques disparues , étaient ce une attaque de moldus extrémistes, ou un coup de mangemort destiné à effrayer la population ? Difficile de songer à l’innocence de ces derneirs   quant on sait qu’ils ont attaqué une réelle coupe du monde de quiditch !

La réaction des forces ténébreuses suite  au massacre de la fête foraire  ne s’est pas faite prier mais effrayer toute une population en lâchant immondices et autre épouvantard n’était clairement pas la solution. La rancœur des non-sorciers n'en serait que plus attisé. En même temps, les Mangemorts ne brillent pas pour leur sens de logique et encore moins pour leur diplomatie…

Fiin 2019, La prestigieuse et récente université de Poudlard , devenue prison ? Difficile a croire, n’est-ce pas ? Et pourtant le Blood Circle , une secte d’extrémiste et autre ordures en tout genre a fait l’acte impardonnable de l’attaquer. John Tildown , un ami auror qui donnait cours à ce moment là fut tuer durant l'attaque.  
Cette action du blood Circle  propulsa la politique sorcière, il nous fallait nous organiser, l'union de l'Ordre du Phenix et des Mangemort, une alliance dés plus étrange  

Comment est-ce que l’Ordre du Phénix et les Mangemort pouvait  arriver a un point ou s’unir constitue la clé pour la defense de notre monde ? Le blood Circle était une menace et il fallait se battre pour rester en vie , lutter pour conserver notre liberté. L’alliance entre Mangemorts et l’Ordre du phénix n’est qu’une union de circonstance. Je le sais ! La mission de sauvetage concernant les prisonniers de l’université fut une réelle réussite, mon amie Lyana Howard avait participé à cette escarmouche. L’interdiction à tout sorcier de quitter le sol anglais handicapai le monde magique, mais , si je devais aller à l’étranger pour la quête des Avery… Je n’hésiterais pas.

Février 2020 l’attaque des sorciers sur l’un des QG de ces extrémistes du Blood Circle faisait rage. Si pour ma part, je menais déjà le combat dans le manoir Avery face à des gens désireux d’obtenir ce que mon sang protégeait depuis des siècles, ma tante et mon oncle ont quant à eux participé à l’assaut du QG. Le sérum anti magie ? Ma propre tante à du y être exposé. Ses pouvoirs en sont grandement atteints.
La même année, une horrible découverte montra ce dont le Blood Circle était capable. L’établissement des Terry , cette édifice religieux que jamais je n’aurais pu soupçonnais d'être lié au Blood Circle me choqua lorsque la découverte de la réelle barbarie dont ils étaient coupable fut rendu publique. Pour le coup, je devais admettre que l’usage d’un certain sort impardonnable sur eux me démangeait. S’en prendre à des enfants ! Cela me mettait hors de moi. J’ai pour habitude d’être intègre, de ne jamais laisser la colère m’aveugler, mais cette découverte… . Par chance, je sus me contenir.
Les balises ani magie et autres artifices du Blood Circle n’était là que pour retarder leur chute, c’était inévitable, comment des non-mages pourraient prendre le dessus. La guerre s’annonçait rude, mais ils la perdront, j’en étais sûr. Le monde magique n’a pas dit son dernier mot.

La fin d’année 2020 est à graver dans le marbre pour le monde magique, notre étoile à tous , le symbole de la résistance face aux ténèbres s’étiole. Harry Potter n’est plus, lâchement exécuté lors d’un échange. Présente lors de l’événement  qui a mal tourné, la scène me stoppa net , coupant pendant quelques temps de ma combativité ,jej restais cloitré auprès de ma mère dans la petite maisonnette situé à dix minutes de Prés au lard ou nous avions emménager peu de temps plus tôt. Une petite maison oubliée de l'heritage de notre lignée.

2021, l’attaque du Blood cricle et leur débandade à Azkaban faisait plaisir de voir , il paraîtrait qu’Avery, mon oncle mage noir que j’avais mit aux arrêts quelques temps plu tôt pu tuer quatre de ces maudits terroristes .

Cette même années, Les Mangetouts semblaient à présent maîtres de tout le conseil, ils avaient la majorité. Il est injuste de voir ce contre quoi nous nous sommes battues ne serait que quinze, vingt ans en arriéré accéder à présent aux plus hautes sphères. Mais les problèmes auxquels nous faisions face susciter des solutions drastiques. Mangemorts et l’Ordre du Phenix qui travaillait main dans la main… Des allies de circonstances en soit !


L’application Trace et le sérum anti magie tout deux mis au point en 2021 sont que des moyens pour le Blood circle, pour retarder leur décadences, leur fin était déjà excite dans nos livres d'Histoire.  

Parallèlement je fus mandaté par le conseil pour enquêter auprès d’un des enseignants de Poudlard, ses agissements n’était pas net. Par ailleurs, je suspectais ce même homme d’être lié  au meurtre de mon père et de mon frère , je pouvais donc enquêter  et donc faire d’une pierre deux coups.

C’est le début de mon Histoire , Amycia Avery , protectrice des joyaux de Thomas Swysfton, auror et à présent , enseignante  de défense contre les force du mal   en couverture. Bien disposer à me battre pour al survie de notre monde devenu à prisent si fragile.