Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes, alors pensez à les privilégier pour vos personnages
Nous voilà à la fin août et à la presque fin de mon sixième mois de grossesse. Mon ventre n’est pas si énorme que ça mais visible quand même ! Que vous dire d'intéressant, l’été c’est déroulait sans encombre, j’ai eu de l’aide à la boutique, mes parents et ma nouvelle employée qui est élève à Poudlard. J’ai fait de nouvelles rencontres, la routine en soi. Aujourd'hui j’ai décidé d'inviter Harper et Aby à la maison. J’ai exceptionnellement fermer la boutique pour l'après-midi, afin de profiter au maximum de ma cousine et de son épouse, qui reviennent de lune de miel. Elles ont surement une tonne de choses à me raconter et moi j’ai juste la routine a leurs compté. Mais on s’en fiche, le principal est que nous nous retrouvions autour d’un goûter et d’une boisson toutes les trois, pour profiter au maximum les unes des autres.
J'ai a peine fini mon repas de midi, pris un peu en retard car j’ai eu du monde à la boutique et nous avons dû fermer un peu plus tard qu'à l'habitude, le temps de nous occuper de tout le monde. J’en profite pour ranger les deux trois trucs qui traînent dans l’appartement, car les filles ne devraient plus trop tarder, je leur ai indiqué quinze heures dans le hibou et il est moins dix, ce qui fait qu’elles devraient être là dans quelques minutes.
En attendant, je me pose dans le fauteuil du salon, bien trop confortable, pas sur que j’arrive a me relever après ça. Mais une micro pause n’est pas de refus, j’ai les pieds en feu pour piétiner toute la matinée.
Alors que je commence à m'assoupir, la sonnette de la porte d’entrée retentit, je m’extirpe de mon fauteuil tant bien que mal et prend l’escalier pour descendre rejoindre mes invitées, ce même escalier donne dans la réserve, je descend donc et ouvre la porte a mes deux jolies sorcières bien aimé !
«Salut les filles, comment allez vous ? Entrez vous mettre au frais dans l’appartement.»Dit-je en me décalant afin de leurs laisser l'accès libre, afin qu’elles puissent entrer. Elles prennent l’escalier tandis que je ferme la porte et que je monte à leurs suite dans l’escalier en fonte qui dessert sur mon salon. Pas la peine de leur dire de prendre place, elles sont grandes et bien capables de s’installer sans qu'on les invite à le faire.
Je me réinstalle dans mon fauteuil, puis une fois qu’elles ont pris place, je leur demande.
«Je vous offre quelque chose à boire ? Du chaud, du froid ? » Même si les températures extérieures sont légèrement chaudes, je préfère poser la question, parfois les personnes aiment quand même prendre un truc chaud, ça régule la température du corps si je me souviens bien. Je m'apprête à me relever lorsque que j’aurais une réponse de leur part. C’est à ce moment-là que bébé décide de se manifester et bouge tel un petit poisson dans mon ventre, ce qui me tire un sourire. La grossesse me plait bien, même si à deux, enfin en couple ça doit être mieux.
Fiche (c) Espe
Abigail MacFusty
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Mar 28 Fév - 20:53
La cage aux poules
Fin août 2021
Le parfum d’Harper m’envahit les narines tandis que je prenais une profonde inspiration. Les yeux fermés, je ne souhaitais pas atterrir de cette félicité qui nous avait propulsées toutes les deux. Depuis deux mois, le début de notre lune de miel, notre relation était devenue d’autant plus fusionnelle, si seulement c’était possible. Peut-être que le fait que j’ai disparu plusieurs jours et que j’avais frôlé la mort avait éveillé quelque chose dans notre inconscient. En plus, il y avait cette promesse que nous nous étions faite. Cette promesse d’avenir à laquelle nous allions nous atteler les prochains jours. Devrions-nous déjà en parler à ma famille ? Je n’en étais pas certaine, car pour le moment, je le voyais comme un petit trésor entre nous, une petite chose que je voulais déjà préserver. Délicatement, je faisais danser mon index sur les courbes encore bouillantes de mon épouse tout en me perdant dans son regard. Nous étions au beau milieu de l’après-midi et pourtant je n’avais aucune envie de me lever et de me préparer. L’invitation de ma cousine nous avait fait plaisir, mais il m’était difficile pour moi de sortir de notre voyage de noces. Ça allait être d’autant plus vrai une fois de retour à Poudlard. Un sourire amoureux étira mes lèvres et je venais déposer un baiser sur le bout de son nez.
— Est-ce qu’on lui dit qu’on est malade ?
Évidemment je ne pensais pas ce que je disais, ce n’était que la manifestation de mon confort présentement. J’étirais mes jambes engourdies en fermant les yeux et en laissant échapper un bâillement. Ce fut à cet instant que Muriel en profita. Voyant que je m’éloignais de quelques petits centimètres de sa très chère sauveuse, elle sauta sur mon visage, le poussa et vint se lover dans le creux du cou de mon épouse.
— Hey !
Bien qu’heureuse d’être rentrée à la maison et d’avoir retrouvé mes merveilleuses créatures magiques et non magiques, le comportement de cette niffleuse envers Harper ne m’avait pas manqué. À la manière typique des niffleurs, elle souffla bruyamment plusieurs fois de son bec avant de fouiller son pelage de ses pattes. Elle me tendit un gallion ce qui m’arracha un rire sarcastique.
— Non, non, tu ne m’achèteras pas. Coquine.
J’enfonçais doucement un doigt accusateur dans ses poils bleutés avant de me redresser, non sans porter mes mains dans le creux de mes reins.
— Ouille… Je crois que je me suis brûlé les fesses sur le tapis.
Parce que je n’avais apparemment pas assez de marques comme ça. Je soupirais et levai mes bras au-dessus de ma tête dans un nouvel étirement. En m’accrochant au canapé, je me relevais et entrepris de me rhabiller non sans jeter un œil à l’horloge. On n’était pas en avance avec tout ça. Est-ce que Aïko nous en voudra ? J’en doutais, mais ça ne restait pas très poli. Les pieds nus, que j’allais exceptionnellement laisser ainsi, j’allais à la salle de bains. Je vérifiais que le léger chemisier bleu marine camouflait convenablement mes béantes cicatrices et réajustais la longue jupe qui couvrait mes jambes. Une fois prête, je me saisissais du cadeau que j’avais posé sur le meuble d’entrée et enfilait mes sandales. Patiente, j’attendais mon épouse en sortant déjà de la maison. Le vent chaud océanique me fouetta le visage en m’imposant son sel sur mes lèvres. Je fermais les yeux en prenant une grande inspiration. Il n’y avait pas à dire, le tour du monde avait été merveilleux, mais on n’était vraiment bien que chez soi. Je contemplais Sleipnir au loin, couché sur le flanc à profiter du soleil, entouré de mes moutons. Rejointe par Harper, nous transplanions jusqu’au quartier magique londonien non loin de la boutique de ma cousine. La main dans la sienne, j’entrainais mon épouse dans les rues de la ville avant de sonner à la porte. Le visage souriant de ma cousine me fit papillonner le ventre. Si heureuse de la retrouver, je la serrais dans mes bras, avec délicatesse néanmoins, car je n’avais pas oublié son état.
— On va plutôt bien et toi ? Tu ne te sens pas trop comme une baleine échouée ?
J’eus un petit coup d’œil rieur avant de prendre la direction indiquée et de monter les escaliers. Sans prendre place, je balayais l’appartement de ma cousine du regard avant de revenir sur elle qui s’enfonça dans son canapé. J’affaissais mes épaules d’amusement en détachant une mèche de ma frange pour cacher ma joue balafrée.
— On va se servir, reste assise. Tiens. Je lui tendais notre cadeau. Ça vient d’Amazonie.
Je me dirigeais dans la cuisine, faisant comme chez moi, non sans une caresse glissée sur le bras de Harper au passage. Sans gêne, je préparais des boissons et à grignoter d’un coup de baguette pour amener le tout sur la table du salon. Les mains dans le dos, je déambulais lentement parmi les bibliothèques de ma cousine sans chercher à m’asseoir. En vrai, j’avais mal aux fesses à cause de ma brûlure et je préférais pour le moment rester debout. La chaleur saisonnière n’aidait en rien à me soulager.
— Alors, qu’as-tu fait durant ces deux mois d’été ?
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Harper MacFusty
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Sam 11 Mar - 18:21
La cage aux poules
Fin août 2021
Le corps échoué sur le tapis du salon, Harper regardait le plafond, la respiration sacadée, l'oeil hagard et le sourire béat. Après avoir atteint le sommum, elle riait toujours ainsi bêtement, comme si une bonne dose de LSD venait de lui être administrée. De la sueur perlait sur sa peau, permettant à l'index de son épouse d'y glisser aisément. Depuis leur voyage de noces, la libido d'Abigail s'exprimait à nouveau, le couple voguait sur un nuage de bonheur, malgré la cruelle attaque dont avait été victime Abigail. — En vérité, après tous ses efforts, une boisson fraîche me ferait le plus grand bien, plaisanta-t-elle, une main coincée dans la chevelure d'Abigail pour lui masser le crâne. Sa tête vira de côté lorsque la niffleuse vint se lover par surprise dans le creux de son cou. Sacrée Mumu ! Elle n'en râtait véritablement pas une. Le culot de la créature alla jusqu'à présenter un gallion pour se débarasser d'Abigail. En bonne spectatrice, Harper ne contint pas son rire, amusée par la situation. A son tour, Harper bailla à gorge déployée, sans prendre la peine de mettre sa main devant la bouche. — Vivement que Théodore se détende la nouille. Muriel balança un oeil suspicieux en direction d'Harper, comme si cette dernière déclaration possédait des sens cachés. Les rires d'Harper s'intensifièrent en constatant les rougeurs sur les fesses de son épouse, attestant de leurs ébats endiablés. Les deux épouses consentirent à se préparer pour n'être pas trop en retard chez leur cousine qui les avait aimablement invité pour le goûter (du moins, c'est ce qu'Harper avait compris, « un goûter »). Après une douche fraîche, Harper revêtit une simple robe à bretelles colorée qui lui retombait sur les genoux. Sur le pas de la porte, elle saisit la main d'Abigail pour transplaner directement à l'appartement d'Aiko. Leur dernière entrevue n'avait pas été des plus joyeuse, malgré l'annonce d'un nouveau-né prochainement. Le comportement de son ex-ami Aaron l'avait fait tomber des nus, et si de bonnes âmes étaient capables de lui trouver des excuses, Harper l'avait très mal diggéré. Certes, niveau fuite, elle avait du bagage. A la différence qu'aucun enfant n'entrait en jeu. Ayant été ignorée par son père, la fuite d'Aaron l'avait touchée en plein coeur. Quoiqu'il en soit, la racune n'entamait pas son optimisme iné, et c'est avec grand plaisir qu'elle retrouvait Aiko après ses longues semaines de voyage. Après une brève et maladroite accolade dont Harper avait le secret, elle se jeta sur le canapé en attendant patiemment qu'on la serve. Sur le quivive, Abigail suggérait à Aiko de rester assise pendant qu'elle s'occupait (Harper l'espérait), du goûter. Bien évidement, elle ne se souvenait pas du cadeau qu'Abigail avait ramené pour Aiko, mais qu'importe ? Elle ne l'avouera pas. Elle se contentera de croiser les jambes en s'enfoncer dans le canapé pour écouter le récit d'Aiko à propos de l'été qui venait de s'écouler. Quelque part dans l'entrée, il y avait du mouvement dans le sac cabas qu'Harper avait jeté sur le sol. — Le petite Nott a été une bonne petite esclave ? Compléta Harper.
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Cousine, raconte moi une histoire.FI harper et Aby
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