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Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes,
alors pensez à les privilégier pour vos personnages

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Mal au corps, mal à l'âme (ft. Livia) :: Three Broomsticks :: Pensine :: Les RPs
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Ven 1 Avr - 20:23
Mal au corps, mal à l'âme

05 septembre 2013

Tes pieds pendent dans le vide et tu secoues tes jambes d’avant en arrière, l’une après l’autre, dans un rythme presque militaire. Ton regard se pose sur tout ce qui se trouve autour de toi, du mur blanc aux équipements médicaux, jusqu’au personnel qui passe sans même te remarquer. C’est que tu ne prends pas de place, Billie, sur ta chaise. Tu inspires puis expires profondément et lèves la tête pour inspecter le plafond, cette fois. Il est haut et même en tendant très fortement le bras ou en te mettant debout sur le siège, tu ne l’atteindras jamais. Tu n'essayes mêmes pas. Tes yeux bleus quittent le plafond pour se baisser vers le sol et tu arrêtes le balancement de tes jambes pour les replier contre ton torse. Le mouvement te fait grimacer de douleur mais aucun son ne sort de ta gorge. Il serait de toute façon bloqué par ta lèvre fendue et enflée qui barre le passage. Nouveau soupir et tu penches ta tête en arrière en faisant la moue. Tu as l’impression d’avoir attendu ici une éternité et le fait est que c’est une réalité. Tu n’es pas un cas grave, tu peux très bien attendre un peu qu’on vienne s’occuper de toi. Rien à voir avec le mec qui vient d’entrer avec sa baguette magique plantée dans la cuisse. Quelle idée de la ranger là… ça n’a pas l’air très efficace !

Tu fermes les yeux et penses à la façon dont tu en es arrivé là. Ce n’es pas très compliqué, en même temps. Tu t’es fait tabasser, rien de plus, rien de moins. Mais pourquoi donc ? À te regarder comme ça, recroquevillé sur ta chaise, tout frêle, fragile et semblant innocent, on te donnerait le bon dieu sans confession. Et c’est vrai que, jusqu’à ton entrée à Poudlard, tu n’as jamais rien eu à te reprocher. De toute façon, on ne te laissait rien faire. Te retrouver entouré de toutes ces personnes, tous ces élèves – de ton âge ou non – et adultes t’a un peu retourné le cerveau. Tu te rends compte que le petit garçon enfermé chez lui avec rien d’autre à faire que jouer avec son imagination n’est plus celui que tu veux être, et que les regards de tes camarades sur toi commencent à te monter à la tête. Si bien qu’au final, tu as fini par ouvrir ta bouche. Pour qu’ils ferment la leur. Ce n’était qu’une question de temps avant qu’ils ne découvrent la vérité sur ta nature. Tu n’es qu’un né-moldu, un « sang de bourbe ». Tu ne connaissais pas ce terme et tu n’es pas certain de vouloir le retenir. Il ne fait pas spécialement mal, il est juste insultant. Tu ne t’attendais pas à faire face à de si nombreux obstacles en intégrant cette école, quand tu n’as jamais connu que l’éducation scolaire faite par ta mère. Ton idée était bien différente de la réalité. Et la réalité, c’est que les élèves sont divisés entre eux. Certains pensent que plus le sang est pur, plus il est respectable. D’autres s’en foutent. Toi, t’es au milieu et tu n’as aucune idée de l’avis que tu dois avoir. En tant que né-moldu, on attend de toi que tu sois du côté de ceux qui défendent l’égalité des chances pour tous et peut-être as-tu envie d’être de ce côté-là… Mais en même temps, ces Serpentard qui ton fracassé la tête au sol, tu veux leur respect en tant qu’égal. Tu veux qu’ils soient tes amis car depuis que tu es arrivé à Poudlard, tu n’as réussi à t’en faire aucun. N’est-ce pas pathétique ? Toi, le petit moldu perdu dans son coin, que personne n’approche ou ne veut connaître. Tu ne sais pas ce que t’as fait pour être déserté de la sorte et tu as si peu laissé de place à tes émotions depuis ton arrivée qu’ils ne savent probablement même pas que tu es métamorphomage.

Métamorphomage… ce terme non plus, tu ne le connaissais pas et c’est chose faite désormais. Tu n’es même pas certain de réellement te reconnaître en lui. Il est étrange, peu familier. Tu n’en sais pas encore toutes les propriétés et tu as un peu peur de regarder la vérité en face sur ce que tu es. Passe encore d’être un sorcier né de parents moldus – mais un sorcier avec des particularités comme celles-ci ? C’est la cerise en haut du gâteau. La poisse internationale. T’aurais pu t’en sortir si on t’avait envoyé chez les Poufsouffle ou les Gryffondor. Mais ton, t’as atterri chez les pires des pires, ceux qu’on redoute, qu’on repousse souvent ; ceux dont les rumeurs sur leurs préjugés vont bon train ; ceux qui n’hésitent pas à te mettre la tête dans la cuvette juste parce que c’est drôle de noyer le moldu. Les Serpentard.

Une infirmière arrive, te demande ton prénom que tu énonces d’une petite voix, sans trop d’entrain. T’as même pas envie de rester là ni même de la suivre, mais tu le fais quand même. Tu ne vas quand même pas repartir de cet hôpital plus amoché que tu n’y es entré et il faudrait jeter un œil à cette lèvre pour qu’elle puisse désenfler un peu. Ton front a heurté le sol, lui aussi, mais tu n’as aucune idée de la gravité de la blessure. Peut-être as-tu senti quelque chose à un moment donné, comme du sang, mais ce n’est même pas certain. On t’installe dans un des box, en position assise sur l’un des lits et de grands draps blancs se referment tout autour de toi. Tu te retrouves de nouveau dans une prison et t’aimes pas ça. Celle-ci paraît presque plus effrayante que celle que tu as connu à Londres, dans l’appartement de tes parents. Au moins, tu y avais de quoi t’occuper. Ici, tu n’as même pas ta baguette et de toute façon, tu ne saurais pas quoi en faire. Tu ne côtoies les cours que depuis une semaine, qu’est-ce que t’en sais de la façon d’utiliser ce bout de bois ? Un soupir plus tard, quelqu’un vient finalement tirer le rideau pour rentrer dans le box lumineux, un sourire aux lèvres.
AVENGEDINCHAINS
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Mar 5 Avr - 11:36

Mal au corps, mal à l'âme
@Billie E. Rowe  & Livia



05 septembre 2013
La vie est parfois faite de drôles d'opportunités. Livia n'aurait jamais imaginé en arriver là. Jeune sorcière parfaite, à la vie plus que rêver, la jeune américaine avait tout fait pour changer radicalement de vie. Une envie de liberté qui se faisait de plus en plus présente en elle. Pendant des années, il avait fallu être la petite fille parfaite, toujours bien habillée, coiffée, maquillée. Il avait fallu ramener des excellentes notes. Livia devait faire en sorte que tout cela soit facile et simple pour elle, mais cela ne l'était pas. Elle était enfermée dans un rôle qui ne lui correspondait pas. Au début, pour l'amour de ses parents, la jeune sorcière qu'elle était avait joué le jeu à fond. Elle voulait être parfaite pour faire plaisir à ses parents. Pour être aimée, elle se devait d'être parfaite. Une perfection qui se devait d'être aussi naturelle que possible. Cela devait sembler inné chez Livia. A partir de ces vingt ans, cela était devenu trop difficile à assumer pour la jeune sorcière qui prit la poudre d'escampette et partit étudier à l'Université en Angleterre. Livia avait eu besoin de cette coupure. Ses parents loin, ne donnant plus aucune nouvelle - car ils n'avaient pas accepté le choix de leur fille - Livia apprenait à vivre librement et simplement. Mais il était difficile pour la jeune interne en médicomage de ne plus devoir être si parfaite. Elle, qui durant plus de vingt ans, avait du enfiler le costume de la jeune femme parfaite à tout égard. Livia avait du mal à être elle-même. Ce n'était pas étonnant quand on ne savait pas qui on était.

Livia venait de débuter une année d'internat aux urgences de l'Hôpital Sainte-Mangouste. Cela faisait à présent quatre années qu'elle apprenait la théorie des médicomages, elle allait enfin pouvoir passer à la pratique. Livia n'en avait pas peur. Elle était assez sûre d'elle et avait une tête bien faite et bien remplie. Elle connaissait sur le bout des doigts les sorts et les potions qu'elle avait appris durant ces quatre années à l'Université. Il ne restait plus qu'à les appliquer. Ce qui ne l'inquiétait absolument pas. Avoir confiance en elle, était la plus grande force de Livia. Elle savait qu'elle allait réussir. Si elle n'avait pas confiance en elle, personne n'aurait foi en ce qu'elle pouvait dire ou faire. Quelques patients avaient déjà fait part de leur  réticence à se faire soigner par une jeune interne. Livia avait réussi à les rassurer, à leur prouver qu'elle était capable du meilleur. Et elle l'avait prouvé. Livia avait trouvé sa voie, et c'est ce qui réussissait à la combler. Elle savait qu'être médicomage était fait pour elle. Pourtant, de part son éducation des plus strictes, Livia avait tout de même tendance à se méfier des sorciers qui se présentaient comme sang-mêlés ou comme né-moldus. Depuis petite, on lui avait appris à se méfier de ces sorciers et sorcières là. Ces derniers n'étaient pas des gens fréquentables, et étaient fourbes. Des idées reçues que Livia avaient encore du mal à mettre de côté et à se faire sa propre opinion. Il était difficile de mettre de côté des années de matraquage et d'éducation. Livia essayait de ne faire aucune différence entre ses patients, mais elle se rendait tout de même compte de son comportement. Quand il s'agissait d'un sang-pur, le dialogue semblait plus facile, plus simple. La relation était facile à construire. Lorsqu'il s'agissait de sorciers sang-mêlés ou né-moldus, Livia était un peu plus froide et distante, restant toujours sur ses gardes.

Depuis ce matin, les urgences de l'Hôpital ne désemplissaient pas. Des gros accidents de balais, de baguette, de potions, comme de légères contusions ou coupures. Livia adorait ce genre de journées. Elles passaient vite et la jeune sorcière ne s'ennuyait pas. Elle détestait regarder le temps passer à ne savoir que faire. Livia était peut-être hyperactive. Mais en tout cas, les urgences étaient le service parfait pour faire avancer le temps rapidement. Un réel plaisir pour la jeune sorcière qui ne tenait que rarement en place.
Livia avait commencé la journée par remettre en place une épaule d'un joueur amateur de Quidditch. Elle avait enchaîné par un diagnostique poussé : une jeune sorcière avait avalé une potion de rajeunissement mais l'effet avait été tout autre. Livia semblait particulièrement douée pour poser et trouver les diagnostiques liés à des empoisonnement par potion.
Puis, arrivée en milieu de journée, les urgences devenait relativement plus calmes, chacun voguant à ses occupations.
Livia avait un nouveau dossier sous la main et s'apprêtait à rejoindre le box dans lequel le patient devait attendre. Il fallait être patient quand on entrait aux urgences. Ici, ce n'était pas le premier arrivé, premier servi, mais une hiérarchie liée à la gravité se mettait en place en fonction des heures qui s'écoulaient.
La jeune interne pénétra dans le box où l'attendait bien un jeune élève. Il semblait très jeune. Livia sourit poliment à son jeune patient et s'approcha de lui avec douceur.

« Bonjour jeune homme, je suis mademoiselle Sheppard, c'est moi qui vais m'occuper de toi aujourd'hui. Alors, peux-tu me dire comment tu t'appelles, ainsi que ton âge et ta date de naissance, s'il te plait ?  »

Ses questions, le jeune patient y avait déjà répondu mais c'était un moyen pour Livia de s'assurer qu'il n'avait pas de commotion invisible à l'oeil nu. Visiblement, le jeune sorcier avait la lèvre fendue et une jolie entaille sur le front. Ces deux blessures, plutôt profondes, allaient nécessité quelques heures de travail pour Livia et de repos pour lui.
Ce genre de blessures n'étaient pas le fruit d'un accident. Livia avait vu beaucoup de blessures similaires lors de bagarre entre personnes, ou alors lors d'agressions.

« Tu peux me raconter comment tu as fait ça ?  »

Livia s'approcha du jeune homme et alluma sa baguette grâce au sort " Lumos ". Délicatement, elle pencha le visage de sorcier en arrière et posa ses mains gantées sur la plaie qui se situait au niveau du front. Il avait du tomber mais pas par accident. L'entaille était bien trop profonde. On l'avait certainement poussé violemment. C'était la blessure qui l'inquiétait le plus puisque celle-ci se trouvait au niveau crânien. La lèvre était, certes impressionnante, mais cela ne pouvait pas engendrer d'autres problèmes médicaux sérieux.

(c) ROGERS.
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Invité
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Mar 5 Avr - 19:55
Mal au corps, mal à l'âme

Le temps est d’une lenteur exécrable. Tu penses à tout ce que tu pourrais faire si tu n’étais pas bloqué dans ce box, à attendre après une personne qui ne semble pas vouloir – ni pouvoir – venir. Il aurait peut-être mieux valu que tu restes à l’infirmerie de Poudlard et que tu insistes auprès de l’infirmière pour qu’elle te répare « à son niveau ». C’est elle qui a insisté pour que tu ailles aux urgences, alors que tu n’en ressentais et n’en ressens toujours pas le besoin. Que va-t-on te faire qu’elle ne pouvait pas exécuter elle-même ? Il fait froid ici, tu le constates bien vite alors que quelques frissons viennent dresser le duvet sur tes bras. Tu secoues encore plus rapidement les jambes pour te réchauffer, cherches quelque chose à faire du regard mais il n’y a rien. Tu ne sais pas si c’est le contrecoup de ton tabassage en règle ou juste la température de l’hôpital qui est ainsi, mais tu ne serais pas contre une petite couverture sur tes épaules à cet instant précis. Tentant d’oublier cette sensation qui te traverse et le goût de fer qui envahit toujours plus ta gorge, tu lèves les yeux vers le plafond une nouvelle fois, pour en compter les carreaux. Ou les rectangles. Tu n’as jamais été très doué en mathématiques alors tu perds vite le compte. Il faut dire que la douleur lancinante à ton crâne ne t’aide pas à te concentrer. Tu hésites à t’allonger sur le lit, à défaut de pouvoir obtenir meilleur confort mais alors que l’idée te traverse seulement l’esprit, le rideau s’ouvre sur une jeune femme. Très jeune femme, ne peux-tu t’empêcher de remarquer. Bien sûr, elle est beaucoup plus vieille que toi mais pas assez pour être un médecin aguerri, non ? Elle ne ressemble en rien à ceux que tu as vu passer un peu plus tôt, dont les expériences liées à leur métier marquent déjà les rides sur leur visage. Elle n’a pas l’air mécontente d’être là, ce qui est déjà un bon point. Tu t’attendais à te retrouver face à un vieux bonhomme qui, en voyant ton cas, n’aurait eu qu’une envie : en finir au plus vite et renvoyer le p’tit gars chez lui. Sheppard, c’est ainsi qu’elle s’appelle et tu la regardes de tes grands yeux ronds azurs, cherchant chez elle le détail qui rompra ce tableau de perfection qu’elle renvoie. Tu attends sagement qu’elle parle la première.

« Billie Rowe, onze ans. Je suis né le trois août 2002. » Tu donnes ces informations sur un ton monotone, comme si ça n’avait aucune importance. Tu ne sais pas trop pourquoi elle te demande ça, sachant que tu as déjà dû le répéter au moins cent fois aux personnes que tu as croisé avant elle. Personne ne se transmet les informations ici ? Elle s’approche alors de toi et te poses la question fatidique : comment t’es-tu fait ça, Billie ? L’infirmière de Poudlard l’a demandé avant elle et une autre personne aussi, à ton arrivée à l’hôpital. À tous, tu vas leur servir le même discours car il est hors de question que tu engranges plus de problèmes en dénonçant les quatrième années qui s’en sont pris à toi. Enfin, c’était un méli-mélo de Serpentard, tu t’es juste dit qu’ils étaient beaucoup plus âgés que toi parce qu’ils n’ont eu aucun mal à réduire tes efforts de défense à néant. Elle se rapproche beaucoup trop près de toi à ton goût et tu te recules presque instinctivement. À part le docteur moldu qui passait parfois chez vous pour soigner tes rhumes et autres petites maladies d’enfant, tu n’as jamais laissé un autre adulte que tes parents te toucher. Le geste de Livia, tu ne le connais pas. Tu ne sais pas ce qu’elle te veut, ce qu’elle compte faire exactement et apparemment, elle ne compte pas non plus s’expliquer à ce sujet. Une petite voix dans ta tête – ressemblant étrangement à celle de ta mère – te répète de respirer profondément et de te calmer. Tu n’as pas envie qu’au bout d’à peine une minute, elle comprenne que tu es un métamorphogage et pour cela, il te faut tempérer tes émotions. Tu retires donc presque un peu trop violemment ton visage des mains de l’interne et te décales sur le lit d’hôpital, tel un jeune Bambi mal à l’aise. En touchant la plaie à son front, elle avait provoqué une vive douleur que même lui ne pouvait pas contrôler par des respirations. Qu’allait-il lui arriver si elle recommençait ?

« J’ai glissé sur une flaque d’eau dans les toilettes et je me suis cogné contre le rebord du lavabo. J’ai pas fait exprès. » Tu ressens le besoin incontrôlable de te justifier, comme si tu pouvais être réellement responsable de tes blessures, alors qu’il n’en est rien. Ces Serpentard ne diraient pas la même chose, bien sûr. Ils t’ont clairement fait comprendre que tu es responsable de l’impureté de ton sang et que tu n’as rien à faire dans une école de sorciers et que, si on t’y a convié, c’est uniquement par manque d’effectifs et par pitié envers les gens comme toi. ‘Les gens comme toi’… Tu n’as pas bien compris ce que ça voulait dire mais quand bien même, tu t’es senti blessé par cette remarque. Ce n’est pas comme si tu avais demandé à être un sorcier ou à avoir ce don inexplicable qui t’embête plus la vie qu’autre chose ! C’est cette particularité qui t’a complètement coupé du monde et privé des joies les plus simples d’un enfant. Apprendre à faire du vélo, jouer avec des amis dans le parc, aller nager à la piscine avec son papa et sa maman… Tu ne connais rien de toutes ces choses et c’est toi que l’on blâme, au bout du compte ?

Tu jettes sur Livia un regard qui en dit long sur ce que tu penses de cette situation. Tu n’es pas à l’aise et tu réprimes ce sentiment de peur pour ne pas que tes boucles brunes se transforment en océan agité. Tu déglutis difficilement. « Vous allez me faire quoi ? »
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