Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes, alors pensez à les privilégier pour vos personnages
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| Aller à la page : 1, 2 | | Hunter Conley INRP Métier : Gérant magasin de Comics
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| Mar 8 Déc - 20:52 Un piaf un chien et un rongeur
«Dis dis,Doryan, Doryan, tu sais ? J’suis ton plus grand fan ! J’sais pas si je te l’ai déjà dit.»
Cela fait déjà plusieurs heures que vous suivez le chien de partout. Vous n’avez eu de cesse de lui répéter ces mots, encore et encore. Vous êtes tellement surpris d’avoir pu croiser votre idole. Doryan le Superchien en chair et en poil !
«Dis, tu peux me montrer ton superwouah ? Dis ? Dis ? Dis ? Allez ! Juste une fois ! Tu veux bien que je t’aide à retrouver Penny ? Et tes… Euh…mitaines. Pourquoi l’homme à l'œil vert t’a volé tes mitaines ? Elles ont un rapport avec tes pouvoirs ? Ça l'amplifie ? Ça l'annule ? S’il te plaît, prends moi dans ton équipe, sans moi, tu es un homme seul. Je suis un héros moi aussi. On m’voit pas venir.» Vous agitez vos petites pattes de rongeurs dans votre sphère en plastique. «Je ne crains personne question réflexe. Yahaaa» Vous faites quelques mouvements de Kung-Fu en sautant sur place et en donnant des coups de pieds dans le vide. «Et je suis rapide comme l’éclair. Ça se voit pas tant que je suis dans ma boule, mais c’est parce qu’elle me sert à canaliser ma puissance. Qui sait ce qui pourrait arriver si je laissais libre court à ma force ?! Sans cet alliage de la marque Rhino-Shield, je risquerais peut-être détruire le moooooonde ! Je te laisse l’infâme Docteur Calico mais je peux t’ouvrir un chemin jusqu’à lui en m’occupant de ses sbires ! »
Vous vous arrêtez de marchez, puis vous tendez les bras de chaque côté de votre corps et commencez à rire de manière hystérique en levant les yeux au ciel.
«HAHAHA HAHAHAHA HAHAHAHAHA»
Vous baissez les yeux et constatez que votre compagnon de route continue son chemin. Vous courez pour faire rouler votre boule jusqu’à lui.
«hey ! Attends-moi ! T’es vexant, tu aurais pu faire semblant d’être impressionné par mon super mégalo-rire. On va où comme ça ? Dis, dis dis, on va où ? Tu sais où on peut la retrouver ta maîtresse ? On sait où est le repère de l’homme à l'œil vert ?»
Vous continuez de bombarder de question le pauvre chien. Vous êtes impressionné par sa marque en forme d’éclair qui orne sa fourrure. Vous n’en croyez toujours pas vos yeux de voyager à ses côtés.
«Et tu peux compter sur moi pour surveiller nos arrières. Tu peux être sûr que personne ne pourra nous espio… »
Vous laissez votre phrase en suspens. Vous constatez que vous n’êtes pas seuls et qu’un volatile vous regarde depuis un moment déjà.
«Hey toi là ! Le pigeon ! Tu nous espionnais pour le compte du Docteur Calico hein ? Et bien saches que tu n’apprendras rien ! Et note bien que Doryan le Super-Chien et Hunter son Super-Acolyte vont mettre une raclée à le monstureux Docteur et libérer Penny ! »
Vous fouillez dans vos bourrelets pour en sortir votre Super-Costume que vous enfilez en hâte. Vous vous mettez ensuite sur vos pattes arrières et commencez à boxer dans le vide de gauche à droite, à l’intérieur de votre prison de plastique, pour avoir l'air le plus menaçant possible.
Game of Blood Ϟ Tous droits réservés | | | Abigail MacFusty INRP Métier : Professeur de Soins aux Créatures Magiques & directrice de la maison Poufsouffle
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| Mer 9 Déc - 21:21
Lisser la plume. Lisser la plume. Lisser l’autre plume. Lisser l’autre plume. Roucouler. Roucouler. Roucouler. Alors ouais je ne sais pas vous, mais être un pigeon c’est super fatiguant, il y a plein de choses à faire ! Plein d’activité. Manger, picorer, goûter, savourer. Rien que ça, juste pour remplir mon estomac, ça fait beaucoup. Il y a aussi voler, éviter les coups de pieds, et surtout, et ce que je que je préfère : chier sur les gens. Non fallait bien le reconnaître, j’avais la belle vie. Il n’y avait qu’un point noir qui pouvait gâcher ma vie, mais vraiment, c’était les chats. Ces cons de bestiaux qui voulaient me bouffer. Faut dire que j’étais tout aussi belle que grasse (je trouvais bien à manger), du coup forcément je donnais envie. Surtout parce que j’étais belle (ben quoi ? ). Cela dit, si un con de chat venait à me manger, il ferait sûrement une indigestion. Rien que pour ça je serais presque tentée de me laisser faire. Juste pour emmerder mon monde vraiment jusqu’au bout, comme une bonne grosse connasse que je suis. Aaaah ouais ! être un pigeon c’est génial ! Oh… Oh un instant !
Lisser la plume. Lisser la plume. Lisser l’autre plume. Lisser l’autre plume. Roucouler. Roucouler. Roucouler. Pardon pour cette interruption. C’est qu’il y a des priorités dans la vie d’un pigeon vous savez. On ne peut pas faire tout ce qu’on veut quand on le veut. J’ébrouais mes ailes en gonflant mes plumes tout en ouvrant et fermant le bec, puis baillait. Je m’emmerdais un peu là, ça manquait d’action. Le truc, c’est que l’endroit où je me trouvais-là était très calme. J’avais quitté un peu la ville le temps de digérer. Pourquoi je n’y retournais pas me demanderez-vous ? Ben parce que j’ai la flemme en fait. Aussi, j’avais bon espoir que des humains viennent ici pour jeter des déchets, il y aurait peut-être quelque chose à manger. J’étais une opportuniste, mais aussi, j’étais très maligne. J’évitais de me faire roucouler par les gros loubards volants de la ville. Olala ceux-là, tous les mêmes : Arourou mademoiselle, Arourou t’es bonne, Arourou t’as fait tomber un truc : mon cœur, Arourou t’es une bombe, Arourou. Ouais ici au moins, j’avais un peu la paix. Mais purée, je m’emmerdais comme un rat mort (et ce n’est pas bon les rats morts, je vous déconseille d’en manger). Berk berk. Un hamburger c’était meilleur !
Oh… OH !!! Attendez !
Lisser la plume. Lisser la plume. Lisser l’autre plume. Lisser l’autre plume. Roucouler. Roucouler. Rou… Une bouboule osait m’interrompre dans mon précieux rituel. Il me regardait de bas là (ouais c’était moi qui le regardait de haut), comme s’il se sentait fort ou je ne sais quoi. Pour m’assurer que je ne rêvais pas, je tournais la tête sur le côté et observait les deux animaux non loin avec mon œil rond comme une soucoupe, jugeur. Je regardais aussi le chien blanc mais sans m’y attarder puisque c’était l’avorton qui me parlait. Il voulait quoi lui là ? Il voulait se battre ? J’avais les fientes prêtes, pas de soucis !! En agitant un peu les ailes de mécontentement, je répondais de mon bel accent suave.
- Ma, qui tou est toua ? qué tou veux ?
Flemme disparue, je m’envolais pour tournoyer au-dessus des deux individus, comme le rapace au sang-pur que j’étais (pas du tout).
- Douryoun et Hountour ? Qui c’est Penny ? et le Douctour Calicou ? Je me posais devant eux, à une certaine distance. Là, je tournais encore une fois la tête pour les regarder de côté, mon corps gris et mon cou rougeâtre luisant au soleil. Vous semblez bié perdou. Poutêtre yé peux vous aider, vous mé faites pitié. Yé connait les lieux comme mon aile. Là, je m’attardais enfin sur le chien en plissant le sourcil de l’œil qui le fixait. Héééé yé te counnais toi…. Yé té vu ou déjà ? ça va me revenir, attendez…
Et là je me contentais de les fixer silencieusement et devenue totalement immobile. Apparemment, réfléchir utilisait l’ensemble de mes neurones.
| | | Doryan Rosebury INRP Métier : Pompier
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| Sam 12 Déc - 16:13 A trois, nous serons forts Nous n'aurons jamais peur ft. Abi et Hunter Depuis que Doryan avait été séparé de Penny, tout allait mal, il découvrait que ses pouvoirs étaient neutralisés par du polystyrène, ça a pas l’air comme ça mais bon sang que c’est dangereux ces petits machins roses – il avait été EMPOISONNE et l’antidote se révélait être de la nourriture qu’il fallait prendre régulièrement pour ne pas que ça dégénère. Sans oublier le fait que pour la première fois de sa vie, du liquide rouge s’échappait de ses pattes et il avait des douleurs, tombant bien plus souvent depuis qu’il était séparé de sa maîtresse que durant toute sa vie. Mitaine avait été catégorique, pour rester en vie le sang devait rester à l’intérieur de son corps. Doryan pouvait il se fier à un chat, l’allié de l’homme à l’œil vert ? Il n’en était pas sûr, surtout qu’elle connaissait le repère de l’homme ayant enlevé sa Penny, c’était près de la gaufre avec des lunettes de soleil ! Normalement c’était sa prisonnière qui le guidait jusqu’à cet endroit sauf qu’ils s’étaient perdu de vue… Disons que Doryan avait sauté du camion où les deux animaux s’étaient installés et la laisse dont il s’était servi pour attacher Mitaine avait lâché, il avait donc dégringolé, une fois de plus. Tout ça parce qu’il pensait avoir vu Penny sur une air d’autoroute. Maintenant, il boitillait jusqu’à la jeune fille. Un grillage les séparait, il prit son élan, baissa la tête et fonça de toutes ses forces pour faire exploser le dit grillage, ça ne fonctionna pas, il rebondit dessus violemment, se redressa hébété. Combien de temps allait durer l’effet du polystyrène au juste, c’était contraignant de ne plus avoir de pouvoir. C’est après avoir constaté que la petite fille n’était pas sa Penny et essayé de rejoindre Mitaine que Doryan fit la rencontre d’Hunter. Ce hamster était un fantôme, ayant réussi à suivre Doryan dans toutes ses aventures alors que le chien blanc était très prudent et que personne n’échappait à ses détecteurs. Avec ce profil, bien sûr qu’il voulait de lui dans son équipe. Ensemble, ils retrouveraient le camion où devait les attendre Mitaine… à moins qu’elle se soit enfuie ? Non, il fallait qu’elle soit toujours dans le camion pour qu’elle puisse les ramener jusqu’à la gaufre avec les lunettes de soleil.
Du coup Doryan était en mission, il n’avait pas le temps de s’arrêter pour parler, Penny attendait qu’il vienne la sauver et comme le jeune chien ne pouvait pas courir plus vite que l’éclair – merci le polystyrène hein – il était bien obligé d’avancer, écoutant néanmoins Hunter lui répéter à intervalle régulier qu’il était son plus grand fan. Doryan dû s’arrêter devant un croisement, hésitant, droite ou gauche. Hunter profita de ce moment de pause pour lui demander de faire son Superwouah « C’est top secret Hunter, le superwouah je ne dois pas l’utiliser pour rien. » Sans oublier le détail important, pour le moment ses pouvoirs ne fonctionnaient pas. Sauf qu’il n’eut pas le temps de le mettre au courant qu’Hunter enchainait, sauver Penny, retrouver Mitaine… Quoi mais elle n’avait pas été enlevé elle, et ça n’était pas elle la source de ses pouvoirs, ni même elle qui les surprenait, Mitaine n’était qu’un chat. Alors qu’Hunter demandait à faire parti de l’équipe, Doryan précisa « ça va être dangereux, il va falloir combattre pleins de méchants ! » Devant l’enthousiasme de la petite boule de poil, Doryan jappa « Bienvenue à bord ! » Néanmoins, il fallait quelques précisions « Mitaine n’a pas été enlevé, nous avons été séparés. Il faut qu’on la retrouve, elle seule sait comment rejoindre l’endroit où le docteur Calico retient Penny prisonnière. »
Motivé par leur alliance, Doryan reparti, chemin de droite, n’écoutant plus vraiment Hunter, essayant de repérer l’odeur de Mitaine. D’habitude il avait un super odorat. Hunter le rejoignit pour lui poser de nouvelles questions, Doryan le regarda avant de tendre la patte droit devant lui « On va par là. Mitaine a parlé d’un endroit avec une gaufre avec des lunettes de soleil, c’est là vbas qu’on trouvera le repère de l’homme à l’œil vert ! Il faut retrouver Mitaine ! »
Doryan était déjà reparti, partant du principe que ses ennemis l’attendraient là-bas, mais il faut croire qu’Hunter pensait différemment, puisqu’il dit avoir mis la patte sur un espion du docteur Calico, hop Doryan revient à sa hauteur pour voir qu’il s’adressait à un piaf. Piaf qui se mis rapidement à tournoyer au dessus d’eux -tel l’oiseau de proie impressionnant qu’il était – « Penny c’est ma maîtresse ! L’homme à l’œil vert l’a enlevé ! Il faut que nous la retrouvions. »
Ah le canard voulait les aider, voilà qui était une très bonne nouvelle, peut être que tout compte fait Doryan et Hunter n’auraient pas besoin de remettre la patte sur Mitaine. Flûte, encore quelqu’un qui pensait le connaître, ce n’était pas possible, qu’Hunter arrive à passer à travers la super vigilance de Doryan c’était une chose mais pas un canard en plus. Euh… Pourquoi il le fixait comme ça exactement, c’était très étrange « Pas le temps pour les bavardages l’ami ! Il faut que nous aides. Le chat qui m’accompagnait et qui est un sbire de l’homme à l’œil vert a parlé d’un endroit où il y a une gaufre avec des lunettes de soleil… C’est là bas qu’elle se trouve, je l’ai vu sur une carte trouvée dans les poubelles d’un restaurait. Est-ce que tu saurais où c’est et est ce que tu pourrais nous y conduire ». Il regarda son acolyte de la première heure, annonçant tout fier « Hunter, ce canard va nous accompagner, il fait partie de notre équipe. » Relevant ses yeux bruns vers le piaf, il lui demanda « Tu t’appelles comment ? On peut y aller ? Il faut vraiment que l’on retrouve Penny, elle doit s’inquiéter que je ne sois toujours pas arrivé pour venir la sauver. »
franchement, je tenais à vous dire respect tous les deux, vous êtes impressionnants en pigeon et hamster
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| Jeu 24 Déc - 1:38 Un piaf un chien et un rongeur «Chaque nouvelle minute passée en ta compagnie devient la nouvelle plus belle minute passée de ma vie.» Alors que vous harcelez le chien une énième fois pour qu’il vous montre le superwouah, ce dernier vous révèle, une fois de plus, que c’est top secret et qu’il ne peut pas l’utiliser pour rien. «Allez, sois sympas ! C’est pas pour rien, c’est pour me montrer que t’es pas un imposteur.»Voyant que le super-chien ne cédera pas plus, vous décidez de changer de stratégie. «Tu as réussi mon test Doryan ! Si tu avais été un imposteur, tu te serais empressé de me prouver que tu étais le véritable Doryan, tu aurais brisé le secret. Mais tu n’en as rien fait ! Mais du coup… Je peux quand même le voir ? Un petit peu ? Vite fait ?»Vous proposez ensuite votre aide à Doryan, vantant vos qualités, votre force et votre vitesse. Lors de votre rencontre, il vous avait qualifié de fantôme, vous aviez simplement acquiescé sans comprendre car cela semblait avoir impressionné le chien. Tous vos arguments semblent avoir fait mouche et le canidé accepta de prendre le rongeur que vous êtes en tant qu' acolyte. Vous comprenez que Doryan a perdu ses mitaines, qu’elles n’ont pas été volées, et qu’elles seules peuvent lui permettre de retrouver l’endroit où Calico détient Penny. Le chien vous ignore lorsque vous vanter une fois de plus vos compétences et entamez un rire à rendre jaloux les plus grands super-vilains. Vous roulez jusqu’à lui et lui demandez des détails sur votre destination. Il vous révèle que ses mitaines lui avaient indiqué que le repaire de l’homme à l'œil verre était tout proche d’une gaufre géante avec des lunettes de soleil. Les explications vous semblent un peu confuses et il ajoute qu’il faut retrouver ses mitaines, vous en déduisez que c’est pour qu’elles soient plus précises. «Euuuuuh… Ouais ! Faisons ça ! De toutes façons, chaque nouvelle minute passée en ta compagnie devient la nouvelle plus belle minute passée de ma vie.»Vous vous chargez vous-même de la surveillance. Vous avez l'œil vif et l’esprit aiguisé. À peine votre mission de contre-espionnage entamée que vous avez déjà repéré un sbire du terrible docteur Calico. Vous interpellez verbalement le volatile avant d’enfiler votre costume dans le but de garder l’anonymat. Vous êtes bien trop excité par la situation pour vous rendre compte que vous présentez au pigeon et vous changer devant lui NE vous rend PAS anonyme. Vous observez l’échange entre votre compagnon et le terrible espion. Vous vous attendez à ce que le super-chien fasse usage du superwouah pour se débarasser de l’ennemi, mais au lieu de cela il vous annonce que vous allez être trois. «Il va nous accom… Attends attends, j’suis pas sûr de bien avoir saisi. Tu fais confiance à cette chose ? Mais regarde le bien !» Vous pointez du doigt en direction du pigeon «Regarde ses yeux cruels. Regarde son regard mauvais. Ses pupilles qui transpirent l’intelligence et la trahi… » Vous comprenez enfin le plan du chien et lui parlez à voix basse, en mettant votre patte avant devant votre bouche pour que le son ne soit dirigé que vers Doryan «Ooooh, je vois. Comme tu sais que c’est un piège, nous ne tomberons pas dedans. Ce piaf va nous conduire tout droit vers notre ennemi, pensant qu’il va piéger, mais en fait, c’est nous qui allons le piéger puisqu'on sait que c'est un piège ! Tu es génial.» Vous vous frottez vigoureusement les pattes avant l’une contre l’autre tout en riant. «Hahaha haHAHA HAHAHA !»Vous stoppez net votre rire et fixez l’oiseau. «Si Doryan te fait confiance, alors tu as ma confiance. Faisons équipe ! »Vous avez donc officiellement accepté la formation de votre trio composé d’un Piaf, d’un Chien et d’un Rongeur. Vous pour l’heure, vous doutez très fortement que ça soit la recette du bonheur. Game of Blood Ϟ Tous droits réservés | | | Abigail MacFusty INRP Métier : Professeur de Soins aux Créatures Magiques & directrice de la maison Poufsouffle
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| Dim 27 Déc - 12:21 Les clignements de paupières devant mes grands yeux ronds montraient à quel point j'étais concentrée, et déconnectée. Mais l'une commençait à avoir de petits spasmes, qui augmentèrent lentement jusqu'à ce que…. Rah !!
Lisser la plume. Lisser la plume. Lisser l’autre plume. Lisser l’autre plume. Roucouler. Roucouler. Roucouler. Soudain, c'était comme si je reprenais vie alors que j'étais restée immobile pendant de longues secondes. Difficile également de savoir si j'avais bien compris les questions. D'ailleurs, je tournais la tête à quatre-vingt-dix degrés en pliant mon cou presque à angle droit tout en ébrouant mes ailes. C'est que, ce n'était pas facile de revenir sur terre quand on est un pigeon vous savez, faut le temps de se laisser planer. C'est le rire de la boule qui me fit vraiment atterrir, alors, je revins voir les deux acolytes de mon œil perçant et malin (non). Le chien blanc semblait bien pressé de retourner voir sa maitresse, en même temps, je ne pouvais que le comprendre, parce que coller de l'énergumène qui vivait dans sa boule là, ça devait être pénible. S'il pouvait trouver un moyen de s'en débarrasser, j'étais certaine qu'il le ferait. Il me faisait de la peine, je devais le dire. En fait, je le comprenais, puisque moi je vivais la même chose avec les gros loubards volant de la ville.
- Oune gouffre avec des lounettes de souleil ? Ouaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaiiiis je crouas que mes cousins ils m'ont parlé de ça oune fois. Ou ptetre ma mamie…. Ou alors c'était peut-être cette pute de belle-mère. Ma, yé né sé plous. Mais yé counais oui !
D'un battement d'ailes léger et simple, je m'envolais pour atterrir sur la tête du chien, entre ses deux oreilles. Là, je fis comme chez moi et je me posais en bâillant.
- Bhé ! Tu as parlé dou chat, les chats, ça mange les moi. Alors moi yé reste à l'abri.
Fallait aussi dire ce qui était, je n'allais pas m'emmerder à voler tout ce trajet alors que je pouvais me faire porter ou bien ? Et ce n'était pas comme si j'étais lourde. On me disait toujours que j'avais une belle allure (pour une pigeonne) et que j'étais un poids plume. Moi, je prenais ça pour argent comptant ! Du haut de mon nouveau perchoir poilu, je regardais la boule dans la boule pour le fixer de mon œil futé et intelligent (non).
- Toi tou peux pas me manger, alors yé té fais aussi confiance la boule. Enfin, je me décidais à répondre au chien qui m'avait questionné un peu plus tôt sur mon identité tandis que je donnais des petits coups de patte sur sa tête pour l'inciter à avancer. Yé m'appelle Abigail. Depuis combien de temps tu l'as perdou ta Penny ? En réalité je m'en fichais un peu, mais je me disais que l'escapade que j'allais entreprendre avec les deux animaux présents allait me permettre de m'éloigner de la ville, mais aussi de vivre des aventures. Je deviendrais encore plus sexy auprès des autres pigeons du coup ! Et je pourrais encore plus les envoyer voir ailleurs, haha ! En attendant que le chien se mette en route….
Lisser la plume. Lisser la plume. Lisser l’autre plume. Lisser l’autre plume. Roucouler. Roucouler. Roucouler. Sur mon noble destrier, j'étendais une aile pour lui indiquer la direction à prendre.
- C'est là-bas ! Puis je montrais une autre direction. Ou alors par là ? Ben merde, j'avais un doute, et moi, dans le doute, je roucoulais un coup, mes yeux s'exorbitant encore plus qu'ils ne l'étaient pas déjà. Ah ! La lumière fut !
- C'est là-bas !! Je montrais une troisième direction, mais cette fois, je ne changeais plus d'avis. Agrippant les oreilles du chien, je comptais m'en servir comme gouvernail pour lui indiquer les chemins à prendre. Un piaf, un chien et un rongeur. Heureusement nous n'étions pas les musiciens de Brême. | | | Doryan Rosebury INRP Métier : Pompier
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| Dim 10 Jan - 20:57 A trois, nous serons forts Nous n'aurons jamais peur ft. Abi et Hunter Le super wouah pour prouver qu’il n’était pas un imposteur, non ça n’était pas possible de faire cela, ils risquaient d’être repérés par les méchants puisque ça n’était pas un aboiement discret. Doryan secoua la tête pour montrer que c’était toujours non avant que le petit hamster prenne la parole pour dire que c’était un test et qu’il l’avait réussi. Oui voilà c’est ça ! s’il aboyait il brisait le secret, exactement ! Quoi ? Comment ça il voulait le voir un petit peu « N’insiste pas Hunter. »
Si Doryan expliquait TRES bien ce qu’il s’était passé, Hunter ne semblait pas tout comprendre mais il semblerait qu’il n’ait pas besoin de plus d’explications puisqu’il accepta de suivre le chien blanc tout en le flattant, ce qui fit sourire Doryan avant qu’ils ne soient interrompus parce qu’ils étaient tombés sur un pigeon. Un pigeon qui allait faire parti de l’équipe parce que c’est comme ça et pas autrement il connaissait l’endroit de la gaufre aux lunettes de soleil… enfin il connaissait ça semblait vite dit. On lui en avait parlé une fois, heureusement que les pigeons ça avait bonne mémoire oh bah celui là je crois pas Hunter semblait en revanche beaucoup moins enthousiaste à l’idée d’avoir un troisième membre dans l’équipe. Doryan pencha la tête sur le côté en faisant ce qu’il disait, c'est-à-dire regarder le volatil. Non non msieur canard n’avait pas de yeux cruels, il avait l’air intelligent ça oui. Le hamster se fit plus discret Doryan baissa la tête pour entendre ce qu’il avait à dire. « Euh, oui voilà c’est ça. » en réalité, pas du tout, il faisait vraiment parti de l’équipe « Tu sais les alliés de l’homme à l’œil vert ce sont les chats, pas les pigeons. »
C’est à ce moment que l’oiseau décida de se poser sur Doryan qui leva les yeux au ciel un peu comme quand Mitaine lui avait appris à quémander. L’explication fut des plus étonnantes, elle restait sur Doryan pour être à l’abri des chats ? C’était une mission à la hauteur de Volt « Tu n’as rien à craindre l’oiseau, tant que je serais là, aucun chat ne te touchera. » Les deux animaux me faisaient donc confiance pour la suite de notre aventure et semblait en mesure de se faire confiance puisque Hunter avait confiance en Doryan le super chien et que l’oiseau était tout simplement logique. Oiseau qui s’appelait finalement Abigail, parfait c’était noté et elle voulait savoir depuis combien de temps Penny et Doryan avaient été séparé. L’animal blanc pouvait avancer et expliquer en même temps, parler n’était pas un problème, il suffisait d’être attentif et il l’était, sans oublier que Hunter était très vif et repérait le moindre intrus « Trois jours qu’elle a été enlevé. » ça n’était jamais arrivé et Doryan ne s’en remettait pas, sans compter qu’il était dépourvu de ses pouvoirs, cela rendait les choses nettement plus compliqués.
Trottinant d’un pas plutôt rapide puisqu’Hunter dans sa boule roulait à bonne vitesse, voilà qu’Abigail donnait une direction, Doryan tourna aussitôt avant de s’immobiliser en entendant une autre information. Mais c’était une direction tout à fait différente à la première pour ce que Doryan voyait – pas pratique aussi de voir une aile bouger au-dessus de sa tête – « C’est par là ou par-là ? Il faut savoir l’oiseau. » Ni l’un ni l’autre en réalité puisqu’Abigail se décida à l’attraper par les oreilles pour lui montrer une troisième direction « Aie aie ! Hé me tire pas les oreilles ! » Non mais c’est fou ça quand même, il était une superstar et on se permettait de le tirer par les oreilles. Doryan se retint de secouer la tête brutalement pour se débarrasser d’elle. C’était une alliée et il ne voulait pas lui faire de mal.
Le problème c’est que même si c’était douloureux, la pigeonne avait l’air de savoir où elle allait mais ça avait l’air très loin du point où ils étaient et puisque les trois joyeux lurons marchaient en bordure de route. Doryan finit par s’arrêter, posant sa patte sur la balle dans laquelle courrait l’animal pour l’empêcher d’avancer. « Attendez, j’ai une idée. » Une voiture passa en trombe à côté d’eux poussant Doryan à faire un bond sur le côté, faisant rouler au passage la boule pour ne pas qu’elle se fasse écraser sauf qu’elle roula sur la pente obligeant Doryan à courir derrière à toute vitesse pour la rattraper « Hunter attends moi ! » Il se jeta sur la boule pour l’immobiliser avant de se redresser, vérifiant qu’Abigail n’avait pas trop été secoué « ça va là haut ? » Donc son plan, cette fois il l’expliqua en poussant la boule du museau « Il faut qu’on saute dans un des camions. Hunter, tu te charges de repérer un camion qui ne roule pas trop vite parce que je ne peux pas utiliser ma super vitesse. Il faut un véhicule où on a la place de se coucher et qui va par-là » Il pencha la tête pour montrer la direction vers laquelle il se dirigeait depuis le début. « Abigail, il va falloir que tu décolles et que tu donnes le go pour qu’on fonce au bon moment et qu’on puisse sauter, je m’occupe de rattraper le camion tout en t’attrapant Hunter, c’est promis. »
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| Mar 19 Jan - 20:25 Un piaf un chien et un rongeur, c'est la recette du bonheur «Ohoh, gros calibre en vue»
Le super-chien vous explique que le piaf allait rejoindre la bande. Même si au début vous pensiez que Doryan allait dans le piège de cet oiseau cruel, vous comprenez bien vite que c’est le chien qui cherche à piéger le pigeon pour qu’il vous mène dans le repère de l’homme à l'œil vert. Doryan vous rappelle que les alliés de Calico sont les chats, et non les pigeons.
«Et qu’est-ce qui te fait dire que c’est pas un chat déguisé en pigeon, hein ? Et je serais pas étonné qu’il ait d’autres alliés insoupçonnés ! »
Lentement, les ailes déployées, lentement, vous le voyez tournoyer. Sur Doryan, dans une bruissement d’ailes, comme tombé du ciel, l’oiseau vient se poser. Posé entre les deux oreilles de votre idole, le pigeon bailla en déclarant qu’il préférait rester à l’abri des chats et à Doryan d’enchérir sur le fait qu’il le protégerait des matous qui voudraient le manger. Vous regardez le piaf d’un air suspicieux, en vous demandant ce qu’il mijote. Abigail la pigeonne se présente finalement avant de demander combien de temps Penny a été enlevée. Vous trouvez que l’espion est bien habile de demander ce genre de choses. Même si vous ne contredisez pas le choix du chien, vous décidez de le surveiller attentivement. Et ce que vous craignez semblait arriver : Abigail avait une emprise mentale sur Doryan ! C’était évident ! Elle en faisait sa marionnette en lui tirant les oreilles. Vous êtes choqués d’apprendre que le super-chien avait un tel point faire, mais vous n’êtes pas surpris que le sbire de Calico le sache. Vous en déduisez rapidement que Doryan avait longtemps été surveillé par Calico et ses sous-fifres.
Mais vous ne pouvez pas agir. Si Doryan était sous le joug de Calico, vous devez attendre le bon moment. Vous savez que vous pourriez neutraliser sans problème ce pigeon démoniaque, mais vous n’êtes pas sûr d’être de taille contre Doryan. En plus de ça, vous ne pouvez vous résoudre à blesser votre idole ! Vous suivez donc les instructions du chien, vous arrêtant lorsqu’il vous l’ordonne. Mais c’était sans compter la ruse du terrible volatile, qui force Doryan à tenter de vous tuer, vous poussant, vous et votre boule de plastique, dans une pente dangereuse. Heureusement, vous êtes une boule de poil surentrainée, et vous parvenez à ralentir la vitesse de la bouboule en courant dans la direction opposée ; permettant à Doryan, qui a visiblement retrouvé ses esprits, de vous rattraper et de stopper votre course. Après vous avoir stoppé, le chien demande à Abigail si tout va bien. Vous grommelez pour vous-même.
«Si le piaf est pas content du transport, il peut voler de ses propres ailes.» Puis, vous vous adressez ouvertement au chien. «Alors, c’est quoi ton idée ? Tu nous emmènes tous les trois avec ta super-vitesse jusqu’à la gaufre aux lunettes et on casse tout ? »
Doryan vous explique son plan. Pas de super-vitesse.
«Oui c’est logique, il faut que tu gardes ton énergie pour combattre Calico.»
Il faut un véhicule plutôt lent, avec assez de place pour tout le monde. Vous vous mettez au garde-à-vous.
«Roger That ! Tu peux compter sur moi.»
La partie où Abigail doit quitter le crâne du chien vous plaît particulièrement. Ça veut dire qu’elle ne pourra plus utiliser son contrôle mental sur Doryan, et vous serez donc libre de réfléchir librement à la suite du plan. Vous commencez votre travail de surveillance, vous vous postez sur le bord de la route, et soufflez de tous vos poumons pour recouvrir de buée votre prison de plastique. Avec vos petite pattes velues, vous essuyez juste pour permettre à vos yeux de voir à travers, sans qu’on puisse vous repérer.
«J’en ai un ! Ah non… Il va peut-être un peu vite. Ah sinon j’ai celui-là, en jaune ! Oh non, j’aime pas cette enseigne de Fast Food. Leur dernier burger, le McFusty part d’une bonne idée. La croustillant du poulet avec la douceur du rosti de pomme de terre, avec une petite tranche de rôti. Sur le papier c’est exquis, mais quand on mange seulement des restes froids, c’est pas top. Oh oh ! Gros calibre en vue ! Ne me remerciez pas ! Vous pouvez pas le rater il transporte un genre de maison ! »
Chaque seconde qui passe vous rapproche de l'affrontement contre l'homme à l'œil vert, mais surtout du moment où Doryan délivrera Penny. Peut-être qu'elle voudra bien vous adopter, Penny c'est la plus merveilleuse petite fille au monde, et elle aime Doryan, et lui il est excellent. Vous aimeriez vraiment faire partir de cette super-famille !
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| Mar 26 Jan - 11:38 C'est que les deux animaux semblaient comploter contre moi, ou en tout cas, ils faisaient des messes basses. Mais bon, puisque j'ai des nuages à la place du crâne (une cervelle d'oiseau quoi), et bien… je m'en fiche. Tout ce qui compte dans ma vie, c'est me lisser les plumes et manger. Cela dit, si en plus je pouvais avoir un foyer doux et rassurant et sans chat à l'avenir, je pourrais couler de prochains jours heureux. Ce n'était donc pas par pure abnégation que je venais en aide aux deux comparses. Enfin si. Un petit peu. Mais pas que ! Dans tous les ca(ca)s, je n'étais pas certaine que la petite boule de poils dans son autre boule (c'était un genre de poupée russe ?), m'apprécie vraiment. Pourquoi, je n'avais pas tout très bien compris, mais il semblait perché le rongeur, ce qui, tout à fait entre nous, était idiot puisque c'était moi qui savais mieux me percher que les deux autres. Bah oui ! Je suis un oiseau pardi !
- Merci de votre zentillesse.
Dis-je au chien si dévoué qui me servait de monture, et maintenant, de gardien. Si je n'étais pas inquiétée par le hamster, les chats, en revanche, je préférais les éviter. C'est que, ma cousine Berte c'était faite bouffée un jour, ça l'a tuée, elle en est morte. Le chien prenait la route et je soupirais, un peu triste de son sort, lorsqu'il m'annonçait avoir perdu sa Penny depuis trois jours. En vie de chien je ne savais pas, mais en vie de pigeon ça faisait super longtemps, du coup, j'avais encore plus envie de les aider, parce que là, il me faisait vraiment de la peine ! Mais soudain, deux neurones se percutèrent dans ma tête et là, je tirais les oreilles de Doryan pour le guider, mais en fait je n'étais plus certaine, du coup, je tirais dans l'autre sens et puis… oh, un autre doute. Bien évidemment, ma monture renâcla, et c'est confuse que je le lâchais tout en agitant mes ailes et en faisant gonfler mes plumes. À présent moi aussi ressemblant à une boule, on aurait cru une Hunter, mais plumée.
- Oh pardón patrón, yé né sens pas ma força.
Du coup, je lui lâchais ces jolies antennes qui lui servaient d'oreilles en le laissant aller à sa guise avant de sursauter un peu quand une voiture passa tout prêt. C'est que, mon grand-oncle Berto, fut un jour happé par l'un de ces véhicules. Ça l'a tué, il en est mort. Depuis, je me méfiais, mais avec la présence du chien, et surtout de la petite poupée russe (une boule dans une boule), j'étais quand même rassurée. C'est donc avec une attention inégalée que j'écoutais le plan de Doryan qui…
Lisser la plume. Lisser la plume. Lisser l’autre plume. Lisser l’autre plume. Roucouler. Roucouler. Roucouler. Mince, il a dit quoiiiiiiaaaahhhhh ??!! Mes belles plumes qui venaient d'être lissées étaient soudainement secouées puisque Doryan était parti au grand galop pour rattraper Hunter la poupée russe qui avait décidé de rouler vers d'autres cieux. Une fois le train de l'enfer arrêté, je secouais la tête pour retrouver mes esprits.
- Oh, ça va patrón, yé yuste perdou quelques ploumes.
Puisqu'il baissait la tête pour pousser la boule, je reculais jusqu'aux épaules du chien pour ne pas le déranger, et là, je reprenais mon devoir, plus important que tout.
Lisser la plume. Lisser la plume. Lisser l’autre plume. Lisser l’autre plume. Roucouler. Roucouler. Roucouler. Oui donc du coup, le plan. Merde il a déjà fini les instructions, il a dit quoi ?? Pendant que j'essayais de rassembler mes idées, Hunter s'en alla au bord de la route pour repérer un véhicule. Alors, il avait été question de super vitesse, de rattraper Hunter, et que moi je m'envole pour… Pour quoi déjà ? Beauté refaite, je m'envolais lorsque la boule embuée nous donna la description d'un transport.
- Perfecto mon ami yé lé voua bieng ! Le tout était maintenant de savoir comment eux ils allaient monter dans le camion, parce que moi c'était facile. J'eus cette réflexion pendant que je volais en direction de la maison mobile. Là, je m'arrêtais tout en diminuant mon altitude dans l'intention de revenir en arrière pour m'adresser à mes deux compagnons, mais c'était sans compter la vitesse de l'engin à roues. Lui tournant le dos, puisque je faisais face à mes deux acolytes, je les regardais. Ou kan yé doua faire mon go tou as dit pat…
**FLAN** Le camion me heurta de plein fouet, me voilà collée au pare-brise du véhicule, et puisque j'étais pile devant le conducteur, il n'eut d'autre choix que de freiner avant d'essayer de me dégager avec les essuie-glaces. Vitesse réduite, presque arrêtée, je donnais, sans le vouloir, tout le temps à Doryan et Hunter de monter incognito dans la maison. Quand le conducteur essaya de m'attraper, et sous le coup des baffes que me donnais les essuies glaces, je reprenais conscience. Là, je roucoulais de manière menaçante avant de réussir à reprendre mon envole, non sans zigzaguer. Tant bien que mal, je rejoignais une fenêtre ouverte de la maison pour m'y engouffrer et atterrir lourdement contre un mur. Là, je cherchais le chien et le hamster de mes yeux d'aigle (non).
- Yé vé bié… ouh… même pas mal. | | | Doryan Rosebury INRP Métier : Pompier
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| Dim 31 Jan - 18:49 A trois, nous serons forts Nous n'aurons jamais peur ft. Abi et Hunter « Un chat déguisé en pigeon, voyons Hunter, ça n’arrive jamais. » En tout cas pour toutes les missions qu’avait vécu Doryan avec Penny, il ne se souvenait pas de ça mais puisque son acolyte se souvenait de tout, il est possible qu’Hunter se souvienne de ce passage. Quoi qu’il en soit étant donné qu’aucun des quadripèdes n’avait vraiment d’informations ou plutôt que l’experte en enlèvement d’enfant était absente, ils allaient faire équipe avec Abigail le pigeon, ils n’étaient pas obligés de tous s’entendre, Doryan s’en moquait, tout ce qu’il voulait c’était Penny.
Marcher le long d’une route se révélait dangereux, en temps normal Doryan n’aurait rien craint, son crâne étant presque indestructible mais à cause du polystyrène, il se révélait être un chien lambda et les véhicules pouvaient sérieusement l’endommager, peut être même le tuer… Oh non quand même il était un super chien, le polystyrène ne pouvait pas avoir autant d’effets néfaste sur lui. Il fut interrompu dans ses explications par lui-même en fait, c’est lui qui poussa Hunter et qui dû aller le récupérer et le moins que l’on puisse dire c’est qu’Hunter n’était pas ravi de la tournure des évènements. Doryan le regarda, penchant la tête « Disons que j’ai bougé un peu rapidement, il est possible que ça l’ait déstabilisé. »
Le plan de Hunter aurait été génial, sauf que ça ne serait pas possible aujourd’hui, oh Doryan aurait été ravi de lui montrer sa super vitesse et de les emmener rapidement mais la super vitesse, il ne fallait pas compter là-dessus. Il lança un regard reconnaissant à la boule de poils qui le sauvait de l’embarras en lui trouvant l’excuse de garder son énergie pour le docteur Calico, Doryan hocha la tête mais s’il n’était pas sûr que ses pouvoirs soient revenu d’ici là. En attendant, Hunter se révélait être un compagnon d’exception, il ne discutait pas le plan, se contentant de dire qu’il était d’accord, ça faisait chaud au cœur du chien blanc.
Si Hunter c’était le bon camarade toujours à écouter les instructions et à les mettre en application, même s’il se perdait dans des explications sans queue ni tête, ce à quoi Doryan faisait attention en essayant de le remobiliser « Hunter, le véhicule, souviens toi, tu dois nous trouver un véhicule. » L’oiseau était beaucoup moins concentré. D’ailleurs, Doryan avait toujours cru que c’était un truc de chat que de se nettoyer sans arrêt mais il faut croire que les pigeons voulaient eux aussi être impeccable, ses plumes étaient déjà lustrés en plus. Non le véritable problème ce n’était pas l’excessive propreté de l’oiseau c’est qu’une fois qu’Hunter eut donné la description de véhicule et qu’Abigail ait confirmé qu’elle le voyait parfaitement bien… Elle se tira, sans eux. Non mais elle n’avait pas compris le principe du plan. En plus manque de pot, les véhicules faisaient trop de bruits et couvrirent les aboiements de Doryan qui lui sommait de revenir donner le go !
Au bout de quatre battements d’ailes, elle sembla se souvenir qu’ils n’avaient pas d’ailes, qu’ils n’avançaient pas et que Doryan s’agaçait en aboyant comme un forcené pour qu’elle revienne. Ce qui finit par arriver mais ça ne dura qu’un temps. Alors qu’elle essayait de parler, il ne comprit jamais parfaitement le sens de sa phrase – non mais déjà qu’elle a un accent, si en plus elle les finit pas ses phrases on est pas sorti de l’auberge -. La raison de ce soudain mutisme, elle n’était pas un super oiseau, le parebrise ne se brisa pas en la heurtant. Un regard vers le petit hamster dans sa boule, après avoir constaté que le véhicule ralentissait grandement, Doryan fit remarquer « Je crois que l’on peut dire que c’est un go » Il s’empara de la boule de hamster et s’empressa de rattraper le camion qui pour le coup n’avançait pas très vite, merci Abigail. Une fois dedans, il déposa Hunter « Bon choix, ça a l’air spacieux. » C’est à cette seconde qu’Abigail les rejoignit, passant par la fenêtre « Abigail, ton plan était génial, superbe exécu » Euh, elle venait vraiment de se prendre un mur ? Comment elle avait fait son compte, il y avait tellement d’espace. Un nouveau regard vers Hunter, l’air de voir si lui comprenait mieux que Doryan comment c’était possible, puis il rejoignit Abigail. Si elle disait qu’elle allait bien, elle avait le regard dans le vide non non ça c’est depuis le début Doryan voulu lui venir en aide et la seule chose qui lui vint à l’esprit ce fut de la débarbouiller, en plus elle avait des plumes dans tous les sens, elle n’allait pas s’en remettre.S’il était très occupé à passer sa langue sur sa plume au goût de caoutchouc… ah les essuis glaces c’est pas bon à manger, un gargouillement se fit entendre et le chien sursauta. Oh bon sang ! C’était quoi ça ?! Il regarda les deux animaux « On nous attaque ?! »
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| Mer 3 Fév - 3:26 UN PIAF UN CHIEN ET UN RONGEUR, C'EST LA RECETTE DU BONHEUR «Il suffit de se dire qu’on est excellent ! »
Doryan vous signale qu’un chat déguisé en pigeon, ça n’existe pas. Vous écarquillez les yeux en le dévisageant avec votre regard bourré de charisme.
«Euh Patron… C’est quelle partie du mot “insoupçonné” que tu piges pas ? T’as jamais entendu parler d’agent dormant ? Il te fait croire que c’est un piaf, et dès qu’il reçoit l’ordre de ses commanditaires. PAN Le chat sort du costume d’oiseau et il te saute dessus toutes griffes dehors ! »
Mais vous n’insistez pas. C’est Doryan le chef de bande. C’est le plus grand héros que vous connaissez, et vous vous fiez à son jugement. Il a sauvé le monde plus d’une fois, et il est habitué à affronter le Docteur Calico et ses magouilles. Il sait mieux que vous comment affronter son ennemi. Cependant, le volatile se pose sur le crâne de votre idole, et semble exercer un certain contrôle mental sur lui. Vous êtes même persuadé que c’est l’oiseau qui pousse le super-chien à tenter de se débarasser de vous, mais heureusement ce dernier reprends rapidement ses esprits et parvient à vous sauver.
Doryan vous explique son plan. Pas de superwouah, pas de supervitesse. Uniquement de l’ingéniosité. Vous buvez les paroles du chien, tout en jetant un œil à Abigail qui fait régulièrement sa toilette. C’est suspect, beaucoup trop suspect. Personne n’est aussi propre, à part les êtres malfaisants qui cherchent à masquer l’odeur de leurs sombres desseins. Vous n’êtes pas certain qu’elle écoute vraiment le plan de Doryan. Pire que ça… Vous vous dites qu’elle est capable de faire exprès de tout faire capoter pour vous empêcher de retrouver Penny. Vous suivez les instructions du patron, vous mettant en position pour guetter subtilement l’arrivée du transport rêvé. Vous finissez par trouver ce que vous cherchez : un camion assez lent, qui transporte une maison. Vous vous empressez de le signaler aux autres.
Ce que vous craigniez semble arriver. L’abominable pigeon n’avait, au mieux, pas compris les consignes et, au pire, il sabotait volontairement la mission. À cause de cette Abigail au service de Calico, vous ne retrouverez jamais Penny ! Il faut que Doryan se décide à y aller, même sans le signal du pigeon !
«Doryan ! Fais quelque chose, elle est en train de tout faire capoter ! Il faut qu’on y aille ! Maintenant !»
Mais ce qui suit vous laisse sans voix. Abigail s’est mise devant le camion qui n’eut d’autre choix que de ralentir, par manque de visibilité. Le chien réagit plus rapidement que vous. Il vous prend dans sa gueule et se rue vers la maison à l’arrière du camion. L’oiseau vous rejoint quelques instant après en s’écrasant contre le mur. Vous croisez son regard et elle vous affirme que tout va bien.
«Toi… TOI… » Vous sortez de votre boule et vous précipitez vers l’oiseau groggy en laissant exploser votre colère. «Comment as-tu osé ? Ta vie ne t’appartient pas, n’y intentezpas, tu m'entends ? N’y intente pas. Je t’interdis de refaire ça.» Vous vous adoucissez un peu. «Ce que tu as fait c’était… C’était… WOUAH. Abigail, tu as été prodigieuse. C’est stupide. Dangereux. Mais prodigieux !» Vous baissez les yeux et commencez d’une petite voix. «Partout sur cette planète, il y a des animaux qui pensent qu’ils n’y peuvent rien. Comme un petit hamster qui attendait que le temps passe. En rêvant du jour où il pourrait à son tour sauver une petite fille du danger et entendre dire : “Tu as réussi ! Tu as réussi Hunter ! Tu nous as sauvé !”» Vous vous ragaillardissez et regardez le pigeon droit dans les yeux, enfin, vous essayez. « Mais aujourd’hui, tu m’as fait comprendre un truc. Il faut des héros pour dire que parfois il est possible que l’impossible soit possible. Il suffit de se dire qu’on est excellent ! Mais… Fais attention quand même.»
Toutes ces émotions vous donnent un petit creux, et votre ventre gargouille bruyamment, ce qui fait sursauter Doryan qui commence à se demander si vous subissez une attaque.
«Mais nooon, pas de panique, j’ai juste faim. Comme disait ma grand-mère. Petit corps, gros appétit.» Vous faites quelques pas en direction du réfrigérateur. «Mais qu’est ce que je raconte ? J’ai jamais connu ma grand-mère. Bon, qu'est ce qu’on a là ?» Vous vous positionnez dans le petit espace entre la porte et le cadre de porte. Vous collez votre dos à la porte et poussez avec vos pattes arrière contre la cadre pour que le mini-frigo s’ouvre. «Ma très chère Mademoiselle, et mon cher Hunter. Laissez moi vous présenter. Notre dîner» Vous observez le contenu de la boîte à froid. Il n’y avait pas énormément de nourriture, mais ça suffisait largement à vous nourrir tous les trois. En plus de ça… «Oh par tous les dieux. Du Rosebury ! J’ai toujours rêvé de goûter ce doux nectar. C’est l’un des vins les plus réputés de la région !»
Vous avez l’embarras du choix, mais pour votre part, vous choisissez une part de pizza que vous engloutissez d’un seul coup. Par chance, la bouteille de la boisson si convoitée est ouverte. Vous n’avez qu’à la renverser par terre et à laper le jus qui coule sur le sol. À cause de votre faible corpulence, l’alcool ne tarde pas à vous monter à la tête.
«Les… les amis… Je vous aime… J’suis… heureux d’être… d’être avec vous… Un piaaaf un chieeeen et un rongeuuur c’est la recette du bonheuuuur»
Vous vous assoupissez ensuite, pour une partie du trajet.
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| Ven 5 Fév - 9:20 J’étais sonnée. C’est que, se prendre un camion puis des essuie-glaces dans la gueule, ce n’était pas ce qu’il y avait de plus vivifiant. Cela dit, j’avais accompli ce qu’on m’avait demandé. Ce n’était pas le plan initial sûrement, mais le résultat était là, et c’était ce qui comptait non ? Le résultat. Les deux pattes en l’air, les ailes en vrac, j’essayais de rassembler mes esprits tandis que Doryan sauta à côté de moi pour me complimenter. Vraiment ? Mon plan était génial ? C’était bien la première fois qu’on me complimentait de cette manière, j’étais touchée, ça me motivait à continuer et à me donner davantage de peine pour venir en aide au chien, pour qu’il puisse retrouver sa Penny. Tant pis si après j’allais devoir retourner en ville auprès des gros lourds, au moins, j’aurai vécu une aventure moi ! Et je n’en serai pas morte, moi ! Enfin… pour le moment je n’étais pas morte. La langue du chien sur mes plumes, je fermais les yeux, surprise. Mon instinct me dictait de me défendre, parce qu’un chien qui a la gueule aussi proche d’un pigeon, en général, c’était pour le croquer. Mais, naïvement, j’avais confiance en le canidé, et j’avais raison, puisqu’il était en train d’essayer de me refaire une beauté. Bon certes, il avait des critères de beauté de chien, du coup, ce n’était pas les miens, mais je ne disais rien, l’attention était là, et ça me touchait d’autant plus. Étais-je en train de me faire un ami ? Que dis-je ? Peut-être même deux ! La réaction de Hunter m’étonna pour le coup. Un peu décontenancée, je penchais la tête sur le côté tout en remuant mes ailes (sans empêcher Doryan de continuer à me donner le bain).
- Ma vie ne m’appartieng pas ? Pôrké tou dis ça Hountour ? Ben oui j’avais une cervelle d’oiseau, des fois il fallait m’expliquer longtemps. Puis, le retournement de situation m’étonna d’autant plus alors que maintenant, il me complimentait. Était-ce parce qu’il tournait à ce point dans sa boule qu’il changeait d’humeur aussi vite ? Je l’écoutais alors qu’il faisait son monologue. C’est que, ça parle beaucoup un hamster, je les ignorais aussi bavard, surtout pour du charabia, mais au moins, j’avais l’intuition de comprendre que c’était important pour lui, alors j’écoutais religieusement. À la fin de sa tirade, je m’avançais vers lui pour poser mon aile droite sur son épaule. Mon ami, tou sais, yé crois qué tout le monde est ingcrouyable, sauf qué tout le monwde n’ouse pas dé ses capacités. Grâce à Douryouan pour nous donner l’exempler, nous serons nous aussi des soupers ! Je serais le « poing » de mon aile gauche en fronçant les sourcils, prenant un air déterminé. Nous allons la sauver. J’en perdais même mon accent. Je m’emportais et haussais la voix… (un peu seulement). NOUS ALLONS SOUVER PENNY !!!!
L’instant héros fut interrompu lorsque Doryan sursauta en entendant un gargouillis. Instinct d’animal de proie, je sursautais avec lui et je m’accrochais à sa patte arrière avec mes ailes jusqu’à ce que Hunter détende l’atmosphère. Non seulement ça parlait beaucoup, mais ça pouvait avoir méga faim un hamster. J’en apprenais sur la faune aujourd’hui bien plus que je ne l’aurais imaginé, wow. Surtout, il arrivait à ouvrir le frigo et par miracle il y avait de la nourriture dedans. Alors ça, on avait beaucoup de chance, mais après tout, nous le méritions puisque nous étions des héros en mission ! Je m’envolais à côté d’une deuxième tranche de pizza pour la picorer vigoureusement.
- C’est la fête, c’est la fête.
C’était vrai que je n’avais que rarement eu l’occasion de manger de la pizza dans ma vie, ou tout le moins, pas de la fraiche. La plupart que je trouvais en ville était moisie, limite elle marchait toute seule, alors là, je m’en faisais péter le bide. Pendant ce temps, je regardais le hamster se bourrer la gueule tout seul puis s’endormir comme un gros sac.
- Mah, il ne tient pas l’alcoul loui. Je tournais mes yeux vifs (non) en direction de Doryan tout en me tapotant la bedaine. Si j’arrive à m’envoler, ce sera un miracle. Yé soui comme oune autrouche. M’asseyant un peu grossièrement, j’essayais de faire la conversation tant bien que mal avec le chien. C’est que, je n’avais pas l’habitude de voir autant d’intelligence en un seul individu, puisque d’ordinaire j’étais confrontée à d’autres pigeons imbéciles. Tou sais quand il faut descendre ? Il ne faudrait pas aller plou loin que la gouffre à lounettes. Une fois là-bas on fait quoi patròn ? Yé peux m’envoler pour repérer les lioux, avec ma voue perçante !
Rah ! ça recommençait à me gratter ! je voulais me lisser les plumes, comme je l’avais fait jusque-là, mais avec mon énorme bide, j’avais perdu en souplesse, du coup, je me tortillais sans élégance devant Doryan pour essayer tant bien que mal de me refaire ma toilette. Ce fut quand enfin j’atteignais la précieuse plume que je visais du bec que le camion freinait d’un coup sec, me faisant rouler au loin.
- On est arrivéééÉÉÉééés ? | | | Doryan Rosebury INRP Métier : Pompier
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| Mar 9 Fév - 10:00 A trois, nous serons forts Nous n'aurons jamais peur ft. Abi et Hunter Bon sang, mais il était croyable Hunter à se méfier de tout le monde comme ça. Néanmoins, Doryan même s’il était persuadé pour avoir côtoyé le chat noir de l’homme à l’oeil vert très souvent que jamais un chat ne pourrait rentrer dans un costume de pigeon si petit, fixa Abigail espérant que ses rayons laser pourraient détruire uniquement le costume euh oui, une chance qu’il ait pas ses pouvoirs hein. Rien ne se passa, Est-ce que c’était parce qu’il n’avait pas récupéré sa vision laser ou bien était ce parce qu’il avait raison et que ce piaf n’était rien de plus qu’un piaf voulant les aider. Quoi qu’il en soit, Hunter sembla se raviser et bien vouloir écouter Doryan, parfait ! Ils pouvaient donc continuer à avancer, se dire qu’un véhicule c’était quand même mille fois plus rapide... que ses pouvoirs lui manquaient. Le problème de ne pas les avoir et de ne pas pouvoir gérer toutes les situations comme il l’avait fait avant aujourd’hui, en écoutant Penny qui avait toujours de bonnes idées, qui ne se trompait jamais ELLE, c’est que parfois tout ne se déroulait pas selon le plan initial, ça aussi, c’était quelque chose que Doryan découvrait et qui le laissant sans wouaf. En plus voilà qu’Hunter lui criait dessus comme quoi le volatile faisait capoter le plan... Mais non pas du tout enfin, elle utilisait des ressources insoupçonnées à l’aide de sa cervelle hautement développée c’est ça afin que le véhicule freine et que les animaux n’aient presque rien à faire. Pour ce qui était de réagir vite et d’attraper son partenaire, Doryan était excellent. Il se retrouva en moins de deux sur le plancher du véhicule, plutôt satisfait de la façon dont s’étaient déroulés les évènements... Enfin ça c’était avant que l’oiseau se prenne un mur... et bien, ça n’était pas si parfait que ça.
Pour en rajouter une couche, Hunter, qui d’autres, passait ses nerfs sur le pigeon estropié… Bien déjà qu’il s’était pris un mur, voilà qu’il se faisait enguirlander avant de changer du tout au tout. Doryan lui lança un regard perplexe. Il s’était coincé la patte dans sa boule pour changer d’humeur et de couleur ? Ouai donner des coups de langues au pigeon c’était encore ce qu’il y avait à faire de mieux, les laisser apprendre à se connaître et lui non plus ne comprenait rien et pourtant il ne s’était pas pris de mur, uniquement du polystyrène. En revanche, la suite était mignonne, très mignonne et puis avec ses petites joues qui gigotaient lorsqu’il parlait, trop mignon. Hum, voyons Doryan ! Concentre toi ! Hunter avait de beaux rêves dans la vie et si Abigail rejoignit son camarade hamster, enfin, ils s’entendaient bien, Doryan regarda vers l’extérieur, bien sûr qu’Hunter aurait l’occasion de sauver une petite fille du danger, la maîtresse de Doryan. Il prit la parole, uniquement pour acquiescer aux propos de son partenaire à quatre pattes « Hunter a raison, fais attention, on a besoin de toi. » Quant à montrer l’exemple, ça n’était pas très dur, Doryan était un super chien exemplaire, il n’était pas certain que ses deux camarades puissent être des supers hamster et super pigeon d’ailleurs ça ne sonnait pas très bien mais bon il n’allait pas le dire. Il se contenta d’un hochement de tête serein, bien sûr qu’ils allaient sauver Penny ! Ils arrivaient, courage Penny.
Tout d’un coup, il y eut un bruit effroyable, si Doryan était sûr d’avoir le dessus sur l’ennemi, il n’empêche qu’il avait sursauté et Abigail s’était caché derrière lui, prouvant qu’elle comptait sur lui pour la protéger, un peu comme Penny. Bon ça c’était avant que Hunter parle d’avoir faim… ça faisait ce bruit là d’avoir faim ? Bizarre. Il observa Hunter se débrouiller pour ouvrir un frigo. Cette aisance fit que le cœur de Doryan se gonflait de soulagement, il était entouré de deux animaux exceptionnels, ils n’avaient peut être pas de pouvoirs et lui avait perdu les siens, mais ils se débrouillaient de façon admirable. Il approcha sa truffe de la nourriture, ça sentait drôlement bon, c’était la première fois qu’il mangeait autre chose que ses croquettes mais ça sentait trop bon, il planta donc ses dents dedans. Oh bon sang, c’était succulent « C’est quoi ça ? C’est bon. » Du Rosebury ? Il approcha sa truffe de la boisson sombre avant de froncer le nez, euh ça avait beau être un vin réputé, ça sentait bizarre, non merci sans façon.
Pourquoi il s’écroulait ? Doryan fut sur ses pattes en moins de deux, levant la patte pour prévenir Abigail que c’était peut être empoisonné, un coup de l’homme à l’œil vert sauf qu’elle parla d’alcool. Le chien blanc pencha la tête « C’est quoi tenir l’alcool ? » En fait c’était quoi l’alcool ? Ses compagnons étaient des puits de connaissances. Comment ça il savait quand il fallait descendre, c’était pas elle le guide à la base ? C’était quoi encore cette embrouille. Doryan inspira « Je pense que je le sentirais dans mes pattes, l’instinct. » Il avait bien conscience qu’il ne fallait pas aller plus loin que la gaufre à lunettes, il ferait attention. Le plan, il devait parler du plan « Une fois arrivée et bien, je connais très bien le laboratoire du docteur calico, je pense savoir où il retient Penny. » Doryan regardait l’extérieur, assit bien droit, tout en continuant d’expliquer le plan. « Il vous suffira de me suivre, si j’ai retrouvé mes pouvoirs, je me charge de tout sinon et bien oui, on aura besoin de ta vue perçante. » Il jeta un coup d’œil à Hunter « Il faudra qu’Hunter se charge de les distraire pendant que je fonce jusqu’à Penny. Ensuite et bien je pense qu’on pourra s’en remettre à ma maîtresse. » L’animal plein de plumes se dandinait devant Doryan, mais qu’est ce qu’elle faisait au juste ? « C’est une technique pour divertir l’ennemi ? »Oui alors pas sûr que ça marche.
Coup de frein à mains et une nouvelle question « Reste avec Hunter, je vais voir. » Il sauta du camion pour observer les alentours, il ne reconnaissait rien… si ce n’est HOLLYWOOD, comme sur la carte de Mitaine « Oui ! On est arrivé en avant. » Excité à l’idée d’être si proche du but, il sauta de nouveau dans le camion « Hunter debout ! Il faut sauver Penny ! C’est le moment que l’impossible soit possible. » Bon, il était pas encore bien réveillé, Doryan le poussa de la truffe dans sa boule avant de prendre une nouvelle fois cette dernière dans la bouche. Euh et maintenant ? Il ne ressentait rien dans ses pattes « J’arrive Penny ! » Alors qu’il marchait en compagnie de ses deux compagnons, voilà que se présentèrent à lui trois piaf… Oh non des copains d’Abigail qui… mais qu’est ce qu’ils faisaient, ils tournaient autour de l’allié de Doryan et de Hunter « Pas le temps pour les bavardages, nous sommes à la recherche de… » D’accord ils s’en foutaient royalement de ce que leur disait le chien, ne s’intéressant qu’au plumage de la demoiselle pigeon. Il chuchota au Hamster « Hunter, qu’est ce qu’ils font et comment on fait pour qu’ils nous aident et récupérer notre amie ? »
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| Ven 12 Fév - 15:49 Un piaf un chien et un rongeur «Leeeeeeroy Jeeeeenkins» Vous ne cachez pas votre colère, d’avoir vu l’oiseau prendre des risques énormes afin de mener à bien votre mission. Elle aurait dû s’en tenir au plan, et elle n’aurait pas été blessée. Mais d’un autre côté, grâce à son initiative, vous avez compris qu’elle n’était pas à la solde du terrible homme à l'œil vert. Vous avez compris qu’elle irait jusqu’à risquer sa vie pour aider Doryan à retrouver l’adorable Penny. Si vous étiez honnête avec vous même, vous sauriez que votre colère n’est que l’expression de votre jalousie. Vous bouillonnez de voir que la pigeonne, que vous soupçonnez d'être une traîtresse depuis le début, est une bien meilleure acolyte que vous. Mais très rapidement, votre jalousie fait place à de l’admiration. Une admiration qui vous rappelle ce qu’est l’humilité. Vous avez des rêves pleins les yeux, mais au fond de vous, vous savez ce que vous êtes. Vous connaissez votre valeur. Vous n’êtes qu’un rongeur. Un rongeur faible et impuissant, qui , malgré toute la volonté dont il est capable, ne pourra jamais rivaliser avec les plus grands. Mais aujourd’hui, grâce à Abigaïl, vous reprenez espoir. Ce n’est pas la force, ni le pouvoir qui fait le héros. Mais son courage, son sens du sacrifice. Si vous ne savez pas que c’est impossible, alors tout est possible ! Le bruit de votre estomac affamé alerte les deux animaux qui pensent aussitôt à une attaque, mais vous vous empressez de les rassurer en expliquant que vous avez simplement un petit creux. Vous utilisez votre ingéniosité sans faille pour ouvrir le frigo. Vous vous empressez d’engloutir une part de pizza tandis que la bouteille de Rosebury, le plus prisé des Nectars, vous fait de l'œil. Vous la renversez sur le sol pour pouvoir en laper le contenu et en apprécier toute la saveur. Vos deux nouveaux amis mangent à leur tour et semblent se régaler, vous faites une petite déclaration sur votre nouvelle amitié, avant de vous endormir honteusement. Vous n'entendez pas les échanges entre la pigeonne et le chien qui ont eu lieu pendant votre “petite” sieste. Cependant, une énorme secousse vous réveille en sursaut. «Haaaa… Qu’est-ce qui se passe ? Une attaque ? AUX AAAAARMES.» Vous ressentez une vilaine douleur à la tête «Ah, ma tête. On a essayé de m’assommer ? Des intrus ? »Vous scrutez la pièce et ne voyez plus le super-chien. «Où est Doryan ? Il a été capturé lui aussi ? C’est ça ? »Heureusement, la voix du chien dehors vous rassure aussitôt. Elle vous rassure d’autant plus qu’il vous annonce, à vous et Abigaïl, que vous êtes arrivés. «Hihihi, je vais aller chercher ma boule.»Vous faites quelques pas, mais vous n’avez pas encore retrouvé entièrement l’usage de vos pattes, et vous trébuchez lamentablement sur le plancher. Le chien retourne vous chercher et vous somme, en douceur, de vous réveiller. (Somme, réveil, vous l’avez ?)«Oui oui, j’dormais pas je… Ma boule. Où est ma boule ?»Doryan vous guide jusqu’à l’intérieur de votre boule, vous pressant du bout de la truffe. Une fois cette dernière fermée, le super-chien la prit dans sa gueule pour le conduire dehors. Vous reprenez peu à peu du poil de la bête. «C’est bon, je crois que je suis en forme maintenant. Je peux rouler tout seul. »Très rapidement, vous n’êtes plus seul. Une horde de trois pigeons vous barrent la route. Vous savez qu’ils ne font pas partie des troupes du Docteur Calico, mais quand même… ils vous ennuient et vous font perdre un temps précieux. Les trois zozios s’approchent de votre amie Abigaïl. «Hey mademoiselle, t’es ardente. Ça te dirait de venir faire un tour sous cette charpente ? Hey madame ! Madame. »Doryan a beau essayer de les raisonner, ils n’ont d’yeux que pour la pigeonne et n’écoutent pas le chien qui, désespéré, vous demande de l’aide. «Oh non… Des gros lourds des cités. Ils sont en chasse, et ils veulent Abigaïl ! Y’a rien de pire qu’un charognard affamé. Laisse, je vais les calmer. Au moins, on aura du poulet.» Vous vous ruez vers les trois oiseaux en hurlant «HUNTEEEEEEEEEEER CONLEYYYYYYYYY» (Pas sûr que vous ayez la ref Les trois oiseaux s’envolent avant de se poser à nouveau. S’il ne sont pas partis, vous avez au moins détourné leur attention de votre amie. Peut-être qu'ils vont pouvoir vous dire où trouver Penny. «Et c’est un strike ! »«Il est complètement zozo cet oiseau là.»Game of Blood Ϟ Tous droits réservés | | | Abigail MacFusty INRP Métier : Professeur de Soins aux Créatures Magiques & directrice de la maison Poufsouffle
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| Ven 26 Fév - 12:27 J'appréciais beaucoup Hunter et Doryan car être avec eux me donnait cette sensation de ne plus être seule ni être la plus stupide. Leurs réactions, bien respectives, alors que je venais de me faire percuter par un bus puis un mur, me réchauffèrent le cœur. Est-ce que c'était comme ça qu'on réagissait lorsqu'on tenait à quelqu'un ? Moi qui ne connaissais que les relations d'une journée, j'étais davantage familiarisée avec l'abandon. Alors certes il y avait bien des groupes d'autres pigeons en ville, mais je n'arrivais jamais vraiment à m'intégrer sûrement pare que j'étais bien trop intelligente. Avec eux, je me sentais utile et à ma place et j'eus envie de leur faire un gros câlin alors qu'ils se préoccupaient de moi, mais je n'en fis rien. Je n'étais pas non plus une pigeonne facile (faut pas déconner). Lors du repas, je fus tout aussi étonnée qu'amusée par les questions du chien. Vraiment, d’où il venait ? Non, mais vraiment ! Je me posais sincèrement la question ! Parce que purée, sa tête me disait quelque chose, mais rien à faire, je n'arrivais pas à me souvenir où est-ce que je l'avais vu. Enfin, ça allait sûrement me revenir, mais en attendant, c'était assez déconcertant. Comme s'il manquait la mie de pain dans un pain que j'étais en train de picorer, vous voyez le truc ? Mais bon, cela ne m'empêcha pas de lui répondre, la voix enjouée parce que j'étais simplement de bonne humeur.
- C'est de la… PIIIIZZZAAAAA !!! En plous patrón, manger dé la pizza comme ça, c'est rare ! J'ai plous l'habitoud de la manger oune peu froide, dans les déchets… vous savez, quand elle est presque en train de marcher toute seule. Puis Hunter s'effondra et le chien blanc posa une nouvelle question. Là, je le regardais d'un air (encore plus) ahuri. Bhé patrón, le Roseubeury sé de l'alcoul. Ça embrouille le cerveau et ça rend idiot, on ne sait plous marcher ! Et Hountour il n'arrive pas à y résister.
Je rigolais en regardant le petit rongeur affalé avant de reprendre mon sérieux. Place au plan ! Yeux plissés, pleine d'enthousiasme, j'écoutais attentivement Doryan m'expliquer la suite des événements, hochant la tête au moindre mot qu'il prononçait. Cette fois-ci, j'avais tout bien écouté comme il faut, et surtout, j'avais bien tout compris ! c'était moins sûr que je retienne le plan très longtemps cela dit. Mais voilà que j'avais à nouveau les plumes qui démangeaient, et ce fut quand j'eus envie de répondre au chien, la langue sortie du bec parce que j'essayais de me lisser le pelage, que le coup de frein annonça la fin du voyage. Agitant les ailes pour m'échauffer (et surtout pour essaye de redresser mon gros bidon et pour me tenir droite), je n'eus pas le temps de protester que le chien avait déjà sauté hors du camion. Mais quelle rapidité ce mâle-là wow ! Il revint avant que je n'eus le temps de dire hippopotomonstrosesquipédaliophobique (oui un pigeon connait ce mot, et alors ?), puis il réveilla Hunter pour le pousser de la truffe dans sa boulette. Tant bien que mal (parce que j'étais comme une baleine, je le rappelle), je pris mon envol pour sortir du camion au même temps que mes deux acolytes. Bientôt, le super chien lâche la boule du hamster, et là, je ne pus m'empêcher de me poser une question existentielle : ça fait quoi de voir l'intérieur de la bouche d'un chien ? Non parce que bon. Faut le dire quand même, normalement ce genre de vue, ça rime avec mort, en tout cas pour moi. Alors… est-ce que ça venait de là l'expression "se jeter dans la gueule du loup" ? Je riais sous cape en voyant la bave du chien couler le long de la boule, mais je fus bien vite interrompue par une bande de pigeons. Oh, des cousins ! Ou peut-être des frères… ou des oncles… ou même des belles-mères ! Aucune idée en fait. Ils se posèrent devant nous pour commencer à me parler lourdement. Les yeux écarquillés, je les fixais d'un air d'autoroute (mon air habituel quoi). Je détestais quand on me parlait comme ça, et je sentais que j'étais en train de serrer les poings (le bout des ailes en somme), mais aussi le ventre (une troisième boule pour cogner ça aide, je n'avais toujours pas digéré ma pizza). J'allais me mettre à leur roucouler dessus lors que le petit hamster courageux leur fonça dessus pour… rien. Littéralement, puisque les pigeons s'envolèrent pour se reposer l'instant que la boule enfermant Hunter passe. Là, je roulais mes yeux dans mes orbites avant de parler d'une voix ferme.
- Hé wesh là qu'est-ce que tu crois ? Que tu peux parler comme ça de mes brozèr et t'en tirer sans problème ? Tu penses pouvoir me parler comme si j'étais ta pigeonne ? Wesh vazi viens, viens !
Alors oui, quand j'étais énervée je devenais un peu brute sur les bords. Mais en fait, c'était moi qui venais vers l'intrus, pour sauter sur le pigeon qui avait traité Hunter de zozo, et, agrippant fermement mon bec à ses plumes, je plumais au sens propre le premier pigeon. Un nuage de poussière s'éleva autour de nous, laissant apparaître de temps en temps une patte, un bout de queue, puis sa tête, apeurée, qui implorait de l'aide. Après un instant, je l'immobilisais, une patte sur son cou, je lui picorais la tête comme une poule le ferait avec des graines.
- Alors ! Je suis toujours charmante ? Tu veux toujours m'offrir une glace à la menthe ??
À dire vrai, j'avais oublié les deux autres pigeons, mais avec si peu de féminité dans mon comportement, si peu de glamour, peut-être que je les aurai faits fui… oh ben merde non ils n'avaient pas fuis. Au contraire, ils me regardaient le bec en cœur.
- Enfin une femme, une vraie. Dit le pigeon à la collerette violette. - Une qui pourra protéger nos œufs. Et nous. Dit le deuxième, à la collerette verte. - Ohhh épouse-moi. Répliqua le violet. - Gasp. Répondit simplement celui que j'écrasais.
Au secours… Je lançais un regard un peu désemparé à mes deux compagnons de route avant que je sois frappée par un camion une idée. Lâchant le premier pigeon, je me mis à roucouler de manière aiguicheuse tout en roulant de l'arrière-train.
- Rou, vous savez parler aux femmes vous, rou. Aie, j'avais mal rien que de prononcer ces mots, mais je continuais, courageusement. Yé pourrait peut-être considérer votre offre… si vous nous emmener jusqu'à la gouffre à lounette. Je faisais signe au chien et au hamster pour qu'ils montrent le plan, et donc le dessin. Là, le pigeon à la collerette violette s'exclama.
- Moi ! Moi ! Moi ! Je vous y emmène, beauté de mon gosier.
C'était dégueulasse ce qu'il venait de dire, mais je souriais (de manière forcée), avant qu'il ne s'envole pour nous indiquer le chemin. Avec un guide, nous allions gagner un temps certain. Je pris mon envol à mon tour, laissant les deux autres pigeons faire ce qu'ils veulent, mais m'assurant que mes deux compagnons soient avec moi. Ensemble, nous nous dirigions vers la ville d'Hollywood. Diminuant mon altitude, je volais à leur hauteur pour m'adresser à eux, et uniquement à eux.
- Au secours sauvez-moi d'eux dès que vous en aurez l'occasion, pitié…
À trois nous serons forts, nous n'aurons jamais peur. Mais seulement à trois, pas plus. Enfin si, quatre avec Penny, mais c'était tout. | | | Doryan Rosebury INRP Métier : Pompier
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| Mar 30 Mar - 12:12 A trois, nous serons forts Nous n'aurons jamais peur ft. Abi et Hunter Le mets qu’ils dévoraient tous les trois s’appelait donc de la pizza et bien Doryan trouvait ça délicieux et aurait voulu manger que ça. A côté les petites boulettes marrons de sa maîtresse paraissaient tout d’un coup bien fades. Il fronça le museau en entendant qu’habituellement elle mangeait de la pizza qui marchait toute seule. Il sniffa la part qu’il mangeait, pourtant ça n’était pas vivant, c’était très étrange et pas franchement encourageant. Pour ne rien arranger, voilà que le Roseubeury c’était de l’alcool, aucune idée de ce qu’était de l’alcool, décidément ses partenaires d’infortunes en connaissaient énormément sur le monde qui les entourait là où lui avait un peu de mal à tout suivre. Ce qu’il comprenait par contre c’est que c’était un peu comme le polystyrène, c’était dangereux pour la santé. Il ne comprenait cependant pas pourquoi Hunter en buvait si ça faisait cet effet là, jamais Doryan ne sauterait dans une piscine de polystyrène, pourquoi s’infliger des problèmes volontairement, cet hamster était bien étrange « Je l’empêcherais de boire la prochaine fois, je le protégerais. » En attendant cette prochaine fois, il ne pouvait que veiller sur la boule de poil endormie et discuter du plan avec la boule de plume réveillée boule ayant tout son sens dans les deux cas bien entendu.
Lorsque le camion s’arrêta, une nouvelle aventure attendit les trois comparses et laissa Doryan totalement indécis sur ce qu’il fallait faire. Lui, il était habitué à l’action, combattre les méchants, rester concentré parce que la moindre seconde d’inattention et la planète était en danger, il ne parvenait à comprendre comment des volatiles pouvaient prendre tout cela à la légère et ne se préoccuper que du popotin d’Abi. S’il demanda de l’aide à Hunter pour que ce dernier lui explique ce qu’il se passait et surtout que faire. Il ne s’attendait pas à ses réponses, ils voulaient Abigaïl, mais la question ne se posait pas ! Elle était leur amie et si elle voulait venir avec eux, personne n’avait à lui dire quoi faire. Ils la voulaient pour la manger en plus, Doryan retroussa les babines, hors de question qu’il laisse Abigaïl se faire dévorer ! Sauf qu’Hunter prit les devants et fonça droit sur les volatiles. Il fallait le voir, tant de courage dans une si petite bestiole, c’était beau de voir qu’à présent il tenait lui aussi à leur camarade. Par contre, l’effet ne fut véritablement pas celui escompté. Ah oui, bien sûr, les oiseaux s’envolèrent, ne voulant pas se faire percuter par une balle en plastique lancée à pleine vitesse sur eux. Cependant, à peine Hunter fut il passé qu’ils posèrent de nouveaux leurs pattes sur le sol, échec cuisant. Doryan n’aurait donc pas dit que c’était un strike, loin de là.
En fait Doryan devait être entré dans un monde parallèle tout d’un coup puisqu’Abigaïl s’énerva et il faut dire ce qui est, quand elle s’énervait, elle était effrayante, et elle donnait envie à Doryan de s’éclipser l’air de rien. Voilà qu’elle sautait toutes serres dehors. Un tourbillon de plume grise avec des reflets bleus, mauves ou encore verts s’éleva dans les airs. En tout cas c’est l’impression que ça donna à Doryan qui ne savait pas trop quoi faire, intervenir pour aider la pigeonne mais en même temps, en avait-elle seulement besoin ? Il avait l’impression que non, elle était déchainée et il ne ferait que l’entraver, il posa donc son postérieur sur le sol poussiéreux, fixant l’amas de plume avant que la poussière ne disparaisse pour laisser place à une scène déroutante, Abigaïl tenait l’oiseau tête contre sol et plantait régulièrement son bec dans sa tête faisant frémir Doryan, bien qu’il ne comprenne pas bien l’histoire de la glace à la menthe, ça devait être une expression chez les pigeons. Les deux autres pigeons, ceux qui n’avaient pas été victimisés par l’agressive de service voulaient faire d’elle leur épouse et la mère de leurs œufs. Erk, Doryan grimaça, enfin c’est un peu spécial comme demande en mariage.
Il semblerait que ça marche cependant, alors là, il ne comprenait plus rien. Comment pouvait elle vraiment être intéressée par ces zigotos de premières. Et puis, elle faisait partie de l’équipe, elle ne pouvait pas les laisser tomber pour partir avec eux, Doryan se releva d’un bond pour demander à Abigaïl de revenir sur sa décision mais elle parla de la gaufre. Oh, elle ne les oubliait pas malgré tout ? Il attrapa le plan qu’il avait coincé entre son collier et son cou, du bout des dents avant de le ramener jusqu’à l’oiseau qui s’était proposé de les y mener. Il avait à peine regardé le plan qu’il s’envolait, signe qu’il connaissait très bien les lieux. Ça c’était vraiment une aubaine, Abigaïl avait bien choisi son compagnon d’une vie, il savait bien se repérer et ça dans la vie c’est important. Après avoir jeté un coup d’œil à Hunter et vérifié qu’il était prêt à suivre, Doryan s’élança à la suite du pigeon, observant Abigaïl du coin de l’œil. Il faut dire qu’elle perdait beaucoup d’altitude tout d’un coup, peut être que c’était dû à ce trop plein de nourriture. « Tu veux te repo » Ah non pardon ça n’était pas de la fatigue, elle voulait que ses partenaires la sauvent des pigeons ? Elle jouait la comédie, uniquement pour aider Doryan et Hunter à retrouver Penny, c’était vraiment quelqu’un de bien cette pigeonne « On te laissera pas avec eux, on est une équipe ! » Il n’eut cependant pas le temps de lui dire comment il comptait faire que se dévoila dans l’horizon le dessin figurant sur la carte que Mitaine lui avait montré ! Le pigeon violet le respect est mort descendit tel un rapace pour se vanter auprès de sa promise comme quoi il était doué, qu’elle pouvait compter sur lui… Ahlala, vraiment rien ne l’arrêtait. Doryan s’apprêtait à dire à Abigaïl de filer, qu’il s’occupait de lui quand une voix se fit entendre très nettement « DORYAN AIDE MOI » L’animal blanc se tourna vers là d’où venait la voix « J’arrive Penny ! » Elle était en danger vu comme sa voix portait moi j’appelle ça des hauts parleurs Sans attendre, il fonça tête en avant, voulant protéger sa maîtresse à tout prix. Zut dans sa précipitation il n’avait pas attendu ses comparses ! Jamais ils ne pourraient le rattraper vu qu’il utilisait sa super vitesse, il ralentit donc et fit demi-tour pour revenir vers eux « Hunter, Abigaïl, montez ! Il faut qu’on y aille ! Désolé les canards, ma maîtresse nous attends ! »
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| Lun 26 Avr - 17:08 Un piaf un chien et un rongeur. «C'est une belle journée pour mourir»
Vous avez effectué un strike magistral, faisant décoller les trois rapaces dans trois directions différentes. Malheureusement, cela n’a eu aucun impact dans l’avancée de votre quête. Les oiseaux se sont repositionnés comme si de rien n'était, et continuent de harceler votre amie. En plus de ça vous n’avez pas plus d’indication sur le lieu où Penny est séquestrée. Heureusement, Abigail maitrise parfaitement la situation. D’une voix ferme, elle remet les vautours à leur place. Elle neutralise sans problème le zozio qui vous a traité de zozo. Elle lui bloque le coup avec une patte tout en lui donnant de violents coups de becs sur le crâne. Vous avez les yeux qui pétillent de joie.
«Mon Héroïne ! »
Vous êtes en admiration devant le cran de votre amie. Vous ne pouvez que approuvez les paroles des deux pigeons qui ne tarissent pas de compliments à son égard. Mais vous réalisez qu’ils ne sont pas prêts à la laisser tranquille. Vous levez un poing rageur en leur direction.
«Hey vous avez compris ce que vous dit la Dame ?! Elle vous dit de… »
Vous ne comprenez pas trop ce qui se passe sous vos yeux. Votre amie se dandine du popotin tout en répondant favorablement aux avances de ces dragueurs du dimanche. Vous ne réalisez pas que c’est juste une ruse pour qu’ils vous conduisent à la gaufre à lunette. «Doryan ! Ils l’ont eue ! Ils lui ont fait un lavage de cerveau ! Ils sont au service de l’ho… »
Le super-chien montre le plan à un pigeon qui s‘envole aussitôt. Doryan vous regarde et commence à suivre le volatile. Vous comprenez qu’ils vous emmènent tout droit à Penny !
«On y est presque Doryan ! On va la retrouver ! »
Vous suivez Doryan en roulant derrière lui. Abigail descend à votre hauteur pour vous implorer de la sauver du joug de ses nouveaux amis pigeons.
«Doryan a raison ! On est équipe tous les quatre ! Penny, Doryan, toi et moi on est… »
L’un des pigeons vient se poser près de vous pour fanfaronner, mais Doryan ne lui laisse pas l’occasion d’en placer une. Le chien se met à courir en appelant Penny. Il revient vers vous en proposant de grimper pour gagner du temps.
«Non Doryan ! Fonce, va la sauver ! On te rattrape, on sera le soutien aérien ! File vite ! » Vous vous tournez vers votre amie oiseau. «Abi, j’ai un plan ! Pendant que les sbires de l’homme à l'œil vert seront occupés avec Doryan, on les attaquera du ciel. Il faudra que tu me portes et que tu me lâches sur eux.» Vous prenez un air grave «Aujourd’hui j’ai des amis, et nous nous battons pour une noble cause. C’est une belle journée pour mourir ! » Vous observez les pigeons qui vous ont escortés jusque là. «Vous voulez toujours impressionner mon amie ? C’est le moment pour vous de prouver votre valeur ! Nous allons sauver Penny ! Nous allons sauver le Monde ! Ou mourrir en essayant... »
Vous êtes plutôt satisfait de vos arguments, mais la réponse des pigeons vous fait tomber de haut.
«Euuuuuh… Mourir ?» «Oui… Euh… Je viens de me rappeler que… Euh… Faut qu’on y aille.» «Ouais c’est ça. Au fait, je t’ai parlé de ce vaisseau Alien que j’ai vu l’autre jour ?» «Ah non, c’était où ? Faut que tu me montres ça ! »
Vous regardez les trois pigeons s’éloigner, et vous criez dans leur direction !«Pfff ! Tocards ! C’est comme ça que vous comptez impressionner mon amie ? Vous lui arrivez même pas à la patte !» Vous regardez une nouvelle fois Abigail «Alors copine, partante ? Doryan a besoin de notre aide ! Et Penny aussi ! Si ça te va... C'est paaaaarti mon kikiiiiii»
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| Mer 28 Avr - 14:33 Je suppliais mes compagnons de route de m'aider à me sortir de ce mauvais pied. Il fallait dire que je venais de mettre mon honneur et ma vie à leurs services, ils me devaient bien ça ! Voilà que Doryan me promit de ne pas me laisser tomber. Ouf me voilà rassurée, et les paroles du hamster qui trottait dans sa boule ne firent que confirmer mes doutes. Je leur souriais, vraiment heureuse d'être tombée sur des types aussi sympas qu'eux. Tandis que nous étions arrivés, j'essayais d'ignorer les paroles sulfureuses franchement lourdes du pigeon. J'allais répliquer, et sûrement que le chien blanc aussi, mais une fois s'éleva dans les airs, et avant que je n'eus le temps de dire ouf, Doryan s'élança pour venir en aide à sa petite-maitresse (enfin, je la supposais petite, car cette voix n'était pas celle d'une mémé de 98 ans). Sans nous oublier (quel chien bien ce Doryan), il revint vers nous en nous proposant de monter sur son dos. C'est vrai qu'un peu de repos ne me ferait pas de mal, surtout que j'avais toujours la pizza sur l'estomac, mais Hunter répondit avant moi puis il s'adressa aux pigeons mâles qui nous avaient suivis comme des pots de colle. À son discours, je ne pus m'empêcher de rouler mes yeux déjà exorbités dans leurs petites orbites, me retenant de ne pas faire une remarque. Au lieu de les faire fuir, il allait les encourage à nous suivre et j'allais devoir me débrouiller seule pour me séparer de ces trois lourdauds. De vrais amis Doryan et Hunter, tu parles. Tseu. J'allais ouvrir le bec pour protester, mais voilà que le courage des volatiles sembla fondre comme neige au soleil. Ah ? S'était le plan du hamster depuis le début ? Avait-il détecté leurs points faibles durant mon combat avec eux ? En fier guerrier qu'il était, il retournait donc la situation à notre avantage, et alors qu'il hurlait à l'adresse du trio de loubards, je le regardais, admirative, les yeux humides de larmes d'émotion.
- Wah Hunter… t'es… t'es un vrai ami toi ! Tu es le guerrier observateur et sage que je ne serai jamais ! Wow, comment as-tu deviné qu'ils allaient fuir, car ils n'ont pas notre courage ?
Courage ou bêtise inconscience, difficile à dire. Quoiqu'il en soit, maintenant nous pouvions retourner à nos moutons, ou plutôt, à Penny. Puisque le hamster m'avait partagé son plan et qu'il venait de gagner tout mon respect puisqu'il venait de me prouver que c'était un maitre épéiste (non pas du tout), je le survolais pour me poser sur la boule. Là, j'attrapais cette dernière par les fentes lui permettant d'avoir de l'air frais, et en battant fort des ailes, je le soulevais du sol, non sans mal. Je n'étais pas douée en haltérophilie il ne fallait pas se mentir, mais j'y mettais toute ma bonne volonté. Goutte de sueur sur le front (ça transpire un pigeon ?), je nous faisais voler à basse altitude, zigzagants entre les nombreuses enseignes, suivant la voix de Penny que nous entendions de temps à autre s'élever.
- Purée elle à la voix qui porte sa maitresse ! Elle doit être aussi exceptionnelle et Super que lui !
Franchement vous pensiez vraiment qu'un pigeon qui ne savait pas sa gauche et sa droite devinerait que ce qu'on entendait là venait de haut-parleurs ? Puis enfin, au détour d'une enseigne montrant une créature humanoïde verte à la grimace affreuse, la tant souhaitée et recherchée gaufre à lunette se révéla.
- Aaahhh on approche du but !! Hunter ! Tiens-toi prêt au plus grand plongeon de ta vie ! Puis la pièce tomba au fond. Hunter, il n'avait pas d'aile, donc s'il tombait, il allait peut-être se faire très mal. C'était ça qu'il avait dit aux trois pigeons tout à l'heure, et il avait en fait été sincère, ça n'avait pas été de la comédie ? Réalisant ça, je freinais alors des quatre fers pour me poser sur le toit en face de celui de la gaufre. Là, je venais faire face au hamster et je le prenais dans mes bras pour le serrer fort, sanglotant, hurlant et le secouant dans tous les sens (enfin, la boule dans laquelle il était). Nooooo Hunteeeeeeeeeeer je ne veux pas que tu meuuuuuuuuuuuuurs, moi je t'aiiiiiiiiiiime !!!
Et pendant ce temps, une alarme incendie retentit non loin de nous, manquant de me faire faire une crise cardiaque. Ils étaient fous ces humains à hurler comme ça ! Oh, mais ? Il y a de la fumée noire qui s'échappe d'une fenêtre.
- Ohoh regarde Huntour, ils se font un barbecue là-bas. Il a de la chance Douryouan, il va pouvoir manger de la viande, ohoh.
| | | Doryan Rosebury INRP Métier : Pompier
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| Dim 27 Juin - 22:23 A trois, nous serons forts Nous n'aurons jamais peur ft. Abi et Hunter Un lavage de cerveau ? Qu’est ce que c’était que ça au juste. Laver c’était une bonne chose habituellement non ? Doryan était un peu perdu jusqu’au moment où Hunter parla de l’homme à l’œil vert, un grondement s’échappa aussitôt de ses babines, il fallait attaquer ses pigeons, une fois qu’ils les auraient menés jusqu’à Penny, cela va sans dire. Tandis qu’il suivait petit hamster, sa queue battait joyeusement la mesure en l’entendant confirmer qu’ils allaient retrouver la maîtresse du chien blanc à l’éclair noir.
S’ils étaient une équipe tous les quatre, comme l’avait fait remarquer Hunter, il ne fallait pas oublier que Doryan était là pour Penny en tout premier lieu, il venait de traverser un territoire immense pour la jeune fille. Aussi, lorsqu’il entendit la voix de la fille qu’il aimait le plus au monde, il oublia l’espace de quelques secondes ses compagnons de routes, partant à toute vitesse avant qu’un éclair de lucidité ne lui fasse rebrousser chemins, jamais Hunter avec ses petites pattes et Abigail avec tout ce qu’elle avait mangé n’arriveraient à suivre. Il avisa quelques secondes Hunter qui refusa la proposition, oui alors sans vouloir être offensant, il avait peu de chance de rattraper le super chien. A moins que, le soutien aérien soit la superformule d’Hunter, lui permettant de passer au travers la vigileance du superchien. Ce dernier hocha donc la tête, observant ses deux camarades, leur souhaitant bonne chance avant de partir à toute vitesse retrouver sa maîtresse.
Les pattes se posaient à peine sur le bitume, seule la voix de Penny dans la nuit absolument pas on est en pleine journée mais je trouvais ça trop cool comme phrase le guidait tel un phare, jusqu’à ce qu’une odeur vienne chatouiller sa truffe, celle de sa maîtresse accompagnée d’une drôle d’odeur, une odeur qu’il connaissait que trop bien, le feu. Il manqua d’ailleurs de se faire renverser par un camion de pompier… chauffards ! Il trottina derrière parce que ouai à force de cavaler il commençait à sentir un truc bizarre, des picotements dans les pattes et puis sa gueule ne voulait pas rester fermer, il fallait à tout prix que sa langue fasse un petit mouvement c’était bizarre, rafraichissant et donc agréable mais franchement bizarre, l’effet secondaire du polystyrène peut être ?
Mais attendez il allait où le camion rouge là ? Pourquoi il tournait à droite sur la place centrale, enfin Penny était à gauche, il la sentait. Ils étaient un peu stupides non, de toute façon, un humain c’est pas spécialement doué pour sauver les gens, c’est bien pour ça que c’est Doryan et Penny qui se chargeaient de sauver le monde et non pas des humains dans des salopettes noires avec du gris brillants qui partaient de toute façon du mauvais côté. Il essaya bien un aboiement – non pas le superwouah il veut pas les tuer quand même - pour les alerter mais à part avoir un petit commentaire comme quoi il était un mignon petit chien, il n’arriva à rien. Tant pis, il allait se débrouiller tout seul, il partit à gauche, truffe au sol pour essayer de trouver une ouverture. Après avoir fait le tour de la batisse, la seule solution résultait en une partie d’escalade pour rejoindre le toit, pour cela, il dût s’aider de la gouttière pour se hisser tout en haut… Sauf qu’il restait un chien qu’on le veuille ou non, les griffes n’adhèrent pas sur l’espèce d’aluminium mais il s’agissait de Penny qui était en danger, il ne pouvait pas abandonner. A force de redoubler d’efforts, centimètre par centimètre, il finit par se retrouver sur le toit. Parfait maintenant il fallait trouver une ouverture. Flûte, la seule ouverture était cette espèce de vitre fermée. Bien entendu il se ridiculisa tenta de l’ouvrir en fixer la fenêtre de toute sa concentration mais le verre ne fondit pas sous son regard laser, vraiment le polystyrène un fléau pour les héros. Il tourna la tête, il lui fallait un truc à lancer de toutes ses forces pour faire exploser la vitre, peut être qu’il pouvait utiliser une planche comme catapulte ça avait marché une fois avec Penny, mais il avait l’impression que tout ce qui fonctionnait lorsque Penny était là et bien, ça ne fonctionnait pas lorsqu’elle était absente. En plus, il n’y avait pas de planche sur le toit, il tourna la tête à gauche, puis à droite jusqu’à ce qu’il voit Abigail et Hunter « Abi ! Par ici ! » Il se dressa sur ses pattes arrières pour attirer le volatile et une fois qu’elle l’eut capté, à moins que ça soit Hunter qui ait dit à l’oiseau de proie tellement pas que le chien gigotait et avait l’air un peu crétin.
Une fois que l’oiseau fut à sa hauteur, il leur exposa son plan, qui sur le papier était franchement excellent d’après lui. « Hunter, il faudrait que tu sortes de ta petite boule et qu’on mette des trucs dedans, des cailloux par exemple. Abi, toi il faudrait que tu arrives à soulever la boule et que tu la balances d’assez haut sur la vitre. » d’un geste de la queue il désigna le petit carré, devant faire confiance à la précision de l’oiseau. Ensuite, une fois qu’ils auraient réussi, il faudrait qu’ils aillent à l’intérieur tous les trois et qu’ils retrouvent rapidement Penny.
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| Lun 16 Aoû - 20:01 UN PIAF UN CHIEN ET UN RONGEUR. «C'est terrible»
Abi vous remercie pour l’amitié que vous lui portez, et vous demande comment vous avez deviné que vos propos suffiraient à les faire fuir comme des lâches.
«Euh… Bah je pensais vraiment qu’ils seraient prêts à nous aider en fait… »
Votre amie pigeonne accepte de suivre votre plan en portant votre Bouboule. Elle s’étonne de la voix puissante de Penny.
«Penny c’est la plus merveilleuse petite fille au monde, et elle est en danger ! Nous devons la sauver Abi !»
Votre amie à plume vous demande de vous préparer pour le plus grand plongeon de votre vie. Peut-être votre dernier. Vous allez devenir le héros que vous avez tant rêvé. Le Monde se souviendra que sans vous Doryan n’aurait pas pu sauver Penny, ni sauver le monde. Que vous étiez un hamster avec un cœur et un courage immensément plus grand que lui.
«Je suis prêt ! Pour Doryan ! Et pour Penny ! Pour le monde et… Tu fais quoi là ?»
Vous ne comprenez pas trop. Le plan c’était qu’elle vous lâche sur vos ennemis pour faciliter l’accès au super-chien ,qu’il puisse économiser ses forces et vaincre l’abominable homme à l'œil vert. Et au final, elle se dirige vers le toit en face de la gaufre à lunettes. Elle vous pose et vous fait face avant de s’emparer de votre boule avec ses ailes et de vous crier et de vous pleurer dessus.
«Abi.» L’oiseau ne semble pas vous entendre et continue de gémir qu’elle vous aime. «Abi !» Elle ne veut pas vous laisser mourir. «Abigail ! » Elle semble enfin encline à vous écouter. «Tout va bien se passer. Doryan a besoin de nous. Penny a besoin de nous. Faut pas abandonner !»
Une alarme incendie se fait entendre et des gens courent de tous les côtés. Abi vous parle de la chance que Doryan va avoir de pouvoir manger de la viande grillée.
«Quoi ?» Vous comprenez qu’avec ses yeux perçants (non) Abi avait repéré le super-chien sur le toit d’un bâtiment et qu’une fumée noire se dégage d’un fenêtre d’un des étages. Doryan semble également vous avoir repéré - décidément il n’y a que vous qui ne voit rien - car il s’agite sur ses pattes arrière en interpellant Abi qui ne semble pas réaliser ce qu'il se passe.
«Abigail ! C’est terrible ! Ce n’est pas de la viande qui est en train de cuire : C’EST PENNY ! » (Mon dieu que cette phrase est horrible ) «Il faut le rejoindre !»
Aussitôt dit, aussitôt fait. Doryan expose son plan : vous devez sortir de votre boule pour que vous puissiez la lester de cailloux et espérer briser la vitre du toit avec pour pouvoir rentrer et sauver Penny. Vous regardez la fenêtre en question.
«Et euuuuuuuh… Tu as essayé de l’ouvrir ? Ou ton regard laser ?» Vous sortez de votre boule et tentez d’ouvrir la fenêtre. «Ah. C’est fermé de l’intérieur. D’accord c’est parti ! Trouvons des cailloux !» Vous observez le toit à la recherche de quoi lester la boule. «Je vois rien. On peut pas descendre chercher des cailloux en bas et remonter. On perdrait trop de temps. Mais ma boule est solide, c’est de la marque Rhino-Shield, rien ne peut lui résister ! Elle peut même briser le diamant, enfin je crois »
Vous vous emparez de votre boule en plastique et commencez à l’utiliser comme un marteau en frappant frénétiquement la vitre avec. «Allez… Cède. Saleté… De… Vitre. » Vous prenez de l’élan et sautez pour donner plus de force à vos coups. Malgré vos nombreux efforts, après quelques minutes vous n’êtes parvenu qu’à faire des gros impacts sur la fenêtre sans la briser totalement.
«On… y est… presque… »
Vous êtes à bout de force. Vous sentez que vous êtes proches, qu’il ne manque plus grand chose pour qu’elle ne cède, mais vous avez donné le meilleur de vous.
«Okay… Je…. Je fais juste une petite pause… Et… Et je reprends. On va y arriver ! On va la sauver.»
Vous lâchez votre boule tandis que vous reprenez votre souffle.
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| Lun 23 Aoû - 21:42 UN PIAF UN CHIEN ET UN RONGEUR. «Côt ?» Je fixais au loin notre ami Doryan qui était en train de se faire apparemment un beau beefsteak fumé vu la merde noire que ça engendrait et qui se dégageait un peu partout de l'immeuble. Ça rameutait aussi plein de jaloux puisqu'en bas c'était le capharnaüm complet. Tseuh, de vraies mouches ces humains, aucun respect, non, mais vraiment. Je signalais à mon ami rongeur que j'apercevais le super chien lorsque le hamster en vint à hurler que ce n'était pas de la viande qui était en train de griller, mais Penny. Je voyais alors Hunter tout paniqué et me somma de rejoindre le chien, mais pourtant, je m'interrogeais sur la logique de la situation (c'était bien le moment d'utiliser mon SCP, Super Cerveau de Pigeon).
- Ola Huntour ce que tou dit là c'est pas logique… Les humains c'est de la viande non ? Donc Penny est forcément de la viande en train de cuire en ce moment même non ? (Dieu que c'est instant est gênant et gore à écrire)
Décidément, mon SCP était vraiment au-dessus de la moyenne (non) et puisque j'avais pris en pitié mes deux amis (de toute façon ils ne pouvaient pas comprendre ma logique de pigeon), je reprenais le pigeon dans sa boule puis l'emmenait jusqu'au super chien. Là, je me mis à me lisser les plumes. Lisser les plumes. Lisser les plumes. Comme d'habitude, je n'avais rien écouté, le lissage de plume c'était une science très importante et pas n'importe qui la maitrisait. Il fallait du tact et de la douceur, il fallait savoir où planter le bec exactement pour avoir un lissage parfait. En bref, cela prenait toute l'occupation de mon SCP, et je n'avais donc absolument pas eu l'occasion d'entendre, et encore moins d'écouter le plan de Doryan. Ainsi, ce fut les bruits à rythme fréquents donnés contre la fenêtre qui me fit revenir au moment présent. Là, j'y voyais un hamster lancer sa boule sur la vitre. Dubitative, je le regardais d'abord de l'œil droit. Puis de l'œil gauche. Mais je n'étais pas certaine d'avoir bien regardé, alors j'observais à nouveau avec l'œil droit. Puis le gauche. De ce que je devinais du coup, ils essayaient donc d'ouvrir la fenêtre. Le super chien n'avait apparemment pas réussi et Doryan y mettait du cœur, mais ça ne semblait pas probant.
- Ma, si on continoue comme ça, de la Penny il y en aura assez à manger pour tout le monde hé !
Bombant le torse (ça a un torse un pigeon ?) je m'avançais fièrement en direction de la fenêtre. Là, je la fixais de mon œil au regard le plus perçant (aucun des deux, mais on va dire le droit), et, après un combat de regard acharné, je levais l'une de mes majestueuses serres et enfonça mes griffes dans la vitre. Avec effort, entrain, passion, dévotion, abnégation et une certaine application, il fallait le dire, j'essayais de faire un rond parfait dans la vitre.
- N'ayez crainte, ça va fouctiounner ! Yé vu ça pleing de fois dans les films !
Sauf que mes petites griffes ne réussirent qu'à entamer à peine la surface de la matière transparente. Purée, c'était du bon matos qu'ils avaient mis là.
- Ben flûte alors.
Bon, j'étais bonne pour une manucure moi, mais là n'était pas la question, pour le moment, il fallait venir en aide à cette pauvre petite mise à la broche (même si elle sentait rudement bon d'ici). Regardant autour de moi, je ne voyais aucun caillou, mais puisque j'étais un rapace hors norme (si, un peu quand même), j'observais au-delà de notre propre toit… et trouvais des cailloux sur un toit voisin.
- Oh ! J'ai une idée ! Hountour, on utilise ta boule pour y mettre des cailloux, et on la lance contre la fenêtre, ça devrait l'ouvrir.
Avais-je précisé que je n'avais rien écouté du tout ? Prête à braver tous les dangers, j'attrapais la boule avec mes puissantes serres d'oiseau de chasse (bof), pour la soulever dans les airs avec fracas et l'emmener sur le toit voisin. Là, je remplissais la boule de quelques cailloux, un à un (c'était un peu lent faut bien se le dire), avant de décider que c'était suffisant (donc juste trois ou quatre cailloux quoi, fallait prendre celui qui avait la bonne forme, le bon poids, la bonne circonférence, la structure idéale, bien alignée avec les planètes, etc., tout un travail). Une fois satisfaite de mon travail rudement accompli à la sueur de mon front et de ma bonne volonté, je reprenais la boule pour la soulever et la ramener au toit où se trouvaient mes amis (un miracle que je ne la soulève pas avec l'ouverture contre le bas). Lentement, parce que j'essayais de rester précise dans ma mission, je me positionnais au-dessus de la vitre (c’est-à-dire au moins cinq mètres à côté), et m'apprêtais à la lâcher comme un missile pour qu'elle pourfende cet ennemi résistant qu'était cette maudite fenêtre.
- Attentión patrôn, yé vé lâcher !
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| Dim 24 Oct - 22:37 A trois, nous serons forts Nous n'aurons jamais peur ft. Abi et Hunter S’il avait essayé de l’ouvrir ? Kewa, le fidèle acolyte, le hamster fantôme qui doutait du talent de Doryan. Il y avait plus de respect arrêtez de vouloir tuer ma maîtresse, je suis blessée de fou là XD . Doryan prit sur lui pour exprimer, calmement le fond de sa pensée « Hunter, je suis un professionnel, bien sûr que j’ai essayé de l’ouvrir. » Il faisait ça depuis qu’il était né, il ne faisait AUCUNE erreur et il n’y pouvait pas grand-chose si ses yeux laser ne fonctionnaient plus. L’homme à l’œil vert avait décidé de lui donner du fil à retordre mais Doryan, même sans être en capacité d’utiliser ses pouvoirs, il n’était pas sans ressource, il utilisait sa cervelle et avait un plan. Il n’y avait pas de caillou sur le toit ? Oui bah en même temps c’ est pas vraiment un endroit à caillou un toit, le mieux c’était de descendre à dos de pigeon pour aller les récupérer par terre… Ouai non, visiblement, ce serait pas pour aujourd’hui et puis Hunter avait une boule Rinochilde, aucune idée de ce que c’était mais si ça pouvait briser la vitre, Doryan était partant. Il observa le hamster qui faisait on ne sait trop quoi, Doryan approcha sa truffe pour regarder ce qu’il faisait. Il posa sa patte, sur la vitre, frétillant de la queue joyeusement en entendant dire qu’ils y étaient presque ! Chic ! Quoi qu’attendez, il avait beau pousser de toutes ses forces rien ne se passait. Il se redressa sur ses pattes arrière pour donner un coup de pattes avant… Echec cuisant. Il n’osait pas vexer Hunter mais il semblerait que Rinochilde fasse de la publicité mensongère parce que la vitre ne semblait pas prête de se briser.
« Repose toi Hunter, on va trouver une. » Attendez, elle venait de dire quoi le pinson allez c’est parti je varie les piafs Comment ça si on continue comme ça, il y aura de la Penny à manger pour tout le monde ? Minute papillon, il disait quoi le canard ? Il voulait manger Penny, c’est ça ? Doryan le fixa dans le but de l’anéantir avec ses yeux laser mais, fort heureusement pour tout le monde hein, rien ne se passa. Le poil hérissé, indigné par cet allié de l’homme à l’œil vert, Doryan protesta « Mais on ne veut pas la manger ! C’est ma maîtresse ! On doit la sauver. » Euh attendez, elle faisait quoi la poulette ? Elle s’avançait vers la vitre ? Le son qui suivit l’action de Pioupiou était tout bonnement insupportable, Doryan plaqua ses pattes sur ses oreilles « Abigail, ça ne fonctionne pas ! » Hé, oui ça arrivait aussi à Doryan de dire des phrases qui ne servaient à rien, en même temps il était bien obligé de lui dire vu qu’elle ne remarquait rien par elle-même. Même après qu’elle eut cessé sa torture, si si, c’était une technique de torture ancestrale, Doryan avait l’impression d’entendre le crissement de sa serre contre la vitre.
Et là, contre toute attente, elle avait une idée ! Trop bien, une idée qui fonctionnerait ? Hé ! Mais c’était pas du tout son idée ça, c’était l’idée de Doryan, non mais hé ! Voleuse d’idée quoi. Néanmoins, parce que le temps de Penny était compté et qu’excepté le moineau, personne ne voulait que la maîtresse de Doryan ne meure et aussi parce que Doryan ne voulait pas tirer la couverture à lui Je vous jure que j’ai le Doryan humain qui proteste beaucoup là il décida d’aller dans le sens du puissant volatile « Bonne idée ! » Mais… Pourquoi elle partait vers un autre toit, mais c’est pas possible une équipe de pattes cassés pareil. Il se précipita à sa suite, courant le plus vite possible pour la rattraper mais étant donné qu’il y avait le vide en dessous, Doryan fut bien obligé de s’arrêter, il essaya de la prévenir « Au sol ! Les cailloux sont au sol, pas dans les ai. » Ah bah il semblerait qu’elle ait trouvé des cailloux sur le toit voisin. Non mais plus rien avait de sens pour le chien, il revint vers le hamster exténué « ça va aller Hunter, si tu veux, tu pourras grimper sur mon dos pour te reposer. » tant qu’il ne lui tirait pas trop les poils, ça devrait le faire « Abigail a parlé d’un film tout à l’heure, c’est quoi un film au juste ? »
Un bruissement d’ailes fit lever la truffe à Doryan, ah oui, il y avait vraiment des cailloux… Bah dis donc, il y a des enfants qui savent bien viser… à moins que ça soit des oiseaux qui avaient besoin de pierre pour leur nid… ouai quoi que ça c’est bizarre. Sûrement une histoire d’agent secret ça encore. Comment ça elle allait lâcher ? Non mais c’était eux qu’elle visait là. Doryan s’assied sur ses fesses – parce que c’est pas évident sur trois pattes – et essaya de la guider de la patte droite « Non non, lâche pas tout de suite, t’es mal placée, décale toi à gauche… Non pas cette gauche-là, l’autre gauche. » Misère elle connaissait pas sa gauche et sa droite désolée je te respecte plus XD « Recule un peu, ouai non vraiment quand je dis un peu c’est pas juste reculer d’une plume. Non non mais pas trois mètres non plus. Avance, encore, encore. » Il zieuta la position de la plumée, la fenêtre « C’est bon ! » La boule chuta merveilleusement bien la vitre se brisa et Doryan eut quand même la présence d’esprit de placer sa queue touffue devant le petit corps du hamster, puisque lui n’était pas insensible au « AIE ! » Au secours ! C’était quoi ça ? Aie, sa queue le picotait. Sous la douleur Doryan sautillait « Les gars, je sens un truc sur ma queue ! ça fait une sensation bizarre ! Aie, aie, aie ! » mais qu’est ce qui lui arrivait encore ? Oh et puis zut, de toute façon il devait sauver Penny il avait pas le temps de s’occuper de ce truc qui faisait pas du bien. Il faucha Hunter de sa patte, pour le caler sur son dos, avisa Abigail au-dessus d’eux. « Tu nous suis hein ! » et bêtement – si si clairement il est complètement crétin ce chien – il sauta dans le vide même si c’était un peu haut Courage Hunter pour nous sauver :hearts:
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| Mer 26 Jan - 20:46 UN PIAF UN CHIEN ET UN RONGEUR. «RHINOSHIELD»
Vous êtes horrifié par les propos d’Abigail qui infirme vos propos. Pour elle, les humains sont de la viande, donc si Penny est en train de cuire, alors c’est forcément de la viande qui cuit.
«Oui… Certes mais… Pas le temps de débattre ! Doryan ne va certainement pas manger Penny ! On doit le rejoindre !»
Vous ignorez si vos propos ont convaincu votre amie, et si elle a enfin compris son erreur ; mais en tout cas, elle décide de vous emmener jusqu’à Doryan. Le super-chien vous explique que Penny est coincée à l’intérieur de l’immeuble en feu et que le seul moyen de rentrer est de briser la vitre du toit. Vous demandez stupidement s’il a déjà essayé d’ouvrir et il vous répond qu’en chien professionnel, c’est le premier truc qu’il a essayé. Il vous propose un plan fabuleux dans lequel vous devez remplir votre boule de cailloux pour briser la vitre. Vous réfutez son plan, faute de caillou et proposez un plan de substitution. Votre boule est indestructible, et vous l’utilisez pour pilonner la vitre afin d’ouvrir la voie. Vous y êtes presque, vous le voyez, vous le sentez ; les impacts sont la preuve de votre réussite proche. Le seul souci, c’est que vous n’êtes pas aussi endurant que vous le voudrez, et vous êtes épuisé. Vous n’avez plus la force d’asséner le moindre coup et le coup de grâce ne pourra pas venir de vous. Il ne peut venir de vous, mais Doryan semble bien parti pour achever cette vitre ridicule tandis que Abi se fait discrète. Il se met debout sur ses pattes arrière pour se faire tomber de tout son poid à l’avant, mais cela ne suffit pas. Votre amie pigeonne sort de son mutisme et fait remarquer que bientôt il y aura de la Penny à manger pour tout le monde, ce qui coupe Doryan dans sa phrase. Il explique ce que vous avez déjà expliqué à la pigeonne et vous vous contentez de vous adresser à Abigail «Tu vois, qu’est ce que je te disais ?» L’oiseau accepte de pleinement obtempérer et s’approche à son tour de la vitre. Elle pose l’une de ses serres sur le verre et commence à essayer de le découper.
«Tu as des super serres Abi ? Avec des embouts aussi durs que le diamant capable de découper le verre, c’est ça !»
Le crissement de ses griffes sur la vitre vous déchire les tympans. Le bruit vous semble insupportable, et même Doryan implore Abi d’arrêter en relevant que cela ne sert à rien. Votre amie à plume s’arrête et s'exclame avoir une idée. Elle propose de remplir votre boule avec des cailloux pour l’alourdir et exploser la vitre.
«Euh…» Vous trouvez que ça ressemble très étrangement au plan de Doryan, mais ce dernier se contente d’approuver l’idée. «Ouais Abi ! Super idée ! Par contre, il n’y a pas de caillou sur ce toit.»
L’oiseau s’empare de votre boule et va sur un autre toit sous les cris du super-chien qui lui indique d’aller au sol pour trouver des cailloux. Le canidé revient vers vous et indique que vous pourrez monter sur son dos pour économiser vos pattes. «D’accord.» Il vous demande ensuite ce qu’est un film. «Tu… Tu n’as jamais regardé la boîte magique avec Penny ? C’est une boîte qui permet de regarder ce qui se passe ailleurs.»
Abigail revient avec votre boule chargée de cailloux, elle s’apprête à la jeter, mais elle est mal positionnée. Doryan se charge donc de la guider pour qu’elle lâche le projectile sur la fenêtre. La boule s’écrase et la vitre vole en éclat. Vous mettez vos patounes devant votre visage pour protéger vos yeux et vous entendez Doryan exprimer un cri de douleur. Quand vous enlevez vos pattes, vous voyez la queue du super-chien posée juste devant vous.
«Doryan, qu’est ce qui se passe ?!» Il se plaint d’avoir comme des picotements, une sensation bizarre, dans la queue. Vous vous apprêtez à l'ausculter, mais il ne vous en laisse pas le temps. D’une patte, il vous choppe et vous installe sur son dos avant de sauter dans le vide. «Aaaaaaaaaaaaah» Vous n’êtes pas du genre peureux, mais le super-chien vous a attrapé par surprise. La chute de plusieurs dizaines de mètres de hauteur n’allait peut-être pas blesser votre ami, mais vous êtes certain qu’elle vous tuera sur le coup. Vous n’avez pas de coussinets amortisseurs, vous. «Doryan, je n’ai pas ma boule de protection, tes pouvoirs ne pourront pas me sauver. La chute va me broyer tout entier !» Mais vous ignoriez que le chien vise un énorme câble électrique sectionné qui pendouille là parce que… Roh vos gueule, c’est magique, voilà. Doryan s’agrippe donc au câble grâce à sa mâchoire et vous pouvez descendre jusqu’au sol en étant en vie. Vous n’êtes pas indemne pour autant, malgré le câble qui a permis de beaucoup ralentir votre chute, vous êtes arrivés assez rapidement par terre, mais heureusement, la pierre a amorti votre chute.
«Vivant, je suis vivant ?! Doryan, tout va bien ?»
Vous regardez le super-chien se relever péniblement. Il avait l’air un peu amoché, mais il allait bien lui aussi. Vous repérez votre boule qui a servi à casser la vitre. Vous vous empressez de la vider de ses cailloux et vous vous réfugiez de nouveau à l’intérieur tandis que Abigail se pose à votre hauteur. Autour de vous, il y avait des grandes affiches représentant Doryan sous tous les angles.
«Qu’est ce que c’est que ça ?!»
Votre regard passe des affiches, à Doryan puis à Abi, puis de nouveau à Doryan.
«Doryan ! Ton éclair ! La marque de ton pouvoir ! Il… Elle… Elle s’est effacée !»
Mais vous devez faire face à d’autres priorités. Une petite fille est en danger.
«Doryan ! Au secours ! »
Vos têtes se tournent en même temps en direction de l’appel en détresse, direction par laquelle un chien ressemblant beaucoup à Doryan s’enfuit en courant. Vous pouvez voir les flammes danser, et vous pouvez distinctement entendre des objets tomber. Vous remarquez que des gravats vont s’effondrer devant la porte et bloquer le passage. Vous vous précipitez pour faire obstacle avec votre boule.
«DORYAN ! ELLE T’APPELLE ! FONCE ! VA LA SAUVER !»
Le super chien ne se fait pas prier et se faufile dans le passage que vous lui avez gardé ouvert.
«RHI…NO… SHIEEEEEEELD»
Votre boule est indestructible. Dedans vous êtes invinci… «Oh…oh…» Des fissures commencent enfin à apparaître sur votre prison sphérique. Vous vous redressez sur vos pattes et tentez de garder le passage ouvert en aidant votre boule à soutenir le poids qu’elle doit supporter. Les fissures se font de plus en plus grosses. Vous fermez les yeux.
«Cette fois ! C’est la fin ! »
Vous sentez une violente secousse et, lorsque vous rouvrez les yeux, vous pouvez voir Abi qui tient votre boule entre ses serres pour vous empêcher de mourir broyé.
Game of Blood Ϟ Tous droits réservés | | | Abigail MacFusty INRP Métier : Professeur de Soins aux Créatures Magiques & directrice de la maison Poufsouffle
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| Ven 28 Jan - 14:50 UN PIAF UN CHIEN ET UN RONGEUR. «Côt ?» Débattre de qui allait manger quoi et comment, surtout de la viande, était pour le moins saugrenu venant de la part d’un pigeon et d’un hamster. Autant mettre tout de suite ce sujet de côté, et comme me le disait si bien Hunter, ce n’était pas le moment. Nous avions une fenêtre récalcitrante à abattre ! Il en fallut du temps pour en arriver à bout un miracle que Penny n’ait pas finit carbonisée entre temps, mais enfin la vitre céda alors que j’avais été guidé de mes deux acolytes pour la briser, la vilaine. Aucune vitre ne résiste à SAP ! (Super Abigail Pigeon). Le brave petit chien blanc eut la présence d’esprit de protéger notre ami rongeur de sa queue, mais des bris de verres se fichèrent dans sa queue. La réaction fut immédiate, et ce fut en le regardant de travers (donc comme d’habitude) que je le voyais sautiller en se plaignant d’une certaine douleur étrange. J’ouvrais le bec pour répondre, peut-être un peu désobligeante, mais le voilà déjà qu’il empoigne la petite créature et s’apprête à sauter. Là encore j’ouvrais le bec pour objecter, mais… trop tard. Déployant mes ailes, je me posais délicatement sur le rebord de la fenêtre cassée en prenant bien garde de ne pas me couper les pattes, et je regardais en bas les deux corps se rapetisser au fur et à mesure qu’ils tombaient.
- Ma… soit patròn est très courageux, soit patròn est complètement idiot.
Je relevais les yeux au ciel comme si je voulais réfléchir, mais… Je levais mon aile droite pour me lisser les plumes plutôt. Ça utilisait moins de matière grise de prendre soin de son corps que de réfléchir. Pourtant attentive aux bruits en contre bas, j’attendais de ne plus entendre le long « aaaaaaaaaaaaaah » de Hunter, mais il faut rapidement suivit de « outch » « bong » « paf » « blong » « ouille » « gasp » « garalaga » « patatra » « badaboum » « fralalala » « pif » et enfin d’un « pouc ». En entendant le rongeur s’exclamer qu’il était en vie, je daignais enfin regarder en bas, à en croire que je n’avais pas osé observer mes deux amis s’écraser au sol plus bas. Soulagée de constater qu’ils étaient effectivement vivants (quoique peut-être pas forcément en un seul morceau à en croire l’état de la boule du hamster), je me décidais enfin à prendre mon envol pour descendre lentement, en tournoyant, telle la belle plume qui glisse sur le vent doux et frais du printemps au coucher du soleil (donc à comprendre que je descendais en piqué comme un caillou qui se redressa à la dernière seconde après avoir évité de justesse de me casser le bec par terre).
À l’exclamation de la petite créature, je suivais son regard en voyant moi aussi les affiches d’un Doryan géant. Wow, la classe, moi aussi j’aurai aimé un portrait géant de moi dans ma chambre (on est dans la chambre de Doryan là ?). Interloquée, je regardais les affiches, puis Hunter, puis Doryan, puis les affiches, puis Hunter, puis Doryan, puis les affiches, puis Hunter, puis la grand-mère qui passe, puis Doryan, avant qu’encore une fois, le hamster s’exclama (décidément, c’est vraiment cardiaque ces petits machins, ce n’est pas qu’une croyance). Pourtant, en constatant que l’éclair commençait à disparaître, je me tins le visage entre mes ailes en me mettant à tourner en rond.
- Ooooh noooo c’est une catastrouuupphhhhhe (pluie de postillons). Patròn est en train de perdre ses pouvoirs ! Patròn doit se dépêcher de sauver Penny !
Mais une petite voix appela le chien blanc, et, sans tourner mon corps, ma tête, elle, se dirigea en direction du cri. Je regardais donc littéralement derrière moi, la tête tournée à 90 degrés, et je m’écriai au même temps que Hunter.
- ALLEZ SAUVER PENNY PATRÒN, ON VOUS OUVRE LE CHEMIN !!
C’est qu’il commençait à faire chaud dans le hangar là. Il allait sûrement y avoir du pigeon à manger à midi, mais tant pis, je le faisais de bonne graisse grâce. Alors que le hamster roula jusqu’aux gravats pour les retenir, je fonçais à tire-d’aile vers des poutres en feu pour utiliser mon super pouvoir des tempêtes pour apaiser les flammes. Battant frénétiquement des ailes devant le feu, je frayais un chemin pour que le chien puisse sauter par-dessus la poutre et filer sauver sa petite maîtresse (autant dire que ce que je faisais ne servait à rien en dehors d’attiser encore plus les flammes, mais laissez-moi rêver s’il vous plait). Je laissais passer le chien tandis que, à côté de moi, un petit rongeur était en train de vivre sa meilleure vie ses derniers instants. Une fois le canidé blanc passé, l’urgence me sauta aux yeux (enfin). Prenant toute la vitesse de rapace (non toujours pas) dont j’étais capable, je volais (ça oui) au secours de mon ami rongeur. Serres déployées, j’attrapais sa bouboule pour le tirer de sous les gravats. Heureusement que j’avais pu prendre un peu d’élan, ça m’avait évité d’attraper mon ami, mais de me faire emporter en arrière comme prise par un élastique car je ne serais pas parvenue à le tirer de sous les décombres à cause du poids. Il s’en fallut de peu, mais la boule me suivit, et donc par extension, Hunter aussi. Le feu traversé, l’atterrissage absolument pas du tout maitrisé, nous roulâmes ensemble au centre du feu qui se propageait de plus en plus. Littéralement scotchée à la boule de Hunter, le bec grand ouvert (le hamster pouvait y voir mes amygdales et faire une analyse dentaire approfondie), je relevais les ailes pour me décoller tant bien que mal dans un « ploc » sonore.
- Gwouah.
Je secouais la tête pour reprendre mes esprits, et réalisais alors que nous étions en proie aux flammes. Non loin, je croyais apercevoir une petite fille qui luttait contre la fumée épaisse du feu avec un Doryan qui courait dans sa direction. La rejoindre, OK, mais la sortir de là ? Utilisant tous mes sens de pigeon, je regardais autour de moi encore une fois en tournant la tête dans toutes les directions, mais pas mon corps (exorciste powa) avant d’apercevoir une conduite d’aération. Là, je tapais sur la boule de Hunter comme si je toquais à sa porte.
- Ouh ! Hountour ! Là-bas ! ça mène sourement déhour non ? Faut appeler les secours là-bas ! Mes Super Ailes ne pourront pas stopper le feu, il est bien trop puissant. Tu crois pouvoir t’y enfiler ? Je vais prévenir patròn !
Et sans attendre de réponse de mon ami, je courais (d’abord en zigzagant) en direction de Penny et de Doryan avant de réussir à battre à nouveau des ailes et de les rejoindre tant bien que mal (j’étais sonnée).
- Patròn ! Je regardais Penny. Boñjour miss (donc elle voit sûrement un putain de pigeon faire « rouuuurouuu » devant elle). Je revenais sur Doryan. On va appeler les secours là-bas ! Je montrais où se trouvaient Hunter et la bouche d’aération. Elle peut peut-être reprendre de l’air là-bas ? Il faut l’y mener ! Courage señorita miss Penny ! On va vous tirer de là !
Oui, on y croit tous. Une fillette sauvée pour un chien, un hamster et un pigeon. On y croit tous.
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| Mer 9 Fév - 19:32 A trois, nous serons forts Nous n'aurons jamais peur ft. Abi et Hunter Cette mission sauvetage de Penny ne se passait pas exactement comme Doryan l’aurait souhaité. Habituellement, tout était si facile pour lui, il n’avait pas à se creuser la tête outre mesure, il fonçait et ça passait. Depuis que ses pouvoirs avaient disparu c’était bien plus compliqué et il devait admettre qu’il était bien content de ne pas être seul et de pouvoir profiter des compétences de ses deux acolytes. Si dans le domaine des missions, il était incollable, il semblerait qu’il y ait plein d’autres domaines où là, il était pire que débutant, devant même demander à Hunter ce qu’était un film. Non, il n’avait jamais fait ça avec Penny, il devait bien l’admettre « Nous devions être trop occupé à sauver le monde je suppose. » Mais à la façon dont Hunter en parlait, Doryan pressentait que c’était quelque chose de bien, il aimerait bien essayer, dans le futur, quand ils auraient sauvé sa maîtresse.
En attendant, ils devaient avancer et cela malgré la nouvelle douleur que Doryan ressentait, mais c’était quoi cette journée maudite, depuis qu’il était séparé de Penny, il souffrait de mille maux, il n’avait plus ses pouvoirs, rien n’allait. Il fit fi de sa douleur, attrapant son copain Hunter pour plonger dans le vide, oubliant au passage de lui répondre au sujet de cette douleur. Plonger dans le vide, il l’avait fait un millier de fois, il analysa le câble qui glissait entre ses crocs, flute. D’habitude ça marchait beaucoup mieux, l’atterrissage sur le sol fut pour le moins douloureux. Doryan resta avachi le temps de reprendre son souffle et ses esprits. A la question sur comment il allait et en jetant un coup d’œil à Hunter qui était déjà sur ses pattes, il devait montrer l’exemple, il se releva donc avant de souffler d’un air dépassé par la situation « Tout va bien. » Il tourna la tête pour voir ce que montrait Hunter et constata qu’il y avait d’immenses affiches de lui. Ses deux partenaires ne cessaient de regarder les affiches puis Doryan, recommençant sans cesse. « Je suppose que nous sommes dans le repère de l’homme à l’œil vert et que ces affiches sont là pour que je ne puisse pas passer incognito. » Il fallait qu’il se montre discret. Hunter trouva quelque chose de plus terrible encore, la marque de son pouvoir s’effaçait, le chien tourna la tête pour constater cela par lui-même, comment c’était possible ? Qu’est ce qu’il devait faire pour retrouver ses pouvoirs ? Il n’eut le temps de poser la question à ses partenaires qui étaient aussi horrifiés que lui, que la voix de Penny se fit entendre. Doryan tourna la tête pour voir un autre Doryan courir Oh c’est Lyam hihi Ses deux amis l’incitèrent à se précipiter vers Penny qui avait besoin de lui, il n’avait pas besoin qu’on lui dise quoi faire, sachant que sans lui Penny ne pourrait s’en sortir.
Il passa par le passage créée par Hunter « Merci l’ami je te revaudrais ça. » avant de rejoindre Penny. Zut, elle était en hauteur et pour ne rien arranger, la fumée piquait les yeux de Doryan qui avait du mal à voir où il allait. Une fois à la hauteur de sa maîtresse, il l’interpella, la queue battant à un rythme effréné tellement il était content de la revoir. Si Penny avait la voix rauque à cause de la fumeux, elle semblait en capacité de parler et demanda à Doryan de la détacher. Ce dernier s’efforça de la rejoindre pour ronger les liens qui l’empêchaient de se mouvoir. L’Homme à l’œil vert était ignoble de la laisser périr par le feu. Comme Doryan n’était pas un chat, il galéra à grimper le long de la paroi, glissant plusieurs fois et eut encore plus de mal à grimper sur elle surtout que les mains de Penny étaient coincées sous les cordes, impossible pour elle de rattraper Doryan s’il tombait. Qu’importe, il ne la laissait pas tomber, s’acharnant jusqu’à ce que les liens lâchent et ils chutèrent ensemble avant de s’écrouler une nouvelle fois contre le sol. Ça commençait à bien faire, Doryan avait mal partout, il se releva une nouvelle fois, pour Penny et vit foncer sur eux Abigaïl qui avait un plan, aller jusqu’à la bouche d’aération pour qu’elle puisse respirer. Il semblerait que señorita miss Penny en ait bien besoin puisqu’elle était plié en avant, prise d’une quinte de toux. Doryan se rapprocha doucement d’elle, léchant doucement ses doigts pour montrer son soutien avant de regarder Abigaïl « Merci d’être venu nous rechercher, ça va aller toi, tu peux encore tenir un petit peu ? » Comme elle était toute petite, grande par le courage bien entendu mais toute petite en taille, la fumée ne devait pas l’aider. Doryan attrapa la corde qu’il avait mâchouillé précédemment et la lâcha devant les pieds de Penny, lui expliquant le plan elle doit entendre wouf wouf c’est pas mieux que rourou Elle se baissa pour l’attraper, avant de l’attacher au collier de Doryan qui s’était déjà mis en position, rassemblant toutes ses forces pour courir, le regard fixé sur son objectif. « Abigaïl, grimpe sur mon dos et accroche toi fort, sans le découper avec ton bec. » Non parce qu’ils auraient l’air ridicules si le collier lâchait et que Penny tombait. A la seconde où Penny prononça le fameux Vroum vroum Doryan s’élança à travers les flammes, enfin plutôt la fumée parce qu’il savait très bien que le feu ça brûle, pas si fou que ça l’animal. Une fois arrivée à destination par contre, il n’en pouvait plus, il s’écroula au sol, épuisé, l’énergie venant à manquer. Il se blottit contre Penny qui ne semblait pas vraiment dans un meilleur état que lui, observant la minuscule ouverture et l’absence de Hunter, surtout l’absence d’Hunter « Abigaïl, où est Hunter ? » L’inquiétude le gagna ? Où était le hamster ? Ils ne pouvaient pas le laisser en proie aux flammes, est ce qu’il devait se relever pour aller le chercher. Il faut croire que pour un ami, il n’avait pas encore brûlé toutes les calories possible, il se releva une nouvelle fois, se préparant à partir en direction de là où Abigaïl lui dirait avoir vu Hunter pour la dernière fois.
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| Lun 8 Aoû - 16:25 UN PIAF UN CHIEN ET UN RONGEUR. «Le superwouah » Le super chien a toujours été trop occupé à sauver le monde pour avoir l’occasion de regarder la boîte magique. «Il faudra remédier à ça quand tu auras retrouvé Penny !»Vous vous attardez sur les nombreuses photographies, format géant, représentant Doryan. Ce dernier en déduit que vous êtes bien dans le repère de l’homme à l'œil vert et que ces images sont là pour pas qu’il puisse passer incognito. «Il ne reculera donc devant rien…»Qu’allez-vous devenir si Doryan perd définitivement son pouvoir ? Abi encaisse l’information bien moins bien que vous ; elle porte ses ailes à son visage tout en tournant en rond avec un air affolé. Mais vous n’avez pas le temps de trouver une solution car, rapidement, la voix d’enfant de Penny implore Doryan de lui venir en aide. Vous suivez la direction de l’appel en détresse et vous pouvez vous rendre compte que le bâtiment est en proie aux flammes. Avec l’aide de la résistance de votre boule, vous parvenez à garder le passage ouvert pour permettre à Droyan de passer tandis que votre amie pigeonne ralentit la propagation des flammes en tentant de les étouffer avec un surplus d’air (non). Vous étiez prêt à vous sacrifier, les yeux fermés prêt à accepter votre destin, mais lorsque vous les rouvrez, votre boule fissurée se trouve dans les serres d’Abi et vous êtes tous deux dans la pièce en proie aux flammes. «Abi ! Tu m’as sauvé la vie ! Grâce à toi je vais pouvoir vivre deux minutes de plus !»Vous n’avez pas plus de temps à accorder pour vous attarder en reconnaissance et en effusion de larmes. Penny est toujours en danger, et le super chien est probablement en difficulté s’il a réellement perdu une partie de ses pouvoirs. Il vous faut aussi trouver une solution pour sortir indemnes tous les quatre. Votre amie à ailes semble avoir trouvé une solution ; il y a une conduite d’aération qui conduit probablement à l’extérieur, vous permettant d’aller quérir de l’aide. Avant même que vous ne puissiez partager vos probables difficultés pour atteindre l’aération, votre amie court puis s’envole à tire d’ailes pour prévenir Doryan. «Attends, Abi attends !» Vous marmonner à voix basse. «Comment j’fais pour y aller moi, je peux pas voler. Y’a des flammes de partout !» Vous regardez autour de vous et repérez des immenses rideaux de tissu qui n’ont pas encore été dévorés par les flammes. «Ou… Peut-être que je peux ?»Vous abandonnez votre boule et vous dirigez vers les rideaux. Avec l’aide de vos dents acérées, vous déchirez un morceau de tissu un peu plus grand que vous. Vous escaladez ensuite au rideau, traînant votre morceau de tissu, pour prendre de l’altitude. Vous vous jetez finalement dans le vide en déployant en grand votre toile. FANTASTIQUE ! ALLONS-Y ! GERONIMOOOO ! »(Votre poids vous entraîne droit vers le sol en flammes, vous sentez l’odeur de vos poils brûler et vous pouvez ressentir la douleur du feu. Vous imaginez déjà Abi dire “Ohoh, le barbecue n'est pas fini, oune va manger de la boune viande ! Ohoh.” ) Vous avez vu un reportage dans la boîte magique. L’air chaud va vers le haut et cherche toujours à s’échapper. Vous avez donc l’occasion de tester cette théorie. Lorsque vous sautez, l’air remplit votre morceau de tissu et vous vous élevez dans les airs. L’air chaud cherchant à s’enfuir vers l’extérieur, il vous fait redescendre pour vous emmener droit vers la conduite d’aération. «Ça marche ! Ça maaaarche !»Vous jetez un dernier regard vers Doryan, Abi et Penny. «Je vous sauverai ! Je le promets.»L’aération vous conduit finalement jusqu’à l’extérieur, tout comme votre amie l’avait prédit. Dehors, c’est l’agitation. Des hommes en jaunes interrogent les gens pour s’assurer qu’il n’y a plus personne à l’intérieur mais, vraisemblablement, personne ne semble au courant qu’il reste encore Doryan, Abi et Penny à l’intérieur du bâtiment en flammes. Vous faites craquer vos minuscules petits doigts de rongeur. «C’est parti mon kiki ! Allons chercher de l’aide !»Vous vous agitez dans tous les sens, couinant à qui veut bien l’entendre que Penny Doryan et Avi sont en danger et qu’ils ont besoin d’aide. Mais personne ne vous écoute. «Aux grands maux, les grands remèdes.»Vous sautez au visage d’une personne en jaune en hurlant. «ILS SONT ENCORE À L'INTÉRIEUR ! IL FAUT LES SAUVER ! IL FAUT LES SAUVER ! »Les gens autour de vous se mettent à hurler, vous comprenez qu’ils ont enfin compris. Vous regagnez le sol et une horde de personnes en jaune vous poursuit en hurlant. Vous les conduisez jusqu’au conduit duquel s’échappe un puissant aboiement. Tout le monde s’arrête et vous vous extasiez. «Le super wouah ! » Game of Blood Ϟ Tous droits réservés | | | Contenu sponsorisé INRP IRL | | |
Un piaf, un chien, et un rongeur Ft Doryan & Abigail |
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