Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes, alors pensez à les privilégier pour vos personnages
Je te rassure, ne pas avoir compris un bout de contexte et être un boulet ce n'est pas tout à fait la même chose Et tant mieux si ont voit les choses de la même façon finalement ^^ j'ai hâte de voir tous tes petits changement du coup
Et t'étouffe pas, ce serait quand même dommage
Invité
INRP
IRL
Sam 26 Jan - 21:27
Voilà, du coup, j'ai fais des modifications assez importantes, j'espère que c'est plus cohérent avec le contexte, maintenant
Je te mets ce que j'ai modifié à la suite, tu peux retrouver ça dans ma fiche, mais comme ça tu as directement tous les changements effectués dans ce post !
Dans la partie allégeance, j'ai modifié tout mon paragraphe pour que ce soit plus cohérent :
Judith Lowell a écrit:
Quelle est votre allégeance ? Développer quel camp votre personnage a choisi de rejoindre : Que pense-t-il de cette bataille en sous-main ? A-t-il un avis sur les moldus, les sorciers ? Que pensez-vous de la pureté du sang ? Êtes-vous investi, impliqué ? J'ai découvert l'existence de la magie il y a seulement dix jours. Dix jours. Et juste parce que ma copine est une sorcière et qu'elle s'est enfin décidée à me révéler ce "léger" détail. Comment je pourrais avoir un quelconque avis sur quoi que ce soit, au vu de tout ça ? J'apprends déjà à accepter le fait que les sorciers, ça n'existe pas que dans les livres ou dans les jeux. Mais, dans le fond, vous savez, je sais que je resterais toujours neutre. Les conflits, ça ne m'intéresse pas et je respecte trop l'autre dans ce qu'il est pour pointer des doigts ses différences. Les sorciers, la magie, tout ça... En réalité, ça me laisse un peu indifférente, maintenant que le premier choc est passé. Les sorciers sont comme tout le monde, après tout. Alors pourquoi Diable est-ce que j'aurais envie d'agir particulièrement contre eux... ou même d'agir particulièrement pour eux, d'ailleurs ? Moi, tout ce que je demande, c'est qu'on me laisse vivre ma vie. Et qu'on me laisse vivre ma relation. Rien de plus, rien de moins.
La pensine, du coup, qui a totalement changé :
Judith Lowell a écrit:
Dix jours plus tôt.
Je la regarde, elle, qui squatte mon canapé pour la troisième fois cette semaine. Jezebel. Un petit bout de femme qui s'est incrustée dans ma vie sans que je m'en rende vraiment compte. Ou plutôt, si, je m'en suis rendue compte. Mais je n'ai rien pu faire pour l'en empêcher. Et voilà un peu plus d'un an, maintenant, qu'elle squatte ma vie comme si cette dernière lui appartenait. Honnêtement, je n'ai pas envie que ça change. Je n'ai pas envie que Jezebel sorte de ma vie, même si notre relation me fait régulièrement avoir des crises de panique. Ma première histoire sérieuse, à 28 piges. Moi qui pensait que c'était seulement réservé aux autres. Moi qui pensait que jamais je ne réussirais à tenir aussi longtemps dans une relation. Mais en réalité, c'est elle qui ne veut pas lâcher. C'est elle qui rappelle, toujours. C'est elle qui ne me fait pas de crise quand elle me croise avec un ou une autre. Et je crois que je l'aime pour ça. Je crois que je l'aime, parce qu'elle accepte qui je suis. On est un couple, je le sais. J'ai encore du mal à l'admettre publiquement, et ça m'arrange bien qu'elle n'ait pas encore voulu me présenter à sa famille. Moi, je n'ai pas encore envie de la présenter à la mienne. « Tu voudrais rencontrer mes parents ? » qu'elle me demande. Et j'ai l'impression que mon monde vient de s'écrouler. J'arrive même pas à tourner la tête vers elle, le regard fixé sur le putain d'écran de télévision. Eh merde. Je peux peut-être faire comme si je n'avais pas entendu, après tout. Alors je me penche vers la table basse pour attraper ma bière.
« Judith, je sais que t'as entendu. » Un petit rire nerveux m'échappe, et je tourne enfin la tête vers Jezebel. Peut-être que ce serait plus facile de la virer de mon existence si elle n'était pas aussi jolie. « Un jour, ouais. Peut-être. » C'est probablement la réponse la moins convaincante du monde. Bravo Judith, toi qui prône l'honnêteté et la transparence, je t'applaudis avec les coudes. Elle soupire, ma petite-amie. Et je le connais, ce soupire, c'est celui qui annonce une conversation. Je ne l'aime pas, ce soupire. C'est même probablement la seule chose que je n'aime pas chez Jezebel. « On est ensemble depuis... » qu'elle commence, et je la coupe. Peut-être un peu brutalement : « Depuis très exactement 13 mois et 14 jours, je sais. Et je le sais, parce que c'est la première fois que je reste aussi longtemps avec quelqu'un, et que ça m'angoisse, Jez. » Elle détourne le regard, et je me sens coupable. C'est à mon tour de soupirer, d'ailleurs, avant de poser ma bière pour venir poser un doigt sous son menton et lui faire tourner la tête vers moi. « C'est important que je les rencontre, tes parents ? Ils vont pas criser parce que je suis trop... je sais pas, féminine, déjà ? » Elle n'arrive pas à retenir son sourire, et elle secoue la tête. « T'es pas féminine. » Et bam. Sur mon propre visage, un sourire commence à se dessiner. « Okay, non, t'as raison, je suis pas féminine. Mais je suis une femme. » Elle déglutit, et je la vois baisser le regard. Putain, qu'est-ce que j'ai dit, encore ? « C'est pas à cause de ça qu'ils risquent de criser... mais je t'aime et... Et oui, c'est important pour moi que tu les rencontres. » Mon petit palpitant s'affole, et je suis pas loin de perdre pied. Et ce n'est pas de la joie, croyez-moi. Mais je n'aime pas la voir triste, ou anxieuse. Je le supporte pas. Je ne sais pas si elle en a conscience, ou si elle en joue. Je ne pense pas.
« Okay. » Et ça m'arrache le gosier, ce simple petit mot. Je m'attends à ce qu'elle saute de joie, à ce qu'elle m'embrasse ou je ne sais pas trop quoi. Je m'attends à une réaction, en tout cas. Au lieu de ça, elle paraît encore plus anxieuse. « Eh, j'ai dit okay, Jez. » Là, elle commence à m'inquiéter. Et quand elle se relève, je suis complètement sidérée. C'était quoi, au juste ? Un test ? C'est la fin, ça y est ? Elle va me dire que c'est fini, prendre ses affaires, et partir ? Mais elle a mis sa brosse à dents dans ma salle de bain – sans me demander mon avis – ça doit bien vouloir dire quelque chose, non ? « Il faut... J'ai un truc à te dire. » Nerveusement, j'allume une cigarette. Putain, qu'est-ce que j'ai encore fait de mal ? « Tu... Je ne sais pas comment te dire ça. » Ma mâchoire se crispe un peu. Et ça y est, je ne la regarde plus, replantant mon regard sur la télévision. Je me rappelle encore de sa tronche, la première fois qu'elle a vu ma vieille télévision cathodique. Je me suis dit qu'elle devait penser que ça n'existait plus. Mais je l'aime bien, ce vieux truc, moi... Comme si j'avais pu me douter que si elle avait été étonnée, c'était surtout parce qu'elle ne connaissait pas l'existence des télévisions... « Dis-le juste. Tu te gênes pas trop, d'habitude. » Je voulais pas être aussi sèche avec Jezebel. Mais je flippe. Je l'entends déglutir. « Je suis une sorcière. » qu'elle lâche, comme ça, sans préambule. Et ma première réaction, c'est d'éteindre la télévision pour me lever, et me planter devant elle. « Et moi, je suis la Reine d'Angleterre. Bordel, Jez, dis-moi ce que t'as à me dire. Je me suis trop investie pour... Je mérite pas ça, si tu veux te barrer, fais-le. Mais aies juste la décence de me le dire. » Y'a comme un moment de flottement. Jusqu'à ce qu'elle sorte un bout de bois de son sac. Je lève les yeux au ciel, et je m'éloigne d'elle parce que je ne suis pas violente mais que ce tourbillon d'émotions pourrait vite me faire vriller. « T'es défoncée, ou un truc dans le g... »
Ma phrase s'écrase entre mes lèvres, alors que je l'entends prononcer « Accio Télécommande » et que, quelques secondes plus tard, la télécommande lui arrive dans les mains. Bordel. Je recule si brutalement que je manque de tomber. Bor-del. Je dois avoir l'air bien conne, avec les yeux écarquillés. « Co-comment t'as fait ça ? » Elle range son truc, là. Elle est au bord des larmes, mais très honnêtement, je suis un peu trop occupée à être au bord de la crise de nerfs pour m'en soucier réellement. « Je te l'ai dis, je suis une sorcière. Et si tu rencontres mes parents, il fallait que je te le dise. Non, en fait, c'était même peut-être juste l'excuse parfaite pour pouvoir te le dire et... » Je secoue la tête. Sa voix est insupportable, j'ai l'impression d'être face à une inconnue. « Sors de chez moi. » que je lui balance. Je les vois, les larmes, sur son visage. Mais honnêtement ? Je m'en tape. Actuellement, je m'en tape. Et elle prend ses affaires, avant de sortir. Et moi, j'ai l'esprit qui carbure. Je ne suis pas sûre de vouloir croire ce que je viens de voir et d'entendre. Ce n'était que des rumeurs, n'est-ce pas, ces trucs de sorcellerie, non ? Ou alors... Bordel. Ce soir-là, en tout cas, je sors. Je sors pour oublier, ou peut-être pour y penser, pour trier les informations. Pour savoir ce que je veux faire. Je bois. Je rencontre quelqu'un dont j'oublie le prénom, parce qu'il n'y a que celui de Jezebel qui me trotte dans la tête. Je fais ça plusieurs soirs d'affilé. Avant de me trouver pathétiquement conne. Je sais bien que Jezebel n'est pas une menteuse. Et moi, je me trouve stupide d'avoir réagit comme ça au lieu d'essayer de comprendre.
Il se passe bien une semaine avant que je la croise à nouveau. Elle va mal, je le vois. Moi, ça va un peu mieux. Mon esprit a fait le tri. Au final, qu'est-ce que ça change, tout ça ? Ce qui m'a mis le plus en colère, peut-être, c'est qu'elle ait attendu aussi longtemps pour m'avouer un secret aussi important. Alors, je m'approche d'elle. Elle est assise dans un café, celui où j'ai l'habitude d'aller pour soigner mes gueules de bois. Elle connaît probablement trop bien mes habitudes. « Je peux ? » que je demande, en montrant la chaise vide en face d'elle. Elle déglutit, mais elle acquiesce. « Je veux bien rencontrer tes parents. Mais va falloir qu'on discute, toi et moi. Je m'excuse. Pour ma réaction. Mais t'aurais dû me dire que t'étais une so... » brusquement, elle m'embrasse. Je capte pas tout de suite, je savoure juste ses lèvres sur les miennes, en me rendant stupidement compte que j'ai eu peur de ne plus jamais avoir le droit à ce contact. « Ça doit rester entre nous. J'avais même pas le droit de t'en parler. » qu'elle me dit. Et je la crois. Parce que c'est Jezebel.
Dans le caractère, pour harmoniser un peu le reste par rapport à sa relation maintenant plutôt sérieuse avec la sorcière dont je parle dans la pensine :
Judith Lowell a écrit:
Mes relations amoureuses, c'est un cafouillis de pleins de choses. Je tombe amoureuse environ trois fois par semaine, mais je ne suis pas capable de garder une relation plus d'un mois. Okay, je mens un peu sur ce coup, parce qu'il y a une exception qui confirme la règle, ma première relation sérieuse, Jezebel. Mais c'est parce que c'est elle qui s'accroche à moi, et que je suis trop amoureuse de cette fille actuellement pour réussir à la virer de ma vie. Et j'ai une certaine tendance à l'infidélité, parce que ça ne fait aucun sens pour moi de se bloquer dans une relation avec une seule personne, alors que biologiquement, on est sans cesse attirer par de nouvelles personnes.
Dans l'histoire, il s'agit de toute la dernière partie, donc de la fin :
Judith Lowell a écrit:
En 2018, il a commencé à se passer des choses étranges et souvent violentes. Des choses inexplicables, en réalité. Ce sont des rumeurs, des trucs qui se chuchotent dans les conversations, mais auxquels personne ne croit vraiment. Je trouvais ça drôle, au début, ces rumeurs de sorciers et de magie. En bossant sur des jeux vidéos, ça faisait même partie de mon propre imaginaire. Mais je n'ai pas cherché à creuser davantage. Je me disais que si la magie existait vraiment, ça se serait su, non ? Non. J'ai été un peu stupide, sur ce coup. Et puis, il y a eu Jezebel. Si le rapport avec la magie a l'air un peu brumeux pour le moment, c'est assez normal. Jezebel, c'est une fille que j'ai rencontré dans un bar, un soir. Une fille avec qui le courant est passé tout de suite. Une petite brune, au regard pétillant. Je ne pensais pas que ça irait bien loin, je visais l'histoire d'un soir, mais elle avait d'autres ambitions. Je ne comprends pas pourquoi elle s'est autant accrochée, mais elle s'est accrochée. Elle s'accroche toujours, en fait. En réalité, ça fait un an déjà, qu'elle ne lâche pas l'affaire. Et, dans le fond, ça m'arrange un peu, vous savez, qu'elle parte pas même quand j'essaie de la faire déguerpir. Même quand je la trompe, elle reste. Elle m'a dit, un jour, qu'elle s'en fichait un peu et je crois que cette révélation a totalement fini de me faire tomber amoureuse.
Jezebel a remis en question tout ce à quoi je croyais. Le fait que les rumeurs étaient certainement fausses, et tout le reste. Parce que cette fille, elle avait un secret. Un secret qu'elle avait peur de m'avouer, mais qu'elle a fini par me confier il y a dix jours, maintenant. Cette fille, c'est une sorcière. C'est compliqué de croire à un truc pareil, mais est-ce que ça change quoi que ce soit ? Après tout, sorcière ou non, Jezebel reste Jezebel, même si - disons-le - il m'a fallu quelques jours avant de me remettre de cette révélation. Mais au fond, moi, je reste l'idiote amoureuse de la sorcière, qui ne se rend pas compte de ce qui se joue en arrière-plan.
Invité
INRP
IRL
Sam 26 Jan - 22:14
Me revoilà et ben tu sais quoi ? Je préfère nettement cette version de ta pensine en plus je trouve qu'elle à encore plus de relief et qu'elle est encore plus "marquante" pour le coup tous les changements sont parfait, je ne te fais donc pas attendre plus longtemps pour ta validation je viendrais probablement t'embêter comme promis avec ma petite moldue
Bienvenue chez les...
Moldus
Félicitation à toi te voilà fraîchement validé !!!
Tu vas pouvoir parcourir le forum de fond en comble et pouvoir rp à gogo Nous te conseillons tout de même de passer ouvrir ta fiche de lien et aussi ton hiboux afin de recevoir ton courrier. N'oublie pas de remplir ton profil, si un lieu te manque où si tu souhaites obtenir ton logement, c'est par ici que ça se passe.N'hésite pas aussi à te détendre dans la partie flood et même à venir nous faire un petit coucou sur la chat box Si tu as une question ou même une suggestion tu peux venir dans ce sujet et n'oublie pas que nos boîtes à mp sont toujours ouvertes
Amuse-toi sur GoB !!!
Game of Blood Ϟ Tous droits réservés
Invité
INRP
IRL
Dim 27 Jan - 13:42
J'arrive trop en retard un peu mais ta petite a l'air vraiment chouette et je suis déçue de pas pouvoir trouver un lien (moi je suis un méchant les moldus j'en fais mon quatre heures )
Bienvenue à toi **!
Contenu sponsorisé
INRP
IRL
judith lowell - honestly, i don't care about everything