Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes, alors pensez à les privilégier pour vos personnages
Tu t'étires rapidement – sous le coup de la nervosité à l'idée qu'il ne vienne pas plus que de la fatigue, malgré l'heure tardive. Les douze coup de minuit ont sonné quelques cent-vingt minutes plus tôt mais tu n'en es pas plus dérangé que cela, d'une part parce que tu as l'habitude de résister au sommeil si nécessaire, de l'autre parce que tu es en vacances et que tu pourras de toute façon te reposer à un moment ou un autre si le besoin se fait ressentir. Ton regard balaie un bref instant le ciel nocturne – tu es étonnamment plus à l'aise en ce moment qu'à n'importe quel autre qui aurait eu lieu en plein jour et durant lequel tu n'aurais pas été en compagnie d'une créature magique. Tu es pourtant en pleine visibilité, positionné au centre de l'un des croisements du parc ; des allées s'étendent devant et derrière toi comme sur la droite et la gauche ce qui ferait de toi une proie facile pour n'importe quelle personne mal intentionnée qui serait à l'affût d'une victime et souhaiterait profiter de la nuit pour se faire. Tu n'es pas spécialement sur la défensive non plus d'ailleurs malgré l'heure tardive, la garde baissée, le regard plus concentré sur les étoiles qu'autour de toi, ta baguette rangée dans la poche avant de ton jean bien qu'elle ne serait de toute façon pas d'une grande utilité puisque tu n'es pas sensé utiliser la magie en dehors de Poudlard. Tu as malgré tout fait l'effort de revêtir des vêtements moldus pour te fondre dans la masse, les mêmes justement que tu portais lorsque tu as participé à l'attaque de l'université quelques mois en arrière et une semaine avant de rencontrer celui que tu vas revoir au cours de cette nuit. Tu clignes des des yeux, ressort ton smartphone de ta poche gauche pour relire vos derniers échanges.
Et presque instantanément, tu tournes le regard vers la droite, du côté du croisement d’où se font entendre des pas qui crissent dans la neige, encore présente pour peu de temps dans ce parc londonien. Tu souris faiblement – tes yeux s'habituent progressivement à l'obscurité, mais même sans cela rien qu'en constatant l'assurance et la tranquillité avec laquelle la silhouette avance vers toi, tu aurais pu savoir que c'est lui sans même l'apercevoir. Ton portable est de nouveau enfoncé dans la poche de ton jean qui ne contient pas ta baguette et ton regard s'éclaire légèrement quand tu le pose sur l'homme qui arrive désormais à ta hauteur – et même plus, puisqu'il te dépasse d'une bonne quarantaine de centimètres. Les battements de ton cœur intensifiés par la surprise et l’adrénaline font remonter l'information que tu ne pensais pas qu'il viendrait. Qu'importe, tu en es heureux et tu incline légèrement la tête pour le saluer. ❝ Bonsoir, Sir Kane. ❞ Tu balaies de nouveau les alentours, avec moins de nonchalance et de détachement cette fois, pour t'assurer que vous êtes bien seuls et que personne d'indiscret n'a pu suivre l'un de vous. ❝ Comment vous portez-vous depuis notre dernière rencontre ? ❞ Ton visage s'adoucit, calquant tes émotions sur ton timbre de voix qui n'a pas encore mué, et tu lui souris de nouveau sans trop oser en dire pour le moment malgré tout. Quelque part dans le crâne de ton futur interlocuteur, l'idée doit s'imposer que tu étais plus entreprenant et loquace par sms.
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Robin D. Kane
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Ven 5 Fév - 21:33
Entre chiens et loups
Nepentheo L. Slughorn & Robin D. Kane
Tel un lâche, j’étais caché derrière un arbre à l’observer. À bien y penser, je passais pour un véritable pédophile, le regard dardé sur un adolescent à deux heures du matin. Certes, personne d’autre n’était présent à Regent’s Park à cette heure de la nuit et heureusement. Ainsi, j’avais veillé à ce que notre rencontre se fasse la nuit. Je ne voulais ni ameuter la police ni attirer les oreilles d’un passant quelconque. Je n’avais pas voulu, non plus, que la rencontre se fasse point. Malheureusement, le jeune Sorcier avait été têtu. Je me souviens encore de sa volonté d’apprendre le maniement des armes à feu. S’il savait … Oh, s’il savait que j’étais un lâche avec les armes à feu. S’il savait que j’avais eu peur de tuer … Toutes ces années …
Non, une arme à feu n’était pas un jouet. Je devais l’en mettre en garde cet adolescent pour qu’il ne commette pas les mêmes erreurs. Mais, il était un Sorcier. Pourquoi voudrais-je aider un Sorcier ? Argh, me frustrais-je par devers moi. Depuis que je l’avais aidé à échapper à la torture, à la mort ma vie n’avait plus jamais été la même. Toutefois, avais-je réellement changé ?
- En réalité, je le savais depuis le début. Lui, il m’a seulement ouvert les yeux.
Marmonnais-je entre mes dents alors que je resserrais mon long manteau face à un coup de vent signe que le mois de mars ne s’achèverait pas de sitôt. La brise fraîche m’avait donc propulsé vers l’avant comme si elle m’avait donné le courage nécessaire pour affronter le jeune Sorcier innocent assit sur un banc. Et je n’étais qu’un couard, bon ! Lui, il avait quoi : 12 ans ? 12 ans et il sortait la nuit, en plein Londres et se rebellant probablement contre les 3 500 règles de ses parents. Sur ce, je pris une dernière grande inspiration et je m’avançais dans le chemin couvert de neige, mes pas n’étant vraiment pas silencieux. Certes, je ne les voulais pas silencieux pour autant. Si j’avais voulu être silencieux, je m’y serais pris autrement.
Alors, il me vit dardant ses yeux sur moi. Aussitôt, je compris qu’il n’était pas effrayé pas moi. En tout cas, ce n’était pas comme la dernière fois. Je vis même poindre un petit sourire à la commissure de ses lèvres. Sourire que je tentais de répétais bien maladroitement. Oui bon, cela ressemblait plus à une grimace tellement j’étais stressé. J’étais stressé pour quoi encore ? Pour moi ? Jamais de la vie. Au diable mon père qui me découvrirait ici et maintenant à discuter avec un jeune Sorcier. Non, c’était pour ce dernier que j’avais peur. Je fis encore quelques pas lorsqu’il prononçait mon nom ... Sir Kane. Je ne pus pas m’empêcher de laisser aller un petit rire alors que le visage de ma chère meilleure amie Oliva Baring apparut dans mon esprit. Je n’étais ni un Seigneur ni un Chevalier. De toute manière, je n’en avais même pas la prestance ni la grandeur ni le talent ni …
- Je ne suis pas un chevalier. Tu n’as pas besoin de m’appeler ainsi.
Lâchais-je plus sérieusement que je ne l’aurais voulu au départ. Entre les lèvres de ma meilleure amie, c’était une blague. Certes, entre les lèvres de ce jeune homme, j’avais plus l’impression d’être mis sur un piédestal que je ne méritais pas. Les mains dans les poches de mon manteau, le revers de ma main droite touchant indirectement l’acier de mon pistolet, je détournais le regard un instant préférant le sol neigeux au regard probablement scrutateur du jeune Sorcier.
Puis, comme si j’avais été un ami qui n’avait pas été vu depuis longtemps, le jeune homme me demandait comment j’allais. Planté comme un piquet, je devais avoir l’air de mon cousin à nos retrouvailles : oui, s’il me voyait, il se moquerait bien de moi.
- Bien, mais ce serait plutôt à moi de te demander cela. Comment vas-tu ?
Affirmais-je d’une voix presqu’aussi froide que la température de la nuit elle-même. Je ne voulais pas qu’il devienne mon ami justement. S’il devenait mon ami, comme il avait semblé le souhaité lors de nos échanges par téléphone, cela lui causerait des ennuis, de la souffrance même. Je ne voulais pas cela. Alors, j’enchaînais avec une mise en garde.
- Notre rencontre cette nuit est très dangereuse. On ne devrait pas être là, toi et moi, à discuter et à se voir même. Cela pourrait m’être très dangereux et surtout à toi. Je voudrais que tu comprennes que … Que nous ne pourrons plus nous parlez dans l'avenir. J’ai accepté de te parler ce soir dans le seul but de te dire cela.
Je ne tremblais pas ni n’avais peur en disant ces termes. Ils étaient durs, mais vrais. Notre rencontre, voir notre amitié même, était interdite.
Codage par Emi Burton
we all need heroes
Être un héros est une tâche difficile et trop souvent décriée dans l'arrogance. Pourtant, oh combien on a besoin de héros de nos jours. J'aimerais être un héros pour les citoyens britanniques. Je veux me faire le protecteur des gens.
anaphore
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Lun 10 Mai - 21:15
ROBIN & NEPENTHEO
05 AVRIL 2020
Assis en tailleur sur le banc, les coudes appuyés contre tes genoux et les poings contre tes joues, tu te redresse vivement pour sauter au sol et te remettre debout en voyant la silhouette de l'homme tant attendu sortir de derrière un des chênes du parc. Tes yeux s'écarquillent légèrement de surprise face à cette arrivée insolite – son apparition semble davantage être celle d'un pédophile, d'un dealer ou d'un kidnappeur qui a pris le temps d'observer sa proie avant de passer à l'acte que celle d'un homme mentalement sain mais quelque chose dans l'air fait que tu ne tends pas pour autant la main vers la baguette que ton conserves dans la doublure de ton trench-coat. La loi sorcière ne fait mention de l'utilisation en dehors du cadre scolaire que si sa vie est menacée et tu ne te sens pas en danger. Quelque chose, tu ne saurais dire quoi exactement, l'aura dégagé par le fils Kane ou la manière désinvolte avec laquelle il s'approche de toi, fait que tu ne te sens pas le moins du monde alerté par sa présence, quelque chose de serein et de positif se manifestant dans sa façon d'être ce soir… Tout comme lors de la journée ou tu as fait sa rencontre, d'ailleurs. Tu n'es pas plus effrayé par sa venue cette nuit que tu ne l'étais quelques mois en arrière, après une nuit entière à te faire agresser par les sbires de son père et alors que tu aurais eu toutes les raisons du monde d'être sur la défensive. Avec lui pourtant, les choses sont différentes – et si tu en crois l'attitude que tu as adoptée lors de votre rencontre, elles l'ont toujours été.
Tu reprends rapidement une expression neutre, chassant tes pensées et le léger sourire qui a animé ton visage pour observer la mine angoissée dont fait preuve ton interlocuteur. Le fait est qu'il ne doit pas forcément être à son aise cette nuit en particulier, lui qui a été élevé dans la haine des pouvoirs magiques et se retrouve à devoir faire face à un gamin sorcier un peu trop entreprenant. Tu ne sais plus comment te positionner sur le coup, en le voyant grimacer d'une manière stressée lorsqu'il tente de te rendre le sourire dont tu as fait preuve. Lequel d'entre vous deux, à cet instant précis, est le plus enfantin ? Il a soudainement l'air d'un gosse perdu, que ce soit dans ses pensées sur un sujet trop complexe à comprendre ou au beau milieu d'une foule dans laquelle il ne reconnaît plus ses parents. Il laisse échapper un léger rire dans la foulée, pourtant, mais tu comprend rapidement que cet expression joyeuse ne t'es pas adressée. Il s'amuse de quelque chose qui a traversé ses pensées, pas de la manière dont tu l'as salué – quoique les deux faits pourraient être liés. ❝ Considérez-le comme un fait d'armes et dites-vous que vous êtes un super héros. ❞ te contentes donc tu de répondre, en haussant les épaules et en fermant les yeux quelques secondes tout en souriant, avant de reprendre ton sérieux. ❝ Sinon, tout va bien de mon côté. Les cours ne sont pas trop compliqués et les révisions plutôt faciles. Et de votre côté, au boulot ? C'est bien de travailler dans la justice ? ❞ Tu fais l'impasse sur la vie privée et ses missions au blood circle, considérant qu'il n'a sans doute pas forcément en vie d'en parler. D'ailleurs, si tu en crois les paroles suivantes qu'il prononce, il n'a pas envie de parler de grand chose. Tu cligne plusieurs fois des yeux, penchant légèrement la tête sur le côté un bref instant en l'observant avant curiosité, te demandant si tu as réellement bien entendu les mots qui ont franchi la barrière de ses lèvres, avant de redresser la nuque et de croiser les bras contre ta poitrine. N'importe quelle autre personne le ferait pour manifester son désaccord, pour ta part c'est plutôt une manière de réfléchir et d'analyser. Il n'empêche que cela reste une action sérieuse dans tous les cas.
Tu fixes le jeune homme en arquant légèrement les sourcils, la bouche légèrement ouverte. Puis celle-ci se ferme un instant, tandis que tes sourcils se froncent, avant que tu ne décide subitement de tirer la langue dans sa direction. ❝ Menteur. ❞ Ton timbre de voix est neutre malgré ton attitude précédente, alternant entre colère et malice. Tu te détends, relâche tes bras le long de ton corps tout en réfléchissant à la meilleure façon d'agir en face de Robin. En face de n'importe quelle autre personne, tu aurais tourné les talons et tu serais parti dans la direction opposée sans plus attendre. En face de lui aussi, cependant, tu aurais pu le faire. Tu es quasiment sûr à présent qu'il se serait jetterais à sa ta poursuite et qu'il te retiendrait si tu manifestais la moindre envie de prendre la fuite, c'est justement la raison pour laquelle tu ne le fais pas. Tu n'as pas envie de te faire prier par lui et tu te contente de lui faire face avec le même mélange d'affront, d'innocence et d'intérêt dont tu faisais preuve en Octobre dernier. Ton regard désintéressé pour le moment balaie la terre du regard, sur laquelle tu t'amuse à faire de légers traits du bout de ta chaussure droite que tu fais aller de droite à gauche. ❝ Si… ❞ Je suis un membre du Blood Circle et tu me qualifies de gentil ? C’est… ❝ Si c'était pour ne pas se revoir, vous me l'auriez dit au téléphone. ❞ Un nouveau sourire prend place sur ton visage et tu relève légèrement la tête pour croiser son regard. ❝ Alors dites-le… La véritable raison de votre venue cette nuit. ❞ Tu le fixes avec un mélange de curiosité et d'affection qui peut sembler bien étrange. Mais au fond, pourquoi pas ? Pourquoi ne dirait-il pas sa raison de s'être déplacé puisque, tu es en certain, il connaît déjà la tienne ?
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Robin D. Kane
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Ven 4 Juin - 22:01
Entre chiens et loups
Nepentheo L. Slughorn & Robin D. Kane
J’aurais pu ne pas dire cela. J’aurais pu ne pas dire que je ne voulais plus le revoir. Après tout, au fond de moi, je savais bien ce que je désirais réellement. En fait, non … Je ne savais rien. J’étais si confus. Parfois, j’avais envie de laisser ma famille, le Blood Circle derrière moi tel une vieille paire de chaussettes trouée. D’autres fois, je me sentais bien à diriger mes troupes. Cette confiance et ce caractère que je montrais aux autres m’empêchaient de penser. Je me sentais fort et sans peur. J’étais parfait alors. Mais j’avais failli abdiquer lorsque l’adolescent me traitait tel un Super-héros.
J’avais failli sourire bêtement, mais sincèrement. Je ne le fis pas me le retenant à contrecoeur. Juste là, cet adolescent me rappelait Olivia. Juste là, il me ramenait à des familiarités qui pouvaient l’en faire l’un de mes amis … Amis ? Moi, un super-héros ? Je n’étais pas un héros. J’étais un chasseur de sorciers supposé être sans scrupule. J’étais supposé tuer tous les sorciers que je rencontrais sur ma route sans me poser de question. Lui y compris. J’avais mon pistolet à ma ceinture donc je pouvais le faire. L’arme était sertie d’un silencieux : personne n’entendrait le meurtre. Le lendemain matin, on retrouverait le cadavre de ce jeune homme. On se rendrait compte qu’il était un Sorcier et qu’une fois de plus, le Blood Circle protégeait le peuple. « Aller au diable père » tout en ayant ramené ma main dans la poche de mon manteau lâchant ma crosse de mon pistolet en dessous. Honteux, coupable …
Il ne faisait que raconter ses cours et la facilité qu’il avait avec ceux-ci me demandant, tout bonnement, comment cela allait de mon côté. Alors, je ne pouvais pas. Je ne pouvais pas tout gâcher pour lui. Je devais lui demander qu’on ne dût plus se revoir.
Menteur … Menteur … Menteur …
Je soupirais à ce mot si neutre, mais si vrai en réalité. Ce mot qui ne cessait de me vriller la tête. Les mains contre mes hanches, je hochais négativement de la tête face au caractère bornée de ce jeune sorcier tout comme à sa mimique me tirant la langue. Il ne voulait absolument, mais absolument rien comprendre : qu’il se mettait en danger s’il restait avec moi. Je soupirais à nouveau de plus en plus las face à ce petit génie. Ouais, si je ne voulais plus le revoir, je lui aurais dit au téléphone. Non ? Mais bien sûr. Je ne pus pas m’empêcher de sourire un peu commençant à me sentir plus à l’aise avec sa présence. Il me rappelait subitement Nathan. Oui, quand mon cousin portait encore ce nom collé à mes basques, me suivant partout : c’était le bon temps. Donc, je le taquinais comme je le faisais avec ce dernier.
- J’imagine que tu as d’excellentes notes à l’école toi, le petit géni levais-je des yeux au ciel. Bon d’accord … Je vais te le dire.
Las, machinal, mais tout autant amusé par ce jeune homme, je m’assoie sur le banc. Je m’y effondrais plutôt. Je n’avais pas pris soin de dégager la neige s’y étant accumulé et continuant de tomber mollement se moquant complètement de nous deux. Les jambes étendues devant moi, les poings contre le rebord du banc je remontais finalement les yeux sur le jeune sorcier. Je souris légèrement et haussant les épaules.
- Je ne sais pas … Je ne sais pas pourquoi je voulais réellement te rencontrer lâchais-je, mais m’arrêtant pour les prochaines secondes avant de reprendre. Mon esprit rationnel me dit que … Je voulais te protéger. Que d’entrer en contact avec moi est dangereux pour toi sans compter les problèmes que tu pourrais avoir avec ta famille.
À ces derniers termes, je le scrutais plus sévèrement du regard. Non mais, je n’arrivais pas à croire qu’il s’était déplacé à Londres à 2 : 00 heures du matin sale petit rebelle ! Mais m’amusait en même temps. Après tout, n’étais-je pas pareil à son âge préférant traîner et me vanter avec mes amis et les filles qu’à travailler ? Je soupirais une fois de plus en si peu de temps aux milles et unes punitions qu’il risquai, mais dans lesquelles je m’engouffrais moi-même.
- Je sais que tu es un sang-pur et donc, je sais aussi que tu risques gros pour traîner la nuit, seul, dans les rues de Londres. Je ne sais pas, mais les familles de sang-purs me font un peu penser à la mienne. Oui, je vous connais ne t’en déplaise jeune homme. Parfois, j’ai l’impression que mon père agit de la même manière qu’un chef de famille sorcier de Sang-pur. C’est étrange de se dire qu’on se bat l’un contre l’autre, mais qu’en réalité on est … Tout aussi horrible les uns que les autres.
Déblatérais-je et cela de plus en plus faiblement jusqu’au dernier mot sonnant comme un murmure. Je ne savais plus si je parlais au jeune sorcier. Je monologuais, plutôt, comme un idiot. Subitement, je me rendais compte ne plus rappeler de son nom. Je le luis demandais aussitôt commençant à me sentir plus à l’aise.
- Quel est ton nom encore, jeune homme ? Je crains de ne plus me le rappeler.
Codage par Emi Burton
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Être un héros est une tâche difficile et trop souvent décriée dans l'arrogance. Pourtant, oh combien on a besoin de héros de nos jours. J'aimerais être un héros pour les citoyens britanniques. Je veux me faire le protecteur des gens.
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