Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes, alors pensez à les privilégier pour vos personnages
Lumos Je rp en : Mon allégeance : moi, moi, et rien que moi
Dim 10 Jan - 14:38
Jamais la paix
Septima & Meredith
Les cinq grandes rangées de tables, chacune occupée par un étudiant penché sur un parchemin ne laisse aucune doute : la période des examens de fin d'année est belle et bien arrivée. Au milieu de tous ces étudiants stressés, seule une personne semble parfaitement sereine : celle qui surveille les yeux. Et ce n'est pas n'importe qui puisque la vice-rectrice de l'université à été appelée en renfort. Et elle n'a pas beaucoup d'effort à fournir, les élèves sont concentrés et tout se passe pour le mieux.
Enfin la fin de l'examen à sonné. Avec plus ou moins d'enthousiasme, les étudiants rangent leurs affaires pendant que leurs copies s'envolent jusqu'au bureau de la surveillante du jour. Rapidement, chacun quitte l'immense salle, soulagé de pouvoir mettre cette épreuve derrière eux. Mais au milieu de tout ça il y a toujours quelques retardataires.
Aujourd'hui ça semble être le cas de la jeune Septima. Mais, oh, ne serait-ce pas un craquement de tissus qu'on entend ? Oups, le contenu de son sac vient de se déverser au sol. Hum, serait-ce un ricanement strident digne de Peeves qui résonne dans l'air ou un effet d'imagination ? Sûrement un coup de l'imagination, pas de quoi s'inquiéter. Enfin, jusqu'à ce que la porte de la salle semble se refermer toute seule et émette un cliquetis reconnaissable entre tous, celui d'un verrou qui s'actionne.
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Octavia Nott
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Lumos Je rp en : #3366ff Mon allégeance : Neutre
Dim 10 Jan - 16:36
Jamais la paix ! Mery & Septy
Eprouvant. En songeant que ses camarades les plus sérieux se rongent les ongles, désireux de réussir, elle, Septima Ombrage, sabote volontairement ses examens pour avoir la paix. Mais de quelle paix parle-t-on ? Plus le temps passe, et plus son petit jeu devient un fardeau. Elle repense à son entrevue avec la Professeur Mcfusty. La passion de cette femme, son cœur à l’ouvrage, sa dévotion…
Septima soupire. Trop bruyamment apparemment, car une camarade, assise à quelques rangées de là, stressant à en avoir des perles de sueur sur le front, sursaute à en faire vibrer tout le banc. Septima détourne son regard de l’élève, désolée bien que son rang de Serpentard lui interdise de s’excuser. Elle replonge son attention sur sa fiche. Répondre ou ne pas répondre ? Telle est là véritable question. Elle ne répondra qu’à moitié, laissant le coup du sort s’occuper du reste.
Quelques minutes plus tard, la fin des examens sonne. Des élèves à bout de nerfs se mettent à pleurer en ramassant leurs affaires. Septima se sent honteuse. Elle enfouie négligemment ses plumes dans son sac, et se lève, prête à quitter la salle, désireuse de s’éloigner au plus vite de la honte qui l’habitait.
Assise à la table des professeurs, Mérédith Carrow récupère les copies d’un coup de baguette. Les feuilles s’entassent en une pile bien ordonnée. A peine Septima avance-t-elle d’un pas qu’un bruit déchirant de tissu se fait entendre. Les quelques retardataires se tournent en direction du bruit. Tous les regards curieux s’interrogent, braqués à l’unisson sur Septima Ombrage, son sac troué, ses affaires étalées parterre. Nouveau soupire, exaspéré cette fois. C’est bien la totalité du contenu de son sac qui s’est renversé sur le sol. Pliant les genoux pour ramasser ses affaires, les portes de la grande salle claquent, provoquant un boucan qui résonne jusqu’au plus haut de son plafond magique. Septima s’immobilise. Non pas pour le cliquetis des verrous. Plutôt par sa découverte, posée là, au beau milieu de ses affaires, à la vue de tout le monde. Tout le monde qui la regarde, successivement, elle, puis l’objet.
L’instant d’une seconde, Septima ressent une once de peur. L’objet ne lui appartient pas. Que peut-il faire là ? Qui l’a mis dans son sac ? La seconde suivante, ses sourcils bruns se froncent, durcissement son regard amandé peint de bleu. Quelle était cette mascarade ? Un rappel-tout. Un rappel-tout ? Comme si elle avait besoin qu’on lui rappelle quelque chose ! Sa mémoire eidétique lui bourre assez le crâne comme ça. Nonobstant, l’état de ce rappel-tout est suspect. Par endroit le verre est rayé. On eut dit que quelqu’un avait cherché à l’ensorceler.
Sans réfléchir (pourquoi le ferait-elle ? Ce n’est qu’un rappel-tout), elle saisi l’objet. Septima se relève, inspectant la boule de verre. Une fumée verte apparaît. Elle grossit. Cette fumée bouge pour former une inscription. Les yeux de Septima s’ouvrent rond comme des billes. A ses côtés, un élève lit à voix haute pour ceux qui ne verraient pas : « Fierté ». Des ricanements accompagnent des murmures, ponctués par un claquement de langue sonore : Peeves.