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Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes,
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Deception, disgrace ... Ah vous ! Fermez-là ! [Nepentheo] :: Three Broomsticks :: Pensine :: Les RPs
Apollon Lestrange
Apollon Lestrange
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Deception, disgrace ... Ah vous ! Fermez-là !
Nepentheo L. Slughorn & Phoebus Malefoy
19 h : 00, le 14 avril 2020 jour de mon anniversaire. J’eus un amer sourire sarcastique à cette constatation. Je me demandais si cela n’avait pas été le parfait cadeau de William Ombrage. Toutes ces années, il avait voulu m’éloigner du triumvirat mangemort : il venait de réussir. À mon anniversaire en plus ! Subitement, magiquement une fléchette vint terrasser le portrait représentant Ombrage sur le mur et elle n’était pas seule. Il n'avait pas été le pire homme ce matin, certes ... Tant de dards et je n’arrivais pas encore à éliminer son sourire suffisant d’impur. Je dus me faire violence pour détourner le regard, une fois de plus en ces nombreuses heures. De derrière, j’entendais deux paires de pas puis, une voix. C’était Heaven, mon épouse. Je n’avais pas la force de me tourner, mais seulement de darder mon regard de côté vers elle.

-  Ciáran, monte et montre-toi respectueux envers notre invité. Ton père ne semble pas vouloir le faire.

Je ressentais le sarcasme dans sa voix. Elle voulait me faire sortir des mes gonds, mais je ne mordrais pas à l’hameçon. Puis, j’étais trop las pour ce faire. J’étais trop saoul aussi. La bouteille dans ma main droite, presque vide, vint humecter une énième fois mes lèvres. Quelques secondes après, elle était vide de son contenu. Elle était lourde dans ma main maintenant que je la laissais aller contre le tissu du canapé dans lequel je me trouvais assis. Une autre bouteille traînait à mes pieds alors que plusieurs heures s’étaient déjà écoulés depuis le moment fatidique. J’avais agi avec fierté les dardant tous de mon regard empli de colère, mais surtout de vengeance. Une personne avait pu contempler plus longtemps mon regard incapable de me départir du sien.

Toujours aussi immobile, j’entendis un froissement de vêtements s’éloigner du salon. Mon fils était déjà monté allant sûrement rejoindre mon cousin Nepentheo comme l’avait demandé Heaven. Ce dernier passait les vacances de Pâques en notre compagnie. Normalement, je lui aurais appris des sortilèges de magie noire … Je n’en avais pas envie.

À ce moment précis, je n’avais envie que d’une chose et celle-ci se trouvait près du portrait de William Ombrage. Tout autant criblé de dards, c’était aussi un portrait. Il montrait une femme à la chevelure blonde et à la peau aussi pure que les neiges éternelles de l’Himalaya. Mon poing se crispa à l’observer et, d’un coup de ma baguette magique, un autre dard alla le terrasser. Meredith Carrow. Elle me causait une douleur étrange que je voulais transformer en colère. Dur, dur de m’y résoudre malgré toute la détermination de ma raison.

- My Lady murmurais-je sur une voix rauque, car celle fut inutilisée ces dernières heures. Je suis déçu que vous ayez choisi cet impur à ma place …

Je ne lâchais pas le portrait des yeux en oubliant, pour le moment, totalement mon successeur au Triumvirat. Il ne valait pas la peine que je m’y attarde : cet impulsif. Il ne méritait pas d’être triumvir. Il le savait que trop bien. On lui avait fait une fleur pour me mettre en colère. Je le savais. J’en étais sûr. Il n’y avait même pas de portrait le représentant sur le mur. Mais elle, elle y était. La seconde suivante, je levais lentement mon bras droit serti de ma baguette magique et l’image pris feu. Elle se consumait en vitesse, mon visage s’éclairant d’un sourire torve au fur et à mesure de l’apparition de cendres et la disparition du beau visage me fixant. Enfin, l’image touchait le tapis le brûlant pour y laisser une tache noire. Un autre sourire, cette fois sardonique, me trancha le bas du visage.

Malgré tout, je n’avais nulle envie de bouger cette étrange douleur me terrassant encore le cœur. Remarquant un mouvement à mes pieds, je vis l’Elfe de maison à mon service venir ramasser les deux bouteilles de whisky pur-feu vides. La deuxième avait glissé au sol après que j’aie incendié la photographie. Colérique et n’amenant pas à rire j’aboyais quelques ordres.

- Laisse-les là et amène-moi une autre bouteille !!!

Ma voix résonnait dans tout le salon alors que l’Elfe de maison, dont je ne me rappelais jamais le nom, partie à la course laissant sa charge derrière.

Codage par Emi Burton



Silence
… À pas feutrés … Je te vois … Je te trouve … Je te détruis … Tu ne peux pas m’échapper toi qui a tes tords. Oh ! Ne fais pas l’innocent, car je le sais. Je le vois … Au fond de toi, tu le sais aussi, non ? Oui. Tu seras ma vengeance.  
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Anonymous
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Dim 28 Fév - 2:00
PHEOBUS
&
NEPENTHEO
14 AVRIL 2020
Une des choses sympathiques concernant Phoebus est que l'on n'a pas à trop se creuser la cervelle en ce qui concerne les présents, qu'ils soient offerts à son anniversaire, à noël ou à n'importe quelle autre occasion. Il ne jure que par la boisson et rien ne lui fait plus plaisir – d'ailleurs, l'idée est connue comme le loup blanc que rien d'autre ne lui ferait plaisir – que quelques grands crus en guise de cadeaux. Trois bouteilles récupérées durant les congés de Décembre ont soigneusement patienté jusqu'à présent dans la cave du château de tes parents et vont enfin gagner le domaine de ton oncle – pour un bref laps de temps cependant vu la descente dont il est capable de faire preuve, quoique tu ne puisse t'empêcher de vaguement espérer qu'il fera honneur à ces spiritueux sachant que chacun d'eux à coûté quatre-cent vingt galions. Ton visage s'éclairant d'un bref sourire ironique en songeant que ce ne sera sans doute pas le cas mais que peu t'importe au final puisqu'il s'agit de son cadeau et qu'il pourra en profiter comme bon lui semble, tu remonte rapidement l'allée qui mène aux portes du Manoir Malfoy après avoir soigneusement refermé la grille derrière toi. Tu tiens avec précaution le coffret en bois de pin de type plumier dans lequel tu as disposé les bouteilles avec le même soin que tu mets à le porter à bout de bras – le rendu final de l'emballage étant assez imposant –le temps de parvenir devant le heurtoir. Posant la boîte au sol, tu signale ton arrivée et attends patiemment la venue d'un des quelques Elfe de maison qui servent de domestique dans ces lieux et qui sont, d'ailleurs, la preuve par excellence de l'attachement de ton cousin envers l'alcool puisque les trois Elfes auxquels tu as le plus souvent eu affaire se nomment Caïpirinha, Blue Lagoon et Wapplesky. C'est le premier – ou la première ? il est réellement compliqué de distinguer le genre d'un Elfe – qui vient se charger d'ouvrir les portes et de te faire entrer dans le vestibule le temps d'aller prévenir ses maîtres de ton arrivée.

Le fait d'être accueilli par Heaven et Ciáran ne te déroute pas plus que cela – il y a longtemps que tu sais que le maître de maison ne se charge pas de venir souhaiter la bienvenue dans sa demeure aux invités, plus spécialement quand ils font partie de son entourage proche, tant il préfère la compagnie de la boisson à celle des êtres humains une fois de retour chez lui. Ne t'en formalisant pas, tu poses soigneusement le coffret de bois sur un guéridon du vestibule à la demande de l'épouse Malfoy et tu la suis dans le salon ainsi que ton petit-cousin qui, de part la proximité d'âge que vous partagez, est davantage un frère de cœur. Tu aperçois à peine Phoebus, juste le temps d'un bref signe de tête et d'un Bonsoir respectueux au vu de l'heure ; le reste de la conversation est engagé par Heaven qui charge son fils de s'occuper de toi puisque Phoebus ne semble pas en état de le faire. Tu fronces légèrement les sourcils, te redresse un bref instant sur la pointe des pieds pour tenter d'observer l'état dans lequel il se trouve et réfléchir à un moyen d'y remédier mais, n'osant pas aller contre la volonté de ta cousine par alliance, tu n'as guère le temps de t'attarder et tu tourne rapidement les talons pour suivre Ciáran jusqu'à l'étage ou sont situées sa chambre et la chambre d'amis que tu occupe pour les vacances – tu n'as quitté le Manoir qu'aujourd'hui afin d'aller chercher au Château le présent que tu réserves à ton oncle et dont tu ignores à présent le sort. L'idée te vient à l'esprit qu'au fond, peut-être qu'Heaven le fera disparaître, jugeant son mari dans un état d'ébriété quotidien suffisamment élevé sans rajouter ce présent par dessus le marché. Tu ne t'en préoccupe pas plus pour le moment, cherchant à étouffer le sentiment de remord et d'inquiétude à l'idée de ne pas pouvoir lui venir en aide pour le moment.

Sur une suggestion de ton camarade qui a l'envie soudaine de préparer un philtre, tu ouvres les fenêtres en grand pour évacuer les effluves à venir et allume la cheminée de sa chambre malgré l'avancée du printemps tandis qu'il parcours un ouvrage de potion pour en trouver un qui serait suffisamment rapide à préparer tout en restant intéressant de manière à vous challenger mutuellement. Travailler en binôme n'étant pas toujours déplaisant, tu approuves d'un bref signe de tête lorsque ton dévolu se jette sur la potion de mémoire. Sans même attendre qu'il te liste les ingrédients, tu les récite de tête. ❝ Mandragore réduite en compote, sauge réduite en poudre, quelques Galanthus Nivalis à infuser et des plumes de Jobarbille ? ❞ Il claque de la langue en guise d'approbation, fait un mouvement de tête en direction de la porte pour t'inviter à sortir. ❝ Les trois premiers, nous en possédons dans la serre, il n'y aura plus qu'à les préparer. Je vais y aller, tu peux te charger des plumes ? Père doit en avoir quelque part, probablement dans un tiroir du salon ou dans un passage secret qui en part, soit sous le tapis soit en enclenchant un livre. ❞ Tu hoches la tête, saisissant la demande réellement cachée sous ce prétexte et vous vous séparez rapidement après avoir descendu les escaliers, lui vers l'extérieur pour aller fouiller la serre de sa famille et toi en direction de la pièce ou cuve ton cousin. Prenant ton courage à deux mains, tu prend la résolution d'en finir – ou de commencer ? – rapidement et tu frappe deux coups à la porte. Reculant d'un ou deux pas le temps d'avoir une réponse positive ou négative à entrer, tu balaies la pièce dans laquelle tu te trouve du regard, observant vaguement les portraits de l'un ou l'autre des aïeuls de Phoebus Malfoy.
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Apollon Lestrange
Apollon Lestrange
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Lun 15 Mar - 2:47


Deception, disgrace ... Ah vous ! Fermez-là !
Nepentheo L. Slughorn & Phoebus Malefoy
J’espérais que cet Elfe de Maison allait revenir vite vers moi. Je n’avais pas la patience d’attendre : pas aujourd’hui. Je leurs avais donné des noms pour rendre leur présence plus amusante à mes yeux. Celui qui venait partir en trottinant sur ses petites pattes laides et maigrichonnes était Blue Lagoon. Towsen aurait pu me reprocher ce nom moldu, mais ma rétorque rappellerait le statut d’Elfe de Maison de Blue Lagoon. Un nom moldu était donc totalement permis pour lui tout comme pour les deux autres.

Et je pensais à Tobias Towsen. Encore et cela bien malgré la présence du Whisky Pur feu en moi. Ces pensées me venaient maintenant en morceaux, mais elles m’énervaient encore. Mes yeux ne purent pas s’empêcher de se poser vers le cercle noir brûlé près du mur. Je souris sardoniquement puis, je claquais ma langue de satisfaction. Cette femme m’offrait une douleur incommensurable et je voulais l’oublier. Je ne devais pas ressentir cette souffrance. Je savais être plus fort pour éviter de la ressentir. Étrangement, William Ombrage ne m’en causait pas autant. Je plissais les yeux observant longuement son portrait qui me dardait des siens.

- Je ne sais pas ce que tu mijotes, mais jamais je ne te respecterais !

Gueulais-je lâchement face à un tableau, ce dernier me frustrant subitement à un point tel que je pointais ma baguette magique dessus faisant éclater la vitre, le reste tombant contre le tapis. Je pris une grande inspiration sachant me sentir mieux. Mais il me fallait plus de Whisky Pur feu. Il m’en fallait plus, bien plus. J’allais me lever. Juste à pencher le torse, je ressentais la lourdeur de l’alcool au travers de mon crâne. Ma tête dodelinait et mes yeux n’arrivaient pas à fixer un quelconque point au-delà du canapé. Je pensais, alors, entendre un bruit contre à l’entrée de la pièce. Le son me venait tel un écho alors que je crus Blue Lagoon revenant avec une bouteille de Whisky Pur-feu. Mon regard se dirigeant vers l’entrée du salon, il trompa ma véritable envie. Ce n’était pas Blue Lagoon ni Wapplesky ni Caïpirinha même.

- Nepentheo … Soupirais-je profondément alors qu’une force, ma fierté sûrement, me hissa hors du canapé. Je crois que je t’avais promis un cours de magie noire durant les vacances de Pâques.

Ma voix était toujours aussi rauque et mon pas peu sûr. Je faillis trébucher à cet endroit sordide ou elle brûla. Elle. Ma mâchoire se tendit alors que mon regarda rencontra les fibres du tapis, maintenant noires. Je restais là plusieurs secondes avant de lâcher un soupir sarcastique et hisser ma tête vers le haut puis, vers mon cousin. Je lui offris un sourire en coin qui pourrait être vu comme chaleureux. J’étais las, mais Nepentheo ne devait pas le voir. J’aimais le Slughorn. Je savais qu’il irait loin dans la vie. Bien vite, dès la fin de ses études, je lui proposerais un emploi à Potion’s Brewing Master. Lui, au moins, méritait ma présence à l’inverse de Carrow, Towsen et … Je n’arrivais plus à penser correctement. Je trouvais trop difficile d’analyser la position de William Ombrage de ce matin. Puis, je refusais de penser à ce sang-impur. Alors, je parlais au sang-pur, plus jeune certes, mais pur et surtout compétent.

- Comme je sais que tu apprécies apprendre par la lecture, j’ai un livre très utile sur la magie noire. Il est à Ciáran, car c’est grimoire s’héritant de père en fils, mais je vais lui demander de te le prêter pour quelques semaines.

Sérieux dans mon ton de voix, je passais près du jeune homme sans poser un regard sur les portraits de ma famille qu’il semblait apprécier. Enfin, l’Elfe de Maison Wapplesky arrivait dans mes jambes. En réalité, il faillit me faire tomber le troll. Je dus brusquement me rattraper de la main droite par le chambranle de l’entrée. Wapplesky titubait et tremblotant tout effrayer me donnait ma bouteille de Whisky pur-feu.

- V … V … Vo … Votre Whisky … Maître …

Je m’emparais aussitôt de la bouteille faisant sauter le bouchon avec ma baguette magique et un sortilège de répulsion puis, j’en bus prestement. Plus la liqueur coulait le long de mon œsophage puis, je me sentais mieux, rafraichit. Je retournais, enfin, le regard sur Nepentheo.

- Où étais-tu aujourd’hui ? Je n’ais pas vu au manoir cet après-midi.

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Dim 9 Mai - 3:03
PHOEBUS
&
NEPENTHEO
14 AVRIL 2020
Un hurlement rageur résonne derrière la porte. Le regard neutre, le visage fermé, tu laisses ton regard dériver contre la poignée argentée que tu hésiterais presque à effleurer du bout des doigts si tu n'avais pas crée un accord tacite avec le fils de ton futur interlocuteur quelques instants auparavant. Tu saisis au vol l'idée que ton cousin ne respectera jamais une personne – tu ne sais pas encore laquelle –, suivi d'un bruit sec de verre brisé avec vivacité. Passant au delà de la fureur qui doit animer Phoebus au vu de ses paroles haineuses, tu actionne l'ouverture de l'épaisse porte de bois sans plus tard, conscient qu'il vaut mieux y aller le plus vite possible. Non pas que la lâcheté t'envahisse et que l'idée fasse son chemin que plus tu tarderas à entrer moins tu auras envie de le faire, tu ne te permettrais pas de faire demi tour dans tous les cas pour retourner profiter de la compagnie de Ciáran sans réaliser ce que tu lui as promis silencieusement ; tu préfère seulement profiter de ce qui semble être l'apogée de la haine ressentie par ton cousin pour entrer puisque justement, le moment ne pourrait pas être plus mal choisi et qu'il n'y a donc qu'une seule option possible, celle que Phoebus verra forcément sa rage redescendre au cours des prochaines minutes puisqu'il a atteint un pic émotionnel. Quelques instants auparavant, tu n'étais absolument pas sûr de toi et tu aurais facilement tourné les talons en cas de réponse négative face au deux légers coups donnés par tes soins contre l'ébène constituant la porte mais le vent a tourné et tu es désormais paisible, presque nonchalant ou lymphatique émotionnellement vis à vis à des instants à venir. Pas spécialement optimiste, plutôt réaliste et lucide compte tenu du fait que les choses ne peuvent que s'améliorer, tu pousses calmement mais rapidement la porte te séparant du salon et tu la referme presque aussitôt derrière toi avec autant de désinvolture.

Tu constates en observant le mangemort que tu as tapé en plein dans le mille. Son visage se fend d'un léger sourire dans ta direction et tu hoches la tête, étirant également les lèvres dans un mouvement affectueux et chaleureux qui remplacer l'expression neutre dont tu as fait preuve jusqu'à présent. ❝ Phoebus. ❞ Murmures-tu en réponse à ta propre salutation, inclinant vaguement la tête dans sa direction pour appuyer son prénom. Une nouvelle preuve du fait qu'il reprends progressivement le contrôle de lui-même se présente sous la forme de son corps s'extirpant du canapé pour venir à sa rencontre. ❝ Il n'y a aucun problème. Nous pouvons aisément le remettre à plus tard si l'heure ne le permets pas, il reste encore quelques jours avant le retour à Poudlard. ❞ Ton regard suit les mouvements du sien, rencontrant le tapis et une tâche noirâtre formée sur l'objet décoratif, expliquant le léger parfum de quelque chose de brûlé qui envahit la pièce et que tu as notifié dès que tu y es entré. Entre cela et les débris de verre gisant un peu plus loin sur le sol, tu vient rapidement à la conclusion que ton cousin paternel n'est pas en proie à une rage sourde vis à vis d'une seule et unique personne mais que sa fureur est dirigée vers plusieurs cibles. Reprenant une expression neutre, croisant les bras contre ta poitrine, tu balais de nouveau la pièce des yeux pour ne pas planter ton regard dans le sien – au vu de son attitude entendue à travers la porte, tu préfère éviter ce geste qui pourrait être perçu comme une provocation et remettre le feu aux poudres. ❝ Quel est le problème que vous rencontrez ? ❞ Tu ne te gêne pas pour l'interroger sans détour. Avec le temps tu as appris à aller droit au but en sa compagnie, son tempérament sanguin d'une part et la masse d'alcool qu'il ingurgite à longueur de temps de l'autre faisant qu'il n'apprécie guère les gens tournant autour du pot et qu'il n'a jamais de temps à perdre en futilités.

Tu inclines une fois de plus la tête en signe d'approbation et de remerciement quand il évoque le livre que Ciáran te prêtera à sa demande. Les objets se transmettant de père en fils sont nombreux dans la communauté des sang-pur ; du côté de ta lignée, il s'agit d'un sablier que seuls les vôtres savent matérialiser et dont le sable contenu s'écoule en fonction de la qualité de la conversation. Tu observes le tableau au verre brisé et la personne qu'il représente – il ne fait aucun doute qu'en face de l'homme en question, le sablier se viderait à la vitesse de la lumière tant une conversation partagée avec lui doit être vide à la fois de sens et d'intérêt. ❝  Je vous remercie pour le livre. Il me sera probablement très utile et je tâcherais d'en prendre soin ainsi que de le terminer rapidement pour que Ciáran le récupère au plus vite. ❞ Si la seconde partie de ta phrase est sincère, la première est une feinte due à ton rang et à ton interlocuteur. La magie noire n'étant pas la matière qui te fascine le plus, le livre ne te sera probablement pas d'une grande instruction et tu aurais préféré avoir entre les mains un ouvrage concernant n'importe quelle autre thématique du monde magique. Tu balaies donc rapidement la conversation sur les arts sombres pour le moment tout en te montrant respectueux et reconnaissant, préférant répondre à sa question pour le moment. ❝ Je me suis rendu à Londres avec le magicobus. J'avais besoin de fournitures scolaires qu'on ne trouve pas nécessairement à Pré-au-Lard pour préparer la rentrée. ❞  Tu ne parles pas de son anniversaire – l'évoquer reviendrait à avouer que tu dois lui offrir quelque chose et puisque tu ne sais pas ou est passé le coffre de bois dans lequel était entreposé le présent ramené du chemin de traverse, tu passes sous silence ce fait pour le moment. Tu espère seulement qu'Heaven ou les elfes s'en sont occupés et le ramèneront vite – un des Elfes en question d'ailleurs, a ramené entre temps un verre d'alcool mais probablement issu de la cave personnelle de ton cousin, pas de ton offrande.
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Apollon Lestrange
Apollon Lestrange
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Mer 26 Mai - 4:10


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Nepentheo L. Slughorn & Phoebus Malefoy
Mon jeune cousin restait toujours aussi stoïque et neutre que l’habitude le laissait entendre. Cela m’agaçait. J’avais l’impression de faire face à une statue sculptée de marbre : bien oui, il restait tout de même un Sang-Pur donc ce matériau était tout bien choisi. Je faillis quand même trébucher sur lui, mais heureusement grâce à mon agilité naturelle j’arrivais à l’éviter en optant pour un coup de hanche trop sexy et là, je souriais en coin. Oui, mes pensées étaient troubles. Non, je n’avais nullement envie de faire de la magie noire ce soir. Je me sentais fatigué … Et … Et j’étais bien content qu’il n’en veuille rien.

- Hmmm …

Blasé, je n’avais rien répondu à ses paroles calmes à outrance m’étant plutôt dirigé nonchalamment vers la porte. J’avais l’impression de boiter tellement je sentais ma tête tanguer. Un court soupir sortit alors d’entre mes lèvres exténuées au moment où Nepentheo demanda la nature du « problème ». Je ricanais par devers moi alors que Wapplesky approchait de ma position. Le problème …

- LE problème, ce sont les autres voyons ! lâchais-je avec véhémence avant de changer royalement de sujet partant sur le grimoire de magie noire familial. Parfait cousin. Seulement, ramène-le-lui avant la fin de l’année.

J’eus un sourire en coin faisant face à ce dernier plus ragaillardi qu’auparavant. Bah, en autant qu’il ne l’abîme pas. J’aimais discuter avec mon cousin. Lui, au moins, il me respectait. Lui, il voyait en moi un véritable pilier pour le groupe des Mangemorts. J’étais un Triumvir ! Non ! Non ! Il avait fallu que monsieur Tobias Towsen joue encore à la corde sensible. Non mais, il ne s’en était pas remis encore ? Puis, il devrait prendre ses responsabilités, car bien au contraire il ferait un bien piètre Triumvir. Après tout, pour gagner son dû contre l’adversité, il fallait savoir garder son calme, être patient. Lui ne possédait aucun de ces traits.

D’un geste rageur, j’avais agrippé la bouteille que me donnait par le col et retournais vers le canapé. Restant finalement planté sur place, je luttais entre le tournis que donnais mes yeux sur le paysage m’entourant et l’envie qui commençait à tenailler ma vessie. Merlin que j’hésitais entre me vautrer à nouveau dans le canapé ou filer vers la salle-de-bain … Non loin. Enfin, je crois.

En même temps, mon cousin me racontait sa journée hors les murs du manoir. Je crus comprendre son besoin de matériel. Parlant de lui, de Poudlard, des vacances … Pourquoi ne parlait-il pas de mon anniversaire ? Pff … Même Heaven avait oublié. Tout le monde oublia que c’était MA journée. MA journée. Ce n’était certainement pas celle de Tobias Towsen et encore moins de Carrow ou d’Ombrage !

Je ne pouvais, ainsi, plus retenir de cracher mes paroles, mon cœur se déchirant au fait qu’on … Se fichait de moi !

- Apparemment, tout le monde a oublié l’essentiel aujourd’hui ! MÊME toi ! Tss … Merlin, ce n’est pas ma faute si on ne veut pas prendre ses responsabilités, troll de Towsen, mais à me le faire RETOMBER dessus ! Ah, ça JAMAIS !

J’hurlais ma rage et cela me faisait un grand bien de vociférer fortement contre les trois autres Mangemorts. Je les détestais. J’haïssais Carrow aussi. Elle m’avait complètement manipulé … C’était Ombrage qui l’en avait forcé, j’en étais certain.

Subitement, j’ouvris grand des yeux pour me rendre compte me trouver devant Nepentheo et lui ayant crié dessus. Je savais pourtant et parfaitement qu’il valait mieux qu’eux. Je reprenais, peu à peu, mon souffle mes pieds toujours bien ancrés au sol, incapable de faire un pas. Non que je ne puisse pas le faire physiquement, mais ma volonté avait dégringolé d’un trait. C’était comme si cette douleur, cet affront alourdissait mes mouvements pour les givrer.

Je ne voyais guère Heaven arriver derrière Nepentheo celle-ci portant une longue boîte dans les bras. Levant la tête haute, je la toisais dans un sourire montrant ma force.

- Heaven … Je pensais que j’avais demandé à ne PAS être dérangé.

Appuyais-je sur un ton ferme bien que j’eusse envie de l’inverse. Oui, je ne me comprenais même pas moi-même sans compter mon cousin. Heaven, de sa démarche qu’elle savait oh combien me faisait perdre tous mes moyens, s’avançait vers moi sans aucune crainte. Je ne la lâchais pas des yeux.

- Je sais mon hippogriffe touchait-elle mon torse d’une main caressante. J’ai un cadeau pour toi en ce jour spécial et comme je pense que Nepentheo a semblé te calmer, le voici.

Elle souriait tout en gloussant mielleusement. Je n’étais pas naïf, mais je n’y pouvais rien. Sa main caressait mon visage et j’en frissonnais. Mon épouse posait élégamment la longue et mince boîte sur le canapé. La bouteille dans ma main droite, j’observais fasciner la boîte verni, en bois ciselée de dorures.

Codage par Emi Burton



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… À pas feutrés … Je te vois … Je te trouve … Je te détruis … Tu ne peux pas m’échapper toi qui a tes tords. Oh ! Ne fais pas l’innocent, car je le sais. Je le vois … Au fond de toi, tu le sais aussi, non ? Oui. Tu seras ma vengeance.  
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Sam 3 Juil - 3:03
PHOEBUS
&
NEPENTHEO
14 AVRIL 2020
En d'autres circonstances, les paroles de Phoebus auraient pu te faire sourire – sans qu'il n'en ai probablement la moindre idée étant donné la haine qu'il voue à cette communauté, ses paroles se rapprochent presque de celles d'un auteur moldu français, Sartre. Ne tenant pas à le lancer sur le sujet puisqu'il semble déjà suffisamment enragé, quoique tu ne te serais pas risqué à évoquer le monde non-magique même s'il avait été d'humeur fêtarde, tu te contente de hocher la tête pour manifester ton approbation. ❝ Je n'y manquerais pas. Je pourrais peut-être même le terminer avant la fin des vacances scolaires. ❞ Un étonnant sourire en coin se dessine sur son visage. N'étant pas habitué à le voir sourire, tu lui rend cette mimique du coin de tes propres lèvres, attendant la suite des événements. Il vient une fois de plus de prouver qu'il est capable de passer du coq à l'âne en terme d'émotions et tu t'attends donc à le voir éventuellement repartir dans un mouvement de rage dans les instants à venir, quoique tu préférerais évidemment le voir garder son calme.

Le pressentiment ne tarde malheureusement pas à se confirmer. À peine as-tu fini de répondre à sa question sur ton absence de ce jour qu'il s'attise de nouveau dans toute sa fureur, au point de, si tu comprend bien ses paroles et le sens qui en ressort, te confondre avec le fils Towsen qu'il qualifie de troll au passage. ❝ Quelles responsabilités ? Que s'est-il passé exactement ?… ❞ Tu es loin d'être certain qu'il te répondra vu le violent état de nerf dans lequel son monologue précédent semble le mettre mais au moins tu auras essayé. Peut-être que tu auras un peu plus d'éléments pour comprendre ce qui le mets dans cet état une fois qu'il se sera expliqué sur le sujet, même s'il doit recommencer à hurler. Tu frémis légèrement à cette idée malgré tout, toi qui n'apprécie pas d'entendre les gens hausser la voix, encore moins quand cela est couplé à une crise de nerfs. Pour l'essentiel… Il évoque évidemment son anniversaire mais tu essaies de ne pas relever pour ne pas plomber la surprise, puisque cela semble en être une, du côté des autres comme du tien. Tu poses à nouveau ton regard sur la photo du vieux bombardée de fléchettes – visiblement, le Conseil d'administration ou au moins la partie des mangemorts à laquelle ton cousin appartient – les trium-machin-trucs, ascendants tu ne sais pas trop quoi parce que tu t'en fous –  a quelque chose à faire dans ton état actuel mais à savoir quoi… Tu n'as plus qu'à attendre qu'il reprenne la parole pour te répondre, à moins qu'il ne préfère subitement changer de sujet. Ce changement s'impose d'ailleurs de lui-même lorsque la femme de Phoebus entre dans la pièce. Tu la salue d'un bref mouvement de tête, en essayant de ne pas trop porter ton attention sur eux.

Entre la démarche féline dont elle fait preuve pour s'approcher de Phoebus, la façon dont elle lui caresse le torse, le surnom dont elle le qualifie et le gloussement qui vient conclure le tout comme une cerise sur le gâteau, Heaven te mets mal à l'aise bien plus facilement que son époux et tu en viens à te demander si tu ne préférais pas te faire hurler dessus, quitte à être confondu avec un autre type. Ne tenant aucunement à maintenir la chandelle à leurs côtés et préférant éviter de visualiser ou d'entendre un élément sensuel de plus, tu prends le parti de t'éclipser le temps de chasser la sensation de malaise qui s'est installé en quelques secondes dans tout ton corps, en prenant pour justification l'apparition de la boîte offerte par ta tante. ❝ Euh, ben du coup je vais vous laisser un moment. Je vais aller chercher mon cadeau et, hm, chercher Ciáran également. Il doit avoir un truc lui aussi. ❞  Tu espères en tout cas. Tu n'as pas envie de revenir dans la pièce seul vu le résumé succinct de leur attachement l'un pour l'autre que tu viens de visionner. La bande annonce est suffisante comme qui dirait, tu n'as pas envie de voir le film complet, encore moins en solo. Tu file sans attendre.
CODAGE PAR AMIANTE
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Mer 14 Juil - 2:13


Deception, disgrace ... Ah vous ! Fermez-là !
Nepentheo L. Slughorn & Phoebus Malefoy
Alors qu’Heaven s’avançait dans la pièce de sa démarche plus que parfaite, j’entendais à peine le besoin d’explications de la part de mon cousin. Mais de quoi parlait-il encore ? Je posais ma main dans sa direction lui demandant de se taire, d’attendre. Honnêtement, mon esprit était flou et je ne savais pas quoi expliquer. Je ne savais pas par quoi commencer. Towsen .... Le Triumvirat … Meredith Carrow …Alors, je ne commençais pas pour plutôt regarder mon épouse arriver jusqu’à moi détournant mon esprit totalement vers elle. J’entendais Nepentheo stipuler devoir quitter la pièce pour aller chercher, apparemment, mon cadeau d’anniversaire. Alors que je me dirigeais vers la longue boîte en bois ciselée de dorures, je levais la tête vers lui avec un petit rire sarcastique. Oui, il était rouge ! J’avais l’impression qu’il venait de manger un truc pas frais. Pour toute réponse, Heaven m’envoya un coup de coude dans le ventre qui me rappelait aussi que tout le whisky bu se trouvait maintenant beaucoup plus bas. Heaven n’en avait cure de mon amusement et me rétorquant pour me le reprocher.

- Je crois que notre intimité le gêne …

- Ce ne sont quand même pas ces quelques mots qui l’ont intimidé. Il va bientôt être un homme non ? Mais qu’est-ce que Julius lui a appris ?

Certes, je n’étais pas en colère simplement agacé. Premièrement, car j’étais trop exténué pour ce faire et aussi parce que j’avais bien vu le petit sourire en coin qu’elle m’avait jeté. Sur ce haussant les épaules quant à mon cousin prude, je déverrouillai la boîte et l’ouvrit. Impressionné, je m’emparais aussitôt du bijou qu’elle contenait. C’était une canne de prestige sculptée dans un bois d’ébène ciselée de dorures. Le pommeau était en forme de losange où trônait à l’intérieur un pan albinos.

- C’est magnifique soufflais-je à demi-mot les yeux brillants.

- Je savais que ça te plairait mon hippogriffe.

Sans crier gare, elle me donna un baiser sur la joue qui me donnait envie d’elle. Bon, cela me rappelait une fois de plus ma vessie pleine. Soupirant de frustration, je dus m’excuser platement reposant la canne dans la boîte. Tout en me dirigeant à l’autre bout du couloir, je me rendais compte que j’allais faire une pierre deux coups : me sentir mieux et sûrement retrouver mon cousin. Je vous jure s’il ne se montrait pas dans les deux prochaines minutes, je l’appelle à coup de sortilèges sonorus.

* * *

- Theo ! Alors, ça s’est bien passé avec père ?

On ne savait pas trop d’où l’héritier Malefoy sortait. En tout cas, une chose était certaine il transportait une boîte avec lui. Mais qu’y avait-il dans cette boîte ?

C’étaient ces questions que je me posais tout en observant les deux jeunes hommes de loin dans le couloir. Je revenais vers eux, subitement plus en forme, mes enjambées se faisaient plus rapides malgré mes yeux et ma tête tanguant encore un peu trop. Certes, c’était déstabilisant, mais une agréable sensation en même temps et m’empêchant de penser. Je m’empressais alors d’interpeller mon cousin.

- Nepentheo ! Tu es là ! Alors, apparemment tu aurais aussi un cadeau pour moi.

M’enquis-je dans un sourire intéressé. Je n’avais évidemment pas manqué mon fils qui prenait lui-même l’initiative de se joindre à nous. Oui, c’était comme ça que je l’avais fièrement éduqué : un Malefoy qui refusait de rester dans l’ombre. Non, les Malefoy ne resteront jamais dans l’ombre et encore moins face à trois Mangemorts qui ne les appréciaient pas à leur juste valeur.

- Père. Voici votre cadeau. J’espère que vous allez apprécier.

J’étais presque ému, je disais bien presque, par tant de bienveillance soudaine en cette soirée. J’allais presqu’en oublier complètement ma matinée. Je prenais la boîte que Ciarán me donnait l’ouvrant à l’aide d’un sortilège et y découvrant un smoking des plus élégant. La couleur vert foncé chatouillait, ainsi, les bords du col devant. Amenant le vêtement en position verticale je caressais le velours riche de ma main droite. C’était une belle qualité provenant même probablement de France.

Codage par Emi Burton



Silence
… À pas feutrés … Je te vois … Je te trouve … Je te détruis … Tu ne peux pas m’échapper toi qui a tes tords. Oh ! Ne fais pas l’innocent, car je le sais. Je le vois … Au fond de toi, tu le sais aussi, non ? Oui. Tu seras ma vengeance.  
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Deception, disgrace ... Ah vous ! Fermez-là ! [Nepentheo]
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