Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes, alors pensez à les privilégier pour vos personnages
Quelle est votre allégeance ? Toujours du bon côté. Le bon côté, c'est papa qui décide. Là, un côté qui va nous débarrasser des moldus et des bouseux de la race sorcière, c'est un bon côté, surtout quand on y est. Alors du coup, on s'est rangés près de l'Augurey. Mangemorts...
« Entre en solo, c'est moi qui tease. »
Derrière l'écran Pseudo ϟ Liliandthemusic Age ϟ 21 ans Scénario ou inventé ϟ Ancien scénario d'Anj' totalement pimpé et sublimé mouihihi! Comment as-tu connu le forum ? ϟ J'ai remonté une conversation skype... Vu que certains avaient oublié de me prévenir ! Dernier mot ϟ Vous êtes les meilleures vous avez été tellement rapides (J'aurais juste voulu plus de couleurs pour les sorciers non étudiants mais je chipote )
« Twizzle017 »
Dossier ministériel n° 1687
Le nom de ma famille est Melchione et mes parents ont décidés de me nommer Marcello. Je suis né le 27 avril 1991 dans cette belle ville qu'est Tivoli, ce qui fait que je suis aujourd'hui âgé de 27 ans. Je suis un sorcier et de ce fait le sang qui coule dans mes veines fait de moi un sang pur. Lorsque j'étais enfant, je suis allée à l'école de sorcellerie de Beaubâton, et j'étais dans l' atelier de laDentelle, ce qui m'a permis de devenir aujourd'hui Chef de l'organisation internationale du commerce magique. Cette situation me permet également de gagner ma vie de manière Aisée et de vivre à Londres. Je suis célibataire et d'ailleurs, j'ai une préférence pour les femmes, bien qu'un trou reste un trou, tant qu'on peut s'y fourrer... Je me suis procuré il y a de ça quelques années une baguette magique et la mienne est faite en bois d' If avec un cœur d'Épine de monstre du Fleuve Blanc et elle mesure 25 centimètres. Elle me permet de faire apparaître un furet comme patronus. Mon épouvantard prend la forme de la porte de la maison familiale, close, comme si je n'étais plus le bienvenue mais je ne peux pas le faire disparaitre. L'humour n'a jamais été mon truc... La dernière fois que j'ai pu sentir une potion d'amortentia, elle avait la douce odeur de noix et de sang. Je n'oublie évidemment pas mes rêves et lorsque je me place devant le miroir du rised, je vois mon père me regarder avec fierté et me dire que je lui suis supérieur, désormais. Et pour finir je prête mon allégeance aux mangemorts.
Caractère
Marcello. Un être pas très compliqué sans doute, non... Il ne répond qu'à des besoins assez primitifs. Il mange quand il a faim. Il boit quand il pense trop. Il cherche compagnie lorsqu'il s'ennuie. Il éclate une gueule ou deux, aussi. Ce mec qui l'aurait mal toisé, elle qui a mis les dents, ce moldu tout seul, qu'il était chiant à gueuler ivre sur son banc. La pauvreté est méprisable... La médiocrité aussi, cela va sans dire, ne peuvent-ils pas avoir un peu de tenue, tous autant qu'ils sont? Ils souillent le paysage, trahissent la bonne ambiance apparente, on est bien entre gens influents, on se comprend. Mais de toute façon, on n'est jamais mieux ailleurs que chez soi. Mais on s'y ennuie vite, alors on sort, on recroise ces gens ennuyeux, ces gens qui nous emmerde, et l'histoire recommence, on casse des gueules et on laisse traîner un corps des fois... On les cache bien, on paie les gens qu'il faut, personne ne le sait. C'est bien d'avoir les bons contacts.
Il n'y a pas que l'ennui, il y a la journée au travail aussi. Marcello travaille bien, il sait y faire avec les affaires. Il parle bien, il est élégant, il n'a aucun mal avec les autres coutumes, et il ne laisse jamais traîner une seule noise au hasard. Autant dire que c'est l'homme parfait, vous ne serez jamais déçus avec lui, il fait toujours un travail excellent, avec un si beau sourire... Vous auriez juré que c'était un fils à papa, mais non, il mérite sa place ici. Après tout il a le business dans le sang! N'est-ce pas?
Il y tient, à ses traditions, à ses coutumes. On ne sait pas si l'Italie lui manque, mais en tout cas, dans la famille ils ont fait ce qu'ils pouvaient pour recréer l'ambiance de la maison. Vous ne pourrez pas rater la demeure Melchione, aux abords de Londres, sa cour intérieure est remplie d'asphodèles blanches... Vous entendrez sûrement son accent quand vous lui parlerez, il sait pourtant parler parfaitement anglais, mais c'est sentimental. Qui l'eut cru: il éprouve des sentiments!
Si on peut le voir à l’égard de sa famille, personne n’a encore aujourd’hui ravi le cœur du bel homme. Il en a vu pourtant, des filles valser et leurs jupons s’envoler, une ribambelle, plusieurs à la fois aussi, mais quel que soit le temps de l’aventure, qu’elle y ai cru ou non, il l’a délaissée sans même dire au revoir. On pourrait alors penser qu’il aime les hommes? Ça… Non, c’est immonde. Un homme aime une femme, une femme soumise, ou à soumettre, fin. Ceci dit, un cul tendu est un cul pris: alors quand il a eu l’occasion, il est rentré. Avec violence, sans chaleur, que son partenaire aie aimé ou non. Après tout, tant mieux ou tant pis, il en voulait il l’a eu, il peut s’estimer heureux comme ça, maintenant casse-toi et surtout ferme ta gueule.
Toucher, effleurer son intégrité vous mettra en proie à ses grandes colères: il en a des caprices l’aîné Melchione, après tout il a toujours tout eu, tout lui est dû, tout lui sera dû, la seule personne qu’il respecte dans ce monde, c’est son père.
Au final, vous serez prévenus: soyez toujours d’accord avec lui...
Pensine
MERDE!
Le whisky pur feu vola à travers la pièce et l'elfe de maison se précipita sur les débris de verre pour les ramasser. Grand mal lui en prit, car un coup de pied dans les côtes l'envoyait bientôt valser en dehors du salon, Merlin savait où. Marcello resta insensible aux couinements de son elfe de maison, il n'avait pas le temps aujourd'hui, il était en colère. Non pas qu'il en prenait vraiment soin d'habitude ceci dit, les Elfes de maison était après tout fait pour servir leurs maîtres, alors si il avait besoin d'un défouloir il se défoulait. Dans la famille depuis de nombreuses générations, Balki avait après tout l'habitude du tempérament sanguin des Melchione. Il allait bientôt retrouver son maître de toute façon.
Balki avait été prêté à Marcello il y a peu, une fois bien installé en Angleterre, pour le remercier des bons et loyaux services rendus à la famille. Cela avait plus à l'aîné Melchione, il se sentait tout d'un coup reconnu en tant qu'adulte et membre éminent de la mafia qu'ils étaient en train de mettre en place, il avait été reconnu par son père. Mais cette idylle était de courte durée maintenant que la sentence était tombée... Antonio, femme et enfants, n'était plus les bienvenus au pays. Adieu le soleil brûlant de Tivoli, papa maman et la clique rappliquaient sous la pluie de Londres. Grognant de rage, il saisit la baguette posée sur la table basse et sans prononcer un mot un whisky fut servi devant ses yeux. Il le but d'une traite puis regarda fixement à travers la fenêtre.
Il était bien installé, dans le cœur de Londres. Appartement spacieux pour lui tout seul, il pouvait également jouir d'une vue imprenable sur la capitale. La nuit tombée, les lumières de la ville représentaient comme une guirlande de Noël sous ses fenêtres et avaient quelque chose d'apaisant. Mais aujourd'hui, ce paysage ne marchait pas sur lui: ruminant encore et encore, son poing serré éclata le deuxième verre dans sa main. L'elfe de maison revint doucement dans la pièce et glapit à cette vue, ne sachant exactement que faire. Quand il prit son courage à deux mains pour venir retirer délicatement les bouts du poing de son presque maître, ce dernier posa sur lui un regard fatigué, n'ayant toutefois plus l'air si violent. Balki s'autorisa à recommencer de respirer.
Bannis d'Italie... Et ils viennent m'emmerder. Pourquoi ne me laissent-ils pas tranquilles, hein? Tu le sais? La famille c'est merveilleux, mais surtout quand elle est loin...
Poussant un soupir, il mit sa tête en arrière et laissa sa main soignée se poser sur la tête de son serviteur.
Ils vont te reprendre à moi... Et ça c'est dommage. J'aimais bien t'avoir tu sais, c'est agréable...
Les yeux de Balki s'agrandirent et un sourire se dessina sur son visage, il n'avait pas l'habitude des compliments, comme tout elfe esclave, et c'était un honneur d'en recevoir un de son maître. Il allait ouvrir la bouche pour remercier prestement Marcello quand la main posée sur sa tête glissa doucement pour se serrer sur sa gorge. Ses yeux s'écarquillèrent encore, mais il n'y eu plus que de la surprise et de la peur, cette fois-ci.
Tu as de la chance, tu sais, tu ne m'appartiens pas, et tu es le dernier serviteur de la famille. J'ai besoin de me changer les idées, ce soir, tordre un cou ne serait pas de refus...
Les yeux presque noirs de l'Italiens se reposèrent sur son elfe tandis que ce dernier bataillait pour respirer, l'oxygène de ses poumons étant déjà épuisé. Il était si facile d'ôter la vie... Si facile... Cette sensation de pouvoir n'était que trop enivrante. Il ne pouvait pas s'en empêcher. Il tuait rarement évidemment, que des inconnus tout le temps, mais qu'est-ce que ça lui faisait du bien... Les plus faciles à tuer était les moldus évidemment. Lorsqu'on les tuait à main nu, aucun sorcier ne venait enquêter, et aucun moldu n'arrivait à trouver de meurtrier. C'était classé sans suite et on était tranquille. C'était bon... Alors que l'elfe commençait à convulser, Marcello soupira encore et le lâcha, le laissant tomber à terre. Il se leva et prit nonchalamment sa baguette, la regardant avec attention.
La puissance de sa baguette ne servait quasiment plus à rien depuis qu'il avait quitté l'école, c'en été déprimant. Il avait surement perdu beaucoup de ses capacités, faute de pratique. Il le sentait pourtant, comme lui, elle avait soif d'aventure, elle s'ennuyait. Elle avait soif de sang. Mais il ne pouvait pas s'en servir, il serait trop traçable, et ce serait beaucoup trop facile... Non, il ne s'en servirait pas ce soir non plus. Ce soir, il se contenterait d'une catin moldue et d'un accident. Il tâchait de ne pas tuer trop souvent, de peur d'y perdre le plaisir, et de devenir négligeant avec l'habitude. Mais avoir papa de retour ne lui laissait d'autre choix que de se défouler. Enfilant son manteau, il transplana dans une petite ruelle sombre digne de tous les livres qu'on veut, et s'alluma une clope. C'était bien moldu comme habitude, mais celle-là il se la gardait, ça faisait du bien, et ça faisait trop longtemps pour qu'il arrête. Une goutte de pluie s'écrasa sur son front, il mit sa casquette et s'en alla en quête d'aventure.
L'elfe de maison reprit conscience au petit matin avec une envie de vomir, lorsque son maître claqua la porte et alla se vautrer dans son lit sans même enlever ses chaussures.
Game of Blood Ϟ Tous droits réservés
Invité
INRP
IRL
Lun 14 Jan - 22:21
L'enfant prodige
« N’aie pas le seum, fais-moi la bise. »
On l'a dit plus haut, c'est un gars simple, alors on va expliquer les choses simplement: Marcello, c'est un pauvre con. Vous allez voir, y'a pas de doutes là-dessus.
Il y a vingt-sept ans maintenant sorti des entrailles de la mère Melchione son premier fils. Il ne manqua jamais de rien, sa famille ayant assez de poignon pour le nourrir bien comme il fallait. Sa famille, c'était père Antonio Melchione avant tout, dont il était l'héritier. Puis il y avait maman Maria, la vache à lait, une femme bien peut-être, un peu pâle souvent, un peu stressée, un peu effrayée, un peu morte à l'intérieure. Vinrent ensuite le petit frère, et la troisième, la petite sœur. C'était déjà une belle famille, mais ça ne s'est jamais arrêté là: La famille des Melchione, c'est la Cosa Nostra. C'était.
Imaginez-vous donc, ce gosse de Tivoli. Tout le monde le connaît dans la rue, papa a bien pris soin de le présenter à tout le monde, il en est très fier de son marmot. Les mamans l'aiment et le chouchoutent, les papa lui sourient et lui tapent dans le dos, pas grand monde n'a le choix de toute façon sous peine de voir rappliquer le bœuf de la mafia. Un papa-poule? Étonnant hein? Il lui fallait bien une qualité au moins, à ce brave homme. Bref, voici le petit Marcello, parti tout droit dans une vie où tout lui sourit: ses parents tiennent toutes les laveries de la ville, ainsi que la moitié des stations essence, pour faire leur petit business main dans la main avec les Zabini, tandis que lui n'a qu'à se soucier de bien savoir lire et compter pour qu'on le laisse aller tranquillement jouer avec ses camarades. Pas mal du tout hein! Ouais, c'est plutôt tranquille.
Il est chahuteur dans la rue évidemment, quand ça joue, on sait toujours qui est le chef. D'abord parce que c'est son père le vrai chef (enfin, c'est ce qu'il dit), et ensuite parce que c'est lui qui cogne le plus fort, même les plus grands. Alors... Forcément ça rigole pas. Enfin, évidemment, le titre est remis en cause tout le temps, et il ne gagnera pas à chaque fois, il y en a beaucoup des têtes de mules dans la Cosa Nostra, mais il insistera lui aussi tous les jours pour reprendre la "place qui lui est due". Ben voyons. Enfin, son enfance se passe sans trop d'accrocs. Sa magie se manifeste suffisamment tôt pour en faire jalouser certains, il en est fier, il apprend très vite à la maîtriser, et son père en est sûr: il est destiné à être un puissant sorcier, avec de telles facultés! Beaubâton saura faire de lui un sorcier hors paire.
L’année de ses 11 ans, il fut comme tout élève envoyé à l’école de sorcellerie proche de chez lui. Ses parents lui avaient choisi Beaubâton, comme pour beaucoup d’enfants Italiens, et il en était fier: le prestige et le raffinement à la française lui allaient totalement. C’est sans surprise qu’il rejoint les élèves de Dentelle, on ne lui ôtera jamais ni son intelligence, ni sa sournoiserie. Son ego a suivi cependant, et il est assez facile de vanter son plumage pour récupérer son butin…
Ses années de scolarité se passèrent brillamment. Excellent dans de nombreuses matières, il passa avec une aisance déconcertante chacun de ses diplômes, avec les félicitations du jury. Aussi adroit en sortilège que maître en potion, c’est surtout son savoir parler qui le mettait en valeur: parlant couramment italien, français et anglais, il savait utiliser tout son charme pour que ses quelques maladresses passent pour une adorable étourderie, qui aurait pu résister à ce bel italien à l’accent encore si prononcé? Personne, évidemment.
Ce fut durant ces années qu’il fit tomber ses premiers cœurs: bel étranger mystérieux qu’il était, il pouvait sans peine changer de courtisane toutes les semaines! Evidemment, les demoiselles sortaient de cette relation quelque peu colère, déçue, et avec la douloureuse impression de s’être faite avoir… Mais le Don Juan avait déjà obtenu ce qu’il voulait et s’était lassé de sa conquête sitôt l’encensement dû à la naissance d’une relation tari. Ne restait plus qu’à passer à autre chose… Soit à quelqu’un d’autre. Certaines de ces demoiselles lui plurent plus que d’autres, mais il était beaucoup trop fainéant pour chercher à les garder, à la minute où elles avaient besoin de plus il s’enfuyait. Ce n’est pas dans ces années-là qu’il apprit le respect non, seulement à paraître, pour être déjà loin lorsque l’on se rend compte de la supercherie.
Du fait de son attitude, si Marcello avait la chance d’être bien entouré par les gens de la Cosa Nostra, car il n’avait pas vraiment beaucoup d’amis. Certains de ceux avec qui il avait grandi s’était fait à lui comme faisant parti du décor, ou étaient trop simples d’esprit pour imaginer les choses autrement, et d’autres suivirent comme des moutons. Mais du haut de son petit royaume, Marcello était quelqu’un de bien solitaire. Même son frère et sa sœur, qui peu à peu arrivèrent aussi à Beaubâton, n’eurent pas un aîné très présent, bien qu’il avait un tempérament assez clément avec eux. Peu confiant envers qui que ce soit, il ne garda contact avec personne lorsqu’il quitta son école et son Italie natale, bien que rien ne paraissait changer les rares fois où on le voyait au pays.
Son père en effet décida à la fin des études du marmot qu’il était temps de préparer la relève. Antonio commençait à se lasser de ce partage équitable des deux familles et voulait peu à peu évincer discrètement les Zabini, profitant de la nouvelle majorité de son fils pour l’envoyer en émissaire où il était bon d’avoir des contacts. Ainsi, alors que la situation allait de mal en pis en Italie, Marcello découvrit le monde et ses richesses, tirant bon parti de chacune de ses escapades, avant finalement de se faire une place en Angleterre où la place de la mafia était toute trouvée. Il était donc loin de tout quand les scandales éclatèrent.
Antonio de plus en plus audacieux, grappillait sérieusement du terrain sur celui des Zabinis. Mais l’action n’allant pas assez vite à son goût, il se mit également à faire quelques coups bas, d’abord discrets puis de plus en plus bruyant, sa mégalomanie l’aveuglant. Les Zabinis et les membres de la Cosa Nostra qui furent de leurs côtés démêlèrent vite l’affaire et la querelle éclata au grand jour: après un court temps de tension dans la ville de Tivoli, la sentence tomba: la famille Melchione était galamment invitée à déguerpir. Non pas de la ville, mais du pays, il valait mieux. De nombreuses familles étaient en colère, la mafia n’aime pas vraiment les traîtres, d’autant plus lorsqu’ils sont Italiens.
Ô rage! Ô désespoir! Tel fut pris qui croyait prendre. L’arroseur arrosé! Inutile de dépeindre le pathétique tableau d’Antonio, abasourdi d’être accusé de la sorte, touché au plus profondément par sa propre famille, son sang. Ils le paieront, il en va de soi. Dieu merci, son fils prodige avait déjà bien préparer le terrain à Londres. Grimpant peu à peu les échelons au sein du ministère, son carnet d’adresse s’était agrandi et la nouvelle place familiale était toute trouvée, il ne fallut que peu de temps avant qu’il se reconstruise un petit havre de paix à l’Italienne, pas trop éloigné de la capitale tout de même, et que le père reprenne la place qui lui était dû sur le trône. Son fils fut rapidement remercié mais il n’était guère le moment de faire des simagrées: l’heure de la vengeance avait sonnée. Avec ses années qui avaient passé, Marcello était méconnaissable, il lui était très facile de retourner en Italie actuellement régler les affaires familiales. Et il en fut décidé ainsi: posant des jours de congés bien mérités, l’aîné Melchione fit une réserve de polynectar et attendit patiemment que l’opportunité se créée. Objectif: faire mal. Aucun soucis…
Il avait eu de beaux moments avec la brunette. Il faut dire, ils se retrouvaient souvent l’été, ils étaient toujours un peu collés ensemble, eux tous, alors forcément quand l’âge vint de tomber amoureux, ils le firent à l’heure manière, c’est à dire pas, et se contentèrent de forniquer quelque peu. Et puis les années étaient passées. C’était facile de faire mal… Si facile… Ils n’avaient pas changés. Peut-être que la mort du petit ange suffirait à faire payer le prix aux yeux du père Melchione? Assurément même. Bon, avoir son frère le salaud qui les a vendu aurait été mieux, mais elle ça suffirait. Et c’était si facile… Surtout quand on est doué en potions. Qu’on porte un casque. Qu’on dévie… Oups. Au revoir petit ange.
Savoir qu’il l’avait ratée avait rendu Marcello maussade, quelque temps. Il était mauvais perdant. Mais puisque personne ne savait que c’était elle… Cela pouvait sembler réussi. En tout cas il avait touché au but, il avait fait mal et personne ne l’avait vu. C’était si facile… Revenir à Londres et reprendre une vie normale lui fut aisé. Enfin… Aussi normale qu’elle pouvait l’être, avec désormais sa famille dans les pattes. Qu’ils étaient énervants, n’auraient-ils pas pu choisir la France ou l’Egypte? Mais soit. Cela enlevait certaines contraintes, il avait plus de temps libre… Mais il avait évidemment des ordres de son père à recevoir désormais. Recalé au rang de sous-fifre après tout ce qu’il avait fait… Il avait oublié ce que c’était. Soit, tant pis, au moins il pouvait plus s’amuser, désormais.
La fortune de son père, les augmentations de ses propres salaires, tout ça le mettait dans une bonne situation après tout, et les sorties ne se faisaient pas rares la nuit. Les rencontres aussi, par la même occasion. Étonnamment, il avait le secret pour savoir tout de même rester frais en toute circonstance, les avantages de la jeunesse! Mais alors qu’il pensait que les choses seraient calmes, deux choses arrivèrent quasi simultanément. Laquelle était la plus excitante, il n’en avait aucune idée. Tout d’abord, l’arrivée de certains de la Cosa Nostra au cœur de Londres. Il l’apprit vite grâce à ses relations au ministère, on se rend rapidement compte quand on est bien placé que le Londres sorcier reste une petite bourgade toute gentille. Sitôt que les deux clans se furent repérés, les querelles commencèrent, mais tout doux, tout gentiment, il faudrait pas attirer trop l'attention sur eux pour l'instant. Évidemment, beaucoup ne connaissaient pas la mafia, ni l’histoire de la famille déchue, il avait bien pris soin de taire ce détail pour se faire une place ici. Viendrait un jour où ce ne serait plus un secret… Mais pas encore.
De toute façon, le tatouage des Melchione n’avait plus rien à faire à cette place là, et il fut bon qu’un autre tatouage puisse venir le recouvrir: celui de l’Augurey. En effet, en entendant parler de la résurrection des Mangemorts, Antonio qui n’avait pas rallié la cause à l’époque vit là une belle opportunité de se construire une grande famille, et n’hésita point à rejoindre les rangs de l’ombre. Evidemment, Marcello suivi. On peut croire là que ce n’était que pour suivre son père, mais rassurez-vous, le fils prodige embrasse totalement ces valeurs là: dans ce monde qu’ils promettent, les plus forts gagnent, les plus faibles exécutent. Et les moldus crève, y’a pas la place pour tout le monde ici bas. Oui, peut-être seul ne se serait-il pas donné la peine de rallier une cause en particulier, mais c’était vraiment celle qu’il adopterait avec le plus de naturel. Encore de l’encre sur son bras, pour cacher un si beau secret.
Enfin, cacher… Pour le nombre de fois par semaine ou notre jeune éphèbe se dénude, on ne peut pas vraiment appeler ça une cachette, mais les circonstances ont toujours su maintenir sa discrétion: l’alcool, l’obscurité, l’anonymat de ses compagnes nocturnes… Et puis on a pas toujours besoin d’enlever sa chemise pour se fourrer quelque part. Toujours est-il que le nouveau Mangemort obtint récemment encore une autre promotion, si jeune déjà. Il est désormais chef de son bureau, et ça c’est un poste dans ses cordes. De toute façon, il est difficile pour lui de faire autrement que commander, c’est dans sa nature.
Entre son nouveau poste et la guerre des clans qui fait rage, Marcello s’estime aujourd’hui heureux que les mafias restent sages de leurs côtés, il n’aurait pas vraiment le temps de s’occuper de tout ça. Du moins, pas si il veut arrêter ses sorties… Et ça, c’est hors de question.
Et puis, si ces moldus nous trouvent, il faudra bien quelqu’un pour leur crever les yeux...
Game of Blood Ϟ Tous droits réservés
Invité
INRP
IRL
Lun 14 Jan - 22:27
J'avais hâte que tu postes ce deuxième message, pour te dire O combien je vais te détester
J'adore le choix de l'avatar pour la famille !!
Invité
INRP
IRL
Lun 14 Jan - 22:32
Mouihihi je faisais exprès d'attendre un peu, je suis diabolique je sais !
Ce n'est pas grave va, tout le monde me détestera, et j'adorerais ça!
Anjelica Zabini
INRP
Métier : Mécano au Thestral Motor
Messages : 696
Gallions : 2037
Date d'inscription : 19/12/2018
IRL
Lumos Je rp en : palevioletred Mon allégeance : la Cosa Nostra
Lun 14 Jan - 22:36
HHIIIIIIIIIII !
Connard T'es beau en plus
Bienvenuuuuueeeee Hâte que tu tentes de me buter
Nobody Can Save Me
I'm dancing with my demons. I'm hanging off the edge. Storm clouds gather beneath me. Waves break above my head. Headfirst hallucination
Sélénya Macmillan
INRP
Métier : Zoomage, employée de Ludivine
Messages : 2992
Gallions : 4251
Date d'inscription : 12/01/2019
IRL
Lumos Je rp en : #ff9900 Mon allégeance : L'ordre du phénix
Mar 15 Jan - 0:34
Moi je dis ça devrais être interdit d'être aussi sexy et connard en même temps
Bienvenue par ici poulette
☽☽ Aujourd'hui mon coeur est un phare qui éclaire l'obscurité et je l'allumerai pour toi je ne l'éteindrai jamais ☾☾
(c) champi
♥:
Invité
INRP
IRL
Mar 15 Jan - 20:53
Eheheh vous en faites pas les filles, y'a de la place pour tout le monde dans le plumard...
Merciiiii me tarde de m'y remettre! Je gère mes problèmes de PC et j'écris en même temps xDD
Anjelica Zabini
INRP
Métier : Mécano au Thestral Motor
Messages : 696
Gallions : 2037
Date d'inscription : 19/12/2018
IRL
Lumos Je rp en : palevioletred Mon allégeance : la Cosa Nostra
Sam 19 Jan - 13:16
Je devrais même pas te valider, assassin (PS : j'aime trop Marcello )
Bienvenue chez les ...
Sorciers
Félicitation à toi te voilà fraîchement validé !!!
Tu vas pouvoir parcourir le forum de fond en comble et pouvoir rp à gogo ! Nous te conseillons tout de même de passer ouvrir ta fiche de lien et aussi ton hiboux afin de recevoir ton courrier. N'oublie pas de remplir ton profil, si un lieu te manque où si tu souhaites obtenir ton logement, c'est par ici que ça se passe.N'hésite pas aussi à te détendre dans la partie flood et même à venir nous faire un petit coucou sur la chat box Si tu as une question ou même une suggestion tu peux venir dans ce sujet et n'oublie pas que nos boîtes à mp sont toujours ouvertes
Amuse-toi sur GoB !!!
Game of Blood Ϟ Tous droits réservés
Nobody Can Save Me
I'm dancing with my demons. I'm hanging off the edge. Storm clouds gather beneath me. Waves break above my head. Headfirst hallucination
Invité
INRP
IRL
Sam 19 Jan - 13:21
Bienvenue parmi nous, monstre :P Hâte de te croiser en jeu.
Contenu sponsorisé
INRP
IRL
Marcello Melchione ~ Folie.
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum