Ce soir, c’était la fin d’une année et le début d’une autre. Un page qui se tourne une nouvelle qui commence et vous fêtiez cela en famille, tous ensemble au White Thestral pour commencer puis plus tard dans nuit lorsque les douze coups de minuits auraient sonné et que vous vous seriez souhaitez la bonne année vous enfourcheriez tous vos motos pour rejoindre votre lieu de course et commencer les premières de l’année. Une belle soirée en perspective. Ce serait aussi le premier début d’année que tu vivrais avec Anjelica en étant avec elle, en vivant une histoire à laquelle tu n’aurais jamais cru si on te l’avait raconté. Tout semblait parfait pour toi désormais, tu avais trouvé ta place, tu avais toute une famille que tu aimais et qui t’aimais, tu avais la fille de tes rêves… La seule ombre au tableau, tu aimerais pouvoir fêter ce genre d’évènement avec ta mère, l’avoir près de vous, qu’elle aussi fasse partie de ce monde que tu avais su te créer. Même si tu aurais quand même du mal à l’imaginer dans un tel tableau là ce soir… Mais simple le fait de la savoir au bordel assombrissait quelque peu ta mine… Tu avais donc enfoui cette pensée au fond de toi et tu t’étais bien décidé à profiter de cette soirée. Surtout qu’il allait se passer quelque chose de spécial ce soir… Tu arrivais à peine à croire à cette décision que tu avais prise et à cette boite qui brulait ta poche en ce moment même… Tu allais sauter le pas. Tu avais compris depuis peu qu’Anjelica était la femme que tu voulais pour l’éternité à tes côtés. Ce n’était pas pour rien que tu ne n’étais pas ouvert à qui que ce soit avant elle, c’était comme si depuis tout ce temps tu n’avais attendu qu’elle. Et à présent, votre relation était tellement solide que tu ne voyais pas d’autre dénouement. Qui l’aurait cru ? Jaeden Evans va demander une fille en mariage… Tu avais commencé à préparer un texte et puis… Tu avais jeté le papier au feu, tu ne voulais rien prévoir, cela ne te paraissais pas naturel. Tu n’avais donc aucune idée de comment tu allais t’y prendre, tu espérais simplement que ce soit instinctif et que le moment venu tu trouverais simplement les mots. Tu as les mains moites évidemment, une part de toi à peur. Elle pourrait dire non. Cela pourrait être la fin de ce qu’il y a entre vous et tu n’es pas prêts, tu ne veux pas la perdre, elle est bien trop importante pour ça. Vous n’avez même jamais parlé de mariage, si ça se trouve ce n’est même pas dans ses plans…

Et pourtant tu es là. A donner le change. A rire avec elle au beaux milieu de vos amis, à la faire danser entre deux verres tandis que l’ambiance est endiablée. Pour l’occasion tu avais fait simple mais classe tout de même. Un Jeans noir et une chemise de ma même couleur entre ouverte sur ton torse. Le début des manches un peu retroussé, laissant apparaitre tes tatouages. L’heure approche, les aiguilles de l’horloge tourne et il ne reste que quelques minutes avant minuit. Tu es parti chercher une nouvelle tournée de verre pour votre table et reviens alors les bras chargés et est donc ultra bien accueillis alors que tu ramènes de quoi rechargé les batteries de tout le monde. Tu retrouves immédiatement ta place aux côtés d’Anjelica. Même au sein de la Cosa Nostra votre couple est devenu tellement naturelle. Vous n’êtes plus deux êtres à part. Vous êtes ensemble et cela semble convenir à tout le monde, il y à même de moins en moins de railleries, même si parfois évidemment vous vous preniez toujours quelques plaisanteries, mais jamais rien de méchant, c’est comme si… Chacun d’eux avait donné leur bénédiction en quelques sortes. Alors que tu t’assois près d’elle, tu glisses ton visage dans son cou, tu déposes un baiser afin de lui murmurer « Je t’aime. » au creux de l’oreille avant de laisser tes doigts se lier aux siens instinctivement. Tu n’en peux plus, il faut que tu lui demande. Tes yeux fixent alors l’horloge et tu t’aperçois que vous entamiez la dernière minute de 2019, tout le monde se lève alors que vous commenciez à décompter tous ensemble. Vous ne faites pas exception, ton bras passe autour d’elle tandis que tu décomptes toi aussi en criant aussi fort que les autres. Et puis MINUIT tout le monde hurle, se prend dans les bras, dans la cohue générale tu perds Anje’ de vue, tu n’as même pas encore le temps de lui souhaiter bonne année que tu passes de bras en bras, certains frères t’embrassent sur la joue, véritable marque d’affection tandis que tu n’as plus qu’une chose en tête, retrouvée Anje’ pour tout d’abord lui souhaiter une bonne année et pour afin faire cette demande qui te brûle les lèvres depuis le début de la soirée…

Alors que tu cherches ton Anjelica du regard, c’est elle qui finit par te trouver. Tu peux sentir des mains qui se posent sur ton dos et t’enlace et c’est fou, mais tu n’as aucun mouvement de recul, aucune crainte, parce que tu sais que c’est elle. Peut-être parce que tu la reconnais ? Peut-être parce que tu sais que personne ne se risquerait à te toucher de la sorte en dehors d’elle au risque d’une réaction assez violente ? Un sourire étire tes lippes alors que tes doigts vont retrouver instinctivement les siens. Tu l’entends te fêter la bonne année dans sa langue maternelle et tu te retournes alors pour lui faire face. « Bonne année à toi aussi… » Glisses-tu également à ton tour avant de lui voler un baiser. Ton regard se pose ensuite sur l’une des seules personnes au courant de tes intentions dans la cosa nostra, tu avais été obligé de mettre quelqu’un dans la confidence, afin qu’au moment opportun tu ais l’attention de tout le monde. Tu inspirais à fond et hochais la tête vers cette personne pour faire comprendre qu’il était temps. La musique s’arrêtait alors au grand étonnement de tout le monde et alors que certains commençaient à protester, tu prenais la parole pour rassurer tout le monde. « Désolé les amis. Je n’en ai pas pour longtemps promis. » Evidemment tu te prenais quelques railleries au passage tandis que peu à peu le silence se faisait dans la salle et que l’incompréhension de ce que tu étais en train de faire se lisait dans le regard de celle que tu espérais voir devenir ta fiancée dans quelques instants. Tu t’écartais un peu d’elle. Tu étais évidemment gêné de devoir parler devant autant de monde, mais bordel si tu ne le faisais pas là maintenant pour elle, tu ne le ferais jamais. « J’ai quelques mots à vous dire et à toi aussi. » Indiquais-tu alors en t’adressant uniquement à Anjelica à la fin de ta phrase. Tu prenais alors une gorgée de ton verre, comme si tu cherchais ton courage. Ton sourire était gêné et tu t’excusais.

« Désolé, vous savez les discours c’est pas trop mon fort, alors je vais essayer de faire vite. » Des sifflements fusent, des rires, des tapes dans ton dos comme pour te donner du courage et quelque part cela fonctionne, ils sont tous là pour toi et tu le sais. « Je voulais tous vous remercier. Il y a encore moins d’un an, je n’étais qu’un gamin perdu qui ne savait pas ce qu’il allait pouvoir faire de sa vie. Grâce à vous, j’ai trouvé ma place. J’ai trouvé une famille. Une véritable famille. » Et alors que d’autres sifflements se faisaient entendre, que d’autres lançaient que ce n’était pas le moment de faire pleurer tout le monde, tu posais ton regard sur Anjelica. « Et toi tu m’apportes encore plus que tout ça. » Disais-tu en désignant le bar entier de la main. « Les gars ! » Disais-tu alors en te tournant vers tout le monde un instant te jetant totalement à l’eau, ce qui ne te ressemblait absolument pas et démontrait toute la confiance que tu avais en eux, en elle. « Je suis totalement dingue de cette femme. » Disais-tu alors en la désignant du doigt, déclenchant alors des acclamations et des sifflements encore plus fort, certains devinant ce que tu avais en tête. Parce qu’il n’y avait pas d’autres raisons pour que tu mettes ta virilité complètement à plat n’est-ce pas ? Ce n’était pas dans vos habitudes loin de là. Tu te rapproches alors d’Anjelica et attrape sa main. « Je n’ai pas peur de le dire et que tout le monde ici en soit témoin, je t’aime. » Déclares-tu haut et fort afin que tout le monde puisse t’entendre. « Je t’aime et je sais désormais que je ne veux personne d’autre pour partager ma vie. » Et alors que tu lui laisse quelques secondes pour prendre conscience des mots que tu étais en train de prononcer, tu poses un genou à terre, essayant du mieux que tu pouvais d’ignorer la cohue qui était de nouveau en train de se créer, sort la boite qui est dans ta poche et ouvre cette dernier afin de laisser apparaitre la bague que tu as faite faire pour elle. Forgée de noir et d’argent, possédant en son cœur un rubis taillé en forme de rose et sur les côtés les feuilles font le tour de la bague.Et de nouveau le silence se fais afin de te permettre de faire ta demande. « Anjelica Zabini, est-ce que tu veux m’épouser ? » Et puis soudain, le silence, comme si tous étaient suspendu à ses lèvres, comme si, tes frères et toi ne formiez plus qu’une et même personne… Comme si vos cœurs battaient soudainement tous au même rythme effréné… Le grand saut était fait, tu étais en chute libre, il n’y avait plus qu’elle pour te rattraper. Ton regard de glace était intense et flamboyant en cet instant, rivé au sien, ton destin était en entre ses mains.

Le cœur battant tu attends sa réponse et tu n’es pas le seul. Pendant les quelques secondes ou Anjelica semblait à peine réaliser ce qui était en train de se passer, tout le monde était suspendu à ses lèvres. Plus aucune moquerie, plus aucun bruit, tout le monde est dans l’attente de ce qui va se passer ensuite. Est-ce que Jaeden Evans va se prendre une veste ? Vue ce qui débordait dans les prunelles de la jeune femme il y avait quand même peu de chance. Mais tu attends, sagement, à genoux devant elle. Tu as envie de te lever de venir essuyer les larmes qui commencent à perler dans le coin de ses yeux, de joie tu espères bien évidemment mais tant qu’elle ne répond pas, tu ne bouges pas et enfin, elle hoche la tête. Elle n’a même pas encore dit oui que tu sens ton cœur se remplir d’une joie si immense qu’elle semble indéfinissable et à ton tour tes yeux commencent à s’humidifier tant elle te rend heureux en cet instant. Lorsqu’elle te murmure un oui elle fait de toi le plus heureux des hommes, et alors que cette réponse te suffisait amplement, c’était sans compter sur les membres de la Cosa Nostra qui eux aussi veulent entendre eux aussi sa réponse et tu sens ton cœur explosé une seconde fois alors qu’elle crie à tout le monde qu’elle veut t’épouser, TOI, elle veut t’épouser ! Les cris et les sifflements se font entendre de partout et tu te relèves lorsqu’elle t’y invite et tu ne sais pas trop si c’est elle qui se jette dans tes bras ou l’inverse tant tu te sens heureux en cet instant, la serrant alors fort contre toi. Tu accueilles sa bouche avec plaisir et avidité, tu en avais certainement autant besoin qu’elle et alors que tu camoufles ton visage dans son cou, une larme coule le long de ta joue mais elle est vite effacée contre sa peau, simplement le fait que cette dernière soit légèrement mouillée était la preuve que cette larme avait coulée. Tu souris lorsqu’elle dit que tu es complètement dingue.

« De toi. » Dis-tu en la vénérant du regard. Et alors que tu n’as aucune envie de te défaire d’elle, tu n’as pas le choix, les membres de la Cosa Nostra viennent autour de vous afin de vous féliciter, de vous serrer dans vos bras, se moquer mais de façon toujours bienveillante et jamais la sensation d’avoir une famille n’avait été aussi forte que ce soir. Alors que ton regard se pose sur celle qui était désormais ta fiancée et qui bientôt serait ta femme… Bordel cette simple pensée te rendais réellement fou de joie ! Elle te ramenait à l’instant présent en te disant qu’elle trouvait la bague que tu avais choisie magnifique. « Tu es encore plus belle. » Souffles-tu alors dans un sourire avant de prendre cette bague qui était encore dans son écrin pour faire la seule chose que tu avais envie depuis qu’elle avait dit oui. Tu attrapes alors sa main gauche et tu glisses doucement la bague à son annulaire… Tu prends ton temps savourant alors cet instant qui n’arrivait qu’une seule fois dans notre vie, enfin à condition qu’on ne fasse qu’une demande dans sa vie évidemment ce qui était bel et bien ton attention. Et puis finalement vous vous retrouviez à sortir, encourager par vos frères et sœurs et tu étais loin d’imaginer la suite, tu étais touché par leur attention, le fait qu’ils viennent avec leur moto tourner autour de vous. Ton sourire ne quitte plus tes lèvres. Tu ris en écho d’Anjelica alors que tu la serres contre toi. Et puis après quelques minutes, tu murmures à son oreille.

« Viens on va les rejoindre. » Dis-tu alors en prenant sa main afin de te diriger vers ta moto, les membres de la Cosa Nostra vous suivent, forme même une allée autour de vous jusqu’à la dites moto, tu t’installais avant de l’inviter à venir s’asseoir derrière toi, faisant à ton tour vombrir ton moteur tandis que ceux des autres te répondaient en écho. Vous alliez alors tourner avec eux avant que doucement les motos se mettent les unes à côtés des autres sur la piste de départ… Alors que tu te glisses parmi tout le monde, tu tournes la tête afin qu’Anjelica t’entende à travers tous les moteurs des motos. « Tu cours avec moi ? » Demandais-tu alors avant de préciser. « Juste comme ça sans te retourner. » Tu ne parlais pas d’une course siamoise, personne ne courrait en duo d’ailleurs, c’était juste histoire de faire votre première course de l’année ensemble. « Et puis après la première course, on s’éclipse si tu veux… » Susurres-tu de manière à ce que, elle seule entende. Tu n’allais pas mentir, faire ta demande au sein même de la Cosa Nostra t’avait paru essentiel, tu ne l’aurais pas imaginé autrement, en revanche à présent, tu voulais fêter sa réponse juste avec elle… Tu voulais profiter de cette nuit avec elle, lui montrer combien tu l’aimais et bien plus encore…

C’était cela la définition même du bonheur. C’était se sentir entouré de toute sa famille même s’il manquait sa mère ou celui qu’il considérait comme un frère. Sentir le bonheur que cela créait chez toutes ces personnes réellement heureuses pour vous deux. Voir les prunelles de ta sorcière brillées d’une joie sincère et pur et savoir que tout cela venait de toi. Jamais, avec les débuts difficiles que tu avais eu tu ne pensais en arriver là, t’en sortir aussi bien. Quelque part tu as peu que tout s’écroule à un moment ou à un autre alors tu profites de chaque instant, tu savoures osant à peine croire à toutes ces bonnes choses que la vie met sur ton chemin. Voilà que cette fille que tu aimais par-dessus tout allait devenir ta femme ! Alors que les motos tournent autour de vous, tu finis par proposer à ta future femme de les rejoindre, tu l’entraines alors à travers les moto jusqu’à atteindre la tienne tandis que vous montiez ensemble sur cette dernière. Si vous commenciez par venir dans le cercle avec les autres, petit à petit toutes les motos venaient s’aligner sur une ligne de départ pour la première course de l’année, je proposais alors à Anjelica de courir avec moi, laissant sous-entendre ensuite que vous vous éclipseriez rien que tous les deux pour fêter vos fiançailles comme il se doit, sa réponse te fis sourire. Alors que tu commençais à rejoindre les autres, finalement elle avait l’air de changer d’avis te demandant de descendre. Tes sourcils se froncent, tu n’avais pas envie qu’elle s’éloigne, pas un seul instant, même si... Si finalement elle voulait courir seule tu l’aurais laissé faire, mais pas de gaîté de cœur. Mais tu fus bien vite rassurée lorsque finalement elle revient s’installer devant toi, cette fois au lieu de les froncer, tu hausses un sourcil sous l’étonnement alors qu’elle s’installe sur le réservoir, ses jambes sur les tiennes… Tu ressens alors une bouffée de chaleur en imaginant toutes les choses que tu aurais envie de lui faire dans cette position… Tu réponds à son baiser et si elle ne s’arrêtait pas pour te parler, sans doute que tu ne te serais pas arrêté tout court… Ton regard est assombri par l’excitation qui te gagne alors qu’elle passe ses bras autour de ta nuque et que son bassin se rapproche du tiens, parlant alors de la suite de la soirée…

« Si tu savais tout ce que j’ai envie de te faire, la tout de suite dans cette position… » Murmures-tu alors à son oreille avant de l’embrasser de nouveau sous quelques sifflements de vos amis qui vous rappellent alors que vous n’étiez pas seuls. Tu souris alors contre ses lèvres et murmures à nouveau. « Bientôt. » Promets-tu alors avant de venir t’aligner avec les autres et faire vrombir le moteur de ta moto en échos avec les autres. Tu faisais de ton mieux pour te reprendre ce n’était pas le moment d’imaginer Anjelica à moitié nue sur cette moto tandis que tu t’invitais en elle. Il te fallait garder la tête froide, pas pour gagner non ça tu t’en fichais, mais parce qu’Anje’ avait confiance en toi et que tu ne te pardonnerais jamais d’avoir un accident alors qu’elle court avec toi. Le top départ est donné et alors il n’y a plus que la concentration qui compte, les mots de ta sorcière te font sourire, te touches, tu ne savais pas trop si elle voudrait changer de nom, le tiens n’était pas aussi valorisant que Zabini et tu te disais que par rapport à la mafia le sien la protègerait plus que le tiens. Tu es donc touché qu’elle pense sincèrement devenir Madame Evans ! La suite tu ne t’y attendais pas non plus. Tu fus surpris lorsqu’elle lâcha tes épaules pour les laisser dans le vide, tu redouble alors de concentration afin de ne pas perdre le contrôle de ta moto sous la surprise. Pourtant un instant tu ne peux t’empêcher de la regarder, si libre si… « Tu es si belle… » Dis-tu alors tandis que ton regard la contemple l’espace d’un instant avant de se reposer sur le ciel afin qu’il ne vous arrive rien. La course se termine, vous n’êtes pas premier mais tu t’en fiches, les pneus de ta moto touchent le sol et tu siffles avec tes doigts pour féliciter le gagnant de cette première course avant que tes prunelles ne se posent une fois de plus sur ta nouvelle fiancée. « Partons. » Murmures-tu alors dans un regard plein de promesse… Et au lieu de voler, tu prends alors ta baguette et transplane avec la Zabini et ta moto arrivant directement dans le garage, tu savais que tu n’étais pas en état de conduire une nouvelle fois, pas alors que ton entre jambe était déjà dur comme du bois… Tes lippes s’emparent alors des siennes, tes mains défont dores et déjà son haut tandis que ta bouche par en expédition dans le creux de son cou… Si la dernière fois sur cette moto tu l’avais repoussée, cette fois il n’y avait plus rien qui viendrait t’arrêter…