Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes, alors pensez à les privilégier pour vos personnages
Quelle est votre allégeance ? Développer quel camp votre personnage a choisi de rejoindre : Que pense-t-il de cette bataille en sous-main ? A-t-il un avis sur les moldus, les sorciers ? Que pensez-vous de la pureté du sang ? Etes-vous investi, impliqué ? Il y a des questions sur lesquelles Eddy n'hésitera jamais et celle-ci en fait partie. Il a perdu une partie de sa vie à cause des mangemorts, une partie de son enfance, de son innocence, de sa famille. Il en est venu à ne plus vraiment savoir qui il était, à devenir secret, et en a extrêmement souffert. Face à leur renaissance, il n'a pu que s'engagé dans l'Ordre. Qu'importe si c'est dangereux, il ne les laissera pas faire le même numéro à d'autres pour une question de 'pureté' de sang. Quand il y pense, leur sang est-il resté pur, à force d'être taché de celui des autres ? Qu'importe. Il est prêt à défendre l'intégrité du monde magique et le monde moldu, qui n'a rien demandé et qui finalement s'en sort beaucoup mieux qu'eux en restant dans l'ignorance.
« Petite citation »
Derrière l'écran Pseudo ϟ Age ϟ Scénario ou inventé ϟ Inventé Comment as-tu connu le forum ? ϟ r Dernier mot ϟ knock knooooock, c'est capslock
« kokopbfart »
Dossier ministériel n° xxxx
Le nom de ma famille est Harrison et mes parents ont décidés de me nommer Edward. Je suis né(e) le 24 avril 1984 dans cette belle ville qu'est Dublin, ce qui fait que je suis aujourd'hui âgé(e) de trente quatre ans. Je suis un(e) sorcier(e) et de ce fait le sang qui coule dans mes veines fait de moi un(e) sang-mêlé . Lorsque j'étais enfant, je suis allée à l'école de sorcellerie de Poudlard, et j'étais dans la maison des Gryffondor, ce qui m'a permis de devenir aujourd'hui Professeur de potion (Directeur de Gryffondor). Cette situation me permet également de gagner ma vie de manière Correcte et de vivre à Londres. Je suis célibataire et d'ailleurs, j'ai une préférence pour les deux sexe. Je me suis procuré(e) il y a de ça quelques années une baguette magique et la mienne est faite en bois d' ébènei avec un cœur de plume de phoenix et elle mesure 30.4 centimètres. Elle me permet/pas de faire apparaître un zèbre comme patronus. C'est elle aussi qui m'aide à combattre mon épouvantard qui prend la forme du des cadavres immolés au milieu d'un incendie avec un riddikulus transformant les flammes en barbe-à-papa et les cadavres en... figurine pop. La dernière fois que j'ai pu sentir une potion d'amortentia, elle avait la douce odeur de de pain d'épice, du cake au chocolat fait par ma grand-mère ainsi que de l'odeur de la pluie sur le sable. Je n'oublie évidemment pas mes rêves et lorsque je me place devant le miroir du rised, je vois mon propre reflet, entouré de ceux que j'aime. Il se trouve que j'ai que je n'ai pas une particularité magique, je suis ennuyeusement banal. Ah j'ai failli oublier, l'être qui m'accompagne aujourd'hui est un Hibou aux plumes noires et il se nomme Ashes. Et pour finir je prête mon allégeance à l'ordre du phénix.
Potentiellement indélicat, manquant cruellement de tact, beaucoup trop franc quand il serait bon de mentir - le premier sujet d’un quiproquo sans même se douter de la condition dans laquelle il s’est enlisé. Loin d’être stupide, dense étant un meilleur qualificatif, dans ses bons jours aura du mal à percevoir une nuance de gris. Patauge jamais dans ses mots mais trouve des difficultés à mettre à plat ce qu’il ressent. Il reste secret sur ce qui le motive, pouvant paraître hypocrite et indiscret aux yeux de ceux qui ont déjà eu à faire à son inquiétude et à sa gentillesse ; être brave, se concernant parfois un peu trop des va-et-vient des gens autour de lui. Le contraire d’emphatique, préférant plutôt être empatique, il est doux dans ses mots bien que parfois moins dans ses gestes. Il est l’antithèse de la grâce incarné, maladroit lorsque troublé bien que trouve toujours du temps pour s’ordonner et reste minutieux dans ce qu’il fait. Edward déteste le changement, qu’on touche à ses affaires, ou qu’on se mêle de ses affaires ; plutôt rancunier, se souviendra toujours des visages lui ayant fait de la peine ou attisé sa colère ; il a une mémoire photographique, ce qui aide rarement a des quêtes de vengeance mais plutôt a ruminé sous la couette. Il est beaucoup trop sociable, parle à qui veut bien l’écouter d’un ton bien trop énergétique pour être celui d’un homme dans la trentaine d’année et pourtant, il est rarement aperçu triste ou malade. Un vrai concentré de positivité. Bien que loin d’avoir inventé l’eau chaude, il était bonne élève à l’époque (la mémoire aidait bien) et il est maintenant bon pédagogue ; s’est trouvé une vocation de professeur après des années à voyager loin, très loin de ses soucis. Il en est ressorti cultivé, éclairé avec une curiosité plus développée.
Pensine
Il déteste l'hôpital. Il déteste l'odeur des malades, la vue des familles en pleurs, les murs blancs immaculés, vierge de toutes nuances. Fade, sans couleurs , sans vie. Comme s'ils savaient qu'ils abritaient la mort. Il hait encore plus le fait qu'il doit être là, encore couvert de suie et de poussière, à suivre comme il peut ses parents en direction de la morgue. De tout les endroits du bâtiment, il a fallu que ce soit là-bas qu'il se rende, de toutes les personnes au monde, il a fallu que ce soit son frère qui périsse. Il ne voit quasiment rien, les larmes lui bloquant la vue, et il n'arrive pas à retenir les sanglots qui secouent son corps. Il sent à peine la main que Carla, sa sœur, pose sur sa nuque pour le calmer. Elle non plus, n'en mène pas large, mais essaie de le réconforter comme elle peut. La main se serre lorsqu'ils arrivent devant la porte. Celle-ci s'ouvre, et sa mère se jette sur le corps recouvert d'un drap – blanc, toujours blanc –, n'essayant même pas de masquer son désespoir. Son père pose une main contre son dos, mimant le geste de sa fille plus tôt. Cela faisait quelques heures que la Bataille de Poudlard s'est terminé par une victoire de l'Ordre du Phoenix. Bien que cette nouvelle devrait tous les ravir, ils ne trouvent pas la force d'être heureux. Les pertes sont trop lourde, les conséquences trop dures. Edward prie pour être dans un cauchemar et pourtant il sait que personne ne va venir le réveiller. Il se contente de rester à l'arrière, le regard dans le vide. Un homme rentre dans la pièce, sans doute la personne qui se chargera du corps jusqu'à l'enterrement, et lance à chacun d'entre eux un regard navré. « Toutes mes condoléances. », il murmure, et personne ne réponds. Edward se demande amèrement ce que ses condoléances pourraient faire pour eux dans une situation pareille, est-ce que c'est la première fois qu'il les donne, et finit par conclure qu'il devrait se les garder. « Voulez-vous voir le corps ? » Son père acquiesce et Carla détourne les yeux lorsque l'inconnu relève le drap. Il ne reste rien de Sean. Rien d'autre qu'un corps immolé et sans vie, qui renvoie sans le vouloir son plus jeune frère quelques heures en arrière, dans les minutes les plus dures de sa vie.
Et il ne peut que sangloter, glissant pitoyablement contre le mur.
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Dim 13 Jan - 0:36
Votre histoire
« petite citation »
ENTRY 001 —« Nous sommes le 2 juillet 1998, je suis le docteur Mariana Young, psychiatre à St.Mangouste, en compagnie de mon patient Monsieur Edward Harrison, 14 ans, qui vient de finir sa troisième année à l’école de magie de Poudlard. Monsieur Harrison, êtes-vous toujours d’accord pour que j’enregistre notre première séance ? » L’adolescent acquiesce, regardant partout sauf en face de lui. Le médecin s’adoucit. « Monsieur Harrison, j’ai besoin que vous exprimiez votre accord oralement, s’il-vous-plaît. » Il lui lance un regard contrit, auquel elle répond par un sourire encourageant, et finit par s’exécuter. « Oui. » Elle parait satisfaite et pose les coudes sur la tables tout en entrelaçant ses mains autour d’une tasse de café qui semble bien trop vieille pour être d’hier. Le geste le rempli d’anxiété. Il est évident qu’Edward n’a aucune envie d’être ici. « Bien. Je peux te tutoyer ? » Un nouvel acquiescement et un autre sourire. Elle baisse les yeux sur ses notes, puis les remonte sur lui, le visage qui se veut toujours aussi rassurant. Elle a l’air d’avoir des années d’expériences, si les certificats sur les murs blancs de la pièce et l’aise avec laquelle elle parle sont une quelconque indication. « Qu’est qui ne va pas, Edward? » Le garçon reste muet. « Tes parents m’ont parlé de… terreurs nocturnes ? De crises de panique ? »[/b] Toujours rien. Le docteur ne se démonte pourtant pas et son visage se fait plus compatissant. « Ta scolarité jusque ici a été difficile, n’est-ce pas ? L’air Carrow fut sans aucun doute traumatisante. Est-ce que ça s’est bifurqué jusque la maison ? » Silence. Elle change de sujet. « Tu as une bonne relation avec ta famille. Tes parents disent que tu n’as jamais été quelqu’un de secret, toujours plutôt extraverti et prêt à faire des bêtises avec ton grand-frère… Sean je crois ? » L’adolescent tique. Elle le remarque. « Tu étais très proche de ton frère avant qu’il meurt il y a quelque mois, n’est-ce pas ? Il avait cinq ans de plus que toi pourtant, si vous pouviez être ensemble, vous l’étiez. Très soudé. C’est un schéma similaire avec ta soeur. » Edward se mort les lèvres et retient des larmes qui menacent de couler. « Je veux partir. » Le psychiatre semble plus surprise du ton maîtrisé du garçon que de sa demande. Elle acquiesce, ça ne servait à rien de le forcer à rester. « D’accord. » Elle se tourne vers l’enregistreur audio. « Nous sommes le 2 juillet 1998, je suis le docteur Mariana Young, psychiatre à St.Mangouste. Fin de la première séance. »
ENTRY 002 —« Nous sommes le 27 juillet 1998, je suis le docteur Mariana Young, en compagnie de mon patient Monsieur Edward Harrison, 14 ans. Monsieur Harrison, pouvons-nous enregistrer cette séance ? » L'adolescent est de retour, et il n'a pas l'air plus confiant que la dernière fois, bien qu'il a l'air d'aller bien mieux. Il regarde les murs, les certificats, ses doigts. Il aimerait ne pas parler, mais cette fois il a promis à ses parents qu'il ferait un effort. Il parlerait donc. « Oui, c'est toujours bon. » Le docteur hoche la tête, laissant de côté l'enregistreur audio. « Notre dernière séance était il y a quelques semaines et on ne peut pas dire qu'elle a été concluante. Avant de commencer celle-ci, je tiens à m'excuser si je t'ai froisser. Ce n'est et ça ne sera jamais mon but. » C'est Edward cette fois qui lui sourit, et il fait un geste de la main, comme pour lui dire de ne pas s’inquiéter. « Non, c'est bon. J'avais juste pas envie de parler de toute façon. » Le docteur sourit. Le jeune homme a l'air plus ouvert à la conversation, cela va sans dire. Elle ne veut cependant pas faire la même erreur. « Tu m'en vois ravie. Comment vas-tu ? » Eddy contemple sa réponse un instant. Il s'attendait à ce qu'elle aille directement dans le vif du sujet, mais il semble qu'elle soit plus soft cette fois-ci. « Hum... J'pense que ça va. Depuis la dernière fois, j'veux dire. On a parlé avec mon père, et... ben j'ai l'impression que ça va mieux. » ; « De quoi avez-vous parler, si ce n'est pas trop indiscret ? » Edward hésite. « De... Tout ce qui s'est passé. » Young l'encourage d'un mouvement de la tête. « On avait pas vraiment de ce qu'il s'était passé il y a quelques mois. Poudlard, Sean et tout... J'ai l'impression qu'on évitait tous le sujet dans la famille. On était tous dans notre coin, on parlait pas beaucoup alors que d'habitude on est toujours collés l'un à l'autre. Même les grands-parents essayaient pas. » ; « Et les grands-parents d'habitude cherche toujours à confronter les problèmes de familles, un peu comme une figure exhortative ? » ; « Oui » ; « Je vois... Et comment ça s'est fait alors ? » ; « C'est quand je suis revenu d'ici. J'étais pas bien et je voulais pas en parler. Et puis... Carla s'est énervé. Elle aussi avait remarqué qu'on était tous dans notre coin. Finalement sa crise de nerf nous a tous ramené ensemble. » Young hoche la tête, prenant des notes. Elle lui demande doucement. « Pourquoi tu n'étais pas bien en rentrant ? » Un silence lui répond. Puis, inspirant grandement, il continue. « Je sais pas... Toutes ces questions que vous... (elle lui lance un regard) tu ! Tu m'as posé... Ça m'a fait réfléchir. J'essayais de tout nier mais... » ; « Tout nier ? » ; « Oui. La mort de mon frère, ce qui s'est passé a Poudlard avec les Carrow et Rogue... Ça devait être pour ça, les terreurs et moi je voulais rien voir. » ; « Je vois. Qu'est-ce qu'il s'est passé à Poudlard concrètement ? » Edward fait non de la tête, lui indiquant qu'il ne veut pas en parler. Il a l'air ému. Mariana lui sourit. Elle comprend. « D'accord. Et où en es-tu avec ton frère, as-tu accepté qu'il ne soit plus là ? » ; « Pas vraiment non. Mais je commence à me faire une idée. » ; « Et c'est le commencement de ton deuil. Cela demande un gros effort, mais tu l'as fait et tu as de quoi être fier. » Edward lui sourit chaleureusement. Il est fier de lui, cela va sans dire. « Bien. Je crois qu'on en a assez fait pour aujourd'hui. Fin de la seconde séance. »
ENTRY 013 —« Nous sommes le 29 août 1998, je suis le docteur Mariana Young, en compagnie de mon patient Monsieur Edward Harrison. Monsieur Harrison, vous confirmez votre accords face à l'enregistrement ? » Il a l'habitude maintenant. Ça fait un moment qu'il vient parler ici. Parfois beaucoup, parfois pas du tout. Il doit bien avoué que si au début il n'appréciait pas du tout l'initiative de ses parents, il est bien content à présent. L'anxiété s'était calmée, tout comme les terreurs nocturnes qui étaient maintenant presque inexistantes. Comme quoi de temps en temps, il fallait juste savoir demander de l'aide. « Ouaip ! », il répond. Le docteur rit devant son entrain. « Alors Edward, comment te sens-tu ? » Le concerné, affalé sur sa chaise, sourit. « Je me sens plutôt bien. J'ai l'impression de redevenir aussi énergétique qu'avant ces derniers jours, mais c'est peut-être qu'une passe... » La fin de sa phrase est teinté d’appréhension. C'est vrai que parfois, il avait l'impression de bien aller pour que le lendemain tout lui tombe sur la tête. Young hoche la tête. « Ou peut-être pas. Essaie de faire comme je te l'ai conseillé, tourne tout tes 'et si' négatifs en positif. 'Et si demain je n'allais pas bien' devient alors 'Et si demain j'allais encore mieux'. » Eddy hoche la tête et retrouve quelque peu son sourire. C'est vrai que dit comme ça... « C'est bientôt la rentrée. Après les événements de l'année dernière, elle a du être décalé de quelque jour, mais tu en penses quoi concrètement ? » ; « Je... Je sais pas trop. Je me sens pas forcément prêt à y retourner. L'avantage, c'est que je vais retrouver tout ceux que je n'ai pas pu voir cet été mais... » ; « Mais la crainte de ce qui s'est passé la dernière fois que tu y étais refait surface? » Il avait finit par lui en parler. Poudlard sous le régime de Voldemort avait été un enfer. Il se souvient encore des tortures qu'on leur infligeait, du règlement plus qu'infâme qui était appliqué ; les nés-moldu était traité encore moins bien que des Elfes de maisons s'ils n'étaient pas déporté on ne sait où et il ne voulait même pas penser à ce qu'ils faisaient aux hybrides dans les cachots. Il avoue. « Oui. C'est bizarre d'y retourné alors que des tas de gens ont souffert... sont morts même entre ces murs. Je sais pas, je me sens pas confortable. J'aime Poudlard mais j'ai l'impression que ça ne sera jamais pareil et... je sais pas comment je réagirais en retournant là-bas. » Sa bonne humeur du début se fane. « Je comprends. Mais tu n’avanceras pas en restant dans l'inconnu, Edward. » Il souffle. « Oui, je sais mais... On peut reprendre dans 5 minutes » Young acquiesce, les lèvres plissés. Elle l'a encore froissé. « Fin de l'enregistrement. »
LETTRE 01 —
« Sean, Je pars. J’ai pas vraiment de plan précis pour le moment, je compte peut-être me rendre en France, dans la maison de vacance des grands-parents. Pour y faire quoi ? Bonne question. J’ai vraiment aucune idée de ce que je suis entrain de foutre. Je me suis disputé avec Jake et Livia. Ce con est toujours jaloux, mais cette fois il est aller trop loin. Et tu crois que sa petite-amie va calmer ses foutues crises ? Non, elle va plutôt prendre son partie. Comme d’habitude. Je sais pas pourquoi je m’attendais à autre chose de sa part. Je sais que c’est une raison complètement débile pour ne plus parler à son meilleur ami, mais honnêtement j’avais déjà pas la tête à ça à la base et en plus c’est pas la première fois qu’il me fait le coup. Quand à Livia, j’imagine qu’elle m’a jamais vraiment eu en haute estime. Et puis merde! Qu’ils la vivent, leur histoire d’amour idyllique aux accents de Roméo et Juliette, mais qu’ils ne viennent pas couiner comme des Niffleur quand tout leurs amis prendront la fuite. Moi en tout cas, j’ai assez donné. Bordel… ça va faire quatre ans que t’es mort et pourtant j’ai l’impression que c’était que hier que je voyais ta dépouille en dessous de ce foutu draps blanc. C’est toujours blanc, en plus. Les murs de l’hôpital, de la morgue, du bureau de la psychiatre, tout est blanc. J’en peux plus. Honnêtement, ça va me faire du bien de me casser de ce bled pourrit, avec leurs ministère à la con. J’ai réussi mes ASPICs, optimal en potion et en métamorphose comme tu m’avais dit, mais je compte pas devenir auror finalement, au grand damn de papa d’ailleurs. Lui qui rêvait de voir son fils chéri au ministère. On s’est même disputé. Ouais, je sais, je me dispute avec tout le monde en ce moment. Carla fait que me le répéter, et le regard désapprobateur de maman me le fait bien comprendre. Parle de soutien. J’ai l’impression que depuis que t’es plus là, tout à éclater entre nous. Raison de plus pour partir.
Putain tu me manques J’ai jamais fait mon deuil Sean, et je suis sûr que je le ferais jamais. Reviens je t’en supplie, reviens. J’ai besoin de toi.
Ton petit frère, Edward Eddy. »
LETTRE 02 —
« Sean,
Ça fait un petit moment que je t'ai pas écris. Ne t'inquiète pas, je suis moins énervé que la dernière fois. Je suis en France depuis quelques mois maintenant. Comme prévu Papa et Maman n'ont pas trop apprécié que je veuille partir alors que je venais à peine d'avoir mes aspics et c'est parti en dispute. Ils comprennent pas pourquoi je veux pas me poser plutôt que d'aller à droite à gauche, comme ils disent, et moi je comprends pas pourquoi ils sont devenus aussi... oppressant. Que je saches, ils ont jamais fait chier Carla parce qu'elle a abandonner sa licence de droit, alors pourquoi être autant sur mon dos parce que je veux pas devenir auror ?C'est quand même fou. Papi et mamie par contre était complètement d'accord (c'est d'ailleurs grâce à eux que j'ai pu) et ont pas hésité à me donner la clé de leur maison en France. Ça m'a réchauffé le cœur de savoir que j'ai au moins de personne derrière moi à me soutenir. Carla m'a tourné le dos. Elle m'a dit que je gâchais ma vie sans même le savoir. Je lui ai même pas répondu. Je m'étais renseigné sur le monde magique français donc j'ai eu aucune surprise en arrivant. J'ai du m'identifier évidemment mais c'était que des formalités. Leurs Ministère marche un peu comme le notre (en un peu moins toxic) finalement, c'est dommage mais pas surprenant. La maison a pas changé non plus. C'est comme c'était quand on y allait en vacances. Bon, j'ai du faire le nettoyage de printemps en été mais bon, je m'y suis bien sentit juste après. Niveau travail j'ai décroché un petit boulot dans un café moldu du coin puis je m'en suis vite lassé. Même si j'ai aucune idée de ce que je suis venu foutre ici, j'suis pas venu pour jouer les serveurs dans un café, même si y a rien de dégradant à cela (c'est même plutôt cool, si on enlève les mains des grands-mères sur mes fesses). Je sais pas pourquoi, mais je suis aller voir du côté de Beauxbâtons. L'école est fascinante, et encore mieux caché que Poudlard. Je me suis évidemment immédiatement fait recalé, sous prétexte qu'ils avaient besoins de personne. Finalement, un professeur est venu à ma rencontre quelques semaines plus tard, prétextant qu'il aurait bien besoin d'aide, même si honnêtement il avait l'air un peu louche. Je m'en foutait pas mal, ça m'arrangeait en plus. Du coup j'étais devenu le stagiaire de service. J'aidais les professeurs, les élèves même parfois, et en échange j'avais un salaire moindre. Je m'en plein pas, les connaissances que j'obtiens vaux bien plus que quelques gallions.
En somme, je regrette en rien d'être venu. J'ai fait beaucoup de connaissances, que ce soit au Ministère ou à l'école. Je pense rester encore longtemps.
J'espère que toi, tu vas bien de là où tu es. Ton petit frère, Eddy. »
LETTRE 03 —
« Sean,
Oula, j'arrive pas à croire que ça fait déjà deux ans depuis ma dernière lettre. Comme quoi, le temps passe vite. Ne t'en fait pas, j'aurais toujours du temps pour toi.
Tu ne me croiras jamais, mais je suis en Afrique actuellement. Oui oui, en Afrique. Je me suis lié d'amitié à un briseur de sort africain en France et il m'a proposé d'en être un là-bas. Je sais, c'est surprenant. J'ai aucun antécédent qui aurait pu m'emmener à être briseur de sort ou à vouloir l'être et pour être honnête, je me suis surpris à accepter la proposition. C'est vrai quoi, elle vient de nul part puis j'étais plutôt pas mal à Beauxbâtons, même si ça devenait redondant. Mais écoute ça, il m'a dit qu'il me proposait pas seulement d'être un briseur de sort travaillant au ministère mais plutôt en être un travaillant pour Uagadou, la fameuse école de magie africaine. Apparemment, il y a beaucoup de secret à révéler dans les tréfonds de l'école et ils craignent que ça soit dangereux pour les élèves. Pas étonnant. Du coup, je suis entrain de poursuivre une formation. Je peux quand même pas y aller sans avoir un minimum de connaissance sur ce que je fais et apparemment, les formations sont pas mal ici. J'ai rien à perdre et tout à gagner ! Personne ne m'écrit à la maison, si ce n'est les grands-parents, toujours aussi encourageants, et Carla occasionnellement, pour me dire que j'écris jamais. Un comble. Je les pensais pas aussi rancunier, pourtant d'habitude c'est moi la teigne. Je vais sûrement pas leur écrire avec cette attitude-ci, surtout que je suis pas dans le tord. Mamie m'a dit que maman lui fait un peu la gueule aussi. Ils pensent que c'est de sa faute si je suis partis. Quelle blague. Moi qui pensais revenir quand j'étais encore en France, c'est raté. Pas avec cette toxicité.
Ton petit frère, Eddy.» LETTRE 04 —
« Sean,
Je t'écris des États-Unis cette fois-ci. Oui je sais, je sais, je fais vraiment que bouger mais ne t'inquiète pas, je rentre à Londres bientôt. Oui, tu m'as bien entendu.
Ça fait quatre ans que je suis en Amérique déjà. Être briseur de sort m'a plus quelques temps mais je me suis finalement rendu compte que le domaine scolaire me manquait trop. Alors je suis parti. J'étais pas encore prêt à retourner à Londres, et j'avais pas vraiment de raison de toute façon, alors je me suis dit que ça serait pas mal ici et j'avais bien raison. Après quelques mois à enchaîner les petits boulots, je me suis fait engagé à Illvermony en tant que professeur. J'aurais jamais cru qu'ils voudraient d'un jeunot pour le post mais me voilà. Je pensais vraiment pas me plaire tant que ça ici et pourtant, j'ai pensé pendant quelque temps à me poser définitivement. J'ai rencontré Allison, une sorcière elle-aussi. On s'est pas toujours entendu, honnêtement je l'ai même détesté pendant quelques temps mais on a finit par mettre nos différents à plats et avec surprise, je me suis rendu compte qu'on avait beaucoup de point commun. Elle aussi d'ailleurs. J'étais bien avec elle, j'avais un boulot stable, une vie stable. Pourtant, je sais pas, il y a quelque chose qui manque. Je me sens dépaysé. Je m'en veux de la laisser derrière. Je sais qu'on était pas toujours sur la même longueur d'onde, mais on avait trouvé une bonne stabilité ces derniers temps. Je lui ai demandé de partir avec moi mais elle a refusé, et je la comprends. C'est une demande égoïste. Je sais vraiment pas qu'est-ce que je cherche, mais j'ai l'impression que je suis resté trop loin de la maison au final (moi qui voulait de la liberté, j'ai l'impression que j’étouffe). La famille le pense aussi d'ailleurs. Ça s'est arrangé entre nous. Enfin, ça s'est arrangé avec papa et maman. Carla est toujours un peu froide mais on y travaille. Ils sont content de me savoir sur la route du retour. Devine quoi, un poste de professeur s'est libéré à Poudlard. Si c'est pas de la chance ça, alors qu'est-ce que c'est. Je vais le tenter. Qui c'est ? C'est peut-être le bon.
Avec enthousiasme, Ton petit frère, Eddy.»
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Invité
INRP
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Dim 13 Jan - 0:58
Graouuuuuw
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Dim 13 Jan - 1:07
Invité
INRP
IRL
Dim 13 Jan - 3:31
Tu as vu ils ont pensé à toi, y a des CAPSLOCK dans le dossier du Ministère
Invité
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IRL
Dim 13 Jan - 9:27
Eddy chou ! Jure qu'on garde notre lien !
Invité
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IRL
Dim 13 Jan - 13:48
Faust > MAIS OUI JE SUIS TELLEMENT HAPPY, j'me sens dans mon élément là
Ella > MAAAAAH OUI, qu'est-ce que tu crois ?
Leah O'Malley
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Lumos Je rp en : #DE948C Mon allégeance : L'ordre du phénix côté moldu
Dim 13 Jan - 17:39
Eddy mon amouuuuuuuuuuuuuur
On va pouvoir reprendre notre Idylle là ou on l'avait laissée
Jotem
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IRL
Dim 13 Jan - 19:31
COMMENT TU PARLES DE LIV ET JAKE J'EN PLEURE BORDEL ! TU VAS ME TUER XDDDDDD Courage avec ta fiche sale niffleur XD
Invité
INRP
IRL
Dim 13 Jan - 19:44
Leah > LEAAAAH MA DOUUUUUUUUUCE Mais oui enfin, il était tant quand même
Mat' > MAIS OUI T'AS VU COMMENT IL PARLE COMME DE LA MERDE CE BOUFFON ? xD En vrai moi je me serais battu, je suis huitré de comment il parle mal le Eddy
Invité
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Dim 13 Jan - 19:45
Attend que la blond ramène ses fesses, tu vas passer un sale quart d'heure !
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Dim 13 Jan - 19:49
HAN, j'ai peur
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Dim 13 Jan - 20:23
TOI
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Dim 13 Jan - 20:37
Haaaan, est-ce que Livia flume ?
Invité
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Dim 13 Jan - 20:40
Regarde juste ma signa
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Dim 13 Jan - 20:51
*Edward Harrison has left the conversation*
NON MAIS EN VRAI ENLEVE OU JE DIS QUE TU FLOOD SUR MA FICHE !
Leah O'Malley
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IRL
Lumos Je rp en : #DE948C Mon allégeance : L'ordre du phénix côté moldu
Dim 13 Jan - 22:56
C'est pas très jolie, jolie le flood
Mon Eddy, pour toi je sors la plus belle cette fiche ohlala j'aime toujours autant
Bienvenue chez les ...
Sorciers
Félicitation à toi te voilà fraîchement validé !!!
Tu vas pouvoir parcourir le forum de fond en comble et pouvoir rp à gogo ! Nous te conseillons tout de même de passer ouvrir ta fiche de lien et aussi ton hiboux afin de recevoir ton courrier. N'oublie pas de remplir ton profil, si un lieu te manque où si tu souhaites obtenir ton logement, c'est par ici que ça se passe.N'hésite pas aussi à te détendre dans la partie flood et même à venir nous faire un petit coucou sur la chat box Si tu as une question ou même une suggestion tu peux venir dans ce sujet et n'oublie pas que nos boîtes à mp sont toujours ouvertes
Amuse-toi sur GoB !!!
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(EDWARD) he protecc, he attacc, but most importantly he comes bacc
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