Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility
RSS
RSS



 

Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes,
alors pensez à les privilégier pour vos personnages

-20%
Le deal à ne pas rater :
-20% Récupérateur à eau mural 300 litres (Anthracite)
79 € 99 €
Voir le deal

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
- Chez Jaeden- "Je commençais a ne plus y penser... " - Jaeden Evans. :: Three Broomsticks :: Pensine :: Les RPs
Anonymous
Invité
INRP
IRL
Dim 9 Fév - 18:41
De plus en plus dans ma vie je commençais a ressentir l'envie de faire des choses de plus en plus de ma propre volonté. Certes, je me justifie encore en me trouvant des excuses pour agir de la façon dont je le fait. Pas lorsque je suis seule.  Le temps de laisser se consumer ma première cigarette de la journée devant un café amer a s'en décrocher la mâchoire. J'ai toujours détesté cela et pour beaucoup cela signifie que de ne pas aimer le café était la preuve de ne pas encore avoir assez grandit. Peut-être que je fait la grande, même seule dans cet appartement mais il s'avère cependant que le breuvage est plus efficace qu'une gifle au réveil. Une mâtiné comme les autres au son grésillant d'une vielle radio parfois le silence et motivant mon envie de vivre un jour de plus, je me met parfois a chanter ou a danser en m'occupant du peu de tâche ménagère qu'il me restait a faire. Mes journées ne serons surement plus aussi calme et routinier bientôt. Je me demande si je la ressentirai encore, cette sensation de maillons qui se brise pour s'agripper a une autre, plus forte.

Mais vite, l'ennuis a commencé a me gagné. Je n'arrivais plus du tout a supporter ses moments d'attente, sans avoir quelque chose d’intéressant a faire. «  Je me demande bien ce que fait « fratellino »... » J'étais plus timide désormais ; je n'osait plus passer aussi souvent chez lui a l'improviste comme je pouvais le faire autrefois.Il n'étais pas rare que j’échafaude des plan diabolique pour toujours avoir une excuse valable pour que cela n'est pas l'air trop intrusif. Celui qui se dessina était claire pour aujourd'hui. Je vais passer chez lui un peu avant l'heure de son déjeuner avec de quoi et je ne serais pas seule au moins pendant midi. J’espérais tout de même qu'il n'est rien de prévu par la suite et que l'ont puisse totalement oublier le décompte des secondes et si ce n'est pas le cas ; je me vengerais très certainement en me laissant pousser la plus puissante fièvres acheteuse de l'année. Plus violente que celle du noël dernier.

J'avais l'attention de faire une longue marche avant d'aller nous chercher la meilleurs « malbouffe » qui nous est autant irrésistible. C'était une journée calme, ce genre de journée ou vous pouvez arrêtez de regarder votre nombril et lever les yeux sur ce qu'il se passe autour de vous. Redécouvrir le ciel, les oiseau, les nuage. Découvrir les autres visage qui partage votre monde et qui pourtant n'aura que l'importance d'être passer une fois sous vos yeux. C'est une belle journée. Après cette bonne bouffé d'air frais, je me suis retrouvé dans celle de la friture. L'odeur était tellement ecoeurante qu'elle arrivait a en faire gargouiller mon estomac. Ce que j'ai toujours pu détester de devoir transporter de la nourriture. C'est un supplice de ne pas résister a l'envie d'en picorer sur le trajet. Heureusement que je ne m'était pas approvisionné très loin avant de m'approcher du chemin de traverse.

En passant par le garage, j'ai saluer mes frères et sœurs avec le sourire avant de laisser mes talons annoncer mon arrivé au petit chanceux qui va avoir le plaisir d'avoir sa nourriture a domicile. J'avais frapper de trois coup sur la porte en annonçant clairement la nature de ma venue.

«  Max' Burger, livraison spéciale a domicile. C'est une de nos toutes nouvelles méthode, venir tout juste quand vous avez envie de manger. »


Evidemment, je n'avais pas pousser l'humour au point de déformer ma propre voix et encore moins l'accent italien qui me va si bien. En attendant, je patientais tout simplement sans insister d'avantage. Je savais qu'il était chez lui, et je n'avais qu'a attendre qu'il termine de s'apprêter a me recevoir.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
INRP
IRL
Ven 14 Fév - 18:14


Je commençais a ne plus y penser...

Baeden - Mai 2019
Le réveil avait été doux, Anjelica au creux de ses bras, c’était comme si vous n’aviez pas connu de drame il y a quelques jours et pourtant les attaques du ministère et de l’université était ce qui vous avaient finalement poussés dans les bras l’un de l’autre alors que vous vous tourniez autour depuis des mois… Mais l’adrénaline, la peur de se perdre, la colère d’avoir perdu certaines personnes, tout cela vous avaient poussés à vous raccrocher à l’un et l’autre. Et découvrir les réveils auprès d’elle était tout nouveau pour toi, mais tu avais cette crainte de ne plus pouvoir t’en passer un jour… Elle avait tout de même fini par quitter ton lit, devant tout de même gérer le garage tandis que toi c’était ton jour de congés. Seul au milieu des draps tu repenses alors à la journée de la veille. Tu portes ton poignet au niveau de tes yeux, cet endroit où il y a encore peu de temps tu portais un bracelet anti magie que ta propre sœur t’avait mis pour sauver les apparences, pour ne pas griller ce lien qui vous unis… Instinctivement tu frottes cet endroit, elle te l’avait retiré la veille et votre conversation était encore ancrée dans ta mémoire… Tu te demandes si un jour vous arriveriez réellement à vous comprendre, tu te demandes si espérer apprendre à vous connaitre n’est pas un doux rêve qui était sans doute bien trop beau pour être vrai…

Vous sembliez désirer la même chose et pourtant vous passiez votre temps à vous balancer des reproches… Et même quand elle te pose des questions plus personnelle tu es sur la défensive... Difficile de faire confiance à une personne qui tues nombre des tiens quand bien même tu connais ses raisons… Tentant d’effacer toutes ces pensées, tu avais fini par te lever, te faisant couler un café avant d’aller prendre ta douche, plus mécaniquement qu’autre chose… Après la douche tu t’habilles, un jean, un t-shirt comme la plupart du temps lorsque tu ne travailles pas et que tu ne portes pas ton bleu de travail. Posant ton cul dans ton fauteuil, tu sens que la journée va être longue. Alors tu décides de prendre ce petit sachet d’herbe sèche que tu gardes dans un de tes tiroirs et décide de te rouler un joint. Tu es loin d’être un junkie loin de là, contrairement à Luca qui s’était complètement plongé dans la drogue, toi en générale tu ne l’utilise qu’en soirée, ou à de rares occasions comme celle-ci aujourd’hui où tu avais clairement besoin de te détendre… Tu avais à peine tirer une ou deux lattes lorsque finalement tu entendis un pas que tu connaissais bien s’approcher de ta porte, tu comptais presque les secondes, t’attendant à entendre frapper d’une seconde à l’autre. Un sourire étire alors tes lippes tandis que tu prends tout de même le temps de tirer une nouvelle latte tout en l’entendant annoncer le repas. Elle ne se doutait pas à quel point elle arrivait à point nommé, comme toujours d’ailleurs, à croire que Belladonna avait un radar et savait quand il fallait qu’elle vienne. Posant ta cigarette dans ton cendrier, tu ne tardais pas à te diriger vers la porte ouvrant alors à la jeune femme que tu considérais comme ta meilleure amie, voir même un peu plus. Une fois la porte ouverte, tu t’appuies au chambranle de la porte avec ce petit air complice dans le regard.

« Pas mal cette nouvelle méthode ! Tu arrives à point nommé, je meurs de faim ! »
Bon peut-être que tu abusais légèrement, jusqu’ici tu n’avais pas eu très faim, mais elle venait de t’ouvrir l’appétit en quelques secondes à peine. Un nouveau sourire plus tendre vient alors fendre ton visage tandis que tes bras viennent entourer la jeune femme, l’une des rares avec qui tu te montrais un peu plus tactile que la normal. « Tu vas bien ? » Ne peux-tu t’empêcher de lui demander tandis que tes doigts s’emparent du butin qu’elle vous à ramener avant de l’inviter à entrer. Etant habituée à venir ici, tu la laissais fermer derrière vous tandis que tu posais le sac sur ta table basse avant d’aller ouvrir la fenêtre. Elle était fumeuse, tu savais que la fumée ne la gênerait pas, mais tu même si cela ne se voyait pas toujours, tu avais des manières. Tu troquais ton fauteuil contre le canapé et évidemment tu attendais qu’elle vienne te rejoindre. « Que nous as-tu ramenés de bon ? » Evidemment tu te doutais bien qu’il s’agissait de burger, jusque-là aucun souci. Ton regard se pose sur Belladonna, tu ne lui avais rien dit à propos du fait que cette nouvelle demie sœur que tu ne connaissais que depuis quelques mois faisait partie du Blood Circle. Tu t’étais dit que c’était mieux pour sa sécurité de ne rien savoir… Aujourd’hui tu en étais beaucoup moins sûr, surtout quand tu voyais la réaction qu’avait eu Anjelica… Bon Anjelica avait ignoré jusqu’à même son existence, là ou Belladonna savait qu’elle existait donc ce n’était pas tout à fait pareil… Mais le poids du secret commençait à devenir trop lourd et tu ne pouvais quasiment rien cacher à la jeune femme qui venait d’arriver chez toi.

Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
INRP
IRL
Sam 15 Fév - 13:04
J'ai toujours trouver ça très curieux a quel point le simple fait de voir son visage me faisait tout oublier. La magie est vraiment partout et sous de multiples formes et celle que j'avais la chance de ressentir était l'une des plus belles. Le passé devrait pourtant m'avoir servie de leçon, mais lui n'est pas comme ses gens que j'ai pu côtoyer dans son passé que j'ai promis de soigner. Pour le moment, je ne semblais pas arriver à un autre moment que le parfait timing. J'avais un peu plissé un sourcil et étirer un doux sourire joueur. Il en faisait beaucoup trop, mais j'adorais ça. Avec le temps, j'avais appris à jouer sur beaucoup de domaines différent. Très souvent, j'aimais faire semblant de monter sur mes anciens aires de précieuse.

- C'est tout ce qu'on attend de la perfection incarné , il me semble...


C'était un poil auto dérisoire, mais le sourire amusé n'en n'était pas moins sincère. J'étais décomplexé avec lui. En même temps, il avait parcouru les moindre de mes veines a nues plus d'une fois. Il n'y avait de toute façon qu'avec lui que je pouvais en parler librement sans me soucier de son jugement. Encore pire, depuis quelque temps, il m'arrivait d'en plaisanter comme maintenant. Je me suis doucement blotti contre lui durant les quelques instants où il m'offrait le confort de son étreinte que tendre caresse était venue accompagner de ma main libre. Il la libéra d'ailleurs bien vite à l'appel de son estomac et me laissa libre de rôder comme je le souhaite. Après avoir refermé la porte dernier mois, je l'ai suivi quelques pas en observant les éventuel changement qu'il y aurait pu avoir depuis mon dernier passage ici. Mes narines loin de de la nourriture, une odeure un peu particulière, très légère mais reconaissable était venue se frotter.

- Et bien, il semble que j'aille aussi bien que je puisse aller.

Pendant que je lui répondais, j'avais laissé enquêter mes yeux vers le cendrier. Cela n'avait pas vraiment d'importance du tout à mes yeux. En réalité, tout ce que cela me laissait comprendre, c'est qu'il était plus tendu qu'il en avait l'air. C'était inutile de lui passer un interrogatoire puisque je le savais desormais. J'ignorais à moitié ce détail pour lui retourner la question, plus tard.

Je restais quelques instants debout, le temps qu'il fasse un brun de rangement pour que nous puissions nous installer. Evidement, j'étais partie occupé la place de choix restante sur le canapé. Pour le moment, je n'avais pas encore saisit a quel point j'étais loin de m'imaginer qu'il était aussi préoccupé, alors, j'avais tout de même voulut a se detendre d'avantage, il en avait besoin.

- Comme on est sur la nouveauté, j'ai pris les nouvelles recettes. C'est un nouveau mouvement apparemment, enfin, de quelques années maintenant. « Vegan » dont il appelle cela.

Évidemment, je jouais la fausse ignorante sur le sujet et voulais simplement le taquiner en choisissant, pour une fois, autre chose que les choses les plus grasse possible tout en sachant très bien que les recettes vegans sont particulière pour les profane de cette nourriture. J'avais joué de mon air sérieux en te fixant droit dans les yeux.

- Non, je plaisante. Des bonnes protéines et de quoi nourrir l'estomac insatiable d'un homme comme toi.

Il y avait deux grosses boites dans le sachet accompagné de deux canettes de bière encore fraîche. Les deux boites était de couleur identique, mais comportait deux burgers différents avec plus ou moins la même quantité de frites. En me penchant un peu sur la table, j'avais tout déballé devant nous. Tout en désignant les boites l'une après l'autre...

- Celui-ci et un extra-viande, et celui-là extra-formage. Prends celui que tu préfères sachant que je mangerai volontiers les deux si tu ne te décide pas très vite.


Lorsqu'il m'arrivait de faire cela, il savait que c'étaient souvent les méthodes que j'employais et que je choisissais toujours une sauce que l'on aimais tous les deux pour éviter les fautes de goût. Bien sure, je m'étais trompé à de nombreuses reprises, mais j'apprenais finalement de chacune de mes erreurs.

C'est à ce moment-là que j'ai ressentit que ce n'était peut-être pas qu'une longue semaine qu'il l'accablait. J'avais senti son regard sur moi tout le long de ma mise en place, mais j'avais aussi senti que pendant un instant, il n'était plus avec moi. Ce n'était peut-être pas le moment avant de manger de commencer a aborder cela, mais je devais toute manière lui poser la question à un moment ou a un autre.

- Et toi Jaeden ? La semaine semble avoir été plutôt longue...


Je lui avais étiré un léger sourire. Pour beaucoup, ça ne n'était qu'un simple sourire, mais pour lui cela voulait dire que j'étais déjà plus ou moins au courant que quelque chose semblait le préoccupé. Il savait aussi qu'il avait tout à fait le droit de faire comme si il ne l'avait pas remarqué, jusqu'au moment ou il serait prêt a en parler a quelqu'un. J'avais détourné mon regard de lui en silence et attentive en ouvrant les deux canettes de bière pour me délaisser de la première a son profit, accompagné d'un sourire, toujours bienveillant lorsqu'il lui était destiné.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
INRP
IRL
Lun 24 Fév - 18:18


Je commençais a ne plus y penser...

Baeden - Mai 2019
Tu n’avais pas pu t’empêcher de rire en l’entendant te répondre et même si elle mériterait que tu la charrie en retour, tu ne le fais pas. Tout simplement parce que tu savais combien rebâtir un semblant d’estime de soi avait été dur pour elle. Alors qu’elle soit capable de plaisanter de la sorte, cela te réchauffait le cœur rien que de l’entendre. Et même si cela se voyait que ça semblait aller bien, tu as besoin de poser la question, parce que tu savais qu’elle était douée également pour cacher ses failles parfois. Ton attention torturée depuis de nombreuses heures, était finalement détournée, accaparée par la nourriture fraichement arrivée que tu avais hâte de dévorée en compagnie de Belladonna. Alors que vous vous installiez confortablement, tu lui demandais ce qu’elle avait ramené de bon, plus par politesse qu’autre chose te retenant de peu d’aller voir par toi-même ce que contenait le sac. Etant sang-mêlé et connaissant pas mal le monde moldu, le mot Vegan ne t’étais pas inconnu et tu te figeais à cet instant tout en la regardant, se disant que ce n’était pas possible. Elle te connaissait par cœur, elle connaissait tes goûts, elle n’avait pas pu faire cela… Peut-être que venant de quelqu’un d’autre, tu aurais avalé cette blague sans sourciller, là… C’était tout de même un peu gros, son air innocente n’aidait pas non plus à ce que tu la crois sur parole, ton sourcil se redresse alors tandis qu’elle avoue plaisanter et que soudainement tu te détendes. De la viande ! Elle avait bien ramené de la viande !

« J’ai presque eu peur. » Répondais-tu alors sur le ton de la plaisanterie tandis qu’elle déballait alors le tout et que les odeurs venaient de plus en plus allécher tes papilles. Tu ne te faisais pas prier lorsqu’elle t’annonçait que tu pouvais choisir et finalement ton choix se porta sur oh grande surprise l’extra-viande. « C’est mal me connaitre si tu penses que je vais te laisser ma part. » Lâchais-tu alors avec complicité. Bon d’accord ce n’était pas totalement vrai, parce que s’il n’y avait qu’un burger pour deux, tu l’aurais laisser manger en priorité, mais ce n’était qu’un détail n’est-ce pas ? Tu tentais d’oublier tes propres problèmes, mais ce n’était pas simple, tu voyais le visage de Lyrae presque partout… Et évidemment que Belladonna sentait que quelque chose n’allait pas… Le contraire aurait été étonnant pour une personne qui te connaissais si bien. A son sourire, tu savais que tu ne pouvais même pas essayer de prétendre le contraire loin de là. Ouvrant d’abord ta boite dans le silence, tu commences par tremper une frite dans la sauce avant de la porter à ta bouche. Tu sais que tu as le choix, que jamais Bella’ ne te forcera à dire quoique ce soit. C’était cela qui était bien avec elle, elle avait appris à être d’une grande patience avec toi. Elle savait que de toute façon à un moment ou à un autre, les choses viendraient… Ce qui aidait c’était qu’elle était déjà bien au courant de certaine chose.

« D’accord… » Dis-tu en soupirant un instant, pas parce qu’elle te fatiguait loin de là, mais parce que parler de tes problèmes n’avait jamais été ta tasse de thé. « Mais mange d’accord ? Ça va être froid. » Et puis il était du genre têtu, si elle s’arrêtait de manger, alors il s’arrêterait de parler. Tu acceptais la cannette de bière volontiers et en buvait même une gorgée pour te donner du courage, ton regard se portait alors sur ton joint qui était sur le point de s’éteindre. « Tu te souviens que depuis peu j’ai appris l’existence de ma demie sœur ? » Demandais-tu tout en sachant que c’était quelque chose qu’elle ne pouvait pas oublier. Tout comme l’identité de ton père du coup… Tu lui avais raconté que lorsque tu étais jeune, pendant une courte période un homme venait souvent te chercher pour t’emmener en dehors de la maison close, qu’il t’emmenait à un endroit où il y avait une petite fille avec laquelle tu aimais jouer et qu’on te faisait des tests… Cette petite fille était donc Lyrae ta sœur et l’homme était ton père… Mais tu avais occulté ces souvenirs, ils étaient réapparus lorsque ta demie sœur t’en avais reparlé. Tu cherchais tes mots pour annoncer la suite, tu ne savais pas comment balancer l’information sans la choquer, sans même lui faire peur…

« J’ai…je… » Bredouillais-tu en butant sur les mots ce qui n’était pas ton genre habituellement… « Il se trouve qu’elle… Lui aussi, bref toute sa famille… Il s’agit d’une famille fondatrice du Blood Circle… » Par conséquent, sa propre demi-sœur faisait partie de cette organisation qui essayait de tuer les leurs… Par lui tu entendais bien évidemment ce qui te servait de père, mais tu avais du mal à parler de lui et elle le savait bien. Tu ne disais plus rien, tu laissais le temps à Belladonna de digérer l’information, parce que toi mieux que personne savait comment c’était dur à avaler… Toi-même tu n’étais même pas certains de ce que tu devais faire réellement, même si tu avais décidé de laisser une chance à cette nouvelle sœur, tu ignorais si c’était une bonne chose ou non…

Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
INRP
IRL
Revenir en haut Aller en bas
- Chez Jaeden- "Je commençais a ne plus y penser... " - Jaeden Evans.
Sauter vers:
Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Game of Blood :: Three Broomsticks :: Pensine :: Les RPs-