Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes, alors pensez à les privilégier pour vos personnages
Quelle est votre allégeance ? Développer quel camp votre personnage a choisi de rejoindre : Que pense-t-il de cette bataille en sous-main ? A-t-il un avis sur les moldus, les sorciers ? Que pensez-vous de la pureté du sang ? Etes-vous investi, impliqué ? Il n'y a qu'un seul camp : le notre. La Cosa Nostra est neutre de tout conflit, seul l'appel du plus offrant à son importance. Tout comme je me fiche de la soit-disant pureté du sang des sorciers ; je ne respecte que les convictions et les actes, qu'ils viennent d'un sang-pur ou d'un moldu ça n'a pas la moindre importance à mes yeux.
« ABYSSUS ABYSSUM INVOCAT »
Derrière l'écran Pseudo ϟ Elf/Doun Age ϟ 27 ans Scénario ou inventé ϟ Ancien scénario, ça marche ? Comment as-tu connu le forum ? ϟ On se le demande... Dernier mot ϟ
« crédit avatar »
Dossier ministériel n° 3103
Le nom de ma famille est Zabini ; un Héritage, une Famille, un Sang Pur et mes parents ont décidés de me nommer Luca ; la Lumière, pourtant je lui ai tourné le dos il y a bien longtemps, lorsque mes mains innocentes ont embrassé le poison au détriment de la plume.. Je suis né le 13 août 1989 dans cette belle ville qu'est Tivoli, proche de la banlieue romaine, ce qui fait que je suis aujourd'hui âgé de 29 ans, 29 années à se forger un nom et une réputation.. Je suis un sorcier et de ce fait le sang qui coule dans mes veines fait de moi un sang pur. Lorsque j'étais enfant, je suis allée à l'école de sorcellerie de Beaubâtons, et j'étais dans la maison,fratrie,clan etc... des l'atelier de la Soie, ce qui m'a permis de devenir aujourd'hui Officiellement Chef d'atelier au Thestral Motor. J'ai commencé comme simple mécano sur des bécanes que je connais sur le bout des doigts en Italie avant d'encadrer ma propre équipe à l'ouverture du garage familial. Officieusement responsable de la branche anglaise de la Cosa Nostra. Je représente les Zabini de l'autre côté de la Manche. Cette situation me permet également de gagner ma vie de manière Aisée. Je n'ai jamais manqué de rien ; J'ai toujours obtenu tout ce que je désirais ; d'une manière ou d'une autre. et de vivre à Londres, dans un appartement au-dessus du Thestral Motor.. Je suis en relation tumultueuse de longue date avec le célibat. et d'ailleurs, j'ai une préférence pour les femmes. Je me suis procuré il y a de ça quelques années une baguette magique et la mienne est faite en bois de cèdre avec un cœur de plume de phénix et elle mesure trente-et-un centimètres. Elle me permet de faire apparaître un rhinocéros comme patronus. C'est elle aussi qui m'aide à combattre mon épouvantard qui prend la forme de ma soeur, torturée jusqu'à l'agonie sous mes yeux avec un riddikulus lors duquel ma soeur lève un majeur magistral vers le corps inanimé de son agresseur. La dernière fois que j'ai pu sentir une potion d'amortentia, elle avait la douce odeur âpre de l'échappement, la combustion du fioul, les pneus crissant sur le bitume à tout rompre. Le parfum de la sueur et de l'adrénaline.. Je n'oublie évidemment pas mes rêves et lorsque je me place devant le miroir du rised, je vois La Famille, la Cosa Nostra, au sommet, tous ses membres sains et saufs. Nos ennemis à genoux. Ma victoire ; notre victoire.. Il se trouve que que je n'ai pas une particularité magique. Ah j'ai failli oublier, l'être qui m'accompagne aujourd'hui est une chouette et elle se nomme Luna. Et pour finir je prête mon allégeance à la Cosa Nostra, neutre de tout autre conflit..
Caractère
Ϟ 01. Ϟ Luca a toujours jonglé entre les attentes et responsabilités des siens et son irrépressible besoin de liberté ; impulsif et insaisissable. Ϟ 02. Ϟ Il représente fièrement la Cosa Nostra hors de ses terres natales. Il y a été préparé toute sa vie. Ϟ 03. Ϟ C'est un jeune épicurien dans l'âme. Il rêverait de ne vivre que de fêtes, d'alcool et de drogues mais les responsabilités qui lui incombent le ramènent bien souvent à une toute autre réalité. La Famille avant tout. Ϟ 04. Ϟ Mais il n'en demeure pas moins une tête brûlée arrogante qui trouve toujours le moyen d'assouvir ses envies ; il carbure à l'adrénaline et lorsque les nuits se font longues il ne se refuse jamais quelques stimulants dont nous tairons le nom. Ϟ 05. Ϟ Il est accro au café, toujours une tasse ou une taffe au coin des lèvres ; et il s'étonne encore d'être insomniaque. Ϟ 06. Ϟ La famille représente tout à ses yeux. Il ferait n'importe quoi pour les siens. Toutes ses valeurs y sont fermement rattachées. Les Zabini, la Cosa Nostra, ce sont toute sa vie. Jusqu'à cette jeune sœur intenable, à son image, qu'il s'est juré de protéger quel qu'en soit le prix. Ϟ 07. Ϟ Il porte de nombreux tatouages mais celui qu'il chérit le plus restera à jamais son poignard sur l'avant-bras, symbole d'un engagement dont le sens dépasse les simple mots. L'abîme appelle l'abîme. Ϟ 08. Ϟ Il tatoue lui-même les nouveaux membres de la Famille. Cette responsabilité est devenue un passe-temps, une activité officieuse. Ce jeune gribouilleur dans l'âme depuis qu'il fut en âge de tenir un crayon s'est découvert un amour pour l'aiguille et l'encre. Il a ouvert un salon de tatouage clandestin à l'arrière du White Thestral d'où il réalise quelques commandes à ses heures perdues. Ϟ 09. Ϟ C'est un boxeur émérite qui pratique cette activité depuis sa plus tendre adolescence. Le sport a toujours eu une place importante dans sa vie ; un exutoire. Il ne tient pas une journée sans relâcher la pression, quelqu'en soit la manière. Ϟ 10. Ϟ C'est un grand séducteur, un ami et un frère loyal qui s'insurge de la lâcheté et de ce qu'il considère comme de l'injustice. Mais derrière ces belles facettes se cache un provocateur fier et buté qui n'a aucun scrupule à représenter la Cosa Nostra d'une main de fer. Il s'acquittera toujours de ses promesses, tout comme il ne prononcera jamais une menace en l'air...
Pensine
La chaleur incandescente de la brûlure, le souffle rêche, l’odeur de soufre... je n’oublierai jamais ces sensations qui me hantent chaque fois que mes doigts effleurent la fine ligne transperçant les tatouages sur ma poitrine. Je me souviens de tout. Du moindre détail.
Lorsqu’ils m’avaient délivré des ténèbres du masque recouvrant mon visage, les premières effluves d’un air ranci et de moisissures me chatouillèrent les narines, sitôt oubliées par la vision de ma jeune sœur sur le sol devant moi. « Anja… » eussé-je seulement le temps d’articuler qu’un violent coup de poing dans les côtes m’incitait au silence. J’étais fermement entravé, attaché de la tête aux pieds à un pilier au beau milieu d’un entrepôt désaffecté. Mes bras noués sur les côtés de la colonne ne m’étaient d’aucun secours malgré toutes mes tentatives pour les libérer. Je ne pouvais qu’assister impuissant au spectacle morbide qui se déroulait sous mes yeux. « Touchez à un seul de ses cheveux et je vous fais la peau… » susurrai-je entre mes dents crispées mais la moindre de mes remarques ne me valait qu’un nouveau coup dont j’ignorais la douleur, obnubilé par les ravisseurs qui tournaient tels des vautours autour de ma protégée. Je dévisageais ces visages inexpressifs derrière leurs lâches cagoules, mémorisant chaque corpulence, chaque trait grossièrement dessiné, chaque regard. Je tentai à nouveau de me libérer, accompagnant chaque échec d’un juron italien. Ces enfoirés le paieraient.
Lassés par notre éternelle impertinence de Zabini, nos agresseurs mirent leurs menaces à exécution et commencèrent à torturer Anjelica devant moi. Je sentis mon sang battre frénétiquement dans mes tempes. Envahi par la haine et les pulsions meurtrières, je me débattais tel un animal enragé. « Je vais vous tuer ! » hurlai-je avec férocité. Jamais encore je n’avais goûté à une telle fureur, mais à chaque soubresaut de ma petite sœur sous leurs sorts impardonnables bourdonnaient en moi des élans d’une cruauté insoupçonnée. Le visage et la voix déformés par l’animosité, je m’enrageai à nouveau : « Je vous le jure, je vous tuerai tous ! » Les coups que je recevais n'atténuaient en rien mes menaces fanatiques. « Un par un ! Je vous retrouverai ! Vous me le paierez ! Je vous tuerai tous ! TOUS ! » D’un revers de baguette, l’un de nos ennemis balaya ma poitrine et grava ma rancune profondément dans ma chair. Une cicatrice que je n’ai jamais souhaité recouvrir ; en souvenir de ma promesse. Les muscles tendus, la rage au ventre, chaque sortilège torturant Anje me ravageait, détruisant une à une les dernières barrières de ma moralité. Je n’étais plus que vengeance et ténèbres.
Lorsque les nôtres finirent par nous secourir, avant que nos bourreaux sans autre revendication que notre souffrance et notre mort ne puissent mettre leurs dernières volontés à exécution, je m’effondrai aux côtés de ma sœur, ignorant tout du sang qui ruisselait le long de ma poitrine et de la douleur poignante de mes côtes fêlées. Je la pris dans mes bras pour la sortir de cet enfer, me fondant en excuses et en de maigres paroles réconfortantes – tant pour elle que pour moi. Mon regard de braise se portait sur la porte battante au fond de l’entrepôt par laquelle ils avaient pris la fuite dès l’arrivée des renforts. Je ne pensais plus à rien sinon ma seule certitude : ils me le payeraient.
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Invité
INRP
IRL
Dim 13 Jan - 11:20
Votre histoire
« abyssus abyssum invocat »
Voici la manière dont j’envisageais ma vie. Si vous ne me connaissez pas, je suis Luca Zabini, italien jusqu’au bout de ongles, héritier de la mafia italienne, fêtard à mes heures perdues et accro à quasi toutes les addictions de ce bas monde. Ravi de vous rencontrer. Etre le fils aîné de Stefania et d’Alessandro Zabini signifiait avant tout de ne pas grandir comme les autres enfants. D’aussi loin que je me souvienne, nous n’avons jamais manqué de rien, ma petite sœur Anjelica et moi ; tout ce que nous pouvions désirer étaient à la portée de nos caprices. Comprenez que la famille et ses traditions étaient primordiales pour nous autres. Et dès lors que nos petites mains s’étaient saisies de la fiole de poison à la place de la plume, notre innocence s’était envolée pour un univers d’opulence rythmé par un habile jeu de réputation.
Dès ma plus tendre enfance, père instaura des règles indiscutables. Nous étions ses descendants, les enfants de la Cosa Nostra, et notre nom impliquait son lot de responsabilités. Tout n’était qu’influence et politique, j’ai appris très tôt à soigner ma tenue et ma posture et à offrir sur un plateau au moindre visiteur de prestige ce que la mafia voulait entendre. Là où certains verraient un outil de l’avarice d’un père, moi je voyais un rouage d’une machine finement huilée. Nous étions un maillon d’une chaîne indéfectible.
Ça c’était le scénario rêvé de notre père. Malheureusement pour lui, entre deux réceptions et présentations de nouveaux modèles de voiture, je n’avais rien du fils prodige qu’il attendait. Adolescent hyperactif, je ne carburais qu’à l’adrénaline. Je me découvrais une passion pour le sport et plus particulièrement la boxe que je n’ai jamais cessé de pratiquer et les courses en engins volants. Je les connaissais comme si je les avais fabriquées, ces voitures et motos dans lesquelles je plongeais les mains, entouré de mes amis d’enfance, pour tenter de les débrider. Une belle bande de bras cassés. J’aspirais sans cesse à ce besoin de liberté et flirtait sans cesse avec les limites de la patience de notre père. Plutôt que de l’affronter dans un bras de fer perdu d’avance, je choisissais une voie plus prudente, jouant le rôle du fils parfait lorsqu’il me le demandait, apprenant sagement les leçons qu’il m’inculquait et renfilant mon blouson du petit branleur lorsqu’il avait le dos tourné.
En grandissant les courses s’accompagnèrent de soirées et de fêtes dont j’avais le secret. Comme tout italien qui se respecte je ne passais jamais inaperçu et les soirées auxquelles j’assistais en gardèrent un souvenir impérissable. Je m’étais très vite laissé tenter par les plaisirs interdits - ceux qui me permettaient d’échapper à ma belle cage dorée - et je ne refusais ni drogue, ni alcool dans cette quête insatiable de braver les interdits. J’étais un garçon populaire, un ami franc et loyal, un beau parleur qui ne pouvait s’empêcher de blaguer, séduire et de provoquer pour se faire remarquer. C’est une image que j’ai toujours conservée.
S’il y a bien une chose que j’aimais plus que mes conneries et mon indépendance, c’était une petite casse-cou enquiquineuse, au moins aussi insolente et explosive que moi. Ma petite sœur, Anjelica. Grandir dans l’univers des Zabini a tissé entre nous une relation unique et singulière. Un amour plus démonstratif à l’aide de gants de boxe qu’avec de grandes embrassades et des engueulades fraternelles en guise de mots doux. Je n’ai jamais été particulièrement à l’aise avec les démonstrations affectives mais Anja a toujours su lire entre les lignes de mes maladresses. Si pour les nôtres, la famille représente tout à nous yeux, elle en est le parfait exemple. Au milieu de ce maelstrom d’alliances et de fraternités mafieuses, elle est depuis toujours mon ancre, mon équilibre. Une balance rudement mise à l’épreuve lors de son accident… Nous flirtions quotidiennement avec le danger, c’était dans nos veines, mais jamais cette abîme n’avait paru si réelle. J’avais failli la perdre et cette simple idée me tordait les boyaux au même titre que le bourbon dont je me sevrais pour rester à ses côtés chaque journée, me maudissant moi-même de ne pas avoir été présent lorsque le frère de son meilleur ami avait risqué de l’assassiner. Dès qu’elle fut remise de ses blessures, nous renfilâmes les gants de boxe ; c’était ainsi que nous expions le mieux nos pêchés.
A l’ouverture du Thestral Motor à Londres, je fus envoyé en Angleterre, loin de nos ennemis et de nos démons locaux. Je fus affecté à l’endroit qui me convenait le mieux : le garage et Anjelica - quelques mois plus tard - était supposée selon les consignes de père devenir le visage des Zabini à l’accueil mais je ne me faisais aucune illusion. Je retins un sourire amusé le lendemain en la découvrant cambrée au-dessus du capot ouvert d’une voiture, secouant la tête de l’air désapprobateur qui convenait à ma nouvelle situation. Ce voyage n’avait rien d’une sinécure aux yeux de notre père. C’était l’opportunité pour lui d’assoir le nom des Zabini et de la Cosa Nostra au Royaume-Uni. En tant que fils aîné de la famille, je représentais la mafia outre-manche. Derrière nos activités de mécanique haut de gamme se cachait tout un réseau d’activités illégales que je supervisais d’un œil sévère et inflexible. Encadrer les membres de la famille sur le territoire anglais requérait un charisme et une autorité qui me dépassaient, laissant d’habitude le rôle d’honneur à Alessandro mais je m’acclimatais assez vite à mon nouveau costume. Du tatouage traditionnel jusqu’aux consignes de dernières minutes, je prenais mon rôle à cœur, après tout j’y avais été préparé toute ma vie.
Cette nouvelle pression, je la gérais comme je pouvais – très mal, en vérité. Je n’avais pas le droit à l’erreur, au moindre signe de relâchement ou de faiblesse nos ennemis frapperaient. Alors je me murais derrière une organisation et une famille sans faille, m’entourant de frères de confiance tel que mon meilleur ami depuis mon arrivée à Londres, Jaeden. Un compétiteur comme moi, une amitié que la course a initiée et que le temps a consolidé. Jusqu’à cette fameuse soirée et ce sauvetage qui m’a fait tatouer un nouveau frère qui l’était depuis déjà longtemps dans mon cœur.
Je faisais de mon mieux pour veiller sur les miens. Difficile de jongler entre le grand frère protecteur et le chaperon mafieux. Je voyais mon reflet à travers les déboires de ma jeune sœur. Je l’enviais un peu d’une certaine manière, nous partagions tout deux cet amour des petits plaisirs, mais je n’avais d’autre choix que de lui servir régulièrement de sempiternelles remontrances pour le bien de la Famille et pour le sien. Notre kidnapping n’avait fait que confirmer mes inquiétudes.
« Je leur ai fait une promesse ce soir-là » avais-je mentionné à des hommes de confiance. « Je tiens toujours mes promesses. » J’avais changé cette nuit-là. Un changement latent, imperceptible depuis plusieurs mois. Le poids des responsabilités m’avait ouvert les yeux, certaines épines ne pouvaient pas s’enlever avec quelques belles paroles ou négociations. Certains de nos ennemis trop ambitieux voyaient notre branche anglaise comme le point faible de la Cosa Nostra et n’hésiteraient pas à profiter de mon inexpérience pour renverser notre empire. Ils s’en étaient pris à nous directement, à ma sœur, Anjelica. Ils n’auraient jamais dû. Ce qu’ils ont réveillé dans cet entrepôt les poursuivra jusqu’en enfer. Dans l’ombre de tous, j’emploie mes ressources pour débusquer ces foutus bâtards et leurs complices. Directives secrètes que je cache à mon entourage. Seuls Rose - ma meilleure amie inavouée - et quelques agents de l'ombre sont au courant. Lorsque le moindre doute m’assaille, le souvenir de la souffrance de ma sœur le chasse immédiatement.
Ce n’est pas facile tous les jours de jongler entre le chef d’atelier et celui de la mafia intransigeant. Entre le jeune fêtard drogué et le grand frère désapprobateur. Entre le garçon jovial, tête brûlée, l’ami fier et loyal et le démon qui gronde intérieurement, réclamant sa vengeance. Parce qu’aucun prix ne sera trop cher à payer pour protéger les miens. L'abîme appelle l'abîme.
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IRL
Dim 13 Jan - 11:31
Luca !!! Bon courage pour ta fiche
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INRP
IRL
Dim 13 Jan - 11:47
Merciii !!
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INRP
IRL
Dim 13 Jan - 12:42
Cousiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin
Anjelica Zabini
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Métier : Mécano au Thestral Motor
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IRL
Lumos Je rp en : palevioletred Mon allégeance : la Cosa Nostra
Dim 13 Jan - 16:03
Déjà parce que j'ai même pas eu le temps :
Et en plus tu es la première fiche que je valide quoiii
Bienvenue chez les ...
Sorciers
Félicitation à toi te voilà fraîchement validé !!!
Tu vas pouvoir parcourir le forum de fond en comble et pouvoir rp à gogo ! Nous te conseillons tout de même de passer ouvrir ta fiche de lien et aussi ton hiboux afin de recevoir ton courrier. N'oublie pas de remplir ton profil, si un lieu te manque où si tu souhaites obtenir ton logement, c'est par ici que ça se passe.N'hésite pas aussi à te détendre dans la partie flood et même à venir nous faire un petit coucou sur la chat box Si tu as une question ou même une suggestion tu peux venir dans ce sujet et n'oublie pas que nos boîtes à mp sont toujours ouvertes
Amuse-toi sur GoB !!!
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Nobody Can Save Me
I'm dancing with my demons. I'm hanging off the edge. Storm clouds gather beneath me. Waves break above my head. Headfirst hallucination
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IRL
Dim 13 Jan - 16:11
Bravo pour la validation ! Hâte de rp avec toi !
Leah O'Malley
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Métier : Serveuse à mi temps et musicienne dans un bar moldu de Londres
Messages : 1838
Gallions : 1345
Date d'inscription : 12/01/2019
IRL
Lumos Je rp en : #DE948C Mon allégeance : L'ordre du phénix côté moldu
Dim 13 Jan - 17:09
Moi je viens faire un coucou au meilleur des bro même si c'est pas le bon personnage et félicitation pour ta validation