Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes, alors pensez à les privilégier pour vos personnages
Quelle est votre allégeance ? Je n'ai pas d'allégeance, envers qui que ce soit, excepté moi-même. Je tue dans les deux camps, pourvu que je sois payé quand j'ai terminé mon travail. Par ailleurs, les sorciers, comme les moldus, sont d'excellents clients. Après tout, les humains, qu'ils soient magiques ou non, sont tous les mêmes : si leur vie est en jeu, ils sont prêt à payer très cher pour la sauver. Enfin... Si ils ont les moyens de se payer mes services bien évidemment. Pour la librairie, c'est la même chose, je vend aussi bien aux moldus qu'aux humains et je dois dire que la fin du secret magique a eu tout de même un sacré avantage pour l'ouverture du marché des livres dans un monde ou dans l'autre. Avant, ce n'était pas la panacée pour se procurer des ouvrages moldus et les vendre dans le monde magique. Que puis-je dire de plus... Que tout cela m'arrange ? D'un côté oui, de l'autre non. Une chose est sûre, pour moi, il n'y a ni bon, ni mauvais "côté" ; il y a ceux qui tiennent le pistolet et ceux qui creusent. Je pense qu'après ce que je viens de dire, ma position est plus qu'évidente. Et la tienne ?
« T'endors pas, c'est l'heure de mourir. »
Derrière l'écran Pseudo ϟ Ilwerandil Age ϟ 30 ans Scénario ou inventé ϟ Inventé Comment as-tu connu le forum ? ϟ Par Enaël Dernier mot ϟ "Je suis comme la poisse, j’arrive là où on ne m’attend pas."
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Dossier ministériel n° 2049
Le nom de ma famille est Villeneuve et mes parents ont décidé de me nommer Léon Sébastian . Je suis né le 12 Novembre 1986 dans cette belle ville qu'est Toulouse, ce qui me donne le bel âge de 35 ans. Ma mère était moldue et mon père sorcier, de ce fait, le sang qui coule dans mes veines fait de moi un sang-mêlé . Lorsque j'étais enfant, je suis allé à l'école de sorcellerie de Durmstrang, et j'étais dans le clanTempêtes, ce qui m'a permis de devenir aujourd'hui tueur à gages (enfin la nuit, la journée, c'est libraire). Cette situation me permet de gagner ma vie de manière Aisée et de vivre à Londres. Je suis Célibataire et d'ailleurs, je n'ai pas de préférence sexuelle particulière.. Je me suis procuré il y a de ça quelques années une baguette magique et la mienne est faite en bois de cerisier avec un cœur en ventricule de dragon et elle mesure 26 cm. Par ailleurs, ma baguette est très souple. Elle me permet de faire apparaître un chat de Nebelung comme patronus. C'est elle aussi qui m'aide à combattre mon épouvantard qui prend la forme d' un enfant en train de mourir avec un riddikulus qui transforme le sang en confiture de fraise et l'enfant en toast. La dernière fois que j'ai pu sentir une potion d'amortentia, elle avait la douce odeur de bergamote, de tons boisés de vétiver, de poivre noir, de lavande et de bois de cèdre. Je n'oublie évidemment pas mes rêves et lorsque je me place devant le miroir du rised, je vois mon ancien amant et ma fille. Il se trouve que j'ai également une particularité magique, je suis Animagus. Ah ! J'ai failli oublier, l'être qui m'accompagne aujourd'hui est un chat noir Maine Coon et elle se nomme Shanna. Pour finir je suis neutre.
Caractère
Pendant la journée, Léon-libraire est peut-être la personne la plus souriante et aimable que vous puissiez rencontrer. Toujours agréable, toujours charmant, il prendrait des heures pour vous conseiller si jamais vous franchissiez le pas de sa boutique sans savoir quoi acheter. Même pas par désir vénal, même pas pour que vous repartiez absolument avec quelque chose. Simplement, son amour des livres est si puissant, qu'il n'aurait de cesse de pourchasser la perle rare afin de la remettre entre vos mains. Léon est aux livres ce qu'Ollivander était aux baguettes magiques : il a un don pour savoir quel livre est fait pour vous – bien que lui ne les écrivent pas. En fait, ce qui lui plaît le plus, c'est voir cette étincelle de bonheur qui scintille tout au fond des prunelles de ses clients, là, au fond à droite. Cette étincelle qui dit «j'ai trouvé ! Quelle vie magnifique !»
Si vous rencontrez Léon de jour ou que vous êtes proche de lui, vous pourriez le décrire comme naturellement bienveillant et attentionné, gentil et intelligent. Certes, il n'exprime pas beaucoup ses émotions et le voir sourire est très rare, mais vous pourriez mettre cela sur le compte d'une éducation un peu vieillissante où les hommes ne sont pas censés parler des choses du cœur ou de leurs états d'âme. Pour vous, il serait un peu taiseux, mais vraiment une perle que tout le monde devrait avoir chez soi car quel homme parfait !
Un peu trop parfait si vous voulez mon avis.
Généralement, c'est quand vous commencez à penser cela que le piège commence à se refermer sur vous, à moins bien sûr que vous ne faisiez partie de son entourage proche, ce qui est peut-être encore plus rare que de le voir sourire.
La nuit, lorsqu'il retire son masque diurne, Léon-Tueur-à-gages est froid et méticuleux. Stratège, c'est un esprit affûté, minutieux et très pragmatique qui observe longuement sa cible avant de la mettre à mort, toujours avec le plus grand sang-froid et une discrétion à toutes épreuves. Il disparaît toujours avant qu'on ait pu l'attraper et ne laisse aucunes empreintes derrière lui, un vrai courant d'air. Les journaux parlent de lui «comme de la fumée qu'on tente de saisir avec les doigts». Personne ne connaît son visage, ni sa véritable identité, pas même ses clients.
Travaillant comme tueur professionnel depuis de nombreuses années, la logique veut qu'il soit devenu paranoïaque. De fait, il vide et enferme ses souvenirs dans des fioles tous les soirs, les gardant dans une malle sans fond qui se trouve chez lui et qui a l'apparence d'une vieille machine à coudre «Singer» des années 40.
Il y a une chose à laquelle il faut absolument faire attention quand on est en présence de Léon (de la nuit en particuliers) : il peut-être extrêmement violent, car il est rongé par une rage terrible. Il est en colère contre le monde et pour peu qu'on vienne l'asticoter d'un peu trop près, il n'hésite pas à franchement faire du mal. C'est un revanchard, qui n'hésitera jamais à revenir se venger si jamais on essaye de le doubler ou s'en prendre à lui - ou pire, ses proches. Il n'oublie jamais, il n'oublie rien, il se rappelle et il viendra pour vous si jamais vous le méritez. Il vous trouvera et... Il ne vous tuera peut-être pas, mais il vous fera suffisamment peur pour que vous n'ayez jamais envie de recommencer. Malgré tout, celui qui s'est fait connaître par la presse sous le nom de "K" a une règle sur laquelle il ne transige jamais quand il tue : pas de mineurs. Il ne tue pas non plus si les enfants sont présents. De manière générale, il tue dans le silence d'une chambre à coucher, le brouillard d'un fumoir ou d'un sauna, dans le murmure de la nuit. Selon la victime, il ne la tue pas devant ses proches. Si il s'agit d'une personne qui ment à sa famille, il s'arrange pour que celle-ci découvre toute la vérité. Si il s'agit de quelqu'un qui maltraite sa famille d'une quelconque façon, il se révèle particulièrement sans pitié. Je ne vous parle même pas de ceux qui commettent encore plus grave, car pour eux, même l'enfer paraît une meilleure alternative.
Est-ce qu'il aime être un tueur ? C'est un travail comme un autre pour lui. Et pourtant, il doit avouer que quand la petite lumière, celle de l'espoir, au fond à gauche, s'éteint pour l'éternité, il ressent toujours un petit pincement au coeur.
A noter que notre français préféré éprouve difficilement des émotions, mais quand il les ressent, quand elles font enfin leur chemin jusqu'à son cœur, cela peut-être assez intense intérieurement. Il est toujours très calme, mais lorsqu'il se met en colère, il est terrifiant, car il semble impossible à arrêter. Il lui arrive malgré tout de faire preuve de douceur, en particuliers dans les relations intimes. Avoir plus que cela avec quelqu'un est non seulement dangereux, mais surtout futile à ses yeux et inutile. Enfin cela, c'est ce qu'il fait croire à tout le monde, car il ne laisserait voir à personne qu'il a été blessé ou qu'il se sent menacé.
Le petit plaisir de Léon ? Ses plantes vertes, qu'il passe une partie de son temps libre à bichonner. Il est également fervent admirateur de cinéma et se rend régulièrement dans le Londres moldu pour voir des films sur grand écran (il le fait avec beaucoup de discrétion depuis les tensions entre les sorciers et les moldus). Il aime finalement beaucoup la musique et c'est un pianiste confirmé, talent qu'il exploite certains soirs où il ne travaille pas, en allant jouer dans des bars pour le plaisir.
Léon est un être double, qui s'arrange de cette vie dupliquée. Bien qu'étant un esprit particulièrement brillant, il ne se pose pourtant pas tellement de questions éthiques. On ne peut pas dire que ce soit un sociopathe ou qu'il présente de l'alexithymie, pour autant, il est certain qu'il classe les choses selon un ordre qui lui est propre, y compris dans le domaine moral. Compartimenter est sa deuxième règle absolue, la première étant de ne jamais, jamais, soulever un tapis sous lequel on a mis de la poussière qui date d'il y a longtemps. Une fois qu'une chose est rangée, il ne la ressort plus jamais, au risque de déclencher quelque chose qu'il ne soit pas sûr de tout à fait contrôler.
C'est une tour. Une tour condamnée qui ne s'ouvre plus. La porte est cachée, loin derrière les ronces, les roses brillantes et scintillantes et derrière la pierre glacée.
Cette porte est là, mais elle est fermée.
Enfin... Jusqu'à ce que quelqu'un essaye de l'ouvrir.
Pensine
«Papa !»
Il ouvre les yeux, alors qu'il était perdu dans ses pensées. Il est allongé sur son lit, fatigué. Plus que d'habitude, il sent les cernes qui se creusent. Il dort pourtant mieux ces derniers temps. Ceci dit, n'importe qui serait fatigué avec la petite tornade qui vient les réveiller, Thomas et lui, tous les jours à sept heure tapante. Il tourne le visage vers sa moitié encore endormie, les cheveux blonds cendrés un peu ébouriffés, un cil sur la joue, le souffle tranquille, la ride du lion détendue pour une fois.
Aurait-il jamais pensé se retrouver ici, dans ce lit, avec lui, leur fille criant dans la chambre à côté qu'on vienne lui donner son petit déjeuner ? Aurait-il jamais imaginé vivre dans une grande maison, comme dans ces films américains qu'ils détestent tous les deux, avec un îlot central dans la cuisine tellement classieux et chic, un canapé d'angle devant lequel trône un immense écran plat et un immense lit king-size aux oreillers beaucoup trop moelleux ? Aurait-il, ne serait-ce que rêvé, que cet anglais arrogant, qu'il a mis des années à assagir, auprès de qui il a mis des années à s'adoucir, construise vraiment quelque chose avec lui ? Leur histoire est longue et compliquée et pourtant... Et pourtant, aujourd'hui, comme tous les matins depuis quatre ans, il est là et il a promis de rester.
Il se sent envahi d'une bouffée d'amour et de bonheur, ce dont-il n'a pas vraiment l'habitude, lui qui ressent si peu de choses habituellement. C'est chaud et en même temps, ça pèse sur son cœur, ça le serre. Les paupières d'albâtre qui lui font face se mettent à papillonner et les yeux d'orage se posent sur lui. L'odeur de la tentation envahi ses sens et il sent la salive s'accumuler sur sa langue. Ça a toujours été comme ça, mais c'est plus ou moins facile de supporter cette tension presque insoutenable entre eux. Si ils étaient seuls, les choses se passeraient probablement autrement, mais une petite fille impatiente jaillit sur eux en hurlant qu'elle va les dévorer. Son arrivée, fait s'envoler les pensées libidineuses très loin de lui, d'eux. Il se met à rire, tandis que Thomas le rejoint dans son hilarité, bien qu'au fond de ses prunelles brille encore les traces de son désir et la promesse qu'ils rattraperont cela plus tard. En attendant, il y a une sorcière qui a faim et si ils ne veulent pas finir dans le four de sa maison de pain d'épices, ils ont intérêt à lui préparer ses céréales fissa.
Pendant que Thomas descend à la cuisine préparer le repas le plus important de la journée de sa majesté, Léon s'occupe de l'accompagner aux toilettes pour «surveiller que personne ne l'attaque». Depuis qu'elle sait parler et se tenir debout, il est devenu garde du corps à temps partiel. Pas que ça le dérange, au contraire. Sa fille l'ignore, mais depuis qu'elle est née, il ne dors plus beaucoup. Il ne s'était jamais inquiété de cette façon pour personne et ce sentiment est plutôt nouveau pour lui, puisqu'il ne s'est guère préoccupé de quelqu'un d'autre que lui-même, y compris s'agissant de Thomas. Avec Gwen, c'est différent. Parce qu'elle ne peut pas s'occuper d'elle toute seule, d'abord, et ensuite, parce qu'il a une conscience aiguë qu'en tant que parent, c'est à lui de la protéger de tout ce qui pourrait lui arriver de mal. Il ne fait confiance à personne pour la protéger et il ne la quitte jamais des yeux – même lorsqu'il travaille, ce qui, ces derniers temps, n'arrive plus beaucoup.
Depuis qu'il est père, il a ralenti les contrats. Non seulement parce que croyez le ou non, mais assassiner des gens parfois haut placé n'aide pas vraiment à se faire des amis, mais aussi parce qu'il n'a pas encore la maîtrise totale de sa nouvelle couverture a.k.a père de famille et ça lui prend beaucoup plus de temps que prévu d'arriver à tout gérer. S'occuper d'un enfant est beaucoup plus épuisant que de faire une filature de cinq jours et d'attendre qu'une cible aille exactement là où on avait prévu qu'elle aille pour l'achever. Il faut être très patient, certes, mais pas besoin non plus d'être sur le qui-vive en permanence puisque c'est lui qui contrôle tout l'environnement. Avec sa fille, c'est impossible de prévoir quoi que ce soit, puisque globalement elle se lève la première et s'endort quand elle l'a décidé – parfois elle ne veut pas et là les choses sérieuses commencent. Il faut savoir raconter des histoires, être sévère, mais pas trop, savoir quand elle raconte n'importe quoi, savoir quand elle simule et quand elle s'est vraiment fait mal, savoir lui enseigner les limites, tout en lui disant qu'elle peut-être fière d'elle à la moindre pâte à modeler qui ressemble à peu prêt à une carotte. Il faut savoir cuisiner, faire le ménage, ranger, avoir de l'énergie pour l'emmener au parc au moins deux fois par jour et quand elle va à l'école, il faut lui préparer ses goûters, aller la chercher et recommencer tous les jours de la semaine. Et tout ça, c'est sans parler de son insatiable compagnon, qui, lui aussi, ne le laisse pas beaucoup dormir lorsqu'ils ont un peu de temps libre rien que tous les deux.
C'est au moment où Léon se demande ce qui lui a pris, pour la énième fois, de se lancer là-dedans, que la reine se décide à descendre de son trône. Il l'accompagne à la salle de bain et s'apprête à descendre avec elle à la cuisine, d'où monte un délicieux fumet de pancakes et de thé bien infusé comme il l'aime, quand il entend son portable, un appareil moldu qui fait rire Thomas à chaque fois qu'il le voit, sonner bruyamment. Le français est immédiatement sur le qui-vive. Il est trop tôt. Personne ne devrait le contacter à cette heure. Cela dit, beaucoup de personnes essayant de vendre des objets moldus ont réussi à trouver son numéro ces derniers temps alors... Peut-être que c'est une fausse alerte non ? Il hésite. Son instinct ne l'a jamais trompé jusqu'à présent et il sent que quelque chose cloche. Il entend Gwen l'appeler depuis les escaliers. Il inspire un grand coup et expire. Il réfléchit trop ! Si Thomas était à côté de lui, il lui dirait qu'il s'inquiète et que ce n'est rien, qu'ils sont en sécurité. Certes, celui qu'il aime ignore totalement sa double vie. Il inspire doucement, dis à sa fille qu'il doit passer un coup de fil et répond au téléphone en se dirigeant vers une fenêtre, surveillant que personne ne se tient en embuscade devant chez lui.
«- Bonjour K. - Comment avez vous eu ce numéro ? Il claque de la langue perturbé, sans le laisser paraître. Ce n'est certainement pas une publicité. - Je te conseille de t'adresser à moi sur un autre ton, je te rappelle que je suis encore ton employeur, au cas où tu l'aurait oublié. - Je ne travaille plus pour personne, vous n'êtes plus l'employeur de qui que ce soit. - Fais bien attention K, susurre la voix telle un serpent, Fais vraiment bien attention. - Qu'est-ce que vous voulez ? lâche Léon en reprenant sa voix de professionnel. - J'ai besoin de toi pour un boulot, tu te doutes bien que c'est pour ça que je t'ai cherché. Je dois dire que tu as été vraiment difficile à retrouver, tu es décidément très doué pour effacer tes traces. - Comment ? - C'est dommage que ta fille aille dans cette école. Mais si tu sais bien. Cette école avec les murs bleu clairs. Dommage aussi qu'on connaisse bien ton compagnon. C'est quoi son nom déjà ? Quelque chose en T. Tu savais qu'il était bien connu chez nous ? - Non..., marmonne Léon, agacé et anxieux. Il n'avait absolument pas prévu ça. - En tous cas, ça promet de bien belles retrouvailles non ? - Je vous ait dit que je ne travaille plus, je suis trop occupé actuellement. - J'insiste, et tu sais à quel point je n'aime pas insister. - Et moi, je vous dis que c'est non. Je ne travaille plus, j'ai raccroché. - K, K, K. Voyons, la voix éclate d'un rire gras, tu sais bien qu'on ne raccroche jamais de ces emplois là. Soit on continue, soit on s'arrête définitivement, dans tous les sens du terme. - Je vais raccrocher. - C'est regrettable, fort regrettable... Enfin, tu ne pourras pas dire que je ne t'avais pas prévenu. - Au re..., commence Léon, s'apprêtant à appuyer sur le bouton rouge de fin d'appel. - Au fait, l'interrompt la voix, très jolie cette nouvelle maison. Je ne t'aurais jamais imaginé à préparer des pancakes pour une gamine en te trémoussant. - Que... - Adieu K», le coupe encore la voix en raccrochant.[/b]
Léon n'a que le temps d'entendre la tonalité de fin d'appel. Le paysage se teinte d'orange et de rouge, il y a une explosion au rez-de-chaussé.
« NON ! » hurle t-il en lâchant le téléphone. L'appareil s'écrase sur la moquette sans un bruit tandis que son propriétaire se rue dans les escaliers déjà envahis par les flammes. Il hurle le prénom de sa fille, il appelle Thomas, sans succès. Grâce à sa baguette, il réussi à se frayer un chemin jusqu'à la cuisine en continuant de les appeler. Ils sont vivants. Ils sont forcément vivants.
Avec horreur, il découvre une ouverture béante là où est censé se trouver le mur de la cuisine qui donne sur la rue. La maison est comme éventrée et le feu commence à prendre ici et là. Éperdu d'angoisse, totalement dépassé par ses émotions, Léon fronce les sourcils anxieusement, en jetant des Aguamenti pour éteindre le début d'incendie. Il n'y a absolument aucune trace de Thomas, qui a comme disparu, excepté sa baguette magique, que le français se penche pour récupérer délicatement. Elle est un peu brûlée, mais vibre entre ses doigts. L'homme qu'il aime est-il toujours vivant ? Il l'espère.
Léon entend alors une petite voix fluette et faible qui s'élève depuis le salon. Il ne veut pas y aller. Il ne veut pas la voir. Il ne veut pas affronter cela. Mais elle l'appelle, elle a peur, il est obligé d'y aller. C'est son rôle. Il a promis de la protéger. C'est pourtant si cruel, si injuste, qu'il se retrouve terrassé par la souffrance, par le malheur, par la rage.
Et puis il entre.
Ses mèches de cheveux sont un peu brûlées, mais ce n'est pas le plus terrifiant, le plus horrible. Ce qui l'est, c'est cette mare de sang sous ce si petit corps. Elle porte encore son pyjama bleu nuit. Elle tient encore dans sa main sa fausse baguette surmontée d'une grosse étoile jaune couverte de paillettes. Ses yeux sont écarquillés lorsqu'elle voit son père se pencher sur elle. Elle pleure à chaudes larmes, elle dit qu'elle a froid et qu'elle a mal. Il l'examine minutieusement, espérant pouvoir la soigner, mais la blessure à son abdomen est bien trop grave. Il est totalement impuissant. Il ne peut rien faire. Rien du tout.
Alors, délicatement, il soulève sa petite tête et la prend contre lui. Elle dit que c'est bizarre, qu'elle commence à ne plus rien sentir du tout, qu'elle n'a presque plus mal. Elle dit qu'il l'a soignée, parce que son papa, c'est vraiment le meilleur des papas du monde. Il hoche la tête, son visage totalement fermé. Elle demande où est Daddy. Léon répond qu'il ne sait pas, qu'il n'a trouvé qu'elle. Sa petite reine souffle qu'elle est fatiguée, les effluves métalliques de sang saturant l'atmosphère. Elle lui dit que pendant qu'il va chercher Daddy, elle va se reposer un peu et qu'il reviendra la chercher quand il aura trouvé le membre manquant de leur famille. Léon lui caresse la tête, comme si il manipulait une poupée de porcelaine, comme si elle était faite du cristal le plus précieux et le plus fragile jamais créé.
«Dors ma princesse, je reviens te chercher bientôt. Papa t'aime tu sais».
Elle dit qu'elle aussi et puis ferme les yeux, se laissant aller dans un sommeil très profond, ce sommeil dont personne ne se réveille jamais.
Une larme coule sur la joue couverte de cendres.
Ce sera la dernière.
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Léon Villeneuve
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Dim 27 Aoû - 18:26
Votre histoire
« Tu dois admettre qu’il est possible que dieu ne t’aime pas du tout. »
Léon naît le 12 Novembre 1986 à Toulouse. Son père est un sorcier anglais, venu faire ses études en France, sa mère est une moldue française originaire de Toulouse, mais n'ayant pas du tout d'accent – de fait, Léon n'en aura pas non plus, ce qu'il trouve regrettable puisqu'il le trouve charmant.
Les parents de Léon se rencontrent pendant leurs études et tombent amoureux comme un jeune couple idéaliste: sans penser aux conséquences. Harold Chasen, le père de Léon, se trouve être beaucoup plus jeune que Maude Villeneuve, qui est de quinze ans son aînée. A priori, on peut penser qu'ils n'ont rien à faire ensemble. Harold est issu d'une famille anglaise très aisée; Maude est fille d'ouvriers et a travaillé dès son plus jeune âge. Lui est plutôt à tendance mélancolique et suicidaire, malgré un don particulièrement développé pour la métamorphose; elle, est un rayon de soleil ambulant, toujours le sourire aux lèvres, toujours curieuse et croquant la vie à pleines dents.
Au début, personne ne croit à leur histoire, mais quand Léon vient au monde, il faut bien se rendre à l'évidence: visiblement, c'est du solide.
En 1990, Léon utilise la magie pour la première fois, comme tous les enfants magiques, par accident. Certes, la nouvelle est difficile à avaler pour Maude, en particuliers lorsqu'elle apprend que son mari lui a caché une part importante de sa vie pendant si longtemps et que leur fils unique est également concerné par cette «légère particularité». Malgré tout, la toulousaine, pleine d'entrain et d'engouement, découvre avec plaisir ce nouvel univers grâce à Harold et Léon.
1997 sonne l'entrée à l'école du petit sang-mêlé. Pour sa rentrée magique, ses parents – enfin plutôt son père – choisissent Dumstrang. D'une part parce que monsieur Chasen a eu une expérience totalement affreuse à Poudlard et qu'il refuse d'y envoyer son fils; d'autre part, parce qu'à ses yeux, Beauxbâtons est une école de snobs et de fillettes. Dumstrang semble beaucoup moins chaleureuse, mais au moins, Harold est sûr de la réputation et de l'excellence de l'éducation qui y est dispensée. En vérité, Maude voudrait bien que son fils soit juste à côté d'elle, dans cette belle école situé juste près de chez eux, dans les Pyrénées, cependant, elle ne connaît, à la fin, rien au monde des sorciers et préfère se ranger aux conseils de son mari pour cette partie des études de son fils. En revanche, pour ce qui est de la partie moldue, elle se bat bec et ongles pour que Léon obtienne également ses diplômes dans son monde à elle et pour qu'il ait une véritable existence des deux côtés afin de pouvoir choisir quand il sera adulte avec tous les éléments en main.
Bien évidemment, à ce moment là, Maude ignore totalement à quoi va servir cette double vie commencée déjà si tôt.
Léon connaît une scolarité relativement calme et même plutôt studieuse, malgré des débuts très houleux puisqu'il y a la guerre en Europe et que des affrontements violents se déroulent en Angleterre. Étant trop loin pour être réellement impacté, et puis beaucoup trop jeune, c'est surtout grâce à ses parents qu'il réalise à quel point ce qui s'est passé est grave et à quel point le pire a été évité. Enfin, le pire, pas pour tout le monde, mais il se garde bien de le dire à voix haute, étant donné les discours de ses parents.
C'est un élève appliqué, très secret, très renfermé aussi, mais qui peux éventuellement piquer d'énormes colères, le faisant tout détruire autour de lui. Il a peu d'amis, ne parle ni de sa famille, ni du monde moldu et développe rapidement un intérêt très poussé pour la métamorphose et plus précisément le processus de transformation en animagus. En présence de sa famille, il n'est pas plus loquace. Ces derniers se réjouissent quand ils arrivent à lui arracher quelques mots et s'inquiètent beaucoup de voir leur enfant s'emmurer dans un silence et une solitude inquiétants, surtout étant donné les évènements ayant eu lieu à la fin des années 90. Ils craignent un stress post-traumatique, l'envoient chez le psy, après une seule et unique séance, ils laissent tomber.
En 2003, alors qu'il rentre en septième année, prépare ses ASPICS et ne sait pas encore ce qu'il va faire après Dumstrang, la vie de Léon est brusquement chamboulée. Tandis qu'il déambule dans l'école pendant la nuit – ce qui est prohibé par le règlement, mais il s'en fiche – il rencontre Thomas. Le coup de foudre entre les deux jeunes hommes est immédiat. Une passion époustouflante mêlée de rivalité, de provocation et surtout d'étincelles les emportent l'un comme l'autre.
Au début, la situation est particulièrement délicate. Léon n'a jamais rien ressenti pour personne jusqu'à présent et d'ailleurs, il ne s'est pas vraiment posé la question de ses préférences. A ce moment là, il est bien trop concentré sur ses cours et sur son entraînement pour devenir un animagus de manière illégale sans reste coincé dans une apparence non désirée. Pour ne rien arranger, Thomas n'est pas ce qu'on pourrait appeler accommodant. Il est rustre, violent, totalement séducteur et provoquant et surtout extrêmement perturbant. Il joue avec Léon au chat et à la souris, sans se rendre compte qu'il se perd petit à petit à son propre jeu. Tel est pris qui croyait prendre.
Leur premier baiser est un cataclysme.
Après cela, ils s'évitent pendant plusieurs mois, incapables d'accepter leurs sentiments, leur attirance et surtout, d'accepter qu'ils sont amoureux l'un de l'autre. Dans le cas de Léon se pose aussi la question de l'attirance pour un garçon. Bien sûr, il a entendu parler de l'homosexualité et ses parents n'ont jamais été contre, simplement, ce n'est pas la norme et il n'est pas sûr d'apprécier rajouter une autre différence à ce qui existe déjà dans sa petite mallette de personne particulière. Sorcier, sang-mêlé et maintenant autre chose qu'hétérosexuel ? Sa période de réflexion lui prend un peu de temps, celle de Thomas est deux fois plus longue - pour d'autres raisons, mais finalement, pas à pas, ils finissent par, le plus discrètement possible, être des partenaires amoureux. C'est également lorsqu'ils se mettent ensemble que Léon achève illégalement son processus de transformation en animagus et se retrouve avec la faculté de se changer en chat noir sur demande. Il garde ce secret jalousement et personne n'est au courant, pas même ses proches.
En Septembre 2004, le couple postule à la formation d'aurors dispensée à Londres, car c'est le programme le plus prestigieux d'Europe et aussi, parce que Thomas est originaire de Grande Bretagne. Il souhaite y retourner pour régler des affaires de succession, mais il est très secret et il est difficile pour Léon de savoir exactement pourquoi son compagnon doit absolument rentrer. Malgré les zones d'ombre, il décide de le suivre.
Le problème, c'est que notre toulousain ne trouve pas son compte chez les aurors.
Il est témoin des abus de pouvoir, trouve qu'il n'y a aucune réelle justice et que ceux qui devraient vraiment être punis ne le sont pas suffisamment. En plus, ils sont vraiment mal payés pour courir aux quatre coins de la ville et arrêter des gens qui ne sont de toutes façons par ceux qui sont vraiment coupables. Lentement mais sûrement, Léon s'écarte de la voix de la justice et de la légalité - ce qu'il avait déjà commencé en devenant animagus non déclaré, mais c'est un détail. Dans le même temps, sa relation avec Thomas se tend. Ils prennent des chemins différents, se voient moins, mais malgré cela la passion et l'amour sont toujours présents entre eux.
C'est à cette époque qu'il découvre le métier de tueur à gages, à travers un personnage célèbre ayant œuvré pendant les années 70: Richard Kuklinski. Il étudie avec intérêt l'emploi de tueur professionnel. Il faut assassiner des gens, c'est vrai, mais on gagne vraiment très bien sa vie, on choisi ses horaires, on est son propre patron et puis, il y a une chance de rendre la vrai justice à certains moments.
En 2008, le français abandonne totalement la formation d'auror pour se consacrer à plein temps à son nouveau métier. C'est à ce moment là qu'il décide de se créer une identité double, afin de protéger son anonymat, sa vie privée et surtout ses proches. Contrairement à Richard «Big K» Kuklinski, Léon ne travaille pas particulièrement avec la mafia et surtout, il est extrêmement méfiant. Très intelligent, il refuse de faire les mêmes erreurs que ses prédécesseurs, alors il étudie encore et encore. Ayant été apprenti auror, il connaît bien les ficelles du métier et surtout, sait ce qu'il doit éviter afin de ne pas se faire attraper et faire tourner ses anciens collègues en bourrique.
En hommage à Kuklinski, Léon devient «K» et malheureusement, son palmarès décolle immédiatement. Il est recruté partout en Europe, dans le monde magique et dans le monde moldu. Il frappe vite, est intraçable et surtout, personne ne réussi à retrouver le démasquer et à révéler au grand jour sa véritable identité.
Au alentours de 2010, Thomas le quitte. Il prétexte des choix de vie différents, mais la réalité, c'est qu'il se marie avec une femme. C'est douloureux, mais Léon est tellement anesthésié par les meurtres qu'il n'a pas vraiment conscience de ce qui se passe. Il ne réalise pas, à l'époque, qu'il a le cœur brisé. Il a vingt-quatre ans, pas vraiment de liens réels avec ses parents, qu'il appelle malgré tout régulièrement et va voir deux ou trois fois par an. Bien sûr, il leur avait présenté Thomas, alors Harold et Maude mettent son attitude encore plus taciturne qu'avant sur le compte de sa peine de cœur. Ils sont bien loin d'imaginer la réalité de la vie de leur fils, mais bon, c'est bien pour cela que le toulousain a choisi une identité secrète.
Après la rupture, Léon multiplie les partenaires, peu importe le genre, peu importe le statut magique. Tout ce qu'il veut c'est oublier. Le petit problème quand on oublie, c'est qu'on ne se souvient pas des choses importantes comme... Mettre un préservatif par exemple.
La fille ne veut pas du bébé, mais elle ne veut pas avorter non plus. Léon ne sait pas trop quoi faire de sa vie et il commence à se dire que peut-être, c'est sa chance d'être un peu plus responsable, que peut-être, avec cet enfant, en étant père, il peut apprendre et renouer avec les émotions qu'il a perdu. Il propose à la génitrice un contrat en béton : elle lui cède tous les droits parentaux et en échange, il lui verse de l'argent tous les mois pour vivre correctement le temps de se remettre – à ce moment là elle traverse une phase compliquée de sa vie elle aussi – et il prend en charge tous les frais médicaux. Bien évidemment, elle accepte. Léon est certes un tueur, mais il a des principes et des valeurs inculquées par ses parents, qui perdurent malgré tout ce qu'il peut faire. C'est probablement cela d'ailleurs, qui fait qu'il reste humain.
Le 31 mars 2012, Gwen pousse son premier cri et de nouveau, tout change, mais cette fois pour le mieux.
Léon diminue les contrats voire les arrêtent pendant un temps pour s'occuper d'elle. Il se révèle être un excellent parent, très attentif, très doux, pédagogue et bienveillant. L'écart entre sa personnalité de tueur et sa personnalité avec ses proches se creuse de plus en plus. La conséquence de cela, c'est la fission de son esprit en deux espaces très nets, tranchés et séparés par un gigantesque gouffre. D'un côté il y a ses parents, Gwen, la librairie qu'il ouvre comme couverture sur le chemin de traverse et de l'autre côté, il y a K, les contrats, les armes, magiques ou pas, sans oublier les intrigues politiques qu'il voit monter en arrière plan, évoluant dans les milieux de l'ombre.
Fin 2013, par une froide matinée d'Hiver, la saison préférée de Léon, Thomas passe la porte de la librairie. Il a les joues et le nez rougis, il souffle de la buée, son sourire est toujours aussi craquant. Ils retombent amoureux comme au premier jour instantanément et leur histoire reprend là où elle s'était arrêtée, faite de promesses, de serments, d'excuses, d'aveux, d'explications, d'installation dans une nouvelle maison et de vie de famille à trois. Gwen aime Thomas, Thomas aime Gwen et, même si au départ, il râle et bougonne et grogne quand il apprend que l'homme qu'il aime est père, petit à petit, comme un vieil ours mal léché, il fini par s'attendrir et s'occuper de cette petite grenouille si mignonne qui l'appelle «Daddy» – en présence d'autres personnes que Léon, il prétend qu'il ne ressent rien du tout pour «cette fille», bien que tout le monde sache que c'est totalement faux.
A partir de 2015, bien que Gwen grandisse bien et fasse son entrée à la maternelle, les choses dans le monde des sorciers prennent un tour beaucoup plus sombre. Léon continue à faire quelques contrats de temps à autre, mais il sent le vent tourner et les rumeurs de retour des mangemorts enfler, ce qui le rend de plus en plus paranoïaque. En secret, il prépare tout ce qu'il faut pour une fuite précipitée. Il n'aura pas le temps de s'en servir.
En 2017, alors qu'ils s'apprête à prendre un petit déjeuner en famille, Léon reçoit l'appel d'un ancien client qui a réussi à le retrouver. Le tueur refuse de céder au chantage, le résultat est la destruction de son univers. Gwen meurt dans l'explosion de la maison et Thomas disparaît, emporté Merlin sait où dans Merlin sait quel état. Léon se retrouve de nouveau seul, sauf qu'à présent, la petite ligne qui reliait les deux mondes qui le compose se rompt. Il est soit Léon, soit K, mais jamais les deux en même temps.
Bien évidemment, sa vengeance est terrible et jusqu'à ce qu'il ait tué toutes les personnes sachant qui il est, il massacre en silence et discrètement les responsables de l'assassinat de sa fille. Comme cela concorde avec une période extrêmement perturbée et pleine de violence dans le pays, les meurtres passent plus ou moins inaperçus, mais sont surtout noyés dans la masse. Durant cette période, il tente de retrouver Thomas par tous les moments, espérant qu'il est en vie, espérant qu'il n'a pas tout perdu, sans succès.
Après cela, tout part à vaux l'eau dans le pays et «K» reprend les contrats de plus belle. Il est embauché aussi bien par les mangemorts que par le Blood Circle, puisque tout le monde ignore son identité. La fin du secret magique a cela de bien : il a deux fois plus de clients qu'avant et beaucoup plus de contrats intéressants.
Il continue à tenir sa petite librairie sur le chemin de traverse, bien qu'obtenir des ouvrages moldus ne soit pas simple.
La situation dans le pays continue de se dégrader lentement, mais sûrement et lorsque les mangemorts accèdent au pouvoir en 2020, que les affrontements avec le Blood Circle et les sorciers soient monnaie courante et que des membres de l'ordre du Phénix commencent à disparaître, la paranoïa de Léon commence à se réveiller un peu, bien qu'il profite largement du système de cette guerre et se fasse beaucoup – beaucoup – d'argent. En 2021 en revanche, le Blood Circle dépasse les bornes et attaque le Poudlard express. A partir de ce moment là, bien qu'il reste neutre, Léon décide d'éviter le plus possible de s'y associer. Il est un tueur, d'accord. Mais il ne tue pas les enfants. Il ne tue jamais les enfants. On pourrait même plutôt dire que lui, il tue ceux qui les tuent.
Pour l'instant il ne prend pas position mais... Une erreur par ci, une erreur par là et on a vite fait de se mettre à dos un assassin sans merci.
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Elida Sutton
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Lumos Je rp en : #6699ff Mon allégeance : Neutre
Dim 27 Aoû - 18:32
Ouiii coucou bienvenuuue trop contente de te voir ici ! Et hâte de lire ce super personnage
Abigail MacFusty
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Lumos Je rp en : #cc3333 & lightgrey Mon allégeance : Ordre du Phénix
Dim 27 Aoû - 18:46
Bienvenue, bonne chance pour la suite de ta fiche
Never Ending Circles
ANAPHORE
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Sienna Giacometti
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Lumos Je rp en : #5F9EA0 Mon allégeance : va à mon frère plus que tout, aux mangemorts par intérêt
Dim 27 Aoû - 19:05
Bienvenuuuue Cette fiche est bien vide, j'ai hâte de voir ce que tu nous prépares ! Bon courage pour sa rédaction
So cross my heart and hope to die
Euron O. Carrow
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Lumos Je rp en : 17657D Mon allégeance : Mangemort
Dim 27 Aoû - 19:16
Bienvenue à toi collègue de Durmstrang Hâte d'en lire davantage. Bon courage pour ta fiche !
EURON O. CARROW
Underneath it all we're just savages | Hidden behind shirts, ties and marriages | How could we expect anything at all? | We're just animals still learning how to crawl | ️ FRIMELDA
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Octavia Nott
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Lumos Je rp en : #3366ff Mon allégeance : Neutre
Dim 27 Aoû - 19:53
Bienvenu parmi nous ! Au plaisir de croiser nos plumes. (Tueur la nuit, libraire le jour, j'adore !)
“Je lis donc je sais”
Palais mental:
Kiara Dimitrova
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Métier : 5ème année en Sciences Magiques
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Lumos Je rp en : goldenrod Mon allégeance : Ordre du Phénix
Dim 27 Aoû - 21:14
encore un nouveau c'est trop bien hâte de découvrir ta fiche ! Et bienvenueeeee
Love's my religion but he was my faith
Something so sacred, so hard to replace Fallin' for him was like fallin' from grace All wrapped in one, he was so many sins Would have done anything, everything for him And if you ask me, I would do it again
Métier : 3ème année universitaire en protection magique
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Lumos Je rp en : #7600 Mon allégeance : Neutre
Dim 27 Aoû - 22:03
Récemment nouvelle, je ne peux que te souhaiter la bienvenue. Hâte de découvrir la suite de ta fiche qui a l'air d'être prometteuse.
Léon Villeneuve
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Métier : Libraire (la nuit, tueur à gages)
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Lumos Je rp en : Mon allégeance : Neutre
Dim 27 Aoû - 22:23
Salutations à tous, Merci pour votre accueil plus que chaleureux, j'espère me montrer digne de vos attentes et vous donner l'eau à la bouche avec ce personnage que je voulais mettre en action depuis un moment maintenant. C'est une satisfaction de pouvoir le développer sur ce forum qui a l'air haut en couleur, que ce soit par ses membres, mais aussi par son esthétique !
A très vite en rp et pour celles et ceux qui seraient intéressés par Léon, n'hésitez pas à m'envoyer un MP ! Bien à vous,
Léon Villeneuve
Je suis sans pitié, sans scrupule, sans compassion, sans indulgence, pas sans intelligence.
Métier : Conseiller juridique au Ministère de la Magie, dans le Département de la Justice Magique, au Service des usages abusifs de la magie
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Date d'inscription : 28/02/2021
IRL
Lumos Je rp en : Peru Mon allégeance : Neutre
Lun 28 Aoû - 15:48
Je sors mon petit Toulousain de Balthazar pour te souhaiter la bienvenue par ici ! Bon courage pour la rédaction et hâte de découvrir ce Léon qui n'a pas l'air super commode
two hearts still beating / on with different rhythms. maybe we should let this go. we’re fallin’ apart, still we hold together. we’ve passed the end, so we chase forever.
Lumos Je rp en : Mon allégeance : L'Ordre du Phénix côté moldus
Lun 28 Aoû - 22:21
Bienvenue bienvenue, beau libraire. Bon courage pour ta fiche !
☾☾I used to float, now I just fall down, I used to know but I'm not sure now, What I was made for, What was I made for?
made by magma
Spoiler:
Nymphéa E. Chang
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Métier : Diplômée de l'université Poudlard et assistante d'un journaliste au journal Le Chicaneur (pas de quoi remplir le porte-monnaie rapidement quoi)
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Lumos Je rp en : goldenrod Mon allégeance : Ordre du Phénix
Lun 11 Sep - 0:14
Bienvenue à toi sur GOB !!!
Je me demande c'est quel film avec Ryan ces gifs. En tout cas, sa vie n'a pas été très folichonne à Léon.
Courage pour ta fiche et amuses-toi bien avec nous !!!
Never Surrender
We’re a phoenix rising from the ashes fighting. Our courage climbing. We’ll never, never surrender. This is our battle. Won’t stay in the shadows now. Living for tomorrow. We’ll never, never surrender - Liv Ash, Never Surrender
(c) 0tsana
Spoiler:
L'Augurey
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Métier : Grand Manitou de GoB
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Lumos Je rp en : Mon allégeance : moi, moi, et rien que moi
Dim 17 Sep - 12:57
@Léon Villeneuve Le délais pour réaliser ta fiche est dépasser, je déplace cette dernière dans les fiches en danger, tu as 15j pour finir cette dernière ou demander un délais, sinon ton compte sera supprimé
Doryan Rosebury
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Métier : Pompier
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Lumos Je rp en : 800080 Mon allégeance : les Rosebury, Belle et Soledad
Lun 18 Sep - 20:23
Ah non, ça devrait être interdit de me laisser sur ma fin comme ça. Voilà, ça y est moi je suis curieux, je veux savoir où qu'il est le Thomas et à quel moment il s'est barré, comment il a su, est ce qu'il l'a su ? Est ce qu'il a été enlevé... Puis d'abord c'est quoi ces gens qui enlèvent un vieux (pardon Thomas c'est pas contre toi XD) mais qui laisse mourir la petiote... c'est moche, c'est très moche. T'as bien fait de les traquer ces saletés, le meurtre, c'est mal. Sinon, pauvres parents, ohlala ça doit être d'un agréable d'avoir un fiston qui se renferme sur lui même Moi je veux rencontrer Léon que la journée, la nuit il peut aller voir les autres, ça m'arrange
Bienvenue chez les ...
Sorciers
Félicitation à toi te voilà fraîchement validé !!!
Tu vas pouvoir parcourir le forum de fond en comble et pouvoir rp à gogo ! Nous te conseillons tout de même de passer ouvrir ta fiche de lien et aussi ton hiboux afin de recevoir ton courrier. N'oublie pas de remplir ton profil, si un lieu te manque où si tu souhaites obtenir ton logement, c'est par ici que ça se passe. Afin de t'intégrer au mieux sur le forum, tu peux participer à ces petits défis exclusivement réservés aux nouveaux. Tu peux aller t'inscrire dans une faction pour ensuite recenser tes points dans la coupe des quatre factions. Tu peux également demander d'être parrainé sur le forum, pour obtenir un parrain ou une marraine, rendez-vous sur ce sujet N'hésite pas aussi à te détendre dans la partie flood et même à venir nous faire un petit coucou sur la chat box Si tu as une question ou même une suggestion tu peux venir dans ce sujet et n'oublie pas que nos boîtes à mp sont toujours ouvertes
Amuse-toi sur GoB !!!
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Léon Villeneuve dit "K" - "C’est votre vie et elle s’achève minute après minute" (en cours)
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IRL
trop contente de te voir ici ! Et hâte de lire ce super personnage 
️ FRIMELDA
encore un nouveau c'est trop bien 
hâte de découvrir ta fiche ! 
Bon courage pour ta fiche ! 
Moi je veux rencontrer Léon que la journée, la nuit il peut aller voir les autres, ça m'arrange 
