Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes, alors pensez à les privilégier pour vos personnages
Quelle est votre allégeance ? Développer quel camp votre personnage a choisi de rejoindre : Que pense-t-il de cette bataille en sous-main ? A-t-il un avis sur les moldus, les sorciers ? Que pensez-vous de la pureté du sang ? Etes-vous investi, impliqué ?
Tu es un sang-mêlé, alors il te parait évident que tu ne vas pas aller lécher les bottes des mangemorts qui prône la suprématie des sang-pur ! Tu n'en as pas totalement souffert étant jeune, te retrouver dans la maison des vert et argent te protégeais plus ou moins et si jamais ce n'était pas le cas tes poings savaient frapper là où ça faisait mal. Tu es loyale envers la Cosa Nostra. En clair ? Tu en as rien à carrer de cette guerre à la con, tu prends aucun parti. Tant qu'on te fou simplement la paix. Luca, Anjelica, les Zabini et les autres, ta mère, ce sont eux ta famille. C'est toi qui choisit tes combats et celui-là n'est clairement pas le tiens.
« Petite citation »
Derrière l'écran Pseudo ϟ Emi. Age ϟ 27 ans Scénario ou inventé ϟ inventé Comment as-tu connu le forum ? ϟ Je me promenais à dos de licorne et je suis tombée ici Dernier mot ϟ
« loupiotre »
Dossier ministériel n° 1058
Le nom de ma famille est Evans celui de ta mère également puisque personne ne sait vraiment qui est ton père. et mes parents ont décidés de me nommer Jaeden prénom choisis par ta tendre mère.. Je suis né le 02 mai 1993 dans cette belle ville qu'est Londres, dans une vieille maison, ce qui fait que je suis aujourd'hui âgé de 25 ans. Je suis un sorcier et de ce fait le sang qui coule dans mes veines fait de moi un sang-mêlé . Lorsque j'étais enfant, je suis allée à l'école de sorcellerie de Poudlard, et j'étais dans la Maison des Serpentard, ce qui m'a permis de devenir aujourd'hui Mecano au Thestral Motor. Cette situation me permet également de gagner ma vie de manière Tu n'es pas pauvre, mais pas riche non plus, Tu as ce qui te suffit pour vivre et cela te convient tout à fais et de vivre à Londres. Je suis Célibataire tu n'as jamais été amoureux et d'ailleurs, j'ai une préférence pour Tu peux coucher avec les deux sexes mais ta préférence reste pour les femmes. Je me suis procuré il y a de ça quelques années une baguette magique et la mienne est faite en bois de de cèdre en totale harmonie avec son caractère à a fois très fort et loyale avec un cœur de plume d'oiseau-tonnerre et elle mesure Trente deux centimètres plutôt épaisse et flexible.. Elle me permet de faire apparaître un Loup polaire comme patronus. C'est elle aussi qui m'aide à combattre mon épouvantard qui prend la forme de Une ombre masculine au loin, tu ne sais pas qui sait, mais tu sais qu'elle te veut du mal avec un riddikulus Elle devient seulement de la fumée qui se dissipe. La dernière fois que j'ai pu sentir une potion d'amortentia, elle avait la douce odeur de La chaleur, l'arôme du feu de bois crépitant dans la cheminée, l'odeur du soleil, de la crème hydratante que tu déposes sur un corps féminin et une fragrance pimenté, piquante, comme toi.. Je n'oublie évidemment pas mes rêves et lorsque je me place devant le miroir du rised, je vois Tu te vois toi, grand, fier avec ta mère à tes côtés, tu as réussi à la sortir de cet endroit qui à été ta maison toute ton enfance, tu as réussi à la sauvée. Mais peut-on sauver quelqu'un qui ne désire pas l'être ? . Il se trouve que je n'ai pas une particularité magique. Ah j'ai failli oublier, l'être qui m'accompagne aujourd'hui est une Chouette celle de ta mère pour le courrier et elle se nomme Marella. Et pour finir je prête mon allégeance je suis neutre.
Caractère
Décrivez ici le caractère de votre personnage sous la forme de votre choix ~ (250 mots minimum)
Ϟ 01. Ϟ Ayant vécu dans un monde de femme, tu as un énorme respect pour ses dernières, tu ne supportes pas que du mal leur soit fait. Ϟ 02. ϞImpulsif, tu démarre souvent au quart de tour, tes muscles réagissent parfois plus vite que ton cerveau, parfois même de manière violente et brutaleϞ 03. Ϟ Lorsqu'on te trahit, tu pardonnes très, très difficilement, il est même possible que tu cherches à te vengerϞ 04. ϞEtant né dans un bordel, tu n'as jamais touché une femme ou même un homme autrement que pour de l'argent, l'idée te paraît même étrange. Ϟ 05. Ϟ Sortir ta mère de cet endroit que tu considères comme un enfer qui vous consume à petit feu est ton ultime but, tu espères bien un jour finir par y arriver et tu comptes ne rien lâcher, jamais. Ϟ 06. ϞDepuis tout petit, tu gardes toutes tes souffrances pour toi, tu intériorise beaucoup. Tes tatouages sont ta seule façon d'extérioriser, de mettre des images sur les cicatrices de ton passé. Ϟ 07. Ϟ Tu n'as que peu d'estime pour toi-même, tu te penses souillé de l'intérieur et tu ne penses pas mériter qui que ce soit. Ϟ 08. ϞLes courses de moto t’apportent cette liberté que tu as recherché toute ta vie. Tu aimes sentir le vent caresser ton visage au fur et à mesure que tu accélères. Tu aimes cette sensation de contrôle que tu ne ressens que lorsque tu tiens le guidon entre tes doigts. Ϟ 09. Ϟ La mécanique c'est ce que tu fais de mieux, ce dont tu es le plus fier, les seuls moments où tu es vraiment méticuleux et tu respectes les motos au moins autant que tu respectes les femmes. Chacune d’entre elles est précieuses, pour toi c’est noël chaque fois que l’on te ramène une nouvelle épave à réparer, tu aimes les défis ! Ϟ 10. ϞTu t'attaches très peu aux gens, tes vrais amis tu ne les comptes que sur les doigts d'une seule main, mais tu sais à qui faire confiance et cela te convient très bien.
Pensine
Sous la forme d'un rp, veuillez nous raconter un souvenir marquant de votre personnage, quelque chose qui à changer/marqué sa vie à jamais. (350 mots miniumum)
Jamais il n'y avait eu autant de monde pour toi dans un seul et même endroit, peut-être même de façon éparpillée d'ailleurs... Il y avait du monde là où tu as grandi, mais ce n'était pas pareil et au final tu as appris que toutes ses femmes n'étaient pas forcément ta famille. Tu fermes alors les yeux un instant, tu inspires avant de sentir deux mains s'aplatir sur tes épaules. « Jae mon pote tu me trouves une petite place ? » Disait alors Luca en désignant les tatouages qui parsemait ta peau. Un sourire vient alors étirer tes lippes. Tu connaissais déjà plus ou moins le rite de passage, tu avais déjà vue le tatouage de Luca, celui de sa sœur Anjelica cependant tu ne savais pas jusqu'à aujourd'hui ce qu'il voulait dire. Evidemment tu adorais l'idée et cela ne te dérangeais pas bien au contraire, cependant il était vrai que les places commençaient à être cher. Tu t'assois sur un tabouret et tend ton avant-bras gauche. Un poignard entouré d'un serpent allait y prendre place, tu avais déjà vue avec ton meilleur ami pour qu'il se fond à la perfection avec tes autres tatouages. Tu n'appréhendes pas. Il y a bien longtemps que l'aiguille ne te fais pus peur et alors qu'elle s'enfonce dans ta chair, tes prunelles tombent alors dans celle d'Anjelica...
C'est à cause d'elle si tu es là. C'est grâce à elle si à présent tu fais partie de cette famille sans doute qu'elle te détestait pour ça, mais tu lui avais sauvé la vie, elle t'était redevable, qu'elle le veuille ou non. Elle devait probablement s'en vouloir n'est-ce pas ? De s'être mise dans une telle situation et que tu viennes la sauvée, toi sans doute la dernière personne qu'elle appellerait à l'aide. Pourtant tu n'as pas hésité. Malgré l'animosité qui règne entre vous... Tu as vu ces mecs la suivre et ton sang n'a fait qu'un tour dans ta tête. Pourquoi ? Ta tête te répond tout simplement parce qu'elle est une femme et que jamais tu n’aurais admis qu'on s'en prenne à elle, mais il y a une raison plus profonde que tu refuses encore et toujours d'admettre depuis des mois... Tu as fait couler le sang pour la première fois de ta vie, le poignard s'est retrouvé entre tes mains et à fini dans la poitrine de ses deux agresseurs... Le premier par accident, le second parce que c'était lui ou toi. Pour ça, tu as été admis dans la Cosa nostra. Tu es l'un des leurs, ils sont ta famille à présent.
Une tape sur l'épaule lorsque c'est fini te sort de ta rêverie. Et puis une autre et encore une autre. Des félicitations fusent. Une étreinte, celle de Luca. Tu le considérais déjà comme un frère, maintenant c'était chose faite ! Un regard noir, celui d'Anjelica évidemment. Mais ce soir tu l'évites, ce soir tu ne veux pas faire de scène, une bière arrive dans ta main, ce soir, tu fais la fête. Ce soir tu as une famille et il n'y a qu'une seule personne qui manque dans ce tableau... Ta mère...
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Invité
INRP
IRL
Sam 12 Jan - 1:05
Votre histoire
« Hush Little Baby »
Deux mai 1994, c'est pendant les premières heures du printemps que tu es nés. C'est lorsque ta mère, cette guerrière, à bout de souffle a fournis un dernier petit effort que ton cri est venu percer le silence des rues de Londres. Toi, un petit garçon, on te donna alors le prénom de Jaeden. Petit être innocent qui ignorait alors tout du monde dans lequel tu venais de pénétrer, mais tu le découvriras bien assez tôt...
chut mon bébé ne dis pas un mot maman va t'acheter un merle moqueur et si ce merle moqueur ne chante pas maman t'achètera une bague en diamants et si cette bague en diamant se transforme en laiton maman t'achètera un beau miroir et si ce miroir se casse...
Tu as grandi dans une maison remplie de femmes, les hommes ne viennent que le soir alors que toi tu dois aller te coucher. C'est comme si tu avais plusieurs mamans, même si tu sais quelle est réellement la tienne, tu as l'attention de toutes, petit prince dans un monde de vices, d'argent sale et de débauche. Tu es choyé, chouchoutés, tu ne manques de rien et certainement pas d'amour. Tu obtiens cependant peu de réponse lorsque tu poses des questions, on te dit alors que tu es encore trop petit pour comprendre... Pourtant, tu vois, tu entends des choses la nuit... Des cris, des éclats de voix, la musique te berce mais ce n'est pas assez alors tu plaques tes mains sur tes oreilles, fermes tes yeux et tu te rappelles de cette berceuse que ta mère te chantait quand tu étais encore plus jeune...
chut mon bébé ne dis pas un mot maman t'achètera une chèvre et si cette chèvre ne bêle pas maman t'achètera une charrette et un mulet et si cette charrette et ce mulet se renversent…
Tu es grand à présent, assez grand pour que les choses changent, assez grand pour qu'on te remarque, pour que les regards sur toi commencent à se poser d'une façon différente d'avant. Tu commences à comprendre, tu sais qu'ici les hommes et les femmes font des choses ensemble, que c'est ainsi qu'elles vivent leur vie, que tu vis également, que tu vivras lorsque tu seras plus grand, tu le sais, ton tour viendra et tu ne peux t'empêcher d'être curieux, de te demander comment c'est. Tes pouvoirs ont fait leur apparition, tu as reçu des cadeaux, des regards emplis de fiertés, des sourires, des caresses... Certaines plus étrange que d'autres, mais tu n'y fais pas attention, c'est ta famille, tu les aimes.
Tu sors quelquefois de cette maison qui est la tienne. Un homme que tu n'aimes pas t'emmène loin de ta mère, loin de ton monde, loin de ce chez toi. Et si dans un premier temps tu lui en veux, tu te lies d'amitié avec une fille, Lyrae, première personne de ton âge que tu rencontres réellement, tu es curieux, tu la regardes, tu lui souris. Tu la trouves jolie. Et même si tu n'aimes pas l'homme qui t'emmène jusqu'à elle, figure paternelle qui manque à ton enfance tu apprends à apprécier de le suivre, car tu sais qu'à chaque fois tu pars pour la retrouver. Elle, ton amie, la seule. Vos histoires sont tellement différentes, mais encore à cet instant tu ignores à quel point... Malheureusement les choses ne durent pas et un jour plus personne n'est venu te chercher...
Ta vie change à jamais lors de tes onze ans, lorsque tu rentres dans cette école de magie qu'on appelle Poudlard et que tu te rends compte que ta vie à toi n'a rien de normale. Que la plupart des enfants ont un papa et une maman et ne vivent pas dans un milieu tel que le tien. Tu apprends alors rapidement à cacher d'où tu viens et même ce qui se passe chez toi. Tu prends goût à cette double vie que tu mènes, tu arrives même t'imaginer une autre vie, à faire semblant d'oublier d'où tu viens, qui tu es... À faire semblant d'être comme tout le monde. Mais chaque été, la vie reprend ses droits et toi tu grandis. Tu deviens ce garçon qui se change peu à peu en adolescent... La première fois que cela t'arriva ? Tu avais treize ans. Tu étais assez vieux on t'avait dit... Tu tremblais lorsque les mains de la jeune femme se posaient sur toi, lorsque tu ressentais ses caresses sur ta peau, ton coeur battait à tout rompre... Tu ne découvrais pas tous les plaisirs de la chaire du premier coup. Cela est venu petit à petit, tu as été « éduqué » si on peut dire à donner du plaisir. À tout connaître des femmes sur le bout des doigts, ce n'est qu'une fois que l'on te considéra près, trois bonnes années après, lorsque les poils commençaient enfin à pousser sur ton menton que tu as pu avoir ta première vraie cliente...
Encore aujourd’hui, cela t’arrive d’y repenser pour oublier…
maman t'achètera un chien nommé vagabond et si ce chien nommé vagabond n'aboie pas maman t'achètera un cheval et une charrette et si ce cheval et cette charrette s'effondrent et bien tu seras toujours le plus mignon des bébés de la ville.
C'est à partir de là que tu as décidé d'ancré ta peau. Que tu as ressentis le besoin de dire certaines choses que tu taisais depuis bien trop longtemps. À défaut de pouvoir les crier à voix haute, tu les as dessinés afin de ne jamais oublier... Tu n'étais pas un adolescent des plus facile, tu te recroquevillais sur toi-même, tu ne supportais plus qu'on te touche, seules quelques personnes proches de toi avaient alors ce privilège. Ceux qui étaient les seuls à te connaître... Tu enchaînais les réactions violentes, la mauvaise réputation, tu ne disais jamais non à une bonne bagarre... En réalité tu étais mal, mais il n'y avait personne pour le voir. Tu obtiens tout de même ton diplôme, parce que les études, c'était ton graal, la dernière chose à laquelle tu t'étais accroché, ta roue de secours, ta porte de sortie de cette vie infernale dans laquelle tu trimais depuis l'enfance... Tu ne savais pas de quoi serait fait ta vie, tu étais certains d'autre chose, tu voulais mieux !
« Je ne veux pas de cette vie, je ne veux plus de cette vie Maman. » Les mots étaient posés tandis que tu faisais face à ta mère. La vraie, celle qui t'a mise au monde, pas toutes les autres, pas celle qui avaient fait semblant de t'aimer un temps et t'avait imposé la suite sans même hésiter un seul instant. Mais était-ce seulement une vie pour un enfant ? Non c'était celle qui avait fait tout ce qu'elle pouvait dans sa vie pour que tu sois bien même si ce n'était pas assez, ta guerrière, celle que tu admirais et respectais quoiqu'elle fasse. Celle contre qui tu ne t'emportais jamais malgré le fait que tu bouillonnais de rage, malgré le fait que tu ai envie de tout envoyer en l'air... Malgré le fait qu'elle tentait de te faire rester... Sa main se pose sur ton épaule et alors tu t'écartes vivement, tu as besoin d'air. « Tu mérites mieux, tu mérites plus. » Lâches-tu alors en redressant la tête jusqu'à ce que tes prunelles s'accrochent aux siennes. Elle est au bord des larmes, mais tu ne fais pas un geste, tu as besoin qu'elle comprenne. « C'est trop tard pour moi Jaeden... » Tu n'étais pas d'accord, mais tu pouvais lire cette détermination dans son regard, tu avais hérité de la même. Tu savais que tu ne la ferais pas changer d'avis, pour une raison que tu ignores, elle s'imaginait que sa vie était ici, dans ce... Bordel... Et elle s'accoutumait à cette affirmation, elle ne rêvait pas de mieux, elle ne voulait pas de mieux et tu lui en voulais pour ça. « Elles ont besoin de moi ici. » Des conneries, pour toi ce n'était que des conneries... Dans tes rêves les plus fous tu étais le prince qui la libèrerait de ses chaînes... Mais la réalité était tout autre et tu étais loin d'être un prince. Elle s'approche alors de toi, un sourire aux lèvres tandis qu'une larme perlait sur sa joue, elle vient déposer sa main sur la tienne. « Va mon garçon, tu es libre. » Ton pouce vient doucement essuyer la trace que la larme a laissée sur sa joue avant de sentir ta carcasse venir l'enlacer doucement. Un jour, tu la sauveras quoiqu'il t'en coûte, tu t'en fais la promesse.
« Passe-moi la clé de 12. » Demandes-tu à l'un de tes collègues tandis que tu finissais de serrer un boulon. « Elle va fonctionner tu crois ? Elle était vraiment dans un sale état... » Ah ça pour être dans un mauvais état, elle l'était. Même toi tu as grimacé en la voyant arriver, tu avais mal pour elle, même si ce n'est qu'une machine. Elle au moins tu la comprends, contrairement à d'autres... Tu coules un regard vers la Zabini... Avant de te concentrer de nouveau sur ce que tu étais en train de faire. Une fois le boulon serré, tu te relèves et avant que tu réfléchisses à ce que tu faisais, ta main pleine de cambouis vient s'écraser sur ta joue, noircissant encore un peu plus ta peau, après tout ça, tu serais bon pour une douche. Tu montes sur l'engin que tu as mis quelques semaines tout de même à remettre en état, certains ne pensaient même pas cela possible et aujourd'hui, c'était le grand moment, celui où tu t'installais sur la scelle en cuir, ton postérieur épousant parfaitement sa forme. Les regards sont braqués sur toi, mais toi tout ce que tu vois c'est cette moto, intérieurement tu pries pour qu'elle fonctionne et pourtant tu sais que tu as fait du bon boulot, tu sais qu'il ne peut en être autrement... Mais tu n'es soulagé que lorsque tu entends son vrombissement retentir dans le garage, lorsque tu entends des cris retentir et des tapes sur ton épaule. Voilà quelques mois que tu travailles au garage des Zabinis ! Après avoir sauvé leur fille, Anjelica. Vous ne vous êtes jamais réellement entendu, vous ne vous supportez pas, mais lorsqu'elle s'est faite agressée tu n'as pas hésité. Tu as fait couler le sang malgré toi et aujourd'hui tu fais partie de la Cosa nostra, un nouveau tatouage est venu compléter ton bras déjà bien chargé. Depuis ton départ de la maison close, tu as fait dans le trafic de moto et courses clandestines, tu étais plutôt doué et tu as appris la mécanique sur le tas, cela te permettait de faire de l'argent et même si cela ne te plait pas de l'admettre il t'arrivait parfois de retourner à tes anciens démons afin d'arrondir tes fins de mois, quelques nuits par-ci, par là, ça payait plutôt bien. Mais depuis que tu es au garage, tu n'as plus besoin d'y retourner, la Cosa nostra à présent c'est ta famille, ce sont les tiens et tu subviens à tes besoins. Évidemment tu n'oublies pas la promesse que tu as faite et chaque mois, tu envoies de l'argent à celle qui t'a mise au monde, ta façon à toi de t'assurer qu'elle ne manque jamais de rien.
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