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Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes,
alors pensez à les privilégier pour vos personnages

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Deux mondes, une seule famille [Elida] :: United Kingdom :: Écosse :: Les îles :: Iles Hébrides
Abigail MacFusty
Abigail MacFusty
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Mar 23 Jan - 17:21


Je serai toujours là


Février 2022

Je passais tranquillement entre les rangs des tables où travaillaient mes élèves. Les mains dans le dos, je les observais attentivement prendre soin des niffleurs, notamment de Muriel et de Théodore, prenant garde qu’aucun jeune imbécile n’ait l’excellente idée de leur faire du mal. Si je n’avais jamais trop eu de problème jusqu’ici, je me méfiais toujours, et ces dernières semaines, je remarquais que mon attention s’était particulièrement accrue. Je refusais de croire qu’il s’agissait là d’un quelconque instinct maternel, mais peut-être devrais-je commencer à me faire à cette idée quand même.
Un sourire étira mes lèvres lorsque je vis Muriel, couchée sur le dos, les quatre pattes étendues, pousser un grand soupir d’aise tandis qu’Elida lui brossait le ventre. Si cette niffleuse me causait quotidiennement du souci en privé, en cours, elle était exemplaire. Je la soupçonnais surtout d’apprécier par-dessus tout de se faire dorloter. Au moins, ces deux-là s’entendaient bien, ce que j’avais craint avec le sort que me réservait la petite créature lorsque nous étions les deux à la maison. C’était pire quand Harper se trouvait dans la même pièce. Je commençais à m’y faire, mais il y avait quelque chose de pénible à ne pas être apprécié par une créature magique. À moins que ce soit ma fierté qui en prenait un coup ? Car pour une fois dans ma vie, Harper avait un atome crochu avec une créature, et pas moi. Une grande première !
Un coup d’œil à l’horloge me permettait d’estimer le temps qu’il me restait. Peu à vrai dire. À peine une poignée de minutes. Mais au moins, les élèves profitaient des soins à apporter aux niffleurs sans être assommés par la théorie. Je revenais jusqu’à mon bureau et m’y appuyais pour faire face à l’ensemble de la classe.

— Bien, bravo à tous, je crois que les niffleurs sont très heureux.

Je baissais les yeux sur Muriel qui me jeta un regard noir, apparemment outrée que je mette fin à sa séance de spa. Sans m’y attarder, je croisais les bras.

— N’oubliez pas que je souhaite pour la semaine prochaine un exposé complet sur les niffleurs allant de leurs caractéristiques jusqu’à leurs structures osseuses et musculaires.

La rumeur s’éleva alors que les élèves se relevaient, poussaient leurs chaises et que les niffleurs couinaient pour réclamer de dernières caresses.

— Mademoiselle Sutton, restez un instant avec moi s’il vous plaît.

Si la jeune Serdaigle avait rejoint notre famille depuis plusieurs mois, je ne me permettais jamais de l’appeler par son prénom dans le cadre de l’école, ou alors, j’attendais que nous soyons en privé. Qu’elle vive chez nous n’était pas un secret, mais je ne souhaitais pas la mettre dans l’embarras en lui accordant un traitement différent de ses camarades de classe. Je lui avais demandé de procéder de même pour moi, mais qu’en privé, elle pouvait m’appeler par mon prénom. Les « madames » à la maison me vieillissait plus que nécessaire… et franchement, ça me donnait envie de pleurer. Pas de juste verser une larme, non. Genre le gros chagrin de crocodile.
Saletés d’hormones.

Je répondais avec tranquillité aux élèves qui me souhaitaient un bon week-end en quittant la salle tout en couvant Elida du regard.
Sans la presser, comme à mon habitude, je la laissais saluer ses amis tout en invitant les niffleurs à me rejoindre en tendant les bras. Même si je savais sa réaction, j’invitais quand même Muriel à venir avec moi en lui tendant la main. La niffleuse se redressa et préféra sauter de la table pour marcher à côté de moi tandis que Théodore ne se fit pas prier et rejoignit les autres niffleurs déjà perchés sur mes épaules. J’emmenais tout ce petit monde dans le parc spécialement aménagé pour eux, agrandi par magie. Un petit coin de paradis en somme. Je m’accroupissais et laissais les créatures retourner dans leurs nids tout en m’adressant à Théodore et Muriel (même si cette dernière m’ignorait).

— On viendra vous chercher tout à l’heure.

Ils m’écoutaient à peine, trop heureux d’aller gambader dans leur pré que je leur avais aménagé. Je souris et me redressais. Subitement attaquée par une violente nausée, je me rattrapais à une planche en bois pour éviter de m’écrouler. Je fermais les yeux.
Respire.
Trois longues inspirations plus tard, le vertige diminua. Je m’en passerai volontiers de ces effets secondaires idiots.  
Ignorant si Elida avait remarqué mon malaise (ce qui arrivait régulièrement depuis le mois de décembre), je feignais que rien n’était arrivé (comme d’habitude) et lançais un sortilège en direction de la salle et de mon bureau. Tout se rangea automatiquement. Constatant qu’Elida était enfin seule, je me rapprochais d’elle en lui souriant.

— J’ai des choses à faire cette après-midi, et puisque tu as congé, je me demandais si tu voulais m’accompagner ? Évidemment, tu as le droit de refuser, mais je me suis dit que ce serait chouette de passer du temps toutes les deux.

Depuis le temps, j’avais la naïveté de croire qu’Elida me connaissait. Elle savait qu’elle pouvait dire non, elle savait qu’elle avait le droit de respecter ses envies. Je n’étais pas comme ses familles d’accueil précédentes et encore moins comme ses mères initiales. Peut-être qu’Elida préférerait passer du temps avec ses amis pour la soirée et le week-end, chose que je comprenais tout à fait. Moi aussi j’avais eu seize ans.
Tranquillement, je joignais mes mains devant moi en reprenant, comme si j’argumentais.

— J’ai un collègue dragonologiste à aller voir et quelques petites choses à vérifier dans les Hébrides.

Ouais, en fait, j’argumentais complètement. Je savais qu’Elida avait un faible pour les créatures magiques, quelque chose qui nous rassemblait, mais dont je n’avais jamais usé jusque-là. Mon emploi du temps aujourd’hui me semblait idéal, voilà pourquoi je m’étais permis d’espérer qu’elle accepte ces quelques heures ensemble.
 

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Elida Sutton
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Lumos
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Ven 9 Fév - 19:47
Deux mondes, une seule familleFévrier 2022 | Avec @Abigail Macfusty
Sous la brosse, Muriel la Niffleuse semble bien à son aise. Elle est rigolote, ainsi étirée et détendue : c’est sûr, les cours de madame Macfusty lui apportent autant qu’à nous. Pourtant, elle n’est pas très gentille avec l’Adulte quand nous sommes sur l’Île… Il faut dire que se faire bichonner de cette manière doit être bien agréable – tant que l’on fait attention de ne pas la blesser avec des gestes maladroits, évidemment. Même si nous sommes là pour apprendre, les créatures magiques sont des êtres vivants alors il faut veiller à ne pas faire d’erreur lorsqu’il s’agit de travailler directement avec eux.

C’est peut-être pour cela que j’aime autant cette matière. Être au contact des créatures est toujours passionnant, c’est ainsi que j’aime les découvrir, les observer et apprendre à mieux les connaître. Les livres sont intéressants et je sais bien que la théorie est nécessaire, mais les étudier en direct est encore plus enrichissant. D’autant plus que cela signifie que nous avons des responsabilités, ainsi que la confiance de la professeure qui nous laissent nous occuper des créatures. Certes, elle passe entre les tables pour surveiller. Mais c’est normal : c’est son travail, et nous ne sommes que des élèves en cours d’apprentissage.

Malheureusement, le temps passe et l’inévitable arrive : le cours se termine. La professeure semble satisfaite puisqu’elle nous félicite tous avant de parler d’un devoir. Je me hâte de vérifier que je l’ai bien noté – il va être véritablement passionnant à faire, j’ai hâte ! – avant de ranger mes affaires tranquillement, l’attention happée par une Muriel qui aurait, elle aussi, bien continué ce cours. Mais la voix de madame Macfusty se fait entendre, me réclamant de rester plus longtemps, alors je hoche la tête en terminant de ranger, plus sérieusement cette fois, un peu inquiète. Ai-je mal agi avec la Niffleuse ?

Non, impossible : elle m’aurait repris durant le cours… Du moins je l’espère. Alors je salue mes camarades qui quittent la classe, essayant d’avoir l’air sereine. Après tout, ce n’est pas comme si j’avais fait une bêtise, ni en cours aujourd’hui, ni dans un autre cours, ni même à un autre moment – du moins pas à ma connaissance. Ce n’est pas dans mes habitudes ! Le sac rempli, je me tourne vers la professeure qui arrive tout juste, souriante comme souvent. Mais on ne sourit pas quand on s’apprête à disputer quelqu’un, n’est-ce pas ? Ce serait étrange. Allons Elida, détends-toi et écoute-la.

Alors c’est ce que je fais : j’écoute. Et, à mon plus grand soulagement, il semblerait qu’elle ne soit pas là pour me gronder mais plutôt pour me proposer de l’accompagner. L’idée m’étonne tout de même : pourquoi voudrait-elle qu’une élève de seize ans – presque dix-sept, s’il vous plaît – vienne avec elle ? Ce sont sûrement des affaires d’adulte… Qui veut d’une adolescente pour faire des activités d’adulte ? Non pas que l’idée me déplaise, madame Abigail est une Adulte très gentille et agréable, mais j’ai toujours quelque part au fond de moi cette peur de déranger. Oui c’est assez illogique pour le coup, puisque c’est elle qui me propose. Mais que voulez-vous, c’est ainsi…

Mais les hésitations qui remplissent ma tête s’envolent rapidement en l’entendant parler d’un Dragonologiste et des Hébrides. Les yeux étoilés, un grand sourire vient étirer mes lèvres tandis que je hoche la tête avec enthousiasme, « Oh oui, cela me ferait très plaisir ! » Allons-nous voir des Dragons ? Comme cette fois dans le sous-marin ? Peut-être ! « Merci beaucoup mada… Heu… Abigail ! » Oui, le madame tente encore, parfois, de sortir de ma bouche. Mais je sais qu’elle n’aime pas ça, et un jour j’y arriverai parfaitement. « Est-ce que j’ai besoin de mon sac à dos, ou c’est mieux que je le laisse au dortoir ? »

À noter que le dortoir de ma Maison – Serdaigle pour les têtes-en-l’air – n’est pas à côté. Quelques centaines de marches à grimper, un heurtoir énigmatique à franchir. Mais je peux y arriver rapidement s’il y en a besoin ! Tout faire pour ne pas déplaire, je crois bien que cette phrase est un peu ma devise.



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Abigail MacFusty
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Ven 16 Fév - 19:21


Je serai toujours là


Février 2022

Ma sensibilité et mon empathie naturelles me permettent de ressentir les questionnements d’Elida. Malgré toute la gentillesse dont je pouvais faire preuve avec elle depuis sa venue chez nous, elle restait une adolescente très sensible et instable émotionnellement. Elle m’évoquait souvent ces petites ballerines dans les boites à bijoux. Elle ne savait jamais sur quel pied danser avec Harper ou moi. J’espérais qu’après cette après-midi, elle pourrait commencer à poser son deuxième pied et se stabiliser.
Car la stabilité, c’était tout ce que nous souhaitions lui offrir avec Harper, bien que nous ayons des manières bien différentes et distinctes pour nous y prendre. Harper par l’extravagance, moi par la douceur. Mon sourire s’élargit en entendant qu’elle retenait un nouveau « madame ». Cette petite me faisait craquer, et ce n’était pas uniquement à cause des hormones ! Elle dégageait une sensibilité et une innocence qui ne me laissaient pas indifférente. Peut-être que je me reconnaissais un peu en elle, quand j’avais son âge, pour autant, je n’ai jamais perdu cette confiance envers les adultes comme elle semble l’avoir perdu. À chaque fois que je songeais au dossier la concernant, mon cœur se serrait. Comment pouvait-on ignorer à ce point un enfant désiré ? Surtout un enfant conçu de cette manière. De la même manière que celui qui grandissait doucement en moi.
Bien sûr, l’ambiance morbide et terrifiante de la guerre n’aidait en rien, et je savais que des parents agissaient horriblement avec leurs enfants depuis la nuit des temps. Ce n’était pas pour autant que je le comprenais, et encore moins que je le pardonnais.
Tout ce que je désirais à présent pour Elida, c’était lui offrir un présent et un avenir stable. Je voulais qu’Harper et moi, en la compagnie de monsieur Villeneuve pour le côté paternel, puissions devenir ses adultes de références. Ceux qui l’inspireront et la feront grandir, puisque le flambeau nous appartenait à présent.

— Je suis contente que tu veuilles m’accompagner ! On va bien s’amuser ! m’exclamais-je en croisant les bras. Tu n’en auras pas besoin, on va voyager léger. Prend ce que tu souhaites emmener et donne-moi ton sac, s’il te plaît, je vais te le renvoyer au dortoir.

Je laissais la jeune fille prendre ce dont elle avait envie. En bonne Serdaigle, je me doutais qu’elle prendrait peut-être de quoi prendre des notes. Quoiqu’il en soit, j’avais sur moi tout ce dont nous avions besoin pour notre après-midi ensemble.
À l’aide d’un sortilège, le sac s’envola en direction de la tour de Serdaigle, et comme s’il l’accompagnait, aussi léger que lui subitement, mon cœur papillonna dans ma poitrine. J’étais véritablement heureuse qu’Elida m’offre une chance de l’approcher et de la toucher. Et puisque c’était ainsi, je voulais faire les choses en grand.
Pour être dans la retenue après tout ?
C’était une leçon qu’Harper m’enseignait depuis des années.

— Suis-moi.

Lui demandais-je après lui avoir fait un signe du menton. Je l’entraînais jusqu’à la forêt Interdite où je pénétrais sans crainte. Toutefois, je m’assurais de garder l’adolescente à mes côtés afin qu’elle ne soit pas effrayée par les lieux pouvant paraître impressionnants. Après quelques minutes de marche, nous arrivions à une petite plaine, là où les troncs s’écartaient un peu bien que la voute de verdure restait si dense que le ciel en était invisible.
Mon sourire s’élargit en voyant la petite troupe de Sombrals. L’un hennit joyeusement et me rejoignit pour me pousser doucement avec ses naseaux.

— Bonjour mon grand.

Je caressais le cheval squelettique en posant mon front contre son chanfrein. D’une œillade amusée, j’observais Elida en devinant qu’elle ne comprenait pas ce que je voyais. Heureusement pour elle !
En décrochant une lanière de mon sac à dos, je fis venir mon sac devant moi et en tirait un carnet de croquis. Il y avait beaucoup de brouillons, de parties animales comme les oreilles, les poils, les griffes et les crocs, rarement l’animal en entier. Il y avait l’ossature ou la musculature également. Pourtant, je lui laissais tout le loisir de contempler les croquis jusqu’à arriver à une page précise.
Y était dessiné au crayon gris un Sombral, assez petit en perspective des autres.

— C’est Sleipnir. C’est à ça que ressemblent les Sombrals, quand on peut les voir.

Mon regard croisa celui du cheval ailé qui renifla mes poches en recherche d’une quelconque nourriture.

— J’ai adopté Sleipnir quand il était poulain, ce dessin date de ce moment. Il est adulte maintenant.

Grand et assez fort pour nous transporter toutes les deux jusqu’aux Hébrides. J’avais pris soin de ne pas le monter trop tôt et de bien muscler son dos et sa colonne vertébrale pour qu’il soit l’animal puissant qu’il était aujourd’hui. Un animal qui adorait bousculer Harper car cela me faisait rire aux éclats puisqu’elle ne le voyait pas. Pour autant, il semblait comprendre qu’avec Elida, il fallait user de douceur.
D’un geste, j’invitais la jeune femme à tendre la main et, en la guidant du bout des doigts, je la guidais jusqu’à ce qu’elle touche la maigre encolure de Sleipnir. Celui-ci se laissa faire. Son toucher était rugueux, puisqu’il n’avait pas de pelage contrairement aux autres chevaux ailés. On touchait directement sa peau. La sensation pouvait s’apparenter à celle du cuir. L’animal posa ses naseaux sur l’épaule de l’adolescente pour la renifler en faisant vibrer ses naseaux. Si le cheval était encore jeune pour son espèce, il savait se comporter comme un sain quand il le fallait. Après tout, j’avais passé beaucoup de temps avec lui en ce sens. L’expérience traumatisante de notre rencontre n’y était pas étrangère. Si Sleipnir me ramenait à chaque fois à ce funeste jour, il était le symbole vivant des souvenirs de mon frère. Il en était les fragments palpitants et plein de vie.
Un voile de tristesse traversa mon visage. Je lâchais alors la main d’Elida pour lui laisser découvrir le corps anguleux du Sombral.

— Si ça te dit, il nous transportera jusqu’à destination. Si tu ne te sens pas assez en sécurité, je peux nous faire transplaner, ou alors on utilisera la poudre de cheminette. Je laissais passer un petit temps de silence avec de reprendre en remuant les épaules comme si mon raisonnement était logique. Mais je me suis dit que Sleipnir, c’était plus cool.

Peut-être quand on le voyait. Harper était toujours déstabilisée quand elle le montait avec moi puisqu’elle ne le voyait pas. A défaut, elle préférait prendre son balai.
Encore une fois, je laissais le choix à la jeune femme, sans pression, sans contrainte. Je lui proposais une aventure, je lui soumettais des découvertes. À elle de juger si elle s’y intéressait ou non. Après tout, j’étais peut-être complètement à côté de la plaque pour tout ce que j’avais prévu cette après-midi, et autant qu’elle me le dise tout de suite pour que j’adapte mes plans en conséquence.
Nous nous étions promis de toujours être sincères.
Car elle en avait cruellement manqué, de sincérité.

 

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