Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes, alors pensez à les privilégier pour vos personnages
Invité
INRP IRL
Sam 16 Sep - 21:43
Robert & Alexander - Les rituels du passé sont nos fondements d'aujourd'hui Le dimanche, un jour sacré par le Seigneur, il va donc de soit que cette journée en soit de même pour la famille Terry depuis longtemps. Au démarrage chacun à ses propres habitudes, mais l'horaire imposé sur son déroulé est non négociable. Quand l'heure de partir à la cérémonie religieuse résonne, chacun doit être prêt, avec un habit approprié et c'est ensemble qu'ils se rendent vers l'une des maisons du Seigneur. "Une famille respectable, qui se montre unie avec des valeurs pieuses impose la confiance" , il n'a jamais compté le nombre de fois où son cher père avait évoqué cette sorte d'adage mais c'était si souvent qu'il n'avait plus besoin qu'il soit là pour entendre quand même ces mots. Et cela n'était pas valable uniquement pour le dimanche matin. L'office se déroulait toujours de la même façon, chacun devait écouter avec attention, réciter les paroles de Dieu ou unir sa voix à celle du chœur en place le moment venu. Alexander ne commettait jamais un faux pas, il était formaté pour cela, le cadre était posé depuis longtemps, il ne l'avait jamais remis en cause, puis, il aimait le fait que durant cette matinée il n'y avait pas de question à se poser puisque tout était déjà écrit. Tout du moins la durée durant laquelle il dévoué son esprit au Seigneur. Puis, l'office terminait, les Terry regagnaient la demeure familiale pour le déjeuner dominical qui ne démarrait jamais sans l'expression du bénédicité, le plus souvent dit par son père, mais qui pouvait tout aussi aisément, donner le bâton de parole à l'un des siens, et mieux valait il être prêt et ne pas faire affront quand cela arrivait. Ensuite seulement, le repas était servi et depuis toujours là encore, Alexander attendait que son père ait pris ses couverts et entamé son repas pour démarrer le sien. Inutile de préciser que prendre le premier morceau de pain ne faisait pas non plus parti de son éducation. Mais il s'en fichait, car c'était un des rares moments où il se retrouvait en petit commité avec son père et, quand son humeur le lui permettait, les discussions qui s'en suivaient été assez passionnantes, du moins pour lui. Le repas était une chose, mais il en était de même pour la parole, personne ne disait mot avant que le patriarche n'ait lancé un sujet. Celui du jour était aussi délicat pour les non initiés qu'intellectuellement stimulant. "Le sort des prisonniers de guerre semble surgir de nouveau au gouvernement". Le sort des prisonniers père ? Ou celui des sorciers ? Il n'était pas rare qu'Alexander soit celui qui réagisse le premier face à un tel sujet. Déjà parce qu'il était bien plus au fait que le reste de siens et cela sans nul doute de part son intérêt. Mais aussi car sa prise de position évitait bien souvent aux autres de donner leur avis et ainsi de se mettre dans une inconfortable position. Exprime nous la différence entre les deux Alexander. Des prisonniers de guerre sont des Hommes ayant pris les armes pour leur nation au péril de leur vie, peu importe l’issue ou leurs convictions propres. Ils ont été appelé à un devoir plus grand qu'eux. La guerre n'est nul autre qu'un moyen de vaincre le chaos pour ramener l'harmonie. Dans la défaite, ces personnes devraient donc conserver leurs droits de vie. Il en était ainsi, quand les deux hommes se parlaient ainsi autour d'un roastbeef plus un bruit ne se faisait entendre, c'est à peine si le son des fourchettes était audible.Mais ce principe là ne peut s'appliquer qu'aux enfants de Dieu, aux humains. Les sorciers sont les créatures de Satan, seul le feu purifiera leurs âmes. Fidèle à lui même, Robert Terry ne dit plus mot, ce fut seulement quand il se retira dans son petit salon, où il prenait toujours un moment avant de retourner à ses occupations qu'il invita à Alexander à le rejoindre. Un tête à tête avec le chef de clan pouvait laisser penser à bien des choses. Cependant, Alexander le suivi serein, il savait qu'il n'avait pas faillit.@Robert Terry ⇜ code by bat'phanie ⇝
Les rituels du passé sont nos fondements d'aujourd'hui - Robert
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