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Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes,
alors pensez à les privilégier pour vos personnages

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Here we are now, entertain us \\ Anjelica x Jaeden x Luca :: Three Broomsticks :: Pensine :: Les RPs
Anonymous
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Jeu 4 Avr - 21:36


► march 2019, Thestral Motor | Luca's place
Here we are now, entertain us
Anjelica & Jaeden & Luca
« Est-ce que je te dis quand aller te coucher ?! » Je pointe un index inquisitoire au milieu du torse de mon mécano, en plein cœur. « Va te faire foutre et trouve quelqu’un d’autre à materner en chemin. Tu feras deux heureux. » vociféré-je en me détournant tout en continuant de jurer dans ma langue natale. Journée de merde. Je retourne à mes efforts sur l’une des dernières motos entrées au garage. J’en ai pris la responsabilité malgré mon état de fatigue excessive. Les commandes se sont accumulées, les heures s’enchaînent tout autant que la tension et la nervosité. Je demande fréquemment des comptes à mon équipe, plus souvent que d’ordinaire et je mets comme souvent la main à la patte pour faire avancer ce bordel. Mais plus le temps passe, plus je réalise que c’est la commande de trop.

Mes yeux clignent convulsivement. J’ai beau les frottés à grand renfort de revers d’avant-bras plus ou moins épargné par le cambouis, ils sont creusés et irrités, surplombés de paupières lourdes. Mon dos me fait un mal de chien, courbaturé des lombaires aux cervicales, chaque vertèbre épuisée de soutenir sa voisine et de maintenir l’édifice. Je n’ai pas dormi depuis plus de soixante-douze heures, la Cosa Nostra et le Thestral Motor occupent mes pensées, mes journées et mes nuits. Trois jours que je ne quitte pas mon poste de travail à l’atelier, du lever du jour à la nuit tombée avant de m’enfermer des heures dans mon bureau pour prévoir les plannings et les commandes des lendemains et surlendemains puis lorsque les bonnes familles et les gentilshommes s’endorment je quitte notre repère pour traquer inlassablement nos ennemis de l’ombre. Je mobilise toutes mes ressources, refuse par sursaut d’orgueil et de fierté celles que mon père voudrait mettre à ma disposition et enchaîne les planques, descentes et investigations, usant de soudoiement, de menaces et d’interrogatoires musclés pour arriver à mes fins. Je m’enfonce dans une violence exacerbée et insidieuse, au-delà des limites que je me soupçonnais. Je n’ai plus rien à perdre, c’est mon baroud d’honneur, mes dernières cartouches. La Cosa Nostra a organisé une assemblée exceptionnelle – mon procès – je vis mes dernières nuits à la tête de notre branche. Et je n’ai pas de temps à perdre à dormir.

« Putain de culasse de merde ! » Ma clé vole et fracasse ma caisse à outils qui s’écrase au sol. Je balance un coup de pied enragé dedans, les outils qui s’entrechoquent résonnent dans tout le garage malgré l’agitation. Mes mains nerveuses que je cache dans les poches de mon bleu de travail tremblent à s’en décrocher les phalanges et même mes ongles enfoncés avec acharnement dans ma peau n’y changent rien. Je suis une boule de nerfs prête à imploser. Je contourne la moto pour tenter de régler le problème sous un autre angle mais m’expose à la lumière du soleil qui m’aveugle, mes pupilles hypersensibles malgré les rayons faiblissant à l’approche de la nuit. Je déblatère quelques insultes de plus pour dissuader quiconque de m’affubler de nouvelles recommandations à la con. Je défais le haut de ma tenue pour occuper mes mains, pour arrêter de penser à ses spasmes qui profitent du moindre relâchement pour s’installer et s’amplifier mais rien n’y fait… Il n’y a qu’un seul remède à mon mal et il m’attend bien au chaud dans mon appartement… Fait chier.

Je quitte mon poste avant d’achever cette putain de moto moi-même – au moins son abruti de propriétaire saura pourquoi elle ne roule plus – et traverse le garage sans accorder un regard à personne. Je monte les marches qui me séparent de l’étage et de ma délivrance deux à deux, claque la porte derrière moi et me rue jusqu’à la bibliothèque de mon salon où j’extirpe un paquet de fins cachets violacés d’un livre creusé pour l’occasion. Je fais rouler deux comprimés entre mes doigts avant de les glisser sous ma langue en prenant la direction de la salle d’eau. Je noie mes angoisses naissantes sous un jet d’eau brûlante, dévoilant des muscles ecchymosés et des blessures qui cicatriseraient d’elles-mêmes, dans l’intimité de ma cabine de douche. Mes pensées s’égarent vers mes projets nocturnes mais je les chasse l’espace d’une pause salvatrice. En quittant mon cocon à contrecœur je m’arrête un instant devant le miroir, défiant du regard le reflet méconnaissable qui me toise avec mépris. L’homme face à moi est un étranger avec sa barbe mal rasée, ses cernes livides et ses yeux injectés de sang. Il dégage un sentiment hostile de solitude et de désespoir, lui qui a choisi une nouvelle fois de se couper des siens pour n’entraîner personne dans sa chute ; et refuser d’admettre encore et toujours ses problèmes et ses travers.

Je laisse l’étranger dans la salle de bain et retourne en boxer dans le salon où je libère une cache encastrée dans un pan de mur d’un coup de baguette tout juste maîtrisé. Mon lit m’appelle, vil tentateur, mais je me refuse au repos qu’il me promet. Je n’ai pas le droit de me reposer. Je n’en ai pas le temps. Chaque minute de perdue est une minute de plus durant laquelle nos rivaux mystérieux planifient et fomentent de nouvelles attaques à notre encontre. Je tire un sachet de poudre entamé et un joint déjà roulé de ma planque que je referme aussitôt et m’affale sur le canapé d'angle en déposant mon précieux bien sur la table basse et l’herbe à mes lèvres. Son goût est revigorant, addictif. Je ne recherche même plus ses effets, j’en ai juste besoin. Viscéralement besoin. A l’aide d’une carte de crédit dépêchée pour mes missions et interventions dans le monde moldue (mais qui a une toute autre utilité depuis plusieurs semaines), j’aligne une parfaite rangée de poudreuse et prépare déjà la petite sœur... La nuit va être longue.

Je crache une bouffée épaisse et odorante avant de prendre une première petite ligne explosive. Enfin un remontant à la hauteur de mes exigences et de celles de mon organisme. Je sens mes pupilles se dilater, ça brûle, ça fait un mal de chien, une larme incontrôlée roule le long de ma joue et je la chasse en reposant mon rouleau au coin de la bouche. Bientôt cette douleur sera de l’histoire ancienne. Je ne peux plus chasser mes pensées plus longtemps. Mes deux dernières nuits d’enquête n’ont rien donné. Ce n’est pas bon… Que dois-je faire ? Mobiliser plus de gars et risquer de tout compromettre ? Me durcir un peu plus en risquant de me perdre ? Toutes mes pistes mènent à une impasse. Que va-t-il se passer si j'échoue à les démasquer avant la date butoir ? Retour en Italie… Tivoli me manque, comme notre famille et nos parents mais je ne suis pas prêt à accepter ma défaite et à laisser ma nouvelle vie derrière moi de cette manière. Que va devenir Anjelica ? Je ne peux pas tourner le dos aux miens, à mon meilleur ami découvert bien loin de chez moi, de l’autre côté de la Manche. Je ne l'ai pas impliqué dans ma situation actuelle, peut-être à tort, probablement même, mais si je dois plonger ça sera sans lui. Mon ami. Mon frère. Je ne veux pas que mes proches découvrent cette facette et ces faiblesses que je me découvre et que je peine à reconnaître et accepter. Je ne peux pas tout perdre… les perdre. Pas maintenant. Pas déjà. « Merde ! » ragé-je à nouveau en balayant le contenu de ma table basse pour y déposer mes pieds croisés. J’enfonce ma tête entre mes mains, j’entends des coups tambouriner sur ma porte mais je me renfrogne et peste d’une voix sombre « Fait chier ! Y’a personne ! » Et je tire une latte jusqu’à m’en flinguer les poumons.  

CODE BY ÐVÆLING // groover par une licorne
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Anonymous
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Dim 7 Avr - 1:18


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Anjelica & Luca - Mars 2019
L’ambiance était plus que tendue au garage et pour une fois ce n’était pas dû à la présence d’Anjelica… Mais de son frère. Qu’est-ce qu’ils avaient les Zabini en ce moment ? Tu avais bien remarqué que quelque chose n’allait pas depuis un moment chez ton meilleur ami. Le fait qu’Anjelica t’ai déjà empêché d’aller le voir dans son bureau te confortais dans cette idée. Pourtant tu ne l’avais pas encore coincé entre quatre murs mais cela ne saurait tarder. Surtout quand tu le voyais faire de la merde comme en cet instant. Envoyer boulet ses employés juste parce qu’il lui conseillait d’aller se reposer. Tu restais à l’écart parce que tu ne voulais pas te fâcher avec lui et que tu sentais bien que c’était la dernière chose à faire. Pourtant tu étais d’accord avec ton collègue. Luca ferait mieux d’aller se reposer et pas qu’aujourd’hui. Il travaillait trop. Il ne prenait pas de pause et personne ne pouvait tenir indéfiniment ainsi. La raison pour laquelle tu lui avais foutu la paix jusqu’ici ? Tu savais qu’il avait beaucoup de choses à gérer, qu’il avait beaucoup trop de pression et jusqu’ici tu relativisais te disant que quelque part c’était peut-être normal.

Tu ne savais pas comment tu aurais réagi avec autant de pression sur les épaules toi. Est-ce que tu gèrerais les choses aussi bien que Luca ? Tu n’en étais pas certains. Mais depuis peu, tu t’étais rendu compte de ces légers tremblements, tu avais vu ses cernes et surtout quand tu le regardes bien, ses yeux ne sont plus les mêmes… Il est de plus en plus sur les nerfs, prêt à envoyer tout le monde sur les roses et tu es certains qu’à un moment où à un autre il allait faire une connerie. A vrai dire, tu as des doutes, tu es presque certains de ce qui se passe… Parce que tu avais déjà vue ces réactions chez quelqu’un d’autre. Tu te rappelais de l’état de Tristan quand tu étais tombé dessus après son grand retour. Et pourtant toi qui connaissais peut-être l’état dans lequel se trouvait ton meilleur ami, tu n’avais encore bougé… Pourquoi ? La peur... Celle de te rendre compte que tu as raison. La peur de voir ton meilleur ami, ton roc, perdre pied. La peur de revivre ce que tu as déjà vécu pendant des mois avec un autre une nouvelle fois et pourtant pour lui tu savais que tu en serais capable, tu repousses simplement l’inévitable. La peur également de te dire que tu n’as pas été capable de le déceler dès le départ. De pas avoir été là pour lui à ce moment-là. De savoir qu’il avait aussi fait le choix de te cacher cette situation.

Alors que ton meilleur ami semble sur les nerfs et s’énerve contre la machine qui semble lui tenir tête. Tu n’es pas dans un meilleur état. Toi aussi tu es sur les nerfs, tu attends le moment ou ça va exploser, celui où tu n’aurais plus d’autres choix que d’agir… Mais ce moment ne vient pas. Luca finissait par simplement abandonner la moto montant alors vers les appartements au-dessus de vos têtes. Tu ne le suis pas tout de suite. Tu tentes de rester concentrer, même si tu sais que tu n’es pas dans les meilleures conditions pour faire le meilleur boulot qui soit. Tes doigts font des choses alors que ton esprit lui est à des années lumières de ce qu’il est censé faire actuellement. Comme si tu avais besoin de cela en plus des autres problèmes que tu avais à régler. Comme une demie sœur moldue qui avait fait son apparition dans ta vie du jour au lendemain, comme les mensonges de ta mère qui te hante à présent… Comme Anjelica qui occupait la plupart de tes pensées… Mais là tout de suite ce n’était pas vraiment le moment de penser à elle. D’ailleurs c’est à ton tour de pester, tu étais passé à deux doigts de te couper. Tu éteignais le moteur de l’engin sur lequel tu étais en train de travailler. Tu attrapais un chiffon et essuyais comme tu pouvais tes mains couvertes d’enduis. Tu soupire un instant. L’un des gars du garage te regarde un instant. Tu sais déjà ce qu’il va te dire et tu sais qu’il a raison. Bordel.

« Ça va j’y vais. » Dis-tu alors que ton collègue et membre de la Costa Nostra n’a même pris la parole. Tu t’essuie une nouvelle fois les mains. Puis tu prends le chemin vers l’appartement de Luca. Peu importe qu’une certaine Zabini se mette en travers de ton chemin cette fois, cette comédie avait bien assez durée. Il fallait intervenir qu’ils le veuillent ou non. Tu arrives alors devant la porte de ton meilleur ami. Avant de toquer, tu sens ton cœur battre plus vite. Tu ne savais pas comment cela se passerait une fois que tu serais rentré. Tu ne savais pas ce que tu allais voir, où plutôt tu le savais et tu avais peur de ça… Boom toc, boom boom toc, boom toc. La voix du Zabini ne se fit pas attendre. Evidemment il n’était pas d’humeur à te recevoir, il était d’humeur à recevoir personne. Mais cette fois tu ne le laisserais pas se défiler, c’était le moment de le confronter à la réalité. Donc au lieu de partir comme il te l’ordonnait, tu ouvrais la poignée et rentrais dans l’appartement de celui que tu considérais comme ton frère. Arrivant dans le salon, la question que tu te poses si c’était pire ou non que ce que tu t’imaginais dans ton esprit. Ce dernier était en train de tout analyser. S’il n’y avait que le join aux lèvres cela serait sans doute le cadet de tes soucis et peut-être bien que tu ne retrouverais même pas dans cet état, mais il ne te suffit qu’un d’un coup d’œil pour te rendre compte des traces de poudre blanche sur table basse… De son regard encore pire que celui d’il y a quelques minutes en bas dans le garage.

« Putain, mais à quoi tu joues vieux. » Disais-tu alors sans que ce soit une véritable question. Parce que tu le savais à quoi il jouait. Tu n’avais pas vraiment besoin d’un dessin. Ton regard se faisait dur, pourtant ta voix elle était posée et surtout contrôlée pour ne pas t’emporter. « Depuis combien de temps est-ce que ça dure exactement ? » Demandais-tu alors. « Est-ce qu’Anjelica est… » Au courant ? Tu ne finissais même pas ta question, parce que tout se dessinait dans ta tête. Tu comprenais mieux certaines façons d’agir de l’italienne… Tu jures entre tes lèvres. Tu es inquiet et une part de toi lui en veut. Tu lui en veux de ne t’avoir rien dit, tu lui en veux d’être tombé là-dedans, lui, qui pourtant te paraissais si fort…
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Anjelica Zabini
Anjelica Zabini
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Lumos
Je rp en : palevioletred
Mon allégeance : la Cosa Nostra
Jeu 2 Mai - 1:27


Aujourd’hui, je n’étais pas au Thestral Motor. Si j’avais préparé quelques commandes pour l’activité en sous main du garage dans la matinée, j’avais passé mon après midi à faire des dépannages à l’extérieur. Ces idiots qui plantaient leur motos ou bagnoles dans des murs. Ces précieux qui voulaient qu’on se déplace à domicile plutôt que de bouger eux même… Après quoi j’avais passer du temps à chercher des pièces dans des casses. J’étais sur un vieux modèle et je luttais pour le remettre à neuf. Ca me permettait de me changer au moins les idées. Quand je travaillais, je n’avais presque plus en tête l’image d’Antonio. La déchéance de Luca dans les limbes. Jae et cette relation étrange… Je préférais me cacher derrière les mécaniques en ce moment. Je savais que cela ne pourrait pas durer pourtant. Je n’imaginais pas que cela viendrait si rapidement me percuter.

Lorsque je reviens au garage, je ne vois ni Luca, ni Evans. Mes collègues me lancent des regards sombres, perdus. Notre carrossier, d’un simple mouvement de tête m’indique l’étage. Mon sac tombe alors à terre alors que je me précipite là haut. Que se passe-t-il encore ? Je n’en peux plus de cette vie de merde. De ces rebondissements chaotiques qui nous assaillent de toutes parts. Alors que je franchis l’escalier j’entends au loin, la voix froide de Luca. Lorsque j’arrive devant son appartement, la porte a claqué quelques secondes avant que j’arrive. Je la passe à mon tour, traversant lentement les pièces jusqu’au salon. Comme si j’avais peur de ce que j’allais découvrir. Mon instinct s’éveille et frémit. Un frisson parcourt mon échine alors que j’arrive dans le salon. Luca, en boxer, joint aux lippes. Si ce n’était que ça. Mon regard glisse un instant sur Evans puis sur la table basse où un rail de poudre blanche attends tout simplement son heure. Résidu juste à ses côtés de sa jumelle qui a déjà trépassé.

Mon frère et Jaeden semblent se fixer du regard. Je ne sais pas ce qu’ils se sont dit. Mes iris ambrées oscillent entre eux et puis soudain j’ai l’impression péter un câble. Cette scène. Mon frère, ses cicatrices. Les déchets de détresse étalée sous mes yeux. L’incompréhension dans le regard d’Evans. « Tu m’avais dit que tu gérais. Tu m’avais dit que tu maitrisais ! » Ma voix tremble presque. De colère. De peur. De déception. Je fais les quelques pas qui me séparent d’Evans. Observe la nonchalance de Luca. J’ai envie de lui arracher son joint. De le secouer. J’avais bien compris que ça tournait plus rond. Depuis qu’on s’était battus. Et cette soirée au White Thestral n’avait fait qu’éveiller davantage mes doutes. J’ai été stupide de le croire et de le laisser consommer cette merde alors que j’étais à ses côtés. D’un geste dédaigneux et mauvais de la main, je le toise, le désigne de mon assassine. « Tu crois que c’est comme ça que tu vas impressionner papa ? » Je me penche brusquement vers la table basse et la retourne. Les restes de ses délices fallacieux s’éparpillant alors à terre. D’énervement je donne un coup de pied dans le bois de cette dernière.

Je leur tourne alors le dos commençant à fouiller. Je retourne les coussins du canapé. Ouvre des tiroirs, retourne des piles de magazines. N’importe quoi, n’importe où. La colère m’empêche de réfléchir. Un simple accio aurait pourtant suffit à trouver ce que je cherchais. Quoi que Luca était assez malin pour protéger ça de sortilèges puissants. « Où est-ce que tu planques ta merde Luca ? » Je repousse un fauteuil qui tombe au sol, vérifiant son assise, puis le dessous. Je suis prête à retourner son appartement pour trouver la moindre drogue. Mon palpitant s’embrase et je ne saurais dire ce qui me rends aussi folle. La peur de le voir ainsi ? De le voir fléchir ? Le désastre des méfaits de la poudre sur lui. Je l’ai vu sur Tristan. J’ai vu la déchéance enliser mon ami et j’ai peur de la voir s’en prendre à mon frère à présent. J’ai le sentiment d’avoir laisser passer trop de choses. De ne pas avoir réagi assez vite. D’avoir fait confiance à tord. Luca. Mon roc. Mon pilier. Si infaillible. Jamais mon esprit ne pouvait imaginer que cela pouvait lui arriver. Pas à lui. Pas à Luca. Il me semble tellement au dessus de tout ça… Alors je retourne son appartement. Je le ferais jusqu’à l’épuisement.


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Nobody Can Save Me
I'm dancing with my demons. I'm hanging off the edge. Storm clouds gather beneath me. Waves break above my head. Headfirst hallucination
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