Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes, alors pensez à les privilégier pour vos personnages
Je la démolirai en deux s’condes chef, ferai « youhou » et «yahaha » et puis jlui donnerai un coup de pied.✘ Jojo & AnjeGame of Blood :: United Kingdom :: Angleterre :: Londres
Anjelica Zabini
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Mar 25 Oct - 0:46
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Jonas Tallec
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Sam 29 Oct - 17:12
Jonas et Anje Londres Mai 2021 Je la démolirais en deux secondes, chef ! D'abord, je lui ferais ya-ha ! Et ensuite, ya-ha-ha ! Et puis, après, je lui ferais you-hou et ya-ha-ha ! Et puis, je lui donnerais un coup de pied.
L’année filait à une vitesse. Depuis les évènements de l’année dernière, j’allais mieux ; les mois avaient passé et la douleur était moindre. Pourtant, je ressentais encore et toujours le besoin de m’évader, de prendre le large, d’oublier un peu à quel point cela n’était pas toujours facile d’être du bon côté. Après l’attaque de la maison de Ludivine, muré dans un silence qui avait duré plusieurs mois, il avait fallu du temps pour se reconstruire. Avec l’aide de Thalia et de mes amis, j’avais l’espoir que cette mauvaise passe était belle et bien derrière moi et je reprenais goût à la vie, retrouvant peu à peu les activités que j’avais pour un temps délaissées. Ce soir, il y avait une exhibition sportive à l’une des salles de sport que je fréquentais et un combat de boxe s’y tenait. J’avais bien tenté de ramener Raphaël en lui expliquant que cela pouvait être intéressant dans notre pratique sportive d’être confronté à un véritable combat mais il s’était défilé comme un pleutre. Peut-être avait-il rendez-vous avec quelqu’un, il n’avait pas vraiment su me dire pourquoi il ne voulait pas venir. Je n’avais pas insisté. Si les évènements des derniers mois m’avaient appris quelque chose, c’est que je devais aussi apprendre à vivre pour moi-même, à vivre comme je l’entendais. Et je ne pouvais plus avoir peur tout le temps. Ce n’était pas tenable, ce n’était pas possible. Alors j’étais sorti seul, armé uniquement de mon courage pour affronter le monde. Après tout, qui irait attaquer une salle de sport moldue ? Personne, évidemment. Quelques rames de métro plus loin, j’étais arrivé sur les yeux où la foule en délire s’échauffait déjà. Il faut dire que tout était fait pour que la fête soit belle ; rétroprojecteur, poursuite sur le ring, tableau des scores et surtout, la buvette. L’endroit le plus important de ce genre d’évènement. Ayant déjà englouti mon sandwich, affublé d’un verre de bière, je tentai de me grandir afin de pouvoir apercevoir les concurrents qui n’allaient pas tarder à prendre place sur le ring. Alors que je cherchai une place pour m’installer, une voix familière m’interpella et malgré le brouhaha ambiant, je me retournai avant de sourire à pleines dents en voyant la jeune femme qui s’avançait devant moi. Il n’y avait pas trente-six personnes qui pouvaient m’appeler ainsi. Ludivine n’était pas du genre à m’appeler cousin, elle aurait plutôt crier mon prénom comme une folle et j’aurai probablement éclaté de rire. Avec Anjelica, c’était différent. Nous n’étions pas de véritables cousins avec Ludivine non plus d’ailleurs, chut chut les liens familiaux c’est important même s’ils sont pas du même sang ; cette appellation venait d’une vieille blague qui datait de quelques années déjà. À croire que toutes les personnes métisses venaient de la même famille… C’était ce que croyaient souvent les personnes qui venaient saluer Anjelica lorsque j’étais avec elle : « Ah c’est ton frère ? » Et non, je n’avais pas cette chance incroyable d’être de la même famille que la jeune italienne, il faut dire que si cela avait été le cas, ma vie aurait sans doute était plus tumultueuse.
J’accueillis son étreinte avec chaleur ; je ne l’avais pas vu depuis plusieurs mois pour être honnête. Nous n’étions pas du genre à nous écrire toutes les cinq minutes non plus et pourtant, je retrouvai Anjelica comme si nous nous étions vus hier. « Et merde, tu veux dire que je suis si prévisible ? » Son regard se glissait déjà vers les dernières bonnes places qui se remplissaient et alors que j’allais lui demander avec qui elle était, elle me devança. « Ouais, je suis seul, on m’a lâchement abandonné. » dis-je en souriant. «Comme quoi, le hasard fait bien les choses, je retrouve ma cousine chérie. Carrément pour ! Oui, cherchons une bonne place ! » Déambulant aux travers des sièges, Anjelica nous trouva des sièges plutôt bien situés. « Parfait. Suffisamment proche pour bien voir, mais suffisamment éloigné pour éviter les effluves corporelles. » Comme si c’était quelque chose qui me dérangeait. Je riais allègrement en piquant dans les frites de mon amie alors qu’elle me demandait si j’avais quelque chose de prévu ce soir. « Non, rien de particulier. Soirée Netflix, tu sais, ce type de truc. Soirée télé quoi. » dis-je pour traduire au cas où elle ignorait ce qu’était cette plateforme ingénieuse sur laquelle je passais le plus clair de mon temps lorsque j’étais à la colloc. Alors que nous échangions tranquillement, les deux boxeurs s’installèrent sur le ring et commencèrent leurs échauffements. « Tu les connais? » Elle me donna les atouts des deux hommes ; l’un était plus précis, l’autre plus rapide. Je constatai : « J’ai tendance à dire que le plus précis n’a souvent qu’un seul coup à porter mais le plus agile risque d’épuiser l’autre avant ! Cela risque d’être intéressant ! » Me concernant, j’étais un « novice » ; cela faisait un an que je pratiquais la boxe à la salle de sport avec plusieurs initiés. Mon niveau s’améliorait de mois en mois mais j’étais bien loin du niveau d’Anjelica ; je l’avais déjà vu combattre et j’avais été son souffre-douleur à plusieurs reprises lol. Il fallait bien l’avouer, nous nous battions pas du tout dans la même cour. J’étais loin d’être un de ces garçons misogynes alors qu’elle soit plus douée que moi m’importait peu ; c’était mon amie après tout. Alors si ces compétences pouvaient m’aider, j’apprendrais avec plaisir de son expérience en la matière. Le chauffeur de salle commença son introduction pour présenter les deux challengeurs du jour et la foule en délire commençait à s’agiter, nous deux y compris. Après la présentation, la cloche retentit et le combat commença rapidement. Comme l’avait présagé Anjelica, les deux boxeurs usaient de leurs talents respectifs. Je me tendais au fur et à mesure que les coups se suivaient tout en ne parvenant pas à déceler qui prenait l’avantage. Décidant de me reposer sur mon amie, je lui soufflai à l’oreille : « Qui va gagner à ton avis ? »
Le regard plein d’étoiles, quand la lune se voile, restons fidèles à nous-mêmes ; Quand la neige de l’hiver s’évanouit, les fleurs à leur tour s’éveillent et les larmes d’espoir de la pluie annoncent de nouvelles merveilles...
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Sam 18 Fév - 19:14
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Jonas Tallec
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Mer 22 Mar - 21:06
Jonas et Anje Londres Mai 2021 Je la démolirais en deux secondes, chef ! D'abord, je lui ferais ya-ha ! Et ensuite, ya-ha-ha ! Et puis, après, je lui ferais you-hou et ya-ha-ha ! Et puis, je lui donnerais un coup de pied. Passer du temps avec Anje, c’était passer du temps en bonne compagnie. Sous ses allures de motarde, on aurait pu croire qu’elle était de ceux qu’il fallait mieux éviter de fréquenter mais je me gardai bien de faire le moindre commentaire à ce propos. Moi-même on me traitait parfois de délinquant à cause de ma peau hâlée et du nombre incroyable de tatouages qui ornaient mon corps alors je savais ce que c’était que de souffrir de préjugés. Anjelica et moi nous nous étions rencontrés totalement par hasard dans la salle de sport de quartier où nous nous aimions nous défouler et j’avais rapidement admiré sa sportivité mais surtout ses talents pour la boxe. C’était elle qui m’avait donné l’envie de m’y mettre quelques mois plus tôt et même si j’avais aujourd’hui un niveau assez correct, je me gardai bien de faire le moindre commentaire sur mes performances en présence de l’italienne ; douée, elle l’était. Elle avait ça dans le sang, dans les veines et elle avait eu l’occasion de s’entraîner dès le plus jeune âge avec son frère aîné qui gérait la fougère aussi était également très expérimenté. Il suffisait de voir comment elle se mouvait sur le ring pour s’en rendre compte, j’étais bien loin de ses talents. En tout cas, au-delà de notre appétence commune pour le sport et la musculation, Anjelica et moi avions également un goût prononcé pour la fête et l’alcool ; ce qui nous a rapidement permis de nous éloigner de la salle de sport pour découvrir une facette plus dépravée de l’autre. Qu’on se le dise, Anjelica était la personne la plus appropriée lorsqu’il s’agissait de s’amuser en soirée et c’était toujours avec plaisir que je la retrouvais dans un bar, que cela soit prévu ou non. D’ailleurs, la plupart du temps, lorsque nous nous retrouvions par hasard, cela promettait des soirées déjantées donc j’avais hâte de voir comment celle-ci allait tourner. « Et je vois que t’es toujours aussi perspicace, il va falloir que je devienne un peu plus mystérieux et que j’arrête d’être si moi. » dis-je en riant, ne trouvant pas d’autres qualificatifs pour me définir. Il était vrai que j’étais un garçon prévisible, peut-être parce que ma vie débordait déjà bien assez de traumatismes enfouis, alors il valait mieux que le reste du temps, tout soit bien à sa place ; cela m’aidait à me structurer. « Avec plaisir, façon, j’aurai pas mieux que toi. » assuré-je en lui tirant la langue avant de rire allègrement tandis que nous trouvions une place pour s’installer et regarder le combat qui commencerait bientôt.
Situés ni trop près ni trop loin du ring, j’expliquai à Anjelica que c’était avant tout une question de sécurité afin de ne pas succomber aux effluves corporelles des boxeurs. Mais Anjelica, tout comme moi, en avait vu d’autre ; lorsqu’on allait régulièrement à la salle de sport, il ne fallait pas être trop chochotte. « Les vestiaires, c’est pas le pire et tu le sais très bien. » Je ne crus pas bon de préciser que je parlais des sanitaires. Cet endroit incroyable où les gens semblaient oublier comment il fallait faire pour pisser proprement, des fois, c’était carrément pire que dans un bar où la plupart des gens sont bourrés et ne font pas gaffe à ce qu’ils font. Mais à la salle… Franchement, des fois, il y avait de quoi avoir peur. « Je me fais dépister tous les six mois au cas où. » dis-je d’un ton très sérieux alors qu’un sourire d’imbécile ornait mon visage afin de lui faire comprendre que je plaisantais. Alors que je piquais ses frites sans la moindre hésitation et sans aucune honte, elle se pencha vers moi après que je lui ai répondu que je n’avais rien prévu d’extraordinaire après le match ; simplement binge watcher une série à la con, probablement. Une course de moto ? C’était bien un truc que je n’avais jamais fait, la moto. J’étais déjà monté sur un scooter mais cela s’arrêtait là. Je savais Anjelica friande de ce genre d’exhibition étant donné son travail et le garage qu’elle possédait avec son frère mais je n’avais jamais eu l’occasion d’en apprendre davantage. « T’es sérieuse ? » Je la regardai intensément afin de m’assurer qu’elle ne plaisantait pas et un large sourire s’installa sur mon visage : « J’en suis évidemment ! » Puis je fronçai les sourcils avant de demander à voix basse : « En mode… » J’arrêtais de parler, regardant les gens autour de nous et je lui suggérai : « On en parle après le match ? Quand on sera plus tranquille. » A comprendre, lorsque nous ne serons pas entourés par tant de moldus, je préférais garantir la sécurité de mon amie. « Putain j’ai trop hâte !! » Je savais que je pouvais faire illusion auprès de sorciers (du moins pour les choses basiques) à force de fréquenter Ludivine, Thalia mais aussi Anjelica et Jaeden. C’était incroyable de découvrir leur monde et j’étais émerveillé et excité comme un enfant de cinq ans la veille de Noël. Une course de moto volante… Cela n’était pas donné à tout le monde d’y assister, encore moins à une personne comme moi.
Mais pour le moment, il nous fallait nous concentrer sur nos deux combattants et savoir lequel des deux gagnerait le combat. M’appuyant sur l’expertise d’Anjelica, je lui demandai conseil quant à l’issue probable du match. Brook était son favori. « Je sens effectivement que tu as la rancune tenace ! » dis-je en riant à nouveau face à ses propos ; Anjelica était donc rancunière, je le notais. « Heureusement que je ne le suis pas, sinon ça ferait longtemps qu’on ne serait plus amis vu les dérouillées que tu me mets ! » Les deux hommes se battaient avec force et honneur conviction, chacun espérant faire flancher l’autre. « Franchement, j’en sais rien, je me range à ton avis d’experte. » Je ne prenais pas grand risque ce soir. J’avalai une gorgée de bière avant de me reconcentrer sur le combat qui s’intensifiait au fur et à mesure que le temps s’écoulait. « Il va avoir des bleus demain, tu peux en être certaine. » La boxe était un sport très exigeant et même si je ne me battais pas avec autant de ferveur que ces deux-là, je savais que les coups portés n’étaient pas des coups pour faire semblant. Alors que les rounds s’enchaînaient, je devenais de plus en plus impatient de connaître le résultat ; la foule était en délire alors que le dernier round était annoncé. Nous étions tous debout, comme des cinglés et nous attendions le verdict final. Le coup fatal, celui qui mettrait l’adversaire en KO. Et alors que nous exaltions, criant de toutes nos forces pour encourager Brook, celui-ci dévia un coup de manière magistrale et en profita pour assener un crochet du droit spectaculaire qui fit reculer Crawfords et il enchaîna rapidement avec qu’il n’ait eu le temps de reprendre sa garde. La tension était à son comble et Anjelica me serrait si fort le bras que j’avais l’impression qu’elle jouait sa vie sur les dernières secondes du match et lorsque l’arbitre annonça : « VICTOIRE DE BROOKS PAR K.O. », nous nous enlaçâmes comme si nous venions de gagner à la loterie, renversant le peu de bière qu’il nous restait en nous félicitant mutuellement comme des imbéciles. « J’espère t’avais parié quelque chose ! Qu’on se fasse un peu de tune ! » J’ajoutai cela, amusé, tandis que la foule se dispersait peu à peu ; certains se dirigeant vers le Ring pour obtenir un autographe, d’autres allant à la buvette pour obtenir un autre verre pour se désaltérer après tant de tensions.
Je m’exclamai : « C’était ouf ! » Ma bouche réclamait son breuvage et j’entraînais Anjelica vers le stand des boissons et me frayai un chemin pour passer sans aucune vergogne plusieurs autres clients. Rien à foutre. Quelques minutes plus tard, j’avais deux nouvelles bières dans la main et j’en tendis une à mon amie. En s’éloignant de la foule, entraînant Anjelica à l'écart, je demandai : «Alors ? Dis-m’en plus sur cette course. C’est où, à quelle heure avec qui ? » J’ajoutai : « C’est accessible pour moi ? » Pour un moldu je voulais dire, mais je savais très bien qu’elle comprendrait. « Sinon, on peut… tu sais… » J’imitai le bruit du transplanage et souriais : « J’ai déjà fait, je vomis qu’une fois sur quatre. » Ah le transplanage d’escorte. Putain c’était pas du tout agréable mais qu’est-ce que c’était pratique.
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Anjelica Zabini
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Dim 13 Aoû - 22:40
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Jonas Tallec
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Jeu 21 Sep - 23:13
Jonas et Anje Londres Mai 2021 Je la démolirais en deux secondes, chef ! D'abord, je lui ferais ya-ha ! Et ensuite, ya-ha-ha ! Et puis, après, je lui ferais you-hou et ya-ha-ha ! Et puis, je lui donnerais un coup de pied. C’était une sacrée coïncidence de retrouver Anjelica ici. Pourtant, j’aurai pu prévoir. Une manifestation sportive comme celle-là, deux boxeurs se cognant dessus sur un ring, c’était du Zabini tout craché. Ce que je connaissais de la jeune sorcière suffisait pour me faire dire qu’elle n’était pas là pour enfiler des perles et qu’elle allait probablement se démener pour faire gagner son favori en beuglant des encouragements dignes de ce nom. Je le savais parce que j’étais comme elle. Un véritable compétiteur né et si mon poulain ne gagnait pas, je tirais une tronche de déterré. Mais ce soir, je ne connaissais ni l’un ni l’autre des boxeurs, donc je m’appuyai sur l’expérience de la demoiselle. Et quelle expérience… Si moi je débutais dans ce sport, Anjelica était vraiment une professionnelle et je ne comptais plus le nombre de dérouillées qu’elle m’avait mises. Mais les combats que j’avais effectués à ses côtés m’avaient toujours beaucoup appris, et c’était bien ça le principal en définitive. Si certains pouvaient être offusqués de se faire botter le derrière par une nana, personnellement, je n’étais pas assez macho pour ressentir la moindre gêne. Pour devenir plus fort, il fallait se confronter aux plus forts. Alors évidemment, quand je disais à Anjelica que je ne trouverai pas mieux d’elle ce soir, en réalité, c’était vrai.
Avec elle, je me marrais. Elle comprenait mon humour décalé, parfois un peu limite, il fallait bien l’avouer. Pire, elle en faisant autant et c’était vraiment délirant de pouvoir se détendre sans penser à rien. « Oh mon dieu, pourquoi j’ai l’image en tête maintenant… SUPER ! MERCI, t’es une vraie pote ! » L’hygiène, c’est très important. Personnellement, j’étais toujours apprêté et j’apportai une importance toute particulière à la propreté. En n’importe quelles circonstances. J’étais un peu précieux sur les bords. « Pas toutes, non. » dis-je en lui adressant un sourire carnassier. « J’ai jamais réussi à te mettre dans mon lit, c’est quand même intolérable ! » Certes, depuis quelques mois, j’étais dans une relation plus sérieuse avec Thalia mais il n’empêchait pas que ma réputation me précédait encore. Quoi de plus normal en même temps, après avoir passé plusieurs années à voler de fleur en fleur et à sauter de lit en lit. Mais pour autant, je restais sérieux quant aux maladies sexuellement transmissibles, c’était tout de même un minimum afin que tout le monde se sente plus serein.
Nos échanges informels furent stoppés par le début du match et je restai obnubilé par le combat, les yeux rivés sur les deux adversaires, tentant d’encourager mon favori comme je le pouvais. La tension était à son comble et j’étais amusé de voir à quel point tout le monde se prêtait au jeu. Cela n’empêchait pas Anjelica de me proposer de la suivre après le match, pour une soirée bien différente. Mes yeux s’illuminèrent immédiatement lorsqu’elle parla d’une course volante. Je n’avais jamais eu l’occasion d’en être le spectateur et j’avais vraiment l’impression d’être un gamin. Je me revoyais des années plus tôt lorsque Ludivine me montrait tout ce qu’il y avait à savoir sur les créatures magiques. J’aimais ce monde, ce monde que je ne pouvais que toucher du doigt et admirer de loin, mais je l’aimais. Voilà pourquoi j’avais bien du mal à comprendre pourquoi les moldus et les sorciers s’entre-tuaient… Les deux mondes avaient tant à s’offrir mutuellement. « Jamais je ne pourrais refuser une occasion pareille ! » Je me rongeai les sangs pendant le match. Selon Anjelica, Brook était le meilleur des deux et je n’avais pas assez d’expertise en la matière pour comprendre comment elle pouvait le savoir. « Évidemment que je t’adore, faut être un abruti fini pour ne pas se rendre compte que tu dépotes. » Je lui fis un clin d’œil en riant ; Anjelica était franchement une femme de caractère, le genre de femme avec qui il valait mieux être ami qu’ennemi. J’aimais bien ce genre-là, au moins, on ne s’ennuyait jamais. Après quelques rounds, Brook gagna, comme ma partenaire l’avait prédit. Je souris allègrement lorsqu’elle m’expliqua avoir parié avec son aîné ; je ne le connaissais que de nom et l’avais déjà aperçu une fois ou deux quand je sortais avec Anje mais je ne savais rien de lui, à part que lui aussi était un sacré coureur de jupons.
Après le match, je proposai à Anjelica de boire une bière et je tentai d’en apprendre davantage sur ce qui nous attendait. Une course volante ! J’étais sûrement un des rares moldus à avoir cette chance ! Évidemment, j’allais me faire tout petit et ne pas clamer à tue-tête que je n’avais pas de pouvoirs, je tenais à ma vie. « Bon tant mieux, tu seras mon guide ! » dis-je lorsqu’elle expliqua qu’elle connaissait parfaitement l’endroit où nous allions. Alors que je proposai d’y aller en transplanant, Anje me proposa une alternative bien plus intéressante. « Tu déconnes ??! » Un sourire mutin s’installa sur mes lèvres. « Je n’ai peur de rien ! » L’excitation s’installa en moi et je terminai ma bière bien rapidement, ayant grande hâte de me retrouver sur sa moto et de m’envoler dans les airs ! « Nan, je me suis déjà envoyé en l’air. » dis-je en riant. Je précisai : « J’ai déjà sauté en parachute. » Un cadeau de mes parents pour mes vingt-ans. Même si je me doutais que la sensation serait différente. « Je devrais pouvoir m’en sortir. La visière va devant j’imagine ! » dis-je en riant. Je montais derrière elle, mes mains autour de sa taille et lui glissai : « Promis, je pelote pas. » Nous prîmes la route tranquillement. Je m’habituai doucement aux sensations nouvelles qui s’offraient à moi. J’étais déjà monté sur un scooter mais c’était il y a longtemps, la moto d’Anjelica avait bien plus de peps. Et lorsque la bécane commença son ascension vers le ciel, je ne pus empêcher un cri de s’échapper de mes lèvres. « Putain sa mèreeeeeeeeeeeeeeeeeee… » Tout était incroyable, tout était dingue. Je sentais l’euphorie me gagner mais je tenais fermement la pilote. Je n’avais aucune envie de finir écrasé comme une crêpe. La vue, la vitesse, le vent, tout cela me percuta de plein fouet, entraînant des picotements dans mon estomac. C’était l’adrénaline, j’en étais persuadé. Cette sensation était incroyable, indescriptible, j’avais une chance inouïe et je le savais fort bien…
Au bout d’un moment, je me rendis compte que nous n’étions plus les seuls dans le ciel. Comprenant que nous arrivions bientôt sur le lieu de la course, je regardai à droite et à gauche afin d’essayer de deviner où nous allions nous poser et des lumières en contrebas m’indiquèrent que nous n’étions plus très loin. Anjelica amorça la descente et je criai de surprise ; purée que c’était incroyable ! Alors que le sol se rapprochait, j’entendis des voix qui s’élevaient, des voix qui acclamaient quelqu’un. Étonné que cela soit Anjelica qu’ils appelaient, je fus la victime de son dérapage contrôlé qui fit battre mon cœur à la chamade. Des gens sifflaient, applaudissaient, semblaient connaître l’italienne. Alors que je me débarrassai de mon casque, prêt à demander des explications à mon amie, elle me souhaita la bienvenue dans son monde. « Merci à toi de me le faire découvrir, j’suis comme un gosse devant un sapin de Noël. » Mon épaule rencontra la sienne et mon bras s’enroula autour de son buste. « C’était beaucoup trop fun, j’ai adoré. » C’était vraiment formidable. Quand j’allais raconter ça à Leah et Raphaël… Ils n’allaient pas me croire. Lorsqu’Anjelica demanda le programme à suivre, je répondis : « On peut boire en regardant une course, on fait d’une pierre deux coups ! » Je la regardai en souriant avant de dire : « Mais avant ça, tu vas m’en dire un peu plus sur toi, Anja. » Je ne l’avais jamais appelé comme ça. Anje en règle générale. Mais Anja, c'était différent. « C’est ton nom de code ? Les motards ont donc des surnoms, comme les acteurs pronos, ça promet! » dis-je en riant avant de continuer : « T’es une sorte de star dans ton domaine, non ? Tout le monde nous regarde. » Depuis qu’on était descendu de la moto, de nombreux motards saluaient Anjelica de la main et d’autres lui faisaient des signes de tête. C’était évident qu’elle était connue dans le milieu. C’était encore plus sympa de découvrir tout ça avec quelqu’un comme elle. Je cherchai des yeux le stand à boisson mais tout autour de moi, je sentais la magie. Ce monde, je le touchai du doigt depuis longtemps et j’y avais eu accès quelques fois lorsque Ludivine m’avait amené sur le chemin de traverse. Mais à chaque fois, c’était différent. À chaque fois, je me demandai ce qui m’attendait. « C’est une putain de soirée qui s’annonce. » Je ne croyais pas si bien dire...
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Dim 14 Jan - 23:18
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Mer 27 Mar - 22:16
Jonas et Anje Londres Mai 2021 Je la démolirais en deux secondes, chef ! D'abord, je lui ferais ya-ha ! Et ensuite, ya-ha-ha ! Et puis, après, je lui ferais you-hou et ya-ha-ha ! Et puis, je lui donnerais un coup de pied.
Avec Anjelica, c’était tellement facile. J’étais comme avec un bon pote. On se charriait, on se cherchait, on se taquinait. L’ambiance était bon enfant et je devais l’avouer, c’était réconfortant et plaisant de ne pas avoir besoin de penser, ni de réfléchir à ce que je disais. Avec elle, j’étais simplement moi-même. Et cela faisait du bien de pouvoir se lâcher complètement, de s’abandonner ainsi sans avoir constamment l’impression de marcher sur des œufs. « Rah… J’ai loupé ma chance, c’est ça que tu veux dire ? » dis-je en riant, faisant mine de regarder son postérieur. « Je peux juste regarder désormais, c’est chasse gardée ? » Ainsi Anjelica avait de nouveau trouvé chaussure à son pied ? Je me réjouissais pour elle. Si Jaeden était une vague connaissance rencontrée chez notre tatoueur, j’entretenais un lien plus fort avec la Zabini ; même si j’étais quelqu’un d’une nature curieuse, je me refusai à demander les raisons de leur rupture. Cela ne me regardait pas et si Anjelica avait voulu m’en parler, elle l’aurait fait. Elle préférait sans doute se tourner vers l’avenir et oublier ses fiançailles avec son nouvel amant. Peu m’importait. Ma grand-mère disait souvent qu’il fallait voler de fleur en fleur, butiner très régulièrement ; et elle avait bien raison. Après Jordan, j’avais appliqué ce précepte le plus souvent possible. Maintenant, évidemment, j’étais dans une relation plus stable et plus régulière avec Thalia mais cela ne m’empêchait pas de me souvenir de mon passé tumultueux.
Alors que nous profitions du match, Anjelica profita d’un moment entre deux rounds pour m’inviter à une soirée spéciale. Heureux comme un gosse de cinq ans qui découvre que le père-noël est passé, je ne pus m’empêcher de manifester mon enthousiasme. Quoi de plus normal après tout ? Ce n’était pas donné à tous les moldus d’assister à une course de motos volantes. Évidemment, j’étais un moldu des plus tolérants et j’étais très ouvert au monde magique. J’adorais tellement en apprendre davantage sur leur monde. Une fois le match terminé et notre bière avalée, on se rendit près de sa bécane. J’avais testé bon nombre de chose dans ma vie mais je n’avais jamais véritablement conduit un tel véhicule. « Nous les moldus, on fait comme on peut, on a pas la magie pour faire des trucs de dingue ! » dis-je en répondant à sa moquerie. On ne pouvait pas voler sur un balai, transplaner d’une région à une autre en un claquement de doigts, effectuer des sortilèges démentiels pour se faciliter la vie. Évidemment, il y avait aussi des domaines où nous les moldus, étions plus avancés. Comme pour les technologies. Et dire que certains sorciers utilisaient encore les hiboux... Alors qu’il suffisait de s’envoyer des SMS pour avoir un retour instantané. « Bien sûr que j’ai peur des conséquences ! J’ai pas envie de me prendre une droite! Abîmer ce joli visage, ce serait pêché ! » dis-je en riant franchement. Je n’avais pas peur d’Anjelica, elle était une bonne amie, mais je ne la sous-estimais pas pour autant, bien au contraire. Elle était capable de me coucher en moins de temps qu’il ne fallait pour le dire. Même si je faisais de la boxe depuis maintenant quelques mois, mon niveau était bien bien bien inférieur à celui de la jeune femme. « Quoi que... ça me donnerait peut-être un côté aventurier, je vais y réfléchir sérieusement. » Toujours dans la déconnade... Toujours. Qu'est-ce que c’était plaisant de ne pas avoir besoin de réfléchir à ce qu’on disait...
Une fois la moto démarrée, je me tus pour profiter de l’instant. J'étais dans une phase où je découvrais quelque chose de nouveau et je souhaitais graver à jamais ce moment dans mon esprit. Après tout, il n’était pas donné à tous les moldus de pouvoir voler dans le ciel... Je m’agrippai autour des hanches d’Anjelica, peut-être un peu trop fortement, il fallait dire que c’était impressionnant d’être si haut... Mais je restais éhabi, abasourdi. Tout était si beau vu du ciel, tout semblait différent.
On s’éloigna du centre-ville pour atterrir sur le lieu de la manifestation. Lorsque je compris qu’on acclamait Anjelica, je me fis la remarque que je ne la connaissais pas encore si bien. Elle semblait évoluer dans ce monde depuis des années, de nombreuses personnes la saluaient, elle était à son aise, cela se sentait. Cela se voyait. Après ma question, elle me fit rire en avouant tout. Ainsi elle fréquentait régulièrement ce type d’endroit et était une bonne concurrente. Amusé, je demandai : « Et sinon, t’as des défauts ou quoi? » En dehors de son caractère impétueux, je ne lui en trouvai aucun. Elle m’expliqua que c’était son frère qui la surnommait Anja habituellement, que les autres n’avaient fait que de copier. J’acceptai la cigarette qu’elle me tendit et la laissai l’allumer. Je tirai dessus à plusieurs reprises pour laisser la nicotine détendre mes muscles. « Ok, ça doit être chouette d’avoir un frangin avec qui tu partages ce type d’activité. » Moi, j’avais une cousine, mais ce n’était tout de même pas vraiment pareil. Ludivine et moi étions si différents. Je ne la voyais pas vraiment prendre part à toutes les activités nocturnes à laquelle je m’adonnais, loin de là. Ludivine n’aimait pas vraiment boire, ni faire la fête, elle était plus posée que personne. Au moins, elle calmait mes ardeurs.
J’acceptai le cocktail donné par Anjelica et n’en avalai qu’une petite gorgée suite à sa mise en garde. J’avais envie de profiter au maximum de la chance qu’elle m’offrait en m’emmenant ici, il n’était pas question de faire un black out. Lorsqu’elle demanda un extra, je fronçai les sourcils, me demandant ce qu’elle sous-entendait avant que je perçoive les deux cachets dans le sachet. Ah ouais... Nous allions nous amuser comme jamais ! Je touchai de temps à autre à la drogue même si ce n’était pas dans mes habitudes, mais il m’arrivait de déroger à certaines règles dans de rares exceptions et cette soirée en était une. Peut-être que le black out serait pour ce soir finalement.
Je m’accrochai à son bras sans me poser de question lorsqu’elle m’expliqua que nous allions transplaner. Je n’eus pas la moindre appréhension, sachant pertinemment ce qui m’attendait. Ce n’était pas la première fois qu’on me faisait transplaner et je devais l’avouer, depuis quelques mois, je n’avais presque plus le tournis. C’était vraiment une question d’habitude. Je me penchais légèrement en atterrissant, pour reprendre mon souffle mais au bout de quelques secondes, j’étais de nouveau opérationnel. Suivant Anjelica, je compris pourquoi elle nous avait fait transplaner ici ; le point de vue était idéal pour observer la course qui se préparait en contre-bas. « Putain, c’est merveilleux! Franchement... » Je me penchai vers elle, même s’il y avait peu de chances pour que ceux qui nous entouraient nous entende, mais je murmurai tout de même : « Qu’est-ce que j’aimerai en faire partie... » Malheureusement, je ne pouvais que toucher du doigt ce monde, grâce à Ludivine, grâce à Thalia et maintenant grâce à Anjelica. J’avais vraiment du mal à comprendre pourquoi le Blood Circle tenait tant à priver le reste de la communauté de ce que la magie pouvait à offrir… Obnubilé par la course qui allait débuter, je regardai certains concurrents faire leur parade, probablement pour impressionner les autres adversaires. Personnellement, avec moi cela fonctionnait. Mais j’étais un moldu qui découvrait ce monde, j’étais facilement impressionnable. Anjelica semblait déjà dans l’ambiance et je me surpris à applaudir également. Alors qu’elle me parlait à nouveau, je me tournai vers elle tandis qu’elle agitait le sachet juste devant mes yeux. « C’est la drogue du violeur c’est ça ? » dis-je, un air provocateur sur le visage. « Tu sais, si tu veux coucher avec moi, t’as pas besoin de me faire prendre ça. » ajoutai-je en riant allègrement, retombant dans mes anciens travers. « Qu’est-ce que c’est ? » demandai-je en m’emparant d’un des cachets que j’avalai sans me soucier du reste. J’étais là pour m’amuser et si je n’étais pas dans mon milieu naturel, j’étais avec une personne que je considérais comme une véritable amie et j’avais suffisamment confiance en elle pour me laisser aller complètement.
Alors que nous continuions d’échanger, le départ de la course fut lancé et je me stoppai pendant quelques instants, observant celle-ci avec avidité. Exalté, surexcité, me demandant si cela était du à l’effet mélangé du cocktail magique et de la tournée spéciale Anje, j’étais dans un état d’euphorie à nul autre pareil. J’observai les lumières des phares des motos se livrer à un ballet audacieux dans les airs ; ils allaient si vite que j’avais du mal à suivre et je m’appuyais contre le rebord du muret de la terrasse pour mieux voir ; j’en prenais plein la vue, un sourire enragé sur les lèvres, acclamant les participants, j’étais présent à deux cents pour cent. Je demandai à Anjelica : « Et toi, tu vas voler ? » Regarder Anjelica participer à une course m’intéressait énormément. Si elle m’avait transporté jusqu’ici bien tranquillement, elle m’avait avoué tout à l’heure qu’elle était une concurrente sérieuse et chevronné ; j’étais déjà survolté en regardant les courses d’inconnus alors si Anjelica se lançait sur la ligne de départ, j’allais devenir son supporteur le plus extrême.
Le regard plein d’étoiles, quand la lune se voile, restons fidèles à nous-mêmes ; Quand la neige de l’hiver s’évanouit, les fleurs à leur tour s’éveillent et les larmes d’espoir de la pluie annoncent de nouvelles merveilles...
Lumos Je rp en : palevioletred Mon allégeance : la Cosa Nostra
Dim 5 Mai - 16:10
Je la démolirai en deux s’condes chef, ferai « youhou » et «yahaha » et puis jlui donnerai un coup de pied
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Nobody Can Save Me
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Jonas Tallec
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Lumos Je rp en : Chocolate Mon allégeance : Ordre du phénix, côté Moldu
Lun 15 Juil - 19:52
Jonas et Anje Londres Mai 2021 Je la démolirais en deux secondes, chef ! D'abord, je lui ferais ya-ha ! Et ensuite, ya-ha-ha ! Et puis, après, je lui ferais you-hou et ya-ha-ha ! Et puis, je lui donnerais un coup de pied.
« Mais qu’est-ce que tu es conventionnelle ! C’est pas parce que tu as déjà mangé que t’as pas le droit à un petit dessert... » dis-je, amusé, en lui adressant un clin d’œil entendu, juste avant de lâcher un soupire moins enthousiaste, réalisant que cette phrase, c’était de Jordan que je la tenais. C’était typiquement le genre de propos qu’il avait pu me dire, de ne surtout pas mettre mes œufs dans le même panier. Finalement, peut-être qu’il avait tort, la preuve, je vivais une belle histoire avec Thalia malgré un début plus difficile et j’étais heureux oups c’est bientôt fini Jonas, bientôt la dépression tkt. Pour être honnête, je n’avais même plus envie d’aller voir ailleurs. Je me souvenais bien de ce sentiment, c’était le même qui m’avait envahi lorsque je m’étais rendu compte des sentiments que j’éprouvais pour Jordan. À partir de ce moment-là, plus rien ne comptait si ce n’était lui. Alors si je taquinais Anjelica, c’était plutôt par habitude, finalement. Parce que c’était ainsi entre nous, c’était facile et j’avais simplement à être moi-même. Après la fin du match, elle m’emmena découvrir ce qu’elle appela son monde. Absolument pas effrayé, totalement curieux, je me laissai entraîner sans broncher, heureux de me glisser -même pour de faux- dans la peau d’un sorcier. Quelque part, je les enviai ; j’aimais ma vie comme elle était mais je trouvais que leur monde avait un côté excitant et galvanisant, il y avait tant à faire, tant à voir, tant de choses qui semblaient extraordinaires à mes yeux. Faire de la moto volante en faisant partie et lorsque nous nous élançâmes dans le ciel, je ne pus m’empêcher de laisser échapper des cris d’émerveillement tant le spectacle qui se jouait sous mes yeux était fabuleux. Pour eux, c’était la norme tout ça -même si je savais que la plupart des sorciers ne volaient pas en moto mais en balai-, et peut-être qu’à force, cela devenait lassant, mais pour moi, qui découvraient ça pour la première fois, c’était fabuleux. Continuant de plaisanter ensemble, on roula un petit moment avant d’arriver jusqu’au lieu de la course.
Si j’étais suffisamment ébahi par le trajet, je fus encore plus surpris en atterrissant, comprenant non sans mal qu’Anjelica était quelqu’un d’important, qu’elle était du milieu. Cela se voyait à la manière qu’avait les gens de scander son nom -ou plutôt son surnom-, de la saluer. Elle était une habituée, cela allait sans dire. À croire qu’elle n’avait aucun défaut, ce qu’elle ne manqua pas de confirmer, m’arrachant un sourire. Sur ce point, Anjelica me comprenait, on avait parfois un ego à tomber à la renverse. « Ah ouais ? » demandai-je, intrigué, lorsqu’elle m’expliqua qu’il y avait ce type de course également dans le monde moldu mais j’imagine qu’il fallait tout de même avoir ses entrées. Les courses de moto demeuraient illégales, surtout celles que j’étais en train de regarder, et ça, j’avais pas besoin qu’Anje me le dise pour le savoir. Alors que je me demandais comment les sorciers s’amusaient, Anje m’offrit une réponse assez claire : de la même manière que nous. Certains s’alcoolisaient, certains se défonçaient. C’était une preuve supplémentaire pour dire que nous n’étions pas si différents que ça. « Je compte sur toi pour me faire redescendre sur terre si jamais je commence à voler. » dis-je après avoir fait fondre la pilule sous ma langue, sans me poser davantage de question. J’étais ainsi, je vivais tout avec une profonde intensité et j’aimais découvrir de nouvelle chose.
Ma bière à la main, sentant mon cerveau peu à peu se mettre sur pause, je regardai les courses qui se jouaient en bas, me demandant si Anjelica allait y prendre part. Lorsque je lui posai la question, sa réponse se fit plus raisonnable que je l’avais imaginé mais en même temps, celle-ci paraissait logique et rationnelle. Si les accidents de moto étaient déjà dangereux sur la terre ferme, je ne pouvais que songer à ce qu’il se passerait si quelqu’un chutait d’aussi haut… Quoi qu’il devait bien avoir un sortilège pour cela, mais pour mettre ainsi sa vie en danger, il fallait tout de même n’avoir pas grand-chose à perdre. On se contenta de regarder les autres faire leurs cabrioles dans le ciel et si Anjelica se laissait complètement aller, moi, je commençais également à entrer dans un état plus que douteux, mon esprit divaguant loin et mes muscles étaient absolument détendus. Je me contentais d’observer les courses, les lumières, l’euphorie de la fête. Ce fut lorsqu’Anjelica se leva pour regarder en contre-bas que je compris que ce que j’avais pris pour de l’euphorie était en réalité les prémisses d’une bagarre. « Hein ? » De quoi parlait-elle ? De quoi n’avait-elle pas envie ? Fronçant mes sourcils, je la regardai transplaner, incrédule, puis réapparaître quelques instants plus bas au beau milieu de l’attaque. Putain. Que fallait-il que je fasse ? Je ne savais même pas comment descendre d’ici pour la rejoindre et l’aider à affronter les voyous qui s’en prenaient à elle. Alors que je cherchais un plan d’action, d’autres sorciers transplanèrent immédiatement et même si j’étais défoncé, j’étais suffisamment intelligent pour comprendre qu’il s’agissait d’un guet-apens. Anjelica hurla quelques mots dans sa langue natale que je ne compris pas avant de revenir vers moi grâce à la magie. « Putain mais Anje mais… » Qu’est-ce qu’il se passe? avais-je envie de hurler pour comprendre ce qui avait motivé cette bagarre, ces couteaux que j’avais vu et surtout le fait qu’Anje revienne me chercher si vite. « Tu poses pas de questions. » Elle était sérieuse ? J’avais envie que de ça, moi, de poser des questions ! Abasourdi, je m’exécutais néanmoins, la suivant jusqu’à la moto avant de grimper dessus. Les questions attendront qu’on se soit barré.
Nous envolant dans les airs, étrangement, la sensation de félicité ressentie à l’aller n’était absolument plus présente. Mon cœur battait à la chamade et je n’arrêtais pas de regarder tout autour de moi, comme pour m’assurer que nous allions nous en sortir. Mais il ne fallut pas longtemps pour que d’autres motos nous prennent en chasse et je fermai soudainement les yeux, priant pour que rien n’arrive tandis que mes bras enserraient le buste d’Anjelica pour m’accrocher solidement. Même les yeux fermés, je pouvais sentir les accélérations, les décélérations, les virages pris à 180°, le vent sur le visage. Au bout d’un moment, je me risquai à ouvrir les paupières pour constater qu’Anjelica avait réussi à semer la quasi totalité des motos et qu’il ne restait que deux d’entre elles qui nous coursaient. Après de nouveaux loopings où je faillis vomir mes tripes, les deux motos nous forcèrent à atterrir et avant que je ne puisse comprendre ce qu’il se passait, l’un des deux hommes se jeta sur moi pour me coller une raclée. Même si j’avais un niveau plutôt acceptable en boxe, je fus pris au dépourvu ; sentant les coups pleuvoir sur mon visage et dans mon abdomen, coupant ma respiration. Mais qu’est-ce qu’ils nous voulaient putain ?? « Sale connard de Zabini ! » me beugla mon assaillant, et je compris qu’on me prenait pour un autre gars. Rassemblant mes forces, je tentai de m’extirper de l’emprise de mon adversaire en lui donnant un coup de pied bien placé dans les bijoux de famille. À la guerre comme à la guerre. Je jetai un coup d’oeil à Anjelica qui était en train de se battre contre le second homme et je sentais l’adrénaline parcourir tout mon corps tellement j’avais peur.
Le regard plein d’étoiles, quand la lune se voile, restons fidèles à nous-mêmes ; Quand la neige de l’hiver s’évanouit, les fleurs à leur tour s’éveillent et les larmes d’espoir de la pluie annoncent de nouvelles merveilles...