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Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes,
alors pensez à les privilégier pour vos personnages

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ALARMA [ft Aïko Macfusty] :: Three Broomsticks :: Pensine :: Les RPs
Lilibeth S. Barjow
Lilibeth S. Barjow
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Mar 27 Sep - 7:19
Ceci n'est pas un exercice
Juin 2021
Le centre commercial de Westfield Stratford City est un colosse de verre et de lumière situé à l’ouest de Londres. Bien que son salaire de serveuse ne lui permette pas de faire des folies dépensière, Lilibeth Barjow se complait à balader dans les allées commerciale, ses talons claquant sur le sol miroitant. Nous sommes en début d’après-midi, la météo est resplendissante et les moldus, chargés de paquets, commencent déjà à se bousculer. Les salles de restaurations ouvertes sur l’allée principale sont bondées de clients affamés. D’un pied expert, Lilibeth emprunte un escalator pour se diriger vers la sortie, mais la devanture d’un magasin retient toute son attention. Dans la vitrine, des vêtements pour bébé sont mis en scène. Des grenouillères sous la lune pour le dodo, un body résistant à tout épreuve pour galoper à quatre pattes dans la maison, un imperméable à l’épreuve de la pluie et un maillot de bain anti uv en prévision du chaud soleil d’été qui s’apprête à pointer le bout de ses rayons. Toute à son observation, Lilibeth soupire d’aise, perdue dans ses pensées et ses ambitions.
Six mois se sont écoulés depuis son départ du manoir Barjow. Pour quelqu’un qui avait vécu recluse durant trente ans avec pour seul droit fondamental, celui de ne pas trop s’éloigner du manoir, elle s’était plutôt bien adaptée à sa nouvelle vie.
Son job Chez Jack La Ripaille l’aide à s’épanouir au-delà de ses attentes. La fratrie Swallow, qu’elle ne remerciera jamais assez pour sa générosité, concourt à la rendre parfaitement autonome aux différents postes de l’auberge. Depuis quelques jours, Achiléo Swallow lui enseignait quelques rudiments de la cuisine pour le plus grand bonheur de Lilibeth. L’envie d’apprendre de la jeune femme est son meilleur atout. En quelques mois, elle réussissait à se fondre dans la masse des moldus, smartphone en poche et épisodes de la famille Kardashian en tête. Mais Lilibeth n’oublie pas ses rêves.
Malgré les leçons inculquées par son frère et ses tentatives de sorties avec des amis, la perle rare se fait toujours attendre. Face à la boutique pour enfant, il semble à Lilibeth que cette perle est un graal et qu’il lui faudra un miracle pour le trouver. Une vague de désespoir l’envahit. Lilibeth soupire, cette fois, de chagrin. Et pour répondre au chagrin, rien de tel qu’un café sans sucre et son nuage de lait d’amande qu’elle commande au Star Buck d’à côté. Après avoir patienter pour récupérer sa boisson, elle repasse devant la boutique pour enfant, son gobelet brûlant dans la main, sur lequel elle a fait noter : Lili (sans blague ?). Son amertume s’est évaporée. Paris ne s’est pas faite en un jour. Après tout, cela ne fait que six mois qu’elle a retrouvé sa liberté. En l’espace de peu de temps, elle s’était trouvé un job et forgé une nouvelle vie. Le cœur ragaillardi par ces états de fait certains, elle se jure qu’elle finira par mettre la main sur cette perle, qu’elle soit un graal ou une épée coincée dans un rocher.

***

Quelque part dans les étages, Ned travaille au service de sécurité. Il est chargé des caméras de surveillance sur plusieurs secteurs. Ned est un bon gars qui fait bien son travail, même s’il trouve celui-ci, à la longue, plutôt ennuyeux. Mais la sécurité, ça paie ! Pas beaucoup de gars acceptent d’avoir des horaires de nuits à effectuer. Les horaires de nuit, ça le connaît ! Ca lui permet de ne pas supporter sa grosse que se plaint, advitam eternam, que le marmot chouine la nuit et dort le jour. Il travaille aujourd’hui de jour pour arranger un collègue. Mais son sommeil décalé commence à lui faire piquer du nez. Dans la salle de repos, il s’est servi un grand mug de café qui trône, désormais, dangereusement posée sur la console face à lui.




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Anonymous
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Sam 1 Oct - 11:45
Ceci n'est pas un exercice
Juin 2021
Aujourd'hui est un jour off. En effet, et exceptionnellement depuis l'ouverture de la boutique, celle-ci était close pour la journée. J'avais besoin de souffler, de changer d'air, de profiter un peu de cette grossesse et de cette journée. Le départ d'Aaron m'a beaucoup affecté c'est un faite, à tel point que je me suis concentrée à donc sur le boulot sans penser à prendre un peu de temps pour moi et le bébé à naître qui grandit doucement en moi.

C'est donc au centre commercial de Westfield Stratford City que je me dirige actuellement. J'ai pris la voiture pour faire ce petit voyage et en arrivant devant le colosse, l'objectif est de trouver une place de parking. Je tourne bien dix bonnes minutes en rond avant de trouver une place. Je me gare, coupe le moteur, sort de la voiture non pas sans caresser mon ventre arrondi au passage. Ça me fait toujours très bizarre d'abriter la vie. Et ferme le véhicule avant de prendre la direction de l'intérieur du bâtiment.

La météo n'est pas désagréable aujourd'hui mais apparemment la plupart des gens ont décidé de faire les magasins. Quand je rentre dans le bâtiment une foule, que dis-je une orde de moldus en train de faire les courses déambule dans l'allée principal du centre.

Je me fraye alors un chemin vers une petite boutique de vêtements pour bébé, allez savoir pourquoi, quand j'ai aperçu la devanture . Je me suis dit qu'il fallait que je m'arrête. Aujourd'hui j'avais plus besoin de vêtements pour moi que pour bébé, mais allez savoir pourquoi… je fus attiré comme un aimant par la présentation des grenouillères..  je reste là un bon moment avant de rentrer dans la boutique pour y faire quelques courses. Je ressors avec un body, des chaussettes, et la magnifique grenouillère qu'il y avait en présentation dans la vitrine.

Poche à la main portable dans l'autre, je regarde l'heure, celui-ci m'indique qu'il est encore temps de grignoter un bout. Je prends donc la direction malgré la foule d'une petite boulangerie qu'abrite le centre commercial. Ce midi, après une dizaine de minutes de réflexion, ce sera un sandwich tomates mozzarella avec une touche de pesto pour relever le tout.

Une fois l'achat effectué, je me dirige vers un petit espace d'attente ou de repos comme vous le voudrez.  Ou ce trouve des fauteuils et sortent de banc pour déguster mon sandwich en toute tranquillité.

Vingt cinq minutes plus tard je reprends ma marche, jetant le papier du repas, je prend la direction des WC pour la petite commission et une fois faite je ressors, me lave les mains et reprend la direction des boutiques qu'abritent le centre commercial.

Je me retrouve une nouvelle fois devant la boutique de vêtements pour bébé. Mais je ne m'arrête pas et sans le vouloir je rentre dans une jeune femme a la chevelure brune.

«Pardon… pardon… je ne regardais pas où j'allais…» m'excusant auprès d'elle.

Il faut dire que la vitrine avait le chic pour attirer l'oeil et même en marchant… du coup je n'avais pas fait attention à la direction que je prenais et ni même s'il y avait quelqu'un sur mon chemin.

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Lilibeth S. Barjow
Lilibeth S. Barjow
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Lumos
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Lun 24 Oct - 7:29
Ceci n'est pas un exercice
Juin 2021
Au contact de ses doigts, la chaleur du café au lait traverse la double épaisseur du gobelet en carton pour se répandre dans l’entièreté de son corps. Qu’il est bon de vivre libre ! Lilibeth peut s’estimer chanceuse. Face au parfum de la liberté, aucune de ses contrariétés ne fait le poids. Souriant d’aise, les yeux rivés sur la vitrine de la boutique de vêtements pour enfants, elle ne remarque pas le jeune homme assis dans l’espace de repos. Celui-ci ne sourit rien qu’à la voir sourire. Il porte également un gobelet de la même enseigne dans les mains. Tout à sa contemplation de la jeune femme, il parvient à se louper la bouche en essayant de boire une gorgée, renversant une partie de son contenu sur son torse. Lilibeth, elle, ne se doute de rien. Il ne lui viendrait pas à l’esprit de contempler le reflet dans la vitrine, où l’on voit parfaitement l’homme en train d’éponger son thé chaï en secouant sa chemise pour ne pas que le tissu rendu brûlant par le liquide ne lui brûle la peau. Finalement, l’homme revêt son gilet pour cacher sa catastrophe et paraître propre sur lui, avec la ferme intention d’approcher Lilibeth. Il jette son gobelet dans une poubelle à proximité (c’est plus prudent !), puis s’approche timidement de Lili en essayant de prendre un air parfaitement dégagé. Son malaise est visible, il tire sur son gilet, fait craquer ses doigts, regarde en arrière en songeant qu’il est toujours possible de revenir sur sa décision. Enfin, il porte une main à sa bouche pour se râcler la gorge, mais dans le brouhaha ambiant du centre commercial, au milieu des enfants qui pleurent et des parents qui négocient avec leur enfant pour n’acheter qu’un seul jouet (parce qu’ils en ont pleins à la maison !). Alors que le jeune homme se décide à ouvrir la bouche, Lilibeth, qui ne se doute de rien, est percutée. Son bras en perd son gobelet qui s’envole dans les airs avant de retomber sur le torse du pauvre garçon. A ce moment-là, une foule de badaud rempli les couloirs, et les deux femmes se retrouvent à se confondre en excuse sans s’apercevoir de ce qu’il est advenu du gobelet de Lili.
- Il n’y a pas de mal ! Rassure Lilibeth, son visage de se fendant d’un sourire sincère. Il n’y a pas plus maladroite que moi, ce serait mal venu de ma part de le reprocher une erreur d’inattention à qui que ce soit. Où est passé mon gobelet ?
Elle cherche sur le sol, mais les passants sont nombreux et la bouscule. Quand elle aperçoit son gobelet renversé. Elle se doute que l’entretien se chargera de nettoyer tout ça mais préfère jeter le gobelet vide dans une poubelle. L’homme, honteux, a déjà disparu.
- Vous ne vous êtes pas fait mal au moins ? J’étais en plein milieu du passage, j’avais la tête ailleurs, c’est de ma faute, s’excuse-t-elle.
Le regard de Lilibeth aperçoit le paquet dans les mains d’Aïko.
- Oh ! Dit-elle ravi. Vous attendez un heureux évènement ? J’espère que la collision ne vous a pas trop bousculée, s’inquiète-t-elle. Venez donc par-là, sortant de la foule sinon, ils vont finir par nous piétiner, votre bébé s’est assez fait bousculer comme ça.
Sans se départir de son sourire, Lilibeth entraîne Aïko hors de la foule, près du Starbuck où, sans prévenir, elle commande un nouveau café au lait.
- Vous voulez quelque chose, histoire de nous remettre de nos émotions ? Demande-t-elle en essayant de se souvenir ce qui n’est pas bon pour une femme enceinte.
Chez Jack la Ripaille, les clientes avaient toujours des demandes particulières, et Lilibeth commence a avoir de l’expérience sur l’alimentation spécifique de la femme enceinte.
- Je m’appelle Lilibeth Barjow, finit-elle par dire, toujours prête à se faire de nouvelles amies, dans n’importe quelle situation.
Etant donné qu'elle se trouve côté moldu, elle ose donner son nom de famille, ignorant totalement les chances, pourtant pas si infime, de tomber sur une sorcière. Gentille et innocente Lilibeth.




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Anonymous
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Dim 30 Oct - 15:52
Ceci n'est pas un exercice
Juin 2021
La jeune femme face a moi me rassura, en m’indiquant qu’il n’y avait pas de mal, elle dit cela avec un sourire qui la rendait magnifique. Elle était jolie femme, mais le sourire la rendais encore plus jolie, je lui adresse un sourire en retour. La sorcière m’indique qu’il n’y a pas plus maladroite qu’elle. La preuve que si, moi.. Je ne regardais vraiment pas où j'allais. Mais elle dit cela car elle même maladroite, elle ne pouvait le reprochait à quiconque.

«Je crois que le mal, c’est votre café.. »En effet, j’avais remarqué avant elle que le café avait fini sa course sur le sol ou de nombreux passants piétinaient sans même faire attention. Elle me demande ensuite si je ne me suis pas fait mal.. Je souris et lui répond.

«Je vais très bien, il ne faut pas vous en vouloir, rassurez vous je vais très très bien… » Conclut-je alors que Lilibeth remarque mon paquet et me demande si j’attend un heureux événement. Je répond d’un oui de la tête, puis elle s'inquiète de la collision une nouvelle fois et espère que cela ne ma pas trop secouer, alors que je m'apprête à répondre elle me prend par le bras et m'entraîne hors de la foule, prétextant que le bébé a assez été secouer pour le moment.Puis elle me propose de prendre un truc Je reprends alors la parole.

«Je vais très bien, ne vous en faites pas, je veux bien quelque chose si vous me laissez vous payer un café pour remplacer celui qui est tombé au sol, d'accord ? » En fait, qu'elle le veuille ou non je lui prendrais un Gobelet de café ou de ce qu'elle désire.

Elle se présente ensuite à moi, tout en la suivant, je me présente à mon tour.

«Aiko, Aiko macfusty. Ravis de faire votre connaissance Lilibeth, même si j'aurais préféré la faire dans d'autres circonstances. Mais je suis ravi de vous connaître.» Nous arrivons toutes deux devant une stand de café avec des tables et des chaises devant pour pouvoir s'asseoir et boire notre breuvage en toute tranquillité. Nous nous approchons de la caisse et de l'endroit de prise de commande, quelques clients sont présents devant nous ce qui nous laisse le temps de discuter avec ma nouvelle connaissance.

«Vous êtes du coin ?» Cela permet de savoir si j'aurais l'occasion de la recroiser. Alors que j'attendais sa réponse à ma question, la file d'attente diminue et c'est à notre tour de passer commande. J'ouvre la bouche en premier après avoir regardé ce qu'ils proposent sur les affiches au-dessus du personnel.

« Je prendrais un chocolat chaud ainsi qu'un jus d'orange et pour vous ce sera quoi ?» Questionnais-je en regardant Lili. Je sors ensuite mon portefeuille et en extrait un billet pour régler la note. Une fois la commande passée, j'attrape le bras de ma compagne du jour et je nous dirige vers une table qui semble être au calme.

«Nous serons bien tranquilles ici…» Je m'installe en enlevant ma veste et en déposant mon paquet à mes pieds.


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Lilibeth S. Barjow
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Lumos
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Sam 26 Nov - 17:13
Ceci n'est pas un exercice
Juin 2021
Aux étages, devant les caméras de sécurité, Ned continue de piquer un somme, la tête dodelinant sur son torse, juste au-dessus de ses deux bras croisés. Peu à peu, la fumée s'échappant de son mug de café commence à disparaître. L'employé fait un rêve étrange. Lucifer est remontée depuis les enfers pour lui souffler qu'il doit arrêter d'être malheureux. Pour ce faire, il doit absolument mettre de l'ordre dans sa vie.

***
En entendant le nom Macfusty, Lilibeth ouvre une bouche béante avant de se raviser. Après tout, c'est peut-être un nom de famille courant. Gardant pour elle la question qui lui brûle les lèvres, elle se laisse finalement entraîné jusqu'au stand de café où Aiko l'invite. Elle accepte bien que gênée, et commandera :
— Un café latte, avec du lait d'amande, s'il vous plait. Puis, elle se tourne vers Aiko pour la remercier. Merci pour l'invitation.
Les deux femmes s'installent sur une table, loin de la foule de gens excités et surtout, loin du bruit, là où elles pourront faire connaissance en toute tranquillité. Dans cette partie du café, les tables autour d'elles sont vides, et une porte mène à la première salle, là où les gens bruyants aiment se poser. Sur leur gauche, les gens d'enfants ont des doubles vitrages assez épais pour insonoriser la pièce. Sur leur droite, un mur où s'étalent des décorations diverses et variées. Non loin d'elle, un ascenceur. A quoi peut bien servir un ascenseur en plein milieu d'un café ?
Enfin installée confortablement, son gobelet de café chaud lui réchauffant les mains, Lili peut enfin répondre à la question d'Aiko :
— Je suis de Londres, explique-t-elle. Je travaille en ville comme serveuse, à l'auberge Chez Jack la Ripaille.
Rien n'indiquait qu'Aiko appartient au monde des sorciers. Mais révéler son lieu de travail à une possible moldue n'avait rien d'embêtant étant donné qu'une partie de chez Jack la Ripaille était consacrée au service des moldus.
— Et vous... toi, si tu permets ? Ce sera plus chaleureux. Que fais-tu dans la vie ?
Sa question lui brûlait toujours les lèvres. Que risquait-elle, après tout ? Si Aiko lui répondait que non, Lilibeth feindra qu'elle doit confondre avec un autre nom. Par contre, si son interlocutrice répondait oui, cela signifie qu'elle appartient de près ou de loin au monde des sorciers et que, qui plus est, elle appartient à la famille de la soeur de coeur de Rory.
— J'ai une question à te poser, si tu veux bien... il me semble avoir déjà entendu ton nom quelque part... est-ce que tu connaîtrais une certaine Abigail ?
C'était fait. Lili se félicitait d'avoir eu le cran de demander, bien qu'elle avait presque murmurer pour formuler sa question.

***
Au service sécurité, Ned est révéillé en sursaut. Mais que diable Lucifer vient-il foutre dans ses rêves ? Est-ce qu'il se mêle de ses diableries, lui ? Ensommeillé, il sentait la fraîcheur de la pièce, ses bras nus frissonnant. Il les sert contre lui, pour se réchauffer, pose un genou contre sa console pour l'aider à se balancer sur sa chaise. Son genou touche le gobelet qui lentement, est de plus en plus proche de la dégringolade. Lucifer sait quel bouton la catastrophe s'apprête à s'abbattre.




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Anonymous
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Dim 22 Jan - 16:24
Ceci n'est pas un exercice
Juin 2021

Je ne fais pas attention quand Lilibeth ouvre la bouche de façon béante, probablement voulait-elle dire quelque chose. Je dois avouer que mon attention se porte sur la vitrine et sur ma commande à ce moment présent. La jeune femme commande un café latte et me remercia de l’invitation ce par quoi je répond :

«C’est normal, puis ça me fait plaisir.» Nous nous installons à une table, le calme se fait sentir, ce qui n’est pas désagréable. le café n’est pas trop plein ce qui est franchement agréable. Une fois que nous sommes assises Lili me répond qu’elle est de Londres et qu’elle bosse dans une auberge de la ville. Elle me donne le nom, mais cela ne me dit rien. Encore un endroit à découvrir, ensuite elle reprend et me demande en employant le “tu” et en me demandant si elle peut, ce que je fais dans la vie.

«Je suis aussi de Londres, je tiens une boutique de livres, une librairie, je ne sais pas si tu connais, le part chemin.» En employant le tu, je réponds à sa question sur le fait d’employer le “tu”. Ça ne me dérange aucunement, de plus elle doit avoir mon âge, donc ce n’est pas très dérangeant. C’est même quelque chose de naturel. Elle reprend ensuite la parole pour me poser une question en lien avec mon nom de famille, me demandant au passage si je connais Aby. Je sourit avant de reprendre la parole.

«Bien-sûr que je connais Abigail, c’est même une personne proche de moi, je suis sa cousine, et toi d'où la connais-tu ? » Oui je sais la curiosité est un vilain défaut, mais nous sommes dans les questions en lien avec elle, il est donc naturel que je demande d'où elle connait ma chère et tendre cousine, ca pourrait donner des informations complémentaires sur la jeune femme en face de moi. Nos commandes arrivent au moment où je termine ma question, je remercie le serveur et prends une gorgée de chocolat chaud, chocolat qui est bouillant, je repose donc très vite la tasse après que ma langue se soit très légèrement brûlé par le nectar qui se trouve dans la tasse.

«Tu es à Londres depuis longtemps ? Car moi ça fait un moment et je ne pense pas t’avoir déjà croisée, après il est vrai que la ville est grande.. Nous nous sommes sûrement croisées mais sans faire attention.» Il est vrai qu’avec mon boulot, je croise énormément de monde, mais même si j’ai une bonne mémoire des prénoms, il m’est parfois plus compliqué de me souvenir d’un visage. Bien-sûr quand je connais bien la personne c’est beaucoup moins compliqué pour moi, ma mémoire fait en sorte d’associer le visage au prénom. Je sais par exemple qu’il me faudra plusieurs fois ou un long moment avec Lili pour que j’arrive à associer les deux et me souvenir d’elle la prochaine fois que l'on se croise. Peut-on dire que ma mémoire est légèrement sélective ? Je pense ,en effet.

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Lilibeth S. Barjow
Lilibeth S. Barjow
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Lumos
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Mer 1 Fév - 21:50
Ceci n'est pas un exercice
Juin 2021

Ses longs doigts fins encerclèrent le gobelet bouillant. La chaleur explosa dans ses mains avant de se répandre plus largement, lui arrachant un frisson qui lui parcourut le dos. Lilibeth cligna des paupières. Quelles probabilités existaient-il pour qu'elle tombe très justement sur la cousine d'Abigail ? Lilibeth et Abigail ne s'était jamais rencontré. Mais jamais Lili n'oublierai les récits épiques que lui comptait son frère. Ces belles aventures que la vie lui permettait de vivre avec ses amis.
— A vrai dire, nous ne nous sommes jamais rencontré. Mon frère, Rory, m'en a beaucoup parlé. Voilà longtemps que je souhaite la rencontrer.
Pensive, Lili enleva le couvercle de son gobelet qui servait à maintenir la chaleur. La fumée s'éleva, emportant avec elle sa délicieuse odeur de café.
— Depuis le mois de février, confia Lilibeth, pour répondre à sa question.
Ainsi donc la femme sur qui elle était tombée inopinément s'avérait être une sorcière.
— Je traîne souvent à la librairie de mon quartier. J'ai mes petites habitudes mais je serais ravie de faire un tour au Part Chemin. J'adore les romans d'amour...
... et tout ce qui est écrit à l'eau de rose, en général.
— Si je m'écoutais, j'en écrirai moi-même un !
Elle rit de bon cœur, bien que cette idée, d'abord cité pour plaisanter et exagérer sur son amour pour la romance, ne paraissait pas si grotesque que cela. Lilibeth possédait beaucoup d'imagination et surtout, elle avait un vide, grand comme Big Ben, à combler d'amour. Alors, pourquoi pas écrire ses propres histoires ? Avec un pseudonyme, bien entendue.
Elle ouvrit la bouche pour reprendre la conversation, mais une alarme retentit, la coupant dans son élan.

***  

Le gobelet de café froid se renversa net sur la console. Ned n'eut pas le temps d'éponger que des grésillements inquiétant le disuadèrent d'approcher ses mains du métal trempé.
— Merde, merde, merde ! Pesta-t-il.
Les écrans projetant le visuel des caméras de sueveillances s'éteignirent. L'ampoule au-dessus de lui aussi. D'ailleurs, les ascenseurs du centre commercial également. Dans sa panique, il appuya sur une commande réservée à la sécurité en cas d'incendie.

***

Dans le café et l'allée du centre commercial, des voix s'élevèrent en guise de surprise. La lumière venait de s'éteindre. On entendait des gens protester contre les ascenseurs bloqués. A peine eut-elle le temps de dire ouf que Lili vit les portes destinées à bloquer les invendies se refermer, la coincant avec Aiko à l'intérieur, ainsi que tous les autres clients.
— Mais qu'est-ce qu'il se passe ? S'alarmait-elle.
Une femme trébucha dans l'obscurité non loin d'elles. Les torches des téléphones portables commencèrent à briller. Dans le hall duquel ils étaient désormais tous séparé, on entendait des voix qui criaient :
– Qu'est-ce qu'il se passe ?
— Il y a le feu ?
— Il y a le feu !
— Oh mon dieu il y a le feu.

Du feu, il n'y en avait pas. Par contre, la panique s'enflamma bel et bien, répandant la débandade comme une traînée se poudre. Les gens à l'intérieur du café commençaient à sérieusement s'inquiéter. Si incendie il y a, alors ils sont coincés à l'intérieur. Le personnel du café tentait de joindre la sécurité mais les communications semblaient coupées.
— Pas de panique, dit Lilibeth comme pour mieux se rassurer elle-même.
Mais déjà les plus claustrophobe commençaient à s'agiter sur les portes, comme si cela allait arranger quelque chose.
— Ce sont les sorciers qui nous attaquent ! Scanda un homme, le ton de sa voix indiquant qu'il était proche de l'apoplexie.  
Lilibeth posa une main sur le bras d'Aiko.
— Éloignons-nous, ils commencent à s'agiter.
Lilibeth songeait surtout à éloigner le ventre de la jeune femme de l'agitation qui grandissait dans le café.
— Ce sont les sorciers, continuait de jacasser l'homme. Ils sont parmis nous.
Le malaise envahit Lilibeth.
— Si c'était les sorciers, ils ne se seraient pas contenté de mettre le feu, dit elle tout haut.
— Et comment tu sais ça,toi ? Répliqua le gars, quelque part par la, dont elle ne pouvait même pas apercevoir le visage.
Très bonne question : et comment savait-elle ça ? Déjà Lilibeth regrettait de n'avoir pas tourné sa langue sept fois dans sa bouche.




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