Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes,
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Dim 29 Mai - 18:05
Anjelica & Azzio Stick to the stuff you know
Lorsque le vieil homme s’est dirigé vers le garage, personne n’y a fait attention. C’est le boulot de la secrétaire de reprendre toutes les demandes et questions. Seulement, lorsqu’il avait expliqué pourquoi il était là, tous les mécanos avaient accouru sans la moindre hésitations pour voir la merveille. Les yeux brillants d’excitation, Azzio l’avait admiré comme les autres. Une moto unique, de collection, dont le design avait été fait par le célèbre Frank, un maître dans l’art des motos volantes sorcières. Azzio, comme beaucoup d’autres, l’admirent réellement. La seule tristesse qu’il ressentait, c’est que personne n’avait jamais conduit cette moto. Elle n’est qu’une pièce - exceptionnelle- de collection, affichée fièrement dans le garage du vieil homme.« Je veux les deux meilleurs mécanos et qu’elle soit comme neuve à la fin, je reviens dans une semaine. » grogna d’un ton méprisant le vieil homme antipathique. Si ce n’était pas sa moto, Azzio l’aurait remis à sa place, mais un nouvel espoir venait de naître en lui. Deux. Cela pouvait donc être Anjelica et lui. La pire combinaison possible, évidemment, mais au moins, il toucherait la moto. Et, une fois qu’elle serait en état, il pourra aller faire un tour dehors. Chevaucher une merveille comme celle-là, le faisait rêver, sincèrement.« Quel qu’en soit le prix, je m’occuperai de cette bécane. » souffle-t-il à Anjelica alors qu’il passe derrière elle pour revenir vite à ce qu’il faisait. Il ne lui reste plus grand chose. Si en plus, il n’a rien à réparer, ne sera-t-il pas le meilleur choix ?« J’aurai dû rien dire, ce prix est cher payé, mais tant pis. » grogne-t-il en s’installant devant la roue arrière. Il enlève la roue, qui est clairement déviée sur la gauche, comment un si petit gamin peut faire autant de dégâts ? Puis il la met de côté et regarde la moto. Il a envie de la démonter entièrement, de regarder les sortilèges de protections possibles et d’améliorer certains qui doivent être dépassés. Seulement, Anjelica est sur sa route et elle ne va pas laisser le faire ce qu’il veut. « On a deux solutions, soit on bosse ensemble, soit tu fais le matin et je fais l’après-midi. » propose-t-il innocemment. Evidemment, cette solution n’est pas viable, mais on ne pourra pas lui reprocher d’être arrangeant. Pour l’instant, il se sent d’humeur magnanime. Il la déteste et n’a absolument aucune envie de bosser sur cette moto avec elle, mais l’excitation d’une si belle pièce recouvre tout le tout. Pour l’instant. Après, elle n’a pas encore parlé. Peut être que sa bonne humeur vient de là. A partir du moment où elle laissera sortir son sifflement sournois, il ne pourra plus l’ignorer et rester souriant. ⇜ code by bat'phanie ⇝
Anjelica Zabini
Métier : Mécano au Thestral Motor
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Dim 9 Oct - 17:13
Azzio & Anjelica Stick to the status quo
Ce matin c’est l'effervescence au garage. Un vieux type plein d’oseille est venu déposé une bécane. Ce n’est pas n’importe laquelle. Clairement c’est une vraie pièce de collection qui attire tous les regards sur elle. Dommage qu’elle soit amochée et si peu entretenu. Ca me fait presque chier de devoir réparer un tel bijou pour le remettre en les mains d’un sorciers bedonnant qui ne saura jamais s’en servir. Qui laisse un tel objet en vitrine pour étaler son surplus de fric ? Franchement, cela n’a pas sens à mes yeux. Si la mécanique est ma passion, je dois reconnaître que réparer ce qui existe n’est pas ce qui me plait le plus dans mon métier. Je préfère quand je dois concevoir la moto du début à la fin. La satisfaction d’entendre le moteur ronronner après des heures à réfléchir et travailler dessus est ce qui me fait le plus vibrer. Mais je peux faire une exception. Car au-delà du véhicule en lui même, je suis curieuse de voir quelles méthodes ont été utilisées pour concevoir ce dernier. C’est toujours inspirant.Et si tu la fermais Azzio ? » répliquais-je quand il me parlait de prix à payer. Je ne supportais pas son reflet. Il me ramenait constamment à Andrea. Un Andrea qui me regardait avec haine et colère en permanence. Très bien dégage. Je te laisse la place après la pause déjeuner. » répliquais-je sans même le regarder, mes doigts courant sur les câbles des freins qui étaient en mauvais états. Ce n’était rien en comparaison du propulseur qui permettait à la moto de s'élever dans les airs… Il était 11h passées, clairement je n’aurais pas beaucoup de temps sur la moto si Azzio décidait de se barrer mais ça serait toujours ça. « Et pendant ce temps là, bosse au lieu de tourner autour d’Adèle. » Cette fois, mon regard s’était redressé et planté dans l’ambre de ses yeux. Cet enfoiré… Je le voyais régulièrement à l’accueil et cela me rendait dingue qu’il s’approche d’elle ainsi. ⇜ code by bat'phanie ⇝
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Ven 21 Oct - 11:11
Anjelica & Azzio Stick to the stuff you know
C’est quand elle me demande de me taire que je me rends compte que je ne sais pas ce que je veux. La faire chier, ça c’est sûr, mais l’éviter ou rester avec elle ? Parce que… mine de rien, elle travaille bien. Anjelica est une pro dans son domaine, elle sait y faire, elle est efficace et elle s’y connait bien. Moi aussi, mais je dois bien reconnaître avoir moins d’entraînement qu’elle. Si on met de côté la pimbêche désagréable qu’elle est, je suis certain que je serais capable de m’entendre - au niveau du boulot - avec Anjelica. Malheureusement, la part privée qui bousille notre vie depuis si longtemps m’empêche de faire ce pas. « Parfait. » lâchai-je l’air de rien, alors que j’avais envie de commencer, que j’espérais être le premier à poser mes mains sur cette bécane incroyable, admirer le fonctionnement de l’intérieur et essayer de découvrir quels sont les sorts qui la protège et l’améliore. Evidemment, chaque sorcier à sa propre marque de fabrique et ils sont rares ceux capable d’une telle prouesse, peut être réussirions-nous à découvrir le créateur ? Je me fige en proie à une abnégation. J’ai pensé à Anjelica et moi comme un nous c’est le début de la fin. Il faut que je m’en aille, tout de suite. Ce n’est pas humain.« Ah parce que j’ai besoin de ta permission pour aller dans l’accueil ? Il me faut un papier signer de la grande et merveilleuse miss Zabini ? » Je hausse les sourcils, un faux air étonné face à elle, totalement innocent de ce qu’elle essaie de me dire. « Et Adèle n’est pas assez mature et intelligente pour me voir comme le danger que tu imagines que je suis ? Elle n’a aucun libre arbitre ? Super la copine. » Un roulement des yeux plus tard, je m’empêche de sourire. J’ai envie de la voir rager, pas de rire avec elle. « Tu sais, tu me hais, mais les autres personnes dans le monde me trouve sympa. » Est-ce vrai ? J’ai trop peu d’amis à Londres, parce que je n’ai pas fait d’efforts d’aller vers les autres, mais eux non plus n’ont pas fait l’effort de venir me rencontrer. Pourtant, j’imagine que de prime abord, les gens me trouvent pas si con ou méchant, ça c’est ce qu’elle imagine, que mes premières intentions sont mauvaises. Bon, dans le cas d’Adèle, elle a bien raison, mais ça, elle n’est pas obligée de le savoir. « Malheureusement pour toi, il se trouve que je n’ai rien sous le coude, donc tant qu’on nous dépose pas un nouveau truc, je vais plutôt attendre sagement l’heure du déjeuner dans l’accueil. A moins que tu ne veuilles absolument qu’on reste ensemble. » J’ai hâte de la voir enrager, j’espère qu'une expression d'épouvante va s'inscrire sur sa si jolie petite face. J’espère qu’elle va hurler, là, dans la colère, on se comprend mieux. ⇜ code by bat'phanie ⇝
Anjelica Zabini
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Mer 26 Oct - 21:29
Azzio & Anjelica Stick to the status quo
Depuis qu’Azzio avait rejoint le garage, c’était la catastrophe. J’avais juste envie de l’étriper à chaque fois que j’étais amené à le croiser. Il fallait dire qu’il ne se gênait pas pour me piquer et je lui rendais avec aisance la pareille. Nous n’en étions pas encore venus aux mains, mais plus d’une fois j’avais pris sur moi pour ne pas lui coller mon poing dans sa figure. Mentalement, j’imaginais la scène. Je m’excusais tout aussi vite auprès d’Andrea d’avoir envie de tuer son jumeau. Ils n’avaient que le physique de commun ces deux-là. Le reste… Azzio était à chier. Il n’arrivait pas à la cheville Andrea. Il n’était qu’un stupide gamin immature qui avait décidé de passer ses nerfs sur moi. Et je devais reconnaître que c’était douloureux. Les traits de mon meilleur ami, qui me regardait avec colère. Ses paroles qui passaient sont à mordre. Je ne savais pas si Azzio avait conscience de la douleur que m’imposait sa présence. Il en jouait, c’était presque certain… Je suis ta boss ici, Azzio l’oublie pas. » Répliquais-je fermement. J’étais le bras droit de Lucas. Lorsqu’il s’était absenté durant de longs mois j’avais géré le garage seul. Les membres de l’équipe avaient été parfaits et avaient respecter mes demandes, m’aiguillant même durant mes premiers pas. Il enchaîne en se vantant d’être apprécié par d’autres personnes, tentant de faire croire que je n’ai pas confiance en Adèle… Je croisait son regard de mes ambres. « Adèle est intelligente. Mais toi t’es un connard prêt à tout pour m’emmerder. Je sais quel visage tu lui offres quand tu es avec elle. Je te jure que si tu la fais souffrir tu auras affaire à moi. »Oh tu n’as pas de boulot ? Je vais t’en trouver moi. » Je me tournais vers l’établi. « Nettoie les outils, ça fait un moment que cela n’a pas été fait. Quand tu auras fini, tu pourras aller répertorier les pièces détachées dans la réserve. » Mon regard se plantait brusquement dans le sien. Un sourire malicieux et satisfait se dessina sur mes lippes. « Oh et la femme de ménage est malade aujourd’hui. Tu pourras terminer par les toilettes. » Je croisais les bras d’un air satisfait et reculais jusqu’à la moto avant de m’abaisser au niveau du moteur. J’observais les câbles et autres enchevêtrements. J’étais à toi deux de faire un décompte dans ma tête pour savoir quand Azzio allait revenir à la recherche vers moi. Pour le moment, je faisais mine de l’ignorer, mais il savait aussi bien que moi que si je donnais une directive, il était obligé de la suivre. Je n’étais pas du genre à abuser de cette situation, bien au contraire. Mais face à son sourire satisfait, je n’avais pas pu m’en empêcher. J’avais juste envie de lui rabattre son putain de caquet. J’espérais que cela aurait l'effet escompté. ⇜ code by bat'phanie ⇝
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Invité
Mar 8 Nov - 10:39
Anjelica & Azzio Stick to the stuff you know
Anjelica Zabini me rendait fou, clairement. Je n’étais pas certain de survivre longtemps ici, parce qu’elle était odieuse, infecte et qu’elle n’avait jamais autant d’assurance que lorsqu’elle me crachait au visage. Evidemment, je n’étais pas en reste, mais voir son visage me mettait en colère, savoir qu’elle avait assisté aux derniers instants d’Andrea, savoir qu’elle avait son amour, savoir qu’elle était en vie. Je serre les poings, puis les desserre. Je n’ai pas le droit de m’énerver violemment contre elle, c’est une membre éminente de notre grande famille, je ne peux rien faire. Et l’éviter, c’est impossible, je bosse dans son garage… ah, elle est peut être là la solution. M’éloigner, trouver un autre boulot, mais aucun ne me laissera aussi disponible que celui-là. J’ai envie de casser un truc. « Comment l’oublierai-je Ô Noble Dame Zabini ? » Mes yeux lancent des éclairs, et le ton moqueur ne lui échappe sûrement pas. « Le tapis rouge n’était pas assez déroulé à votre arrivée, ô chère patron ? » J’ai toujours apprécié n’être qu’un petit rouage, je n’ai aucune envie de prendre les décisions qui coutent la vie aux autres, ni risquer des millions de gallions, j’aime suivre ceux qui tirent les ficelles là-haut, car ils nous connaissent assez pour réellement savoir de quoi on est capable et, ça je dois le reconnaître, ils ne m’ont jamais défavorisé alors qu’ils auraient pu le faire. Mine de rien, je suis en train d’accepter que les Zabini sont des chefs corrects, mais je ne le dirais jamais à voix haute. « Ah ouais, pas de demi-mesure pour toi, sympa pour moi. » Je fais mine d’être vexée. « Et qui te dis que c’est pas elle qui me fera souffrir ? Ah là, tu danseras devant ma peine. » Les yeux levés au ciel, je soupire. Elle est infernale. Elle a diablement raison, mais il n’empêche que je ne pensais pas qu’elle me regardait autant. « Mais là, soit tu me regardes plus que je ne le croyais, sois Adèle t’a parlé de moi. » Le sourire victorieux qui s’inscrit sur mon visage est impossible a caché. « Comme tu répètes à tout va combien tu me hais, j’imagine donc qu’Adèle a parlé, allez diiiis-moi. » Ce n’est pas une supplication, je reconnais juste que je veux la voir se crisper. Adèle m’apprécie donc vraiment, ce n’est déjà plus un jeu pour elle. Parfait, tout s’emboîte correctement. « Hum, c’est tout ? Tu n’as pas encore mille taches ingrates à me faire faire, ô sublime cheffe ? » Mon visage n’est plus neutre, c’est mon tour d’être crispé et saoulé. Je ne peux même plus faire semblant de sourire, je suis las. Cette magnifique bécane me passe sous le nez et je dois récurer les chiottes. Nickel. Bon, peut être que je pourrais aller demander à Adèle des sortilèges de nettoyage, juste pour faire enrager Anjelica. J’hésite pas très longtemps en réalité. Je n’ai même pas le temps de répondre qu’elle est déjà retourné à la moto, qu’elle m’ignore. Putain, ya rien de pire. La colère, la peur, la tristesse, je gère, l’ignorance, ça me rend fou. De sa part surtout, je sais qu’elle en joue, qu’elle fait exprès. « Et bien merci pour les recommandations, j’ai hâte de tout exécuter dans la bonne humeur. » Ah tiens, je vais mettre la musique à fond, j’ai découvert un groupe de métal magique récemment, ça risque de la déconcentrer pendant que je compte les pièces. « A dans vingt minutes. » Ce sera l’heure de la pause, je n’aurai certainement pas fini… J’en soupire d’avance. ⇜ code by bat'phanie ⇝
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