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Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes,
alors pensez à les privilégier pour vos personnages

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Viens donc faire signer ton ouvrage Ft Harper :: Three Broomsticks :: Pensine :: Les RPs
Anonymous
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Sam 26 Fév - 20:50
Viens donc faire signer ton ouvrage.Ft Harper
Certain jours je maudit le réveil, quel est la personne qui a décidé de créer le travail et l’argent ? Oui, certains matins, je n’ai aucune envie de me lever. Pourtant on ne le dirai pas, car une fois passée la porte qui me sépare de la boutique, je deviens souriante jusqu'à la fin de la journée. Mais des jours comme aujourd'hui j’ai du mal a quitté les doux bras de Morphée, pourtant une grosse journée m’attend et je dois l'honorer.

Je grogne une énième fois contre le réveil, la tête sous la couette. J’ai eu l'excellente idée de l’installer à l'autre bout de la pièce et de laisser ma baguette à côté de lui pour m'obliger à me lever et du fait de devoir le couper manuellement.

Je met cinq bonne minute à me redresser dans le lit sur la mélodie d’un groupe moldu dont je n’ai aucune idée du nom, je baille, m’étire et sort les pieds de sous la couette..

«Fait froid …  » grognais-je à moi même.. Cheveux en bataille et yeux en couille d’hirondelle. Je pose les pieds au sol, ou les chaussons ne sont pas. Ce qui me fait grogner encore plus..

Je prends la direction de la cuisine, j’éteins le réveil et attrape ma baguette. Puis je lance un sort afin que le café chauffe avant que j’arrive a la cuisine, un simple sort pour activé le feu sous la cafetière. Un petit accio pour la tasse et je m’installe à table, une dizaine de minutes plus tard me voilà en meilleure forme. Le café est parfois bien plus miraculeux qu’une potion.

Après avoir jeté un coup d'œil à l’heure, je reprends la direction de la chambre ou je m’habille. Aujourd’hui tenu assez simple, jean et pull qui ne m'appartiennent pas, ma paire de doc et me voilà prête pour aller embaucher.


___________
   Ellipse
___________


Début d’après midi, la boutique côté moldu est plutôt calme, mais le côté sorcier ne désemplit pas vraiment. J’ai fait venir, après quelques demandes de certains clients, une autrice sorcière. Connue et reconnue, je lui ai proposé de faire une séance de dédicace et ainsi de pouvoir échanger avec le public et il faut avouer que l’idée lui a bien plus.

Une bonne partie de mes habitués est au rendez-vous et de nouveau clients intrigués par l'événement ou la connaissant sont venu faire un tour, un sacré coup de pub pour la boutique. Mes parents sont même venus en renfort pour la fin de la journée, les ventes se déroulent tranquillement et tout le monde a l’air aux anges.


_________
Seize heure trente.
_________

Installée derrière mon comptoir, j’observe la boutique qui est un peu plus calme que durant le début d'après-midi. J’en ai profité pour faire préparer une petite douceur à l'équipe improvisée et pour l’auteur. Nous sommes donc tous plus ou moins en pause avec une tasse ou un verre à la main, ma mère étant une fan  est en grande discussion avec l’autrice.

De mon côté, mes lunettes sur le nez et mes cheveux relevés, je regarde la recette que nous avons fait jusqu’ici et je n’en suis pas mécontente. La sonnette de la porte me fait lever les yeux, une silhouette familière fait son apparition, je sourit de toutes mes dents et quitte l’arrière de mon comptoir pour aller dans sa direction. Elle a donc une vue directe sur le sweat d’Aaron, qu’elle doit bien connaître car elle a déjà pu le voir avec plusieurs reprises. Mais sur le coup, j’avoue ne pas prêter attention à ce détail, mais plus à la venue d’Harper. Vais-je me faire griller à cause d’un simple pull ? J’en ai bien peur.

«Harper, je suis ravi de te voir ici ! » Dis-je une fois a la hauteur de la jeune femme.
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Harper MacFusty
Harper MacFusty
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Lumos
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Mar 1 Mar - 20:06
Viens donc faire signer ton ouvrage
Le réveil matin. Cet objet absolument insignifiant capable de vous plonger dans la plus absurde des transes existentielles allant de l’envie irrépressible de pleurer jusqu’au désir révolutionnaire de rester au lit pour envoyer au diable l’entièreté de vos responsabilités, même celles qui paient vos factures. Une musique des Jackson Five résonne dans leur chambre de Poudlard. Abigail est déjà levée, certainement engagée auprès du ministère pour une défense quelconque des responsabilités familiales. Harper souffle l’étendue de son désarroi pour dégager une mèche brune qui lui barre le front. L’haleine en bataille, les cheveux rebelles et les yeux en face d’on ne sait pas trop quel trou, elle revêt une tenue décontractée pour quitter Poudlard, la chevelure désordonnée mais les dents brossées (on la remercie).

Seize heures trente. Dans les rues de Londres, elle commande un café à emporter dans son coffee shop préféré avant d’entamer sa route vers la librairie d’Aiko. La belle-cousine Macfusty a organisé une rencontre avec l’écrivaine française Justine Misopoing (pardon) venue dédicacer en personne son nouveau best-seller « Si ma tante en avait ». L’auteure, née-moldue, a rédigé une histoire passionnante mêlant intrigue, suspens et sortilèges. Allez comprendre le rapport avec le titre ! C’est l’histoire d’une orpheline battue par sa mère partisane d’une secte qui l’empêchera de suivre des courts à Beauxbâtons. L’héroïne autodidacte devient une sorcière aguerrit n’écoutant que son ambition et son courage… STOP SPOILER !
Harper pousse la porte de la librairie dans un tintement sonore.  Elle déambule dans la boutique aux livres en direction du comptoir, très excitée de rencontrer son idole du moment. La foule est au rendez-vous, Justine est quelque part par-là, acculée par les rats de bibliothèque… ah non, c’est la tantine qui lui cause. Ce n’est pas une excuse pour se l’accaparer. Bien décidée à faire du forcing pour avoir l’immense honneur, privilège et droit donné d’office d’échanger avec l’écrivaine, elle doit tout de même patienter encore quelques minutes car Aiko vient à sa rencontre.

Harper, je suis ravi de te voir ici ! La salut-elle.
Hey cousine, est-ce que tu lui as parlé de moi ? Elle sait que je viens ? J’ai apporté mon propre feutre (elle lui montre un feutre à la pointe biseautée) pour que sa dédicace ne ressemble à aucune autre.

Harper avait parlé rapidement, précipitée par l’excitation. Justine, dans son roman, évoquait brillamment d’anciens sortilèges désormais oubliés comme le sortilège de jambe en guimauve remplacé par le maléfice du saucisson, l’actuel pétrificus totalus. Comment ça on s’en fout ? Tout le monde sait qu’Harper préfère le sucré au salé. Et pourtant, elle ne fait jamais dans la dentelle. Bref, on s’égare. Revenons à nos moutons : Justine présage adopter une passion similaire pour les sortilèges anciens, créant une vague d’excitation chez la directrice des Gryffondor qui n’avait encore jamais rencontré une personne à son image capable d’apprécier les sortilèges rendus obsolètes par la modernisation. D’une traite, elle termine son café et jette dans la poubelle la plus proche le gobelet préalablement froissé sur lequel est écrit : Macfufu. Elle peigne ses cheveux rebelles avec ses doigts, vérifie dans un miroir qu’elle est présentable. Quand la tantine se déplace de côté pour laisser découvrir l’apparence de Justine Misopoing…

C’est un bébé ! S’offusque Harper le nez froncé mi-surprise, mi-dégoutée. Elle aurait pu être mon élève ! Il est hors de question qu’une petite fille en couche culotte signe un roman aussi brillant.

A son âge, Harper rêvait encore de grandeur en s’enivrant dans les bars à grand renfort de fêtes étudiantes. Alors, le professeur de Sortilège étire la poche de son pantalon rendu élastique par un sort d’extension pour y enfouir son ouvrage. Diantre, un peu de fierté ! De toute façon, plus personne n’utilise le sortilège des jambes en guimauve. Haussant les épaules, elle masque sa fierté derrière une expression de dédain puis tourne son attention vers Aiko :

Tu invites vraiment n’importe qui ! S’offusque-t-elle en s’appuyant sur le stand recouvert de livres le plus proche.Quelles sont les bonnes nouvelles ? De l'hippogriffe au sombral.Voilà un bon moment qu’on…

A proximité d’Aiko, Harper respire profondément puis s’accorde un instant pour réfléchir. Elle renifle à nouveau puis se rapproche d’Aiko.

Hmm… fait-elle en l’observant. Tu sens l’homme, déclare-t-elle.

En vérité, tout ceci n’est qu’une immense mascarade. Harper ne détecte aucun parfum. Par contre, Abigail lui a belle et bien raconté que sa cousine entretient une amourette avec un nouveau prétendant, possiblement son futur cavalier pour participer à leur mariage au mois d’avril. L’occasion est trop bonne pour ne pas tenter de découvrir de qui il s’agit. C’est qu’elle pourrait le connaître. Ou pas. Et puisque finalement l’auteure s’avère « intéressante », autant occuper son temps à des choses importantes.
Qui…
… Est…
…t-il ?

Sans commune ne mesure ni gêne elle vient renifler Aiko de près (elle a déjà vu Abichien faire ça plusieurs fois).

Mes sens ultradéveloppés ne me trompent jamais. Grand… beau… mystérieux…

Sacré Harper Auburn presque Macfusty.
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Anonymous
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Mar 8 Mar - 22:51
Viens donc faire signer ton ouvrage.Ft Harper
Je souris à ma cousine par alliance, enfin ma future cousine, mais on s’en fiche bien de savoir si elle l’ai ou si elle le sera. Dans mon cœur elle l’ai déjà ( et officiellement aussi, même si je ne suis pas au courant de la fourberie, heureusement, car je pourrais en vouloir a Aby de ne pas m’avoir mise dans la confidence de leur mariage à Vegas). Elle ne tarde pas à me saluer et je lui sourit encore plus. Devant moi, Harper a rajeunie d’un seul coup, j’ai l’impression d'avoir un enfant qui est impatient d'ouvrir son cadeau de noël et c’est tellement beau a voir. Un flot de question jaillit alors de sa petit bouche.

« Bien-sûr que je lui ai parlé de toi, elle est ravie de pouvoir faire ta connaissance.» J’observe le petit feutre que la jeune femme me montre avant de reprendre.

« Tu as bien raison, la tienne sera unique en son genre.» Conclut-je alors bien plus calmement que la sorcière face à moi, ont peut sentir l’excitation dans sa voix. Je connaissait la passion d’Harper pour les anciens sortilèges et c’est donc dans un optique de lui faire plaisir que j’avais convié Justine a une séance de dédicace en lui parlant de la directrice de Gryffondor, elle était ravis de pouvoir la rencontrer et d'échanger avec elle. J’observe en silence ma future cousine par alliance qui finit son café qu’elle avait dû prendre à emporter? N’était-elle pas au courant que j’aurais pu lui faire un bien chaud dès son arrivée dans la boutique ? Apparemment pas. Le gobelet se retrouve alors froissé et jeté dans la poubelle proche de nous. C’est un panier à trois points, bien joué par Harper, tu es digne d’un joueur de basket moldu. A cette réflexion interne j'étouffe un petit rire, puis je regarde la jeune femme s’offusquer de l’âge de l’autrice.

« Tu n’étais pas au courant de son âge ? Ce n’est pourtant pas un secret.» Je crois que je suis aussi surprise que la brune pour le coup. Mais pas pour la même chose, je pensais vraiment qu’elle était au courant que l’écrivaine était plutôt jeune. Légèrement plus jeune que nous, pas de beaucoup. Mais apparemment assez pour surprendre.

« Ton élève ? Elle a à peine cinq ans de moins que moi.. Et pourtant ce roman brillant comme tu le dit et bien d’elle. C’est vraiment dommage, tu loupe quelques chose..» Conclus-je en la regardant ranger son ouvrage dans sa poche. Puis sa phrase me fait ouvrir de grands yeux, non mais.. Ce n’est pas n’importe qui et je pensais vraiment te faire plaisir, pensais-je.

«Je.. J’invite n’importe qui ? Tu te fous de moi ? C’est une super autrice, peu importe son âge. » Puis la voilà qui change de sujet.. Je soupire et change de sujet a mon tour, de toute façon j’ai bien l’impression que je n’aurais pas raison et je n’ai aucune envie de me prendre le bec avec elle. Alors que je m’apprête à lui répondre, elle me sort que je sens l’homme, j’hume alors l’air.. Je n’en ai pourtant pas l’impression.. Ou alors l’odeur d’Aaron est bien ancré dans ma tête et je ne m’en rend même plus compte ? MAINTENANT ELLE ME RENIFLE. Mon dieu, par merlin.. qu’ai je fait pour mériter ça aujourd’hui ?

« Qui te dit que ce n’est pas une femme ? Avoue qu’Aby ta parler ? Car je ne sens que mon parfum a l’heure actuelle. Puis de toute façon tu ne semble pas savoir qui sait. Tu le découvriras en même temps que tout le monde.» J’essaie.. On verra bien.
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Harper MacFusty
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Lumos
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Jeu 17 Mar - 21:09
Viens donc faire signer ton ouvrage
Il existe deux sortes de livres qu’Harper Auburn aime ouvrir : les manuels de sortilèges pour l’aider à se sortir des situations délicates (et franchement, cette méthode lui a toujours été favorable) et les livres avec image, seulement avec image, toujours avec image, avec SURTOUT des images, éventuellement accompagnées de leurs petites annotations écrites en gras. Lorsqu’elle a eu vent du bestseller de Justine Misopoing (sur les clichés trop pâles d'une love story ça c’était au cas où la chanson t’était sortie de la tête) Harper a quitté sa zone de confort pour toucher à la nouveauté : un livre SANS images de plus de cent pages, écrit en tout petit en plus ! Une lecture qu’elle a appréciée si bien que le roman fut dévoré en moins de trois jours. Mais cela, elle ne l’avouera pas. Quelle aubaine qu’Aiko organise justement une séance dédicacée. Elle pourra rencontrer son idole du moment…

Bien-sûr que je lui ai parlé de toi, elle est ravie de pouvoir faire ta connaissance.
Harper est aux anges, frappant dans ses mains de satisfaction. Voilà qu’elle dégaine son feutre officiel de super dédicace, juste sous le nez d’Aiko.

Tu as bien raison, la félicite-t-elle, la tienne sera unique en son genre. Evidemment : Harper Auburn EST unique en son genre. Sans vouloir la vanter en tout humble modestie sans orgueil ni parti prix. Pirouette de joie. Rencontre avec le visage de l’écrivaine. Dear lord. Chute émotionnelle puissance mille, niveau « les sous-sols de la déception ».

Tu n’étais pas au courant de son âge ? Ce n’est pourtant pas un secret. Harper se renfrogne, grogne et change subitement d’avis : il n’existe plus d’idole du moment. Ton élève ? Elle a à peine cinq ans de moins que moi… Et pourtant ce roman brillant comme tu le dis et bien d’elle. C’est vraiment dommage, tu loupes quelque chose. Tout en se désintéressant de la conversation, Harper fronce le nez, tordant sa bouche pour éluder un « gna gna gna » certain. Parfois, c’est à se demander de quel côté Aiko est. Le sien ou l’autre. Je.. J’invite n’importe qui ? Tu te fous de moi ? C’est une super autrice, peu importe son âge. Cette conversation est terminée. Harper met en scène ses talents de chiens renifleurs.
Elle.
Doit.
Savoir.

Imaginez qu’elle rentre à Soay avec L’Information numéro un ! Par tous les lords, les saints et les autres. Abi l’admirera tellement qu’elle lui fera un enfant sur le champ.

Qui te dit que ce n’est pas une femme ?
Une femme qui sent l’homme ? Répond Harper, un brin de malice dans la voix. Pfff ! A d'autres !
Avoue qu’Aby t'as parlé ? …
On se parle tous les jours ! Intervient Harper en lui coupant la parole. Mais Aiko continue dans sa lancée, bien décidée à brouiller les pistes.
… car je ne sens que mon parfum a l’heure actuelle. Puis de toute façon tu ne sembles pas savoir qui sait. Tu le découvriras en même temps que tout le monde.
Harper Auburn n'est pas tout le monde. L'a-t-elle déjà oublié ?
C’est bien connu qu’on s’habitude aux odeurs, si bien qu’on ne les sent plus. Tandis que moi, je ne sens que de nouvelles odeurs sur toi.
Elle esquisse un sourire diabolique, se saisissant d’une paire de lunettes trouvée dans un coin pour les mettre sur le bout de son nez, histoire de se donner un air plus intello, plus scrutateur.
Hey c’est à moi ! Râle une sorcière replète.
Vous n’en avez pas besoin là pour surveiller votre marmot ?! Ne gâchez pas mon effet. Je vous les rends plus tard, réplique Harper agacée. D'un geste de la main elle congédie la cliente qui hausse les épaules pour rejoindre son marmot sans broncher en marmonnant Sont bizarre les gens.

C’est peut-être juste ton nouveau look qui sent ça. Tout ça. Toutes ces nouvelles odeurs. D’homme. Ça colle à la peau hein ?  T’aurait dû choisir une femme. Les odeurs se ressemblent, on ne fait plus de distinction et…

Elle retire les lunettes l’empêchant de voir correctement pour plisser des yeux en inspectant le sweat à capuche d’Aiko plus en détail. Cette fois-ci, ce n’était plus de la comédie. Mais entre la vérité et la comédie, Harper a toujours les mêmes expressions, il est impossible de faire la différence.
J’ai déjà vu ce sweat quelque part. Oublie le parfum c’était faux, j'ai menti, concède-t-elle, tu sens vraiment la femme. La femme avec un pull d’homme désespérément trop grand pour elle.

Détective Auburn à votre service ! La femme replète revient vers elles.

Tenez vos lunettes, ne vous inquiétez pas je les ai nettoyés.
Sacré Harper. Merci pour le prêt.
Avec plaisir, bonne journée mesdemoiselles, chantonne la cliente en s’éloignant vers la porte d’entrée sans être offusquée le moins du monde d’avoir confié à une inconnue pendant quelques minutes un bien qui lui appartient à

Nous disions donc, reprend Harper en concentrant tout son sérieux dans son intonation, d’où vient ce pull ? Imagine que je réussisse à trouver de quel magasin il provient… il me suffira de quelques sortilèges pour obtenir une base de données client. Avec un peu de chance, le monsieur en question possède une carte fidélité. Ce qui suggère que le magasin dispose de ses coordonnées. Hormis si c’est un magasin sorcier, ce sera encore plus facile. Les vendeurs ont la langue si bien pendue… ça va être un jeu d’enfant, fanfaronne Harper en frappant de nouveau dans ses mains de contentement.

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Anonymous
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Mer 18 Mai - 2:12
Viens donc faire signer ton ouvrage.Ft Harper
Les livres, plus qu’une passion, depuis ma tendre enfance, j’adore lire, mais aussi écrire, si tu viens chez moi, tu pourrais trouver des calepins avec des débuts d’histoire, ou parfois une complète, mais je ne les juge jamais assez bonne pour les proposer à l'édition. Mais ça personne n’est au courant, car je prend bien soin de les dissimulées. Mais je m’égare, revenons à nos hippogriffes. C'est-à- dire dans la boutique face à mon effroyable future belle cousine (Je te nem fort)  qui veux savoir si j’ai un homme dans ma vie. J’apprécie énormément Harper, mais la j’avoue qu’elle est TRÈS légèrement envahissante.

« Oui une femme masculine qui porte des parfuns et des vêtements masculin, ca exsite.. Puis je te le répète, je ne sens que mon parfum.»

Elle persiste.

« Tu ne me vois pas assez régulièrement Harper, donc tu ne peux pas savoir si c’est un nouveau parfum, ou si c’est celui que je porte habituellement, puis tu as le souvenir des odeurs toi ?.» Et bam, que va t elle trouver pour me répondre.Je la regarde saisir une paire de lunette et je ne peux m'empêcher de lâcher un petit rire. Pauvre dame.. Attaquée par une harper qui ne veut pas en démordre.

« Je te dis que je n’ai pas d’homme dans ma vie, ce n’est pas parce que j’ai un haut qui fait légèrement masculin que je suis automatiquement avec un homme. Tu m’épuise harper, je t’aime bien, mais tu m’épuise..»

Elle change alors de direction, merde, elle a reconnue le sweat, c’est vrais qu’elle connait bien Aaron, elle aurait très bien pu l’avoir vu quelques jours auparavant avec ce même haut, cela me met dans de beaux draps..Je pense que ca se remarque legerment, car j’ai du faire une sale grimace a l’entente des mots de la jeune femme. Je soupire tandis que la sorcière rend ses lunettes à la cliente.

«Tu es complètement taré ma belle.»
Petit, gros rire nerveux. Le pire c’est que je la sais capable de faire des recherches pour savoir d'où il vient. Mais si je lui avoue qu’il est a Aaron, alors que je ne sais pas ou ca en est entre nous deux, même après onze année de plan cul plus ou moins régulier. Je ne peux pas en parler tant que je n’en suis pas sur moi même. Je l’observe, ont peut voir que je n’ai plus de balles dans mon arme pour lui répondre, vite une recharge.

Je ne peux décidément pas lui dire, sans savoir moi-même, et voilà que sans rien dire elle arrive a torturé mon esprit. Je suis dans la merde..

«Que veux tu que je te dise, j’ai quelqu’un en effet, mais je préfère taire son nom, car je ne suis pas sûr que c’est réciproque.. Ont s’entend bien sur l’oreiller mais je ne sais pas plus.. » J’avais murmuré les derniers mots pour pas que ma mère, qui n’était pas si loin de nous deux entende ce que je venais de dire et ne décide de me marier dans les mois qui suivent.

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Harper MacFusty
Harper MacFusty
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Lun 13 Juin - 22:08
Viens donc faire signer ton ouvrage
Dans les couloirs de Poudlard, Harper Auburn aime faire deux choses : premièrement, ignorer les élèves, particulièrement ceux posant des questions techniques d’un niveau assez avancé pour l’obliger à faire un détour par la bibliothèque pour se renseigner. Deuxièmement, tendre l’oreille pour écouter les ragots. Marcher les yeux fermés avec les oreilles grandes ouvertes, voilà un passe-temps glorifiant. Ces temps-ci, les rumeurs ne sont pas très attrayantes, hormis que deux professeures vont se marier. C’est qu’elle le sait déjà, voyez-vous, et le but de l’exercice est de capter des informations croustillantes qu’elle ne connaît pas. Aujourd’hui, elle serait capable de débourser cent gallions pour connaître la réponse à sa question : qui – est – t- il ? Harper fait bien de s’obstiner, parce que si Aiko lui donnait la réponse tout de suite, Harper n’en reviendrait tellement pas qu’elle jetterait cent pièces d’or supplémentaires. En vérité, Aaron et Harper ne se sont pas revu depuis quelques semaines. Après la réception de son hibou d’invitation, ils avaient fêté les fiançailles en bonne et due forme dans un bar mal famé de l’allée des embrumes, en souvenir de leur première et dernière mission pendant leur formation d’Aurore. Connaissant bien Aaron et, connaissant peu Aiko, elle ne se doute pas un seul instant que l’inconnu qu’elle cherche à découvrir est son ami de longue date.
Quoiqu’il en soit, le manège d’Harper, aussi désopilant, navrant et agaçant soit-il, réussi à dérouter la libraire. Intérieurement, Harper s’en félicite, prête à pousser le bouchon un peu plus loin, jusqu’à l’autre bout de la rue s’il le faut. Rappelons que, si Harper persiste à découvrir l’homme mystère, Aiko, elle, persiste à le cacher. Qui est la plus têtue des deux, on se le demande ?! Et c’est qu’elle résiste bien, malgré les coups de théâtres de sa future cousine, Aiko avance des arguments assez solides bien que ressemblant plus à de la justification qu’une argumentation. Ses paroles lui rappellent une chanson qui s’immisce dans son esprit :
Une fille au masculin. Un garçon féminin.
A l’évidence, elle n’a jamais saisi un traitre mot de cette chanson. Harper sourit niaisement à ses élucubrations mentales, s’apercevant soudainement qu’elle avait perdu le fil de la conversation.

« Pardon, tu disais ? Vous parlez sur l’oreiller ?  Ah ! Les relations pleines d’ambiguïté, je t’aime moi non plus, je t’aime mais je ne sais pas si je t’aime… désolée c’est trop compliquée pour moi. Cela dit, dommage que tu ne me parles pas de lui parce que nous sommes entre cousine, j’aurai pu te donner des conseils .
Harper secoue la tête d’un air important, lui adressant un clin d'oeil complice, ignorant totalement que Justine Misopoing (sur les clichés trop pâles d’une love story) s’approche des deux femmes à pas feutrés pour remercier Aiko comme il se doit, ravie de son invitation à la librairie.
- Je prends une petite pause. La foule de client s’est tarie.
Harper lève les yeux aux ciels. C’est qu’en plus, elle a la grosse tête.
- Je ne te remercie jamais assez pour cette aubaine. Le public est au rendez-vous, l’endroit est merveilleux.
Elle carbure au miel d’assouplissant ou bien ?
- Nous n’avons pas eu l’occasion d’être présenté, lance Justine à l’adresse d’Harper. Pourtant, j’ai l’impression de vous avoir déjà vu quelque part.
Gilderoy Lockhart n’aurait pas fait mieux.
- Je ne vous ai jamais vu, réplique sèchement Harper en toisant l’écrivaine de haut.
Et c’est agacée qu’elle sort de sa poche de pantalon extensible une barre chocolatée dans laquelle elle croque sous le nez de l’autrice complètement désabusée par le comportement de la jeune femme. Mais Justine ne se laisse pas facilement démonter, lui tendant sa main droite avant de se présenter :
- Je m’appelle Justine Misopoint, je suis autrice, ravie de vous rencontrer, miss ?
Elle se la pète vraiment. Ça fait combien de fois qu’elle répète qu’elle a écrit un livre déjà ?
- Auburn, Harper Auburn, professeur de sortilège à la glorieuse école de Poudlard.
Ça va lui en boucher un coin ça tient !
- Je ne connais pas, j’ai étudié à Beauxbaton.
Quel profond dédain ! Harper ne bronche pas bien qu’elle connaisse son collègue français qui enseigne la même matière. Cependant, elle consent à serrer la main de Justine, tout en mâchouillant sa barre chocolatée.
- Quelle chance avais-je de rencontrer un professeur de sortilèges, le jour où je dédicace mon roman tournant autour des fascinants sorts et enchantements ?
Ces gens qui en font trop… c’est écœurant.
- C’est ma future cousine, répond simplement Harper pour justifier de sa présence dans la librairie en désignant Aiko de la tête ».
Bonne chance Aiko pour la suite.

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Anonymous
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Mer 13 Juil - 11:14
Viens donc faire signer ton ouvrage.Ft Harper
"Oui nous parlons parfois sur l'oreiller. Mais tu n'auras rien de plus a te mettre sous la dents, ma chère et tendre cousine."


Je ne fais même pas attention au clin d'œil complice que le professeur de sortilège m'adresse. Dés conseils, je n'en ai pas ou peu besoin. Tout du moins je ne pense pas en avoir besoin. Tiens voilà qu'elle va me mettre le doute sur ce que je veux ou ne veux pas. Justine décide de me venir en aide sans le vouloir et s'approche de nous , je lui adresse alors un sourire, de remerciement ? Probablement. Elle nous explique rapidement qu'elle va prendre une petite pause, j'en profite et saute sur l'occasion pour lui proposer un verre. Désolée ma petite Harper, mais la conversation sur Aaron prend fin maintenant. Tu n'auras rien de plus a te mettre sous les chicots aujourd'hui.

"Justine, Puis-je te proposer un verre de quelques choses ? Du thé, un café, du jus de citrouille. "  Demandais-je aimablement à notre autrice du jour. Mais la sorcière reprend immédiatement la parole, me remerciant de l'aubaine et m'indique que le public est au rendez-vous. Ce que j'ai pu apercevoir durant la rencontre? Même si tout les clients ne sont pas venu pour la dédicace, j'ai eu pas mal de monde et de vente. La journée à été productive pour toutes les deux. La boutique avait désemplie depuis quelques minutes, une raison de plus pour prendre une petite pause revigorante.

"_ Je prendrais bien un jus de citrouille, sil te plait ?" Puis elle se tourne vers ma futur cousine, afin de ce présente a elle. J'en profite pour m'éclipser tout en les observants du coins de l'œil. En effet, j'avais mis un petit présentoir pour les liquides et un pour les gâteaux.

Harper répond alors sèchement à l'autrice c'est donc à ce moment que je décide de revenir vers les deux sorcières. Je tend mon verre de jus de citrouille a Justine, tout en regardant la scène se dérouler devant moi. L'autrice ne se laisse pas démonter, Harper quant a elle ne tarde pas a ce présenté aussi. une conversation a l'air de naître entre les deux.. Je dit bien a l'air.. Car ce n'est clairement pas gagner. Ou est la Harper qui a fait éruption dans ma boutique, toute folle de joie à l'idée de rencontrée Justine. Elle n'est clairement plus présente, c'est bien dommage.  

L'autrice ne ce démonte toujours pas, et j'avoue que ce combat de coq est plutôt intéressant et marrent a voir. Je reste spectatrice, mais je ne peux m'empêcher de sourire. Harper, fini par conclure qu'elle est la seulement car je suis sa cousine. MENTEUSE.

Si je le voulais, je pourrais très bien dire a Justine que la jeune femme est l'une de ses plus grande fan.. Mais je ne veux pas créer d'emmerde entre la fiancer d'Aby et moi même.

La porte de la boutique s'ouvre et la clochette retentie, Justine me remercie une nouvelle fois pour le verre et repart vers son poste. Je me tourne ensuite vers Harper et la regarde dans les yeux.

"C'était quoi ça ?" Demandais-je tout simplement à la jeune Auburn, ont aurait pu croire que je  la remettait en a ca place, mais je voulais juste savoir pourquoi elle avait eu un tel comportement. La prochaine fois je ne la préviens pas et je lui fait signée son ouvrage moi-même.
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Harper MacFusty
Harper MacFusty
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Ven 5 Aoû - 15:40
Viens donc faire signer ton ouvrage
Rien ne pourrait entâcher la bonne humeur de Justine Misopoing. C'est le coeur au bord des lèvres que l'auteure détourne les talons pour retourner à son poste de dédicace. Une fois assise, elle dépose avec minutie son gobelet de jus de citrouille dans un coin de table avant de décocher un sourire solaire en direction des cousines Aiko et Harper. Une mère de famille, acompagnée d'une adolescente, tendent un ouvrage découvrant la première page pour permettre à Justine d'y apposer ce genre de petits mots intimes que les fans chérissent tant. L'attention de l'écrivaine de distraite, Aiko relance la conversation propulsée avec une véhémence bien dissimulée.
« C'était quoi ? Répète bêtement Harper.
N'ayant pas compris le sens de sa question, elle lance des regards interrogateurs à divers endroit de la librairie comme s'il fallait y trouver quelque chose.
- Quoi, quoi ? Interroge-t-elle, incrédule.
Ne comprenant pas de quoi il en retourne, Harper hausse les épaules avant de se servir du jus de citrouille. Le chocolat, ça déssèche la gorge. Ses pupilles brunes croisent les yeux claires de Justine Misopoing. Pourquoi faut-il que les gens, en plus d'être brillants, soient affublés de deux beaux yeux bleus éclatants ? La nature est aussi injuste qu'impitoyable, tout le monde le sait. Avant que son esprit ne s'illumine pour apporter une réponse au questionnement d'Aiko, les rumeurs d'une conversation entre la mère de famille aux belles boucles rousses et sa fille au visage parsemé de tâches de rousseurs, parviennent à leurs oreilles.
- Anciennement, on utilisait le sortilège Pare-obstacle, explique Justine de sa voix douce. Il avait pour formule Ingrata Jinx, transformée en impedimenta, l'actuel sortilège d'Entrave. Je n'ai pas réussi à en trouver la raison. Mais peut-être que le professeur Auburn ici présente pourra éclairer nos lanternes.
Elle buvait une goulée de jus de citrouille, le nez planté dans son gobelet lorsque l'étendue de l'assistance pivote dans sa direction. Harper ouvre des yeux ronds, froissant le gobelet désormais vide.
- Connaîtriez-vous la réponse, Miss Auburn ? Reprend aimablement Justine.
Dans d'autres circonstances, Harper aurait juré que la gamine cherche à la piéger. Mais non seulement elle connait la réponse mais, qui plus est, ce genre d'informatione est facile à trouver, et Harper se demande bien pourquoi Justine fait mine d'ignorer la réponse. Est-ce un piège ? Une fourberie ? Une méchanceté ? Après tout, c'est une née-moldue originaire de France, elle pourrait très bien être restée coincée dans les pensées moyen-âgeuses en ayant une dent contre les anglais.
- Ingrata Jinx entravait seulement les mouvements de objets, répond Harper avec prudence, l'oeil suspicieux. Autrefois, nous utilisions deux formules : l'une pour les objets, l'autre pour les êtres vivants.  Mais le Motus Jinx fonctionnait mal sur certaines morphologies imposantes, d'ailleurs impossible d'utilisation sur des bestiaux tels que les hippogriffes. La formule Impedimenta à été spécialement créée au VXe siècle dans un conflit opposant les sorciers aux géants.
L'étonnement se dessine sincèrement sur le visage de Justine.
- Je ne connaissais pas ce détail, avoue-t-elle. Comment avez-vous obtenu cette information ?
- Elle est disponible dans toutes les bibliothèques, réplique nonchalament Harper, agacée par son petit manège.
- Je voulais dire, reprend Justine aux joues rougissantes, les raisons de la création du sortilège d'Entrave ? J'en connaissais la date et les anciennes formules, mais pas les faits historiques.
- J'ai appris ça en Irlande, raconte Harper.
Justine pose sur une photo avec l'adolescente et sa mère, avant de se ruer vers Harper. Qu'est-ce qu'elle peut être agacante, celle-là !
- Pourquoi en Irlande ? Demande-t-elle. Je veux dire, dans quel établissement avez-vous obtenu ces informations.
- On me les a raconté, dit mollement Harper.
Elle commence sérieusement à s'ennuyer. Justine est inintéressante et veut décidément trop faire son intéressante tandis qu'Aiko n'est pas décidée à lui révéler l'identité de son mystérieux amant. Harper sait reconnaître une défaite lorsque c'en est une. Mais l'auteure n'est pas décicée à lui lâcher la grappe.
- Dans la ferme au bois ? Questionne Justine.
Harper se fige.
- Comment sais-tu cela ? Demande Harper, interloquée.
- Je connais votre collègue de Beauxbâton, explique Justine. L'an passé, par le biais d'un hibou, il vous a questionné sur les coeurs de baguettes. C'était l'une de mes requêtes, et vos lumières m'ont aidé à enrichir mon ouvrage. En cela, je vous remercie, professeur Auburn.
ALORS CELLE-LA LORQU'ELLE VA LA RACONTER A ABI ! Tout à coup, ça change tout : Harper regarde Justine sous un nouvel angle.
- Fallait le dire tout de suite ! S'exclame-t-elle, ravie.
Sans attendre plus longtemps, elle bouscule la foule pour déposer son exemplaire de "Si ma tante en avait" sur le bureau de Justine. Elle lui tend son mangifique feutre biseauté avec lequel Justine dédicace :
Pour le professeur Auburn, parce qu'elle m'a inspiré, avec toute mon affection, Justine M.Aux anges, Harper entame un nouveau genre de conversation :
- Je suis ravie de vous rencontrer ! J'ai particulièrement apprécié le passag où...
Et elle se lance dans un long monologue d'appréciation approuvé par le client suivant par un hochement de tête à chacune de ses remarques.
- Vous avez donc rencontré ma cousine, Aiko ? Finit-elle par dire. C'est ma cousine préférée.
La seule en vérité puisque, de son côté, Harper n'a ni oncle ni tante.
- Elle a un nouvel amoureux mais elle ne veut pas le raconter. Cela peut éventuellement faire le sujet de ta prochaine intrigue.
- La jeune fille amoureuse sous l'emprise de l'impérium qui ne voulait rien révélé, récite le client dans un élan d'imagination.
Harper frappe dans ses mains comme s'il venait d'avoir l'idée du siècle tandis que le rire cristallin de Justine résonne dans un gloussement amusé.
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Lun 15 Aoû - 18:59
Viens donc faire signer ton ouvrage.Ft Harper
"C'était quoi ?» Répète la professeur a mon encontre, elle se fout clairement de ma tronche la ou j'hallucine ?

«- Quoi, quoi ?» A non je crois qu’elle n’a pas compris ce que je voulais dire par la … J'allucine, quelle blonde par moment, non pas que toutes les blondes sont perchées, mais vous connaissez la référence non ? Laissez tomber, moi je l’ai et c’est tout ce qui compte.

«Ton comportement..» Soufflais-je alors à ma future cousine. Je n’en revenait pas que l’ont puisse être ainsi et se comportait ainsi. Mais justine n'avait, elle, pas dit son dernier mot. Alors qu’elle répondait à une cliente, sur un sortilège. J'avoue avoir décroché quelques secondes après le début, elle demande si Harper connaît la réponse à son interrogation. Je décroche encore plus, les laissant échanger ensemble. Je retourne à mon comptoir puis une phrase attire mon attention. Harper parle de moi.              

«- Vous avez donc rencontré ma cousine, Aiko ?» Elle marque une pause avant de reprendre.

«C'est ma cousine préférée.»Puis elle poursuit.

«- Elle a un nouvel amoureux mais elle ne veut pas le raconter. Cela peut éventuellement faire le sujet de ta prochaine intrigue.» Un client enchérie alors, ce qui a le don de me faire sourire.
«- La jeune fille amoureuse sous l'emprise de l'impérium qui ne voulait rien révélé» Harper est pas mal dans le genre, mais je ne dirais rien de plus, même si elle faisait en sortent que toute la boutique soit au courant de mon aventure avec Aaron, elle n’aurait pas la réponse sur qui était le jeune homme. Je le lui dirais à elle et à Aby quand je serais prête. C'est-à- dire, pas aujourd’hui.  Mais la situation, en plus de me faire sourire, fait rire Justine, un rire qui devient vite très communicatif et me voilà moi aussi prise dans un petit rire.

«Ta cousine préférait quand tu avais envie de savoir quelque chose ma chère Harper, mais malheureusement pour toi, je ne dirais rien. Tu seras au courant en temps voulu. Point final, et pour le futur livre, si vous faites cela je prendrai des droits, vu que c’est fortement inspiré.» Conclut-je, tout en adressant un large sourire à Justine, le client et ma tendre cousine par alliance. Je ne vais tout de même pas les laisser prendre mon histoire sans rien dire. Non mais oh !  

Puis une fois que Harper en eut fini avec l’auteur ou du moins pour le moment, je l’interpelle.

«Chère cousine, je suis sur que cela t'a donné soif, souhaite tu que je te prépare un thé ou quelque chose dans le genre ? » Conclut-je en lui adressant un tendre sourire,
«Parle moi D’Aby, ça fait longtemps que je ne l’ai pas vu comment va-t-elle ? » J’avais de temps en temps des nouvelles par hibou bien sûr, mais je voulais détourner Harper de son objectif premier, c’est a dire ma relation avec la sorcière à la chevelure brune.

«AHHHHH, et j’ai des livres pour toi ! » Dis-je alors en fonçant vers la réserve ou j'avais mis de côté des vieux ouvrages sur les sortilèges et autre babiole qui pourrait plaire à ma tendre cousine par alliance. Maintenant qu’elle faisait partie de la famille, elle devait être traité comme, et les membres de ma familles avait  des livres gratuits sur ce qui les passionne ou sur leurs boulot, je fait en fonction des envie et des métiers, puis je ne veux pas me vanter, mais je suis une pro pour trouver et troquer de vieux grimoire.

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Mar 23 Aoû - 7:27
Viens donc faire signer ton ouvrage
Son comportement ? Quel comportement ? Justine est une gamine à l’air hautain additionné d’une double face de madame je-sais-tout, pleine d’orgueil et…. Il est bon ce jus de citrouille, vous ne trouvez pas ? Orgueil et double face, c’était avant qu’Harper ne s’aperçoive que la jeune femme en savait pas mal sur son compte. Assurément, Justine devait être une de ses Serdaigles à la sauce Beauxbaton, toujours au premier rang au cas où le professeur soulèverait un point nécessitant un bras levé pour poser d’interminables interrogations. Quoiqu’il en soit, la jeune auteure a de la réserve, car c’est sans transition qu’Harper change d’avis à son sujet, flattée d’avoir contribué, sans le savoir, à un ouvrage qu’elle avait férocement dévoré. Sans nul doute, la talent d’Harper n’est pas apprécié à sa juste valeur. Heureusement qu’un client au visage rayonnant est là pour la soutenir. Tandis que celui-ci se penche pour murmurer discrètement à Justine l’étendue de ses autres idées pour « le livre », l’attention d’Harper se tourne vers sa future cousine.
« Je prendrais un café, merci, lui répond-t-elle en s’assurant qu’il y a du sucre sur la table. Abigail va bien, les préparatifs du mariage avancent, nous recevons beaucoup d’aide, forte heureusement. Entre le travail à l’école (les cinquièmes et septièmes années sont particulièrement tendus) et les obligations d’Abigail, le temps passe vite et la date se rapproche. Et toi, comment ça va… ?
Aiko l’interrompt pour se ruer dans la réserve dont elle ressort les bras chargés de livres. Avec intérêt, Harper scrute les ouvrages en les faisant tourner entre ses deux mains. Certains paraissent relativement ancien, voire très ancien, même carrément très vieux. Un grimoire aux allures défraichis sent particulièrement le moisi. Le titre a disparu de sa couverture crasseuse, et en le feuilletant, Harper constate qu’il manque plusieurs pages. Un autre livre semble être un ancien manuel utilisé à l’école de Dumstrang. A chaque fois qu’on l’ouvre sur la première page, celui-ci prononce un mot dont les syllabes à son oreille sont impossibles à découper. Un petit garçon aux grandes lunettes s’approche pour déclarer :
« C’est du Bulgare. Ca veut dire bonjour. ».
Logique, quand on reconnait le saut d’école de magie bulgare apposé sur la couverture.
« Où est-ce que tu as dégoté tout ça ? Demande Harper avec intérêt.
Elle s’assoit sur la première chaise qu’elle trouve pour repérer d’intéressantes images dans le manuel bulgare. A priori, il fut un temps, on apprenait aux élèves de Dumstrang des sortilèges pas très catholiques, si vous voyez ce que je veux dire ?
- Ils conservent tous leurs ouvrages précieusement. Quelqu’un n’a pas dû s’y plaire… ».
Elle hausse les épaules et se saisi d’un autre ouvrage. La couverture de celui-ci est ancienne mais en bonne état, comme s’il n’avait pas beaucoup été ouvert. Une sangle violine le maintien solidement fermé, et Harper ne parvient pas à l’ouvrir avec ses doigts.
« Alohomora ».
Rien ne se passe.
« Finite incantatem ».
"Ouvres-toi livre ".
Rien ne se passe de plus, mais il fallait essayer. Sur le livre, il n’y a pas de titre, seulement une inscription écrite en italique en bas de la couverture : Ouvrez-moi si vous en avez besoin. Parlez « ami » et je m’ouvrirai. Justine, dont la file d’admirateur venait de se réduire, se rapproche des deux femmes avec intérêt. Au vu des quelques symboles dessiné sur la couverture, on penserait à un livre sur les arts divinatoires.
« C’est une blague ? Lance Harper.
Elle n’allait tout de même pas prononcer un mot dans une langue inventée par un moldu ? Au vu de l’état de la couverture, l’ouvrage doit être bien plus ancien que JRR Tolkien. A moins que celui-ci était en réalité un sorcier ? Vérifiant qu’il n’y avait qu’Aiko et Justine pour l’entendre, elle prononce à voix basse :
« Mellon ».
Rien ne se passe. Evidement que rien ne s’est passé ! Non seulement Harper rage que ce livre reste fermé mais en plus, elle se sent particulièrement idiote.
« Et si nous parlions entre ami pour l'inciter à s'ouvrir ? Propose Justine, surexcitée face à ce nouveau défi.
Harper approuve. Il faut tout essayer. Sans nul doute, cette séance de dédicace tourne à l'aventure.
- De quoi pourrions-nous parler ? Par exemple, Aiko, quand as-tu rencontré ton mystérieux amoureux ?"
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Lun 12 Sep - 16:38
Viens donc faire signer ton ouvrage.Ft Harper
"Je prendrais un café, merci ».  Répondit ma future cousine par alliance.

« Abigail va bien, les préparatifs du mariage avancent, nous recevons beaucoup d’aide, forte heureusement. Entre le travail à l’école et les obligations d’Abigail, le temps passe vite et la date se rapproche. Et toi, comment ça va… ?».

Me répondit-elle avant que je ne fonce vers la reserve pour en revenir avec des vieux livres et autres trouvaille pour la jeune femme, je les lui dépose et repart lui servire un café avant de revenir quelques secondes plus tard avec un café bien chaud pour la professeur !

«Tu l’embrasseras pour moi si tu veux bien, ca va ecoute, la boutique tourne bien, le boulot se passe bien, que demander de plus ! Puis je fais une heureuse en ramenant des livres d’un peu partout pour toi et les autres. Je dois dire que ça va ,niquel.».

« C’est du Bulgare. Ça veut dire bonjour. ».  J'acquiesce à ce que dit le garçon et Harper me demande ensuite.

« Où est-ce que tu as dégoté tout ça ?» Je lui adresse un merveilleux sourire avant de reprendre la parole, je sans dans la question tout l'intérêt qu’elle porte à la réponse.

«J’ai une connaissance qui me devait un service, du coup voilà j’ai déniché quelques ouvrages dont un en bulgare, c’est un vieux manuel, mais je me suis dit qu’il te plairait probablement et je ne pense pas m’être trompé.»

«- Ils conservent tous leurs ouvrages précieusement. Quelqu’un n’a pas dû s’y plaire… ».

«J’ai mes sources, et des personnes plutôt bien placer la bas.. J’espère qu’il fera ton bonheur , tout comme les autres.».

Ensuite j'observe la jeune sorcière essayer d'ouvrir un autre livre, j'avais rencontré le même problème et je n'ai jamais eu l'occasion de réussir l'exploit de l'ouvrir, je me suis dit qu'elle y arriverait probablement plus vite que moi. Mais ce ne fut pas le cas.

Justine qui n'était pas très loin propose alors que nous parlions pour inciter l'ouvrage a dévoilé son contenu. Nous pouvions remarquer de l'excitation dans sa voix, ce qui me fit sourire. J'étais heureuse sur le défis donne autant envie à Justine et Harper.

«- De quoi pourrions-nous parler ? Par exemple, Aiko, quand as-tu rencontré ton mystérieux amoureux ?» Je soupire, mais je prends la décision de répondre à la question quand même.

«Nous nous sommes rencontrées y'a environ dix ans, dans un café où il travaillait à l'époque. Je me rappelle y avoir passé cette année-là une grande partie de mon été à lire des livres divers et variés. Et ont à échanger, puis depuis on ne ce quitté plus trop. Voilà, sur ceux, mesdames, vous n'aurez pas plus d'informations sur le mystérieux jeune homme. Je pense que je vous en ai assez donné pour aujourd'hui. Harper, tu en sera plus en temps voulu.»

Je n'allait pas dévoiler tout dévoiler aujourd'hui, j'avais envie de garder le secret encore un petit moment. Justine sourit et reprend.

«C'est une belle histoire, digne d'un roman à l'eau de rose… mais peut-on en savoir plus ? Met moi dans le secret.. » Je lui adresse un sourire. Puis répond à mon tour.

«Y'en as pas une pour rattraper l'autre.»  je lâche un petit rire.

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Ven 23 Sep - 6:50
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Attentive aux explications d’Aïko bien que son nez plongé dans le grimoire n’en donnait pas l’air, Harper approuva la proposition de Justine. Sans transition, elle questionna à nouveau Aïko sur son mystérieux petit ami, une interrogation à laquelle la libraire trancha derechef. A l’unisson, les mines de Justine et d’Harper se dépeignaient de déception. Si vous vouliez l’avis d’Harper, « en temps voulu » constituait une notion bien trop vague. Quoiqu’il en soit, le grimoire s’ouvrit, pour le plus grand plaisir des deux jeunes femmes qui s’activèrent à sa lecture. Les relations d’Aïko, à l’avenir, pourrait lui être forte pratique, songeait Harper. Certainement devrait-elle rendre plus souvent visite à sa future cousine, pour le plus grand bonheur de ses passions, et au grand damne d’Abigail qui verrait s’accumuler, un peu plus, de bardas dans leur maison de Soay.
Malgré les détails énoncés par Aïko, impossible pour Harper de faire un quelconque rapprochement avec Aaron. Autant vous dire, « qu’en temps voulu », Harper restera sur le cul, si vous voyez ce que je veux dire ? Dix années à côtoyer Aaron, son pote à la compote, frère d’échec, unis par le lien sacré de la beuverie, pour ne jamais déceler la relation qui l’unissait à Aïko. Pour les périples qu’ils avaient vécus et le fond d’honnêteté qu’Harper avait décelé chez lui, elle avait fermé les yeux sur les appartenances douteuses de son ami. Elle ne connaissait pas encore Aïko autant qu’elle connaissait Aaron, mais elle n’a pas besoin d’en savoir plus pour vous affirmer que c’est bien le dernier couple qu’elle aurait imaginé se former. Mais le destin réservait bien des surprises, n’est-ce pas ?
Justine fait également chou blanc en insistant pour découvrir le secret d’Aïko. Résignées à demeurer dans l’ignorance, les deux femmes feuilletèrent le grimoire en buvant des boissons chaudes plusieurs heures durant dans la jolie librairie d’Aïko. Elles ne l’embêtèrent plus avec ses histoires de couples, laissant la libraire s’occuper de ses clients. D’autres curieux et passionnés entrèrent dans la librairie pour obtenir leur ouvrage signé. Il eut même des élèves d’Harper accompagnés de leur parent.
- C’est vous le professeur excentrique, avait dit une maman.
Harper se retint de lever les yeux au ciel. Elle comprenait après-en pourquoi son fils rangeait son matériel par ordre alphabétique sur son bureau. Celui-ci, d’ailleurs, coincé entre sa mère aux lèvres pincés et son professeur à l’air dédaigneux, rougissait jusqu’aux oreilles.
- Des méthodes douteuses bien que…
- … bien que votre fils ait fait des progrès notables, coupa Harper, agacée. Il est très doué en sortilège de défense.
- Vous n’y pensez pas ! Rétorque la mère en levant le menton. Augustus sera médicomage.
Harper éclata de rire.
- C’est ça, moi aussi : dans une autre vie.
Certainement se ferait-elle taper sur les doigts par sa direction. Mais Harper détestait par-dessus tous les parents envahissants, prêt à étouffer leurs enfants pourvus que leur avenir redore l’image de leurs parents. Elle aurait aimé ajouter que pour devenir médicomage, Augustus avait tout intérêt à relever ses notes en botaniques et en potion. Mais elle craignait trop que le petit garçon se retrouve avec des professeurs particuliers pendant toutes les vacances.
Quoiqu’il en soit, Harper passa une bonne journée dans la librairie d’Aïko. Justine lui demanda si elle pouvait lui envoyer des hiboux et Harper accepta. Tout était bien qui finissait bien.

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