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Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes,
alors pensez à les privilégier pour vos personnages

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But once you turn, they hate us. (Diego & Amber) :: Three Broomsticks :: Pensine :: Les RPs
Amber Towsen
Amber Towsen
Sorcier neutre
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Métier : Etudiante de deuxième année en Protection Magique
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Lumos
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Mon allégeance : Neutre, quand bien même mes parents soient des Mangemorts.
Ven 28 Jan - 19:36

Tell you you're the
greatest, but once you
turn, they hate us

Diego & Amber




Amber avait eu de la chance. Elle avait trouvé le stage de ses rêves. Ses vacances du mois de février seraient consacrées à son apprentissage. Elle avait hâte d’allier la pratique et la théorie. Après le décès de son père, elle avait négocié pour ne pas poursuivre dans la filière des Aurors. Ça n’avait jamais été son rêve. Thorfinn lui avait surtout imposé sa décision, parce qu’il voulait qu’elle contribue à sa Cause, à savoir servir les mangemorts et l’Augurey. Il voulait qu’elle puisse couvrir leurs missions et éviter leurs arrestations, ce qui allait contre les valeurs de la sorcière. Amber ne s’était jamais dressée contre eux, ayant trop peur des retombées. Partir d’une famille de mangemorts et de sang-purs pour accomplir sa propre destinée ne faisait pas plaisir à voir. Les collègues de son père pouvaient craindre un retournement de veste, une trahison de sa part. Aucun n’avait envie d’être balancé au Ministère de la Magie. Pourtant, Amber tenait bien trop à la vie pour rejoindre l’Ordre du Phénix et condamner les mages noirs. Elle ne voulait pas de problème. La jeune femme voulait seulement faire entendre sa voix : tous les moldus n’étaient pas mauvais. Ils ne méritaient pas tous de mourir.

Ainsi, elle avait vu avec sa directrice de maison pour partir du côté des tireurs d’élite. Au moins, elle pourrait aider à chasser les criminels sans pour autant cibler des personnes qui lui feraient du mal. Ces mages noirs savaient bien trop de choses sur elle et son frère. Elle ne voulait pas prendre le risque de voir sa lignée s’effondrer à cause d’hommes malintentionnés. Le pouvoir n’avait jamais intéressé Amber, de toute manière.

Au fond d’elle, elle sentait qu’elle avait fait le bon choix. Sa première journée de stage venait de commencer et elle se retenait de sourire à tout bout de champ. Elle était heureuse d’être ici, mais ne parvenait plus à montrer sa joie depuis le mois de juin. Cette nuit qui avait fait basculer son existence. Son frère Tobias avait essayé de la protéger du Doloris que lui faisait subir leur père depuis plusieurs minutes, mais aucun d’eux n’avait imaginé que son décès surviendrait quelques instants plus tard. Les jeunes Towsen avaient décidé de cacher leur crime, mais Amber avait du mal à vivre avec ce meurtre sur sa conscience. Elle était persuadée qu’elle ne méritait plus le bonheur. Elle méritait de souffrir pour les décisions qu’elle avait prises et qui avait brisé sa famille. La jeune sorcière était devenue froide et avait envoyé baladé quelques uns de ses amis. Raphaël avait été le premier à faire tomber la carapace qu’elle s’était formée depuis plusieurs mois. Il avait délié sa langue et elle avait parlé.

Amber ignorait encore si elle avait bien fait de tout lui confier, même si elle ne pouvait plus revenir en arrière à l’heure actuelle. L’oubliette aurait été une solution, mais elle n’était pas sûre de vouloir s’abaisser au même niveau que son père. Thorfinn avait fait subir ce sortilège à son frère lorsqu’il était plus jeune, à de nombreuses reprises, de façon à ce qu’il lui obéisse et reste dans les cases. Il était tout bonnement affreux comme personnage… Le pire était qu’elle ne regrettait pas sa disparition. Ses enfants se porteraient bien mieux sans lui. Amber n’aurait plus à subir ses Doloris et ses Impérium…

La pause de midi approchait. La sorcière n’allait pas s’en plaindre. Elle mourrait littéralement de faim. Même si elle ne montrait rien en apparence, sa nervosité lui avait fait digéré son petit-déjeuner en moins de deux. Pendant trois ans, elle s’était préparée à devenir Auror et devait encore s’adapter à ce revirement de carrière. La jeune femme prit donc le temps d’aller dans le réfectoire qui était… blindé. Aucun endroit où s’asseoir. Tous les employés étaient agglutinés les uns sur les autres. Une grimace traversa son visage. Elle n’avait aucune envie de se mêler à cette foule. Son plateau à la main, elle eut envie de lâcher un profond soupir.

Il lui fallut plusieurs secondes pour que son regard se pose sur une porte entrouverte. Amber ne se demanda pas si elle avait le droit d’y accéder. Elle slaloma entre les professionnels et s’infiltra dans cette pièce isolée du reste du monde. Avec son dos, elle referma l’accès derrière elle et ferma les yeux un court instant. Un nouveau soupir quitta ses lèvres, cette fois-ci pour montrer son soulagement. Elle était enfin au calme !

Pourtant, ses paupières s’ouvrirent à nouveau et elle déposa son regard émeraude sur un homme qui se tenait au milieu de la pièce. Il était au beau milieu de son repas. Elle dut se mordiller la lèvre inférieure pour se plaindre de sa présence. Elle qui voulait être au calme ! Il attendait sûrement du monde. Elle allait devoir partir d’ici parce que sa présence n’était pas autorisée ?

— Désolé, je pensais que l’accès à cette pièce était autorisée. Je vais m’en aller.

La jeune sorcière n’avait pas envie de trop prendre ses aises lors de son premier jour de stage. Elle n’était plus à Poudlard. Ici, elle devait respecter le règlement. Ce n’était pas comme le couvre-feu qu’elle ne respectait pas ou ses nombreuses balades dans la Forêt Interdite… Au Ministère, elle risquait plus gros qu’une simple perte de points pour sa maison. Amber ne voulait pas se risquer sur ce terrain glissant. Elle espérait seulement que cet inconnu l’autoriserait à rester un peu plus longtemps. Elle n’avait pas envie de regagner la foule.

Amber aimait sa solitude. Les grands rassemblements ne l’avaient jamais intéressée. Si elle pouvait rester au calme, assise près du feu avec un bon livre entre les mains, elle n’allait pas s’en priver. Les gens avaient tendance à trop parler pour ne rien dire. Elle n’avait jamais trop compris ce mode de fonctionnement. Parler de mecs, de shopping, de la dernière série tendance… Ça n’avait jamais été son fort. Amber avait d’autres priorités dans la vie. Peut-être que cet homme serait plus intéressant que les étudiants de Poudlard ?


(c) ROGERS.


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(c) anaphore
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Mer 23 Fév - 2:44
But once you turn they hate us
Diego Velasquez
feat.
Amber Towsen


 

 



 

 

« Tell you you're the greatest, but once you turn they hate us. Oh, the misery. Everybody wants to be my enemy. Spare the sympathy. »

La dernière année n’avait pas été évidente, loin de là. En fait, depuis la mort de Kim, je me sentais en flottement. Je n’étais pas totalement là, mais je n’étais pas totalement absent non plus. J’avais longtemps eu l’impression que j’étais tombé à genoux et que j’avais quitté mon propre corps. En apesanteur, je voyais les gens respirer sous moi. Loin de tout, je m’étais senti brûlé, j’avais senti les flammes m’embraser et j’avais entendu le cri des Banshees qui m’appelaient. Quand Kim m’avait annoncé qu’elle était enceinte, j’avais développé de nouvelles peurs et elles avaient pris forme, elles s’étaient réalisées. Mon épouvantard était arrivé dans la réalité. Je ne connaissais personne à qui c'était arrivé. Cela dit, un peu plus d’un an après son décès…leur décès, je commençais me sortir la tête de l’eau. Je n’étais pas « bien » à proprement parler. J’étais fonctionnel, ça oui. Je me sentais, d’une certaine façon, plus fort. Plus rien ne me dérangeait vraiment. J’étais comme un bloc de glace en plein hiver, j’étais froid. Mieux, j’étais comme un bloc de béton, à peu près inébranlable, solide. En soi, j’étais loin du Diego que j’étais avant, j’étais, en quelque sorte, éteint. Ça ne plaisait pas à tout le monde. Par contre, il y avait un endroit où c’était appréciable et c’était au travail.

J’avais recommencé à travailler depuis environ deux mois et alors que je pensais que le retour serait compliqué, le naturel était revenu au galop. La routine avait repris sa place. La seule différence, c’était que Derek n’était pas là. Mon partenaire depuis mon arrivée ici comme petit employé de base n’était pas là. Aussi choqué que moi par ce qui était arrivé à sa sœur, il avait décidé de prendre du temps loin d’ici et surtout loin de moi et des souvenirs que je trainais derrière. Nous ne nous étions plus parlé depuis les funérailles et je ne pouvais pas lui en vouloir. Moi aussi, à sa place, je m’en serais voulu. En fait, plus que ça, j’aurais arraché la tête au connard qui n’avait pas su s’occuper de ma sœur. S’il arrivait quoi que ce soit à Soledad ou Bianca, je sais pas ce que je ferais au bougre qui n’aurait pas sû agir. Cependant, on m’avait répété la même chose tous les jours. Je n’avais rien pu faire, je n’avais pas été là. Et moi je leur disais que c’était ça le problème, je n’avais pas été là et j’aurais dû l’être. Je vivais maintenant avec les conséquences de mes actes, ou plutôt de mon inaction. Kim ainsi que le petit étaient morts. Je vivais seul dans notre appartement et maintenant que j’étais fonctionnel, je faisais ce que je savais faire de mieux : travailler.

Ce matin-là, j’avais passé des heures à mon bureau à analyser un dossier, à l’apprendre du mieux que je le pouvais. Nous l’avions clôturé la semaine précédente et nous devions commencer à préparer le procès. Bon, le gros du travail pour le procès, ce n’était pas à moi ou à l’équipe d’enquêteurs de le faire, c’était aux avocats. Nous, notre grosse part de boulot était déjà fait. Il ne nous restait plus qu’à témoigner et pour ça, il ne fallait pas se tromper. Depuis mon retour, je travaillais sans relâche et ne parlais que peu à mes collègues. Je leur parlais, c’était évident. Je ne leur en voulais pas. Par contre, nous ne rentrions jamais dans la vie privée, autant la mienne que la leur. Ils étaient mal à l’aise et moi je n’en avais pas envie. Personne, donc, ne pilait sur les pieds de personne… rien de mieux pour un retour au travail harmonieux. Prêt à manger, j’avais évité le réfectoire qui était toujours plein à craquer et surtout, terriblement bruyant. De toute façon, je ne mangeais à peu près jamais là-bas, sauf si je mangeais en dehors des heures typiques de repas. Je préférais pouvoir me reposer la tête dans le silence, ou bien être capable de me concentrer sur les dossiers sur lesquels je travaillais, toujours dans le silence.

Je m’étais donc replié dans une salle de conférence qui n’était pas trop loin. Il y avait une grande table, des chaises confortables et à peu près aucun bruit. Plateau repas à ma droite, dossier devant moi, je mangeais tranquillement, concentré sur mon dossier jusqu’à ce que j’entende la porte s’ouvrir en grand et se refermer. Je fermai mes yeux, peiné de me rendre compte que j’allais probablement perdre ma tranquillité. Je levai le regard vers une gamine qui ne semblait pas savoir quoi faire de ses deux mains. Elle s’excusa en disant qu’elle pensait être autorisé à être là. J’haussai un sourcil, elle l’était, j’imagine. Et puis, qu’est-ce que j’en avais à faire. Je mangeais là, elle pouvait bien faire ce qu’elle voulait.

« Bah, je vois pas pourquoi t’aurais pas l’accès…si tu veux manger, tu t'assois et tu manges. T’as pas de permission à demander. »

J’avais aucune idée de qui cette fille était, et en vrai, ça me regardait pas. Elle pouvait bien aller manger sur le toit si elle voulait. Y’avait une table, des chaises…il fallait bien qu’elles servent. Tant qu’elle commençait pas à vouloir me raconter sa vie, il n’y avait pas de raisons pour qu’elle ne reste pas.

« Assis toi, mange, relaxe surtout. »

Elle avait l’air sur les nerfs la gamine, si elle voulait survivre, elle allait devoir apprendre à se détendre un peu.

©️ Gasmask


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Amber Towsen
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Mar 1 Mar - 9:57

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Diego & Amber




Amber n’avait aucune idée de comment allait se passer ce stage. Elle n’était pas très douée pour se faire des amis, ces derniers temps. En revanche, elle s’était montrée très douée pour perdre ceux qu’elle avait déjà. Elle essayait de remonter la pente, de rattraper ses erreurs, mais des mots blessants avaient été dit et ils ne pourraient jamais disparaître de leurs mémoires. Il fallait dire qu’elle n’avait pas été l’amie du siècle. Elle avait dit ce que les autres pensaient tout bas, sans la moindre gêne, sans le moindre filtre. À croire qu’elle mourrait d’envie de se retrouver seule…

Depuis le décès de son père, elle enchaînait les mauvaises décisions. Assister à son meurtre l’avait retournée. Elle était aussi coupable que son frère, mais ils avaient décidé de cacher son cadavre et de ne plus jamais en parler. La police magique avait classé l’affaire. Elle était sans suite. Aucun élément ne permettait de savoir où se trouvait Thorfinn. Certains supposaient que les membres du Blood Circle l’avait peut-être déjà tué. Huit mois étaient passés. Les chances de le retrouver en vie étaient inexistantes désormais. Tant mieux pour ses deux enfants qui vivaient dans la culpabilité de leur crime depuis le mois de juin. Amber avait été la première à essayer de l’étrangler. Elle ne savait pas si elle aurait été capable d’aller au bout de son action. Son père avait contre-attaqué et lui avait fait subir l’endoloris de longues minutes, au point où la sorcière avait souhaité mourir pour ne plus avoir à subir de telles douleurs. Son frère avait souhaité la protéger, mais son stupéfix avait été un peu trop violent. Leur père s’était brisé la nuque contre la bibliothèque de son bureau.

Un simple accident, mais ils avaient préféré le cacher. Leurs décisions étaient raisonnables quand on savait le nombre de mages noirs qui avaient intégré la Cour du Ministère de la Magie. Amber ne voulait pas être jugée de cette manière. Elle savait que leurs décisions auraient été déjà prises. Les deux enfants de Thorfinn, mangemort très investi, auraient terminé à Azkaban. Légitime défense ou meurtre non-intentionnel, ils ne l’entendraient jamais de cette oreille.

Amber soupira et se questionna sur le moment où sa vie était devenue si compliquée à gérer. Elle avait essayé de ne pas tout gâcher avec ses amis, mais elle ne se sentait pas méritante. Elle avait été abominable avec sa propre famille et ne méritait plus d’être heureuse. Persuadée de cela, elle s’était rendu à l’espace restauration du Ministère de la Magie. Elle broyait souvent du noir, mais essayait de remonter la pente. Cela était loin d’être évident. Plusieurs sorciers connaissaient son père au Ministère de la Magie. Elle en avait assez d’être arrêtée pour que l’on prenne des nouvelles d’elle et son frère. Ils allaient très bien. Ils voulaient tourner la page. Pourquoi remuaient-ils sans cesse le couteau dans la plaie ?

Une moue sur le visage, elle laissa son regard émeraude observer la salle bondée de monde. Elle n’avait pas du tout envie de se mêler à la foule. Son crâne était à deux doigts d’exploser. Quand elle vit une salle de conférence vide, elle vit ça comme une opportunité de se sauver la vie. Ou plutôt son déjeuner ! Elle n’avait pas spécialement envie de parler et était extrêmement tendu. Ces échanges au sujet de son père l’irritaient. La stagiaire essayait de prendre sur elle, alors qu’elle se retrouvait face à un nouvel interlocuteur.

Elle ne sut pas très bien comment il perçut son langage non-verbal, puisqu’il l’invita à s’asseoir et à se relaxer. Ah non ! Cet échange ne la stressait pas le moins du monde. Elle était simplement tendue au possible. Soit ! Elle n’avait pas envie de se justifier auprès de lui. Qu’importe ce qu’il pouvait penser d’elle. Ils ne se connaissaient pas et s’étaient très bien comme ça.

La sorcière s’assit prestement et commença à manger. Elle sortit un livre de son sac. Elle l’avait acheté au Chemin de Traverse, dans l’espoir de mieux cerner ce qui était attendu d’un tireur d’élite, les sortilèges les plus utilisés, les techniques de pistage… Elle voulait se préparer au mieux à sa future profession. Son regard se releva de temps à autre vers son assiette, puis vers l’homme qui mangeait un peu plus loin sur la table. Il avait encore de la sauce sur la joue. Cette trace était là depuis son arrivée et elle se sentit obligée de lui faire la remarque.

— Vous avez de la sauce juste ici, lui souffla-t-elle en montrant la zone approximative sur sa propre joue.

Elle ne chercha pas à avoir son remerciement. Elle s’en moquait un peu. En revanche, elle lui lança une question qui lui trottait en tête depuis un moment.

— Vous travaillez à la police magique, c’est bien ça ?


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