Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes, alors pensez à les privilégier pour vos personnages
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| | Invité INRP IRL | Lun 3 Jan - 20:37 NO NEED TO BE A HUNDRED TO FORM A PACK. giulia, heart of the pack
this is me –and i’m not ashamed.
No one will love you as you are. Ils avaient raison, ils l’avaient dit. Elle aurait dû les écouter, et peut-être au fond l’avait elle trop fait. Une idée qui avait germé en elle pour laisser place à une fleur, haute et ferme. Une rose aux mille épines. Car l’enfant, à défaut de s’effriter, abîme. Elle arrache la peau, coupe les chaires. Elle est couteau, dague affûtée. Au milieu de ses maux tus, elle n’est pour autrui que douleur. C’est à l’intérieur de celle-ci qu’elle vit, depuis toujours. Depuis que Maman est partie, depuis que Papa est resté. Enfermée dans un cocon aux couleurs sombres, elle n’apprendra jamais à peindre d’une autre teinte. Chez elle, il n’y a ni blanc, ni couleur, et si le gris vient à exister, il se fait particulièrement foncé. Le noir n’a pour égal que celui de ses yeux. Car s’ils se font en réalité noisette, il est impossible d’y déceler la moindre lumière. Noa n’est que noirceur. De l’épiderme à l’intérieur des tripes, il n’y a pas un morceau bon à sauver. —c’est ce qu’ils disent.
Noa est perfection, s’adaptant à l’étiquette qu’on lui a apposée. Noirceur elle est devenue, noirceur elle restera. Elle n’appartient à personne, ni même à Dieu, ni même au monde. Elle est liberté, elle est plaisir. Elle est tentation, elle est luxure.
Personne ne peut se vanter d’avoir dicté sa vie, bien que nombreux sont ceux qui essayèrent. Tentatives vaines. Liberté gardée, choyée comme un fanion victorieux.
Et dans cet esprit de liberté aux mille secrets, elle avait ouvert son propre empire. A son image, elle était reine de la vie nocturne londonienne. Nuit après nuit, instant de luxure après instant de luxure, elle avait établi ses propres règles. Aujourd’hui, elle n’avait nul besoin de demander, les portes s’ouvraient à elle. On implorait ses services, ses bons vouloirs. Et éprise de l’idée d’être au centre de l’attention, Noa jubilait.
Ce soir n’était grande exception. Sa soirée hebdomadaire avait débuté d’il y a cela une heure. Ayant eu ses adjudants au bout du fil, elle savait que le début des festivités s’était déroulé à sa convenance, préparant une nuit aux multiples couleurs.
Si elle n’avait réellement besoin d’un partenaire pour s’amuser, chasser en meute avait toujours été plus attrayant. L’esprit de compétition tatoué contre son cœur, son corps ne cessait d’en demander. Adrénaline et poudres en tout genre, Noa avait besoin d’un cocktail explosif, prête à se faire éclater les synapses. Elle avait ce besoin constant, urgent, de dépasser ses limites, de tout envoyer valser. Qu’il s’agisse d’elle-même ou des autres. Rien ne pouvait l’arrêter, ni les enveloppes charnelles d’autrui, ni la porcelaine qui détourait son propre corps.
Et comme promis, elle se trouva au pied de son appartement à vingt-trois heures quarante-cinq précises. Une portière ouverte, attendant son invitée, Noa resta tapie dans l’ombre, prête à bondir sur son acolyte.
Giulia —car une meute n’avait besoin d’être peuplée de mille spécimens. Il arrive qu’un seul suffise à peupler tout un monde.
Game of Blood Ϟ Tous droits réservés | | | Invité INRP IRL | Jeu 17 Mar - 16:55 YOU LOVE THE PLAYERS AND I LOVE THE GAMEher outfit
*Une sublime robe noire, un maquillage parfait, une chevelure maîtrisée. Tout est parfait chez Giulia, qui pose ses escarpins sur le sol pour sortir de sa belle voiture devant l’immeuble qui accueille la soirée. Il est tard pour commencer une soirée, 23h00 déjà. La plupart des personnes débarquaient à ce genre de fête avant 22h. Mais Giulia, elle, savait se faire désirer. Radieuse, comme toujours, elle est un aimant à regard. Homme et femme détourne les leurs de toute leurs activité pour observer sa silhouette sublimée par la dentelle qui enlace sa poitrine, effleure sa taille et sublime ses hanches. Giulia est parfaite, cela n’échappe à personne. Pas même à elle. Le froid de l’hiver ne semble pas gêner la poupée de porcelaine, dont le cœur est bien plus glacial que la bise de ce Londres gris. Oh oui, Giulia a conscience de ce qu’elle suscite. Et elle aime ça. Elle a toujours aimé ça. Avec l’admiration venait son lot de soucis, la jalousie, ce besoin constant de veiller à sa perfection, ce genre de chose… Des détails pour Giulia. L’avis des autres importent peu, du moins, tant qu’ils sont négatifs. En revanche, elle aime qu’on la dévisage, que les mâchoires se détachent quand elle s’avance. Ce soir n’était pas un soir où il faudrait se relâcher. Pour Noa, Giulia veillait toujours à ce qu’il n’y ait pas un cheveux de travers. Bien sûr, elle y prêtait sans cesse attention, mais sa vigilance était encore accrue pour les petites soirées qu’organisait la jeune femme. Noa était ce qui se rapprochait le plus d’une amie pour Giulia. D’accord, ce n’était pas tout à fait désintéressée, la jeune femme, en plus d’être sublime, était une délicieuse amante. Mais elle était aussi le genre de femme qui plaisait à Giulia. Pas amoureusement, la jolie italienne n’avait pas ce genre d’émotion. Elle n’avait pas d’émotion, quelle qu’elle soit, ou en tout cas, elle les réfrénait. Mais elle pouvait affirmer sans broncher que la jeune sang-pure était probablement la personne la plus à même de comprendre la personnalité tordue et particulière de sa camarade. Ce soir, dans le grand appartement de son amie, une petite soirée jeu était organisée. C’était toujours l’occasion de se montrer, d’asseoir son évidente supériorité, tant par sa beauté que par ses victoires. Et puis, en prime, cela se finissait très souvent dans le lit de la sublime hôtesse de cette soirée, parfois même accompagnée par quelques petites conquêtes d’une nuit, histoire de pimenter le tout. Giulia avance donc, d’un pas certain, vers cet immeuble londonien. Son pas est assurée, quand elle pénètre le bâtiment, otant alors le châle qu’elle avait porté sur ses épaules, gardant son sac entre ses mains finement manucurées. D’un oeil aiguisée, elle cherche alors la personne qui l’intéressait le plus ici ce soir, mais c’est bien Noa qui la trouve en premier, comme si elle était un lion sautant sur sa proie. Giulia avait l’habitude d’être le prédateur, plus que la proie, mais il était toujours étrange de constater que l’équilibre entre les deux brunes au caractère de braise se faisait sans accro.* Miss Rosier. Sublime, comme toujours.*Murmure Giulia en voyant la jeune femme s’avancer vers moi, avec un sourire carnassier, sans cacher une seconde son regard qui, déjà se souvenait de tout ce qui se cachait sous cette belle robe du même noire que la sienne.* | |
NO NEED TO BE A HUNDRED TO FORM A PACK. [ft Giulia] |
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