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Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes,
alors pensez à les privilégier pour vos personnages

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♫ C'est comme un paradis sur Terre mais nos âmes, elles, sont en enfer ♫ :: Extension Charm :: One Shot
Garnet Davis
Garnet Davis
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Lumos
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Lun 6 Sep - 16:03
C'est comme un paradis sur terre mais nos âmes, elles, sont en enfer
«Novembre 2020»


HRP : Point de vue de Ludivine et Point de vue de Jonas

Je dors. Je rêve, et je pense dans mon sommeil. Je dors. Je crois que des fois, je fais des choses que je me rappelle pas, et des fois, je les revois en rêve. Mais c’est pas moi. C’est une autre personne. Et moi je dors. Quand je pense quand je dors, ça m’arrive de croire que les choses qui arrivent, on peut les voir comme la lumière du soleil. Et des fois, quand le soleil traverse une vitre, on peut voir comme un arc-en-ciel contre le mur. Les rêves que je fais des fois, c’est comme des arcs-en-ciel...

Violettes, les lèvres de l’homme étaient violacées par le froid. Nous n’étions qu’en Novembre, et même si le mois de décembre approchait, il ne faisait pas si froid que ça. Il fallait dire que je n’étais pas très sensible au chaud, ni au froid. Les températures n’étaient jamais insurmontables pour moi. L’homme était clairement un sans-abri. Un pauvre chiffonnier qui vivait de ce qu’il trouvait dans les poubelles et qui dormait où il le pouvait. On l’a tous fait. Son sort ne me faisait ni chaud, ni froid. Pourquoi était-il là ? Le Clodo parlait d’avoir découvert une maison qui servait de repère pour des sorciers. Espérait-il une quelconque rémunération pour son aide ? Il ne faisait que son devoir d’honnête citoyen. Depuis que j’avais aidé ce môme à s’enfuir et que je m’étais faite grillée par l’un des jumeaux Rosebury, je tâchais de faire bonne figure. J’étais beaucoup plus présente qu’avant et j’aidais comme je pouvais à l’accueil du QG. Des hurluberlus qui pensaient avoir vu un phénomène magique, mais qui avaient tout simplement abusé de l’eau de vie de pisse, venaient régulièrement témoigner en pensant être les nouveaux héros de la Nation. L’alcool et la drogue faisaient des ravages, et la plupart des dépositions étaient bidons ; mais presque à chaque fois, il y avait une enquête… Dans le doute. Il se trouvait que ce jour-là, ce miséreux avait très probablement réellement vu quelque chose. Cette maison, je la connaissais. Cette maison, j’y étais déjà allée plusieurs fois. Et s’il y avait une enquête, on trouverait quelque chose. Ludivine était en danger.

Indigo. C’était le nom de code de la mission de surveillance de la maison de Ludivine. Opération Indigo. Je m’étais portée volontaire pour la surveillance. Le Blood Circle, tout puissant qu’il était, ne pouvait pas débarquer et coller une balle dans la tête de gens chez eux, sous la simple supposition qu’ils étaient sorcier. Il nous fallait des preuves qu’ils étaient des sorciers. Pour Ludivine, des preuves on allait en trouver, et c’était à moi de les masquer, subtilement.

«Belle baraque en tout cas.»

Mon binôme ne me répondit pas. Il avait les yeux rivés sur la maison, à guetter le moindre faisceau de lumière suspect. Je gardai un air détaché.

«Si on a affaire à des sorciers, la maison va sûrement se retrouver sur le marché. Ça me plairait bien de vivre là-dedans. Ça a l’air cosy.»

Il n’était pas très bavard, mais ce n’était pas très gênant. Je cherchais juste à réduire son attention dans l’espoir qu’il manque de voir certaines choses qu’il aurait été censé voir.

«Ah !»

Ludivine venait de sortir, en compagnie de mademoiselle.

«Ça promène le chien. Putain, il est énorme. On la suit ?»

Il hocha négativement de la tête, jugeant que c’était trop risqué de le faire, qu’on avait de grandes chances de se faire repérer. On resta comme des cons dans la bagnole, à regarder la maison et attendre que les heures passent dans l’espoir, pour lui, de découvrir un phénomène magique et, pour moi, de ne pas en découvrir. Il ne fallait pas que Ludivine se fasse découvrir…



Bleu. Un ciel bleu. Dégagé. Pas un nuage. Assez rare en novembre à Londres pour être relevé. L’opération avait commencé depuis quelques jours. J’étais soulagée de voir que Ludivine était plutôt prudente et qu’elle parvenait plutôt bien à masquer ses activités magiques quand elle était dans notre monde. Il fallait dire qu’en tant que sang-de-bourbe, elle savait ce que ça voulait dire que de vivre avec les moldus ; elle en était pratiquement une. Je ne savais pas combien de temps allait devoir durer l’opération indigo. je me disais que tant qu’on surveillait, on n’avait pas de preuve contre elle, et tant qu’on avait pas de preuve, elle était intouchable. Malheureusement, plus l’enquête durait et plus on aurait de chances de tomber sur la preuve tangible qui la condamnerait… Cette preuve tangible, que je savais trouvable et que je devais tout faire pour pas qu’on ne la trouve.

«C’est quoi ça ? Passe moi les jumelles.»

Machinalement je lui passais une paire de jumelles tandis que je regardais également avec une deuxième paire.

«Juste un oiseau je dirais.»

Mais je voyais très bien ce qui posait problème… Un hibou, en plein jour, qui tapotait à une vitre pour entrer et, quelques instants plus tard, la fenêtre qui s'ouvrit pour le laisser entrer. Silence dans la voiture. Même s’il n’avait pas vu le parchemin accroché à la patte du rapace, il était clair que nous avions trouvé ce qu’on était censé cherché. Est-ce que cette seule preuve suffisait ? Est-ce que j’avais encore une chance de sauver Ludivine du massacre qui l’attendait ?

Verte. J’étais verte de rage et de frustration tellement je me sentais impuissante face à la situation. Nous avions fait notre rapport. Je n’avais pas d’autres choix que de confirmer les dires de mon collègue, sous peine de risquer d’attirer l’attention sur moi. Je devais faire profil bas, encore et encore. Toutes mes petites actions ici et là qui allaient à l’encontre du Cercle, pour sauver la vie d’un gamin innocent, ou d’un abominable sang-de-bourbe, risquaient de me jouer des tours. Mais je ne pouvais pas permettre que d’autres suivent le même parcours qu’Amber. Que d’autres gardent les mêmes cicatrices que moi. Il m’était déjà venu à l’esprit de postuler pour intégrer le Conseil du Cercle… Mais à quoi bon ? Personne ne m’aurait élue. Moi Garnet, celle qu’on appelait parfois la Folle. Et je n’avais que faire de toute cette Politique de merde. J’étais tout de même d’avis que le Blood Circle manquait d’Éthique. Que la présence d’enfants prisonniers à l’Institut était une aberration. Nous valions mieux que les mangemorts. Nous valions mieux que les sorciers. Pourquoi nous rabaisser à leurs immondes pratiques ? Mais j’avais besoin encore besoin du Cercle, j’avais besoin de leurs moyens, de leurs technologies et de leurs informations. Je ne pouvais pas encore me rendre aux États-Unis, pour retrouver ma famille, et même si je le pouvais, seule je n’arriverais pas à retrouver qui que ce soit. J’avais besoin d’informations, d’aide et de temps. Viendra le jour où le Blood Circle et ses alliés pourront pénétrer les enceintes des haut-lieux magiques. Ce jour-là, j’aurais ce que je voudrais.

Pour l’heure, je devais faire ce qu’on attendait de moi. Tuer n’était pas un problème ; tant qu’on ne touchait pas aux enfants. J’ai fait quelques exceptions et jusqu’à maintenant, je n’avais pas eu de regrets. Bouclette était un allié précieux. Et même s’il était adulte désormais, tout comme moi, ce qu’il avait vécu était assez proche de ce que nous avions vécu. Et Ludivine… Si elle venait à mourir… Qui s’occuperait des créatures blessées ? C’était Celle qui avait su me montrer qu’il existait des sorciers au Cœur Noble. Je n’avais nul doute que c’était dû au sang-moldu qui coulait dans ses veines que lui venait sa grande bonté. Mais elle était la preuve vivante que tous les sorciers n’étaient pas à mettre dans le même panier. Si je pouvais éviter quelques victimes collatérales inutiles, pourquoi m’en priver ? Je voulais juste mettre un fin au règne de la pureté du sang. Mon sang était aussi pur que le leur. J’étais une sang-pur. Une sang-pur pour les trouver tous, une sang-pur pour les tuer et dans la vengeance purifier mes ennemis. Et mon ennemie, Ludivine, ne l’était pas. Elle était mon amie, mais au-delà de ça, j’avais une dette envers elle. Elle avait pris soin de Amber quand cette teigne s'était blessée. Un donné pour un rendu : je devais la sauver.

Jaune. Nous étions garés derrière une voiture jaune, à quelques maisons de distance de celle de Ludivine, un peu plus loin dans la rue. C’était le début de l’après-midi. Je n’avais rien trouvé pour empêcher ce raid sur la maison de mon amie. J’avais fait du forcing pour participer à l’opération. J’étais présente lors de la déposition, j’étais là quand on avait prouvé que la maison abritait des sorciers et enfin… Je voulais être là pour les éliminer de mes mains. En dehors du fait que je ne supportais pas qu’on s’en prenne à des gosses, je n’ai jamais eu de problème à éliminer les sorciers qui étaient sur mon chemin. Ça n’avait choqué personne que je me porte spontanément volontaire, lassée par la monotonie d’être coincée au QG ou dans une bagnole. Ce qu’ils ne savaient pas… C’était que j’allais tout faire pour que Ludivine et Mademoiselle puissent s’enfuir. Gagner assez de temps pour qu’elles puissent se téléporter ailleurs. Comment ? Je l’ignorais encore. Mais il le fallait.

Notre groupe approcha de la maison. Nous étions quatre. Pour ce genre d’opérations, le plus souvent des duos étaient assignés ; mais comme j’avais lourdement insisté, un deuxième duo a été créé pour mener à bien cette mission. Je portais une cagoule pour l’occasion. Ludivine ignorait que j’appartenais au Cercle, ou alors si elle le savait, ce n’était pas de ma bouche. Elle savait que je ne portais pas ma famille dans mon cœur, et que j’avais une certaine rancune vis à vis des mangemorts, et des sangs-purs, mais elle ignorait tout de mon Histoire. J’aurais pu lui en parler, j’aurais dû. Mais je savais qu’elle ne pourrait pas comprendre. Les miens exterminaient les siens. Elle ne pouvait pas me faire confiance. Et j’avais besoin de Ludivine dans ma vie. Elle prenait soin de Amber quand elles étaient ensemble. Elle apaisait le feu et la rage qui me consumaient. En sa présence, je me sentais en sécurité, apaisée. Je ne pouvais pas me permettre de la perdre. Qu’elle perde la vie, ou qu’elle en sorte. Je refusai. J’allais la sauver. J’allais préserver sa vie, et notre amitié persistera. Elle était la mère que je n’avais plus, la sœur que je n’ai jamais eu… Et que j’aurais aimé avoir… Je la sauverai.

Orange. Nous portions des brassards orange pour signifier aux éventuels passants que nous représentions la Loi et que nous étions en intervention. Nous ne pouvions pas arriver avec des gyrophares multicolores et des sirènes assourdissantes, sinon les sorciers auraient le temps de s’échapper avant que nous ne mettions les balises anti-magie. Contrairement à mes compagnons, j’espérai que les voisins nous aient remarqués et avaient prévenu Ludivine d’une manière ou d’une autre. On pouvait entendre les aboiements de Mademoiselle pendant que nous disposions les balises du neutralisateur de magie autour de la maison ; mais étaient-ils suffisants pour l’alerter ? Nous étions quatre, chacun avait une balise à poser à un angle de la maison, la puissance magique des sorciers dans le champ d’action serait amoindrie, et ça les empêcherait de disparaître. J’avais sciemment “oublié” d’activer ma propre balise, me contentant de la poser au sol, éteinte. Mais je savais que les trois autres balises suffisaient largement à empêcher tout transplanage. Il n’y avait qu’une seule sortie à notre connaissance, en dehors des fenêtres, et c’était la porte par laquelle nous allions entrer. Qu’elle soit verrouillée ou non, elle ne pouvait pas résister à notre assaut. Un coup. Les aboiements de Mademoiselle se firent plus frénétiques. Deux coups. La voix du Ludivine qui s’interroge sur ce qu’il se passe. Trois coups, la porte est enfoncée. Nous investissions les lieux et, rapidement, Ludivine nous fit face, baguette levée. Un éclair balaya la pièce pour percuter l’une des personnes avec moi. L’homme fut projeté en arrière. Il se releva avec un peu de peine mais son gilet anti-magie avait absorbé le sortilège. Même si il avait lâché son arme et était désarmé, même si je ne faisais rien et même avec l’aide de Mademoiselle, Ludivine n’avait aucune chance de s’en sortir. J’enlevai ma cagoule et dégainai Sheila

«Impero»

Mon amie me regarda, horrifiée.

«Avada… Kedavra… »

Ma dague se planta dans la nuque de l’homme juste devant moi qui s’effondra sur le sol.

Je venais de commettre l’inconcevable. Je venais de tuer un moldu, un allié dans cette guerre. Et j’allais devoir tuer les autres. Pour Ludvine.

Rouge. Le sol était rouge du sang de l’homme que je venais d’abattre. Il en restait deux à éliminer. Je ne pouvais pas les laisser me dénoncer : ils devaient mourir. L’autre femme de mon groupe ne savait pas comment réagir. Elle hésitait entre me tenir en joue ou tenir en joue Ludivine ou même l’énorme chien qui pouvait se faire menaçant, elle savait que si elle tirait sur l’une, l’autre pourrait riposter. Elle devait vouloir gagner du temps pendant que le premier gars récupère son arme. Du temps, je n’en avais pas, j’avais encore l’effet de surprise et je devais en profiter. Je la chargeai. Une fois au contact, je bloquai son bras armé, puis je lui fis perdre l'équilibre. Ma victime au sol, je m’assis sur elle, prête à l’achever. Dans ses yeux, je pouvais y lire la peur. je pouvais également voir le reflet de mon bras qui se rapprochait de son corps. Et en arrière plan, mon visage ; inexpressif, froid.

«Avada Kedavra.»

Pendant que je me relevai, je pouvais entendre une autre voix dans la maison, et un homme apparut dans la pièce. Il était torse nu, les cheveux mouillés et couvert de tatouages. Il ne devait rien comprendre à la scène qui se déroulait devant lui. Le dernier membre de notre quatuor avait récupéré son arme et nous menaçait avec. Je ne pouvais pas avoir le temps de l’atteindre sans qu’il ne tire. Nous étions dans la même impasse que juste avant, sauf que cette fois, il y avait une plus grande distance pour atteindre ce type. Peut-être que je pouvais profiter de l’arrivée de ce nouveau gars pour agir. Je fis quelque pas, une détonation retentit. La balle se stoppa nette devant moi, sur un écran invisible, avant de tomber sur le sol. Je regardai la balle sur le sol, puis la baguette levée de Ludivine. Quand mon attention se reporta sur le Blood Circle, il était au sol, en boule, en train de se faire rouer de coup par l’autre gars. C’était fini. Enfin… Presque fini… Mademoiselle se frotta contre ma jambe. Je lui caresse doucement le haut de la tête.

«Barrez-vous. Le Cercle connaît cette maison. Des balises anti-transplanage ont été installées autour de la maison. Barrez vous et une fois hors de portée, disparaissez.»

Je regardais le dernier homme au sol. Il rampait avec douleur vers son arme.

«Je m’occupe du reste… »

J’ignorai les remarques et les questions de Ludivine pendant que je m’approchai de l’autre type, prête à finir le travail. L’ami de Ludivine s’approcha de moi et me retint le bras, m’empêchant d’avancer davantage.

«Lâche moi.» Dans cette situation, il n’était ni mon ami, ni mon ennemi. Je venais de tuer deux membres du Blood Circle et j’allais en abattre un troisième de sang-froid. Je pouvais très bien allonger la liste s’il insistait trop.«Vous avez pas de temps à perdre, tirez-vous. D’autres vont venir et si on me voit avec vous, ça va m’attirer des ennuis. Je gère.» Sans me retourner, je m’adressai à Ludivine. «Merci pour ce que tu as fait pour Amber. et pour moi.» J’aurais aimé que Amber lui dise adieu, mais elle ne pouvait pas venir ici. Pas avec ces cadavres, pas avec tout ce sang. «Adieu.» Ce dernier mot était autant pour l’homme que pour Ludivine. «Avada Kedavra.»

Les habitants de la maison étaient partis. J’étais seule avec les corps des hommes et de la femme que j’avais tués. Je savais ce que j’allais devoir faire désormais. J’envoyai un message à Robin, en lui partageant ma position. J’allais clairement avoir besoin d’un bon avocat, quelqu’un qui avait confiance en ma loyauté au sein du Cercle. C'était l'occasion pour mon vieux mentor de jouer les héros.

Garnet
Aide moi...

Garnet a partagé sa position avec vous. Cliquez pour voir.



Je n’étais pas sûre que Carl Mackenson m’aurait soutenue, il savait que j’étais une traîtresse, à ma manière. Je devais faire croire que la sorcière qui vivait ici avait réussi à utiliser sa magie pour me forcer à commettre ces meurtres. Et pour rendre la chose crédible… Je devais retourner mon arme contre moi. Dans une main, j’avais mon téléphone avec le numéro des secours prêt à être appelés, dans l’autre, j’avais Sheila appliquée contre ma carotide. Un mouvement. Le sang jaillit. Une seconde… Deux secondes… Rapidement, je me sentis partir. Je n’entendais déjà presque plus la voix au téléphone.

«Au… secours… »

Ma voix était faible, agonisante… Mais je n’allais pas mourir. Cela faisait partie du plan, du moins, je l’espérais.

Blanche. On me parle souvent d’une lumière blanche, et d’un tunnel, lorsque les gens sont morts. J’ai vu à la télé. Mais, puisqu’on vit dans la même lumière, même s’il y a des couleurs qu’on préférait ; pourquoi faut-il qu’il y ait des victimes innocentes ? Pourquoi des enfants ? Pourquoi Dulivine ? Pourquoi arrêter les colombes en plein vol ? Pourquoi est-ce que je fais ces rêves ? Sortez de ma tête ! Je veux plus faire de cauchemars ! Est-ce que c’est vrai ces rêves que je fais ? Laissez-moi me réveiller ! Arrêtez de vous en prendre à moi ! Je veux plus qu’on me fasse de mal ! Je veux être forte. Je veux être forte et courageuse. Pour pouvoir jouer sans pleurer.

Je devais continuer d’être forte. Ludivine était sauvée, pour l'instant, mais je ne pouvais pas me reposer sur mes lauriers. Je devais continuer d'être forte. Pour les autres enfants qui seront victimes d'injustices. Je devais continuer d'être forte. Pour retrouver mon père et lui faire payer les années de ma vie que l'on m'a volées. Je devais continuer d'être forte Pour Amber… Pour que plus jamais personne ne la fasse pleurer à nouveau.


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