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Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes,
alors pensez à les privilégier pour vos personnages

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Conversations et etcetera au coin du feu [Meredith] [Rp Hot TW - Sex - Violence - Viol] :: Three Broomsticks :: Pensine :: Les RPs
Apollon Lestrange
Apollon Lestrange
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Lumos
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Mar 15 Déc - 3:32


Conversations et etcetera au coin du feu
Meredith Carrow & Phoebus Malefoy
Mon arrivée au beau milieu du hall de l’hôpital de Sainte-Mangouste n’avait pas passé inaperçue. De toute manière, il allait de soi que mon arrivée ne passait jamais inaperçue nulle part. Déjà, je remarquais des regards discrets et gênés dans ma direction. Une jeune femme se mit même à glousser à me voir aussi digne et fier que l’habitude le laissait entendre. Je souriais et m’amusa à lui envoyer un petit clin à elle et à son amie. Cela déclenchait un peu plus leur hilarité.

Je me mis, ensuite, à la recherche d’une bonne bouteille de Whisky Pur-feu me demandant ou avait bien pu passer le médicomage qui nous accompagnait sur le terrain. Haussant les épaules ne m’en souciant aucunement en fait de compte, j’étais finalement arrivé à la hauteur d’un de ses collègues pour lui murmurer désirer un remontant. Pour toute réponse, le troll me fit apparaître un verre d’eau. Je fis une grimace intriguée et dégoutée.

- J’ai demandé un remontant et non …

Perdant mon sourire, je soupirais ma frustration. Je ne savais pas si je devais rire ou le massacrer, mais Merlin soit loué, l’arrivée de Meredith Carrow accompagnée d’un blessé le sauva très certainement. Je me détournais aussitôt du Médicomage comme s’il n’avait jamais existé me dirigeant vers elle.

- My Lady ! Tout va bien ? affirmais-je tout en m’encaissant de son bien-être. En tout cas, on peut dire qu’on les a rossés ces Moldus.

Déclarais-je fier au même moment ou un autre claquement faisait aussi apparaître l’Auror dans l’établissement. J’en avais alors oublié le sang sur mon bras, cette douleur n’était rien pour moi. J’avais haussé des épaules alors que Meredith Carrow me posait la question lorsque nous étions encore sur le terrain. Je ne m’en souciais guère ni des Médicomages qui se ruaient en direction des blessés. Mon regard restait posé sur Meredith Carrow alors que je réfléchissais à mes mots. J’étais toujours sérieux avec elle respectant son statut et souhaitant toujours paraître le meilleur de moi-même. Elle était non seulement belle et élégante, mais aussi intelligente tout comme douée d’une subtilité. Cela allait presque à m’exciter.

- Je crois qu’on devrait parler de tout cela au calme My Lady et si vous avez du whisky en réserve au manoir, je serais heureux que ce soit vous qui invitiez.

J’avais émis un petit sourire malicieux tout en chuchotant ces paroles. Je n’avais nullement envie que des oreilles indiscrètes puissent entendre quoique ce soit : ce n’était que du ressort du Triumvirat et oh joie, William Ombrage brillait par son absence. La seule crainte que j’eusse était la possibilité que Meredith lui demande de venir rapidement.

C’était seulement après moults questions des Médicomages concernant les causes des blessures sur ces gens que Meredith Carrow et moi-même purent prendre congé. Oui il n’y avait pas à dire, mais j’appréciais l’architecture du manoir Carrow. Toutefois, j’avais toujours pensé que la grandeur de ce manoir n’était pas sa salle de bal, mais bien ses jardins florissants. J’avais souvent proposé à la maîtresse des lieux d’utiliser ces jardins comme atout pour les soirées mondaines.

Entrant dans le manoir, je ressentis une fatigue soudaine pour venir m’accouder à la rampe de l’escalier. Le stress avait disparue, l’action n’était plus alors je me sentais exténué. En plus, je perçu finalement une douleur à mon bras gauche. Je m’enquis donc de ce que cela avait l’air : pas mal murmurais-je amusé. Pourtant, lorsque le parfum de Meredith Carrow revenait hanter mes naines, je me fis violence pour redresser complètement le torse.

- Après vous, My Lady.

Lâchais-je sans révérence ni geste farfelu que je désignais normalement aux femmes. Parfois même, quand je le pouvais sans me faire arracher la tête – tss – je le faisais avec Heaven. Mais avec Meredith, c’était différent.

Codage par Emi Burton



Silence
… À pas feutrés … Je te vois … Je te trouve … Je te détruis … Tu ne peux pas m’échapper toi qui a tes tords. Oh ! Ne fais pas l’innocent, car je le sais. Je le vois … Au fond de toi, tu le sais aussi, non ? Oui. Tu seras ma vengeance.  
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Anonymous
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Lun 22 Fév - 22:54
Conversation et etcetera au coin du feu
Phoebus & Meredith


Y avait-il un endroit où Phoebus n'arrivait pas sans se faire remarquer ou sans vouloir qu'on le remarquer ? Hum… Poser la question, c'était y répondre! Parlez-en en bien ou parlez-en en mal, mais parlez-en! Phoebus était ainsi fait. Il aimait susciter les regards, être au centre de l'attention, et si, par malheur, il passait inaperçu, môssieur faisait alors tout ce qu'il fallait être vu et surtout entendu. C'était un peu le cas aujourd'hui, dans le hall de Sainte-Mangouste, où notre brigade ramenait à tour de rôle les blessés que nous avions pu rescaper. J'étais arrivée tout juste avant Miss Cartwright que j'avais pu brièvement féliciter et remercier. Cette jeune femme avait fait preuve d'un sang-froid et d'un courage exceptionnels. Nous avions formé, elle et moi, une équipe comme je les aimais! J'ignorais si nous allions nous revoir, mais j'allais très certainement, d'une façon ou d'une autre, voir à ce qu'elle ait des remerciements plus appropriés et beaucoup plus à la hauteur de son implication dans cette mission.

Mon regard chercha ensuite mon cher ami, Phobos. J'aurais aussi voulu le remercier ou simplement m'assurer qu'il se portait bien. Je présumais qu'il allait bien et qu'il s'affairait sûrement auprès des blessés les plus mal en point. J'avais ce besoin de m'enquérir de ses nouvelles, mais une voix au loin me détourna de mes plans; celle de Phoebus. Ce que j'entendais ne me plaisait pas. Avec le temps, j'avais fini par fermer les yeux sur bien des comportements que pouvait avoir le troisième membre du Triumvirat, mais aujourd'hui, je ne cautionnais pas son attitude. Considérant que notre mission ne se terminerait qu'au moment où nous aurions foulé le pas de la sortie de l'hôpital, il était impératif que Phoebus garde son professionnalisme, blessures ou pas! Il en allait de la réputation de notre organisation…

J'arrivai près de mon collègue triumvir au moment où ce dernier avait reçu son verre d'eau, mais il était si peu discret que j'avais tout entendu de sa requête. C'est donc l'œil sévère que je l'avais regardé.


« Tout va bien… Quelques égratignures, sans plus… » Ma déception était bien perceptible tout comme mon envie de remettre Phoebus à sa place, mais ni lui ni moi n'avions besoin de ça.

Regardant autour de moi, il était clair que nos blessures respectives n'allaient pas être une priorité et que nous en aurions surement pour plusieurs heures d'attentes. Il était de mon devoir de demeurer auprès de lui, mais je n'avais guère envie de rester ici plus longtemps et encore moins de supporter les caprices de Phoebus. Ce dernier sembla aussi d'avis que nous serions mieux ailleurs qu'ici. Bon…bien que je n'appréciasse pas vraiment cette façon qu'avait Phoebus de s'inviter chez moi, il me fallu reconnaitre que c'était surement le meilleur endroit où nous rendre. Au manoir, j'avais tout le nécessaire pour soigner des blessures superficielles et ce fameux remontant qui, à bien y penser, nous ferait du bien à tous les deux!

Après avoir réglé quelques détails et insisté sur le fait que nous n'étions pas blessés au point que cela exige des soins, c'est donc chez moi que nous nous retrouvâmes. Nous étions visiblement tous les deux exténués et cela se ressentait dans nos gestes et dans nos voix. Habituellement, j'aimais battre le fer pendant qu'il était encore chaud et briefer de mes missions dès que celles-ci se terminaient, mais dans le cas présent, soigner mon collègue était encore plus important. S'il n'eut été que de moi, j'aurais vite filé sous la douche afin de reprendre mes esprits et mes aises, mais cela allait devoir attendre.

Je passai devant Phoebus qui s'était affalé sur la rampe d'escalier, posant instinctivement ma main sur son épaule. Ce geste se voulait surtout amical, comme une façon de l'aider à se ressaisir.


« Suis-moi, Phoebus... Je vais examiner ça là-haut. » lui dis-je avant de l'entraîner dans la salle de bain attenante à mon bureau, à l'étage du haut. « Enlève ton haut et assieds-toi. » De mon côté, je m'étais affairée à sortir de quoi nettoyer sa plaie. Je lui tournais donc dos.

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Apollon Lestrange
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Lumos
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Ven 26 Mar - 2:49


Conversations et etcetera au coin du feu
Meredith Carrow & Phoebus Malefoy
Le regard sévère de Meredith Carrow n’avait de cesse à me trotter dans la tête comme un rat dans des égouts. Qu’avais-je fait encore pouvant lui déplaire ? Je n’aimais pas déplaire à Meredith Carrow. Oh, cela non. Puis non, je ne comparaissais pas ma tête à des égouts : voyons !
Enfin, peut-être en ce moment.

Après tout, je me sentais las commençant à ressentir réellement la fatigue du terrain. Néanmoins, je préférais cette fatigue à tout autre énergie me dévorant. L’action venant précédemment me faisait sentir si vivant ! J’aimais décupler mes forces pour détruire tous les Moldus peu importe qui ils étaient ! Et ensuite, je n’arrivais plus à penser correctement. C’était tant mieux parce que je voulais dormir et non ressasser tout comme penser à la prochaine étape dans la guerre contre ces impurs. J’haïssais trop penser. Cela ne m’avait jamais rien amener de bon dans la vie.

Le bras droit replié contre mon torse musclé, j’avais passé la main gauche fatiguée contre mon front et l’apposant sur celui-ci. Peu après, je ressentie le toucher de sa main contre mon épaule. Ce toucher me fit me retourner pour lui sourire légèrement. J’avais l’impression d’être stupide et niais à la regarder d’en bas, une position ne me séant absolument pas en temps normal. Je ne laissais nullement entendre la taille physique. C’était plutôt mental … Étrange même. J’avais toujours été étranger dans mes propres corps et esprit avec Meredith Carrow surtout lorsque nous étions juste tous les deux : fait rare, car habituellement Ombrage faisait mention de sa présence.

Le toucher de sa peau contre mon épaule, bien malgré ma veste, me rassurait presque. De quoi ? Je n’en n’avais aucune idée. Je n’avais pas besoin d’être rassuré. Jamais ! Elle me demandait finalement de la suivre à l’étage ce que je fis, l’observant docilement, puis montant quatre à quatre le grand escalier et traversant enfin des couloirs richement décorés. Je ne pus pas m’empêcher d’émettre mon opinion sur ces tableaux d’aïeuls et autres grandes personnes ornant les murs.

- My Lady, à chaque fois que je vois ces tableaux, je ne cesse de penser devoir en ajouter chez moi. On ne peut, effectivement, que penser à la magnificence des Carrow par leur simple regard.

Que j’affirmais de manière posée et sincère ou presque. J’étais envieux aussi, un peu jaloux même de cette prestance ressentie ici. Mon manoir de Liverpool était plus froid fait de pierre à l’extérieur comme à l’intérieur. Tous les Malefoy bâtissaient leur habitation sur cette même base en effrayant, ainsi, les intrus.

Sans pour autant m’arrêter de marcher, je suivis Meredith Carrow jusque dans une salle-de-bain. Les yeux brillaient à la richesse du carrelage dont je n’avais jamais vu : effectivement, je ne payais pas souvent des visites de salles-de-bain. Je la regardais s’affairer dos à moi. Mon sang affluait de manière étrange et de plus en plus vite dans tous les pores de ma peau, dans mon corps en entier. Mon cœur battait plus fort à la simple vue de son fessier bien proportionné malgré ces presque 20 ans qui nous séparaient. Aussi docile et bordélique qu’un gamin de cinq ans, j’acquiesçais à sa demande en enlevant ma veste de complet et ma chemise pour les laisser tomber au sol.

Torse nu, je ne jetais même pas un œil à ma blessure le sang ayant séché un peu n’importe comment. J’étais trop intéressé par Meredith Carrow. Et si ? Et si je m’approchais d’elle … C’était ce que je fis entourant soudainement sa taille de mes bras musclés. Je ressentais la chaleur de son corps entrer en moi. Malgré avoir été torse nu pour la dernière minute, ce fut uniquement à cet instant que je ressentis un frisson. Je voulus la plaquer contre mon corps, je voulais ressentir son odeur contre la mienne, sa force contre moi … Mais aurais-je le cran de me rendre jusqu’au bout ?

- My Lady … Si vous continuez à jouer les infirmières avec moi, je ne pourrais plus résister à vos charmes.

Lui chuchotais-je à l’oreille et ayant oublié toute vie hors de cette pièce. Seule comptait celle qui me gardait en vie, celle pour qui je ferais sûrement tout : mais ça, j’avais peine à le comprendre.

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… À pas feutrés … Je te vois … Je te trouve … Je te détruis … Tu ne peux pas m’échapper toi qui a tes tords. Oh ! Ne fais pas l’innocent, car je le sais. Je le vois … Au fond de toi, tu le sais aussi, non ? Oui. Tu seras ma vengeance.  
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Anonymous
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Sam 18 Sep - 23:22
Conversation et etcetera au coin du feu
Phoebus & Meredith


Aurais-je dû me douter, alors que nous étions à Sainte-Mangouste, que les choses prendraient cette tournure ? Peut-être… Je n'en sais trop rien. À dire vrai, en raison de l'arrogance et du manque de respect de Phoebus à l'égard du personnel bienveillant et surchargé de l'hôpital, je n'avais strictement pas envie d'y rester plus longtemps et d'être associée à ce dernier. Clairement, une part de moi avait eu terriblement honte de son attitude fort désagréable.

Soigner les plaies de l'un de mes congénères, Phoebus qui plus est, m’avait semblé tout à fait normal. Mais quand il ôta le haut de ses vêtements, un malaise s'était emparé de moi. Je fus tentée de le laisser se débrouiller ou de le renvoyer à Sainte-Mangouste d'un coup de baguette magique… Son comportement et ses paroles ne me plaisaient pas. Pas du tout.


« Phoebus ! Mais enfin, qu’est-ce qui te prend ?! » Malefoy pensait-il vraiment qu’il suffisait de me susurrer quelques mots à l’oreille pour avoir le droit de me tripoter comme cela ? Il me donnait l’impression de n’être rien de plus qu’un vulgaire bout de viande jeté à un chien affamé. Étais-je donc ça à ses yeux ? Une femme facile sur qui on pouvait se permettre de sauter grossièrement sans lui demander l'autorisation ?
Je reculais donc, le repoussant d'un geste sec jusqu’au guéridon où reposait une bouteille de whisky et des verres en cristal qui étaient réservés pour les invités. Il y avait de cet alcool un peu partout dans les pièces du manoir, dont les salles de bain.


« Et si tu continues comme ça, c’est l’elfe de maison qui va s’occuper de toi ! »

Je m’éloignais de lui, bien décidée à quitter la pièce pour aller chercher de quoi le soigner. Je songeais tout de même qu’il était assez peu agréable, pour une dame de mon rang, de me retrouver à panser les plaies d’un homme qui n’avait pas été fichu d’éviter de se blesser lors d’affrontements. Je ne devrais normalement pas penser ainsi, mais j'étais retournée par les gestes de mon coéquipier, en colère contre ce dernier et surtout fatiguée par la journée que nous venions de passer. Ainsi, je ne pouvais m'empêcher de songer que Phoebus vantait sans cesse ses aptitudes sur le terrain et que pourtant, il cumulait de plus en plus les erreurs et les étourderies de débutant. Cela se retournait fatalement contre lui… Contre ses coéquipiers. Contre notre cause.

J’allais dans la grande salle de bains, où nous gardions quelques produits de première nécessité et je pris un moment pour me regarder dans le miroir. Cette soirée était étrange. L’assaut de Phoebus avait été étrange. Je me sentais étrange. Et j’aurais sans doute préféré rentrer seule ou être accueillie chez un ami ou une amie plutôt qu’être là à jouer les médicomages avec un Phoebus plus que pénible à gérer.

Ce n’était pas vers lui qu’étaient tournées mes pensées. J’avais vu des personnes auxquelles je tenais beaucoup être blessées ou même rendre l'âme, lors de cet affrontement. J’avais eu la chance d’être protégée par miss Fawley et j’en voulais encore un peu à Phoebus de m’avoir abandonnée comme il l’avait fait. Cet homme cherchait-il à me détruire ? N’y aurait-il pas mieux valu que j’essaie de rester avec une personne de confiance ? Helios, par exemple, William ou encore ma sœur de cœur Isadora… J’aurais certainement vécu les choses bien différemment. De façon plus apaisante, assurément. Avec l'un d'eux, je n’aurais jamais eu à souffrir comme à cet instant même où je redoutais retourner auprès de Phoebus.


« Allez… Un peu de courage » pensais-je. Une fois Malefoy soigné, j'allais pouvoir aller me reposer.

Je me lavais les mains et me passais un peu d’eau fraîche sur le visage. C'était un geste banal, mais qui me raccrochait à la réalité.
Et quand je revins dans la pièce et que je vis que Phoebus nous avait servi un verre de whisky chacun, j’eus un soupir.
« Merci pour cette petite attention… » J’étais alors loin de me douter que l’homme avait versé une potion dans mon verre…


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