Brique après brique, il détruit une personne, une mentalité, une personnalité. Qu'est-ce qui t'fais croire que t'es important, qu'est-ce qui te fait croire que qui que ce soit en a a foutre de ce que tu deviens ? Les mots qui blessent, qui font mal, qui déchirent l'âme de ceux qui ont eu le culot de tenter de le dépasser. La rancune amère et la méchanceté gratuite pour les enfoirés du deuxième rang qui pensent que leur sang impur et dégueulasse puisse un jour atteindre le sien et celui de sa royauté. Il a du poison dans la salive et de l'acide dans les mots, Marcus, toujours une chose à dire, un coup à mettre pour rabaisser ceux qui le méritent - du moins à ses yeux - et ses griffes acérées qui ne lâchent pas la proie qui se pensait prédateur, à lui rentrer dedans comme s'ils peuvent le supporter. (Rancune)
L'un ou l'autre, jamais le même, les astres qui tournent tout autour de sa tête. Un jour le soleil, la chaleur, la douceur, l'étreinte que l'on veut avec les promesses de protection et la sensation d'être aimé. Un jour, une humeur douce et aimable, avec les baisers, les mots doux, la gentillesse et les caresses. Le soir, la lune. Les marées, montées de colère, de violence, de perte et de brutalité. La froideur de la pluie, les regards qui blessent et le silence d'impassibilité. Toujours entre les deux, Marcus, sans jamais savoir s'il aime ou s'il haït, à montrer soit le visage d'une pleine lune ou l'ombre d'une nouvelle. Je t'aime un jour, va crever cinq minutes plus tard. (Lunatique)
À la tête du royaume, posé sur un trône d'or et de sang, les rêves d'être toujours meilleur et toujours plus. Dans ses rêves, sous la couverture glacée du monde de Morphé, c'est lui qui les éliminera. Un par un, l'un après l'autre, qui sauvera le monde magique et qui fera du monde un endroit bien meilleure. Parce qu'ils ne méritent pas la présence, l'insolence de faire parti du même monde, de respirer le même air, d'expérimenter dans un endroit que ses pieds parcourent. L'ambition toujours plus grande, blessée dans son égo par ceux qui osent prendre chacune des places qu'il aimerait posséder. Marcus, il rêve de grandes choses, il a des rêves plein la tête, de l'or dans le sang et de l'ambition dans les yeux, mais pour aller à des endroits si grands, si beaux, pour des raisons si amères, si mauvaises. (Ambition)
Les doigts encrés de noir et les pensées perdues entre fiction et réalité, il se perd facilement. À ne plus faire la différence entre ce dont il rêve et ce qu'il a réellement vécu. Des fois, la rage contre des personnes sans raisons, d'autres la gentillesse pour ceux qu'il aurait dû haïr. Il est intelligent, Marcus, pourtant. À beaucoup savoir, des choses que la plupart omettraient qui se gravent dans son esprit. Concentration hors pair sur certaines choses qui ne devraient pas l'avoir, dissociation pour ce qui devrait l'intéressé et son attention qui disparaît. Souvent les doigts tâchés d'encre noire qui s'essuient sur son visage, un peu perdu dans ses pensées. Quoi, pardon, vous me parliez ? Et pourtant toujours des notes excellentes, une moyenne optimale. (Intelligence)
Un serpent au touché sucré qui donne l'envie de toujours plus, un sourire charmeur, une voix douce et agréable qui demande des choses d'une manière si aimable, si amicale qu'on ne peut dire non. Une demande, deux, trois, cinq, dix. Jamais un non, jamais un refus, parce qu'il sait faire petit à petit, une douce horreur qui lui amène toujours à avoir ce qu'il veut. Manipulateur hors pair, charmant et inégalé. Il les empoisonne avec des petites demandes chaque jour, qui les mène souvent à dire oui a de plus grandes choses sans s'en rendre compte. (Manipulation)
Un taureau sans corne, qui fonce, écrase et éviscère le premier venu avec les crocs d'un prédateur, légendaire violence d'un loup caché parmi les agneaux. Il écrase la compétition et ceux qui n'ont pas assez de cran pour continuer. Il proclame, prône, proteste, profâne, provoque le tonnerre des dieux au dessus de sa tête, avec cet air d'enfoiré de première et le sourire moqueur. Les coups de poings ou coups de fouets qui le font rire, un peu plus à chaque fois, parce que c'est pas avec la violence qu'on peut combattre la sienne. (Brutalité)
Un mensonge au goût du miel et à la douceur du coton, l'hypocrisie qui baigne dans ses lèvres et se noie dans ses baisers. Il ment, il ment beaucoup trop, Marcus. Il refuse, refuse, et pourtant après un toucher et un baiser, ses barrières tombent et les murs éclatent. Les mensonges, l'hypocrisie, la trahison du sang et de tout ce qu'il pensait être normal. Mais c'est un secret, ça reste des secrets, aucune raison pour que ça s'apprenne, et si jamais ça arrive, qui est-ce que l'on croira ? Le serpent aux mots empoisonnés, ou l'impur qui offre la vérité sur un plateau d'argent ? (Hypocrisie)

Sous la forme d'un rp, veuillez nous raconter un souvenir marquant de votre personnage, quelque chose qui a changé/marqué sa vie à jamais. (350 mots miniumum)

Coactique aliquotiens nostri pedites ad eos persequendos scandere clivos sublimes etiam si lapsantibus plantis fruticeta prensando vel dumos ad vertices venerint summos, inter arta tamen et invia nullas acies explicare permissi nec firmare nisu valido gressus: hoste discursatore rupium abscisa volvente, ruinis ponderum inmanium consternuntur, aut ex necessitate ultima fortiter dimicante, superati periculose per prona disceduntCoactique aliquotiens nostri pedites ad eos persequendos scandere clivos sublimes etiam si lapsantibus plantis fruticeta prensando vel dumos ad vertices venerint summos, inter arta tamen et invia nullas acies explicare permissi nec firmare nisu valido gressus: hoste discursatore rupium abscisa volvente, ruinis ponderum inmanium consternuntur, aut ex necessitate ultima fortiter dimicante, superati periculose per prona disceduntCoactique aliquotiens nostri pedites ad eos persequendos scandere clivos sublimes etiam si lapsantibus plantis fruticeta prensando vel dumos ad vertices venerint summos, inter arta tamen et invia nullas acies explicare permissi nec firmare nisu valido gressus: hoste discursatore rupium abscisa volvente, ruinis ponderum inmanium consternuntur, aut ex necessitate ultima fortiter dimicante, superati periculose per prona disceduntCoactique aliquotiens nostri pedites ad eos persequendos scandere clivos sublimes etiam si lapsantibus plantis fruticeta prensando vel dumos ad vertices venerint summos, inter arta tamen et invia nullas acies explicare permissi nec firmare nisu valido gressus: hoste discursatore rupium abscisa volvente, ruinis ponderum inmanium coactique aliquotiens nostri pedites ad eos persequendos scandere clivos.