Sous la forme d'un rp, d'un journal, d'anecdote d'une liste de course si cela peu vous faire plaisir  racontez nous de manière rédigée l'histoire de votre personnage ! (800 mots minimum/5000 mots maximum)

Avant de vous parlez de moi, Aiko Mcfusty, il faut en premier temps que je vous raconte l’histoire de la rencontre d’Eliott et Akemi, mes parents. Revenons donc en arrière si vous le voulez bien.


Mon père est parti au Japon après ses études à l’école de sorcellerie d'Angleterre, plus connue sous le nom de Poudlard. Pour ma part, je ne la connais qu'à travers les livres et grimoires de la librairie de ma mère et les dires de ma cousine Abigail. Mais je m’éloigne du sujet, Mon père a donc quitté l'île de Dùn ou se trouve la résidence de mes grands-parents dans les îles Hébrides, pour partir vers les doux paysages du Japon dans la belle ville d’Osaka. Il y était venu pour en découvrir plus sur les dragons de cette île et les légendes qui vont avec.

Quelques années plus tard, au détour d’une ruelle, il tombe sur la boutique de sa future épouse, quand il entre dans celle-ci à la recherche d’un grimoire célèbre sur la dragonologie, son regard croise celui de la jeune femme et c’est le coup de foudre. S'ensuit deux ans de parfait amour, puis ils s'unissent lors d’un mariage dans les coutumes de son pays d'accueil.

Ma naissance a lieu dix mois plus tard en mai mille neuf cent quatre-vingt-sept (1987) je suis du signe du zodiaque japonais du Lapin aussi appelé Usagi en japonais. Durant mes sept premières années de vie, j’ai vécu entourée de tout l’amour que l’on puisse recevoir. Grandissant entre les rayons de la librairie de ma mère et les recherches en dragonologie de mon père. J’ai appris à connaître les dragons des îles Hébrides ainsi que les espèces japonaises à travers les récits et les écrits de mon paternel, à apprécier un livre sur la sorcellerie ou un ouvrage moldu.

Le clan est chargé de veiller sur les dragons natifs de l’archipel, les îles sont simplement comme une grande réserve naturelle, elle nous permet de les étudier à bonne distance, tous les membres du clan ont un rôle à jouer de par leurs spécialités.

Puis est venu l'âge de l'apprentissage, lorsqu’on a sept ans, nous faisons notre entrée dans l'école de sorcellerie de Mahoutokoro ou ma mère avait fait sa scolarité avant moi. Réparti dans l’équipe des batteurs comme elle avant moi. Ma scolarité se déroule sans embûche, je passe d’une année à une autre sans trop de problème, restant dans la moyenne et le droit chemin.

Entre temps, mon père est rappelé auprès du clan pour affronter le mage noir du nom de Voldemort, ma mère part avec lui me confiant a ma grand-mère maternelle pendant ce temps-là. Évidemment la bataille n’est pas sans conséquence, ils rentrent tous deux avec des séquelles, des maux parfois invisibles, des cauchemars et quelques cicatrices.

Durant toute ma vie, nous faisons plusieurs aller-retours entre le japon et les îles Hébrides, ce qui me permet de bien connaître les autres membres du clan ainsi que mes cousins et cousines.

Revenons- en à mes études, pas de cursus universitaire pour moi, pour tenir une librairie je n’en ai pas besoin. Je suis donc devenu le second de ma mère dans la boutique japonaise, jusqu’à mes vingts-cinq ans, après cela nous avons pris la route vers l'Angleterre.

Sur place, je décide de suivre le chemin de ma mère et j’ouvre ma librairie. Nous sommes alors à deux mille douze, le calme est encore présent à ce moment précis. Mais plus pour très longtemps, en deux mille dix-sept, il est temps pour moi de prendre une décision importante et de rejoindre l’ordre du phénix comme la plupart des membres du clan Mcfusty, je ne suis pas des plus douée au combat, mais je me débrouille tout de même. Ce qui me permet de rester en vie.


Cependant avec les années je tâche de ne pas me faire trop remarquer, je tente de ressembler à un moldu le plus possible afin de passer pour l’un d'eux lors de mes déplacements entre le monde sorcier et le leurs. Que ce soit dans ma façon de vivre ou de m’habiller, usant de la magie que quand cela est vraiment d’une grande nécessité.

Vous me trouverez bien souvent derrière mon comptoir, un sourire aux lèvres, une paire de lunettes sur le nez qui ma foi glisse bien trop souvent à mon goût, probablement car elles sont mal réglées. Celui-ci abrite aussi quelques livres et grimoires en attente d’être rangés sur leurs étagères. Un tasse contenant du thé sorcier ou autres breuvages y a aussi sa place. C’est ranger sans l’être, ça fait le charme de l’endroit, vous pourrez y croiser ma mère de temps à autre, toujours prête à vous venir en aide ainsi que le paternel dans un recoin aménagé pour la lecture sur place. Une boutique familiale où il fait bon vivre, un petit bout de paradis dans l’enfer environnant.

Je pense avoir fait le tour de mon histoire, la suite reste à écrire et quelques informations doivent rester secrète, c’est une bonne chose de ne pas tout vous dévoiler immédiatement. Apprenons à nous connaître car il me reste encore de nombreuses choses à vivre!