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Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes,
alors pensez à les privilégier pour vos personnages

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Il n'a rien d'un prince charmant [Kesabel] :: Three Broomsticks :: Pensine :: Les RPs
Maxime Whitefield
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Jeu 12 Nov - 22:35
Il n'a rien d'un prince charmant
Grand Méchant Loup

Non mais à quel moment, j’étais devenue menuisier, charpentier ou maçon ? Qu’on soit bien clair, moi ma vie ça n’était pas la meute, loin de là. J’avais un job, des amis, potentiellement des devoirs mais bon il faut aussi reconnaître que mes notes ne s’écroulaient pas grâce à l’aide de Sélénya plus qu’à mes efforts acharnés. Bref, me casser les pieds pour aider à reconstruire un vieux bâtiment pris d’assauts par les flammes, à cause de leur chef de meute en carton, très peu pour moi. D’ailleurs, j’aurais dû avoir un passe-droit, non mieux encore un discours de remerciement pour avoir été d’une aide précieuse, indispensable, voir même mon comportement irréprochable... Bon là peut être que j’exagérais un peu. Au lieu de ça, j’étais missionnée pour venir aider. Alors s’il m’était impossible de désobéir et de ne pas me pointer. Nulle part dans ce contrat fictif qui me liait à la meute, il était marqué qu’il fallait être ponctuel. Après tout, j’avais une vie bien remplie, je prenais le droit de venir avec 2h59 de retard. Mais, pour pas que les camarades râlent, j’avais décidé de faire les choses bien.  

Première étape, arriver en catimini, ne pas me faire repérer. J’aurais dû penser à mettre du parfum pour masquer mon odeur, flûte Est-ce que je ne devrais pas repartir discrètement ? «Maxime?» Ah oups, repérée en moins d’une minute. Deuxième étape, faire semblant que j’étais vraiment ultra gênée d’être en retard «Je suis en retard.» Mais non, ce n’est presque pas une évidence, pourquoi il haussait un sourcil, hé ho laisse-moi fournir une excuse «J’avais plein de devoir à faire, ça ne tombait pas très bien le jour de reconstruction, quelle idée de pas me demander mes disponibilités, c’est dingue après je vous laisse tout seuls bosser, je culpabilise.» Rien du tout, on m’aurait demandé quand j’étais dispo, j’aurais dit jamais. «Du coup pour me faire pardonner, j’ai rapporté ça!». Etape 3 acheter ses partenaires avec de l’alcool, si si ça marchait. S’il avait ce petit sourire un peu moqueur, en me regardant, il n’empêche qu’il récupéra les bouteilles pour me filer un truc dans les bras, parce que la magie de toute façon, c’est surfait bon et que trimballer des poutres par magie, il y a moyen ça fracasse un ou deux crânes au passage. «Va jeter ça dans les bennes.» Si je soufflais, montrant mon immense motivation pour filer un coup de patte, il sut parfaitement m’acheter dans la phrase suivante «Dépêche-toi sinon il n'y aura plus rien à mettre dans ton verre.» C’est dingue comment ça marchait bien. Je me dépêchais de rejoindre la benne pour balancer ce que j’avais dans les bras, m’arrêtant quand même toutes les deux secondes pour dire bonjour - à ceux que j’aimais bien – et discuter avec eux et fournir toujours la même excuse pour mon retard ayant même le droit à deux reprises à des phrases bourrées de mise en garde sur le fait que ça pouvait déplaire. Ah non mais de toute façon, que personne ne s’inquiète. Que je sois à l’heure, en retard, absente, je le gaverais quoi qu’il arrive le maître du contrôle et des règles qui ne vont que dans un sens. Il est possible que j’aie marmonné à l’un des membres de la meute qui me disait ça «Je l’emmerde.» Chose que je pensais mais que peut être, il aurait mieux valu garder pour moi. Et pourtant, oui je lui en voulais réellement parce qu’autant, on pouvait être en désaccord, il pouvait me reprocher tout plein de trucs, tout comme je lui en reprochais, ça m’avait fait tout drôle déjà d’être traité de gamine mais en prime qu’il m’annonce comme ça de but en blanc qu’il passait outre mes exigences, menant sa vie comme il l’entendait, qu’il aille au diable. Même si ça voulait dire faire une croix sur mes propres envies, mon ego s’en porterait bien mieux et c’est lui que je privilégiais, mon corps n’avait qu’à suivre.

Je revins donc auprès de mon groupe, m’appuyant contre une des tables pour pouvoir trinquer à... notre réussite de reconstruction qui était sur la bonne voie et tandis qu’une des personnes poussa du pied un morceau de poutre calciné qui se désintégra il marmonna « Comment une telle chose a pu se produire. » Si je me doutais que Kesabel avait raconté l’histoire à sa sauce, je me proposais pour leur raconter ma version. « Tout a commencé par un réveil un peu spécial, une porte a claqué et je me suis réveillée. J’étais seule avec Greyback. » Sous les regards un peu goguenards, je précisais   « Non, il ne s’est rien passé du tout, il est beaucoup trop vieux pour moi. » Si les mots étaient sortis naturellement, ils n’étaient pas pour autant spécialement emplis de vérité. Mais qu’importe, ça ne concernait que moi cette partie de l’histoire. J’étais donc rapidement en train de raconter comment ça s’était passé, exagérant tout parce qu’un bon conteur exagère toujours les choses. Le moins que l’on puisse dire c’est que je captivais mes camarades, un peu trop peut être même puisque les gens ne faisaient plus rien, écoutant juste et me posant des questions à chaque fois que je portais mon verre à mes lèvres pour m’humidifier le gosier et pouvoir ensuite rappeler à quel point j’avais été géniale ce soir là et que toute la réussite me revenait.

Puis comme un sixième sens, mon baromètre interne qui m’indiquait problème, problème- Baromètre très développé vu le nombre de fois où j’étais en danger- je sentis qu’il y avait un truc qui clochait, je posais mon verre un peu précipitamment, probablement alerté par les regards d’un gars avec qui je parlais qui semblait fixer un point derrière nous. Oh j’avais un très, très mauvais pressentiment là tout d’un coup, je tournais légèrement la tête pour voir ce qui pouvait inquiéter mes sens, même si, c’était une évidence en réalité. Quelle bonne surprise, Kesabel, oups. Oui alors, la solution dans ces moments-là, surtout quand il y avait plein de mondes, c’était encore de me carapater. «Bon bah je vais y aller moi, je vous laisse continuer, vous êtes sur la bonne voie.» Après tout, rien ne disait qu’il était furieux – parce qu’il semblait furieux en tout cas - à cause de moi. Peut être que ça pouvait être parce que les poutres étaient mal alignées ou que sais je. Dans tous les cas, la meilleure solution pour moi c’était de m’écarter discrètement de ma table, oui d’abandonner mon verre à moitié rempli et d’essayer de me barrer avant qu’il ne s’aperçoive de ma présence. Ça pouvait marcher, ça devait marcher. Etape 4 donc ne pas se faire repérer par Kesabel et réussir à se tirer de cet endroit de malheur avant qui ne me mette la main dessus et bien le moins que l’on puisse dire c’est que je sentais que ça allait être compromis, pourtant j’avançais discrètement, bon relativement rapidement néanmoins. Comment je savais que c’était la merde, oh bah dans le regard des gens ça semblait évident. La porte se rapprochait néanmoins de moi et avec elle la possibilité de transplaner je pars du principe qu’elle peut pas le faire de l’intérieur encore quelques pas et il ne pourrait pas m’atteindre, quelques pas avant une victoire pleine de panache.


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Kesabel Greyback
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Dim 22 Nov - 18:30

Maxime & Kesabel
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Partout où tu passais, ta réputation te précédait. L’image qu’on avait de toi était celle d’un loup sombre, au passé trouble, voir violent. Tu ne faisais rien pour te défaire de cette ombre qui t’enveloppait depuis ton adolescence. Le nom que tu portais faisait déjà beaucoup à ce que tu véhiculais. Ton séjour à Azkaban aussi… Tu n’y avais fait qu’un passage, c’est que personne n’avait vraiment pu prouver ce dont on t’accusait. Mais cela avait eu le mérite de te calmer. La lycanthropie enfermée était une véritable torture et jamais tu ne voudrais revivre ça. L’éducation que tu avais endurée durant ton enfance et adolescence avait été à l’époque une grande épreuve dans ta vie. Tu ne connaissais pas l’amour que pouvaient apporter des parents. La seule personne qui avait compté dans ta famille, c’était ta soeur, qui se tenait à tes côtés plus comme une mère. Mais les rituels familiaux l’avait amenée à sa perte, brisant sa jeunesse et mettant fin à sa vie, bien trop courte à tes yeux. Et alors qu’elle était partie dans son repos éternel, elle avait pris avec elle les résidus de ton myocarde le transformant en un organe desséché, incapable de battre pour autre chose que le besoin de la vengeance. Il s’animait sous la colère et la haine. Et lorsqu’enfin tu avais obtenu la mort du responsable de cette tragédie, tu t’étais complet dans le moule forgé pour toi, te persuadant de la supériorité des loups sur le reste de la population sorcière. Tu allais au plus offrant et à ce jour, côté sorcier, il te semblait que les actes radicaux des Mangemort étaient bien plus efficaces contre ces moldus fanatiques. Cette personne que tu étais devenue, elle en avait écoeuré plus d’un. Qui avaient fini par te tourner le dos sans même qu’ils ne comprennent comment tu en étais arrivé là. Si pour certain, cela t’avait plus blessé que d’autres, tu considérais que ce n’était pas des pertes. Que chacun trace son chemin après tout. Mais il y en avait bien une qui semblait se foutre de tout cela. De ton passé, de tes humeurs. De la possibilité que tu ne la butes d’un mouvement de baguette. Mais elle trainait bien trop dans tes pensées pour cela…

Si tu te complaisais dans ta meute et dans le rôle que tu avais auprès de loups, tu t’épanouissais auprès de tes dragons. Ils te permettaient, l’espace de quelques instants de penser à autre chose. Bête sauvage à l’état brute qui en imposait de par sa présence et son élégance. Gracieux et tumultueux, tu n’avais de cesse de l’admirer pour ce qu’il était. Ces derniers jours, l’une des dragonne venait de faire naitre un oeuf. Tu l’avais éloigné des autres, sans quoi, ils auraient tué le petit sans vergogne. La femelle avait couvé l’oeuf avec précaution et voila qu’un nouveau né venait compléter ton élevage. Mais ta contemplation devait s’arrêter là… La reconstruction du bar récemment brulé était à l’ordre du jour. Tu transplanais au bar calciné et retrouvais rapidement ta meute. Presque au complet car il manquait une odeur au bataillon. Usant de sortilège pour restaurer certains éléments de la bâtisse, débarrassant certaines ruines, tout le monde y mettait du sien.

Si tu l’avais senti arriver, tu fis mine de ne pas t’en occuper sur l’instant. Mais tu allais devenir la remettre en place. Ce n’était pas qu’un jeu entre elle et toi. C’était ton autorité de chef de meute qu’elle remettait en cause en agissant de la sorte. Et tu ne pouvais pas te permettre de risquer ta place parce que tu avais envie de te faire une nana. Ce que tu ne t’expliquais c’était cette attraction. Tu étais comme liée à elle d’une façon que ne déterminait pas. Ton regard sombre se posa dans son dos alors qu’elle distribuait des bierres et commençait à distraire les personnes présentes. Tu aurais tout donner pour retourner vers tes dragons et les envoyer tous chier. Tu avançais finalement dans son dos. Les regards de certains glissaient sur toi, puis sur elle. Certains posaient même leurs bouteilles pour retourner bosser. Faut reconnaitre que tu n’avais pas l’air aimable. Elle commençait à te courir sur le haricot sévèrement. Au moins, elle n’avait pas sapé toute ton autorité… Tu la vis alors commencer à se défiler. Signe qu’elle avait bien capté ta présence approchante à mesure que tu l’écoutais raconter sa version de l’histoire. Elle était vraiment en train de tenter de se tirer ? Tu sautais par dessus un monticule d’ordure et la prenait de court, lui agrippant sévèrement le bras, l’obligeant à te faire faire face. « Toi et moi… on va s’expliquer. » Autour de toi émanait une aura sombre, prête à démolir n’importe qui. « Au boulot les autres ! Je vais m’occuper de la Princesse qui semble avoir du mal à bouger ses petits doigts délicats pour nous aider. » Tu la trainais derrière toi, te fichant de ce qu’elle pouvait bien dire, si elle tentait de résister ou non. Tu te rendais en dehors de la bâtisse dont la carcasse avait par trop mal résisté. Tu l’attirais précisément là où tu l’avais laissé la dernière fois que tu l’avais vu. Tu le rejetais violemment en arrière. Si elle tombait ? Perdait l’équilibre rien à foutre. « Que ce soit clair Whitefield ! C’est la dernière fois que tu ne réponds pas à mes ordres ! » Tu t’approchais d’elle, plus menaçant que jamais. « Ne t’amuse pas à défier mon autorité, car je peux t’assurer que j’ai envie de te baiser ou non ne jouera aucunement en ta faveur. » Tu lui agrippais le menton et la forçait à regarder là où Forthson avait perdu la vie. « Je te foutrais à la porte de ma meute. Et si tu viens encore me casser les couilles après ça, tu finiras comme Forthson. » Tu penchais ton visage au creux de sa nuque. Bordel, son odeur te rendait dingue. Elle te rendait dingue. C’était comme si tu étais incapable de te contrôler quand elle était en ta présence. « Est-ce que c’est clair ? » murmurais-tu finalement avant d’aller croiser son regard.
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Maxime Whitefield
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Lumos
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Dim 6 Déc - 17:37
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Et devinez qui n’atteignit jamais la porte ? C’est une question rhétorique, bien sûr que c’est moi. Une sensation d’étau vint me comprimer le bras, m’immobilisant avant de me faire tourner comme une poupée pour le regarder. Pas de bonjour Maxime, je suis ravi de te voir. Non il avait l’air sacrément de mauvais poil. Je lui adressais un regard avec une lichette de défi avant de prendre le parti de fermer ma bouche et ne surtout pas attraper la perche qu’il me tendait avec ses explications. En temps normal, je l’aurais fait sans aucun problème mais là, une petite voix les rpgistes me soufflait qu’il valait mieux ne pas trop l’ouvrir au risque de ne pas aimer ce qui allait suivre.

Ce qui était sensationnel, outre le fait que c’était carrément déplaisant, c’est cette facilité qu’il avait de faire obéir les gens. Il lui avait suffit de quatre mots pour que les gens se détournent de leur verre et retourne aux réparations. Je retins un rire mélange de nervosité et de moquerie lorsqu’il osa parler de mes doigts délicats. Gars, une fois par moi mes doigts se transforment en pattoune de clébard, de quoi tu me parles. Non j’avais aucun mal à les bouger qu’ils ne s’inquiètent pas, pour tenir mon verre mes doigts étaient parfaits. C’est juste que je n’avais pas envie d’aider, c’est totalement différent.
Dans un registre un peu semblable, il ne semblait pas avoir envie de m’épargner. Si je résistais les vingt premières secondes, essayant de ne pas me laisser entraîner là où je ne voulais pas, j’abandonnais la lute en constatant que purée, il était toujours aussi costaud et que je n’arrivais pas l’empêcher de me tirer comme un chien.

Mon regard s’assombrit en constatant où nous étions. Mon cœur s’accéléra, mon cerveau me jouant des tours en me faisant revivre par des sons, des odeurs et une sensation de trahison immense, la soirée que nous avions vécu. Je ne m’attendais pas à ce qu’il me repousse et je trébuchais, manquant de tomber. Je me stabilisais de nouveau sur mes jambes tandis qu’il me faisait une piqure de rappel. Je le jaugeais du regard, pouvais-je répliquer ? Je pris la décision que oui « Je suis là il me semble, j’ai donc obéi à tes ordres. » Je ne bougeais pas d’un pouce tandis qu’il s’approchait, ce n’était pas l’envie qui manquait néanmoins mais j’avais conscience que ce n’était pas une option. Je ne rétorquais rien sur l’envie qu’il avait de me baiser. Bien sûr que si ça jouait en ma faveur, il était le seul à ne pas s’en rendre compte que si aucun membre de sa foutue meute ne jouait avec le feu contrairement à moi, ce n’est pas parce que j’étais plus courageuse, c’est bien que je savais que son envie de me posséder jouait en ma faveur. Je grondais tandis qu’il m’attrapait le menton « Tu me fais mal. » Oui non mais fallait bien lui dire. Est-ce que je devais lui expliquer le principe qu’une fois morte en fait, ça allait être plus compliqué pour son envie de baiser ? non ne provoque pas, après ça te retombe dessus.

Il y eut néanmoins un sursaut d’orgueil de ma part. « Tu es en train de me comparer à Forthson là ? Tu es en train de me mettre dans le même panier qu’un type qui viole des filles et qui a essayé de t’immoler, t’es sérieux ? » J’écartais mon visage le plus loin possible du sien mais il faut admettre que ce n’était pas facile vu qu’il me tenait le menton ce crétin. « Mais allons-y Greyback. Fais-moi donc finir comme Forthson vu que oui, j’ai prévu de te casser les couilles et de respecter tes demandes autant que tu respectes les miennes. « Est-ce que j’avais peur de lui ? Un peu oui, ce serait mentir que de dire que je n’étais pas stressée à l’idée qu’il me prenne au mot. Mais quelque part, je savais depuis des années maintenant que ce serait lui ou moi. Sauf que ce n’était plus si évident pour moi, j’avais eu ma chance la dernière fois, j’aurais pu échanger les rôles et le laisser mourir, je n’avais pas réussi. J’avais voulu qu’il s’en sorte. Pourquoi ? Pour coucher avec uniquement ? Je n’y croyais pas réellement, c’était plus ambigu que cela. Et contrairement à cette frustration qu’il me faisait vivre, en me touchant sans jamais aller plus loin, ce désir qu’il faisait naître en moi et qui faisait vaciller ma volonté. La dernière fois, il m’avait bien fait comprendre que j’étais celle des deux qui respectait le plus l’autre. Alarmant tout de même d’arriver à ce constat alors que j’étais sensé être celle qui voulait tuer l’autre. Alors si lui mourait d’envie de finir ce travail qu’il avait commencé il y a des années et bien grand bien lui fasse. « Tu veux que nous fassions les choses en grand pour redorer ta superbe image autoritaire ? Tu veux que je me mette à genou pour que tout le monde pense que j’ai imploré ta pitié mais que ça n’a pas fonctionné ? » Je posais mes doigts sur les siens pour l’inviter à me lâcher, mon regard plongé dans le sien, répondant enfin à sa question « C’est clair, t’es un connard. » Et je ne parlais pas que de maintenant, de cette menace qu’il faisait peser sur ma vie, sans autre raison que son orgueil de mâle alpha qui n’était même pas remis en cause, preuve en est tout le monde s’était empressé de faire ce qu’il avait demandé à la seconde où il l’avait demandé. Personne n’avait profité de mon ouverture pour refuser de faire sa tâche. Non, je parlais d’un tout, de ça, du fait qu’il m’avait bien fait comprendre que contrairement à ce qu’il avait dit des heures avant, il avait clairement l’intention de sauter d’autres personnes. Mais ce n’était rien à côté de ma bêtise, moi j’étais assez bête pour ne pas avoir essayé de le tuer, moi j’étais assez bête pour ne rien avoir fait depuis et moi j’étais assez bête pour revenir dans cette meute pour récupérer des menaces de morts comme si j’étais aussi problématique à ses yeux que l’autre qui était mort ici même. C’était du grand n’importe quoi.

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Kesabel Greyback
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Lun 21 Déc - 23:29

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Elle allait te rendre dingue. Déjà que tu contrôlais difficilement tes réactions en temps normal mais là… avec elle… c’était juste impossible. Est-ce qu’elle avait reçu le don inné de te casser naturellement les couilles ? En parlant d’elles… elles devaient aussi jouer sur ton humeur vu que tu n’avais pas pu t’envoyer en l’air depuis des semaines. Merde. Qu’est-ce qui te prenait te tenir ta queue ranger pour une nana que tu n’avais même pas baisé ? Tu entendais encore le rire d’Alexis lorsque tu as refusé de t’envoyer l’air quand tu avais été la voir pour te faire soigner. Tu aurais pu vu l’état de nerfs dans lequel cette furie brune t’avait laissé mais tu avais finalement résisté. Pourquoi ? Tu cherchais encore la réponse à cette question qui semblait ne pas vouloir venir. Alors quand tu réalisais qu’elle n’était pas à l’heure mais qu’en plus, elle arrivait pour détourner l’attention des personnes présentes… avec l’intention de rien foutre… Tu aurais été capable de l’encastrer dans un mur. Tu préférais plutôt foncer dessus avec quelques remarques bien placées, afin d’asseoir ton autorité. Fait étrange, tu constates qu’elle ne réponds pas et se contente de te fusiller du regard. Tu la trainais derrière toi malgré ses réticences quitte à serrer davantage ta prise sur son bras.

« Tu obéis quand ça t’arrange tiens… » réponds tu sèchement alors qu’elle te dit être là suite à tes ordres. Tu continues tes menaces, agrippes avec fermeté son visage, afin de l’obliger à regarder là où Forthson a lâché son dernier soupir. Tu retiens à peine ta poigne alors qu’elle te dit avoir mal. « Tu me gonfles Whitefield ! » Rugis-tu alors qu’elle te propose de se mettre à genoux pour toujours aller plus loin. Elle a raison, elle n’a rien à voir avec cet enfoiré bien sûr. Mais elle te rends fou. Tu n’as plus de mesures quand elle est dans les parages. Tu ne sais pas comment te contenir quand elle te provoque de la sorte. Entre l’envie de la retourner pour la blesser ou de la prendre sur le champ en te glissant entre ses cuisses. Mais ses paroles ne t’échappent pas. Tu comprends parfaitement le sous-entendu. Elle a vraiment cru que tu avais été voir ailleurs et elle est en rage. Tu pourrais largement profiter de cet aveu. Jouer avec elle. Pourtant, tu la relâches alors qu’elle te traite de connard. « Putain de merde ! Tu me rends complètement dingue Maxime ! T’en as conscience au moins ? » Tu te tournes un instant pour chercher à récupérer ton calme. Passe nerveusement tes mains dans tes cheveux. Inspire profondément. Libère lentement ton souffle. « Tu ne peux pas me défier comme ça devant toute la meute. Tu fous en l’air tout l’équilibre. Je suis l’alpha de cette meute. Qu’est-ce qu’ils vont penser d’un chef qui se laisse aller devant une nana parce qu’il est attiré par elle ? Parce qu’il est pas foutu de se la sortir de la tête ? » Tout en parlant tu t’es retourné pour plonger l’ambre dans tes yeux dans ses prunelles. Tu cherches ses réactions avec intensité sans savoir quoi comprendre.

Tu t’approches lentement d’elle, la respiration saccadée parce que tu ne sais même pas comment agir. Réagir. Oui elle te rends dingue. Il y a un truc chez elle. Quelque chose en plus qui t’attire irrémédiablement à elle. Un besoin d’assouvir un fantasme comme tu l’as si bien sorti à Alexis pour te dédouaner ? Tu sais que ce n’est pas que ça mais sans pouvoir mettre le doigt dessus. Tu l’attrape par le bras, avec plus de douceur, si c’est possible venant de toi.Tu t’imposes dans son espace. « Concentre toi Princesse ! Est-ce que tu sens l’odeur de quelqu’un sur moi ? » Tu la défis du regard. La mâchoire crispée. C’est plus fort que toi mais ton corps est complètement appelé par le sien. Et tu le sens… c’est elle qu’il veut et clairement pas une autre. Tu sais qu’il en va de même pour elle. Il n’y a aucune odeur de sexe mêlée à chair. Le loup en toi s’éveille. Il gronde. Il voudrait pouvoir s’exprimer comme tu le laisses faire bien trop souvent. Il contrôle tes émotions, tes envies. Tu es presque sa marionnette des fois. Et là… il n’avait envie que d’une chose, que ton corps aille percuter le sien. Et c’est ce que tu fais. Un de tes bras s’enroule autour de sa taille, ta main libre glisse sur sa nuque avec possessivité. « Repousse-moi maintenant Whitefield, car je serais pas capable de me retenir cette fois… » Tu murmures doucement. Ton souffle frôle ses lèvres. Son odeur t’embrase. Sa chaleur t’enveloppe. Mais tu attends. Tu attends une dernière fois. Ses courbes que tu retiens contre ta carcasse, ton regard embrasé qui ne lâche pas le sien.
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Maxime Whitefield
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Ven 25 Déc - 22:30
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J’obéissais quand ça m’arrangeait ? Non mais l’hypocrisie du type bonjour. C’est vrai que ça m’arrangeait de ne pas avoir de potions toutes les pleines lunes et de courir après des gens sans raisons. Je le regardais de travers sans relever néanmoins, s’il était trop con pour se rendre compte que je lui obéissais régulièrement, qu’il me forçait à faire des choses qui allaient contre mes convictions, tant pis pour lui, il n’y avait plus rien à tirer de ce type.
En plus moi j’étais sympa, je lui proposais gentiment de me soumettre à son égo démesuré et voilà que monsieur j’ai un caractère de merde mais je le vis super bien répliquait en disant que je le gonflais. Sans blague ? Dès que ça n’allait pas dans son sens, c’est bien simple il était insupportable et je le gonflais. Je me retins de lui répondre qu’il me gonflait tout autant mais que ça n’était pas pour autant que je le menaçais, que je l’étranglais et que j’allais voir ailleurs dès que ça n’allait pas. Bon pour le fait de le menacer, je suis pas sûre que je l’impressionnerais beaucoup… pour le coup de l’étrangler, il y a fort à parier qu’il aurait largement le temps de m’en retourner une. Ouai, il semblerait que le mieux était encore que je me taise quand bien même tout cela ne me plaisait pas.

Ma superbe résolution de garder le silence s’écroula très vite puisque je l’insultais. Désolée, trop tentant, des fois ça part tout seul, réflexe. Il semblerait que cette phrase lui fasse un électrochoc puisqu’il me lâcha avant de dire que je le rendais dingue. A sa question, je serrais les dents, je m’en moquais éperdument, je n’étais plus intéressée. A partir de la seconde où à ses yeux je n’étais qu’une gamine et que lui, l’adulte, allait à gauche à droite, qu’il m’oublie, je ne jouais plus du tout avec lui. Je le suivais néanmoins du regard tandis qu’il se déplaçait, semblant pour la première fois perdu. Il était donc déterminé à tout me reprocher. D’abord, je ne l’avais presque pas défié, j’avais accepté ses remontrances sans discuter, de plus je ne foutais aucun équilibre en l’air, personne ne remettait en cause quoi que ce soit ; Je m’apprêtais à lui faire la remarque, que la seule chose que ses camarades feraient ou diraient étaient des paris, rien de plus. Sauf que voilà, avant que je n’aie eu le temps de dire cela, il termina son monologue par une phrase qui me fit voir rouge et là, ça sortir tout seul « Pour aller coucher avec un autre, tu as bien réussi à te la sortir de la tête cette nana » Il avait été clair à ce sujet, clair et vexant.

Son regard croisa le mien qui devait sembler bien insensible alors que c’était tout l’inverse, j’étais affectée, au moins tout autant que lui sauf que selon mes critères, il était allé trop loin et pourtant, j’étais là, je le laissais même me rejoindre, ne me dérobant pas pour l’esquiver comme j’aurais dû le faire, je le fixais simplement. A sa demande, j’eus cependant un rire désabusé « Comme si tu n’étais pas assez futé pour faire disparaître toute odeur. Comme si tu étais le genre à dire des trucs pour le plaisir. Comme si tu en avais quelque chose à faire de ma volonté. » Quel intérêt aurait-il eu de me dire cela si c’était faux ? Et en même temps pourquoi mentir maintenant ? j’étais complètement perdue, observant son regard où plus aucune animosité à mon égard ne brillait. Et si la distance nous séparant était encore relativement raisonnable, il finit par franchir les derniers centimètres, me maintenant contre lui et venant, comme bien souvent m’attraper par la nuque.

Là, j’aurais dû le repousser, ne surtout pas le laisser prendre possession de mes désirs. Si je pensais être débarrassée de toute envie à son égard, je me trompais lourdement, je crevais d’envie de l’embrasser et je devais monopoliser toute ma détermination pour ne pas céder à cette envie grotesque. Et il y eut cette voix, porteuse de promesse qui fit vaciller toute cette belle détermination, accentuée par ce souffle chaud qui venait éveiller mes sens, qui me rappelait sournoisement que j’étais irrémédiablement attiré par lui. Mon regard fixait le sien à la recherche d’une réponse à fournir mais la seule réponse qui vint répondre à ses paroles ne fut pas verbale. Je posais mes lèvres sur les siennes, cédant à la tentation de ce désir que je repoussais depuis des mois. Non, cette fois ci, je ne le repousserais, parce qu’il était loin d’être le seul à en avoir envie. Si le baiser qui scellait mon accord, je l’aurais voulu calme et posé, ne serait-ce que pour donner l’illusion que je gérais parfaitement la situation, ça dégénéra en moins d’une seconde, je ne me contenterais pas de ses lèvres cette fois encore, je prenais possession de sa bouche, ma langue venant chercher la sienne tandis que je passais mes bras dernière sa nuque, venant me coller à lui. J’étais fatiguée de lutter, je cédais… pour cette fois.


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Elle fulminait. Tu le ressentais par tous les pores de sa peau. Dans son regard qui t’aurait tué sur place si elle l’avait pu. Elle n’avait pas besoin de prononcer un seul mot pour que je ressente chacune de ses émotions; vacillant entre colère et rage. incapable de se comprendre, l’un comme l’autre, tu ne savais pas comment vous faisiez pour rester en vie après vous échange. Pourtant s’il y avait bien une chose que tu comprenais au milieu de ce bordel sans nom, c’était que tu étais attiré par elle. Vous ressembliez aux deux faces d’un aimant. Cette attraction était puissante, tu la ressentais tout au fond de tes tripes. Mais il suffisait d’un rien, que l’aimant bascule légèrement pour qu’ils se rejettent. Avec Maxime c’est ce qui arrivait sans cesse. Se sentait-elle puissante de pouvoir te mener par le bout de la queue ? Car clairement tu ne maitrisais plus rien quand elle était dans les parages. Tu avais l’impression de passer pour un con aux yeux de tous. Mais depuis quand tu devenais faible à cause d’une femme ? Tu étais largué. Obnubilé par cette Whitefield qui était arrivée dans ta vie du jour au lendemain. Et ça, ces émotions, ces sentiments étranges qui te traversaient comme le besoin de l’avoir près de toi, à toi, tu n’arrivais pas à les comprendre. Tu mettais cela sur le compte que tu avais juste envie de la baiser. Que tant que cela ne serait pas fait, que cela perdurait.

Alors que tu finis par le dire de façon tangible, tu sens qu’elle n’adhère pas à tes propos. Elle mords. Ses mots te percutent. Elle a été blessée quand tu lui as dit que tu partais voir ailleurs.  Vos obsidiennes s’accrochent et se confrontent. Tu t’approches, pour la saisir par le bras, comme pour l’empêcher de fuir. L’approche de toi. L’invite à vérifier par ses propres instincts que tu n’as même pas effleuré une autre femme. Pourtant, elle réfute. Semble ne pas vouloir me croire. Pourtant, tu ne peux t’empêcher de glisser tes assassines sur elle. Agrippant sa nuque. S’enroulant autour sa fine taille. Tu lui demandes de te repousser maintenant si jamais elle ne veut pas aller plus loin. Car toi, tu n’en peux pas d’attendre, de la désirer sans jamais parvenir à tes faims. Pourtant tu te sens obliger d’ajouter en un dernier murmure « Je n’ai couché avec personne d’autre Maxime. » Ta voix est rauque, marquée par le désir et cette tension sexuelle qui s’est éveillée et qui anime tous tes sens. Tu n’as pas lâché son regard et alors que les secondes défilent, te semblant être une éternité, tu finis par te dire qu’elle va te repousser. Pourtant quand ses lèvres viennent se poser sur les tiennes, ta prise sur elle se resserre davantage. Si son baiser commença avec une douceur inhabituelle, tu penchais davantage ton visage venant l’intensifier poussant presque un grognement de satisfaction contre ses lippes. Elle réponds à ton ardeur. Vos langues se mêlent, se cherchent. C’est presque un combat l’un contre l’autre. Tu la sens s’agripper à ta nuque, son corps venant se coller contre le tiens. S’il te restait un semblant de raison, autant le dire… C’est fini. Tes doigts s’accrochent à sa nuque avec possessivité. Ta main sur sa taille se promène sur ses hanches avant de glisser sur le rebondi de ses fesses. Tu exerces une pression collant vos hanches l’une à l’autre, ton entrejambes déjà éveillée par l’idée d’enfin sortir de sa cage. Quand votre baiser prends fin, ton regard plonge dans le sien. « On transplane. » Tu te souvenais parfaitement de sa réaction la première fois que vous aviez failli vous envoyer en l’air dans la forêt. Clairement, tu savais qu’elle ne voudrait sûrement pas faire ça debout contre le mur du bar dans son arrière cours. Encore moins quand toute la meute était réunie à l’intérieur.

Sans réfléchir davantage, tu la gardais contre toi et vous faisais transplaner chez toi. Tu avais fait en sorte que seul toi puisse y transplaner mais aussi quand tu étais accompagné. C’était peut-être bien la première que tu amenais une femme chez toi. La plupart du temps tu évitais cela et trouvait toujours une autre solution. En fait, ton appartement était plutôt spartiate. Pas de décoration. Des meubles épurés, modernes. N’importe qui aurait pu vivre ici car tu n’avais jamais pris le temps de le personnaliser. « Je te ferais visiter plus tard… » murmures-tu avant de la libérer afin de te débarrasser de ton pull découvrant ta chair abimée. Cette formation pour devenir un loup digne de ce nom a marqué ta peau de cicatrice. La morsure de ton oncle est toujours visible au niveau de ton épaule. Tu te rapproches de nouveau d’elle alors que vous êtes au beau milieu de ton salon. Tes mains glissent sous son haut, l’accroche, l’attirant brusquement contre toi, vous laissant tomber sur ton canapé. Tu l’agrippes de façon à ce qu’elle puisse rester assise face à toi. Tes assassines toujours sur son haut, tu lui retires. Tes iris brulent sa chair tant ton regard acéré l’observe. Tes lèvres vont ensuite dévorer son cou, jusqu’à son épaule revenant sur le rebondit délicat de ses seins enfermés dans leur carcan de dentelle. Tes mains courent sur elle avec avidité prenant pourtant le temps de la découvrir, d’apprendre à connaitre ses courbes. Profitant enfin de l’avoir pour toi et de pouvoir la faire tienne.
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Sam 9 Jan - 14:50
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N’étions-nous pas faible tous les deux ? Chacun à notre niveau bien entendu. Lui parce qu’il avait vraisemblablement été dans l’incapacité d’aller jusqu’au bout avec qui que ce soit, sous entendu que je comprenais à travers ses mots.D’ailleurs, je n’en étais pas si fière, j’aurais cru mais ça n’était pas le cas, comment pourrais-je l’être quand je n’étais pas foutu de me le sortir de la tête de mon côté, que j’étais restée bien sagement à attendre. Attendre quoi d’ailleurs ? Qu'il daigne me porter son attention ?  Mais pourquoi donc ? Qu’est ce qui justifiait que je sois là à attendre? J’étais stupide alors oui, cette fois, ça avait marché. Mais je n’étais pas dupe, ça ne fonctionnerait pas toujours. Il était alors plus sage de m’écarter, de me dire qu’il était grand temps d’arrêter tout ça. Entre ce que je voulais et ce que mon corps voulait il y avait visiblement un monde puisque je finissais contre ses lèvres et que l’action venait clairement de moi. En même temps, cette sensation grisante, c’était difficile de s’en passer, difficile de dire stop. En cet instant, il n’aidait pas vraiment, sa main venant réveiller mon corps – qui d’ailleurs n’en avait pas spécialement besoin-. Notre baiser nous mena jusqu’à ce que le souffle vienne à manquer. Je le regardais, reprenant mon souffle, ayant d’ores et déjà envie de repartir à l’assaut de sa bouche. A ses paroles, je ne réagissais pas vraiment, à cet instant j’étais concentrée sur lui, captivée par lui, le monde qui nous entourait m’était totalement indifférent.

L’instant d’après pourtant, je me désintéressais totalement de lui. Il faut dire qu’il nous avait fait effectivement transplaner et que la logique voulait que j’observe ce lieu totalement inconnu pour moi. Où étions nous ? S’il n’y avait pas cette odeur caractéristique de Kesabel un peu de partout, je n’aurais jamais pu deviner parce que rien dans la décoration ne pouvait me faire dire que c’était lui qui vivait ici. C’est bien simple, il n’y avait pas de décoration en vérité. Le fait que je regarde partout, malgré le fait que j’étais à n’en pas douter un modèle de discrétion, le fit prononcer des mots qui me firent doucement rire intérieurement. Non, ça ne serait pas le cas, nous allions nous envoyer en l’air parce que de toute façon, nous n’étions pas ici pour jouer aux échecs mais derrière j’allais le faire disparaître de ma vie... tant pis pour la vengeance, il valait mieux que je prenne mes distances avant que je devienne une autre... Prendre ses distances commencerait par le fait de ne pas visiter sa demeure... Il ne fallait pas non plus que je reste pour la soirée, pas de deuxième round, pas question, je devais être concen... et merde !  

Mon cerveau se focalisa sur totalement autre chose, son corps que je n’avais pour ainsi dire jamais vu. Je fronçais les sourcils devant les anciennes blessures visibles sur sa peau. Combien y en avait ils au juste? J’étais un loup-garou moi aussi et je n’avais pas un huitième de ce qu’il avait sur la peau. Le moment était cependant bien mal choisi pour le scruter sous toutes les coutures et il se rappela à mon bon plaisir en m’attrapant pour me reconnecter à lui en nous faisant tomber sur le canapé. Tout aurait pu à merveille se passer s’il n’avait pas eu la merveilleuse idée - d’accord c’est logique- j'admets – de m’enlever mon haut dès le départ. Non, dans le feu de l’action, il aurait été concentré sur autre chose, il n’y aurait eu aucun problème mais là... il était bien trop connecté à la réalité et vu la façon dont moi je venais de le scruter, forcément, il ne fallait pas s’attendre à ce qu’il réagisse différemment. Instinctivement, je m’étais raidis, je n’avais pas la moindre idée de combien de personnes il avait mordu mais ça m’étonnerait qu’il y en ait 36 qu’il ait voulu éventrer d’ailleurs ça n’était pas vraiment qu’une volonté dans mon cas...  ça ne devait pas courir les rues les loups ayant des cicatrices par ici et je n’avais pas envie qu’il me pose de questions, déjà et encore moins qu’il se pose des questions et qu’il enquête, n’étant pas spécialement encline à lui dire quoi que ce soit sur mon passé. Dans ces cas-là, ce n’était plus à lui d’être le maitre du jeu mais bien à moi de réagir pour ne lui laisser aucune seconde de réflexion. Quand bien même la promesse de ses lèvres sur ma poitrine était plus qu’alléchante, c’était hors de question, je venais donc attraper son menton pour ramener sa bouche contre la mienne, étant dans une toute autre optique, le faire perdre pied avant moi. Ma bouche ayant retrouvé sa place contre la sienne et ma langue allant occuper sa rivale, je me devais de rester concentrer sur mes mains. Aller trop vite en besogne n’était pas tellement problématique, on pourrait mettre ça sur le compte de je suis pressée de m’envoyer en l’air et non pas du fait que j’assurais clairement mes arrières. Si dans un premier temps, ma main passa au-dessus de son pantalon pour vérifier que de ce côté-là, tout était au garde à vous. La réponse était oui, comment aurait-elle pu être non ? Mais cette fois-ci, je ne me contentais pas d’une légère pression, je glissais mon index entre la ceinture et le pantalon pour faire sauter la boucle. Néanmoins, tandis que mes doigts faisaient sauter le bouton, j’eus une seconde d’hésitation, une fois le pantalon baissé, il n’y aurait pas de retour arrière. La réflexion ne dura qu’une seconde, je le voulais. Alors le pantalon fut baissé et je soufflais en caressant d’une façon très appuyé son entrejambe à travers le caleçon « J’ai envie de toi. »



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C’était foutu. Tu en voulais plus. Tu la voulais elle sans parvenir à comprendre ce qui t’obnubilait autant avec cette nana. N’écoutant que ton instinct, tu t’emparais de sa bouche en un baiser avide alors qu’elle avait donné son accord en venant t’embrasser. Ses lèvres étaient douces et légèrement sucrée. Une chaleur fulgurante t’embrasa et, sans te soucier des conséquences tes mains l’étreignaient avec une vigueur qui témoignait de mon état d’excitation. Ta langue trouva la sienne et tu approfondis ton baiser. Elle y répondit avec une ardeur qui t’électrisa. L’envie de la dévorer te consumait entièrement. Tu n’eu qu’une seconde de lucidité alors que tu l’entrainais à transplaner, arrivant chez toi au beau milieu de ton salon. Tu sentis rapidement l’attention de Whitefield se disperser sur les lieux. Il n’y avait pas grand chose à voir à dire vrai. Seulement des meubles de première nécessité. Pas de cadre ou une jolie lampe venant décorer le tout avec de belles bougies. Tu n’avais aucun plaisir à ce genre de distraction… Tu lui proposais alors de visiter plus tard, voulant de nouveau l’attirer à toi. Et pour cela, tu retirais ton pull pour reprendre là où vous vous étiez arrêté avant de transplaner.

Son regards, tu le sentais sur ta chair. Et ce n’était pas tes muscles qui captivaient autant son attention. C’était tous les cicatrices qui tu avais enduré depuis que tu étais gamin. Au delà du loup et cette apprentissage sévère, ta mère n’avait jamais tendre avec toi. Tu servais souvent de rempart à Lua. Est-ce que cela allait la dégouter ? Tu portais une marque de morsure sur ta joue et elle n’avait jamais semblé rebutée… Tu ne lui laissais pas le temps de réfléchir davantage. Te laissant emporter, tu vous faisais tomber dans ton canapé, de sorte à ce qu’elle soit assise sur toi. Tu la défeuillais également de son haut. Tu n’avais rien connu de si enivrant. Ta langue traça un sillon brûlant sur la peau sensible de son cou, et tu te sentis durcir encore plus. L’envie de t’immerger dans sa chaleur se fit soudain irrépressible. Maxime agrippa alors ton menton pour t’embrasser à nouveau. Tes lèvres s’abattent brutalement sur les siennes, délaissant sa poitrine tu répondais à l’appel silencieux de ses lippes, venant glisser ta langue contre la sienne. Pourtant, tes assassines, elles n’étaient pas en reste et couraient sur ses courbes avec avidité. Une brulante passion te dévorait les entrailles. Tes lèvres s’abattent brutalement sur les siennes.

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Ven 22 Jan - 22:43
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Les décisions que nous prenions, les disputes, jugements et cette exaspération que nous nous faisions vivre, tout ça n’avait pas la moindre importance. Nous nous retrouvions là où j’avais toujours voulu être. Que d’étapes pour parvenir à cela et aucun sentiment de gloire ne faisait étinceler mon regard, seulement du désir.



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Jeu 11 Fév - 22:05
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Mer 17 Fév - 3:02

Maxime & Kesabel
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Quelque part au fond de toi, tu sens que c’est une connerie. Tu finis par la libérer en silence. Tu n’as pas envie de la foutre à la porte mais tu n’as jamais ramené une nana chez toi. D’habitude, tu as tendance à disparaitre sur un commun accord avec ta partenaire. Mais là ? Tu restes à poil et cherche un instant tes fringues. Est-ce que ton regard est toujours un brasier prête à la dévorer ? Oui. Est-ce que tu pourrais la reprendre maintenant sur n’importe quel meuble ? Oui. « La salle de bain est au fond à droite si tu veux. Je vais faire un café. » Tu te détournes mais elle a clairement du voir que tu aurais pu lui bondir dessus. Tu attrapes ton boxer histoire de pas te promener la queue à l’air et une fois dans la cuisine, tu ouvres le robinet sur l’eau froide, passe tes mains dessous et t’asperge le visage. Une fois que tu penses avoir plus ou moins retrouvé tes esprits, tu lances la machine à café.
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Mer 17 Fév - 18:49
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