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Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes,
alors pensez à les privilégier pour vos personnages

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Toto, we're not in Kansas anymore ft Helios C. :: Three Broomsticks :: Pensine :: Les RPs
Anonymous
Invité
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IRL
Mer 30 Déc - 14:31

« Qui veut des beignets ?! De beaux beignets tout chaud ?! Il y en a dans la salle principale !» Athéna hume la délicieuse odeur, rajustant sa cape légère autour de ses épaules, son sac griffée tintinnabulant à son bras. La bise printanière traverse le parc animée maintenant et d’autres uniformes sont visibles. Comme tant d’autres camarades, elle aime s’y promener les jours de beaux temps, se perdre entre les conversations colorées, découvrir de nouvelles façons de penser, d’autres étudiants fraichement débarqués de régions diverses du Royaume-Uni et d’ailleurs et surtout entendre et glaner tous les colportages possibles et imaginables.

Car enfin, Poudlard reste le point central de toute les rumeurs convergentes du pays.

« Un jeu de carte enchanté de Londres. Authentique ! Je l’ai acheté pour une bouchée de pain ! Regarde la délicatesse du trait, apprécie la douceur des visages. Ah faites attention, les valets ont d’horribles caractère, celui de pique plus particulièrement. Un exemplaire unique Reproduisez la plus glorieuse des armées, soyez les prochains généraux du grand empire en armant vos Cœurs ou en bravant les Carreaux, c'est ce qu'ils disent sur le paquet. » Quelques élèves plus jeunes se hissent sur la pointe de leurs pieds pour mieux regarder ébahis les petites cartes belliqueuses et Athéna, l’œil s’attardant sur l’attroupement festif, manque de peu ses deux amies l’attendant sur le bas-côté.

Il y a bien trop de monde aujourd’hui. Ce qui est merveilleux.

« En parlant de carreaux. J’ai vu le fils ainé tout à l’heure. Je suis certaine qu’il m’a souri !! Oh là là. » Athéna arque un sourcil sage, une connivence moqueuse avec l’autre brune de la bande en amusement tacite. Elles partent pour Pré-au-Lard aujourd’hui, les bourses pleines et les lèvres couleur bubble-gum. « Tu sais bien que certains étudiants abusent de la permission qu’ils ont de se montrer sous leurs meilleurs atours et si tu cherches toujours à tendre l’oreille aux compliments… » « Oh parce que tu peux parler toi ! » Athéna ouvre une bouche ronde d’indignation avant qu’elles ne continuent leurs périples à travers le couloir principal. « Ça n’a rien à voir et je sais très bien me tenir, merci bien. » L’autre ajoute d’un ton où la perfidie ne fait place qu’à l’excitation : « Tout le monde sait qu’Helios est capable de conter fleurette le matin à l’une et de terminer son après-midi en vantant ses charmes à une autre. En tout cas, c’est ce que j’ai entendu dire.» La jeune femme blonde baisse les yeux dans un soupir. « Il semble si triste parfois… je n’ai pas le cœur de le laisser ainsi. » Athéna lève les yeux au ciel, l’âme légère, la bonne humeur trépidante sur son visage. « Pfff. » Des instants volés, des rires épars. Elle s’amuse, les rumeurs en bulles de champagnes, les plaisanteries en avenirs imaginaires. « Athéna, ce n’est pas ton ami américain là-bas ? » La joie s’envole d’un coup sec et elle darde son attention sur une longue silhouette brune. Orion. Elle inspire sèchement, se laisse porter par une palpitation sourde en croisant le regard du promis récalcitrant pour mieux le voir s’enfuir – encore – au bras d’une étudiante.

Elle expire lentement, cille, mortifiée.

Lâche et impoli avec ça. La totale.

« Il n’a pas dû te voir. » Excuse sa camarade d’une voix embêtée. Athéna a un sourire qui effleure à peine le bord des lèvres. « Surement. » Un soupir zèbre la poitrine, elle doit faire bonne figure, tête haute, taille déliée, pas délicat.  Tout ceci ne l’atteint pas après tout. Elle prendra soin ce soir de relire la lettre de ses parents lui obtempérant de devoir ramener son fiancé amoureux et docile. Histoire de se souvenir de ses objectifs. Histoire de ne pas faillir.

La belle affaire.  

Elle se mordille la lèvre, des pensées disparates sous l’automne de ses grands yeux.

Il y a des camelots parfois sur le chemin de pierre menant à Pré-au-Lard. Un carré de tissu posé sur l’herbe attire son regard, plein de couleurs, de plumes. Elle prend un des objets pour le glisser sur son visage avant de le reposer. « Un joli masque mam’zelle ? » Elle fronce le nez en guise de réponse au marchand, amusée pourtant. « Celui-ci est très effrayant. » s’essaye-t-elle en pointant celui qui semble représenter une terrible créature dont les dents tiennent plus de la corne qu’autre chose. « Il y a du polymorphe sur la couche intérieure ? C’est dangereux, non ? » Le marchand hausse les épaules doctement, les doigts venant caresser sa barbe en pointe. « S’mon n'veu qui l’a dessiné. Il m’a dit t’y crois pas m’n oncle mais y’avait une bête pareil dans l’tréfonds d’cavrnes ‘cossaises ! L’a fallu deux mil’ces d’gouvrn’ment pour y venir à bout qu’il m’a dit ! » Athéna ne sait quoi répondre mais sort quelques piécettes et s’empare d’un joli masque aux duvet blanc et au bec de cygne. « L’vlain p’tit can’rd, s’bon choix miss ! » Elle sourit, un peu de légèreté intrépide lui revenant sous les talons, cachant son butin dans son sac.

L’ami blonde lui fonce subitement dessus, l’agrippe, joues roses et souffle ardent. « Que se passe-t-il ? » « Il est là. » « Qui ? Campbell ? » « Helios. » répond l’autre brune en pouffant de rire dans sa barbe à papa enchantée. « Tu m’aurais dit sa mère, j’aurai compris. Quelle femme… » « Vous ne comprenez rien et vous seriez mes amies vous m’auriez déjà aidé ! » Athéna remue son petit nez, les doigts cherchant à piquer distraitement un peu de la barbe à papa. « Pourquoi pas après tout ? Pourquoi ne pas monter une petite embuscade à ton prince charmant ? » Elle ne pouvait pas attraper Orion comme le pokemon qu’il était mais peut-être qu’un joli blond pour son amie restait faisable, non ? Le bon entrainement que ce serait ! Et si son amie pouvait obtenir un promesse de hiboux ou de rendez-vous et elle l’assurance de se rapprocher de la grande et belle Meredith Carrow dans la foulée … eh bien, pourquoi pas ?

Athéna se berce de gauche à droite, des idées fantasques sur le front. Ce type d’homme s’imagine-t-elle sans vergogne, il leur faut se sentir indispensable. Il leur faut donc une ingénue mais pas trop, pense-t-elle dans un moue pleine de préjugés capricieux. Voyons voir... oh elle sait ! Il lui suffit donc d’avoir l’air plus niaise que son amie pour que l’attention se déverse sur celle dont le crush est évident, mais qu’elle soit suffisamment dans le pétrin pour qu’il se soucie aussi de son sort et fasse un suivi quelconque. A partir de là, le revoir et voir sa maman… « Va le chercher, dis-lui que ton ami a glissée et qu’elle s’est foulée la cheville. Franchement ne le prenez pas mal mais faire des routes droites et propres ce n’est pas vraiment le fort des britanniques, ça passera comme un hiboux dans la cheminée.» La blonde trépigne. « Je ne vais jamais oser et tes chevilles vont bien, Athéna !!! » La panique monte et l’américaine fait signe à son autre camarade. « Ce n'est pas le sujet ! Rhooo, va avec elle sinon elle va s’évanouir devant lui ce sera désastreux. Allez, vite ! »

Voilà qui était sacrément palpitant !

Athéna défait le nœud vert de ses cheveux, chiffonne un peu la gaze de sa robe émeraude avant de venir se poser au mieux à l’écart sur des pierres, de fausses larmes se formant déjà sur le bord de ses yeux. « Ça va mademoiselle ?» Elle balaye d’un geste de main agacé la bonne âme. « OUSTE ! » Ces gens qui aident leurs prochains, mon Dieu ! On n’a pas idée ! Vite, vite. Elle entend déjà le retour de l’expédition et ses épaules font des petits rebonds sous le hoquet du chagrin factice tandis qu’elle tend sa jambe comme si elle ne parvenait plus à la bouger. « Ouinnnnouinnnnouinnn Oh vous voilà, j’..j’…j’ai cr—cr-cru ne ja-ja-jamais vous rev-v-v-voir. »

Jouer les cruches, enfin de compte, c’était très amusant.



Hors rp:
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Anonymous
Invité
INRP
IRL
Ven 8 Jan - 17:41
Toto, we’re not in Kansas anymore

Athéna Simmons & Helios Carrow

Pré-au-Lard | Journée| 6 juin 2020


Cela faisait maintenant quelques temps qu’Helios avait pris ses résolutions. Pour le moment, il tenait bon. Un étrange miracle. La fin d’année arrivait à grand pas et cela lui laisserait deux mois pleins pour se remettre d’aplomb, pour recommencer un nouveau cycle. Le temps était clément et bien que les examens de fin d’année se rapprochaient dangereusement, le jeune homme s’était octroyé un repos bien mérité sous la forme d’une petite virée à Pré-au-Lard. Et puis la fête des Mères était le lendemain et il lui fallait absolument trouver un quelque chose pour Meredith. Prendre ainsi ses distances lui avait permis de se calmer mais l’idée de la revoir le lendemain lui donnait presque la nausée. Étant bien élevé et ne pouvant s‘empêcher d’aimer celle qui lui avait donné la vie, il avait prévu de faire le cadeau le plus classique possible, dans une intense forme de protestation.

Helios Carrow se retrouvait donc les mains dans les poches, l’uniforme au placard (le week-end, il fallait montrer que sa prestance et son élégance ne venait pas seulement des couleurs de Serpentard), le regard vagabondant sur les étals des marchant et les vitrines des magasins. Il n’aimait pas particulièrement faire les boutiques. Tout ce monde et ce bruit lui montait à la tête et il n’arrivait jamais à se décider sur quoi choisir sans un avis extérieur. Le Carrow croisa plusieurs têtes familières, dont un Orion lointain. Au moins, en s’ignorant tous les deux il n’y avait pas de risque d’esclandres. De toute façon l’humeur brumeuse du Serpentard ne se prêtait pas à son agressivité habituelle.

Après avoir fait un tour complet sans s’arrêter nulle part, Helios dût se rendre à l’évidence que ce n’était définitivement pas la bonne technique. En faisant ainsi sa tête de mule, il n’allait que perdre du temps et s’énerver seul. Si seulement il avait pensé à demander à Grigori de l’accompagner… Au moins ils auraient bien rigolé à se moquer des sang-de-bourbes pressées… Ah non. Il avait dit qu’il serait plus ouvert sur les sorciers de sang non-pur… Les habitudes avaient la vie dure. Il aurait peut-être pu proposer à Ezekiel. Mouai, pas l’idée du siècle à se pavaner tous les deux dans la rue la plus fréquentée des environs. Peut-être Ezrael du coup ? Mais Helios était mal à l’aise à ses côtés… Les jumeaux avaient pouvoirs étranges c’était sûr et Ezrael aurait de suite compris ce qui se tramait dans la tête d’Helios. Faisant un rapide récapitulatif mental du reste de ses amis, tous étaient occupés ou de très mauvais choix pour le poste d’accompagnateur de course. Tant pis, il allait, comme d’habitude, devoir se débrouiller tout seul.

Bijoux ? Fleurs chantantes ? Truc rose avec… Inscriptions ? Le choix était plutôt limité. Après tout, ce n’était pas le Chemin de Traverse, mais les mères semblaient autant exister ici qu’ailleurs, les devantures vantant leurs produits respectifs pour génitrice appréciée. Helios s’arrêta devant le bijoutier, eut une petite pensée pour Alcyone, se disant que s’il s’était mieux organisé, il aurait au moins pu payer sa meilleure ennemie pour ce cadeau, et poussa la porte. Une odeur bien trop florale et prononcée lui assaillit les narines. Fronçant les sourcils, il y trouva une certaine ressemblance avec un dérivé de filtre d’Apaisement. Détendre les clients devait permettre de les faire repartir avec plus de marchandises. Helios avait surtout peur de n’embarquer qu’un sacré mal de crâne et un soupçon de nausée tant l’odeur était forte. Au-delà de cette dernière, les bruits étaient tout aussi insupportables. Des piaillements incessants aussi bien des clients que des vendeurs. Helios avait autant envie de se pendre à la Tour d’Astronomie que de rester cinq minutes de plus dans ce magasin. Avant de pouvoir mettre à exécution son plan de retraite, une vendeuse s’accrocha à lui comme un Croup à un moldu. Le visage de la jeune femme lui était familier… Probablement une étudiante ayant un emploi d’appoint… Pathétique ces gens qui travaillaient. « Bien le bonjour Monsieur Carrow. » Bon, c’était sûr que se faire reconnaître était plutôt sympathique. Elle réussit à lui arracher un sourire. « Je ne savais pas être connu jusqu’ici. »  Elle émit quelque chose qui s’apparentait à un petit rire avant de continuer. « Ici pour Madame Carrow je suppose ? » Le sourire d’Helios disparut à la mention même de sa mère. Pour qui elle se prenait cette Dirico ?! « La raison de mes achats ne regarde que moi. Maintenant montrer moi vos colliers. » Le sourire professionnel qu’elle garda fut tout à son honneur. Helios lui n’en avait que faire. Il n’était pas là pour faire la discussion à une pauvre fille pas foutue de mettre trois gallions de côté. « Vous avez déjà une idée de ce que vous cherchez ? » Le Serpentard jeta un coup d’œil aux pièces exposées. « Quelque chose de cher et de tape à l’œil. » De toute façon, c’était Meredith qui indirectement payerait son cadeau, étant celle qui lui versait sa pension mensuelle. Ça lui ferait les pieds tiens !

Sortir de la boutique fut une délivrance. L’air pur lui ramena une certaine sérénité intérieure. Un petit sac dans la main, Helios se retrouva sur les pavés de Pré-au-Lard, satisfait. Peut-être s’arrêterait-il aux Trois-Balais prendre un jus de citrouille avant de rentrer. Histoire de repousser encore un peu plus l’heure fatidique des révisions. D’une démarche décidée, le visage charmant et le pas sûr, il traversait le village pour rejoindre le verre qui l’attendait. Ses projets furent cependant contrecarrés par deux jeunes sorcières dont l’une présentait un étrange mélange d’angoisse, de honte, de gêne et d’excitation. Helios avait l’habitude de provoquer ces émotions, mais toutes en même temps, ça c’était plutôt rare. Elle restait plantée sur son chemin en le fixant ouvrant et fermant la bouche comme un Strangulot hors de l’eau. Son acolyte n’était pas plus fine à se racler la gorge en poussant l’autre du coude. Qu’avait-il donc aujourd’hui ? Helios était-il si particulièrement charmant qu’il attirait toutes les idiotes de Pré-au-Lard et des environs ? Il décida de changer de stratégie et d’être effectivement charmant cette fois-ci, plutôt que de répliquer sèchement.. Et puis il avait encore en tête la désastreuse rencontre avec Maëlle. « Je peux vous aider ? » Helios crut un instant voir l’une arrêter de respirer. Il n’avait pas vraiment prévu d’utiliser ses compétences de médicomage en cette journée mais son programme en semblait tout chamboulé. Celle qui semblait encourager son amie dut se résigner à prendre la parole, tant le silence commençait à être long et gênant. « Notre… Amie… Elle s’est foulée la cheville. » Le Serpentard haussa un sourcil. Olalala la pauvre, c’était vraiment affreux…. Bon elles le laissaient passer ? « Tu es Helios Carrow n’est-ce pas ? Futur grand medicomage ? » Hum… Elle n’avait pas tort la jeune fille. Et puis honnêtement, elles n’étaient pas hideuses…Bon, il pouvait bien montrer à de jeunes filles perdues à quel point il était excellent dans son domaine. Cela ne mangerait pas de pain. Prenant un air sérieux et concerné – des années de maîtrise-, il répondit. « Oui c’est bien moi. Pauvre amie que vous avez là. Où est-elle ? A-t-elle besoin d’assistance ? »  De grands sourires lui répondirent. Franchement il aurait pu dire n’importe quoi, cela n’aurait pas été remarqué par les deux filles qui marchaient déjà d’un pas vif vers un point vert étendu sur les pavés. Soupirant et résigné, il leur emboita le pas pour arriver sur les « lieux du drame ».

« Ouinnnnouinnnnouinnn Oh vous voilà, j’..j’…j’ai cr—cr-cru ne ja-ja-jamais vous rev-v-v-voir. » Oh, une pleurnicheuse… Ils classaient ces patients juste après les « je-sais-tout » dans la liste des plus insupportables. Bon au moins, malgré ses problèmes, le maintien de la jeune fille à terre était impeccable. Ça, ce n’était définitivement pas le type à travailler dans une bijouterie de Pré-au-Lard. Déposant son précieux paquet pour Meredith à ses côtés, Helios s’agenouilla au chevet de la blessée. Ce visage… Il lui rappelait quelque chose. Probablement une élève croisée dans les couloirs. M’enfin. « Miss, vous allez bien ? » Toujours ce superbe air concerné, ce plissement fin des sourcils pour montrer une inquiétude tout un gardant un visage agréable au regard. Tout un art. « Que vous est-il arrivé ? Puis-je vous aider ? » Vu la jambe tendue, cela devait être la fameuse cheville. « Permettez-moi de jeter un coup d’œil, je suis…. » Par la barbe de Merlin, il ne pouvait toujours pas dire medicomage. Quelle honte. « Étudiant en medicomagie. Je dois pouvoir m’occuper d’une… Cheville foulée, d’après vos amies ? » Un sourire réconfortant. « Je suis Helios. » . Il allait lui tâter la cheville deux minutes, lui dire d’aller voir l’infirmière et de mettre de la glace en attendant. Puis il irait boire son jus de citrouille en héros. Quel beau programme.

Codage d’après Libella sur Graphiorum


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