Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes, alors pensez à les privilégier pour vos personnages
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| | Invité INRP IRL | Mer 25 Mar - 11:00 My pleasure, your suffering II 30.04.2018. Depuis quelques jours déjà, nous nous relayions, les frères Lestrange et moi, pour rendre de petites visites agréables à nos prisonniers. Nous procédions en faisant une tournante, pour éviter la monotonie et pour varier les plaisirs. Les règles étaient toujours les mêmes, bien sûr, et notamment cette satanée interdiction de violer nos victimes, alors que, très sincèrement, il y avait vraiment un beau petit lot dans tout ça… Je continuais aussi, pour le principe, de modifier les traits de mon visage, mais je gardais la même tête en fonction de ma victime. Or donc, pour le cracmol du jour, à savoir l’inimitable Alexander Wilson, je sortais la tête d’ange de la dernière fois, celle de Gilderoy Lockhart.
Comme d’habitude, les elfes de maison avaient préparé la salle qui nous était assignée et j’avais donc la fameuse table où de très seyants bracelets de fonte maintenaient Wilson en croix, jambes et bras écartés. Les braves petites créatures avaient même pensé à le déshabiller pour me faciliter la tâche. Enfin, pas entièrement, bien sûr, je préférais qu’il conserve au moins son caleçon, pour m’éviter une tentation un peu trop importante… Car, oui, évidemment, on ne me changerait pas : pratiquer des sévices corporels et psychologiques sur une personne immobilisée, n’ayant aucune possibilité ni de se protéger ni de me rendre les coups, eh bien, cela m’excitait. C’était bien sûr le sentiment de puissance et de dominance qui me faisait cet effet, mais dans ce genre de contexte, il n’était pas rare que mon corps se mette à somatiser un peu rapidement ce que m’inspiraient ces activités ludiques. Somme toute, il valait mieux que j’évite de craquer. Le pari avec Rabastan et Rodolphus, c’était clairement le genre de pari à ne pas perdre, sinon, il y avait de fortes chances non seulement que les frangins me rappellent cet instant de faiblesse des années durant, en plus du gage que cela aurait pu impliquer. Si j’avais pu, j’aurais clairement supprimé mes organes génitaux pour résister avec une vraie certitude, mais cela aurait été considéré comme de la triche… et je préférais ne pas opter pour de basses manœuvres de triche alors que j’étais tout à fait capable de résister, en tout cas, je tenais à ne pas céder.
Sachant que j’allais retrouver ce cher Wilson, j’avais prévu un petit programme intéressant et des plus amusants. Mes elfes de maison, Marianne et Hector, avaient récolter pour moi quelques petits accessoires, plus ou moins vivants, que je pourrais utiliser à loisir.
Bref, ce matin, en quittant le manoir, j’avais embrassé ma femme qui avait bien remarqué à ma motivation et à mon sourire que je n’allais pas travailler pour le Ministère aujourd’hui. Et, comme à son habitude dans ces cas-là, elle m’avait encouragé à faire preuve d’imagination et d’originalité, me promettant qu’elle m’accueillerait comme il se doit à mon retour… Oh, je n’en doutais pas… après des journées pareilles à résister à la tentation, quand je rentrais, je lui sautais littéralement dessus, tant j’avais accumulé d’envies au cours de la journée… C’était un peu comme si je sortais de prison après plusieurs années, alors, forcément, ce n’était pas mauvais du tout pour notre couple, que du contraire. Cela contribuait à un bel épanouissement de notre vie sexuelle.
J’étais donc plutôt de bonne humeur en entrant dans la pièce et en constatant que tout semblait parfaitement organisé. Il y avait même un poste pour que je puisse mettre un peu de musique. Je savais bien qu’en associant certains actes à certaines musiques, le cerveau humain enregistrait l’association… ainsi, Meredith et moi aimions particulièrement pouvoir nous amuser au son des variations de Goldberg, parce que nous avions associé cela à la notion de plaisir intense… Ici, pour l’occasion, on nous avait procuré de la musique classique moldue, un certain Ludwig von Beethoven, ou van Beethoven. Je ne connaissais pas, mais il semblait que ses symphonies étaient assez connues chez les moldus et qu’elles servaient régulièrement de fond sonore dans des contextes autres. Parfait, donc, pour réactiver des émotions par l’audition de cette musique…
« Bonjour Wilson. Comment allez-vous ? » Je m’étais approché de lui, lui lançant des banalités comme si la situation était tout à fait normale. « Je ne vous embrasse pas, mais sachez que le cœur y est. »
Je me montrais affable, c’était un peu ma façon de faire en début de séance la fois passée, alors, je gardais le principe, comme pour le mettre en confiance. Je passais doucement le pouce sur la cicatrice de la coupure brûlée à la cigarette sur son biceps.
« On dirait que vous guérissez assez rapidement, c’est une bonne chose. Nous allons pouvoir tester quelques petites choses… » Je lui adressais un sourire éclatant accompagné d’un clin d’œil. Il n’était pas bâillonné et pouvait donc librement s’exprimer et je comptais bien le laisser faire un peu, car cela pimenterait nos échanges. Et je serais certainement agréablement surpris par ses propos, cela allait peut-être même me donner quelques idées à improviser sur lui. En somme, il était clair pour moi que cette nouvelle petite séance de jeu s’avérait prometteuse et que j’allais assurément pouvoir profiter de chaque instant.
| | | Invité INRP IRL | Dim 5 Avr - 0:58 Your pleasure, my suffering II « feat William Ombrage »
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/!\ My pleasure, your suffering II | ft. Alexander Wilson /!\ |
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