Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes, alors pensez à les privilégier pour vos personnages
Il faut tuer ces bêtes D'une balle dans la tête La vermine moi je l'extermine
Du repérage ? Franchement ? Il m’avait bien vue l’autre gnôme avec ses idées moisies ? Je passais AU MINIMUM 3 jours par semaine à m’entraîner, et ça, c’était quand j’avais un peu la flemme. J’étais une guerrière moi, monsieur, je dégainais mon flingue, mon couteau, mes pieds et mes poings pour règler leur compte aux autres. J’achevais les ennemis, je nettoyais la vermine, je faisais un ménage tellement efficace qu’on ne pouvait même plus deviner l’existence de mes victimes une fois que j’en avais fini avec eux. Et l’autre tocard m’envoyait faire du “repérage” ? Y avait pas assez de larbins dans les rangs pour ça ? Il allait m’entendre lui. La prochaine fois que j’avais Robin sous la main, j’allais lui refaire le portrait au Auguste là. Ou Antoine. Ou Arthur ? Merde, si j’avais déjà zappé son nom, ça allait être plus compliqué pour lui tailler un costard.
Bon. En attendant j’étais sur les lieux, autant y aller, faire le fameux repérage, constater que y avait rien d’intéressant parce que sérieusement, qui irait mettre un truc intéressant dans une vieille piscine désaffectée, et retourner au QG pour leur dire que le boulot était fait, bravo, merci, et bonne soirée, c’est bientôt l’heure de l’apéro. Avant de mettre les pieds dans ce qui pouvait tout aussi bien être un traquenard, avouons le, je lançais un petit Hominum Revelio à voix basse, sans baguette, je me trimballais jamais avec quand je bossais pour le Blood Circle, trop risqué. S’ils découvraient que j’étais une sorcière, j’étais morte. Littéralement morte, pas “mon père va me tuer parce que j’ai rayé sa caisse” morte.
Le sort m’indiqua qu’il n’y avait personne. Ou que je l’avais lamentablement foiré, mais je préférais la première option. C’était parti pour l’aventure : sans trop de surprise, la porte n’était pas fermée à clef. Elle n’était pas non plus condamnée, ce qui était totalement stupide, mais enfin…. Visiblement quelqu’un dans cette ville avait décidé de rendre la vie facile aux squatteurs et aux amateurs d’urbex. J’étais honnêtement déjà étonnée de voir que ce bâtiment n’avait pas été détruit. Peut être comptaient-ils le recycler en autre chose ? C’était à la mode de transformer des lieux bien délabrés en endroits trop “hypes”, alors pourquoi pas une vieille piscine ?
Je refermai la porte derrière moi histoire de ne pas attirer l’attention des SDF du coin, et je commençai à m’avancer. Si la structure avait été laissée intacte, l’installation électrique ne fonctionnait plus, il faisait donc particulièrement noir à l’intérieur par manque de fenêtre. Si je n’étais pas une sorcière sans couverture, j’aurais pu utiliser un bon vieux lumos, mais non, je devais jouer la parfaite petite moldue. Dans un soupir de lassitude, j’extirpai la lampe torche du sac à dos que j’avais embarqué avec moi, et je l’allumais.
- Y a quand même des domaines où les moldus sont un peu arriérés
Grognai-je pour moi-même, gardant une voix basse même si j’étais, normalement, seule. Avec ma tenue intégralement noire, façon cambrioleuse, je me fondais merveilleusement dans le décor sombre, à l’exception de ma lampe, évidemment. A sa lumière, je pus avancer en évitant de me prendre les pieds dans des débris ou des vieux cables, mais l’ennui, c’était que je n’avais pas la moindre idée de ce que je cherchais. Pourquoi m’envoyer en repérage ici ? C’était parfaitement absurde. J’arrivai rapidement dans les vestiaires où les casiers d’époque n’avaient visiblement jamais été retirés. Bon, si je devais planquer un objet, ou quelque chose d’ailleurs, un casier, ça paraissait plutôt pas mal. Passant mes mains sur le métal glacial des rangements, je murmurai des alohomoras en rafale pour ouvrir les quelques uns qui étaient effectivement fermés. En vain, aucun d’eux ne semblait contenir quoique ce soit, à part de vieux objets perdus il y a plusieurs années déjà. Une serviette humide, moisie, et puante semblait avoir passé beaucoup trop de temps dans l’un d’eux. C’était dégueulasse, et je ne pus retenir un
- Yeurk !
Bruyant qui résonna dans l’espace trop vide du bâtiment. Continuant d’avancer avec un enthousiasme proche de celui d’une huître sur le point d’être mangée à Noël -peut être même un peu en deça !- je continuai de scruter les environs mais sans vraiment y croire. Il allait vraiment falloir qu’on m’explique pourquoi on m’avait envoyée ici. Ca ressemblait à un poisson d’avril, mais en plein automne, du coup ça fonctionnait nettement moins bien. Ou alors le type en charge d’attribuer les missions avait un sens aigu du bizutage et avait tiré au dé ma destination. Dans les deux cas, ce type allait découvrir que mon sens de l’humour était très versatile. Un jour ça me faisait rire, l’autre, ça m’foutait en rogne.
J’étais en train de fouiller une vasque un peu dégueulasse par acquis de conscience -est-ce que quelqu’un peut noter à quel point je suis dévouée à la cause et l’envoyer à mon patron?- lorsque j’entendis un bruit dont je n’étais clairement pas l’auteur. M’immobilisant soudainement, je me dépéchai d’éteindre ma lampe torche. Merde, il faisait sacrément sombre dans les vestiaires sans la moindre fenêtre, mais c’était trop risqué de me faire voir. Avançant à tâton, retenant ma respiration pour ne pas me faire repérer, j’essayai de regagner la salle principale du bâtiment où la lumière extérieure filtrait un minimum, me permettant d’au moins distinguer des formes dans la pénombre.
Sauf qu’en chemin, je finis par marcher sur quelque chose qui s’apparentait fortement à un pied. Alors réflexe, je rallumais la lampe torche, la dardant droit devant moi, au même moment que je dégainais mon flingue pour le pointer dans mon sillon sur… rien ? Personne. J’avais marché sur un cable… Eh merde ! Pour la discrétion, c’était mort, et re-mort. Alors foutu pour foutu, je restai avec la lumière allumée et l’arme dégaginée, prête à tirer.
- Montre toi !
Ordonnai-je, d’une voix bien plus assurée que je ne l’étais réellement.
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Grigori Dimitrov
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Ven 27 Déc - 13:23
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Grigori, dans une piscine, il y a pas un truc qui cloche déjà ? Non mais c’est pas une question d’aimer ou de ne pas aimer l’eau. C’est une question qu’il n’avait pas que ça à faire. Mais purée qui est la personne qui fait les plannings, qui organise les missions, les endroits ? Non parce que là, déjà il y avait erreur sur la personne à envoyer. Non mais avec tous les gens à la tronche de clochard, vous allez pas me dire qu’aucun pouvait y aller ? Pourquoi c’était Grigori direct qui était choisi c’est ton rpgiste qui choisit chuuuuuuuut. Mais le pire, c’était pas ça, non c’était que la piscine était désaffecté. Non mais vraiment, le respect quelqu’un venait de s’asseoir dessus et de donner une grande claque sur l’épaule de Grigori en lui soufflant ça va aller tu verras. Non ça n’irait pas ! Mais à quel moment ça allait d’aller dans une piscine où ce qui tapissait le sol, ce n’était pas de l’eau mais de la poussière, merveilleux. Bien sûr qu’il essaya l’excuse je ne suis pas trop inexpérimenté pour ne pas avoir à s’y coller, quoi la solidarité ? Non mais ils n’étaient pas solidaires les autres à l’envoyer là-bas. Sauf que ça ne passa pas comme excuse, la raison, c’était que lui il pourrait ramper si effectivement danger il y avait. Ramper ? Grigori ? La bonne blague, oui non mais ce qu’il faut pas entendre comme argument, mais jamais de la vie ses genoux se posaient sur de la poussière… Bon sauf s’il mourait mais là ce serait bien le cadet de ses soucis d’avoir les genoux plein de poussières. Bon après mort, il semblerait qu’il n’y ait plus aucun souci. Pas pour autant que ça avait l’air super la mort et il n’avait pas très envie de tester.
Donc c’était effectivement monsieur Grincheux en puissance qui venait d’arriver du côté moldu, parce que tant qu’à faire hein, autant lui pourrir sa soirée jusqu’au bout. En chemin vas savoir pourquoi, il croisa un papy qui promenait son chien et qui semblait d’humeur bavarde. Ça aussi, les gens des fois ils devaient avoir vraiment moins qu’un petit pois dans la cervelle, ça se voyait non qu’il avait pas envie de parler et le gars tout ce qu’il trouvait à dire c’est « Salut gamin. » Woh, respect s’il te plait, reviens par ici. Grigori ne se sentit pas mais alors pas du tout concerné, le gamin il allait lui en retourner une au vieux s’il le chauffait trop. « Si tu cherches ton chat, il est passé par le grillage, ce trou là. Quoi que t’es peut-être un peu trop gros pour réussir à te glisser. » Trop gros… trop gros ? Non mais en fait fallait le dire si le but de la mission c’était de prendre le chou à Grigori. Et puis on lui avait bien stipulé quatre fois, au cas où vraiment il était con et que ça percutait pas, qu’il ne devait pas rameuter les flics en tuant à tort et à travers des moldus… ni faire disparaître les cadavres. Ça, ça avait été rajouté après qu’il ait eut un petit sourire en coin signe qu’il allait passer outre la première règle. Un vieux, juste un vieux ? Non ? Ce n’est pas pour autant qu’il était décidé à faire la causette, il le regarda avant de pousser un soupir blasé, pour bien montrer qu’il avait écouté, entendu et compris, et de le contourner, poussant du pied le chien qui s’approchait en remuant la queue.
Pénétrer dans la bâtisse, un jeu d’enfant après que vieux papy soit parti en ronchonnant certainement que les adolescents étaient impolis. C’est fou ce que les moldus sont bêtes, ils laissaient des endroits désaffectés ouverts, mais pas trop genre on claque la porte, au cas où c’est un demeuré qui veut rentrer et qu’il ne sait pas appuyer sur une espèce de poignée. Ah non mais soit les voleurs moldus ont rien compris à la vie, soit… les autorités les prennent clairement pour des débiles en puissance. Quoi qu’il en soit, Grigori n’eut aucun mal à pousser la porte et à pénétrer le bâtiment. Bon par contre, il laissa ouvert derrière lui, ça va pour ce qu’elle empêchait de rentrer, autant la laisser ouverte. Mais c’est qu’il faisait tout noir là-dedans, sauf un point lumineux au loin, qui s’éloignait d’ailleurs flûte ! Il ne fallait pas laisser sa seule source de lumière se carapater. Le problème c’est que la source de lumière ça provenait de quelqu’un. Ce qui prouvait quelque part qu’effectivement, ceux qui avaient suspecté de l’activité par ici, avaient raison – un peu -… Et merde, pourquoi fallait il qu’ils aient raison en plus. Bon alors, la mission de Grigori devenait suivre la source de lumière vivante qui semblait faire un repérage des lieux, puis, lorsqu’il en aurait assez vu, il se carapaterait… Quoi ? Laisser en vie cette fille ? Ah non, effectivement, ce n’était pas ce qui était prévu mais ça semblait tellement évident que Grigori l’éliminerait après s’être servi d’elle en toute impunité. D’ailleurs, elle n’était pas très discrète, ah non mais ça c’était habituel avec Grigori, il tombait toujours sur des gens pas discrets, donc forcément, il est vrai que ça jouait sur lui aussi et sur ses réactions, il devenait moins prudent par extension. Pas parce qu’il n’était pas concentré, ni même par erreur, c’était délibéré, sa concentration était focalisée sur autre chose, parce que si la personne était si peu discrète, il était à peu près sûr de pouvoir s’en tirer bien plus facilement si problème il y avait.
En parlant de problème… Quand le vieux tout à l’heure il avait parlé d’un chat, Grigori aurait dû se méfier, un chat dans une piscine ? Mais tien donc, pourquoi…. Mais pour chasser les souris et clairement ce sur quoi il venait de marcher, ce qui venait de faire crac, c’était le cadavre d’une souris à coup sûr. Mais c’était totalement ignoble. Et après les gens osaient lui dire tu pourras ramper, non mais à un moment donné, faut être réaliste, qui ramperait sur des cadavres de souris, qui toucherait des cadavres de souris. Il s’immobilisa, résistant à l’envie de faire un lumos pour voir si ce n’était pas son imagination qui lui jouait des tours. Surtout que l’autre niaise là, la pas discrète, elle venait d’éteindre sa … euh… source de lumière étrange qui avait certainement un nom mais franchement Grigori avait pas retenu et allait on ne sait où. L’avantage c’est que sans lumière, elle ne voyait rien et s’il ne bougeait pas, ce qui était prévu, elle passerait devant lui… Lui en revanche l’entendait se déplacer, forcément vu qu’il savait d’où elle venait.
Mais bien entendu, ça ne se passe jamais comme escompté les plans de Grigori. Non mais elle était pas grosse, il n’était pas en plein milieu du chemin, il n’y avait aucune raison qu’elle lui fonce dessus, surtout qu’il retenait sa respiration. Et pourtant, franchement, elle le faisait exprès c’est pas possible. Elle venait de lui marcher le pied. En fait si, elle était grosse, elle venait de lui bousiller le pied cette andouille-là. En revanche, Grigori n’étant ni suicidaire – quoi que des fois on se demande vu qu’il veut se marier – ni stupide – là on se demande pas, on sait que si – il s’écarta derechef pour ne pas qu’elle l’éblouisse au moment où elle rallumerait. Parce que oui, ça il l’avait parfaitement anticipé qu’elle rallumerait, de la même façon que lui avait eu très envie de voir sur quoi il avait marché, elle voulait savoir aussi… La différence c’est que lui ne l’avait pas fait pour ne pas trahir sa présence, elle… forcément vu qu’elle venait de lui marcher dessus, ce qui se paierait, elle avait plus besoin de faire semblant. Mais qu’est ce qu’elle regardait l’andouille, un truc au sol… non mais elle respectait personne, elle était quand même pas en train de se convaincre qu’elle venait de marcher sur un câble… elle était pas si bête ? C’est pas possible.
Elle finit par prendre la parole, ah comme quoi, elle se doutait bien ne pas être seule. Alors par contre, même dans l’hypothèse où ils étaient alliés, ce qui n’était clairement pas le cas, qui serait assez niais pour aller se pointer devant la demoiselle quand elle portait un flingue. Il mit quelques secondes avant de réagir, analysant bien sa position pour ne pas se louper puis il murmura, plus qu’il prononça, pour ne surtout pas trahir sa position et se faire avoir « Nox. » plongeant ainsi la pièce dans un noir complet. Ce n’est pas pour autant qu’il prit la fuite ou qu’il resta immobile, il s’avança pour donner un coup de pied dans la main qui tenait l’arme, la main dominante de la personne, certainement. Franchement, s’il pouvait lui briser les os, qu’est ce que ça l’arrangerait. « Pas très malin de signaler ta position avec ta lumière. » Oui, c’était de la provocation pur et simple.
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Dim 29 Déc - 11:38
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La lampe torche pointée devant moi, il me fallut bien constater qu’il n’y avait personne devant moi, et que j’avais par conséquent dû marcher sur un cable. Et pourtant, à fixer le bâtiment apparemment vide devant moi, mon flingue toujours à la main, je ne pouvais m’empêcher de sentir comme une présence. Je n’étais pas seule, j’en étais certaine, mais je ne savais pas exactement où était mon compère d’exploration urbaine. Proche, me semblait-il, mais…
Nox
Je sursautai au moment même où la lampe torche m’abandonnait, me plongeant dans un noir absolu, bien plus sombre qu’il n’aurait dû l’être avec les quelques fenêtres qui ornaient le bâtiment. Fichue magie, il fallait que tout soit toujours plus compliqué avec elle. Le sortilège avait été prononcé tout prêt de moi, murmuré dans un souffle qui était malgré tout parvenu à mes oreilles dans ce silence quasi-religieux. Donc, l’autre énergumène était proche. Je n’eus guère le temps d’analyser plus la situation ou de me préparer à attaquer qu’il prit les devants. Je sentis le coup de pied dans ma main plus que je ne le vis, et l’arme m’échappa des mains sans que je ne puisse faire quoique ce soit.
Sa voix provocatrice vint faire vriller mes oreilles environs quelques secondes avant que mon poing ne s’abatte dans sa direction. Je ne savais pas exactement où il était, mais vu le coup de pied, je pouvais deviner globalement où il se tenait. Suffisamment pour le toucher. Alors peut être que je taperais dans son plexus ou son épaule plutôt que dans son nez, si je me plantais sur sa hauteur, mais je le toucherais. Et en effet, mes doigts serrés sur eux-même rencontrèrent rapidement quelque chose s’apparentant à un corps.
De quoi le déstabiliser pendant que j'enchaînais. La seconde qui suivit, ma main était partie s’emparer du briquet que je gardais toujours dans ma poche pour l’allumer et le brandir sous son nez, illuminant juste assez les alentours pour que je vois sa tête. Une tête de petit con, évidemment, j’aurais dû m’en douter. Un sourire provocateur s’étira sur mes lèvres.
- Pas très malin d’ouvrir son clapet quand on n’a rien à dire
Répliquai-je, scrutant rapidement ses mains pour vérifier s’il n’avait pas d’armes. Il n’en avait pas. Par contre il avait sa baguette de sorcier, évidemment. Bon, j’aurais préféré encore avoir mon flingue à la main, mais si je commençais à lancer un accio informulé, j’allais me griller vitesse grand V. Penses moldue, Eury. Je glissai ma main libre dans la poche de mon blouson, mes doigts se reserrant sur mon canif, prête à le dégainer s’il tentait quoique ce soit.
Je le dévisageai de haut en bas, comme si j’étais en train de faire passer une audition à un un futur top model, plissant les yeux d’un air méfiant.
- Qu’est-ce qu’tu fous là ? Si tu voulais piquer une tête, t’as 15 ans de retard au moins
Fis-je remarquer, ton moqueur en cadeau, juste pour le plaisir. C’était plus fort que moi : même en présence de potentiels voir de probables ennemis, il fallait que je me fiche de la gueule du monde. Instinct de survie ? Généralement élevé, mais tendant vers le zéros absolu de temps à autre. Notamment quand on me fiche une putain de mission chiante à mourir comme aujourd’hui ! Fallait bien pimenter un peu les choses, ce serait dommage de décéder d’ennui quand même... Faisant un pas vers lui pour réduire la distance entre nous deux, je poursuivis.
- Tu veux pas rallumer la lumière avec ton super bout d’bois ? Ca fait quand même un peu vieux pervers le mec qui lorgne dans le noir tu sais… T’as tellement peur qu’on voit ta trogne ?
Si c’était de la provocation gratuite ? Un peu. Pas tout à fait. J’aimerais bien y voir quelque chose en fait, et comme je ne pouvais pas moi-même user de magie… J’étais limitée à essayer de manipuler monsieur “Nox” pour qu’il le fasse. Rha ce que ça me gavait de devoir dépendre d’un mec ! J’aurais pu continuer à lui balancer des provocations à la tronche jusqu’à ce qu’il se décide à allumer -non pas le feu, ça c’était ma spécialité- mais la lumière, mais je fus interrompue par un bruit bien trop familier de porte qui claque. Et pas n’importe quelle porte, mais vue le bruit métallique lourd, il devait s’agir de celle de l’entrée -et accessoirement de sortie- de cette vieille bâtisse dégueulasse. Putain, c’était bien ma chance ! Encore un intrus ? Est-ce que toute la ville comptait débarquer ici ? Y avait une rave party dont on ne m’avait pas parlée ? Me raidissant un peu, je fusillai du regard le sorcier, le tenant pour responsable sans même en avoir la preuve. De toute façon, ça n’était pas ma faute, donc il ne restait que lui, car clairement, il fallait un coupable.
- Alors quoi, t’oses pas te balader tout seul ? T’as ramené tes copinous ?
Chuchotai-je, suffisamment bas pour qu’une personne qui viendrait d’entrer ne puisse pas nous entendre, nous qui étions à l’autre bout du bâtiment. Naturellement, je ne pouvais pas deviner qu’il n’y avait personne en vérité qui risquait de nous entendre. Et si la porte avait claqué, c’était plus pour s’assurer que les personnes DANS la piscine y resteraient plutôt que pour laisser en entrer d’autres… Mais ça, nous le découvririons sans doute bien assez tôt ! Trop tôt même.
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Mar 31 Déc - 14:53
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Ah mais quelle espèce de gourdasse ! Mais c’est pas vrai elle venait de lui donner un coup de poing. A un moment donné, il commençait à en avoir ras le cul de se prendre des coups de poings de toutes les pimbêches de Grande Bretagne. Non mais après il y aura encore des gens pour dire faut pas taper les filles ? C’est dingue pourtant, elles savent très bien taper et vu la rapidité de réaction de la demoiselle, elles n’hésitaient pas non plus avant de taper quelqu’un ? Il sentait son épaule l’élancer, oui parce que promis ce n’était pas une tapounette pleine de douceur, c’était bien douloureux, pas de problème. Quand on pense que c’est la même débile qui confond des cables électriques avec des pieds de garçons, c’est incroyable tout de même.
L’instant d’après, les ténèbres étaient remplacées par une faible lumière rougeoyante, du feu. Ah, bon bah, ils ne seraient plus dans le noir, dommage, il trouvait ça mieux. Encore que, il pouvait peut-être souffler sur la flamme ? Si ça dégénérait, qu’il avait sous-estimé la demoiselle, faut dire quand même pour la défense de Grigori qu’elle avait l’air sacrément con, elle cacherait bien son jeu si ce n’était pas le cas. Bref s’il l’avait un peu trop sous-estimé et qu’il était en mauvaise posture, ce qui n’était pas prévu dans son programme, il soufflerait avant de transplaner, ça serait pas plus compliqué que ça.
Elle prenait la parole pour… le provoquer ? Il esquissa un sourire tout aussi provocateur que le sien. « Tu te répètes cette phrase en boucle pour ne pas l’oublier mais tu n’arrives pas à l’appliquer ? » Ah ça, prendre des gens pour des cons, Grigori il savait très bien faire. Il suivit le regard de la demoiselle, sur ses mains, ce qui était étrange en fait lorsqu’il y réfléchissait, elle croyait que sa lampe torche s’était éteinte comment au juste s’il n’avait pas de baguette ? Elle vérifiait qu’il en avait une mais ne semblait pas spécialement surprise non plus. Il n’y avait pas à dire, cette fille était totalement louche… une fille quoi, des fois faut pas chercher à les comprendre, ça vaut mieux pour la cervelle. Il tourna la tête lorsqu’elle parla de piquer une tête avant de la secouer négativement « Si c’était le cas, je serais venu le jour, faut réfléchir un peu avant d’ouvrir ta bouche, à défaut de la boucler. » Pour ce qui est de sa question sur ce qu’il foutait là, il ne répondit pas, ça ne la regardait pas en fait et puis à quel moment il était écrit dans le papier de cette mission de merde qu’il devrait parler à une fille, moldue qui plus est… oh le combo de merde, c’est pas possible, il avait été maudit à la naissance… ces parents avaient du faire un truc pas bien. Bon non ça c’était pas possible… les grands parents, ça devait être les grands parents. Et Grigori était forcé de se coltiner une pimbêche au QI de moineau.
Et puis c’est incroyable, elle la bouclait jamais, à peine avait il fini ses propos totalement inutile en plus, sur le fait qu’il soit venu ici se baigner. Elle enchainait, il souffla « Déjà, je vais te donner un peu de vocabulaire, c’est cadeau, ne me remercie pas. Ce super bout d’bois comme tu dis, ça s’appelle une baguette. Tu arrives à enregistrer du premier coup ou faut que je te répète en articulant mieux ? » Là, encore pour le reste, il ne réagit pas, ignorant ses propos. Qu’est ce qu’il en avait à faire de passer pour un vieux pervers auprès d’une fille qui ne finirait pas la nuit en vie. En fait tout court, qu’est ce qu’il s’en foutait de l’opinion qu’avait les gens de lui, bon sauf les parents, d’accord ça c’est important. Quand ce n’était miss bavarde qui faisait du bruit, c’était la porte d’entrée qui venait de se fermer. Alors oui, Grigori aurait pu croire au coup de vent mais étant donné qu’il n’y avait pas de vent, ça paraissait compliqué et puis ça ressemblait presque à un cliquetis. Il était enfermé ? Comment ça il était enfermé ? Mais il avait pas du tout envie d’être enfermé ici ! Et là, le mieux c’était quand même l’autre là qui ne trouva rien de mieux à faire que d’ouvrir sa bouche et de le regarder de travers. « Oh mais tu vas la boucler à la fin ?! Fais marcher les deux pauvres neurones que t’as dans le ciboulot, si j’étais venu avec mes copinous, on ne se serait pas séparé et tu serais morte puisque je n’aurais pas eu besoin que tu me fasses faire une visite ! »
Si elle, elle chuchotait, Grigori en revanche ne chuchotait pas mais alors pas du tout. Sincèrement, il en avait rien à cirer que quelqu’un sache qu’il était ici et avec quelqu’un, bien au contraire, plus les gens penseraient qu’ils étaient nombreux et moins ils oseraient venir montrer leur frimousse de peur de se faire canarder. « Continue à éclairer avec ta petite bougie, on fait le tour du batiment, je couvre nos arrières ? » Oui non mais c’est pas parce qu’il disait cela qu’il avait vraiment l’intention de protéger qui que ce soit, si par malheur – ah oui vraiment le gros malheur… il s’en remettrait probablement jamais c’est sûr – quelqu’un prenait la bavarde pour cible puisqu’elle avait la lumière, il la laisserait se faire descendre avant de descendre la personne l’ayant attaqué. Non, Grigori n’avait pas envie de faire équipe avec elle, surtout qu’à cause d’elle, il avait mal à l’épaule alors il ne la portait pas vraiment dans son cœur. En revanche, comprenant bien que le danger venait de l’arme qui distribuait la mort par terre, il fit un accio pour la récupérer, ne quittant pas une seule seconde des yeux son ennemie. S’il ne dit rien, il n’en pensait pas moins je vais garder ça pour éviter de me prendre une balle entre les deux yeux.
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Jeu 9 Jan - 16:47
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Il ne fallut même pas quelques secondes pour que l’échange qui aurait pu être cordial vire au règlement de compte. C’était sa faute, il avait commencé sur un ton insolent. Moi… je ne faisais que lui enquiller le pas. Essentiellement parce que ça m’occupait au milieu de ce grand bâtiment vide et chiant comme la pluie. Franchement, je ne comprenais pas ce qu’on m’avait envoyé foutre ici...
- Oh, monsieur a de la répartie. C’est pour ça qu’on t’a envoyé ici ? Pour les joûtes verbales ? Il fallait au moins la crème de la crème du monde sorcier pour ça.
Ricannai-je, m’amusant bien trop. La mission semblait toujours aussi pourrie, et je n’étais vraiment pas certaine d’en tirer quoique ce soit de constructif pour le Blood circle, mais au moins, je pouvais me défouler un peu. C’était pas si mal, en fait, d’avoir un punching ball humain à disposition. P’têt que si j’le kidnappais et ramenais au QG du BC ils me laisseraient le garder comme jouet ? Mouais. Probablement pas. Ca serait plutôt torture jusque mort s’en suive. Certains de mes collègues manquaient vraiment de fun.
En attendant, on en n’était pas là. Non, là, on en était à se regarder en chiens de faïence pour mieux s’aboyer dessus. Délicieux programme ![/color]
[color=#cc6666]- Pour quelqu’un qui se pointe dans une piscine désaffectée pour faire quelques longueurs je ne m’étonne pas de te voir débarquer la nuit plutôt que le jour.
Répliquai-je dans un haussement de sourcil moqueur. L’opération “le saouler de parole” se déroulait plutôt bien. Il fallait dire que pour ce qui était de déblatérer non stop, je pouvais être TRES efficace. J’étais très polyvalente dans le domaine de la parole : de la tombe silencieuse à la pie jacasseuse, je pouvais dégainer toutes les variantes. Et ça avait l’air de faire son petit effet, mon interlocuteur semblait perdre patience. J’allais l’achever avec sa baguette, c’était certain.
- Brrr, c’est terrifiant ça comme mot, baguette. D’ailleurs pourquoi pas une fourchette ? Ou un couteau ? C’est quand même vachement plus menaçant que des baguettes à sushi.
Je prenais beaucoup trop mon pied à débiter un nombre incroyable de conneries et à jouer les abruties profondes juste pour le faire s’énerver. J’avais de la chance : il avait l’air plutôt facile à faire démarrer au quart de tour. Alors hop, une petite couche de fausse naïveté sur le monde des sorciers, un peu de provocation, et la mayonnaise montait toute seule !
Mais je fus coupée dans mon élan pourtant si grâcieux par le bruit de la porte s’ouvrant et se refermant. Oh oh ! Ca, ce n’était pas une bonne nouvelle. Ce n’était pour sûr pas un collègue du BC, ce qui laissait, dans l’univers des possibilités, les copains du sorcier, et ça c’était vraiment pas bon pour moi, ou d’autres gens, donc encore plus d’incertitudes, pas bon non plus. Et alors que j’essayais de cuisiner l’autre courge pour savoir si c’était son renfort qui se pointait il se mit à… crier ? Il était sérieux le gus là ?
- Tu veux pas hurler encore plus fort ? Ou envoyer une fusée lumineuse, carrément, tant qu’à faire !
Grommelai-je, me tournant à nouveau vers lui. Bon. C’était fichu pour la discrétion. On pouvait tout aussi bien allumer la lumière et leur faire de grands signes à ce stade. Les intrus n’allaient sans doute pas tarder à nous retrouver. Heureusement, l’imbécile hurleur eut une idée de génie, à laquelle je répondis par un haussement de sourcil dédaigneux.
- Ah, le courage masculin. C’est beau. T’es vraiment un magnifique spécimen toi ma parole. Et sérieusement, nos arrières ? T’as peur de quoi ? Qu’un casier vide se jette sur toi ? La porte d’entrée et donc accessoirement les nouveaux arrivants sont devant nous j’te signale, au cas où t’as des problèmes d’orientation en plus du reste.
Je levai les yeux au ciel -mais il ne le vit pas dans le quasi-noir- songeant que je ne pouvais pas cauchemarder pire binôme. D’ailleurs, pourquoi il me collait au train d’abord ? Il pouvait pas aller faire sa vie ailleurs ? Je voyais bien qu’il avait la trouille, à se planquer derrière moi, mais dans ce cas, qu’il prenne ses jambes à son cou directement, ça me ferait gagner du temps. Mais non à la place il… piqua mon arme ?! Mais il se prenait pour qui c’ui là ? Est-ce que je touche à son bout de bois à la con moi ? Pivotant pour lui faire face, le briquet brandi devant moi pour bien voir sa tronche de petit con, je plissai les yeux.
- Ok, soit tu gardes l’arme et tu passes devant, soit tu me la rends et je passe devant. Y a pas marqué bouclier sur ma gueule, même si y a bien marqué “gros planqué” sur la tienne.
Bon sang ce que c’était frustrant de ne pas pouvoir utiliser ma magie. Sinon un petit accio informulé qu’il n’aurait par conséquent pas vu venir et BIM, je récupérais mon arme. Bon, après, si y avait d’autres clampins avec nous, l’avantage, c’était que je pouvais lancer quelques sortilèges informulés sans baguette et il ne saurait pas que c’était moi, encore moins dans le noir. Fallait juste que j’arrive à voir quel genre de clampins on avait en guise de compagnie. Des clampins qui n’allaient pas trop tarder à débarquer maintenant que l’autre abruti avait beuglé dans tout le bâtiment. On avait donc peu de temps, mais lui ne semblait pas pressé du tout. A l’aise blaise, prends ton temps Gontrand, y a pas l’feu Matthieu, on a pas d’train à prendre… Bref vous avez compris la logique.
- Décide toi vite, on va pas y passer la nuit.
Ajoutai-je, tapotant du pied par terre, main tendue dans sa direction, pour renforcer l’effet théâtral. Dans le meilleur des cas, il me rendait mon arme. Dans le pire, il passait devant, et ça serait toujours ça de pris quand les autres nous attaqueraient de fond. D’ici là, je pourrais peut être l'assommer en plus.
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Grigori Dimitrov
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Lun 27 Jan - 20:30
Et tout devient sombre quand je sors de l'ombre
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Donc, récapitulons toutes les merdes qui s’enchainaient aujourd’hui, c’est important pour se rendre compte de l’agacement de Grigori. Tout d’abord, il avait été contraint et forcé d’aller en mission, ensuite chez les moldus, puis comme si ce n’était pas suffisant, il s’était fait agresser par un vieux et son chien – bon d’accord, cette partie c’est faux – pour enfin finir par suivre une espèce de… c’était quoi ce machin au juste … de cervelle de petit pois qui avait très bien compris comment sa langue fonctionnait et qui avait pour seul objectif dans la vie de prendre la tête aux gens, sans oublier qu’elle l’avait frappé. Oui c’est un scandale, rien que pour ça, il aurait dû lui fracasser la tête encore et encore contre le pavé jusqu’à entendre le bruit caractéristique de la pastèque qui se fend en deux mais il prenait sur lui. Pas très flagrant vous dites ? Heu… oui mais il fait de son mieux. Il la regarda avec mépris, il est vrai, lorsqu’elle commença à le provoquer. Alors à présent, tout allait être une question de contrôle, sur lui-même, bon entraînement, il maîtrisait. Elle insultait les sorciers ? C’est pas grave, le sorcier allait lui ôter la vie à la fin de cette mission de merde. Voilà, il fallait garder cet objectif en tête. Néanmoins, il rétorqua sans aucune ironie « Oh non, même le plus nul des sorciers te surpasse en tout point. » Bien sûr, elle allait lui dire qu’il savait très bien de quoi il parlait, avec ce petit sourire arrogant, il s’en doutait mais bon fallait bien qu’elle tente de se défendre le petit roquet.
Après, elle était débile, alors oui c’est vrai, elle était moldue, aurait-il pu s’attendre à mieux de la part de quelqu’un pas foutu de faire de la magie ? Pas vraiment. Il le savait pourtant que ces êtres étaient plus insignifiants que des cafards. Mais là, quand même, elle croyait vraiment qu’il viendrait faire des longueurs de nuit, oui c’est vrai que personne n’a mieux à faire que de nager en pleine nuit, dans une piscine sans eau, genre bien crétin jusqu’au bout. Sans oublier qu’en tant que sorcier, il choisissait pour se maintenir en forme une piscine moldue. Bah oui c’est bien connu le top du top c’est chez les moldus qu’on le trouve. « Mais t’as tout à fait raison, je suis percé à jour. T’es vraiment trop perspicace comme fille. Et bah au moins on voit que le recrutement chez vous, c’est pas basé sur l’intelligence hein, plus t’es suicidaire, moins t’as de jugeotte et plus t’es accueilli les bras grands ouverts. Et après vous vous étonnez qu’on veuille vous éliminer… »
Mais ça c’était pas le pire. Le pire c’était quand même l’histoire de la baguette. Non mais en fait, même pour les moldus là, quand même, ils étaient pas tous aussi débiles, c’est pas possible. Grigori souffla « Parce que tu crois que revolver c’est mieux ? Il y avait une promotion sur les v et les r quand ils ont inventé les mots ? Et puis après on parle des AK 47 et autre K31 ? Ce jour là promotion sur les K ? » Ouai alors très franchement, Grigori n’avait pas la moindre idées d’à quoi ressemblait les machins qu’il avait dit, tout ce qu’il savait c’est qu’en appuyant sur le bouton, en ayant beaucoup de chance, et en sachant viser, ça avait un peu le même effet qu’un avada kedavra ces machins là.
Pendant qu’ils tapaient la discute, s’entendant à merveille après ça dépend probablement de la merveille une porte claqua. Oui, ça arrive les portes qui claquent, Grigori était même habitué aux portes qui claquent chez lui et souvent ça ne présageait rien de bon. Mais là, il n’était pas chez lui, les gens qui pouvaient venir c’était des moldus, franchement qui serait effrayé à part la fille à ses côtés qui avait décidé que c’était les amis de Grigori, oui bah non. Il aurait bien aimé, mais non. Forcément, il haussa le temps, forcément, elle n’était pas contente et lui prenait le chou, hé mais elle ne s’arrêtait jamais ? C’était intenable comme comportement ça « Mais c’est ta tête détachée de ton corps que je vais leur envoyer si tu continues à ouvrir ta bouche ! »
Parlons un peu de l’idée de Grigori, non pas celle visant à détacher la tête du corps de la fille pour faire peur aux moldus, celle de faire le tour du bâtiment en la suivant et en couvrant ses arrières. Il semblerait que ça ne plaisait pas son idée. Et voilà qu’elle réfléchissait enfin, c’est dommage, franchement pourquoi elle réfléchissait uniquement quand il avait besoin qu’elle soit aussi bête que précédemment. « Il y a une différence entre courage et bêtise. Faudrait veiller à ne pas l’oublier. » Voir même suicide, et non ce qui s’appliquait à lui ne s’appliquait pas forcément à elle. Elle le prenait de haut « Oh tu sais, vu ta discrétion d’éruptif, n’importe qui pourrait être derrière nous à l’heure actuelle. » Ce qui était potentiellement vrai et totalement inquiétant en réalité.
Le fait qu’il ramasse l’arme ne sembla pas plaire. Est-ce qu’il y a une chose qui plaisait vraiment à la moldue en même temps ? A part parler, ça pas de soucis, ça lui plaisait bien. Grigori manqua d’éclater de rire en l’entendant dire que puisqu’il avait l’arme il pouvait passer devant. Non mais il ne savait pas se servir d’une arme à feu, elle croyait quoi au juste qu’il y avait formation tir chez les sorciers ? Alors oui, mais pas avec ce machin. Il la laissa l’insulter, si ça pouvait la rassurer et qu’elle ferme sa bouche et bien soit. En revanche, il avait nullement l’intention que quelqu’un puisse se servir de l’arme. Cette idée, il ne l’eut pas sur le moment, parce qu’une partie de lui était tentée d’utiliser tout ce qu’il avait à disposition, y compris cette fille et l’arme à feu. Sauf que le manque de confiance prit le dessus, après qu’elle l’ait un peu bousculé pour qu’il prenne une décision. Très bien, il prit donc une décision. Il pointa sa baguette sur le canon avant de murmurer, non mais sait on jamais que plein de moldus entendent et qu’ils soient pris pour des sorciers ce qu’ils étaient on est bien d’accord ^^ et leur tire dessus, ce serait balo pour lui… pas pour elle, elle méritait. « Diffindo » L’arme se sépara en deux, le premier bout heurta le sol dans un tintement métallique avant que le second morceau soit lâché par Grigori, dans sa poche à lui. Sait on jamais qu’il faudrait faire un accio pour réunir les deux parties et utiliser le machin. En attendant cette éventualité, il se tourna vers la jeune fille lui faisant un sourire pour le moins hypocrite. « Et maintenant ? Personne n’a d’armes. Pouvons nous avancer ou madame a encore envie d’entendre le son nasillard de sa voix et nous bassiner sur son immense courage alors qu’elle n’est pas foutue de faire un pas en avant tellement elle a la trouille que je m’en prenne à elle. Ne parle pas de courage quand de toute évidence, tu en es dépourvue. »
Avancer maintenant, c’était obéir et quelque chose lui interdisait de le faire, il ne voulait pas faire le premier pas, pas question de céder à ses exigences de moldue. Il attendit donc qu’elle avance, têtu comme une mule… Ah non mais à ce rythme là, la mission allait effectivement durer toute la nuit si chacun faisait la forte tête ou alors, ils allaient se faire tirer comme des lapins s’ils campaient sur leur position. D’ailleurs, était ce son impression où y avait-il des bruits de pas, dans le doute, il regarda les réactions de la brunette à la bougie, voulant voir ce qu’elle allait faire.
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L’ambiance générale ? Excellente, 10/10. L’entente ? Merveilleuse également. Non vraiment, c’était une véritable partie de plaisir de se retrouver dans un endroit merdique, avec un crétin infini -oui parce qu’il n’était clairement pas fini- et potentiellement d’autres ennemis dans la place. J’allais buter Robin Kane. Depuis cette fameuse mission où il m’avait remonté les bretelles je le soupçonnais de vouloir me mener la vie dure pour prouver qui était le chef. Ouais, au final, c’était encore et toujours une histoire de qui avait la plus longue. Les mecs, tous les mêmes. Et les sorciers étaient pire, à faire des blagues graveleuses sur leurs baguettes…
Bon en attendant, ce qui était plutôt bien, c’était qu’on était sur la même longueur d’onde lui et moi… Dommage que cette longueur d’onde émette des ondes meurtrières. Enfin, dommage, c’était vite dit… Moi j’aimais bien l’idée de me foutre sur la gueule. C’était bien beau les entraînements avec les collègues, mais on ne pouvait pas trop leur en mettre plein la tronche. Alors qu’un nobody sorcier dans un lieu paumé… Bon, pour lui en mettre plein la gueule, il faudrait que j’ai mon arme, ce qui était pour le moment plutôt mal barré.
Je répondis à sa réplique par un petit lever de sourcil provocateur.
- Ah oui ? J’attends de voir ça alors.
Pauvre tâche. A un duel, tu serais déjà saucissonné et assommé. Mais je préférais garder mes sorts informulés pour des sorts vraiment dévastateurs, voire carrément des sorts mortels. Si je me contentai de jouer avec lui, ça voudrait dire laisser derrière moi un témoin du fait que j’étais belle et bien une sorcière, qui plus est une qui maîtrisait la magie sans baguette -un bon indice pointant droit vers Uagadou. Autant dire que c’était une idée exécrable. Valait mieux le laisser venir, voir de quoi il était capable et ce qu’il voulait, décider si je le laissais en vie ou non, et aviser en fonction du besoin d’utiliser de la magie ou non.
Et quoi de mieux pour savoir ce qu’il avait dans le ventre que de le provoquer un peu ? Il avait l’air de mordre assez facilement à l’hameçon. Et ça vira rapidement en battle de vocabulaire. Fallait bien admettre que “revolver” ça ne voulait pas dire grand chose. Je ne m’étais jamais demandée d’où venait ce nom à vrai dire… La première fois qu’on m’en avait mis un en main, j’étais trop occupée à m’extasier devant l’efficacité de ce joujou. Bon… jusqu’à ce que je découvre le tazer. CA, c’était un jouet encore plus drôle. Et surprenant. Dommage que je ne l’ai pas emmené avec moi, j’aurais pu électriser un peu l’autre neuneu, ça aurait peut être réanimé certains de ses neurones !
- J’te confirme, on aime bien les CAS. Comme toi. Et on aime encore plus leur faire un p’tit trou dans le front pour bien vérifier qu’ils sont aussi intelligents qu’ils s’en vantent.
Répondis-je dans un sourire, jouant sur la prononciation du fameux “K” dont il parlait. Et puis je voyais pas bien ce qu’il avait contre les V, les R et les K. Y en avait un sacré paquet dans leur super “Avada Kedavra”. En tout cas le petit avait révisé ses armes moldues, bravo à lui. C’était pas ça qui sauverait sa vie s’il avait un de ces fameux AK47 sous le nez mais bon… au moins il saurait de quoi il était mort hein !
L’arrivée de nouveaux copains créa une tension au sein de notre duo -quel dommage, alors qu’on s’entendait SI bien jusque là. Il fallait dire que se mettre à hurler comme une truie, c’était pas la stratégie de l’année, mais ça ne semblait pas le choquer. Monsieur était hyper sûr de lui visiblement… Et il ne trouvait rien de mieux que de se chicaner alors qu’il y avait potentiellement de nouveaux ennemis dans le coin.
- Donc c’est le mec qui beugle comme une vache au lieu de parler qui me parle de discrétion ?
L’aveugle qui se foutait de la gueule du borgne. Et s’il continuait comme ça, aveugle il allait vraiment finir par le devenir. Arracher des yeux, ça ne me refroidissait pas du tout. Je l’avais déjà fait. Je n’irais pas jusqu’à dire que c’était fun, mais ce n’était pas si horrible qu’on pouvait le croire. Et il me donnait une raison supplémentaire de le faire en s’emparant de mon arme. Non mais ça va oui ?! On touche pas les armes des autres. Est-ce que je te pique ta brosse à dent ou tes sextoys moi ? Non ! Y a des trucs personnels. Et alors que je lui faisais savoir mon mécontentement, je le vis… DECOUPER MON FLINGUE EN DEUX ?! Non mais ça va pas la tête ?! Mon bébé, mon revolver adoré !!
Je restai un moment interdite, scandalisée, à fixer mon cadavre d’arme par terre. Et j’étais là, immobile, à fixer mon pauvre Revolver, et à me demander si lancer à cet emmerdeur un Avada Kedavra sans baguette et informulé, juste pour le style, serait vraiment considéré comme excessif. Je l’entendis à peine débiter sa tirade. Je bouillonnais intérieurement. Ca ne m’atteignait pas du tout, ce flux de mots ininterrompu. Ce pauvre merdeux avait osé DECOUPER mon précieux.
Après un long silence, je fis un pas en avant, comme si je prenais effectivement les devants. Dans ma tête, j’étais surtout en train de me demander où j’allais taper. Alors certes, il était armé, d’une baguette, et moi pas, mais quand je m’énervais, je faisais rarement preuve de prudence et d’instinct de survie, je passais juste en mode berserk. La discrétion dont on faisait preuve jusque là -enfin, tout était relatif- passa également aux oubliettes. Ne restait qu’une obsession : lui faire payer son affront ! Alors sans prévenir, profitant du fait qu’il était juste derrière moi, je relevai ma jambe vers moi, et je donnai un coup de toutes mes forces dans ce qui devait être son entrejambe, si je visais bien. Adieu discrétion… Mais rien à foutre. Dans quel monde t’as cru que tu pouvais péter mon joujou sans en payer le prix ?
- De un, le courage j’en ai rien à foutre. Mais tu touches pas à mes affaires. De deux, jusqu’à preuve du contraire, c’est toi qui es armé. T’es sourd en plus d’être con ? J’ai dit que je passais devant seulement si j’avais une arme.
Grommelai-je en pivotant, vers lui pour voir si j’avais bien ciblé, s’il avait esquivé, ou s’il s’était prix ma boots ailleurs. S’il bougeait pour attaquer, j’hésitais pas deux secondes : je l’attrapais par les oreilles, et je lui collais le coup de boule de l’année. Ca s’rait pas la première fois. Ca faisait mal, quand on débutait, mais rapidement, on apprenait à faire plus de mal qu’on ne s’en infligeait soi-même.
- Mais si tu m’donnes ton bout de bois, pas de souci, j’ouvre le chemin.
Bon, en attendant, on avait fait un potin un monstrueux, et personne ne nous était tombé dessus ? Bizarre. Si les ennemis nous guettaient pour trouver le meilleur moment pour nous attaquer, j’voyais pas bien ce qu’il leur fallait de plus. On était en train de se neutraliser l’un l’autre sans leur aide, qu’est-ce qu’il leur fallait de plus pour intervenir ? Je commençais à me demander s’il y avait bien quelqu’un… Mais j’avais entendu cette porte claquer, je ne l’avais pas rêvée ! J’irai volontiers vérifier ce qu’il en était, mais il était difficile de progresser quand on avait un ennemi sur les talons qui venait de détruire notre unique moyen de se défendre. Enfin, unique… c’était vite dit. J’avais plus d’un tour dans mon sac. Mais MERDE, mon revolver quoi !! Ouais, je m’en remettais toujours pas. J’espérais avoir réduit ses noix à l’état de copeaux et de l’avoir ainsi privé de toute possibilité de descendance. Une bonne action pour l’humanité que d’arrêter là cette lignée !
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Grigori Dimitrov
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Elle voulait bien voir ça, il était tenté de lui dire bah ouvre les yeux, mais bon, comme elle était un peu concon, si si faut le dire, elle n’allait rien comprendre. Autant s’éviter une déception de plus. Puis au bout d’un moment, s’il commençait à chaque fois qu’elle l’ouvrait, à lui répondre, ça allait vite être chiant. Il se contenta donc de l’ignorer. Voilà, ça c’était bien d’ignorer les gens, c’est quelque chose qu’il maîtrisait à la perfection vu qu’on l’ignorait TRES souvent.
Si à elle, il avait sûrement besoin de tout lui expliquer, oui c’est catastrophiques, mais bon c’est une fille faut faire avec. Peut être qu’il aurait mieux valu pour l’esprit de Grigori qu’il ne comprenne pas ses blagues en fait. C’était pas drôle du tout hein. Elle faisait un jeu de mot avec K ? Non mais à un moment donné, il fallait se remettre en question hein, c’était pas une façon de faire. Il la regarda sans aucune chaleur lorsqu’elle le menaça, si si c’était une menace, de lui faire un trou dans la tête. Est-ce que c’était raisonnable de répliquer, pas du tout, est ce qu’il allait le faire quand même ? Mais totalement. « Quelle bande d’arriérés, votre seule façon de savoir si quelqu’un est intelligent c’est de lui faire sauter la cervelle ? Ah bah c’est pas étonnant que vous soyez ridicules… Vous vous êtes aperçus quand même qu’avec un trou dans le cerveau c’est tout de suite beaucoup plus compliqué pour la personne. » Non mais oui, elle se payait sa tronche, il pouvait tout aussi bien en faire autant, surtout que ça venait tout seul. Et puis il avait fait un effort, il ne lui avait pas fait remarquer qu’elle était désarmée et que les trous qu’elle pouvait faire, c’était avec sa tête contre le mur, ou le sol à la rigueur mais c’était beaucoup plus compliqué.
Bon si un jour, pour survivre à une guerre apocalyptique, il fallait faire des duos, mais jamais de la vie il fallait faire le duo machine-Grigori. Ce n’est même pas que ça ne fonctionnait pas trop, rien allait. Ils étaient incapables de communiquer, bon après Grigori n’avait pas envie de communiquer, il voulait qu’elle la ferme, chose qu’elle semblait incapable de faire. Amusant quand même de la part de la fille la moins discrète du monde qu’elle trouve quand même le moyen de faire des reproches « Mais ça percute difficilement là-haut hein ? Ils savent déjà qu’on est là. » et puis en vrai… qu’est ce qu’il s’en tapait lui personnellement que des gens viennent, si danger il y avait il transplanait et voilà tout, c’était pas pu compliqué que ça. Mais avant de faire cela, il voulait être sûr qu’il était en danger, sinon ça serait juste stupide de fuir. Il se débarrassa donc de l’arme de la chieuse, oui non mais une balle dans la tête c’est très bien que ça reste une image. Ce qu’il n’avait pas prévu, parce que personne prévoit ce genre de réactions, c’est que madame n’aimait pas qu’on bousille ses affaires. Sur le coup quand elle avait avancé, il s’était dit qu’enfin, elle allait être raisonnable qu’est ce qu’il pouvait être naïf des fois, c’est navrant. Sans avoir anticipé quoi que ce soit, voilà qu’il se prenait son pied dans la j’avais marqué parti mais je me suis dit jouons le aux dés ! jambe droite. Mais quelle espèce de garce ! Elle lui avait défoncé le fémur là, mais il allait l’étrangler à force, oui oui avada kedavra rien du tout, il allait serrer avec ses mains pour la regarder s’étouffer sous ses yeux et que la dernière chose qu’elle voit avant de mourir ce soit son regard à lui et son sourire satisfait. Forcément qu’il ne lâcha pas sa baguette, pour autant, il avait mal et la façon de faire passer la douleur, c’était encore de masser sa jambe. Mentalement, il l’insultait clairement, elle allait s’en prendre une, ce n’était pas possible autrement. Elle parlait, mais il s’en foutait pour le moment, il avait mal ! Il grimaça avant de rétorquer « Tu n’as pas d’armes parce que tu es une imbécile qui sous-estime son ennemi. »
Ce serait cependant trop prévisible de l’attaquer maintenant. Grigori allait attendre, elle était forcément sur le qui vive, s’attendant au retour, il allait donc patienter, quelque chose qu’il savait bien faire. Elle faisait la blague du siècle là, elle voulait sa baguette. Non mais, elle était pas bien elle. « Je ne te donne rien du tout, je fais pas l’aumône aux pauvres. » Et puis donner sa baguette à une moldue, oulalah, la mauvaise idée et pour en faire quoi ? Elle s’attendait à quoi ? à ce que la baguette s’illumine à son contact… elle délirait totalement, la seule chose qu’elle pourrait faire avec c’est d’essayer de transpercer une gorge avec mais c’était profondément dégoutant et Grigori ne voulait pas que sa baguette soit pleine de sang.
Le petit inconvénient des deux fortes têtes, un peu stupide c’est qu’évidemment, vu que personne ne voulait avancer devant l’autre, et bah ils étaient restés bloqués au même endroit, chacun se montrant extrêmement poli à dire limite après toi. Les intrus finirent par les trouver, tout aussi discrets que la partenaire de Grigori pour le coup, ils les virent arriver en avance, puisque leurs lampes torches étaient allumés. Grigori rangea quand même sa baguette, n’ayant pas trop envie que tout le monde sache qu’il était sorcier. Il trouva le moyen de faire une remarque tout à fait pertinante à la demoiselle « Tu vois, je te l’avais dit qu’ils savaient qu’on était là. » Cinq personnes déboulèrent, des jeunes, à l’air totalement remontés, pourquoi ? Mais ils allaient le dire très vite « C’est vous qu’avez volé nos plans de canabis ! » Ah ça y est… il avait le droit à tous les moldus débiles de la ville, c’est pas possible, il y en avait aucun avec un minimum d’intelligence « C’est ça… on planque les plans derrière nos dos et on bouge pas pour vous faciliter la tâche et que vous nous trouviez plus rapidement. » Ils allaient comprendre qu’il se payait leur tronche ? Espérons le.
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Lancé de dé: Moi je voudrais juste savoir si cette chieuse vise bien ou mal
Oui, elle vise bien Non, elle vise mal (ou alors elle vise bien mais mon Grigori est mauvais joueur XD)
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