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Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes,
alors pensez à les privilégier pour vos personnages

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House of Cards ➳ ft. Nathaniel Avery :: Three Broomsticks :: Pensine :: Les RPs
Invité
Anonymous
INRP
IRL
Lun 25 Fév - 20:06
House of Cards

Voices, in my head again baiting me in a war I can't win.
I can hear them now, trapped in a game inside my own skin.
I don't know myself anymore, they're pulling me under.
If I showed you my soul would you cover your eyes ?

nessy & nate ;
« Aide-moi », ce message lui avait été adressé plus tôt dans la matinée. Un message des plus inquiétant sortit de son contexte. Mais tu avais véritablement besoin de lui. Il était le seul à qui tu pouvais véritablement en parler, le seul qui pourrait t'offrir des réponses à tes questions. Le seul qui pourrait t'aider à te sortir de cette situation mais surtout le seul qui puisse te comprendre. Bien sûr, ton frère aurait put t'aider, Ethan aurait put le faire également, et si tu avais daigner en parler avec le principal concerné peut-être aurait-il put le faire lui aussi. Mais tu étais certaine qu'en te confiant à Trevor sur tes craintes tout partirait en vrille. Deux options s'offraient à ton couple : La fuite, ou la dispute. Tu avais peur qu'il parte en courant et te laisse seule face à tout ça tout autant qu'il te demande de partir avec lui, disparaître du jour au lendemain comme deux amants interdits. Mais plus encore, tu avais peur de devoir faire un choix entre ton âme-sœur et ta famille, peur de devoir perdre quelqu'un qui t'est cher.
Le week-end, rien de tel pour se reposer, se prélasser dans les bras de ton aimé. Le moment de la semaine que tu préférais, le seul moment où tu pouvais enfin ouvertement laisser place à tes sentiments, à ta créativité. Le seul moment où tu pouvais jouer pour quelqu'un qui t'écouterais, où tu pouvais te rendre utile en donnant de ta personne, en offrant tes talents. Mais ce week-end là était bien différent des autres, et Trevor lui-même l'avait bel et bien remarqué. Tu jouais avec ses doigts, tranquillement, silencieusement. Affalée sur ce canapé bon marché à te demander « et si », oui.. et si Zabini découvrait le poteau rose, et si ta mère découvrait la vérité sur tes absences répétées. Et si un être mal intentionné, tel que l'avait été Ez avec Ethan, se doutait de quelque chose ? Et si quelqu'un vous voyez ensembles.. et si, et si. Tu étais terrifiée par ce qu'il adviendrait de toi, par ce que le destin te réservais. Mais bien qu'il se doutait de quelque chose, le jeune sang-chaud t'avait tendu la main pour ne plus te la lâcher. Depuis ce matin, bel homme à tes côtés t'avais vue courir jusqu'aux toilettes au moins trois fois. Tu ne digérais plus rien, et toi qui avais un teint mâte était devenue pâle. Il s'inquiétait pour toi, faisant comme si il ne savait rien à te demander ce qu'il se passe, à te demander si tout allait comme tu le voulais. Mais il était certain que Trevor était loin d'être stupide et qu'il se doutait bien de quelque chose, mais qu'il attendait ta confirmation avant d'en parler avec toi, du moins c'est ce que tu supposais inconsciemment. Ce fameux « S'il le sait alors il n'a jamais rien dit » que souvent les adultes utilisent pour justifier l'adultère.

« Où tu vas ? », lui demanda-tu en le voyant bouger puis se lever. « Quoi ? Tu veux m'accompagner aux chiottes ? », tu retins un rire, pouffant contre ta main close avant de le pousser ta ton pied. « Crétin. Dis, ça te dérange si je sors ce soir ? », tu le suivis du regard, étalant ton corps sur le sofa. « Pour ? » son ton se faisait plus amplifié, sûrement pour se faire entendre à mesure qu'il s'éloignait « Je vais voir mon cousin, Nate. », il s'arrêta un instant pour te fixer l'air ahurit « Attend.. c'est le gentil celui-là ? » tu ne répondis pas, penchant ta tête en arrière sur l'accoudoir avant de la hocher accompagné d'un simple hm-hm. Tu lança un petit rire satisfait en voyant son expression rassurée tandis qu'il partait se réfugier dans les toilettes. Cet appartement était ton seul échappatoire, le seul endroit où tu te sentais réellement en sécurité, près de lui. Tout ce que tu avais à faire était d'échapper à quiconque pouvant te reconnaître, et te réfugier ici des jours durant. Tu pouvais passer des heures dans le silence ici sans penser à quoi que ce soit de mauvais hormis peut-être la mauvaise odeur des chaussettes de Lewis traînant dans la salle de bain en attente d'une main charitable pour les laver. Mais ses chaussettes ne t'empêchais pas d'apprécier être ici, tu y étais mieux que partout ailleurs. Ce garçon, tu l'aimais, mais tu n'avais pas encore eu le courage de le lui avouer. Un sentiment certainement réciproque à vrai dire, sinon il n'en serait sûrement pas là avec toi aujourd'hui. Mais c'était une phrase importante pour toi, qui demandait du temps pour en comprendre le véritable sens, qui demandait de la patiente pour se rendre compte de la sincérité de ses mots et de l'impact qu'ils auraient sur une vie, sur un cœur. Il fallait le penser pour se l'avouer, il fallait le savoir pour le dire, et bien que tu sois consciente de tes sentiments pour lui, aussi intenses et passionnés soit-ils, tu refusais de l'assumer tout comme lui ne se l'avouait pas à lui-même. Vous vous étiez persuader de vivre votre relation au jour le jour, en pleine connaissance de cause, conscients qu'il aurait été plus sage d'y mettre rapidement un terme, mais l'amour est une chose bien plus difficile à cerner, et au fil des semaines, des mois, vous avez continués à vous voir et à vous aimer sans vous rendre compte de l'ampleur qu'avaient prit ces sentiments.
Puis, voici venir l'impasse, celle qu'aucun de vous deux n'avait vu venir mais que beaucoup de vos proches les plus à même de juger votre situation avaient tous vus arriver de très loin, comme un navire gigantesque traverserait une plaine. Cette fois, tu avais besoin d'aide pour remettre le navire à la mer. Tu te sentais si faible, si épuisée, à avoir poussée ce foutu bateau toute seule... Tu ne te sentais plus capable de tenir tête à ta mère, préférant la fuir que lui devoir des explications, plus capable d'affronter le regard accusateur de tes cousins, de tes amis, plus capable de résister aux coups de Belial. Alors tu t'accrochais désespéramment au bras de Trevor, avec espoir qu'il ne te laisse pas tomber. Alors tu t'en remettais à Nathaniel, dans l'espoir qu'il puisse te venir en aide comme un adulte aurait le pouvoir de le faire. Tu te sentais si fragile, si fébrile et si fatiguée...

Le soir même, tu avais détachée tes beaux cheveux noirs et t'étais apprêtée. Tu aurais fais la fierté des Black, ou du moins de ceux qui s'étaient battus pour les vrais valeurs de ce monde et qui les avaient comprises, comme Sirius et bien d'autres noms rayés de la tapisserie. Tu étais élégante, habillée d'une jolie robe cintrée et noire. Comme si ta prestance, et ton apparence confiante, ne suffisait pas pour te faire remarquer. Et pourquoi porter du noir aurait eut le don de se faire retourner chaque personne bienveillante sur ta personne ? Demandez donc à ceux qui se souviennent encore de ces longues robes noires contre qui ils ce sont battus. Les Black avaient toujours eut cette réputation, de sang-pur puissants et influents, de riches politiciens aux idées plutôt fermées, une famille conservatrice. Tout le monde connaissait la famille Black pour ses méfaits, pour sa longue lignée, et ceux prétendant que ce nom finirait par disparaître ne se doutaient de rien. Alors pour apaiser les maux tu t'étais munie d'un long manteau grisâtre que tu laissais descendre de tes épaules sans vraiment en avoir l'intention, un côté très aguicheur et hautain que tu avais hérité de ta mère malgré toi. Un dernier baiser à ton aimé, et tu avais rejoins la taverne sorcière la plus proche comme tu avais souvent l'habitude de retrouver Nathaniel ici. Un endroit où il saurait te trouver à coup sûr après ce genre de messages laissé à son intention.
Le pelage blanc d'un animal vint alors dénoter avec ta robe. Le fennec avait filé à toute vitesse vers toi, aussi rapide qu'un balais de compet', et s'était installé sur tes cuisse comme une peluche que tu serras contre ton ventre. Assise dans le fond de cette taverne, tu repensais à comment faire comprendre à Nate la situation dans laquelle tu te trouvais. Lui aussi avait sûrement dût remarquer tes absences aux fêtes et réunions de famille, remarquer la détresse dans ton regard et l'effacement de ta propre personne chaque fois que vous vous étiez croisés. A cet instant, la tête baissée, tes cheveux ébènes ne laissaient plus entrevoir ton visage attristé, ni la peau dénudée de tes épaules que ta robe bustier se permettait de découvrir. Ni même le léger poids que tu t'étais vue prendre, que Galaad, Bella, Al, et même Trevy t'avaient vue prendre. Toi qui avait toujours eut, depuis toute petite, le même gabarie, les mêmes mesures, la même musculature. Toi qui n'avait jamais changée d'un pouce si ce n'est pour devenir plus féminine et foncièrement attirante. Tu sentais subitement un lourd poids peser sur tes épaules, et l'impression que le chemin que tu t'apprêtais à prendre pouvait s'écrouler d'un moment à l'autre, le sentiment que ce choix s'avérerait être décisif à tout jamais et qu'il ferait de toi ce que tu es et deviendrais à l'avenir ; Que ce choix inspirerait ton futur toi à suivre une toute autre destinée. C'est cette musique si douce et mélodieuse qui se jouait dans le creux de tes oreilles. Dans cet appareil moldu que Trevor t'avait offert pour ton anniversaire dernier, que se jouait de magnifique symphonies au piano que tu rêvais de jouer toi-même à cet instant pour te vider la tête. C'était cette même musique classique qui inspirait à ton cœur sa façon d'exprimer sa profonde détresse, sa tristesse.

b l a c k f i s h
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Invité
Anonymous
INRP
IRL
Jeu 14 Mar - 20:03

House of cards
Nathaniel & Genesis
La saison était rude. Tant sur le plan saisonnier que sur le travaille qu'il devait accomplir. Nathaniel avait très peu de temps à accorder même pour lui. Mais il faisait tout son possible lorsqu'il s'agissait des membres de sa famille. Ou Eleonore. Quelques jours plus tôt, l'Avery avait échangé des lettres avec sa cousine côté Black, Genesis. Elle souhaitait le voir pour lui parler de quelque chose d'urgent. Sans doute craignait-elle d'être plus facilement jugée qu'avec Nathaniel. Il était un peu cette figure de grand-frère pour elle, de protecteur. Genesis savait que ses confidences resteraient secrètes. Quel intérêt aurait-il à jouer les balances de toute façon ? Lui-même se faisait discret envers sa famille. Ils ignoraient même qu'il avait eu un enfant hors mariage. L'Avery risquait de se faire mal voir mais honnêtement, c'était le cadet de ses soucis; il avait donné rendez-vous à sa cousine, non loin de l'université. Il n'était pas spécialement friand de ce genre d'endroit, en grand amoureux de la tranquillité. Enfin bon, il avait vu pire en terme d'endroit bordélique. Poussant la porte de l'établissement, il fut surpris d'y trouver peu d'agitation. On aurait dit que son souhait avait été exaucé. L'Auror s'assit à une table libre, placé dans un coin tranquille un peu au fond. Il avait en sorte de prendre une place où Genesis pourrait aisément l'apercevoir en arrivant ici.

La serveuse ne tarda pas à venir prendre sa commande. Il demanda un bon café bien corsé. Un goût particulier pour l'amertume qu'il tenait ironiquement de son père. Histoire de patienter, Nathaniel utilisa un accio afin de récupérer une Gazette du Sorcier qui trainait un peu plus loin. Il n'était pas spécialement fan de ce journal, étant à ces yeux un recueil de mensonges qui dégoulinait d'hypocrisie. Mais bon, cela avait au moins l'avantage de le divertir un minimum en attendant l'arrivée de sa chère cousine. Il leva le nez la première fois lorsque la serveuse vint lui apporter sa tasse de café, qu'il commença à siroter pendant qu'il lisait. Et la deuxième fois quand il crut reconnaître une silhouette familière s'approcher de la table vêtue d'une jolie robe noire dévêtue au niveau des épaules. Nathaniel l'accueillit avec un sourire. « Tu en as mis du temps, j'ai failli m'ennuyer. » Lança-t-il pour plaisanter. Il n'avait pas attendu si longtemps que ça. Elle devait avoir quoi, cinq ou dix minutes de retard ? Quant à la question de l'ennui...Disons qu'il avait su faire avec.
(c) DΛNDELION
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House of Cards ➳ ft. Nathaniel Avery
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