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Les moldus et élèves de Poudlard du forum se sentent cruellement seuls au milieu de tous ces sorciers adultes,
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Chaos Begins - ft. Ethan Prewett :: Three Broomsticks :: Pensine :: Les RPs
Invité
Anonymous
INRP
IRL
Mar 15 Jan - 0:08
chaos begins

Black
Genesis

Prewett
Ethan

L'heure que tu avais choisis était parfaite, parfaite pour que personne ne te remarque. Si silencieuse que tu ne réveilla pas même ta camarade de chambre la plus proche en ouvrant la vieille porte grinçante. Oui, si silencieuse et préoccupée par le bruit que tu aurais pus faire que tu en oublia ta cape sur le fauteuil de la salle commune, après avoir manquée de peu, bien sûr, de te ramasser face contre terre, ou plutôt face contre pierre. Encore un étudiant qui avait oublié qu'ici ce n'était pas un endroit où empiler ses livres de cours. Décidément, tu allais devoir refaire l'éducation de certains, mais certainement pas maintenant, tu étais pressée. C'était ce matin-là que tu lui avait donnée rendez-vous, ce matin-là que tu t'étais éclipsée plus tôt en empruntant les passages les moins fréquentés pour ne croiser aucun professeur, aucun autre préfet, jusqu'à ton arrivée à la salle aux étoiles. C'est furtivement qu'il te vit apparaître au creux de la porte. Retournée pour voir ses beaux yeux bleus posés sur toi avant que ton dos ne rencontre le cadre de la porte pendant les quelques secondes qui suivirent. Tu mordis ta lèvre inférieure, et posas tes mains sur ses bras, un large sourire pouvant se lire sur ton visage comme un rayon de soleil venant subitement illuminé la pièce. Tu t'apprêtais à répondre à son attaque avant que le plafond ne se mette subitement à changer. Un ciel éclairé par les rayons de la lune, des étoiles brillantes comme elles pouvaient l'être un soir de pleine lune, mais la pluie se mise à tomber au dessus de vos têtes. L'un de vous deux n'était visiblement pas très bien, mais peu importait l'autre car sous la pluie tout autre chose pouvait se dérouler. Il pleuvait à verse, ce qui avait eut le don de donner à la pièce une ambiance décadente et sauvage. Un bon point quand on sait ce qui s'y déroula ensuite...
On aurait put dire que ton sport matinale s'arrêterait là, dans la salle aux étoiles, avec ce beau jeune homme qui avait fait ta joie pendant toute les vacances de fin d'année, et qui t'avais hébergée chez lui après t'avoir trouvée errante dans l’enceinte du château de votre ancienne école. Toi qui n'avait encore jamais été épuisable jusqu'à maintenant, tu l'étais désormais. Non pas pour ce petit écart de la matinée, ce petit.. en-cas, mais pour bien autre chose. Une chose dont tu finirais très vite par te douter, mais que tu refusais encore d'admettre. De nouveau en tenue acceptable, bien que trempée dans les environs de sept heure, tu avais filée, sportive que tu étais, dans les jardins de l'université. Abandonnant ton Don-Juan pour une activité sportive bien différente. Car personne ne devait savoir, personne ne devait se douter que tu fréquentais cet impulsif Gryffondor. Si ta relation venait à se savoir, les conséquences seraient bien pire que ce que tu avais vécue avec un sang-mêlé de la même trempe. Tu serais reniée, pour sûr, tu serais humiliée à nouveau et dénigrée. Oh, Pansy Black était des plus doués pour te descendre et d'avantage pour toucher tes points faibles. Tu avais beaucoup appris de ta mère, tu lui ressemblais même plus que tu ne voulais l'admettre, mais jamais tu n'avais su arriver à son niveau. Elle était ton maître en la matière, mais jamais tu n'étais parvenue à renier tes valeurs pour faire du mal aux autres comme elle le faisait si bien. Tu avais toujours été incapable de t'en prendre aux autres par simple dédain, ou par pure méchanceté gratuite. Une terme qu'en réalité tu ne connaissais pas, pas autant que Bella l'aurait sûrement voulu. Avoir une cousine pour suivre le mouvement était toujours appréciable, mais si cette dernière ne fonctionnait pas avec la même empathie – ce qui se traduirait sûrement par pitié pour cette chère Parkinson, n'était pas bien avantageux pour émettre des commentaires blessants sur les autres. Pour autant, Belladona était bien l'une des seules personnes de ta famille que tu aimais réellement et que tu ne voulais jamais voir consumée par une quelconque tristesse, ou haine. C'était ta cousine, certes, mais Bella avait toujours été bien plus comme une sœur qu'une simple cousine. Peut-être qu'à force de vous demander si vous étiez sœurs le lien avait dut se renforcé comme tel. Personne ne le sait, pas même toi, et qu'importe ce que pouvait dire les autres, tout ce qui t'importais était de la voir heureuse comme tu l'étais à cet instant. Mais à vrai dire ce n'était ni la punition de ta mère, ni la réprimande de Bella que tu craignais. Tu en courais bien plus si le jeune Zabini venait à apprendre ta relation avec l'adorable lion à tête de mule, en particulier après t'être fiancée avec lui. Tu avais peur, peur qu'il s'en prenne de nouveau à toi par jalousie. Bien qu'il restait l'un de tes meilleurs amis, il y avait en lui quelque chose, une lueur dans ses yeux qui ne te rassurais guère... Cette même lueur que tu avais vue dans les yeux d'Ethan quand quelqu'un te faisais du mal, cette même lueur que tu voyais désormais tous les jours dans les yeux de Trevor quand tu étais entourée d'une gente masculine bien trop tactile et familière à son goût. Un regard meurtrier, presque sauvage et imprévisible qui te rendais toute chose venant de ton amant, mais qui te foutais la trouille venant de ton supposé fiancé...

Mais passons,
puisque finalement dès lors que tu t'étais mise à courir dans les jardins, dès lors que tu avais quittée Trevy pour ton footing du matin, le bonheur ne rentra plus en compte. Peut-être bien l'amour, oui, mais sous une toute autre forme. Tu ne comprenais pas vraiment, tu avais pourtant mangée ce qu'il fallait avant de partir, ce matin n'était pas plus différent des autres excepté la fatigue que tu pensais causée par le brun. Après quelques minutes de course, tu t'arrêtas essoufflée, appuyée contre un arbre, et tentant de faire disparaître quelques vertiges persistant. Tu te sentais subitement mal, comme si la route avançait toute seule, comme si tu t'étais mise à reculer avec un balais. Ce qui, disons-le clairement, était impossible puisque tu ne montais jamais sur un balais – tu avais bien trop peur du vide pour oser cet affront à ton esprit qui t'aurait faite bien plus trembler qu'une personne âgée atteinte de Parkinson, quelle ironie. Le tournis te prise au dépourvus et te força à te ramasser en arrière dans une perte d'équilibre totalement aléatoire. Toi qui d'origine avais un ton mate de peau était devenue aussi blanche que le pelage de Floki, ce petit fennec qui ne quittait que rarement tes bras. La main sur ton front, l'autre sur ton ventre. Plus le vent soufflait, plus la température montait, tu le sentais. Dans une totale incompréhension tu te relevas, histoire de possiblement foncer vers l'infirmerie si ça venait à s'aggraver. Mais la seule chose que tu fus capable d'entreprendre fut de retomber à genoux pour vomir tout ce que tu avais pus manger ce matin, et tout ce qui avait put te rester d'hier soir. Enfin, ta température était revenue plus ou moins à la normale, mais ta peau, elle, était restée aussi blanche qu'elle l'était devenue juste avant, presque translucide. Heureusement que tes cheveux étaient attachés, et que tu n'avais là que tes vêtements de sport – en soit une simple brassière moulant à la perfection ta lourde poitrine, et un short tout ce qu'il y a de plus banale. Encore une fois, heureusement que tu avais oubliée ta cape car au final elle n'aurait fait que tremper dans... ew, dégoûtant. « Pitié, pas ça.. », murmuras-tu les larmes aux yeux. Tu commençais à prendre conscience qu'il y avait un problème, tu commençais à te douter de quelque chose. Quelque chose d’invraisemblable, quelque chose qui pouvait tout foutre en l'air. Ta vie, ta relation avec Trevor, te faire accuser de trahison par ta mère, par ta cousine, par ta famille toute entière. Tu ne pouvais le concevoir, pas comme ça. Mais tu finis par te persuader que ce n'était rien, que tu avais sûrement mangée quelque chose d'avarié, que tu étais sûrement épuisée du mois dernier. Tu cherchais à tout prix une explication plausible à ton problème même si la réponse était sous ton nez, tu refusais d'y croire. Ce n'était tout simplement pas possible. Pas toi. Pas maintenant. Pas comme ça. Pas tant que tu n'aurais pas réglée tes comptes avec madame Black, pas tant que tu n'aurais pas trouvée une raison valable pour foutre à la porte Zabini. Non, pas maintenant...
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Invité
Anonymous
INRP
IRL
Lun 28 Jan - 10:51

Chaos begins
Genesis & Ethan
Ethan n'est pas spécialement matinal. Il est plutôt ce qu'on appelerait un oiseau de nuit. Magnifique contradiction avec ce deuxième prénom qui est le sien, Robin à la douce signification de "rouge-gorge" qui est symbolique de lumière et du nouveau jour. Ses parents avaient eu pour une raison sans doute liée au bonheur de la naissance de leurs enfants, fait en sorte que leurs noms au lexique du renouveau soient synonyme d'espoir. Mais si l'on regarde dans l'angle de ses ambitions, le Prewett est porteur de cette volonté parentale. Contribuer, servir d'exemple pour les générations actuelles et futures par ce travail qu'il aurait accompli dans le domaine des sortilèges qui le passionne tant, il ne ferait que parvenir à cette mission qu'il se serait donné depuis déjà belle lurette. M'enfin c'est bien beau de rêver, il lui restait encore du chemin à parcourir avant d'y arriver. Il n'avait que dix huit ans, des étoiles pleins les yeux, baignant encore dans l'inscouciance de sa jeunesse. Même si Ethan est travailleur, il ressent encore un fort besoin de la consommer par la sociabilisation et tout autres activités que les "adultes" finissent par lâcher peu à peu en vieillissant, coincés par leur vie de famille ou professionnelle. Que ce serait-il passé pour Ailsa et lui si elle n'avait pas eu cette accident ? La question a plusieurs fois traversé l'esprit du lion ces trois derniers mois. Cette histoire d'enfant a marqué plus que jamais la nature de leur relation. Ils sont toujours désireux l'un de l'autre bien sûr. Seulement ils semblent davantage sur la retenue, en tout cas du côté d'Ethan. La culpabilité devenait contrainte dans son esprit, au point qu'ils se sont abstenus depuis cet été. Mais ils ne se gênent pas pour afficher leur affection en public, leur couple n'étant plus un secret pour personne désormais;

Le weekend, il l'attendait avec impatience. Qui ne le serait pas ? La seule chose étant qu'arrivé chaque samedi depuis un bon moment déjà, le lion s'était porté volontaire pour être le professeur particulier d'Enola. Même si, il faut le dire, se lever de bonne heure quand on est censé ne pas avoir cours est pénible, il aime jouer les enseignants à voir progresser ses apprenants en soulignant les forces et en corrigeant les faiblesses. La petite Taylor ne se débrouille pas trop mal. Elle en veut toujours plus, et c'est l'une des qualités que son ainé apprécie chez elle. Autant dire qu'Enola n'est pas une lionne pour rien. Comme lui en fait. Fougueux et bornés comme des mulets. La scéance ne dura que quelques heures, s'arrêtant quand lui estimait qu'ils avaient suffisament travaillé pour la journée. Il n'était pas encore midi quand Ethan se dirigeait vers les jardins à la recherche d'Alceste. Le Rouge et Or espérait ainsi le trouver pour lui remettre quelque chose, dans un bref passage avant de rejoindre Ailsa dans la Salle Commune. En arrivant sur les lieux, il ne remarqua aucune trace du Serpentard, et sûrement l'un des rares avec qui il s'entend à vrai dire même si tirer les vers du nez concernant Belladone n'avait pas été de tout repos. C'était comme s'il s'était battu à mains nus avec un ours, sans rire ! Le gars se fait griller à des kilomètres, il sème la preuve de ses sentiments sur des bouts de parchemins froissés et il nie toujours ! Bon heureusement, tout ceci n'est qu'histoire ancienne et Ethan a promis de faire motus et bouche cousue à ce propos.

Ce n'était pas Alceste que le Prewett retrouva à griffonner seul dans son coin, mais fût surpris à la place d'y reconnaitre de loin un profil plus que famillier. Un sourire orna ses lèvres alors qu'il s'approchait. Genesis, Ethan la connaissait plus que bien, surtout après l'avoir côtoyé intimement pendant une longue période contre vents et marrés. Parce qu'il n'est qu'un sang-mêlé, au noble nom de famille certes, mais en plus de considérer les Prewett comme des traitres à leur sang, lui avait les gènes d'un parent moldu proche dans les veines. Son grand-père maternel, un brave homme de loi qui fût emporté au mois de mai par la maladie. Et que elle, elle est l'héritière d'une des plus anciennes et illustres familles d'Angleterre obsédés par la pureté de ce qui coule dans leurs veines. La pression des parents de la jeune femme a eu raison de leur couple. Mais Ethan comprenait. Pas qu'on puisse ne pas accepter quelqu'un parce qu'il ne rentre pas dans cette foutue idéologie sectaire et moyenâgeuse du toujours pur, mais que Genesis subissait un tel harcèlement moralde leur part indirectement par sa faute alors...Cette séparation avait été très difficile, et il avait réussi à apaiser sa peine en se répétant longuement que ce choix avait sûrement été la meilleure chose à faire. Oui voilà. Un mal pour un bien;

Ce sourire que le lion arborait, il ne fit pas long feu. En arrivant non loin de cet arbre sur lequel Genesis s'appuyait pour récupérer - a priori suite à un effort physique vu sa tenue où il manquait sa cape (?) que lui portait - il s'apprétait à lancer une petite plaisanterie du genre "Ne meurs pas surtout !" mais en voyant son teint aussi blafard que Sir Nicholas et qu'elle en vint enuite à répendre son déjeuner par terre, là, c'était l'inquiétude qui laisse place à l'incorrigible malice. Si bien qu'il se précipita vers la pauvre Serdaigle pour lui prêter assistance en cas de besoin. L'une de ses mains se cala sur son dos, tandis qu'il se penchait pour avoir un apperçu de son visage. « Nessy, ça va...? » Ethan n'avait pas entendu ce qu'elle avait précédemment murmuré, n'ayant pas été assez proche pour l'entendre. Tout ce qu'il constatait actuellement, c'est qu'elle n'avait pas l'air bien du tout. Il était cependant loin d'imaginer la raison, ne pensant qu'elle avait peut-être trop forcé. S'il savait.
(c) DΛNDELION
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Chaos Begins - ft. Ethan Prewett
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